
© Le
"Saint Suaire de Turin" : ... un pur produit Made in France !
Le "Saint Suaire de Turin" dont
le vrai nom est... "suaire
de Lirey" (cf. le livre du Pr. Henri BROCH "Gourous,
sorciers et savants") est un linge
datant de plusieurs siècles et portant "l'empreinte" du
Christ. Ce linge est en fait... le
résultat d'un
probable frottis
(tamponnage)
sur un bas-relief représentant
le Christ et une mystification avérée du
clergé d'une
collégiale (Lirey) de la région champenoise
en France dans les années 1350.
Frottis (cf ci-dessous les vidéos
d'exemple de fabrication de "suaire de Turin"
en direct par le Pr. Henri BROCH en 1998 et 2005) réalisé avec des pigments
ocre rouge liés par de la colle d'os ou colle de peau,
ingrédients
dont la présence sur le "suaire de Turin" a
été scientifiquement
démontrée.
Le "saint suaire de Turin" - qui est donc un pur produit Made in France,
même si cela choque certaines personnes - a
d'ailleurs
été dénoncé
comme une mystification,
dès l'origine au
XIVème siècle,
par
l'évêque de Troyes, Henri de poitiers, qui
avait mené une enquête et... retrouvé
l'artiste qui l'avait fabriqué,
artiste qui avait pu attester de cette fabrication !
Les résultats de la
datation au carbone
14 effectuée en 1988 ont d'ailleurs
confirmé
pleinement
cette époque. Datation du lin constituant le suaire : 1325
± 65 ans.
Et cette datation, contrairement aux
contre-vérités
(exemples : pièces sur les yeux, pollens de
Palestine,
traces de sang, dégradation de la lignine, raccommodage,
etc, etc. -
assénées
régulièrement par quelques émissions,
articles
et/ou individus ayant seulement et sans aucune rigueur
survolé
le sujet) est toujours valide et validée.
Pour ce qui concerne la soi-disant "contamination"
(ajout de carbone récent soit par contamination directe,
soit par raccommodage ou rapièçage) pouvant
fausser la datation, il suffit de lire l'article du Pr. Henri Broch
dans les Z-Files "C14
et Suaire de Turin", article qui explique - démonstration
scientifique à l'appui - que cela est un pur
mensonge.
Contrairement à ce que - de nos jours encore ! - étalent complaisamment certains médias, le "suaire de Turin" n'est pas "acheiropoïète" (c'est-à-dire "non fait de main d'homme"). Il est même assez facile à refaire. Le Pr. Henri Broch en a fabriqué de nombreux depuis le tout début des années 1980 (avant même les datations C14) sans aucun problème et en quelques minutes avec sa technique du tamponnage ! Le Pr. Henri Broch a fait des émules et a ensuite été suivi par nombre de ses étudiants de Zététique et par plusieurs personnes, comme le Dr. Jacques di Costanzo venu au laboratoire de Zététique en octobre 2004 pour apprendre la technique du Pr. Henri Broch pour faire des "suaires". Regardez à titre d'exemple les pages spécifiques avec les vidéos ci-dessous. Ces
"suaires" ont toutes les
caractéristiques
attribuées au linge sacré, y compris le fameux
"effet 3-Dimensions",
c'est-à-dire la reconstitution du
relief contenu
dans l'image. Vous trouverez toute
l'information précise sur cet effet
3-dimensions
dans "Gourous,
sorciers et
savants"
Il est à noter que le relief contenu dans l'image du "suaire" conservé à Turin confirme même que ce linge n'a jamais contenu de corps ; le relief contenu est en effet de l'ordre de 4 ou 5 cm. En d'autres termes : ...un bas-relief ! |
Cliquez
ici pour voir la fabrication
(en 2005) d'un
"suaire de Turin"
par le Pr.
Henri
BROCH F abrication filmée en 2005 au laboratoire de Zététique par une équipe TV allemande et diffusée sur ZDF, Allemagne, en novembre 2006, dans un film entièrement consacré au "Suaire de Turin". © "Der Mann auf dem Grabtuch", Caligari Film GmbH, Munich 2006 Autre fabrication d'un "suaire de Turin" par le Pr. Henri Broch. Filmé en 1998 par une équipe canadienne pour une série de documentaires et diffusé sur Canal D, Canada, en 1999. © Cirrus Prod, Canada 1999 |
![]() Un suaire très spécial à structure "évanescente" fait en 2001 par Henri BROCH, actuellement utilisé comme une icône de prière. L'inscription incorporée est : "Pro DQ HB fecit MMI" |
© Les
ingrédients pour reproduire le miracle de la
liquéfaction
du sang de Saint Janvier à Naples
Le miracle de la
liquéfaction du "sang
de Saint Janvier" à Naples, qui a toujours lieu de
nos jours, peut très bien s'expliquer par... une simple
recette chimique (orcanette, spermaceti, éther sulfurique*)
qui se trouve, entre autres, dans le dictionnaire de Pierre Larousse
du XIXème siècle ! Une "ampoule miraculeuse"
fabriquée au tout début des années
1980 par
Henri Broch
présente toutes
les caractéristiques du
miracle dans lequel la surnaturelle transition dur --> liquide
se fait en fonction... de la température.
Pour
les détails
sur le miracle de la liquéfaction du sang de Saint janvier,
cf. le chapitre
spécifique dans l'ouvrage "Le Paranormal", Seuil (1985) 2001 en pages 103 à
112 (éd. 2001) ainsi
que les
compléments d'information
en pages 310 à 314 dans le chapitre "Quelques astuces
des thaumaturges au fil des siècles" de l'ouvrage
"Au Coeur de l'Extra-Ordinaire",
éd. Book-e-Book.com
2015
La "nouvelle hypothèse",
médiatisée à la suite de la
publication d'une
lettre de sceptiques italiens dans la revue Nature le 10 octobre
1991, d'une substance thixotrope (c'est-à-dire qui se
liquéfie
sous l'effet d'un choc) pour expliquer le miracle de Saint Janvier...
n'est pas si nouvelle que cela puisqu'elle a été
déjà publiée plusieurs
fois par le
passé par d'autres auteurs et, de plus, elle n'explique
pas toutes les caractéristiques du
miracle .
Ce que fait
par contre fort bien l'hypothèse du mélange
sensible
à la chaleur.
Il y a également d'autres recettes. Henri
Broch, dans son livre "Au Coeur de
l'Extra-Ordinaire",
en a donné une (sans éther et à base de
bile de boeuf) qui
provient du témoignage d'un médecin qui ... a
assisté
à la fabrication de la recette in situ dans la pharmacie
de l'hôpital municipal de Naples !
Pour plus d'informations sur ces derniers points, cf. l'ouvrage "Au Coeur de l'Extra-Ordinaire",
éd. Book-e-Book.com
2015
(* Contrairement à
ce qui est allégué
quelquefois, l'éther sulfurique n'est en rien un
anachronisme
dans cette recette puisque cet éther,
le vitriol doux, a été
découvert...
par le "chimiste" catalan Raymondus Lullus au XIIIème
siècle, vers 1275)
Sommaire
détaillé de
"Gourous,
sorciers et
savants"
(éd. Odile Jacob 2006)
Et
"Au Coeur de l'Extra-Ordinaire"
(éd Book-e-Book 2015)
© La marche sur le feu
La marche sur le feu, marche sur
les charbons
ardents, paraît vraiment un miracle ou un exploit
nécessitant
un pouvoir mental extraordinaire et un contrôle de son corps
digne des lamas tibétains dans les meilleurs films du genre.
En fait, le miracle est dû principalement à la
faible
capacité calorifique des charbons et à leur
également
faible conductivité thermique. Pour démontrer
cette
alternative, Henri
Broch a marché, pieds nus, sur des charbons
ardents
au CNRS-Marseille en mai 1992... en lisant, bien sûr, le
chapitre de son ouvrage "Au Coeur de l'Extra-Ordinaire", (éditeur actuel Book-e-Book 2015) qui explique la
marche
sur le feu.
Tout un chacun - à condition de vaincre sa peur - peut
y parvenir avec de faibles risques de brûlure.
Attention toutefois, relisez bien les mots qui
précèdent:
"faibles risques
...... de brûlure" ne signifie pas "risques ...... de
brûlure faible"
!
Et "Au Coeur de l'Extra-Ordinaire" (éd Book-e-Book 2015)
© Le "cosmonaute maya" de Palenque, Mexique
Dans le domaine de
l'archéologie spatiale,
le "cosmonaute maya" est certainement la pièce
la plus connue et la preuve que des extraterrestres sont venus
prendre contact avec les humains dans l'Antiquité. Cette
"preuve" est le dessin sculpté sur la dalle de
couverture du sarcophage découvert en 1952 dans la crypte
du Temple des Inscriptions à Palenque au Mexique et qui
représente, selon Charroux, Daniken et autres
archéomanes,
"un astronaute au poste de pilotage de son vaisseau".
En fait, comme Henri
Broch l'a expliqué dansson ouvrage "Le Paranormal", Seuil 1985-2007
(et, avant cet ouvrage, dans "La
mystérieuse pyramide de Falicon",
France-Empire 1976),
le contexte maya local fournit l'explication de cette sculpture.
Il suffit de "redresser" l'image du cosmonaute - toujours
présentée horizontalement - et de la comparer
avec
le motif du Temple de la Croix, temple voisin sur le même
site de Palenque.
En 1 : masque du monstre de la terre, symbole de la mort.
En 2 : l'arbre sacré, ceiba (i.e. kapokier, fromager) ou la
plante sacrée, maïs.
En 3 : le quetzal (oiseau-soleil), symbole de vie.
"Au Coeur de l'Extra-Ordinaire" (éd Book-e-Book 2015)
© La pyramide de Falicon. Quelques clichés au cours du temps...
Le site de la "Bauma des
Ratapignata",
avec la pyramide qui marque l'entrée de la grotte, est situé sur la
commune de Falicon
jouxtant la commune de Nice.
Pour les informations sur cette pyramide et la grotte (avec les plans
du site, de la pyramide et du souterrain ainsi
qu'un relevé
précis et complet de la grotte), reportez-vous directement
à l'ouvrage de Henri BROCH
"La
mystérieuse
pyramide de Falicon", France-Empire, Paris 1976.
Suite à cet ouvrage et une pétition que l'auteur
avait
lancée pour la sauvegarde de l'édifice
(recueillant plus
d'un millier de signatures) ainsi qu'un gros dossier qu'il avait
élaboré ("j'ai
adressé le dossier que vous m'aviez remis à
Monsieur le Directeur Régional des Affaires Culturelles de
Provence", lettre du Ministre de la Culture Jack LANG à
Henri
BROCH du 4 août 1982),
les choses avaient - un peu - avancé :
-----------------------
"J'ai l'honneur de vous
faire connaître que le dossier de cette affaire a
été soumis à la
Commission Départementale des Sites qui, en sa
séance du
11 Mai 1982, a émis un avis favorable à
l'inscription
à l'inventaire des Sites de la Pyramide et de ses abords."
(Lette du Préfet des Alpes-Maritimes Pierre LAMBERTIN au
Conseiller Général Louis BROCH du 24 juin 1982).
-----------------------
Après plusieurs demandes (et cela depuis même le début
du XXème siècle), demandes
de divers élus, groupes ou associations et in fine de
l'IPAAM
(Institut de Préhistoire et d'Archéologie Alpes
Méditerranée), la pyramide de Falicon a
été
enfin inscrite à l'inventaire des Monuments Historiques
le... 7
août 2007 ! (et... inscrite et non
classée).
Voici quelques clichés pris par Henri BROCH vers les années 1965-1967, 1972 et 1981 qui pourront permettre, en comparant avec l'état actuel, de "mesurer" les malheureuses dégradations subies par ce monument resté trop longtemps non protégé.

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