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ATALOGUE DES ŒUVRES PUBLIÉES PAR
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ATALOGUE OF WORKS PUBLISHED BY
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ERKE
:
• Opéras - Operas - Opern . . . . . . . . . . . . . . . . 21
• Ballets - Ballets - Ballette . . . . . . . . . . . . . . . 22
• Musiques de scène - Incidental music -
Bühnenmusik . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
• Musique vocale avec orchestre - Vocal music
with orchestra - Vokalmusik mit Orchester :
- Chœur avec orchestre - Choir with orchestra -
Chor mit Orchester . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
- Voix soliste(s) et orchestre - Solo voice(s) and
orchestra - Gesangssolist(en) und Orchester . 28
- Voix soliste(s) et ensemble - Solo(s) voice(s)
and ensemble - Gesangssolist(en) und
Kammerensemble . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
• Orchestre - Orchestra - Orchester . . . . . . . . . 31
• Musique pour harmonie - Band music -
Blasmusik . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
• Instrument(s) soliste(s) et orchestre -
Concertos - Instrumentalkonzerte . . . . . . . . . . 36
• Musique de chambre - Chamber music -
Kammermusik . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
• Musique instrumentale - Instrumental music -
Instrumentalmusik . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
• Musique vocale (musique chorale -
voix et piano)- Vocal music (Choir works - solo
voice & piano)- Vokalmusik (Chorwerke -
Gesang mit Klavier) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
• Œuvres pour les enfants - Works for children -
Musik für Kinder . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56
D
ISCOGRAPHIE
- D
ISCOGRAPHY
- D
ISKOGRAPHIE
. . . . . . 58
B
IBLIOGRAPHIE
- B
IBLIOGRAPHY
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IBLIOGRAPHIE
. . . . . 71
F
ILMOGRAPHIE
- F
ILMOGRAPHY
- F
ILMOGRAPHIE
. . . . . . 75
I
NDEX ALPHABÉTIQUE
- A
LPHABETICAL INDEX
-
A
LPHABETISCHE
L
ISTE
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77
A
BRÉVIATIONS
- A
BBREVIATIONS
- A
BKÜRZUNGEN
. . . . . 82
TABLE DES
MATIÈRES
CONTENTS
INHALT
Page de gauche :
© photo H. Manuel. Tous droits
réservés pour tous pays.
5
Darius Milhaud est né à Marseille le 4 septembre 1892.
Son enfance et son adolescence se déroulent à Aix-en-
Provence, dans une famille très concernée par la musique. Il
commence l’étude du violon et pratique très tôt la musique de
chambre en quatuor à cordes. Dès 1905, Milhaud découvre le
Quatuor à cordes de Debussy et débute l’harmonie. Il se pro-
cure très vite la partition de Pelléas et Mélisande qui vient
juste d’être créée et qui restera pour lui, avec Boris Godounov,
l’une des œuvres phares de sa formation musicale.
Deux amis, le poète Léo Latil et le philosophe Armand
Lunel, rencontrés dès cette époque au Lycée d’Aix, vont tenir
une place privilégiée dans sa vie et nourrir sa curiosité litté-
raire et intellectuelle.
Il termine ses études secondaires à Aix en 1909 puis entre
au Conservatoire de Paris, fréquentant les classes de
Berthelier (violon), Paul Dukas (classe d’orchestre), Xavier
Leroux (harmonie) et Widor (fugue). Henri Rabaud le recom-
mande à André Gédalge avec lequel il étudie le contrepoint et
la composition. Gédalge aura une influence décisive sur sa
manière de considérer la mélodie comme dimension primor-
diale du fait musical. C’est dans sa classe que Milhaud se lie
d’amitié avec Arthur Honegger, Jean Wiener et Jacques Ibert.
À Paris, il se trouve soudainement immergé dans une très
riche vie musicale et artistique. Il assiste alors à de nom-
breuses premières auditions ainsi qu’aux représentations
données par les Ballets Russes qui révèlent au public parisien
la musique de Stravinsky.
Dès 1910, il commence la composition de son premier
opéra La Brebis égarée d’après une pièce de Francis Jammes.
En août 1912, après en avoir achevé le premier acte, il entre-
prend un voyage en Espagne avec son ami Léo Latil, dans le
double but de découvrir Burgos, ville où se situe l’action du
second acte de son opéra, et de rendre visite, sur le chemin du
retour, à Francis Jammes à Orthez. Lors de cette rencontre, il
joue à Francis Jammes le premier acte déjà terminé ainsi
qu’un recueil de mélodies qu’il vient tout juste de composer,
Sept Poèmes de la connaissance de l’Est sur des textes de
Paul Claudel. Jammes introduit Milhaud auprès de Claudel
dès octobre 1912. Les premières collaborations entre les deux
créateurs concerneront l’Orestie d’Eschyle dont Claudel vient
d’achever la traduction et le drame satyrique Protée pour
lequel Milhaud écrira trois versions de la musique de scène.
En 1914, Milhaud reçoit à Aix la visite de Charles
Koechlin. Koechlin et Milhaud analysent ensemble la toute
récente partition du Sacre du printemps de Stravinsky. Les
deux compositeurs décèlent dans cette œuvre des construc-
tions d’accords tendant à la polytonalité.
BIOGRAPHIE
Au début de la guerre, Milhaud est déclaré non incor-
porable pour raisons de santé. Il s’occupe des réfugiés au
Foyer Franco-Belge puis travaille à la Maison de la Presse
rattachée au Ministère des Affaires étrangères. Il se lie alors
avec Paul Morand, Alexis Léger (Saint-John Perse) et Henri
Hoppenot. Il compose son Deuxième Quatuor à cordes pen-
dant cette période ainsi que son Troisième Quatuor avec
soprano, écrit en hommage à son ami Léo Latil, tué récem-
ment sur le front.
En novembre 1916, Claudel, nommé Ambassadeur de
France à Rio de Janeiro, demande à Milhaud de l’accompa-
gner. Le séjour au Brésil aura un effet presque initiatique
pour le compositeur, arraché à son environnement habituel et
plongé dans un monde où la nature est luxuriante et la
musique débordante de vitalité. En outre, la fréquentation
quotidienne de Claudel et la stimulation créatrice que lui
apporte le poète en train de concevoir alors L’Homme et son
désir, un poème plastique unissant différents moyens de l’ex-
pression artistique, constituent pour Milhaud une expérience
humaine et esthétique d’une importance exceptionnelle. La
Deuxième Sonate pour violon et piano, le Quatrième Quatuor
à cordes et la Sonate pour flûte, hautbois, clarinette et piano
sont autant de témoignages réussis de cette époque fertile.
De retour à Paris, Milhaud retrouve ses amis dans
l’euphorie de l’après-guerre. Le 5 avril 1919, un concert
rassemble au même programme les noms Poulenc, Honegger,
Milhaud, Auric, Durey et Tailleferre. En janvier 1920, le cri-
tique Henri Collet publie un article dans la revue Comœdia
instituant, en écho au « Groupe des Cinq russes », un
« Groupe des Six » français réunis sous l’aile protectrice
d’Erik Satie et animé par l’auteur du Coq et l’Arlequin, Jean
Cocteau. La création, à la Comédie des Champs-Élysées, du
ballet Le Bœuf sur le toit sur un argument de Cocteau et des
décors de Raoul Dufy constitue l’un des premiers grands
succès de Milhaud auquel répond de façon paradoxale, le
scandale de la création de la Seconde Suite symphonique
d’après « Protée » dirigée par Gabriel Pierné aux Concerts
Colonne le 24 octobre 1920, pourtant l’une des compositions
majeures du compositeur.
En 1920, Milhaud compose son Cinquième Quatuor à
cordes dédié à Schönberg dans lequel il explore l’idée de
polytonalité dans son aspect contrapuntique. Il commence
son célèbre recueil pour piano Saudades do Brazil à
Copenhague, lors d’une visite à Claudel, alors en mission
diplomatique dans cette ville.
6
BIOGRAPHIE
(suite)
7
Milhaud dirige aux concerts Wiener le 16 janvier 1922,
avec le concours de la cantatrice Marya Freund, la première
exécution à Paris de Pierrot lunaire d’Arnold Schönberg. En
1922, il voyage à Vienne puis en Pologne en compagnie de
Poulenc et Marya Freund. C’est à cette occasion qu’il
rencontre Schönberg et son entourage, Alban Berg, Anton
Webern, Egon Wellesz ainsi que Hugo von Hofmannsthal.
Sur une idée d’Alma Mahler-Werfel, Milhaud et Schönberg
donnent chacun dans le même concert privé leur propre
interprétation de Pierrot lunaire, le premier en français avec
Marya Freund, le second en allemand avec Erika Wagner.
Quelques jours après cette audition, Milhaud et Poulenc font
entendre à Schönberg, sur la demande du compositeur autri-
chien, la Seconde Suite symphonique d’après « Protée ».
Au début de 1923, Milhaud effectue sa première tournée
aux États-Unis, faisant ses débuts officiels comme chef
d’orchestre avec le Philadelphia Orchestra.
Dès janvier 1919 à New York puis en 1920 à Londres, au
moment des représentations de son ballet Le Bœuf sur le toit,
Milhaud avait eu ses premiers contacts avec le jazz. Cette
fois, il a la révélation du caractère authentique de cette
musique en fréquentant les théâtres et dancings de Harlem.
De cette forte imprégnation de la musique noire américaine,
résultera une de ses compositions les plus célèbres, La
Création du monde, un ballet sur un argument de Blaise
Cendrars, créé par les Ballets Suédois en 1923.
Milhaud épouse en 1925 sa cousine Madeleine et lors de
son voyage de noces, parcourt plusieurs pays de Méditerranée
orientale. En 1926, il visite en compagnie de Jean Wiener la
toute nouvelle U.R.S.S. puis effectue une seconde tournée
aux U.S.A. Les années 1927-1930 voient la musique de
Milhaud se diffuser plus largement en Allemagne, notam-
ment sous l’impulsion de Paul Hindemith. Le point
culminant de cette période est la création en 1930 à Berlin,
sous la direction d’Erich Kleiber, de son opéra Christophe
Colomb, écrit en collaboration avec Claudel.
Dans les années trente, Milhaud collabore à de nom-
breuses musiques fonctionnelles tant pour le théâtre que pour
le cinéma dont il tire souvent des partitions très populaires,
comme la Suite provençale ou Scaramouche. Parallèlement,
il continue à livrer des œuvres concertantes délicates et raffi-
nées comme le Premier Concerto pour piano, le Concertino
de Printemps pour violon et orchestre de chambre ou le
Premier Concerto pour violoncelle.
La guerre contraint Milhaud à quitter l’Europe avec sa
famille. C’est sur le bateau, alors qu’il écrit son Dixième
Quatuor à cordes, qu’il reçoit un télégramme lui proposant
une chaire de composition à Mills College. Il est accueilli à New
York sur le quai le 15 juillet 1940 par ses amis, Kurt Weill et
son épouse Lotte Lenya. Durant son exil, il compose en 1943
son opéra Bolivar sur un livret de Madeleine Milhaud d’après
Supervielle, troisième volet de sa trilogie sud-américaine, ainsi
que trois autres quatuors à cordes, les Onzième, Douzième et
Treizième et le Service Sacré, une importante œuvre religieuse
selon l’office hebdomadaire de la religion judaïque.
En 1946, alors qu’il se trouve en convalescence à l’hôpi-
tal de San Francisco, Milhaud commence son autobiographie
connue aujourd’hui dans son édition définitive sous le titre
Ma Vie heureuse.
Le 25 août 1947, Milhaud s’embarque pour la France.
Sur le bateau du retour, il compose sa Quatrième Symphonie,
en commémoration du centième anniversaire de la révolution
de 1848.
Il est nommé professeur de composition au Conservatoire
national supérieur de Musique de Paris. Dès lors, il partage-
ra sa vie entre la France et les États-Unis, un an à Paris, un
an à Mills, avec des cours d’été à Aspen dans le Colorado.
En 1952, il visite le jeune état d’Israël.
Jusqu’à 1962, Milhaud écrit une soixantaine d’œuvres
parmi lesquelles Le Château du feu, La Tragédie humaine, le
Concerto n° 2 pour deux pianos et percussion, A Frenchman
in New York, l’Invocation à l’ange Raphaël. Il est promu
Commandeur des Arts et des Lettres en 1957. En 1962, il est
atteint par la limite d’âge pour continuer son enseignement
au Conservatoire de Paris. Les autorités de Mills College lui
laissent la faculté de poursuivre son enseignement aussi long-
temps qu’il le souhaitera.
À soixante dix ans, Milhaud est fêté à Münich, Berlin,
Bruxelles, Paris, New York, San Francisco.
En avril 1963, l’Orestie est mise en scène pour la pre-
mière fois à l’Opéra de Berlin. Il compose cette même année
Meurtre d’un grand chef d’état à la mémoire de John
Fitzgerald Kennedy ainsi que l’Ode pour les morts des
guerres, une commande d’État passée par André Malraux. Le
20 décembre 1963, l’inauguration de la Maison de l’O.R.T.F.
a lieu avec la création de la symphonie chorale Pacem in
Terris sous la direction de Charles Münch.
Le 12 juin 1965, le nom de Milhaud est inscrit aux côtés
de ceux de Sibelius, Malipiero et Stravinsky pour un concert
œcuménique donné à Rome en présence de Paul VI. Il est
promu le 12 juillet Grand Officier de la Légion d’Honneur.
8
BIOGRAPHIE
(suite)
9
Ses dernières années restent dominées par la production
d’une série d’œuvres pour orchestre qu’il intitule Musique
pour… (Prague, l’Indiana, Lisbonne, la Nouvelle Orléans,
San Francisco etc…), en réponse à la situation géographique
des commanditaires. Milhaud écrit en 1966, Hommage à
Comenius, cantate pour soprano, baryton et orchestre, une
commande pour fêter le vingtième anniversaire de
l’U.N.E.S.C.O., un ouvrage militant en faveur d’une éduca-
tion universelle, indispensable aujourd’hui à tout
épanouissement de l’homme.
En 1968, il est compositeur invité par le Festival de la
Fondation Gulbenkian et sa Symphonie pour l’Univers
claudélien est créée au festival d’Aix-en-Provence par
l’Orchestre de Paris sous la direction de Pierre Dervaux.
L’année suivante, le Ministère des Affaires culturelles lui
passe une commande pour le septième centenaire de Saint-
Louis. Il en résultera un opéra-oratorio Saint-Louis, Roi de
France qui sera créé en concert à Rome en 1972 et à la scène
à l’Opéra de Rio de Janeiro. En février 1971, Milhaud se rend
pour la dernière fois à Mills College.
A partir de 1971, il s’installe à Genève et reçoit le Grand
Prix National de la Musique. À l’occasion de son quatre-ving-
tième anniversaire, il dirige Les Choéphores à l’Academia
Santa Caecilia de Rome et l’Opéra de Nice donne en repré-
sentation trois de ses œuvres dont la création mondiale de
son ballet Vendanges. Il est reçu à l’Académie Royale des
Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Bruxelles ainsi
qu’à l’Institut de France en remplacement de Marcel Dupré.
Dans ses deux dernières compositions d’envergure, la
pièce pour orchestre Ode pour Jérusalem créée par l’Israel
Philharmonic Orchestra sous la direction de Daniel
Barenboim et la cantate Ani Maamin écrite en collaboration
avec Elie Wiesel, l’inspiration de Milhaud se tourne à nou-
veau vers l’histoire d’Israël mais aussi vers les victimes de
l’Holocauste.
Darius Milhaud est décédé le 22 juin 1974.
Darius Milhaud was born in Marseilles on 4 September
1892. He spent his childhood and teenage years in Aix-en-
Provence, surrounded by a family who were involved in
music. At an early age he started violin lessons and was soon
playing String Quartet, in 1905 he discovered Debussy’s
string quartet, and began to study harmony. Soon after the
première of Pelléas et Mélisande he obtained a copy of the
score which, along with Boris Godunov, was to remain one of
the landmarks of his musical education.
Also at this period, while attending the Lycée in Aix, he
made the acquaintance of the future poet Léo Latil and bud-
ding philosopher Armand Lunel, two writers whose lasting
friendship provided the necessary foil to his literary and
intellectual curiosity.
In 1909, having completed his secondary education in
Aix, he enrolled at the Paris Conservatoire, studying violin
with Henri Berthelier, orchestration with Paul Dukas, har-
mony with Xavier Leroux and fugue with Charles-Marie
Widor. Henri Rabaud recommended him to André Gédalge
with whom he then studied counterpoint and composition.
Gédalge had a decisive influence on the way in which he con-
sidered melody as the basis of music, and it was in his class
than Milhaud met Arthur Honegger, Jean Wiener and
Jacques Ibert.
In Paris he was suddenly thrown into a maelstrom of
music and artists, and attended several first performances as
well as the Ballets Russes, who introduced Paris audiences to
the music of Stravinsky.
Milhaud started work in 1910 on his first opera, La
Brebis égarée, based on a play by Francis Jammes. In 1912,
having finished the first act, he then travelled to Spain with
his friend Léo Latil, with two aims in mind: one, to see
Burgos, where the second act of his opera was set; and sec-
ondly, to visit Francis Jammes in Orthez on their way back.
During this meeting, Milhaud played the first act to Jammes,
as well as a set of mélodies he had just composed, Sept
Poèmes de la connaissance de l’Est to words by Paul Claudel.
Jammes himself introduced Milhaud to Claudel in October
1912. Their first collaborations were the Oresteia trilogy by
Aeschylus, which Claudel had just finished translating, and
the satirical drama Protée for which Milhaud would write
three versions of the incidental music.
In 1914, Charles Koechlin visited Milhaud in Aix.
Together they analysed the brand new score of Stravinsky’s
Le Sacre du printemps, discovering the polytonality inherent
in certain chords.
10
BIOGRAPHY
11
When war broke out, Darius Milhaud was declared unfit
for active service on health grounds, but took a post looking
after refugees in a Franco-Belgian refugee home, before
working in the press office attached to the Ministry for
Foreign Affairs. Here he made the acquaintance of Paul
Morand, Alexis Léger (Saint-John Perse) and Henri
Hoppenot. He composed his Second String Quartet at this
period, as well as his Third String Quartet with soprano,
written in homage to his friend Léo Latil who had recently
been killed on the front.
His friend Paul Claudel was appointed French ambassa-
dor to Brazil, and in November 1916 he asked Milhaud to
accompany him there. It was something of an initiation rite
for the composer who was thus forcibly removed from his
usual environment and plunged into a world where both
music and nature overflowed with exuberant vitality. Against
this background – in daily contact with Claudel (who at that
time was beginning work on L’Homme et son désir, a plastic
poem using several different artistic media of expression),
and under the influence of his creative stimulus – Milhaud
underwent an exceptional human and aesthetic experience.
The success of his Second Sonata for violin and piano, the
Fourth String Quartet and the Sonata for flute, oboe, clarinet
and piano bears witness to this fertile period of his life.
Once back in Paris Milhaud met up with his old friends
in the post-war euphoria. On 5 April 1919 a concert featured
works by Poulenc, Honegger, Milhaud, Auric, Durey and
Tailleferre. In January 1920, the critic Henri Collet pub-
lished an article for the magazine Comœdia which
inaugurated the term “Les Six”, echoing the Russian “Big
Five”, namely six French composers united under the wing of
Érik Satie and further inspired by the author of Le Coq et
l’Arlequin, Jean Cocteau. The première at the Comédie des
Champs-Élysées of the ballet Le Bœuf sur le toit, with a sce-
nario by Cocteau and scenery by Raoul Dufy, was one of
Milhaud’s first major successes, compared with the paradox-
ical scandal of the first performance of the Seconde Suite
symphonique d’après “Protée” conducted by Gabriel Pierné
for the Concerts Colonne on 24 October 1920, even though
this was one of Milhaud’s most important works.
In 1920 he wrote and dedicated to Schoenberg his Fifth
String Quartet, in which he explored the idea of polytonal
counterpoint. He started work on his famous piano album
Saudades do Brazil while in Copenhagen on a visit to
Claudel, who had been sent in delegation to Denmark.
On 16 January 1922 Darius Milhaud conducted the first
Paris performance of Pierrot lunaire by Arnold Schoenberg,
with the singer Marya Freund for the Wiener concerts. Later
that year he travelled to Vienna and then Poland with
Poulenc and Marya Freund, and met not only Schoenberg
but also his circle of friends including Alban Berg, Anton
Webern and Egon Wellesz as well as Hugo von
Hofmannsthal. At Alma Mahler-Werfel’s suggestion, during
the same private concert Milhaud and Schoenberg both
gave their own interpretation of Pierrot lunaire, the first in
French with Marya Freund, and the second in German with
Erika Wagner. A few days afterwards, at Schoenberg’s
request, Milhaud and Poulenc performed the Seconde suite
symphonique d’après “Protée”.
At the beginning of 1923 Milhaud undertook his first tour
of the USA, making his first official début as a conductor with
the Philadelphia Orchestra.
First of all in 1919 in New York, then again in London
during the performances there of his ballet Le Bœuf sur le toit,
Milhaud had come into contact with jazz for the first time.
Now in the local theatres and dance halls of Harlem he met
the real thing and, thus imbued with black American music,
he produced one of his most famous compositions, La Création
du monde, a ballet to a scenario by Blaise Cendrars, which
was premièred by the Ballets Suédois in 1923.
In 1925 Milhaud married his cousin Madeleine, and their
honeymoon took them through several eastern Mediterranean
countries. The following year, together with Jean Wiener, he
visited the newly created Soviet Union before touring the USA
for a second time. During the years 1927–30 Milhaud’s music
became more widely known in Germany under the influence
of Paul Hindemith, and the high point of this period came in
1930 when his opera Christophe Colomb, written in collabo-
ration with Claudel, was given a first performance in Berlin
under the baton of Erich Kleiber.
During the 1930s, Milhaud provided numerous function-
al musical pieces both for the theatre and the cinema, which
often resulted in highly popular works such as the Suite
provençale or Scaramouche. At the same time he continued to
write refined, sophisticated concert pieces such as his First
Piano Concerto, the Concertino de Printemps for violin and
chamber orchestra or the First Cello Concerto.
After the outbreak of the Second World War, Milhaud was
obliged to leave Europe with his family, and while he was still
on the ship crossing the Atlantic, composing his Tenth String
Quartet, he received a telegram offering him a chair in
composition at Mills College in Oakland, California. He was
12
BIOGRAPHY
(continuation)
13
welcomed at the quayside on 15 July 1940 by his friends Kurt
Weill and his wife Lotte Lenya. While thus in exile, he composed,
in 1943, his opera Bolivar with a libretto by his wife Madeleine
Milhaud after Supervielle, making the third part of his South
American trilogy, as well as three other String Quartets, the
eleventh, twelfth and thirteenth, and the Service Sacré, a large
sacred work for the Saturday morning Jewish service.
While he was convalescing in a San Francisco hospital in
1946, Milhaud began work on his autobiography, today
known under its definitive title Ma Vie heureuse.
On 25 August 1947, Milhaud boards for France; on the
ship on the way back he had composed his Fourth Symphony
in commemoration of the hundredth anniversary of the 1848
revolution in France.
He was appointed composition professor at the Paris
Conservatoire, and from then on divided his life between
France and the USA, one year in Paris followed by a year in
Mills, with summer schools at Aspen, Colorado.
In 1952 he visited the recently created state of Israel.
Up until 1962 Milhaud wrote some sixty works,
including Le Château du feu, La Tragédie humaine, the
Second Concerto for two pianos and percussion, A
Frenchman in New York and Invocation à l’ange Raphaël.
He was made a Commandeur des Arts et des Lettres in
1957. Although in 1962 he reached retirement age and
could no longer teach at the Paris Conservatoire, the
authorities at Mills College invited him to continue teaching
there as long as he wished. At the age of seventy, he found
himself celebrated in Munich, Berlin, Brussels, Paris, New
York and San Francisco.
April 1963 saw the first production of his Orestie at the
Berlin opera. Later that same year he wrote Meurtre d’un
grand chef d’état in memory of John Fitzgerald Kennedy, as
well as his Ode pour les morts des guerres, commissioned for
the state by André Malraux. On 20 December 1963 the new
Maison de l’O.R.T.F. (French radio) was inaugurated with
the première of his choral symphony Pacem in Terris con-
ducted by Charles Münch.
On 12 June 1965, Milhaud, together with Sibelius,
Malipiero and Stravinsky, featured in the programme of an
ecumenical concert given in Rome before Pope Paul VI. Just
one month later, on 12 July, Milhaud was dubbed a Grand
Officier de la Légion d’Honneur.
His later years were dominated by a series of orchestral
works that he entitled “Musique pour…(Prague, Indiana,
Lisbon, New Orleans, San Francisco” and so on), correspon-
ding to the geographical situation of the commissions.
In 1966 he wrote Hommage à Comenius, a cantata for
soprano, baritone and orchestra in response to a commission
for the twentieth anniversary of UNESCO, working to pro-
mote universal education, indispensable today for the further
progress of man.
In 1968 Milhaud was a guest composer for the festival of
the Gulbenkian Foundation, and his Symphonie pour
l’Univers claudélien was premièred at the festival of Aix-en-
Provence by the Orchestre de Paris directed by Pierre
Dervaux. The following year, the Minister of Arts commis-
sioned a work for the seven-hundredth anniversary of the
French king St Louis, resulting in Saint-Louis, Roi de France
which received a first concert performance in Rome in 1972
before a stage production was given by the Rio de Janeiro
Opera. In February 1971 Milhaud went to Mills College for
the last time.
During that year he settled in Geneva and was awarded
the Grand Prix National de la Musique. For his eightieth
birthday he conducted Les Choéphores at the Academia
Santa Caecilia in Rome, while Nice Opera produced three of
his works, including the first world performance of his ballet
Vendanges. He was made a member of the Académie Royale
des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts in Brussels as well
as the Institut de France, taking the seat left vacant by
Marcel Dupré.
For his last two large-scale works, the orchestral piece
Ode pour Jérusalem premièred by the Israel Philharmonic
Orchestra directed by Daniel Barenboim, and the cantata
Ani Maamin which he wrote together with Elie Wiesel,
Milhaud turned for inspiration to the history of Israel and the
victims of the Holocaust.
Darius Milhaud died on 22 June 1974.
translated by Mary Criswick
14
BIOGRAPHY
(continuation)
15
Darius Milhaud ist am 4. September 1892 in Marseille
geboren. Seine Kindheit und Jugend verbringt er in Aix-en-
Provence in einer sehr musikliebenden Familie. Seine
musikalische Ausbildung beginnt mit Geigenunterricht, und
schon sehr bald wendet er sich der Kammermusik zu und spielt
in einem Streichquartett. Im Jahre 1905 entdeckt er das
Streichquartett von Debussy und nimmt Unterricht in Harmo-
nielehre. Kurz nach der Uraufführung von Pelléas et Mélisande
besorgt er sich die Partitur der Oper, die zusammen mit
Mussorgskys Boris Godunow einer der Leitfäden seines musi-
kalischen Werdegangs ist und bleibt.
Zwei Freunde, der Dichter Léo Latil und der Philosoph
Armand Lunel, mit denen er zu dieser Zeit am Gymnasium von
Aix zusammengetroffen ist, nehmen einen herausragenden
Platz in seinem Leben ein und wecken seinen literarischen und
intellektuellen Wissensdurst.
Nach dem Schulabschluss im Jahre 1909 siedelt er von Aix
nach Paris um und setzt dort sein Studium am Conservatoire
National Supérieur de Musique fort. Seine Lehrer sind
Berthelier (Violine), Paul Dukas (Orchester), Xavier Leroux
(Harmonielehre) und Charles-Marie Widor (Fuge). Henri
Rabaud empfiehlt ihn weiter an André Gédalge, bei dem er
Unterricht in Kontrapunkt und Komposition nimmt. Gédalge
übt auf Milhauds Vorstellung von der Melodie als der aus-
schlaggebenden Dimension des Musikalischen einen
entscheidenden Einfluss aus. In seiner Klasse befreundet er
sich mit Arthur Honegger, Jean Wiener und Jacques Ibert.
In Paris taucht er mit einem Mal in ein reich sprudelndes
Musik- und Kunstleben ein. Er wohnt zahlreichen Urauf-
führungen bei und erlebt die Ballets Russes, die dem Pariser
Publikum die Musik Strawinskys nahebringen.
Bereits 1910 beginnt er mit der Komposition seiner ersten
Oper, La Brebis égarée, nach einem Schauspiel von Francis
Jammes. Nach der Vollendung des ersten Akts unternimmt er im
August 1912 mit seinem Freund Léo Latil eine Spanienreise in
der zweifachen Absicht, die Stadt Burgos, den Ort der Hand-
lung des zweiten Akts, kennenzulernen und auf der Rückreise
in Orthez Francis Jammes zu besuchen. Bei dieser Gelegenheit
spielt er Francis Jammes den fertigen ersten Akt vor sowie
einen Band Mélodies, die er gerade erst komponiert hat, Sept
Poèmes de la connaissance de l’Est auf Texte von Paul Claudel.
Im Oktober 1912 macht Jammes Milhaud mit Claudel
bekannt. Die Zusammenarbeit der beiden beginnt mit der
Orestie von Aischylos, die Claudel soeben übersetzt hat, und
dem satyrischen Drama Protée, für das Milhaud drei Aus-
führungen der Bühnenmusik schreibt.
BIOGRAPHIE
Im Jahre 1914 empfängt Milhaud in Aix Charles Koechlin,
mit dem zusammen er die gerade veröffentlichte Partitur von
Strawinskys Sacre du Printemps analysiert. Die beiden Kompo-
nisten entdecken in diesem Werk Akkord-Konstruktionen, die
auf Polytonalität hindeuten.
Zu Beginn des Krieges wird Milhaud aus Gesundheitsgründen
untauglich geschrieben. Er nimmt sich im Foyer Franco-Belge der
Flüchtlinge an und arbeitet später im Pressehaus des Auswärtigen
Amtes. Dort befreundet er sich mit Paul Morand, Alexis Léger
(Saint-John Perse) und Henri Hoppenot. Während dieser Zeit
komponiert er sein Zweites Streichquartett und sein Drittes
Quartett mit Sopran, eine Hommage an seinen Freund Léo Latil,
der kurz zuvor gefallen ist.
Als Claudel im Jahre 1916 als Botschafter von Frankreich
nach Rio de Janeiro geht, veranlasst er Milhaud, ihn als Bot-
schaftssekretär dorthin zu begleiten. Der Aufenthalt in
Brasilien ist für den Komponisten fast mit einem Neubeginn
gleichzusetzen, der aus seiner gewohnten Umgebung in eine
Welt versetzt wird, in der die Natur von grösster Üppigkeit
und die Musik von überschäumender Vitalität ist. Darüber
hinaus wirkt der alltägliche Umgang mit dem Dichter höchst
stimulierend auf den Komponisten. Claudel arbeitet zu dieser
Zeit an einem « plastischen » Gedicht, L’Homme et son désir,
in dem verschiedenartige künstlerische Ausdrucksformen sich
mit einander verbinden. Es ist dies für Milhaud eine ausseror-
dentlich bedeutungsvolle menschliche und ästhetische
Erfahrung. Die Zweite Sonate für Violine und Klavier, das
Vierte Streichquartett und die Sonate für Flöte, Oboe,
Klarinette und Klavier legen ein beredtes Zeugnis ab von
dieser fruchtbaren Schaffensperiode.
Als Milhaud heimkehrt und seine Freunde wiedertrifft,
schwelgt Paris in der Hochstimmung des Kriegsendes. Am
5. April 1919 findet ein Konzert statt, das auf demselben Pro-
gramm die Namen Poulenc, Honegger, Milhaud, Auric, Durey
und Tailleferre vereint. Im Januar 1920, der Kritiker Henri
Collet in einem Aufsatz in der Zeitschrift Comoedia mit
Hinblick auf die russische « Fünfergruppe » von einer franzö-
sischen « Groupe des Six » spricht, die unter der
Schirmherrschaft von Erik Satie steht und von dem Autor von
Le Coq et l’Arlequin, Jean Cocteau, angeführt wird. Die Urauf-
führung des Balletts Le Bœuf sur le toit auf ein Argument von
Jean Cocteau und mit dem Bühnenbild von Raoul Dufy - an
der Comédie des Champs-Elysées - ist einer der ersten grossen
Erfolge von Darius Milhaud. Kurz darauf, am 24. Oktober
1924, folgt paradoxerweise der Skandal um die Erstauf-
führung der Seconde Suite symphonique d’après « Protée »
16
BIOGRAPHIE
(Forts.)
17
durch die Colonne-Konzertgesellschaft unter der Leitung von
Gabriel Pierné… und dabei handelt es sich hier doch um eines
der bedeutendsten Werke des Komponisten.
Im Jahre 1920 schreibt Milhaud sein Schönberg gewidme-
tes Fünftes Streichquartett, in dem er die Idee der Polytonalität
unter ihrem kontrapunktischen Aspekt beleuchtet. In
Kopenhagen, wo er Claudel besucht, der jetzt dort in diploma-
tische Mission ist, beginnt er mit der Komposition seines
berühmten Klavierzyklus’ Saudades do Brazil.
Am 16. Januar 1922 dirigiert Milhaud bei den « Concerts
Wiener » mit der Sängerin Marya Freund die erste Pariser Auf-
führung des Pierrot Lunaire von Arnold Schönberg. In
demselben Jahr reist er zusammen mit Poulenc und Marya
Freund nach Wien und nach Polen. Bei dieser Gelegenheit trifft
er mit Schönberg und seinem Kreis zusammen, Alban Berg,
Anton Webern, Egon Wellesz, sowie mit Hugo von
Hofmannsthal. Einer Anregung von Alma Mahler-Werfel fol-
gend, geben Milhaud und Schönberg bei einem Privatkonzert
ihre jeweilige eigene Interpretation des Pierrot Lunaire, erste-
rer auf französisch mit Marya Freund, letzterer auf deutsch mit
Erika Wagner. Wenige Tage darauf tragen Milhaud und
Poulenc Schönberg auf dessen Bitte Milhauds Seconde Suite
symphonique d’après « Protée » vor.
Anfangs 1923 tritt Milhaud seine erste Nord-amerika-
Tournee an und debütiert offiziell als Dirigent mit dem
Philadelphia Orchestra.
Bereits 1919 in New York und später in London, als dort
sein Ballett Le Bœuf sur le toit gegeben wird, ist Milhaud mit
dem Jazz in Berührung gekommen. Jetzt, wo er die Theater
und die Tanzdielen von Harlem besucht, wird ihm die
Ursprünglichkeit dieser Musik bewusst. Dieser starken Beein-
druckung durch die Musik der amerikanischen Schwarzen
verdanken wir eine seiner berühmtesten Kompositionen, das
Ballett La Création du monde auf ein Argument von Blaise
Cendrars, das 1923 von dem Schwedischen Ballett uraufge-
führt wird.
1925 heiratet Milhaud seine Kusine Madeleine, mit der
auf der Hochzeitsreise mehrere Länder des östlichen Mittel-
meers besucht. Ein Jahr darauf bereist er mit Jean Wiener die
noch junge UdSSR, und darauf folgt seine zweite Tournee in
den Vereinigten Staaten. In den Jahren 1927-1930 findet
seine Musik weitgehend Aufnahme in Deutschland, vornehm-
lich durch die Vermittlung von Paul Hindemith. Ihren
Höhepunkt erreicht diese Entwicklung im Jahre 1930 mit der
Berliner Uraufführung seiner in Zusammenarbeit mit Paul
Claudel geschriebenen Oper Christophe Colomb unter der
Leitung von Erich Kleiber.
Während der dreissiger Jahre schreibt Milhaud zahlreiche
Werke « funktioneller » Musik für das Theater und den Film,
aus denen er oftmals so volkstümlich gewordene Stücke macht
wie die Suite provençale oder Scaramouche. Daneben kompo-
niert er weiterhin bezaubernde, fein ziselierte Werke wie das
Erste Klavierkonzert, das Concertino de Printemps für Violine
und Kammerorchester oder das Erste Violoncellokonzert.
Der Zweite Weltkrieg zwingt Milhaud, mit seiner Familie
Europa zu verlassen. Auf dem Schiff - er schriebt gerade an sei-
nem Zehnten Streichquartett - erhält er ein Telegramm, mit dem
ihm das Mills College einen Lehrstuhl für Komposition anbietet.
Am 15. Juli 1940 empfangen ihn am Kai seine Freunde, Kurt
Weill und Lotte Lenya. Während seines Exils komponiert er
1943 seine Oper Bolivar auf ein Libretto von Madeleine
Milhaud nach Supervielle, den letzten Teil seiner südamerika-
nischen Trilogie, sowie drei weitere Streichquartette, das Elfte,
Zwölfte und Dreizehnte, und Service Sacré, ein bedeutendes
Werk geistlicher Musik nach dem wöchentlichen jüdischen
Gottesdienst.
Als Milhaud sich 1946 zur Nachbehandlung in San
Francisco in einem Krankenhaus aufhält, beginnt er mit der
Niederschrift seiner Autobiographie, die heute in ihrer endgül-
tigen Fassung unter dem Titel Ma vie heureuse (Mein
glückliches Leben) bekannt ist.
Am 25. August 1947 schifft Darius Milhaud sich nach
Frankreich ein. Während der Schiffsreise komponiert er seine
Vierte Symphonie zur Hundertjahrfeier der 1848er Revolution.
Er erhält eine Professur für Komposition am Pariser
Conservatoire National Supérieur de Musique. Von nun an teilt
er seine Zeit zwischen Frankreich und den Vereinigten Staa-
ten : ein Jahr Paris, ein Jahr Mills, sowie Sommerkurse in
Aspen, Colorado.
Im Jahre 1952 besucht er den jungen Staat Israel.
Bis 1962 komponiert Milhaud rund sechzig Werke, darun-
ter Le Château du feu, La Tragédie humaine, das Konzert Nr.2
für zwei Klaviere und Schlagzeug, A Frenchman in New York,
l’Invocation à l’ange Raphaël. 1957 wird er zum « Comman-
deur des Arts et des Lettres » ernannt. 1962 hat er für die
Lehrtätigkeit am Conservatoire die Altergrenze erreicht ; das
Mills College indessen stellt es ihm anheim, so lange weiter zu
unterrichten, wie es ihm beliebt.
Zu seinem 70sten Geburtstag wird Milhaud in Berlin,
Brüssel, München, New York, Paris und San Francisco geehrt.
Im April 1963 wird L’Orestie zum ersten Mal an der
Berliner Oper aufgeführt. In demselben Jahr würdigt Milhaud
mit Meurtre d’un grand chef d’état den ermordeten Präsiden-
ten John Fitzgerald Kennedy und verfasst eine Ode pour les
18
BIOGRAPHIE
(Forts.)
19
morts des guerres (Ode an die Opfer der Kriege), eine von
André Malraux erteilte staatliche Auftragsarbeit. Zur Einwei-
hung des Pariser Rundfunkhauses am 20. Dezember 1963
findet unter der Leitung von Charles Münch die Uraufführung
der Chorsymphonie Pacem in Terris statt. Am 12. Juni 1965
steht der Name Milhaud neben Sibelius, Malipiero und
Strawinsky in Rom auf dem Programm eines ökumenischen
Konzerts in Anwesenheit von Papst Paul VI. Milhaud wird am
12. Juli zum Grand Officier der Ehrenlegion ernannt.
Seine letzten Jahre stehen im Zeichen einer Reihe von
Orchesterwerken mit dem Titel « Musik für…(Indiana,
Lissabon, New Orleans, Prag, San Francisco …), je nach der
Herkunft der Auftraggeber. Im Jahre 1966 entsteht die Kan-
tate für Sopran, Bariton und Orchester Hommage à Comenius,
eine Auftragsarbeit für das 25. Jubiläum der UNESCO. Das
Werk stellt die für die Entfaltung des Menschen unerlässliche
weltweite Erziehung in den Vordergrund.
1968 wird Milhaud als Gastkomponist zu den Festspielen
der Gulbenkian-Stiftung geladen. Seine Symphonie pour
l’Univers claudélien wird von Pierre Dervaux mit dem Orchestre
de Paris beim Festival d’Aix-en-Provence uraufgeführt. Im
darauf folgenden Jahr erteilt ihm das französische Kulturmi-
nisterium einen Auftrag zur Siebenhundertjahrfeier des Hl.
Königs Ludwig. So entsteht die Oper bzw. das Oratorium
Saint Louis, Roi de France. Seine erste Konzertaufführung
erlebt das Werk 1972 in Rom, die Bühnen-Uraufführung in Rio
de Janeiro. Im Februar 1971 begibt sich er sich zum letzten
Mal ans Mills College.
Ab 1971 lebt Milhaud in Genf. Er erhält den « Grand Prix
National de la Musique ». Gelegentlich seines achtzigsten
Geburtstags dirigiert er an der Academia Santa Caecilia zu Rom
Les Choéphores, und die Oper von Nizza gibt drei seiner Werke,
darunter die Uraufführung seines Balletts Vendanges. Er wird
in die « Académie Royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-
Arts » von Brüssel aufgenommen, sowie in der Nachfolge von
Marcel Dupré im « Institut National de France ».
Mit seinen beiden letzten grösseren Kompositionen, dem
Orchesterstück Ode pour Jérusalem, das vom Israel Philhar-
monic Orchestra unter der Leitung von Daniel Barenboim
uraufgeführt wird, und der in Zusammenarbeit mit Elie Wiesel
geschriebenen Kantate Ani Maamin wendet sich Milhaud
erneut der Geschichte Israels zu und würdigt dabei die Opfer
des Holocausts.
Darius Milhaud stirbt am 22. Juni 1974.
Ce catalogue comporte des œuvres qui sont mises à disposition en location et des œuvres disponibles à la vente.
Les ouvrages dont l’effectif instrumental est important sont fournis en location et se trouvent en début du catalogue. Les partitions
et matériels d’orchestre en location peuvent être obtenus auprès des représentants de l’éditeur. Les œuvres comportant six
instruments et moins sont en vente.
Les œuvres avec numéros de cotages peuvent être achetées dans les magasins de musique. Sauf mention spéciale (réduction pour
piano, etc. ), le premier numéro de cotage est toujours le numéro de la partition et le numéro qui suit indique celui des parties
séparées.
Dans chaque catégorie d’œuvres, le classement est chronologique.
This catalogue contains works for which the performance material is available on rental as well as works available for sale.
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and are found at the beginning of the catalogue. Scores and rental materials can be obtained from the publishers’ representatives.
Works with an edition number can be purchased in music stores. Except special mention (piano reduction and so on), the first
edition number refers to the score and the following number indicates the reference for the parts.
In each category of works, classification is chronological.
Die in diesem Katalog aufgeführten Werke stehen zum Verkauf bzw. zum Verleih zur Verfügung.
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sind im Verleih bei den Vertretungen des Verlags zu beziehen. Die Werke für sechs und weniger Instrumente sind käuflich zu erwerben.
Die Werke mit Bestellnummer sind im Fachhandel erhältlich.
Wenn nicht anders vermerkt (z.B. Klavierauszug usw.) bedeutet die erste Ziffer die Nummer der Partitur und die darauf folgende
die der jeweiligen Stimme.
Innerhalb der verschiedenen Gattungen sind die Werke in chronologischer Reihenfolge aufgeführt.
20
21
CATALOGUE
DES ŒUVRES
PUBLIÉES PAR
DURAND
ESCHIG
RICORDI
SALABERT
CATALOGUE
OF WORKS
PUBLISHED
BY DURAND
ESCHIG
RICORDI
SALABERT
■
OPÉRAS
La Brebis égarée, op. 4 (1910-1914)
roman musical en trois actes & vingt tableaux
livret de Francis Jammes
3.3.3.3 - 4.3.3.1 - timb, 1perc, hp - cordes
durée : soirée complète
dédicace : Léo Latil
12.1923, Paris, Opéra-Comique, dir. Albert Wolff
Eschig ME 1004 (réduction chant piano)
L’Opéra du Gueux, op. 171 (1728 orch. Milhaud 1937)
opéra-ballade en trois actes, un prologue et six tableaux
livret de Henri Fluchère
1.1.1.1 - sax - 0.1.1.0 - perc, hp - cordes
durée : soirée complète
1937, Marseille Théâtre Rideau Gris
Salabert (Deiss)
Bolivar, op. 236 (1943)
opéra en trois actes & dix tableaux
livret de Madeleine Milhaud d’après Jules Supervielle
3.2.2.2 - 4.3.3.1 - timb, perc, xylo, cel, hp - cordes ;
orchestre sur scène 1.0.2.0 - 0.2.1.1 - guitare, trp (en
coulisse)
durée : soirée complète
dédicace : Swanee
12.05.1950, Paris, Opéra, dir. André Cluytens
Salabert
La Mère coupable, op. 412 (1964-1965)
opéra en trois actes
livret de Madeleine Milhaud d’après Beaumarchais
2.2.3.3 - 2.2.2.1 - timb, perc, hp - cordes
durée : 105’
13.06.1965, Genève, Grand Théâtre, dir. Serge Baudo
Ricordi - 130868/03 (réduction chant et piano)
KATALOG
DER BEI
DURAND
ESCHIG
RICORDI
SALABERT
Page de gauche :
© photo X. Tous droits réservés pour
tous pays.
Saint Louis, Roi de France, op. 434 (1970)
opéra-oratorio en deux parties
livret de Paul Claudel & Henri Doublier
orchestre dans la fosse 1.1.2.1 - 2.2.2.1 - timb, 3perc -
cordes
orchestre sur scène 1.1.1.0 - 1.0.1.1 - perc, hp -
cordes (1.1.1.1.1)
durée : 90’
Commande d’État
18.03.1972, Rome, R.A.I., dir. La Rosa Parodi (en
concert)
14.04.1972, Théâtre de Rio de Janeiro, dir. Jacques
Pernoo (à la scène)
Eschig
■
BALLETS
Le Bœuf sur le toit, op. 58 (1919)
ballet
argument de Jean Cocteau
orchestre
2.1.2.1 - 2.2.1.0 - 2perc - cordes
durée : 19’
dédicace : Jean Cocteau
21.02.1920, Paris, Comédie des Champs-Élysées,
dir. Vladimir Golschmann
Eschig (La Sirène musicale) ME 6562 / ME 8255 (réduction piano 4 mains)
Les Mariés de la Tour Eiffel, op. 70 (1921)
musique de scène avec ballet
argument de Jean Cocteau
Marche nuptiale
orchestre
3.3.3.3 - 4.3.3.1 - timb, 2perc - cordes
durée : 3’
06.1921, Paris, Ballets Suédois,
dir. Désiré-Émile Inghelbrecht
Salabert
22
23
Les Mariés de la Tour Eiffel, op. 70b (1921)
musique de scène avec ballet
argument de Jean Cocteau
Fugue du massacre
orchestre
2.2.2.2 - 4.3.3.1 - timb, 2perc - cordes
durée : 2’
06.1921, Paris, Ballets Suédois,
dir. Désiré-Émile Inghelbrecht
Salabert
La Création du monde, op. 81 (1923)
ballet
argument de Blaise Cendrars
orchestre
2.1.2.1 - saxA - 1.2.1.0 - timb, 1perc, pno -
cordes (2.0.0.1.1)
durée : 15’
dédicaces : Paul Collaer & Roger Désormière
10.1923, Paris, Ballets Suédois,
dir. Vladimir Golschmann
Eschig - ME 2402 / ME 1153 (réduction piano 4 mains)
Les Songes, op. 124 (1933)
ballet
argument de André Derain
orchestre
1.1.1.1 - 1.1.1.0 - timb, perc, pno - cordes
durée : 30’
dédicace : M. D. M.
7.06.1933, Paris, Théâtre des Champs-Élysées,
dir. Maurice Abravanel
Salabert - EAS 17557 (réduction piano)
24
Suite provençale, op. 152d (1936)
orchestre
Voir Musique symphonique page 32
version ballet op. 152d 1.02.1938, Paris
Opéra-Comique, dir. Roger Désormière
Salabert (Deiss) RD 7533
Jeux de printemps, op. 243 (1944)
Voir Musique symphonique page 32
Jeux de printemps, op. 243b (1944)
Voir Musique symphonique page 32
Les Cloches (The Bells), op. 259 (1946)
suite symphonique d’après Edgar Poe
orchestre
2.1.2.1 - 2.2.1.0 - timb, 1perc, pno - cordes
durée : 27’
dédicace : M.D.M.
Commande de Ruth Page
26.04.1946, Chicago, University of Chicago, Ballet de
Chicago, dir. Nicolaï Malkó — chorégraphie : Ruth Page
Eschig ME 7345
Vendanges, op. 317 (1952)
ballet
argument de Philippe de Rotschild
orchestre
2.2.2.2 - 2.3.3.1 - timb, 1perc, hp - cordes
durée : 50’
1970, Nice, Opéra
Eschig
La Rose des vents, op. 367 (1957)
ballet
argument Albert Vidalie, Roland Petit
orchestre
2.1.2.1 - 2.2.2.1 - perc, hp, pno - cordes
durée : 22’
Commande Roland Petit
13.02.1958, Paris, Ballets Roland-Petit,
dir. Marius Constant
Salabert
25
■
MUSIQUES DE SCÈNE
Protée, op. 17 (1913-1919)
musique de scène 1
re
version
texte de Paul Claudel
chœur mixte et orchestre
3.3.3.4 - 4.3.3.1 - timb, 3perc, cel, hp, pno - cordes
durée : 30’
06.1929, Groningen, Théâtre, Orchestre de l’Université
de Groningen
Durand
Protée, op. 17 (1913-1919)
musique de scène 1
re
version
texte de Paul Claudel
chœur mixte et petit orchestre
1.2.0.0 - 4.2.2.0 - 2perc - cordes (1.1.1.1.0)
durée : 30’
Durand
L’Annonce faite à Marie, op. 117 (1932)
musique de scène
texte de Paul Claudel
quatuor vocal et ensemble instrumental
2.0.1.0 - 2 sax - timb, vibra, perc, 2 ondes Martenot,
org, pno 4 mains - cordes
durée : 19’
dédicace : M. D. M.
21.01.1934, Bruxelles, Palais des Beaux-Arts,
dir. A. Prévost
Salabert
Protée, op. 341 (1955)
musique de scène 2
e
version
texte de Paul Claudel
quatre voix moyennes, flûte, basson, violon, violoncelle
1965, Paris, Comédie des Champs-Élysées,
dir. Jacques Bondon
Durand
26
■
MUSIQUE VOCALE AVEC ORCHESTRE
• Chœur avec orchestre
Service sacré, op. 279 (1947)
liturgie hébraïque en quatre parties
baryton, récitant, chœur mixte, orchestre
2.2.2.2 - 2.2.2.0 - timb, perc, hp - cordes
durée : 60’
Commande de Mrs Heller dédiée à Mrs. Heller
18.05.1949, San Francisco, Temple Emanu-El, R.
Rinder, cantor E. Jones, baryton University California
Chorus (Berkeley), San Francisco Symphony Orchestra,
dir. Darius Milhaud
Salabert - EAS 15270A (réduction chant et piano)
Le Château du feu, op. 338 (1954)
cantate
texte de Jean Cassou
chœur mixte et orchestre
3.3.3.3 - 0.2.2.0 - timb, 2perc - cordes (sans violons)
durée : 13’
dédicaces : dédié à la mémoire de mon neveu Jean
Milhaud, d’Eric et d’Hélène Allatini déportés pendant la
guerre 1939-1945 et assassinés par les allemands. Écrits
à la mémoire du Réseau du Souvenir
30.11.1955, Paris, Palais de Chaillot, Chorale Yvonne
Gouverné, Orchestre Colonne, dir. Darius Milhaud
Eschig ME 6805 (réduction chœur et piano)
La Tragédie humaine, op. 369 (1958)
texte d’Agrippa d’Aubigné
chœur mixte et orchestre
2.2.3.3 - 2.3.3.1 - timb, perc - cordes
durée : 28’
Commande d’État
1958, Bruxelles, Exposition, Chœur et Orchestre du
Théâtre National de l’Opéra de Paris,
dir. Louis Fourestier
Salabert - EAS 16434 (réduction chœur et piano)
27
Invocation à l’ange Raphaël, op. 395 (1962)
cantate en quatre parties
texte de Paul Claudel
chœur de femmes et orchestre
2.2.3.3 - 2.2.2.0 - timb, 1perc - cordes
durée : 14’
Commande de l’O.R.T.F. pour la maîtrise
31.05.1962, Paris, Chœur de la Maîtrise, Orchestre
Philharmonique de la R.T.F., dir. Pierre Dervaux
Eschig ME 7361 (réduction chœur et piano)
Caroles, op. 402 (1963)
texte de Charles d’Orléans
chœur mixte et quatre groupes de solistes
I. pic, fl, htb, cor ang, cl, trp, vl - II. timb, perc - III.
tuba, clB, cbn, hp - IV. chœur mixte - V. trb, cor, bn,
clB, vlc
durée : 12’
Commande d’État
3.06.1964, Paris, Radiodiffusion Française,
dir. Marius Constant
Eschig
Pacem in terris, op. 404 (1963)
symphonie chorale
texte de Jean XXIII. Encyclique du 11 avril 1963
contralto, baryton, chœur mixte, orchestre
2.2.3.3 - 2.2.3.1 - timb, perc - cordes
durée : 46’
Commande de l’O.R.T.F. pour l’inauguration de
l’Auditorium de l’O.R.T.F.
20.12.1963, Paris, Auditorium O.R.T.F., J. Peters,
contralto, Louis Quilico, baryton, Chœurs de l’O.R.T.F.,
Orchestre Philharmonique de l’O.R.T.F.,
dir. Charles Münch
Salabert
28
Ani Maamin, un chant perdu et retrouvé,
op. 441 (1972)
cantate
texte d’Elie Wiesel
soprano, quatre récitants, chœur mixte, orchestre
2.2.2.2 - 0.2.3.1 - timb, 1perc, hp - cordes
durée : 70’
Commande de l’Union for American Jewish Congregation
11.11.1973, New York, Carnegie Hall, Roberta Peters,
soprano, Elie Wiesel, David Opatoshu, Philip Sterling,
Joseph Wiseman, récitants, The New York University
Choral Arts Society, Brooklyn Philharmonia,
dir. Lukas Foss
Eschig ME 8074 (réduction chant piano)
• Voix soliste(s) et orchestre
Trois Chansons de négresse, op. 148b (1935-1936)
texte de Jules Supervielle
voix et orchestre (VM)
1.0.1.0 - sax - 0.2.1.1 - perc, hp - cordes
durée : 6’
n° 1 Mon histoire - n° 2 Abandonnée - n° 3 Sans feu ni
lieu
dédicace : M. D. M.
Salabert - EAS 15040 (voix et piano)
Cinq Chansons de Charles Vildrac, op. 167 (1937)
texte de Charles Vildrac
voix et orchestre (T)
1.1.2.1 - sax - 0.2.1.0. - perc, hp - cordes
durée : 12’
n° 1 Les Quatre petits lions - n° 2 La Pomme et
l’escargot - n° 3 Le Malpropre - n° 4 Poupette et
patata - n° 5 Le Jardinier impatient
dédicace : Pierre Bernac
Salabert (Deiss) - EAS 16431 (voix et piano)
29
Cantate nuptiale, op. 168 (1937)
texte de la Bible “Cantique des cantiques”
voix et orchestre (S)
2.2.2.2 - 2.2.2.0 - timb, 1perc, hp - cordes
durée : 10’
dédicace : À mes parents pour leurs noces d’or
3.08.1937, Radio Marseille, E. Fels, voix,
dir. Darius Milhaud
Salabert - EAS 15002 (réduction voix et piano)
Chansons de l’Opéra du Gueux ou
Chansons du Carnaval de Londres, op. 171 (1937)
d’après l’Opéra du Gueux de John Gay
textes de John Gay / Henri Fluchère
voix et orchestre
1.1.1.1. - sax - 0.1.1.0 - perc, hp - cordes
18.09.1964, Radio Marseille, dir. Darius Milhaud
Salabert - EAS 14864 (réduction voix et piano)
Hommage à Comenius, op. 421 (1966)
cantate
texte de Comenius
soprano, baryton, orchestre
2.2.2.2 - 2.2.2.1 - timb, 1perc, hp - cordes
durée : 16’
dédicace : Pour le vingtième anniversaire de
l’U.N.E.S.C.O.
Commande d’État
15.11.1966, Paris, O.R.T.F., dir. Manuel Rosenthal
Eschig M.E. 8916 (voix et piano, réduction Jeremy Drake)
• Voix soliste(s) et ensemble
Catalogue de fleurs, op. 60 (1920)
texte de Lucien Daudet
voix, flûte, clarinette, basson, violon, alto, violoncelle,
contrebasse (MzS)
durée : 6’
n° 1 La Violette - n° 2 Le Bégonia -
n° 3 Les Fritillaires - n° 4 Les Jacinthes - n° 5 Les
Crocus - n° 6 Le Brachycome - n° 7 L’Eremurus
dédicace : À la mémoire de Fauconnet
1932, Paris, M. Martine, voix dir. Roger Désormière
Durand - DF 10281 (réduction voix et piano)
30
L’Annonce faite à Marie, op. 117 (1932)
voir Musique de scène page 25
Adages, op. 120b (1932)
texte d’André Richaud
quatuor vocal et ensemble instrumental
1.0.1.1 - 1.0.0.0 - cordes (1.0.1.1.1)
durée : 14’
01.1934, Paris, Cité Universitaire, Pavillon Héllénique,
quatuor vocal Jane Bathori
Salabert (Deiss)
Pan et la Syrinx, op. 130 (1934)
cantate en six parties
texte de Paul Claudel
soprano, baryton, quatuor vocal, flûte, hautbois (ou cor
anglais), basson, saxophone alto, piano
durée : 15’
11.1934, Bruxelles, Concerts Pro Arte, dir. Franz André
Salabert (Deiss)
Les Amours de Ronsard, op. 132 (1934)
texte de Pierre de Ronsard
quatuor vocal et ensemble instrumental
1.0.1.1 - 1.0.0.0 - cordes (1.0.1.1.1)
durée : 11’
dédicace : À la mémoire de Claude Debussy
4.07.1935, Londres, His Majesty’s Theater
Salabert (Deiss) - RD 7534 (réduction voix et piano)
Cantate pour l’inauguration du Musée de
l’Homme (Cantate de l’Homme), op. 164 (1937)
texte de Robert Desnos
récitante, quatuor vocal et ensemble instrumental
1.0.1.1 - sax - perc, pno
durée : 20’
dédicaces : Vicomte et Vicomtesse Charles de Noailles
11.10.1937, Paris, Radio, dir. Manuel Rosenthal
Salabert - EAS 17739 (réduction voix et piano)
31
Suite de quatrains, op. 398 (1962)
suite en trois parties
texte de Francis Jammes
récitante, flûte, clarinette, saxophone alto, harpe, violon,
violoncelle, contrebasse
durée : 12’
06.1963, Mills, Festival, Madeleine Milhaud, récitante,
dir. Darius Milhaud
Salabert (Deiss) MC 162
Suite de sonnets, op. 401 (1963)
textes de Joachim du Bellay / Etienne Jodelle /
Olivier de Magny / Amadis Jamyn
soprano, haute-contre, ténor, basse, flûte, hautbois,
basson, trombone, clavecin
durée : 17’
dédicace : À la chère mémoire de Francis Poulenc
25.07.1963, Dieppe, Festival, Ensemble, Charles Ravier
Eschig ME 8807
■
ORCHESTRE
Suite symphonique n° 1, op. 12 (1913-1914)
d’après “La Brebis égarée”
orchestre
3.3.3.4 - 4.3.3.1 - timb, 1perc, hp - cordes
durée : 18’
dédicace : Léo Latil
26.05.1914, Paris, Concerts Schmitz,
dir. Robert Schmitz
Eschig - ME 1079 (réduction piano 4 mains)
Suite symphonique n° 2, op. 57 (1919)
d’après “Protée”
orchestre
3.3.3.4 - 4.3.3.1 - timb, perc, hp - cordes
durée : 20’
dédicace : À la mémoire d’Albéric Magnard
26.10.1920, Paris, Concerts Colonne, dir. Gabriel Pierné
Durand D. & F. 10504 / D & F 14627 (réduction piano
4 mains)
32
Saudades do Brazil, op. 67b (1920-1921)
suite de danses
orchestre
2.2.2.2 - 2.2.2.0 - timb, 2perc - cordes
durée : 22’
1921, Paris, spectacle Loïe Fuller,
dir. Vladimir Golschmann
Eschig ME 1089
Suite provençale, op. 152c (1936)
orchestre
2.3.2.2 - 4.3.3.1 - timb, 2perc - cordes
durée : 16’
dédicace : M.D.M.
12.09.1937, Venise, Festival Biennale,
dir. Darius Milhaud
Salabert RD 7533
Le Carnaval de Londres, op. 172 (1937)
suite sur les airs de “l’ Opéra du Gueux”
orchestre de chambre
1.1.1.1 - 0.1.1.0 - saxA - perc, hp - cordes
durée : 30’
1939, Paris, Concerts Revue Musicale,
dir. Manuel Rosenthal
Salabert RD 7241
Jeux de printemps, op. 243 (1944)
orchestre de chambre
1(pic).0.1.1 - 0.1.0.0 - cordes (1.1.1.1.1)
durée : 20’
dédicace : Mrs. Elisabeth Sprague Coolidge
20.10.1944, Washington, Library of Congress
Salabert
Jeux de printemps, op. 243b (1944)
ballet
orchestre
3.3.3.2 - 4.3.3.1 - timb, perc, hp - cordes
durée : 20’
dédicace : Mrs. Elisabeth Sprague Coolidge
11.12. 1945, Bruxelles, Radio, dir. Roger Désormière
Salabert
33
Symphonie n° 4 “1848”, op. 281 (1947)
orchestre
3(pic).3(cor ang).4(clpic, clB).3(cbn) - saxA, saxT -
4.4.4.2 - timb, 4perc - cordes
durée : 28’
dédicace : Roger Désormière
1948, Paris, Concert pour le Centenaire de la Révolution
de 1848, Orchestre National de la Radiodiffusion
Française, dir. Darius Milhaud
Salabert EAS 15019
Valse en forme de rondo (La Couronne de
Marguerite), op. 353 (1956)
extrait des “Variations sur le nom de Margurerite Long”
orchestre
2.2.2.2 - 2.2.2.0 - timb, perc, hp - cordes
dédicace : Marguerite Long
4.06.1956, Paris, Sorbonne, Orchestre National de la
Radiodiffusion Française, dir. Charles Münch
Salabert
Paris, op. 284b (1959)
suite symphonique
orchestre
2.2.2.2 - 4.3.3.1 - timb, 3perc, hp - cordes
durée : 9’55
10.05.1960, Bruxelles I.N.R.
Eschig ME 7378
Concert de chambre, op. 389 (1961)
onze instruments
1.1.1.1 - 1.0.0.0 - pno - cordes (1.1.1.1.1)
durée : 14’
dédicace : Mario di Bonaventura
16.11.1962, Dartmouth, New Hampshire, Dartmouth
College, dir. Mario di Bonaventura
Eschig ME 8804
A Frenchman in New York, op. 399 (1962)
suite symphonique
orchestre
3.3.3.3 - 4.3.3.1 - timb, 3perc, hp - cordes
durée : 21’
Commande R.C.A. Victor
1963, Boston Pop’s, dir. Arthur Fiedler
Salabert
34
Meurtre d’un grand chef d’état (Murder of
a Great Chief of State), op. 405 (1963)
orchestre
2.2.2.2 - 4.3.3.1 - timb - cordes
durée : 3’
dédicace : À la mémoire de John F. Kennedy
3.12.1963, Oakland Symphony Orchestra,
dir. Gerhardt Samuel
Eschig ME 7503
Ode pour les Morts des guerres, op. 406 (1963)
orchestre
3.3.3.3 - 4.3.3.1 - timb, perc - cordes
durée : 15’
Commande d’État
28.06.1966, O.R.T.F., dir. Darius Milhaud
Eschig ME 8805
Musique pour Prague, op. 415 (1965)
suite symphonique en trois mouvements
orchestre
2.2.2.3 - 2.3.3.1 - timb, 3perc, hp - cordes
durée : 15’
Commande du Festival de Printemps de Prague
20.06.1966, Prague, Festival Printemps, Orchestre
Philharmonique Tchèque, dir. Darius Milhaud
Eschig ME 7695
Musique pour l’Indiana, op. 418 (1966)
suite symphonique en quatre mouvements
orchestre
2.2.3.3 - 2.3.3.1 - timb, 3perc, hp - cordes
durée : 20’
Commande de Mr & Mrs Krammert pour le 150
e
anniversaire de l’Indiana
29 octobre 1966, Indiana Symphony Orchestra,
dir. Izler Salomon
Eschig ME 7718
Musique pour Lisbonne, op. 420 (1966)
orchestre de chambre
0.2.0.0 - 2.0.0.0 - cordes
durée : 21’
Commande de la Fondation Calouste Gulbenkian
28.06.1968, Lisbonne, dir. La Rosa Parodi
Eschig ME 7738
35
Musique pour la Nouvelle-Orléans, op. 422 (1966)
suite symphonique en trois parties
orchestre
3.2.3.3 - 4.3.3.1 - timb, 2perc, hp - cordes
durée : 26’
Commande du New Orleans Symphony Orchestra
12 mars 1968, New Orleans Symphony Orchestra,
dir. Werner Torkanowsky
Eschig ME 7820
Symphonie pour l’Univers claudelien, op. 427 (1968)
orchestre
2.2.3.3 - 4.3.3.1 - timb, 2perc, hp - cordes
durée : 25’
dédicace : Hommage à Paul Claudel
30.07.1968, Festival d’Aix-en-Provence, Orchestre de
Paris, dir. Pierre Dervaux
Eschig
Suite en sol, op. 431 (1969)
orchestre
2.2.2.3 - 4.3.3.1 - timb, 2perc, hp - cordes
durée : 18’
Commande Marin County Symphony Orchestra
25.09.1971, Marin County Symphony Orchestra,
dir. Sandor Salgo
Eschig ME 7904
Musique pour Ars Nova, op. 432 (1969)
treize instruments
1.0.2(clB).1 - 1.1.1.0 - 2perc, hp, pno - violon,
violoncelle
durée : 12’
Commande O.R.T.F. pour Ars Nova
1970, Montpellier, Ars Nova, dir. Marius Constant
Eschig ME 7923
Musique pour San Francisco, op. 436 (1971)
orchestre (avec participation du public)
2.2.2.2 - 2.2.2.0 - 1perc - cordes
durée : 11’
Commande du San Francisco Symphony Orchestra /
à Mme Agnès Albert
3.09.1972, San Francisco Symphony Orchestra,
dir. N. Wyss
Eschig ME 8025
36
Promenade Concert, op. 424 (1967)
orchestre
2.2.2.2 - 4.3.3.1 - timb, 3perc, hp - cordes
durée : 13’
Commande du New York Philharmonic Orchestra ou
Lincoln Center for the Performings Arts
11.08.1968, Aspen Festival, dir. Darius Milhaud
Eschig ME 7806
Ode pour Jerusalem, op. 440 (1972)
orchestre
2.2.2.2 - 2.2.3.1 - timb, 1perc - cordes
durée : 13’
Commande de l’État d’Israël
16.07.1973, Israel Philharmonic Orchestra,
dir. Daniel Barenboim
Eschig ME 8071
■
MUSIQUE POUR HARMONIE
Musique de théâtre, op. 334b (1954)
orchestre d’harmonie
3.3.3.2 - 4.4.4.1 - cel, 3perc - cordes (0.0.0.0.3)
durée : 12’
dédicaces : À la musique des Gardiens de la Paix et à
son chef Désiré Dondeyne
28.10.1972, Drancy, dir. Désiré Dondeyne
Eschig ME 8030
■
INSTRUMENT(S) SOLISTE(S) ET ORCHESTRE
Le Bœuf sur le toit, cinéma-fantaisie, op. 58b (1919)
violon et orchestre
2.1.2.1 - 2.2.1.0 - 2perc - cordes
durée : 19’
dédicace : René Benedetti
1921, Paris René Benedetti, violon
Eschig (La Sirène musicale) - LS 69 (réduction)
37
Concerto n° 1, op. 127 (1933)
piano et orchestre
2.2.3.2 - 2.3.2.1 - timb, perc, hp - cordes
durée : 12’
dédicace : Marguerite Long
23.11.1934, Paris, Marguerite Long, piano, Orchestre
des Concerts Pasdeloup, dir. Albert Wolff
Salabert (Deiss) - RD 7512 / EAS 15001 (réduction)
Concertino de printemps, op. 135 (1934)
violon et orchestre
1.1.1.1 - 1.1.0.0 - timb, perc -
cordes (minimum 1.1.1.1.1)
durée : 9’
dédicace : Yvonne Astruc
21.03.1935, Paris, Yvonne Astruc, violon,
dir. Darius Milhaud
Salabert (Deiss) - EAS 15289 / EAS 14987 (réduction)
Concerto n° 1, op. 136 (1934)
violoncelle et orchestre
2.2.2.2 - 2.2.2.1 - timb, perc, hp - cordes
durée : 15’
dédicace : Maurice Maréchal
28.06.1935, Paris Concerts La Sérénade,
Maurice Maréchal, violoncelle,
dir. Désiré-Emile Inghelbrecht
Salabert - RD 7524 / EAS 14892 (réduction)
Fantaisie pastorale, op. 188 (1938)
piano et orchestre
1.1.1.1 - 1.1.1.1 - perc, hp - cordes
durée : 10’
02.1939, Paris, Stell Andersen, piano, Orchestre
Symphonique de Paris, dir. Darius Milhaud
Salabert - EAS 15528 (réduction)
38
Concerto, op. 197 (1938-1939)
flûte, violon et orchestre
2.2.2.2 - 2.2.2.1 - timb, perc, hp - cordes
durée : 18’
dédicaces : Blanche Honegger & Marcel Moyse
05.1940, Radio Suisse Romande, Marcel Moyse, flûte
Blanche Honegger, violon, dir. Ernest Ansermet
Salabert (Deiss) - EAS 15021 (réduction)
Scaramouche, op. 165c (1939)
saxophone et orchestre
2.2.2.2 - 2.2.2.0 - perc - cordes
durée : 8’
06.1940, Radio Paris, A. Muhle, saxophone,
dir. R. Bastide
Salabert - EAS 15280 (réduction)
Scaramouche, op. 165d (1941)
clarinette et orchestre
2.2.2.2 - 2.2.2.0 - perc - cordes
durée : 8’
Salabert - EAS 15280 (réduction)
Concerto, op. 323 (1953)
harpe et orchestre
2.2.2.2 - sax -2.2.2.0 - timb, 2perc - cordes
durée : 22’
Commande Nicanor Zabaleta
14.09.1954, Venise, Biennale, Nicanor Zabaleta, harpe
Eschig ME 6722 (réduction)
Suite cisalpine sur des airs populaires
piémontais, op. 332 (1954)
violoncelle et orchestre
2.2.2.2 - 2.2.2.0 - timb, 1perc, hp - cordes
durée : 20’
dédicace : à Gregor Piatigorgsky
Commande pour le Prix Piatigorsky
7.11.1954, Paris, Reine Flachot, violoncelle, Concerts
Pasdeloup, dir. Albert Wolff
Eschig - ME 6745 (réduction)
39
Concerto n° 5, op. 346 (1955)
piano et orchestre
2.2.2.2 - 2.2.2.1 - timb, 1perc, cel, hp - cordes
durée : 19’
dédicace : Stell Andersen
Commande Mr Guggenheim
16.05.1956, Stadium New York, Stell Andersen, piano,
dir. Pierre Monteux
Eschig - ME 7014 (réduction)
Concert Royal (Concerto n° 3), op. 373 (1958)
violon et orchestre
2.2.2.2 - 2.2.2.1 - timb, 2perc, hp - cordes
durée : 20’
Commande Concours International de la Reine de
Belgique
1959, Bruxelles, Jaime Laredo, violon, dir. Franz André
Eschig - ME 7144 (réduction)
Concerto, op. 407 (1964)
clavecin et orchestre
1.1.1.1 - 0.1.0.0 - timb, perc, hp - cordes
durée : 17’
Commande Sylvia Marlowe
1969, Paris, O.R.T.F. Robert Veyron-Lacroix, clavecin,
dir. Darius Milhaud
Salabert - MC 394 (réduction)
Stanford Serenade, op. 430 (1969)
hautbois et onze instruments solistes
1.0.1.1 - 0.1.0.0 - perc, hp - cordes (1.1.1.1.1)
durée : 12’
dédicaces : pour Sandor Salgo et pour le Stanford
Symphony Orchestra
Commande de Donald Leake
24.05.1970, Donald Leake, hautbois, Stanford
Symphony Orchestra, dir. Sandor Salgo
Eschig ME 7937/7903 (matériel) & 7902 (réduction)
40
■
MUSIQUE DE CHAMBRE
• Six instruments
Caramel mou (Shimmy), op. 68 (1920)
texte de Jean Cocteau
orchestre de jazz
chant ou saxophone, clarinette, trompette, trombone,
piano, batterie
durée : 4’
dédicace : Georges Auric
Eschig (La Sirène musicale) ME 8433
Concerto n° 2, op. 394 (1961)
deux pianos et quatre percussionnistes
durée : 21’
08.1963, New York, Juilliard School of Music,
R & N. Segal, pianos
Eschig ME 7460
• Cinq instruments
La Création du monde, op. 81b (1926)
suite de concert
deux violons, alto, violoncelle, piano
durée : 15’
1927, Baden-Baden, Festival, Quatuor Kolisch
Eschig ME 1739
Quintette, op. 443 (1973)
flûte, hautbois, clarinette, cor, basson
durée : 17’
Commande d’État pour le Quintette à vent d’Avignon
1975, Avignon
Eschig - ME 8149 / ME 8149-01
• Quatre instruments
Quatuor à cordes n° 1, op. 5 (1912)
deux violons, alto, violoncelle
durée : 14’
dédicace : À la mémoire de Paul Cézanne
10.12.1913, Paris, S.M.I. Darius Milhaud, Larbey,
violons Robert Siohan alto, F. Delgrange, violoncelle
Durand D & F 9090 / 9091
41
Quatuor à cordes n° 2, op. 16 (1914-1915)
deux violons, alto, violoncelle
durée : 24’
dédicace : Léo Latil
15.05.1915, Paris, Concerts Delgrange, Yvonne Astruc,
Darius Milhaud, violons, Jurgensen alto, F. Delgrange,
violoncelle
Durand D & F 9837 / 9838
Quatuor à cordes n° 3, op. 32 (1916)
texte de Léo Latil
deux violons, alto, violoncelle avec chant
durée : 20’
En souvenir du printemps de 1914
1956, Paris, Radiodiffusion Française,
Quatuor Loewenguth
Durand D & F 13800 / 13801
Quatuor à cordes n° 4, op. 46 (1918)
deux violons, alto, violoncelle
durée : 10’
dédicaces : Pipeau et Rosine
1919, Paris, Concerts Delgrange, Quatuor Capelle
Salabert (Sénart) EMS 4804X (partition et matériel)
Sonate, op. 47 (1918)
flûte, hautbois, clarinette, piano
durée : 10’
dédicace : N.V.G
12.02.1921, Wiesbaden, Expo. Société d’instruments
à vents, Darius Milhaud, piano
Durand D & F 10280
Quatuor à cordes n° 5, op. 64 (1920)
deux violons, alto, violoncelle
durée : 21’
dédicace : Arnold Schönberg
6.04.1922, Paris, S.M.I., Quatuor Carembat
Salabert (Sénart) EMS 4990 / 4950
42
Quatuor à cordes n° 10 “Birthday
Quartet”, op. 218 (1940)
deux violons, alto, violoncelle
durée : 16’
dédicace : Mrs. Elisabeth Sprague Coolidge
30.10.1940, Washington, Library of Congress,
Coolidge Quartet
Salabert EAS 15032 / EAS 15033
Quatuor à cordes n° 11, op. 232 (1942)
deux violons, alto, violoncelle
durée : 16’
dédicace : Quatuor de Budapest
9.12.1942, New York, League of Composers, Budapest
Quartet
Salabert EAS 15034 / EAS 15035
Quatuor à cordes n° 12, op. 252 (1945)
deux violons, alto, violoncelle
durée : 14’
dédicace : À la mémoire de Gabriel Fauré à l’occasion
du centenaire de sa naissance
22.04.1945, Washington, National Gallery of Arts,
Budapest Quartet
Salabert EAS 14788 / EAS 14789
Quatuor à cordes n° 13, op. 268 (1946)
deux violons, alto, violoncelle
durée : 11’
dédicace : M.D.M.
22.04.1947, Washington, Library of Congress, Budapest
Quartet
Salabert EAS 15131 / EAS 15132
Paris, op. 284 (1948)
quatre pianos
durée : 10’
dédicace : Jean Marietti
Eschig ME 7038
43
Quatuor, op. 417 (1966)
violon, alto, violoncelle, piano
durée : 20’
Commande de Mme Wickel pour les dix ans de sa fille
Hélène
06.1967, Cleveland, Institute of Music
Durand D & F 13995
Études sur des thèmes liturgiques du
Comtat Venaissin, op. 442 (1973)
deux violons, alto, violoncelle
durée : 11’
1973, New York
Eschig - ME 8248 / ME 8248-01
• Trois instruments
Sonate, op. 15 (1914)
deux violons et piano
durée : 16’
dédicace : Armand Lunel
27.05.1915, Concert Foyer Franco-Belge,
Yvonne Astruc, Darius Milhaud, violons,
Jeannine Herscher, piano
Durand D & F 9475
Suite, op. 157b (1936)
clarinette, violon, piano
durée : 12’
dédicace : M.D.M.
19.01.1937, Paris, Sérénade, Yvonne Astruc, violon,
Jacques Février, piano
Salabert EAS 15177
• Deux instruments
Sonate n° 1, op. 3 (1911)
violon et piano
durée : 30’
3.05.1913, Paris, S.M.I. Yvonne Giraud, violon,
Georgette Guller, piano
Durand D & F 9180
44
Le Printemps, op. 18 (1914)
violon et piano
durée : 3’
dédicace : Yvonne Giraud
04.1919, Paris, Théâtre du Vieux-Colombier,
Yvonne Giraud, violon, Darius Milhaud, piano
Durand D & F 9941
Sonate n° 2, op. 40 (1917)
violon et piano
durée : 16’
dédicace : André Gide
1917, Rio, Lycée Français, Darius Milhaud, violon,
Nininha Velloso Guerra, piano
Durand D & F 9746
Le Bœuf sur le toit, cinéma-fantaisie, op. 58b (1919)
violon et piano
durée : 19’
dédicace : René Benedetti
05.1921, Paris, René Benedetti, violon,
Jean Wiener, piano
Eschig (La Sirène musicale) LS 69
Sonatine, op. 76 (1922)
flûte et piano
durée : 8’
dédicaces : Louis Fleury & Jean Wiener
01.1923, Paris, Concerts Wiener, Louis Fleury, flûte,
Jean Wiener, piano
Durand D & F 10279
Sonatine, op. 100 (1927)
clarinette et piano
durée : 9’
dédicace : Louis Cahuzac
1929, Paris S.M.I. Louis Cahuzac, clarinette,
Marius-François Gaillard, piano
Durand D & F 11512
45
Scaramouche, op. 165b (1937)
deux pianos
durée : 8’
1.07.1937, Paris, Exposition 1937, Marcelle Meyer,
I. Jankelevitch
Salabert (Deiss) EAS 14914A
Les Songes, op. 237b (1943)
suite d’après le ballet “Les Songes”
deux pianos
durée : 7’
dédicaces : Virginia et Livingston
7.05.1945, Laramie, Wyoming University, A. Wilman,
D. Milhaud
Salabert (Deiss) EAS 17557
Les Farandoleurs, op. 262 (1946)
violon et piano
durée : 3’
dédicace : Claude Delvincourt
1946, Paris, Concours Conservatoire
Salabert EAS 15178
Sonatine, op. 337 (1954)
hautbois et piano
durée : 11’
dédicace : Loïs Wann
29.11.1954, New York, Town Hall, Loïs Wann, hautbois
Durand D & F 13759
Sonate, op. 377 (1959)
violoncelle et piano
durée : 14’
Commande Festival Vancouver
18.07.1959, Vancouver, Festival de Vancouver,
E. Friedlander, violoncelle, Mrs Friedlander, piano
Salabert EAS 16497
46
Six Danses en trois mouvements,
op. 433 (1969-1970)
deux pianos
durée : 13’
I. Tarentelle-Bourrée - II. Sarabande-Pavane -
III. Gigue-Rumba
dédicaces : Pour les 25 ans de Geneviève Joy et de
Jacqueline Robin
17.12.1970, Paris Geneviève Joy, Jacqueline Robin,
piano
Eschig ME 7946
■
MUSIQUE INSTRUMENTALE
• Piano
Suite, op. 8 (1913)
en cinq parties
durée : 26’
dédicaces : Jean Wiener, Henri Cliquet, Roger de
Fonteney, Céline Lagouarde, Georgette Guller
23.03.1914, Bruxelles, Libre Esthétique,
Georgette Guller
Durand D & F 9170
Mazurka (1914)
extrait de “l’Album des Six”
durée : 2’
Eschig ME 1961
Printemps 1
er
recueil, op. 25 (1915-1919)
durée : 7’
dédicaces : (n° 1) Jeanne Herscher,
(n° 2 & 3) Nininha Velloso Guerra
1920, Paris, Matinée Dada, Marcelle Meyer
Eschig (La Sirène musicale) LS 16
47
Printemps 2
e
recueil, op. 66 (1920)
durée : 6’
dédicaces : (n° 1) Youra Guller, (n° 2) Nininha Velloso
Guerra, (n° 3) Céline Lagouarde-Bugnion
21.11.1920, Paris, Concert des Six, Nininha Velloso
Guerra
Eschig (La Sirène musicale) LS 55
Sonate (n° 1), op. 33 (1916)
durée : 18’
dédicace : Henri Cliquet
1920, Paris, Salon d’Automne, M. Dron
Salabert (Mathot) EAS 18082
Tango des Fratellini, op. 58c (1919)
extrait du “Bœuf sur le toit”
durée : 2’
Eschig (La Sirène musicale) ME 8256
Caramel mou (Shimmy), op. 68 (1920)
durée : 4’
Eschig (La Sirène musicale) LS 76
Saudades do Brazil, op. 67 (1920-1921)
durée : 20’
n° 1 Sorocaba - n° 2 Botafogo - n° 3 Leme -
n° 4 Copacabana - n° 5 Ipanema - n° 6 Gavea -
n° 7 Corcovado - n° 8 Tijuca - n° 9 Sumare -
n° 10 Paineras - n° 11 Laranjeiras n° 12 Paysandu
dédicaces : Mme Régis de Oliveira, Oswaldo Guerra,
Nininha Velloso Guerra, Godofredo Leao Velloso, Arthur
Rubinstein, Mme Henrique Oswald, Mme Henri
Hoppenot, Ricardo Viñès, Henri Hoppenot, La Baronne
Frachon, Audrey Parr, Paul Claudel
21.11.1920, Paris, Concert des Six, Nininha Velloso
Guerra
Eschig (Demets) - ED 2039 1
er
recueil - ED 2045 2
e
recueil
48
L’Automne, op. 115 (1932)
durée : 7’
n° 1 Septembre - n° 2 Alfama - n° 3 Adieu
dédicace : Marcelle Meyer
23.11.1932 , Paris, Marcelle Meyer
Salabert (Deiss) - EAS 14898
Quatre Romances sans paroles,
op. 129 (1933)
dédicace : Raymond Deiss
5.03.1935, Radio Luxembourg, Darius Milhaud
Salabert (Deiss) - EAS 14899
Promenade, op. 162 (1937)
extrait de “Le Tour de l’exposition”
dédicace : Marguerite Long
06.1937, Paris, Exposition 1937, Jean-Michel Damase
Salabert (Deiss) - RD 7543
Hymne de glorification, op. 331 (1953-1954)
durée : 7’
dédicace : Nadia Boulanger
12.1954, Detroit Museum, Z. Skolowsky
Eschig ME 6765
Exercice (1961)
extrait de “La Petite Méthode de piano” de
Marguerite Long,
Salabert EAS 16858
Six Danses en trois mouvements,
op. 433 (1969-1970)
durée : 7’
Tarentelle - Bourrée - Sarabande - Pavane - Gigue -
Rumba
dédicaces : Pour les 25 ans de Geneviève Joy et de
Jacqueline Robin
Eschig ME 7946
49
• Orgue
Petite suite, op. 348 (1955)
durée : 7’
Nicole et Daniel pour leur mariage
9.12.1955, Paris Synagogue Buffault, J. Bonfils
Eschig ME 6879
• Harpe
Sonate, op. 437 (1971)
durée : 13’
dédicace : Anne Adams
19.05.1973, Rocquencourt, Conservatoire, Francis Pierre
Eschig ME 8023
■
MUSIQUE VOCALE
• Musique chorale
Deux Poèmes, op. 39 (n° 1, 1916) (n° 2, 1919)
texte de : (n° 1) Saint Léger Léger - (n° 2) René Chalupt
quatuor vocal ou chœur mixte
durée : 5’
n° 1 Enfance - n° 2 Le Brick
dédicace : Marquise de Casa-Fuerte
05.1921, Paris, Quatuor vocal Vié
Durand DF 10284
Deux Poèmes de Cendrars, op. 113 (1932)
texte de Blaise Cendrars
quatuor vocal ou chœur mixte
durée : 4’
n° 1 La Danse des animaux - n° 2 Le Chant de la mort
dédicace : League of Composers
04.1933, New York, League of Composers
Salabert (Deiss) EAS 16076
50
Deux Élégies romaines, op. 114 (1932)
texte de Johann Wolfgang von Gœthe
quatuor vocal ou chœur de femmes
durée : 3’
n° 1 Eclaire donc, gamin - n° 2 Pourquoi donc ?
dédicace : Suzanne Peignot
4.02.1933, Paris, Concert La Sérénade, quatuor vocal
Suzanne Peignot
Salabert (Deiss) EAS 17383
Devant sa main nu, op. 122 (1933)
texte de Marcel Raval
quatuor vocal ou chœur de femmes
durée : 5’
dédicace : M. D. M
4.02.1933, Paris, Concert La Sérénade, quatuor vocal
Suzanne Peignot
Salabert (Deiss) RD 7494
Incantations (Poèmes aztèques), op. 201 (1939)
texte de Alejo Carpentier
chœur d’hommes a cappella
durée : 8’
5.06.1945, Oakland, Orpheus, dir. M. Jones
Eschig ME 8066
Trois Psaumes de David, op. 339 (1954)
texte de la Bible
chœur mixte a cappella
durée : 16’
dédicaces : Au Révérend Père David O. S. B., aux moines
bénédictins de Mount Angel et à mon très cher ami le
Révérend Père Clément Jacob O. S. B.
1.05.1955, Stanford, University University Chorale,
dir. H. Schmidt
Eschig ME 6798
Traversée, op. 393 (1961)
texte de Paul Verlaine
Chœur mixte a cappella
durée : 7’
Commande du Festival de Cork
17.05.1962, Cork, Madrigal R.T.F.,
dir. Yvonne Gouverné
Salabert EAS 16787
51
Promesse de Dieu, op. 438 (1971-1972)
texte de la Bible
chœur mixte a cappella
durée : 11’
Commande du Dickinson College pour son
200
e
anniversaire
19.05.1973, Dickinson College
Eschig ME 8067
• Voix et piano
Sept Poèmes de Paul Claudel,
op. 7 (1912-1913)
extrait de la “Connaissance de l’Est”
texte de Paul Claudel
voix et piano (VM ou VE)
durée : 15’
n° 1 La Nuit à la véranda - n° 2 Décembre -
n° 3 Dissolution - n° 4 Ardeur - n° 5 Tristesse de l’eau -
n° 6 La Descente - n° 7 Le Point
dédicaces : Armand Lunel (n
os
1, 2, 4, 5, 7), Francis
Jammes (n° 3), Mme Ch. Lacoste (n° 6)
(n° 3, 4, 6) 1913, Paris, Salon d’Automne J. Lacoste,
voix, (n° 1, 2, 5, 7) 1917, Paris, Concerts Mathot
Salabert (Mathot) SECA 0261X
Trois Poèmes de Lucile de Chateaubriand,
op. 10 (1913)
texte de Lucile de Chateaubriand
voix et piano (VE)
n° 1 L’Aurore - n° 2 A la lune - n° 3 L’innocence
dédicaces : (n° 1) Léo Latil, (n° 2) Mme Ch. Lacoste,
(n° 3) Armand Lunel
10.02.1916, Paris, Concerts Rouge, A. Stephenson, voix
Salabert (Mathot) EAS 17306
Quatre Poèmes de Léo Latil, op. 20 (1914)
texte de Léo Latil
voix et piano (T)
durée : 13’
n° 1 L’Abandon - n° 2 Ma douleur et sa Compagne -
n° 3 Le Rossignol - n° 4 La Tourterelle
dédicace : À la mémoire de Maurice Guérin
22.05.1915, Paris, Concerts Foyer Franco-Belge,
Jane Bathori, voix, Darius Milhaud, piano
Durand DF 9833
52
Quatre Poèmes, op. 26 (1915-1917)
texte de Paul Claudel
voix et piano (Bar)
durée : 13’
n° 1 Chanson d’automne - n° 2 Ténèbres - n° 3 Sombre
mai - n° 4 Obsession
dédicaces : (n° 1) Mme Ste Marie Perrin, (n° 2) G. G.,
(n° 3) Léo Velloso, (n° 4) L.
(n° 1) 10.01.1922, Paris, Concert Hubbard, Hubbard,
voix (n° 2 à 4) 05.1922, Paris, Concert Olenine
d’Alheim, Olenine d’Alheim, voix
Durand DF 9836
Poèmes juifs, op. 34 (1916)
auteur inconnu
voix et piano
durée : 17’
n° 1 Chant de nourrice - n° 2 Chant de Sion -
n° 3 Chant du laboureur - n° 4 Chant de la pitié -
n° 5 Chant de résignation - n° 6 Chant d’amour -
n° 7 Chant de forgeron - n° 8 Lamentation
dédicaces : G. Guller, à la mémoire de Georges Lévy,
Ernest Bloch, Mme B. Klotz, D. Steinberg, Marcelle
Milhaud, Arthur Rubinstein, à la mémoire de P.M.
10.01.1920, Paris, Société Nationale, Jane Bathori, voix,
Darius Milhaud, piano
Eschig (Demets) ED 1981
Chansons bas, op. 44 (1917)
texte de Stéphane Mallarmé
voix et piano
durée : 5’
n° 1 Le Savetier - n° 2 La Marchande d’herbes
aromatiques - n° 3 Le Cantonnier - n° 4 Le Marchand
d’ail et d’oignons - n° 5 La Femme et l’ouvrier -
n° 6 Le Vitrier - n° 7 Le Crieur d’Imprimés -
n° 8 La Marchande d’habits
dédicace : Audrey Parr
30.03.1919, Paris, Théâtre du Vieux-Colombier,
Jane Bathori, voix, Darius Milhaud, piano
Eschig (La Sirène musicale) LS 18
53
Dans les rues de Rio (verso carioca), op. 44b (1917)
(deux mélodies faisant suite aux Chansons bas)
texte de Paul Claudel
voix et piano
durée : 2’
n° 1 Le Rémouleur - n° 2 Le Marchand de sorbets
Eschig ME 9077
Deux Petits airs, op. 51 (1918)
texte de Stéphane Mallarmé
voix et piano
durée : 2’
n° 1 Indomptablement a dû - n° 2 Quelconque nue
solitude
dédicace : Vera Janacópoulos
7.12.1921, Paris, Conc. Heure Musicale
Eschig ME 1869
Les Soirées de Petrograd, op. 55 (1919)
texte de René Chalupt
voix et piano
durée : 10’
L’Ancien Régime, L’Orgueilleuse, La Révoltée, La
Martiale, L’Infidèle, La Perverse, L’Irrésolue, La
Révolution, La Grand’Mère, Les Journées d’Août,
Monsieur Protopopoff, Le Convive, La Limousine,
Colonel Romanoff
dédicace : Valentine Gross
24.06.1919, Paris, Galerie Barbazange, Gala Av. Garde
Durand DF 9834
Trois Poèmes de Jean Cocteau, op. 59 (1920)
texte de Jean Cocteau
voix et piano
durée : 3’
n° 1 Fumée - n° 2 Fête de Bordeaux - n° 3 Fête de
Montmartre
dédicace : Erik Satie
2.01.1922, Paris, Galerie Montaigne, Pierre Bertin, voix
Eschig (La Sirène musicale) LS 19
54
Catalogue de fleurs, op. 60 (1920)
texte de Lucien Daudet
voix et piano (MzS)
durée : 6’
n° 1 La Violette - n° 2 Le Bégonia -
n° 3 Les Fritillaires - n° 4 Les Jacinthes -
n° 5 Les Crocus - n° 6 Le Brachycome -
n° 7 L’Eremurus
dédicace : À la mémoire de Fauconnet
1922, Paris, Conservatoire, M. Martine, voix
Durand DF 10281
Poème (du journal intime de Léo Latil),
op. 73 (1921)
texte de Léo Latil
voix et piano (MzS)
durée : 5’
dédicace : Mme Olénine d’Alnheim
1922, Paris, Olénime d’Alnheim, voix
Eschig ME 1868
Trois Chansons de négresse, op. 148b (1935-1936)
texte de Jules Supervielle
voix et piano (VM)
durée : 6’
n° 1 Mon histoire - n° 2 Abandonnée - n° 3 Sans feu ni
lieu
dédicace : M. D. M.
17.06.1937, Paris, Madeleine Grey, voix
Salabert EAS 15040
Trois Chansons de troubadour, op. 152b (1936)
texte de Valmy Baisse
voix et piano (T)
durée : 6’
dédicace : Pierre Bernac
Salabert EAS 16492
55
Cinq Chansons de Charles Vildrac, op. 167 (1936-1937)
texte de Charles Vildrac
voix et piano (T)
durée : 12’
n° 1 Les Quatre petits lions - n° 2 La Pomme et
l’escargot - n° 3 Le Malpropre - n° 4 Poupette et
patata - n° 5 Le Jardinier impatient
dédicace : D. D. M.
1938, Paris, Radio d’Etat, Madeleine Grey, voix
Salabert (Deiss) EAS 16431
Chansons de l’Opéra du Gueux, op. 171 (1937)
texte de John Gay / Henri Fluchère
voix et piano
Salabert EAS 14864 (réduction)
Chanson du capitaine, op. 173b n° 1 (1937)
pour le spectacle “Naissance d’une cité”
texte de Jean-Richard Bloch
voix et piano (VM/VE)
durée : 4’
dédicaces : Gilles & Julien
Salabert RD 7549
Java de la femme, op. 173b n° 2 (1937)
pour le spectacle “Naissance d’une cité”
texte de Jean-Richard Bloch
voix et piano (VM/VE)
durée : 3’
dédicace : M. D. M.
Salabert RD 7548
Trois Chansons de la “Rose des Vents” (1957)
Paroles d’Albert Vidalie
I. Chanson - II. Chanson du marin - III. Chanson de la
servante
Salabert voir Mélodies et Chansons
Mélodies et Chansons
Recueil comprenant :
Chanson du capitaine - Cinq Chansons de Charles
Vildrac - Deux Airs de “Bolivar” (Air de Manuela,
Berceuse) - Java de la femme - Sept Poèmes de Paul
Claudel - Trois Chansons de la “Rose des vents” - Trois
Chansons de négresse - Trois Chansons de troubadour -
Trois poèmes en prose de Lucile de Chateaubriand
Salabert EAS 18989
56
■
ŒUVRES POUR LES ENFANTS
À propos de bottes, op.118 (1932)
texte de René Chalupt
voix, chœur mixte et piano (ou violon et violoncelle)
durée : 16’
Chanson du savetier et de la pie - Chanson de Babolin,
le livreur - Chanson d’Alfred - Chanson d’Alfred et de la
pie - Chanson du fantôme - Chanson des
anthropophages - Chanson du chinois - Chanson du
cinéaste - Chanson d’Alfred et de la Star - Chanson de
l’ogre - Chanson finale
dédicace : Alice Pelliot
05.1933, Paris, Théâtre Marionettes
Durand - DF 12315 (chant et piano)
Un petit peu de musique, op. 119 (1932)
texte de Armand Lunel
voix, chœur mixte et piano (ou violon et violoncelle)
durée : 14’
Le petit examen - Pour sauter à la corde - La lecture
enfantine - Pour tirer au sort - Mademoiselle Lunette -
Mea culpa - Le maître pion Jujube - Un éloge mérité -
La dispute - L’orchestre des bons élèves - L’orchestre des
mauvais élèves - Chœur final en l’honneur de la radio
dédicace : Mrs. Elisabeth Sprague Coolidge
02.1933, Paris, Concerts Triton, dir. Darius Milhaud
Durand - DF 12316 (chant et piano)
Un petit peu d’exercice, op. 133 (1934)
texte de Armand Lunel
voix, chœur mixte et piano (ou violon et violoncelle)
durée : 18’
Chant du départ - Repos hebdomadaire - Tohu-bohu des
sportifs - Farniente des débonnaires - La culture
physique - Le sportif paisible - Natation - Le vélo -
La raquette - Le jeune homme studieux - Le chant du
skieur - Jeunes filles 1900 - Chœur final de
réconciliation
1933, Paris, Expo. Arts Ménagers L. Daniels, voix,
dir. Darius Milhaud
Durand - DF 12758 (chant et piano)
page de droite :
Darius Milhaud en compagnie de
Georges Auric pendant l’enregistrement
des « Mariés de la Tour Eiffel » (1966)
Photo : Marcel Binh.
Tous droits réservés pour tous pays.
58
A Frenchman in New York, op. 399
Boston Pops Orchestra, dir. Arthur Fiedler
RCA LM 2702 (LP)
Adages, op. 120b
Raphaëlle Farman (S), Florence Katz (MzS), Hervé
Lamy (T), Laurent Naoury (Bar), Ensemble Erwartung,
dir. Bernard Desgraupes
Adda 581 292
Amours de Ronsard (Les), op. 132
Raphaëlle Farman (S), Florence Katz (MzS), Hervé
Lamy (T), Laurent Naoury (Bar), Ensemble Erwartung,
dir. Bernard Desgraupes
Adda 581 292
Ani Maamin, un chant perdu et retrouvé,
cantate, op. 441
Sharon Cooper (S), Michael Lonsdale, Bernard Freyd,
Jean Negroni, Michel Hermon (récitants), Madrigal de
Bordeaux, Ensemble 2E2M, dir. Paul Méfano
Arion ARN 68275
Automne (L’), 3 pièces, op. 115
pour piano
Françoise Choveaux (pno)
MKI 369 206-2
Billy Eidi, (pno)
Discover International 920167 ou EMS SBCD 5400
Bœuf sur le toit (Le), ballet, op. 58
Orchestre National de France, dir. Leonard Bernstein
EMI CDC 747845 2 ou EMIC 47845 (USA)
London Symphony Orchestra, dir. Antal Dorati
Mercury 434 335-2
Orchestre du Théâtre des Champs-Élysées, dir. Darius
Milhaud
Charlin SLC-17 2
Orchestre du Théâtre des Champs-Élysées, dir. Darius
Milhaud
EMI 7546042 ou CDC 54804
Minneapolis Symphony Orchestra, dir. Dimitri
Mitropoulos
Cascavelle VEL 3036
Orchestre de l’Opéra de Lyon, dir. Kent Nagano
Erato 2292-45820-2
Ulster Orchestra, dir. Yann-Pascal Tortelier
Chandos CHAN 9023
DISCOGRAPHIE
DISCOGRAPHY
DISKOGRAPHIE
Discographie sélective
par ordre alphabétique
Selective discography
by alphabetic order
Ausgewählte Schallplaten
Alphabetisch geordnet
59
Bœuf sur le toit (Le), cinéma-fantaisie, op. 58b
pour violon et orchestre
Gidon Kremer (vl), London Symphony Orchestra,
dir. Riccardo Chailly
Philips 432 513 2
version violon et piano
René Benedetti (vl), Jean Wiener (pno)
Classical Collector CLCD 150122
Cantate de l’Homme, op. 164
Anne Constantin (S), Florence Katz (MzS), Hervé Lamy
(T), Laurent Naoury (Bar), Ensemble Erwartung, dir.
Bernard Desgraupes
Adda 581 292
Cantate nuptiale, op. 168
pour soprano et orchestre
Janine Micheau (S), Orchestre de la Société des Concerts
du Conservatoire, Paris, dir. Darius Milhaud
Columbia FCX 556 (LP)
Caramel mou, op. 68
pour piano
Ian Hobson (pno)
Arabesque 6569
Carnaval de Londres, suite, op. 172
New London Orchestra, dir. Ronald Corp
Hyperion HYP CDA 66594
Capella Cracoviensis, dir. Karl-Anton Rickenbacher
Koch-Schwann 3-1138-2
Catalogue de fleurs, op. 60
pour voix et piano
Hugues Cuénod (T), Geoffrey Parsons (pno)
Nimbus NI 5337
Györgyi Dombrádi (S), Lambert Bumiller (pno)
CPO 999 408-2
Chansons bas, op. 44
pour voix et piano
Györgyi Dombrádi (S), Lambert Bumiller (pno)
CPO 999 408-2
60
Chansons de négresse (3), op. 148b
pour voix et piano
Györgyi Dombrádi (S), Lambert Bumiller (pno)
CPO 999 408-2
Château du feu (Le), cantate, op. 338
pour chœur et orchestre
Chœur de la Radiodiffusion française,
dir. Yvonne Gouverné,
Orchestre Philharmonique de Paris, dir. Darius Milhaud
Le Chant du Monde LDX 78325 (LP)
Cloches (Les) (The Bells),
suite symphonique, op. 259
Orchestre Symphonique d’État de Russie,
dir. Guennadi Rojdestvenski
Olympia OCD 452
Concertino de printemps, op. 135
pour violon et orchestre de chambre
Yvonne Astruc (vl), Ensemble, dir. Darius Milhaud
Classical Collector CLCD 150122 ou Pearl GEMM 9459
Szymon Goldberg (vl), membres de l’Orchestre des
Concerts Lamoureux, Paris, dir. Darius Milhaud
Accord 461 767-2
Concerto, op. 323
pour harpe et orchestre
Milena Sperlová (hp), Orchestre Philharmonique d’État
de Brno, dir. Frantisek Jílek
Le Chant du Monde Praga PR 250 025
Frédérique Cambreling (hp), Orchestre de l’Opéra de
Lyon, dir. Kent Nagano
Erato 2292-45820-2
Concerto n° 1, op. 127
pour piano et orchestre
Philippe Entremont (pno), Orchestre de la Société des
Concerts du Conservatoire, Paris, dir. Darius Milhaud
CBS S 75650 (LP)
Claude Helffer (pno), Orchestre National de France, dir.
David Robertson
Erato 2292-45992-2
Marguerite Long (pno), Orchestre National de la
Radiodiffusion française, dir. Darius Milhaud
Classical Collector CLCD 150122 ou Pearl GEMM 9459
61
Concerto n° 1, op. 136
pour violoncelle et orchestre
Mstislav Rostropovitch (vlc), London Symphony
Orchestra, dir. Kent Nagano
Erato 2292-45489-2
Janos Sarker (vlc), Philharmonia Orchestra,
dir. Walter Süsskind
EMI 7243 5 68485 2 8A
Création du monde (La), ballet, op. 81
Utah Symphony Orchestra, dir. Maurice Abravanel
Vanguard QVC 8088
Columbia Symphony Orchestra, dir. Leonard Bernstein
Sony SNYC 60695 (enr. 1951)
Orchestre National de France, dir. Leonard Bernstein
EMI CDC 747845 2 ou EMIC 47845 (USA)
Victor Chamber Orchestra, dir. Leonard Bernstein
RCA Gold Seal 68101 (Bernstein the Early Years enr. 1945-1949)
Orchestre de l’Opéra de Lyon, dir. Kent Nagano
Erato 2292-45820-2
Orchestre de 19 solistes, dir. Darius Milhaud
Emi 7546042 ou Classical Collector CLCD 150122 ou Pearl GEMM 9459
(enr.1932)
Orchestre du Théâtre des Champs-Élysées, dir. Darius
Milhaud
Charlin SLC-17 2
Boston Symphony Orchestra, dir. Charles Münch
RCA Gold Seal GD 60685
Orchestre Symphonique de Prague, dir. Václav Neumann
Supraphon 11 1105-2
Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire,
Paris, dir. Georges Prêtre
EMI CDM 7 63945 2
Ulster Orchestra, dir. Yann-Pascal Tortelier
Chandos CHAN 9023
Contemporary Chamber Ensemble, dir. Arthur Weisberg
Nonesuch 71282-2
Création du monde (La), suite de concert, op. 81a
pour deux violons, alto, violoncelle, piano
Raphaël Oleg, Ted Papavrami (vl), Christophe Gaugué
(vla), François Salque (vlc), Eric Le Sage (pno)
RCA Red Seal 74321 801032
62
Philippe Entremont (pno), Trio à cordes de Paris,
Jacques Ghestem, violon II
CBS S 75650 (LP)
Julie Rosenfeld, Ani Kavafian (vl), Toby Hoffman (vla),
Carter Brey (vlc), André Previn (pno)
RCAV Red Seal 68181-2
Études sur des thèmes liturgiques du comtat
venaissin, op. 442
pour quatuor à cordes
Quatuor Parisii
Naïve V 4891
Fantaisie pastorale, op. 188
pour piano et orchestre
Vlastimil Lejsek (pno), Orchestre Philharmonique d’État
de Brno, dir. Jí
®
i Waldhans
Le Chant du Monde Praga PR 250 025
Hommage à Comenius, cantate, op. 421
pour soprano, baryton, et orchestre
Eva Zikmundová (S), Jindrich Jindrák (Bar), Orchestre
Radio Symphonique de Prague, dir. Josef Hrncír
Le Chant du Monde Praga PR 250 012
Hymne de glorification, op. 331
pour piano
Françoise Choveaux (pno)
MKI 369208-2
Mariés de la Tour Eiffel (Les), op. 70
Marche nuptiale - Fugue du massacre - Sortie de la noce
Orchestre National de l’O.R.T.F., dir. Darius Milhaud
Adès 941462
Philharmonia Orchestra, dir. Geoffrey Simon
Chandos CHAN 8356
Mazurka, extrait de « l’Album des Six »
pour piano
Françoise Choveaux (pno)
MKI 369 206-2
Musique pour l’Indiana,
suite symphonique, op. 418
BBC Symphony Orchestra, dir. Darius Milhaud
INMP (BBC Radio Classics) 5691512
63
Musique pour Prague, suite symphonique, op. 415
Orchestre Philharmonique Tchèque, Prague,
dir. Darius Milhaud
Le Chant du Monde Praga PR 250 012 ou Multisonic 31 0022-2
Pacem in terris, Symphonie chorale, op. 404
pour contralto, baryton, chœur et orchestre
Florence Kopleff (CA), Louis Quilico (Bar), University of
Utah Chorus, dir. Dr. Newell Weight, Utah Symphony
Orchestra, dir. Maurice Abravanel
Vanguard 08 9070 71
Paris, suite, op. 284
pour quatre pianos
Christian Ivaldi, Michel Beroff, Noël Lee,
Jean-Philippe Collard (pnos)
EMI 7243 5 74625 2
Poèmes de Blaise Cendrars (2), op. 113
Chœur mixte Kühn, dir. Pavel Kühn
Le Chant du Monde Praga PR250008
Poème de Leo Latil, op. 73
pour voix et piano
Györgyi Dombrádi (S), Lambert Bumiller (pno)
CPO 999 408-2
Poèmes juifs, op. 34
pour voix et piano
intégrale
Györgyi Dombrádi (S), Lambert Bumiller (pno)
CPO 999 408-2
extraits (n° 1, 5, 6)
Chant de nourrice - Chant de résignation - Chant
d’amour
Jane Bathori (S), Darius Milhaud (pno)
Classical Collector CLCD 150122
extrait (n° 8) Lamentation
Dietrich Fischer-Dieskau (Bar), Aribert Reimann (pno)
EMI 7243 5 67349 2 ou EMI 7243 5 68509 2
Printemps (Le), op. 18
pour violon et piano
S. Goldberg (vl), R. Hairgrove (pno)
Koch-Schwann 3-1310-2
64
Printemps (Le), 3 pièces, 1
er
recueil, op. 25
pour piano
Françoise Choveaux (pno)
MKI 369 206-2
Billy Eidi (pno)
Discover International 920167 ou EMS SBCD 5400
Darius Milhaud (pno)
Classical Collector CLCD 150122
Printemps (Le), 3 pièces, 2
e
recueil, op. 66
pour piano
Françoise Choveaux (pno)
MKI 369 206-2
Billy Eidi (pno)
Discover International 920167 ou EMS SBCD 5400
Quatuor, op. 417
pour violon, alto, violoncelle, piano
Josef Malkin (vl), Esther van Strahlen (vla),
Eduard van Regteren Altena (vlc), Marcel Worms (pno)
Channel Classics CCS 13998
Quatuor à cordes n° 1, op. 5
Quatuor à cordes du Centre National de Musique de
Chambre d’Aquitaine
Cybelia CY 682-683 (LP)
Quatuor Arriaga
Discover International DICD 920290
Quatuor Parisii
Naïve V 4784
Quatuor à cordes n° 2, op. 16
Quatuor Arcana
Cybelia CY 808
Quatuor Arriaga
Discover International DICD 920290
Quatuor Parisii
Naïve V 4931
Quatuor à cordes n° 3, op. 32,
avec soprano
Nicole Oxombre (S), Quatuor Arcana
Cybelia CY 807
Véronique Dietschy (S), Quatuor Parisii
Naïve V 4930
Quatuor à cordes n° 4, op. 46
Quatuor Arcana
Cybelia CY 808
Quatuor Parisii
Naïve V 4930
Quatuor à cordes n° 5, op. 64
Quatuor à cordes du Centre National de Musique de
Chambre d’Aquitaine
Cybelia CY 805
65
Quatuor Parisii
Naïve V 4783
Quatuor à cordes n° 10, op. 218
Quatuor à cordes du Centre National de Musique de
Chambre d’Aquitaine
Cybelia CY 804
Quatuor Parisii
Naïve V 4784
Quatuor à cordes n° 11, op. 232
Quatuor à cordes du Centre National de Musique de
Chambre d’Aquitaine
Cybelia CY 805
Quatuor Parisii
Naïve V 4784
Quatuor à cordes n° 12, op. 252
Quartetto Italiano
EMI 7243 5 74792 2
Quatuor Arcana
Cybelia CY 806
Quatuor Parisii
Naïve V 4930
Quatuor à cordes n° 13, op. 268
Quatuor à cordes du Centre National de Musique de
Chambre d’Aquitaine
Cybelia CY 805
Quatuor Parisii
Naïve V 4931
Romances sans paroles (4), op. 129
pour piano
Françoise Choveaux (pno)
MKI 369205-2
Saudades do Brazil, suite de danses, op. 67
pour orchestre
intégrale
Capella Cracoviensis, dir. Karl-Anton Rickenbacher
Koch-Schwann 3-1138-2
Concert Arts Orchestra, dir. Darius Milhaud
EMI 7546042
extraits
(n° 7, 8, 9, 11)
Corcovado - Tijuca - Sumaré - Laranjeiras
Orchestre National de France, dir. Leonard Bernstein
EMI CDC 747845 2 ou EMIC 47845 (Usa)
66
extraits (n° 2, 3, 8, 11)
Botafogo - Leme - Tijuca - Laranjeiras
Orchestre Symphonique d’État de Russie,
dir. Guennadi Rojdestvenski
Olympia OCD 452
Saudades do Brazil, suite de danses, op. 67
pour piano
intégrale
Françoise Choveaux (pno)
MKI 369205-2
Eric Le Sage (pno)
RCA Red Seal 74321 80103 2
Alexandre Tharaud (pno)
Naxos 8.553443
extraits
(n° 1, 5, 7, 9)
Sorocaba - Ipanema - Corcovado - Sumaré
Darius Milhaud (pno)
Classical Collector CLCD 150122
Scaramouche, suite, op. 165d
pour clarinette et orchestre
Eduard Brunner (cl), Symphonieorchester des
Bayerischen Rundfunks, dir. Ulf Schneider
Koch-Schwann 310352
Scaramouche, suite, op. 165b
pour deux pianos
Philippe Corre & Edouard Exerjean (pnos)
Verany VER PV 786.091
Christian Ivaldi & Noël Lee (pnos)
EMI 7243 5 74625 2
Katia & Marielle Labèque (pnos)
Philips 426 284-2
Darius Milhaud & Marcelle Meyer (pnos)
Classical Collector CLCD 150122
Scaramouche, suite, op. 165c
pour saxophone et orchestre
Sohne Neidenbach-Rahbari (sax), Orchestre
Philharmonique BRTN Brussels, dir. Alexandre Rahbari
Marco Polo 8.554 784 ou Naxos 8.223374
Theodore Kerkezos, Philharmonia Orchestra,
dir. Martyn Brabbins
Naxos 8.557063
67
Service sacré, op. 279
pour baryton, chœur, orchestre
Heinz Rehfuss (Bar), Chœur de la Radiodiffusion-
Télévision française, dir. Yvonne Gouverné, Orchestre du
Théâtre National de l’Opéra de Paris,
dir. Darius Milhaud
Accord-Musidisc ACC 201892
Six danses en trois mouvements, op. 433
pour deux pianos
Geneviève Joy, Jacqueline Robin (pnos)
Erato STU 70810 (LP)
Soirées de Petrograd (Les), op. 55
pour voix et piano
Györgyi Dombrádi (S), Lambert Bumiller (pno)
CPO 999 408-2
Jane Bathori (S), Darius Milhaud (pno)
Classical Collector CLCD 150122
Sonate, op. 47
pour flûte, hautbois, clarinette, piano
Catherine Cantin (fl), Maurice Bourgue (htb),
Michel Portal (cl), Pascal Rogé (pno)
Decca 425 861-2
Aurèle Nicolet (fl), Heinz Holliger (htb),Eduard(cl),
Oleg Maisenberg (pno)
Orfeo ORF 60831
Rien de Reede (fl), Jan Spronk (htb), Els Vreugdenhil
(cl), Marcel Worms (pno)
Channel Classics CCS 13998
A. Spiri (pno), Aulos Wind Quintet
Koch Schwann 364032
Sonate, op. 15
pour deux violons et piano
Raphaël Oleg, Ted Papavrami (vl), Eric Le Sage (pno)
RCA Red Seal 74321 801032
Sonate, op. 377
pour violoncelle et piano
Pierre Penassou (vlc), Jacqueline Robin (pno)
Arion ARN 68195
Sonate n° 1, op. 33
pour piano
Françoise Choveaux (pno)
MKI 369208-2
68
Billy Eidi (pno)
Discover International 920167 ou EMS SBCD 5400
Sonate n° 2, op. 40
pour violon et piano
Clara Bonaldi (vl), Sylvaine Billier (pno)
Arion ARN 68195
André Gertler (vl), Diane Andersen (pno)
Supraphon 11 1814-2 911
S. Goldberg (vl), R. Hairgrove (pno)
Koch-Schwann 3-1310-2
Isabelle van Keulen (vl), Ronald Brautigam (pno)
Koch Classics 6416
Josef Malkin (vl), Marcel Worms (pno)
Channel Classics CCS 13998
Sonatine, op. 100
pour clarinette et piano
Eduard Brunner (cl), Oleg Maisenberg (pno)
Orfeo ORF 60831
Paul Meyer (cl), Eric le Sage (pno)
Denon 79282
Sonatine, op. 76
pour flûte et piano
Aurèle Nicolet (fl), Oleg Maisenberg (pno)
Orfeo ORF 60831
Kurt Redel (fl), Noël Lee (pno)
Arion ARN 68195
Sonatine, op. 337
pour hautbois et piano
Heinz Holliger (htb), Oleg Maisenberg (pno)
Orfeo ORF 60831
Songes (Les), suite de ballet, op. 124
Utah Chamber Orchestra, dir.Maurice Abravanel
EMI Angel S-37317 (LP)
Orchestre Symphonique de Paris, dir. Darius Milhaud
Classical Collector CLCD 150122 ou Pearl GEMM 9459
Stanford serenade, op. 430
pour hautbois et onze instruments
Lajos Lencsés (htb), membres du Radio-
Sinfonieorchester Stuttgart, dir. Gilbert Varga
CPO 999 114-2
69
Suite, op. 157b
pour clarinette, violon & piano
Paul Meyer (cl), Ted Papavrami (vl),
Eric Le Sage (pno)
RCA Red Seal 74321 801032
Els Vreugdenhil (cl), Josef Malkin (vl),
Marcel Worms (pno)
Channel Classics CCS 13998
Version violon, alto et piano
Joaquin Palomares (vl), Paul Cortese (vla), Michel
Wagemans (pno)
ASV VD DCA 1039
Suite, op. 8
pour piano
Françoise Choveaux (pno)
MKI 369208-2
Monique Müller (pno)
Gallo CD 680
Suite cisalpine sur des airs populaires
Piémontais, op. 332
pour violoncelle et orchestre
Thomas Blees (vlc), Orchestre de Radio Luxembourg,
dir. Bernard Kontarsky
Vox Box CDX 5109
Suite de quatrains, op. 398
pour récitant et sept instruments (flûte, saxophone alto,
clarinette basse, harpe, violon, violoncelle, contrebasse)
Madeleine Milhaud (réc), Jean-Pierre Rampal (fl),
Daniel Deffayet (saxA), Louis Montaigne (clB), Francis
Pierre (hp), Gérard Jarry (vl), Michel Tournus (vlc),
Jacques Cazauran (cb), dir. Darius Milhaud
Adès 15. 503 (LP)
Suite de sonnets, op. 401
pour soprano, haute-contre, ténor, baryton, flûte,
hautbois, basson, alto, trombone, clavecin
Raphaëlle Farman (S), Vincent Darras (CT), Hervé
Lamy (T), Laurent Naoury (Bar), Ensemble Erwartung,
dir.Bernard Desgraupes
Adda 581 292
Suite provençale, op. 152c
Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire,
Paris, dir. Serge Baudo
Le Chant du Monde LDC 278 1069
Orchestre National de la Radiodiffusion Française,
dir. Roger Désormière
Classical Collector CLCD 150122
70
Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo,
dir. Georges Prêtre
EMI 7243 5 74625 2
Saint Louis Symphony Orchestra,
dir. Vladimir Golschmann
Cascavelle VEL 3036
Detroit Symphony Orchestra, dir. Neeme Järvi
Chandos CHAN 9072
Boston Symphony Orchestra, dir. Charles Münch
RCA Gold Seal GD 60685
Orchestre du Capitole de Toulouse, dir. Michel Plasson
Deutsche Grammophon 435 437-2
Suite symphonique n° 2 “Protée”, op. 57
Utah Symphony Orchestra, dir. Maurice Abravanel
EMI Angel S-37317 (LP)
San Francisco Symphony Orchestra, dir. Pierre Monteux
Cascavelle VEL 3036
Symphonie n° 4, op. 281
Radio-Sinfonieorchester Basel, dir. Alun Francis
CPO 999 539-2
Orchestre Philharmonique de l’O.R.T.F., Paris,
dir. Darius Milhaud
Erato 2292-45841-2
Tango des Fratellini, op. 58c
pour piano
Françoise Choveaux (pno)
MKI 369 206-2
Tour de l’exposition (Le), « Promenade » op. 162
pour piano
Bennett Lerner (pno)
Etcetera KTC 1061
Trois poèmes de Jean Cocteau, op. 59
pour voix et piano
Jane Bathori (MzS), Darius Milhaud (pno)
Classical Collector CLCD 150122
Jean-François Gardeil (Bar), Billy Eidi (pno)
Adda 581177
71
■
ÉCRITS DE DARIUS MILHAUD
Études
Aveline, Paris, 1927
Notes sur Erik Satie
les œuvres nouvelles Éditions de la Maison française de
New York, 1946
Notes sans musique
Juilliard, Paris, 1949, 2
e
éd.,1963
Notes without music
Albert A. Knopf., New York, 1952, 1953
Entretiens avec Claude Rostand
Juilliard, Paris, 1952 ; Zurfluh, Bourg la Reine 2
e
éd.
1992
Ma vie heureuse
Pierre Belfond, Paris, 1973, 2
e
éd. édition revue en
1987 ; 3
e
éd. Zurfluh, Bourg la Reine, 1998
• Compilation d’écrits de Darius Milhaud
Correspondance Paul-Claudel - Darius Milhaud
1912-1953
(éd. Jacques Petit)
Gallimard, Paris, 1961
Notes sur la musique: essais et chroniques
(éd. Jeremy Drake)
Flammarion (Harmoniques) Paris, 1982
Correspondance Jean Cocteau - Darius Milhaud
(éd. P. Caizergues et J. Mas)
Service des Publications de l’Université Paul Valéry,
Montpellier, 1992
Portrait(s) de Darius Milhaud
(éd. Myriam Chimènes et Catherine Massip)
Bibliothèque Nationale de France, Paris, 1998
BIBLIOGRAPHIE
BIBLIOGRAPHY
BIBLIOGRAPHIE
72
■
ÉCRITS SUR DARIUS MILHAUD
• Ouvrages collectifs
Honegger - Milhaud : musique et esthétique : actes du
colloque international Paris 1992
Vrin, Paris, 1994
Francis Jammes (1868-1938) Darius Milhaud
(1892-1974)
Association Francis Jammes Bulletin n° 2, Orthez,
XII/1983
• Ouvrages individuels
Augsbourg, Géa
La vie de Darius Milhaud en images
Corrêa/Buchet-Chastel, Paris, 1935 réédition 1992
Beck, Georges
Darius Milhaud, Étude suivie du catalogue
complet de son œuvre
Heugel, Paris, 1949, 2
e
éd. 1956
Bloch, Francine
Discographie de Darius Milhaud 1892-1974
Service des Publications de la Bibliothèque Nationale,
Paris, 1992
Braga, A.
Darius Milhaud
Pederico & Ardia, Napoli, 1969
Cherry, P.
The String Quartets of Darius Milhaud
Thèse Colorado University, 1980
Clary, Mildred
Madeleine Milhaud, Mon XX
ème
siècle
France musiques-bleu nuit éditeur, 2002
Collaer, Paul
Darius Milhaud
Nederlandsche Boekhandel, Anvers, 1947
73
Collaer, Paul
Darius Milhaud
Richard Masse, Paris 1948
Collaer, Paul
Darius Milhaud
Slatkine, Genève-Paris 1982
Drake, Jeremy
The Operas of Darius Milhaud
Garland, New York, 1989
Ehrler, H.
Untersuchungen zur Klaviermusik von Francis Poulenc,
Arthur Honegger und Darius Milhaud
Tutzing, 1990
Forrest, R.
The Works of Darius Milhaud for piano and orchestra
Thèse Boston University, 1965
Hogdson, W. A.
An examination of the compositions of Darius Milhaud
for unaccompanied mixed voices
Thèse Illinois University of Urbana-Champaign, 1979
Kelly, Barbara L.
Tradition and Style in the Works of Darius Milhaud
1912-1939
Ashgate Publishing Company
Lunel, Armand
Mon ami Darius Milhaud
Édisud, Aix-en-Provence, 1992
Mac Carthy, P. J.
The Sonatas of Darius Milhaud
Thèse Catholic University, 1972
Mawer, D.
Darius Milhaud: Modality and Structure in Music of the
1920s
Aldershot, 1997
74
Milhaud, Madeleine
Catalogue des œuvres de Darius Milhaud
Slatkine, Genève-Paris, 1982
Morril, D.G.
Contrapuntal polytonality in the early works of Darius
Milhaud
Thèse Cornell University, 1972
Nichols, Roger
Conversations with Madeleine Milhaud
Faber & Faber, London, 1996
Roy, Jean
Darius Milhaud
Seghers, Paris, 1968
Roy, Jean
Le Groupe des Six
Seuil, Paris, 1992
Swickard, R.
The Symphonies of Darius Milhaud
Thèse Los Angeles University, 1973
Taylor, L.
The solo piano music of Milhaud’s with suggestions for
its instructional use
Thèse Temple University, 1976
Darius et Madeleine Milhaud (à droite), avec Geneviève Joy et
Mstislav Rostropovitch
(Aix-En Provence 25 juillet 1970)
Photo : Collection privée Madeleine Milhaud
75
■
DOCUMENTAIRES
“La vie commence demain” (1950)
93’
Musique de Darius Milhaud
Réalisation : Nicole Védrès
“Visit to Darius Milhaud” (1956)
52’
Documentaire de Ralph Swickard
“Un homme et sa musique” (1966)
53’
Documentaire de J Tréboutat et Pierre Vozlinski
■
CONCERTS FILMÉS
“Saudades do Brazil” (1974)
20’
Orchestre National de France, dir. Sergiu Celibidache
“Le Bœuf sur le toit” (1978)
18’
Orchestre National de France, dir. Leonard Bernstein
Réalisation Humphrey Burton
“La Création du monde” (1978)
20’
Orchestre National de France, dir. Leonard Bernstein
Réalisation Humphrey Burton
FILMOGRAPHIE
FILMOGRAPHY
FILMOGRAPHIE
77
A Frenchman in New York, op. 399 (1962) . . . 33, 58
À propos de bottes, op.118 (1932) . . . . . . . . . . . . . 56
Adages, op. 120b (1932) . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30, 58
Amours de Ronsard (Les), op. 132 (1934) . . . . 30, 58
Ani Maamin, un chant perdu et retrouvé, op.
441 (1972) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28, 58
Annonce faite à Marie (L’), op. 117 (1932) . . . . . . . 25
Automne (L'), op. 115 (1932) . . . . . . . . . . . . . . 48, 58
B
Bœuf sur le toit (Le), cinéma-fantaisie, op.
58b (1919) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36, 44, 59
Bœuf sur le toit (Le), op. 58 (1919) . . . . . . . . . 22, 58
Bolivar, op. 236 (1943) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21, 55
Brebis égarée (La), op. 4 (1910-1914) . . . . . . . . . . 21
C
Cantate nuptiale, op. 168 (1937) . . . . . . . . . . . 29, 59
Cantate pour l’inauguration du Musée de l’Homme
(Cantate de l’Homme), op. 164 (1937) . . . . 30, 59
Caramel mou (Shimmy), op. 68 (1920)
pour piano . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47, 59
Caramel mou (Shimmy), op. 68 (1920) pour six
instruments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
Carnaval de Londres (Le), op. 172 (1937) . . . . 32, 59
Caroles, op. 402 (1963). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
Catalogue de fleurs, op. 60 (1920) . . . . . . . 29, 54, 59
Chanson du capitaine, op. 173b n° 1 (1937) . . . . . 55
Chansons bas, op.44 (1917) . . . . . . . . . . . . . . . 52, 59
Chansons de Charles Vildrac (Cinq), op. 167
(1936-1937) pour voix et piano. . . . . . . . . . . . . . 55
Chansons de Charles Vildrac (Cinq), op. 167
(1937) pour voix et orchestre . . . . . . . . . . . . . . . 28
Chansons de l’Opéra du Gueux ou Chansons du
Carnaval de Londres, op. 171 (1937)
pour voix et orchestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
Chansons de l’Opéra du Gueux, op. 171 (1937)
pour voix et piano . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
Chansons de la “Rose des Vents” (Trois) (1957 . . . 55
Chansons de négresse (Trois), op. 148b
(1935-1936) pour voix et orchestre . . . . . . . . . . . 28
Chansons de négresse (Trois), op. 148b
(1935-1936) pour voix et piano . . . . . . . . 54, 55, 60
Chansons de troubadour (Trois), op. 152b (1936)
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54, 55
Château du feu (Le), op. 338 (1954) . . . . . . . . . 26, 60
Cloches (Les) (The Bells), op. 259 (1946) . . . . . 24, 60
Concert de chambre, op. 389 (1961) . . . . . . . . . . . 33
ALPHABETICAL
INDEX
INDEX
ALPHABÉTIQUE
ALPHABETISCHE
LISTE
Manuscrit des « Chansons de négresse »
pour voix et orchestre
78
Concert Royal (Concerto n° 3), op. 373 (1958)
pour violon et orchestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
Concertino de printemps, op. 135 (1934)
pour violon et orchestre . . . . . . . . . . . . . . . . . 37, 60
Concerto, op. 407 (1964) pour clavecin et orchestre . . 39
Concerto n° 2, op. 394 (1961) pour deux pianos et
quatre percussionnistes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
Concerto, op. 197 (1938-1939) pour flûte, violon
et orchestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38
Concerto, op. 323 (1953) pour harpe et orchestre . 38, 60
Concerto n° 1, op. 127 (1933) pour piano
et orchestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37, 60
Concerto n° 5, op. 346 (1955) pour piano
et orchestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
Concerto n° 1, op. 136 (1934) pour violoncelle
et orchestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37, 61
Création du monde (La), ballet op. 81 (1923) . . 23, 61
Création du monde (La), suite de concert
op. 81b (1926) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40, 61
D
Dans les rues de Rio (verso carioca), op. 44b (1917) 53
Danses en trois mouvements (Six),
op. 433 (1969-1970). . . . . . . . . . . . . . . . 46, 48, 67
Devant sa main nu, op. 122 (1933) . . . . . . . . . . . . 50
E
Élégies romaines (Deux), op. 114 (1932) . . . . . . . . 50
Études sur des thèmes liturgiques du Comtat
Venaissin, op. 442 (1973) . . . . . . . . . . . . . . 43, 62
Exercice (1961) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48
F
Fantaisie pastorale, op. 188 (1938) . . . . . . . . . 37, 62
Farandoleurs (Les), op. 262 (1946) . . . . . . . . . . . . 45
H
Hommage à Comenius, op. 421 (1966) . . . . . . . 29, 62
Hymne de glorification, op. 331 (1953-1954) . . 48, 62
I
Incantations (Poèmes aztèques), op. 201 (1939) . . 50
Invocation à l’ange Raphaël, op. 395 (1962) . . . . . 27
J
Java de la femme, op. 173b n° 2 (1937) . . . . . . . . . 55
Jeux de printemps, op. 243 (1944) . . . . . . . . . . . . . 32
Jeux de printemps, op. 243b (1944) . . . . . . . . . . . . 32
M
Mariés de la Tour Eiffel (Les), op. 70 (1921) . . 22, 62
Mariés de la Tour Eiffel (Les), op. 70b (1921) . 23, 62
Mazurka (1914) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46, 62
Mélodies et Chansons. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
Mère coupable (La), op. 412 (1964-1965) . . . . . . . 21
Meurtre d’un grand chef d’état (Murder of a Great
Chief of State), op. 405 (1963) . . . . . . . . . . . . . 34
79
Musique de théâtre, op. 334b (1954) . . . . . . . . . . . 36
Musique pour Ars Nova, op. 432 (1969). . . . . . . . . 35
Musique pour l’Indiana, op. 418 (1966). . . . . . 34, 62
Musique pour la Nouvelle-Orléans, op. 422 (1966) . 35
Musique pour Lisbonne, op. 420 (1966) . . . . . . . . 34
Musique pour Prague, op. 415 (1965) . . . . . . . 34, 63
Musique pour San Francisco, op. 436 (1971) . . . . 35
O
Ode pour Jerusalem, op. 440 (1972) . . . . . . . . . . . 36
Ode pour les Morts des guerres, op. 406 (1963). . . 34
Opéra du Gueux (L'), op. 171 (1728
orch. Milhaud 1937) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
P
Pacem in terris, op. 404 (1963) . . . . . . . . . . . . . . . 27
Pan et la Syrinx, op. 130 (1934). . . . . . . . . . . . . . . 30
Paris, op. 284 (1948) pour quatre pianos . . . . . . 42, 63
Paris, op. 284b (1959) pour orchestre . . . . . . . . . . . 33
Petite suite, op. 348 (1955). . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
Petits airs (Deux), op. 51 (1918). . . . . . . . . . . . . . . 53
Poème (du journal intime de Léo Latil),
op. 73 (1921) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54, 63
Poèmes (Deux), op. 39 (n° 1, 1916) (n° 2, 1919). . . 49
Poèmes (Quatre), op. 26 (1915-1917) . . . . . . . . . . . 52
Poèmes de Cendrars (Deux), op. 113 (1932) . . 49, 63
Poèmes de Jean Cocteau (Trois), op. 59 (1920) 53, 70
Poèmes de Léo Latil (Quatre), op. 20 (1914) . . . . . 51
Poèmes de Lucile de Chateaubriand (Trois),
op. 10 (1913) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51, 55
Poèmes de Paul Claudel (Sept), op. 7 (1912-1913)
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51, 55
Poèmes juifs, op. 34 (1916) . . . . . . . . . . . . . . . 52, 63
Printemps (Le), op. 18 (1914). . . . . . . . . . . . . . 44, 63
Printemps 1
er
recueil, op. 25 (1915-1919) . . . . 46, 64
Printemps 2
e
recueil, op. 66 (1920) . . . . . . . . . 47, 64
Promenade Concert, op. 424 (1967) . . . . . . . . . . . . 36
Promenade, op. 162 (1937) . . . . . . . . . . . . . . . 48, 70
Promesse de Dieu, op. 438 (1971-1972) . . . . . . . . . 51
Protée, op. 17 (1913-1919) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
Protée, op. 341 (1955) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
Psaumes de David (Trois), op. 339 (1954) . . . . . . . 50
Q
Quatuor à cordes n° 1, op. 5 (1912) . . . . . . . . . 40, 64
Quatuor à cordes n° 2, op. 16 (1914-1915). . . . 41, 64
Quatuor à cordes n° 3, op. 32 (1916) . . . . . . . . 41, 64
Quatuor à cordes n° 4, op. 46 (1918) . . . . . . . . 41, 64
Quatuor à cordes n° 5, op. 64 (1920) . . . . . . . . 41, 64
Quatuor à cordes n° 10 "Birthday Quartet",
op. 218 (1940) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42, 65
80
Quatuor à cordes n° 11, op. 232 (1942) . . . . . . 42, 65
Quatuor à cordes n° 12, op. 252 (1945) . . . . . . 42, 65
Quatuor à cordes n° 13, op. 268 (1946) . . . . . . 42, 65
Quatuor, op. 417 (1966) avec piano . . . . . . . . . . 43, 64
Quintette, op. 443 (1973) pour instruments à vents . . 40
R
Romances sans paroles (Quatre), op. 129 (1933)
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48, 65
Rose des vents (La), op. 367 (1957) . . . . . . . . . . . . 24
S
Saint Louis, Roi de France, op. 434 (1970) . . . . . . 22
Saudades do Brazil, op. 67b (1920-1921)
pour orchestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32, 65
Saudades do Brazil, op. 67 (1920-1921)
pour piano . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47, 66
Scaramouche, op. 165b (1937) pour deux pianos 45, 66
Scaramouche, op. 165c (1939) pour saxophone
et orchestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38, 66
Scaramouche, op. 165d (1941) pour clarinette
et orchestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38, 66
Service sacré, op. 279 (1947) . . . . . . . . . . . . . . 26, 67
Soirées de Petrograd (Les), op. 55 (1919) . . . . 53, 67
Sonate, op. 15 (1914) pour deux violons et piano . 43, 67
Sonate, op. 47 (1918) pour flûte, hautbois,
clarinette, piano . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41, 67
Sonate, op. 377 (1959) pour violoncelle et piano . 45, 67
Sonate, op. 437 (1971) pour harpe . . . . . . . . . . . . . 49
Sonate (n° 1), op. 33 pour piano (1916) . . . . . . . 47, 67
Sonate n° 1, op. 3 (1911) pour violon et piano . . . . . 43
Sonate n° 2, op. 40 (1917) pour violon et piano . 44, 68
Sonatine, op. 100 (1927) pour clarinette et piano . 44, 68
Sonatine, op. 76 (1922) pour flûte et piano . . . . 44, 68
Sonatine, op. 337 (1954) pour hautbois et piano . 45, 68
Songes (Les), op. 124 (1933) . . . . . . . . . . . . . . . 23, 68
Songes (Les), op. 237b (1943). . . . . . . . . . . . . . . . . 45
Stanford Serenade, op. 430 (1969) . . . . . . . . . . 39, 68
Suite cisalpine sur des airs populaires
piémontais, op. 332 (1954) . . . . . . . . . . . . . 38, 69
Suite de quatrains, op. 398 (1962) . . . . . . . . . . 31, 69
Suite de sonnets, op. 401 (1963). . . . . . . . . . . . 31, 69
Suite en sol, op. 431 (1969) . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
Suite provençale, op. 152c (1936) . . . . . . . . . . 32, 69
Suite provençale, op. 152d (1936) . . . . . . . . . . . . . 24
Suite symphonique n° 1, op. 12 (1913-1914) . . . . . 31
Suite symphonique n° 2 d'après "Protée",
op. 57 (1919) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31, 70
81
Suite, op. 8 (1913) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46, 69
Suite, op. 157b (1936). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43, 69
Symphonie n° 4 “1848”, op. 281 (1947) . . . . . . 33, 70
Symphonie pour l’Univers claudelien,
op. 427 (1968) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
T
Tango des Fratellini, op. 58c (1919) . . . . . . . . . 47, 70
Tour de l’exposition (Le) « Promenade »,
op. 162 (1937) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48, 70
Tragédie humaine (La), op. 369 (1958) . . . . . . . . . 26
Traversée, op. 393 (1961) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
U
Un petit peu d’exercice, op. 133 (1934) . . . . . . . . . 56
Un petit peu de musique, op. 119 (1932) . . . . . . . . 56
V
Valse en forme de rondo (La Couronne de
Marguerite), op. 353 (1956) . . . . . . . . . . . . . . . 33
Vendanges, op. 317 (1952) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
82
Abréviations
A
acc
B
Bar
batt
bgl
bl chinois
bm
bn
bong
c claire
CA
cast
cb
cbn
cel
cl
clpic
cl en la
cIB
cICB
clo à va
clotub
clv
cnet
cor
cor ang
crd
crot
CT
cymb
cymb charl
cymb susp
dir
disp élec acous
fl
flA
flex
glock
gr c
Français
Alto
accordéon
Basse
Baryton
batterie
bugle
bloc chinois (temple-block)
bande magnétique
basson
bongo
caisse claire
Contre-Alto
castagnettes
contrebasse (à cordes)
contrebasson
célesta
clarinette sib
petite clarinette mib
(clarinette piccolo)
clarinette en la
clarinette basse
clarinette contrebasse
cloches à vache
cloches-tubes
clavecin
cornet
cor en fa
cor anglais
cordes
crotales
Haute-contre (Contre-Ténor)
cymbales
cymbale charleston
cymbale suspendue
direction
dispositif électroacoustique
flûte
flûte Alto (flûte en sol)
flexatone
jeu de timbres
grosse caisse
English
Alto
accordion
bass
baritone
drums
bugle
temple block
tape
bassoon
bongo
snare drum
contralto
castanets
double bass
double bassoon
celesta
clarinet in Bb
clarinet in Eb
clarinet in A
bass clarinet
double bass clarinet
cowbells
tubular bells
harpsichord
cornet
French horn
english horn
strings
crotale
counter tenor
cymbals
charleston cymbal
suspended cymbal
conductor
live electronics
flute
alto flute (in G)
flexatone
glockenspiel
bass drum
Deutsch
Alt
Akkordeon
Bass
Bariton
Schlagzeug
Flügelhorn
Tempelblock
Tonband
Fagott
Bongo
kleine Trommel
Alt
Kastagnetten
Kontrabass
Kontrafagott
Celesta
Klarinette B
Klarinette in Es
Klarinette in A
Bassklarinette
Kontrabass
Klarinette
Kuhglocken
Röhrenglocken
Cembalo
Kornett
Horn
Englisch Horn
Streicher
Zimbeln
Contratenore
Becken
charleston Becken
hängende Becken
Dirigent
Beschallangsanlage
Flöte
Altflöte
Flexaton
Glockenspiel
grosse Trommel
83
Abréviations
gt
harm
heckel
hpe
htb
mand
marimba
moul
MzS
oM
org
perc
pic
pno
S
saxS
saxA
saxT
saxBar
saxB
saxh
Synt
T
tam-t
tamb
tamb mil
tb
timb
timb chrom
tom
tpl-bl
trb
trbT
trbB
trgl
trp
vibra
vl
vla
vlc
VM
wd-bl
xylo
Français
guitare
harmonium
heckelphone
harpe
hautbois
mandoline
marimbaphone
moulin à vent
(éoliphone)
Mezzo-Soprano
ondes Martenot
orgue
percussion
piccolo (petite flûte)
piano
Soprano
saxophone Soprano
saxophone Alto
saxophone Ténor
saxophone Baryton
saxophone Basse
saxhorn
synthétiseur
Ténor
tam-tam
tambour
tambour militaire
tuba
timbales
timbale chromatique
tom-tom
temple block
(bloc chinois)
trombone
trombone Ténor
trombone Basse
triangle
trompette
vibraphone
violon
alto (violon alto)
violoncelle
voix moyenne
wood block (bloc de
bois)
xylophone
English
guitar
harmonium
bass oboe
harp
oboe
mandolin
marimba
wind machine
mezzo-soprano
ondes Martenot
organ
percussion
piccolo
piano
soprano
soprano saxophone
alto saxophone
tenor saxophone
baritone saxophone
bass saxophone
saxhorn
synthesizer
tenor
tamtam
drum
side drum
tuba
timpani
chromatic timpani
tom-tom
temple block
trombone
tenor trombone
bass trombone
triangle
trumpet
vibraphone
violin
viola
violoncello
low voice
wood block
xylophone
Deutsch
Gitarre
Harmonium
Heckelphon
Harfe
Oboe
Mandoline
Marimbaphon
Eoliphon
Mezzosopran
Ondes Martenot
Orgel
Schlagzeug
Kleine Flöte
Klavier
Sopran
Sopransaxophon
Altsaxophon
Tenorsaxophon
Baritonsaxophon
Bass saxophon
Saxhorn
Synthesizer
Tenor
Tam-tam
Trommel
Militärtrommel
Tuba
Pauken
Chromatisch Pauken
Tom-tom
Tempelblock
Posaune
Tenorposaune
Bassposaune
Triangel
Trompete
Vibraphon
Violine (Geige)
Bratsche
Cello
mittlere Singstimme
Woodblock
(Holzblock)
Xylophon
CATALOGUE DARIUS MILHAUD - 2003
Imprimé en France par EMPI
Dépôt légal Décembre 2003
1000-01/12/2003