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Connaissez-vous le nouvel avocat de Hasseni ?*

Posté par Benderouiche le 11 novembre 2008

avocate.jpgPour permettre aux blogueurs de se faire une opinion sur le nouvel avocat pénaliste qui aurait été choisi. pour défendre le diplomate Mohamed Ziane Hasseni, nous vous invitons à lire l’article ci après paru dans “Monde.2 fr” en début d’année 2008. Vraiment il y a encore des gens qui pensent qu’il y a des avocats “qui lavent plus que d’autres”. Ils sont et restent pour beaucoup des avocats infréquentables. (Mohand) 

“Ils étaient les avocats des voyous, ils ont désormais pour clients des personnalités politiques et des chefs d’entreprise mis en cause dans des affaires financières. Ces sept avocats pénalistes, confrères et rivaux, se sont imposés par leur éloquence, leur ambition. “Le Monde 2″ retrace leurs ascensions sociales qui résument vingt ans de tensions entre la justice et les puissants.
Ils énoncent avec plus ou moins de spontanéité leurs tarifs. Olivier Metzner est celui qui est le plus à l’aise sur le sujet. “500 euros de l’heure hors taxes et 250 euros pour les collaborateurs”, dit-il. Jean-Yves Le Borgne est au même tarif. Hervé Temime prend entre 400 et 600 euros, Patrick Maisonneuve, Thierry Herzog, Pierre Haïk sont à peine moins chers. 450 euros hors taxes, moitié moins pour leurs collaborateurs. Pour un dossier avec instruction et un procès d’une journée, il faut compter de 30 000 à 75 000 euros. Chez Olivier Metzner, beaucoup de dossiers se traitent entre 100 000 et 300 000 euros. Les avocats peuvent également demander un intéressement en cas de relaxe. “Nos honoraires s’approchent de plus en plus de ceux des avocats d’affaires”, constate Hervé Temime.

Au téléphone, le premier avocat. “J’enquête sur les pénalistes que l’on retrouve dans toutes les grandes affaires financières, j’ai pensé à vous… – Très bien ! Mais à part moi, qui sont les autres?” Ça ne rate pas. Sept fois de suite. Bienvenue chez les loups. Pierre Haïk, Thierry Herzog, Jean-Yves Le Borgne, Patrick Maisonneuve, Olivier Metzner, Francis Szpiner, Hervé Temime. Ils sont chers confrères, parfois vrais amis, rivaux toujours. C’est que depuis des années, ces sept-là se partagent – et se disputent – la crème du gâteau judiciaire. Les noms de leurs clients? Ce serait trop long. Prenez la liste du CAC 40, ajoutez-y celle des principaux dirigeants politiques, allongez d’une poignée de PAF et vous aurez une idée de leur carnet de commandes. Objet : les sortir, avec le moins de casse possible, de la petite, grosse ou sale affaire pour laquelle des juges ont le mauvais goût de les poursuivre.

Au commencement était l’ambition. Elle dévore Francis Szpiner. Il a avalé ses études en jeune homme pressé et le voilà, à 21 ans, prêtant serment. Le Parisien pur sucre et déjà grande gueule, fils d’imprimeurs, remarque-t-il ce jour-là l’un de ses voisins, un provincial pâle et discret de cinq ans son aîné, tout juste arrivé de sa Normandie? Il s’appelle Olivier Metzner. Bientôt, ils fumeront les mêmes gros cigares, à l’arrière d’une voiture avec chauffeur qui les conduira de bureaux de juges d’instruction en parloirs de prison.

Cinq, six ans plus tard, deuxième livraison. Thierry Herzog, Pierre Haïk, Patrick Maisonneuve, Hervé Temime prennent à leur tour la robe. Aucun d’entre eux n’est fils d’avocat, ce confortable sésame. Ils relèvent les manches, se cherchent un patron – Jean-Louis Pelletier pour Thierry Herzog, Philippe Lemaire pour Patrick Maisonneuve – ou décident de se débrouiller tout de suite tout seuls, comme Temime et Haïk. “On n’était les fils de personne, on n’avait pas de protections. On n’était ni désirés ni attendus, mais on bossait comme des fous”, se souvient Pierre Haïk. “On nous a accusés de tout, de détourner la clientèle de tout le monde. Mais nous, on était en prison tous les matins, tous les samedis. On était des loups, c’est vrai.” Tous ont fait le même choix : le pénal. Du lourd, du brutal. Trafic de drogue, saucissonnage, violences en tout genre, petits et grands truands.

Francis Szpiner va encore un peu plus vite que les autres. Formé comme Jean-Yves Le Borgne chez Charles Robaglia, qui comptait alors dans sa clientèle tout le milieu corse de Paris, il plaide pour la première fois aux assises à 23 ans. Son nom ne tarde pas à apparaître au détour de quelques dossiers célèbres. Le procès de l’affaire de Broglie, en 1981, celui des ravisseurs du baron Empain, un an après. “Donc, j’ai 28 ans et je suis une star”, résume-t-il. A la même période, en octobre 1980, dans la salle de la cour d’assises de Paris qui prononce la dernière condamnation à mort de l’histoire judiciaire française – celle de Philippe Maurice, dont la peine sera commuée quelques mois plus tard en détention à perpétuité par le président tout juste élu François Mitterrand – deux jeunes avocats venus assister aux débats sympathisent : Hervé Temime et Thierry Herzog. Près de trente ans plus tard, l’amitié est toujours là. Tout comme celle que Thierry Herzog lie cette année-là avec un autre jeune confrère pressé, qui remue ciel et terre pour faire élire son patron au bâtonnat de Paris. Le candidat s’appelle Guy Danet, son “directeur de campagne” est Me Nicolas Sarkozy. “Depuis, on ne s’est jamais perdu de vue”, raconte Thierry Herzog. On y reviendra. Leurs confrères civilistes – spécialisés dans le droit commun notamment de la famille, des biens ou des affaires – regardent de haut cette petite bande d’affamés politiquement incorrects dont les voyous se repassent le nom comme un bon tuyau. “Les pénalistes, c’était vraiment la deuxième classe”, dit Hervé Temime. “C’est vrai qu’on était plus grande gueule que grand esprit”, souligne Jean-Yves Le Borgne. “Nous étions assimilés à ceux que nous défendions”, confirme Pierre Haïk. Le conseil de l’ordre les tient à distance mais eux-mêmes n’ont alors guère envie de se couler dans le moule. Ils apprécient de rester entre eux, au sein de l’Association des avocats pénalistes qu’a créée au milieu des années 1980 Hervé Temime, et revendiquent une identité et des règles déontologiques propres.

Au même moment, dans les cabinets d’instruction, une nouvelle génération de juges plonge son nez dans des dossiers particuliers. Les dépenses de communication politique ont flambé et, avec elles, les relations incestueuses entre élus et chefs d’entreprise. On commence à entendre parler de magistrats pugnaces, tel Thierry Jean-Pierre, qui enquête sur le financement du Parti socialiste, de Renaud Van Ruymbeke, et bientôt d’une femme inclassable parlant avec un fort accent étranger, une certaine Eva Joly. Les notables qu’ils convoquent dans leur cabinet font ce que les notables ont toujours fait. Contraints de prendre un avocat, ils le choisissent dans leur monde. Un avocat d’affaires, pour ceux des patrons qui en ont un. Au minimum un bâtonnier (élu par ses pairs dans chaque tribunal de grande instance pour les représenter au conseil de l’ordre) pour les autres. “Les patrons étaient convaincus d’être innocents s’ils avaient un bâtonnier en défense”, raconte Olivier Metzner. Plus il est chic, plus il est cher, mieux il en imposera aux petits juges, pensent-ils. D’autant qu’à Paris, par exemple, la 11e chambre du tribunal correctionnel spécialisée dans les affaires financières s’apparente alors, selon Hervé Temime, à ” une sorte de club privé ” où les échanges entre juges et avocats sont policés. Entre gens de bonne compagnie, on se comprend. Cette clientèle d’un nouveau type ne concerne pas la petite meute de pénalistes qui, depuis quelques années, vit très confortablement des honoraires que lui versent les gros trafiquants de drogue ou les proxénètes de renom.

Dans les couloirs des juges d’instruction, où ils sont comme chez eux, il leur arrive désormais de croiser leurs confrères avocats d’affaires ou bâtonniers en compagnie d’un élu ou d’un chef d’entreprise. “Ils découvraient un monde qu’ils ne connaissaient absolument pas. Ils nous prenaient à témoin de leur indignation en nous disant : Le juge a mis les menottes à mon client, vous vous rendez compte, les menottes! , dit Jean-Yves Le Borgne. Pour nous, tout ça, c’était banal. Eux, ils tombaient des nues.” Les clients encore plus. “On ne leur avait pas appris, dans les grandes écoles, que la prison existait”, observe Olivier Metzner. » P.R.Diar

* Titre d'El Mouhtarem

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Un nouvel avocat pour le diplomate Hasseni

Posté par Benderouiche le 11 novembre 2008

mecili1.jpgLe chef du protocole au ministère des Affaires étrangères Mohamed Ziane Hasseni doit se présenter demain pour une nouvelle audition devant le juge d’instruction qui l’a inculpé dans l’affaire du meurtre d’Ali Mecili. Le diplomate va se présenter devant M. Baudoin Thouvenot avec un collectif de défense renforcé par la présence d’un célèbre avocat pénaliste du barreau de Paris. Il s’agit de Me Hervé Témime, qui fait partie d’un “club” restreint d’avocats ayant défendu des personnalités politiques ou des patrons de grande entreprise française. (…)

Me Témime avait défendu l’actrice Catherine Deneuve qui a eu maille à partir avec le fisc pour ne pas avoir fait mention d’une somme de 85 000 euros, qui lui avait été versée en 2002 Abdelmoumène Khelifa en deux temps : présence dans sa villa de Cannes pour le lancement de Khalifa TV et déplacement à Alger pour assister au match de football entre l’équipe nationale et l’OM.  (Sources Liberté)

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Quand Hasseni frissonne, Alger tremble

Posté par Benderouiche le 11 novembre 2008

Apparemment rien ne va plus dans cette affaire qui ressemble à un feuilleton télévisé croustillant. On s’attendait à une fin rapide après que notre “hassan- héros”, eut admis sur le tard les vertus salvatrices des tests exigés par Thouvenot dès le début. Mais que voilà que les choses se gâteraient d’Après le maître de la maison Algérie. Ce qui se passe, est que Alger, donc Bouteflika personnellement en charge du dossier du malheureux héros, s’inquiète du sort de son poulain à quelques jours de la date de l’annonce des résultats du test de l’ADN prévue le 17 novembre.

Le monarque d’Alger vient de décider de renforcer le staff de la défense par le meilleur cabinet de Paris qui compte parmi ses avocats des personnalités politiques. C’est, que nous dit-on, la bataille juridique (véridique) s’annonce longue et difficile. Tiens donc ! Le test ne suffirait plus alors… Que nous cache-t-on encore? Et par précaution Ouyahia a envoyé un avion spécial en France pour évacuer en urgence son bienfaiteur Belkheir, l’incube, de peur, ils sont humains les bougres…, que notre stratège à qui on doit tous nos maux, soit pris dans les filets de Thouvenot. A vous de voir si on est commandé par des hommes d’Etat ou par une pègre internationale.

Pour ça il faut savoir quel dictionnaire il faut lire. Car il y a une nuance d’appréciation entre la description du DRS et celle de Rousseau…

Affaire à suivre donc en attendant ne vous inquiétez pas pour Hasseni, il est en bonne main parmi les siens (sa famille ou ses enfants vivent en France), séjour totalement pris en charge par la princesse. Que demander de plus, sinon faire durer le feuilleton pour le plaisir de tout le monde plaisir.

Par Sniper

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Les aveux de Jean-Louis Pelletier

Posté par Benderouiche le 4 novembre 2008

mecili.jpgL’avocat du diplomate Mohamed Ziane Hasseni reconnaît que le véritable coupable est Rachid Ziane sans pour autant l’identifier. Pour sauver son “client”, l’avocat enfonce un autre qu’il ne veut pas identifier, alors qu’il lui suffisait de confronter les deux photos pour demander la liberté de son client. L’avocat semble aussi confondre, car son client est encore innocent. Le juge d’instruction n’a pas encore terminé son travail et l’avocat se permet de le juger “incompétent”. Pauvre défense qui pour sauver l’un enfonce l’autre et confond instruction et jugement.

Sur le plan judiciaire, l’instruction se termine par un non-lieu ou une inculpation. Quant au jugement, il se termine par une condamnation ou un acquittement. Mais pour monter les enchères, il accuse les autres. Mais comme le journal, qui l’a questionné, s’est montré très zélé, il ne peut faire des remarques à cet avocat du pouvoir algérien, puisqu’il a obtenu des documents personnels du mis en examen, y compris son livret familial. On ne refuse rien à Mme
La FRANCE, pourvu qu’elle protège les criminels de Mécili et autres BOUDIA.

Maamar Boudersa

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L’avocat de Hasseni affirme: “Le juge d’instruction en charge de l’affaire est un incompétent”*

Posté par Benderouiche le 3 novembre 2008

mecili.jpgDans un entretien accordé au quotidien Ennahar (2 novembre), M. Jean Louis Pelletier, avocat du diplomate Mohamed Ziane Hasseni, a qualifié le juge d’instruction en charge de l’affaire d’incompétent. «Nous avons présenté le document original prouvant l’identité de M. Ziane et attestant qu’il n’avait rien à voir avec le véritable coupable qui est Rachid Ziane», a affirmé Me. Pelletier. Et d’ajouter : «Le dossier que nous avons présenté au juge d’instruction comprend également l’original du livret de famille des parents du diplomate, en plus de son livret militaire. Lequel comprend tous les détails sur son affiliation et qui constitue un argument massue innocentant M. Ziane Hasseni.» 
Le défenseur du diplomate se gardera de se prononcer sur le volet politique de cette affaire, précisant par là même qu’il n’en était pas convaincu.
«Et à la limite, cela ne me concerne pas. J’ai été constitué pour défendre un accusé qui est innocent dans un dossier donné. Ni plus ni moins.» 

 

Abordant le fond du dossier, Me Pelletier révèlera que Samraoui, celui dont les «révélations» ont permis la délivrance d’un mandat international contre le directeur des affaires protocolaires du ministère des Affaires étrangères et son arrestation, puis sa mise en examen, a produit un faux témoignage. «Il a été incapable de reconnaître M. Hasseni au moment où France 3 l’a pris en photo.» L’avocat confirmera la convocation par le juge d’instruction en charge de ce dossier de Hichem Aboud et Samraoui, tout en s’offusquant de ce que le magistrat tarde à faire procéder aux analyses ADN après que M. Mohamed Ziane Hasseni eut accepté les prélèvements. Le défenseur du diplomate reste confiant, convaincu de la solidité des preuves innocentant son client. 

(Sources La Tribune du 3 novembre 2008)

* Le titre est tiré de l'entretien par El Mouhtarem

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La pétition de Rahmani

Posté par Benderouiche le 28 octobre 2008

rah2.bmpAprès son lancement  il y a 15 jours par  Anis Rahmani, la pétition de soutien au diplomate Mohamed Ziane Hasseni, intitulée “un million et demi de signatures pour stopper l'humiliation de l'Algérie”,  n'a pu récolter que 260 signatures. Les signataires sont d'illustres inconnus. EL Mouhtarem 

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Où étiez-vous messieurs les néo bas-triotes ?

Posté par Benderouiche le 26 octobre 2008

patrie.jpgrah1.bmpRéponse à Mr. Davidlemac.
Merci pour l’inérêt que vous portez aux commnentaires et en particulier au mien. Je vous réponds tout de suite: je ne connais ce Monsieur l'ambassadeur du pouvoir en France que de nom et des signatures dans le journal officiel. IL était déjà Directeur Général de la fonction publique. DG de l’Ecole Nationale d’Administration, conseiller de Bouteflika, peut-être ambassadeur.

Selon la presse, son fils a été impliqué dans une affaire de milliards, le principal accusé, un certain Achour est toujours en prison. Selon la presse, le fils de Missoum Sbih a quitté le territoire algérien et il est à l’étranger. Combien d’Algériens ont été condamnés en France et dans le monde sans que personne ne bouge le petit doigt. Pour ce monsieur du protocole des affaires étranges, où on signe des décisions de désistement de palais et villas au dinar symbolique, il y a eu une mobilisation permamente, c’est dire que ce monsieur est important pour le pouvoir, car il est un algé(rois). Les autres étaient des Algé(riens). Pour celà, il n’y avait pas de mobilisation, il n’y avait pas de lettre ouverte, il n’y avait pas de pétition nationale pour relever le défi lancé par le pouvoir français.

Quand Sarkozy a annoncé à Alger même que la France ne présenterait pas ses excuses pour les crimes coloniaux et colonialistes, il n’y avait pas de réplique, de commentaire, de défi à relever. Il n’y avait rien. Il y a une grande confusion dans l’égo de certains et leur identification nationale. L’affaire dite Hassani ou Hesni etc..est une affaire personnelle, car le droit pénal personnalise les actes. C’est un Algérien ou Algérien-Français, employé aux AE qui a été arrêté. Point final. Il répondra de ses actes et seul. S’il est complice du meurtre, il répondra aussi. S’il est innocent, il demandera la réparation du préjudice causé. Mais quand Sarkosy déclare à Alger, au siège de la présidence que la France ne présentera pas les excuses, il s’agit d’un acte d’agression de la France contre l’Algérie.

Où étiez-vous messieurs les néo bas-triotes. Etes-vous sensibles au cas de ce monsieur et insensible à tous les innocents tués par la France coloniale et ses valets d’hier et d’aujourd’hui ? Quand la France tient en ôtage le peuple algérien en refusant de lui remettre les archives de son histoire, où étiez-vous messieurs les néo bas-triotes? Quand la France brûlait au napalm les Algériens à la recherche des fellagas, où étiez-vous messieurs les bas-triotes ? Quand la France violait l’espace aérien pour bombarder au Tchad, où étiez-vous messieurs les bas-triotes ? Décidemment, les bas-triotes ne réagissent au nom de l’Algérie que lorsque leurs intérêts sont en jeu. Cette Algérie de la minorité préviligiée qui considère le pays comme sa propriété privée n’est pas l’Algérie de tout le monde.

Ennahar veut rassembler un million et demi de signatures pour laver l’affront de la France en inculpant ce monsieur. Ennahar n’a pas levé le petit doigt quand Sarkozy a lancé un défi au peuple algérien en Algérie, à Alger, au siège de la présidence de la République, que la France ne présentera pas ses excuses pour ses crimes coloniaux. Tout le monde s’est tû, comme s’il n’y avait rien. Aujourd’hui, le verbe est différent. Si la France va faire autre chose encore contre ses alliés d’Alger? Elle les a aidés en expulsant le présumé coupable Abdelmalek Amellou. Pourquoi le pouvoir n’envoie pas Amellou témoigner que ce Hasseni n’était pas celui qui lui a signé l’ordre de mission et lui a remis l’argent du crime. Le silence complice. Noyer le poisson dans l’eau. Pourquoi ne pas ouvrir le dossier ici en Algérie? La peur, la peur que la vérité ne viendra éclater aux yeux de tout le monde.

Maamar Boudersa

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“Affaire Hasseni: les diversions sont nombreuses depuis le début…”

Posté par Benderouiche le 26 octobre 2008

hasni.jpgNe croyez vous pas que les diversions sont nombreuses et ont été assez répétées depuis le début de l’affaire Hasseni ? Notre propos et notre préoccupation ne sont dictés que par le souhait que l’assassin d’un officier de l’ALN et d’un fondateur du FFS M/ Ali Mecili soit jugé. Jugé pour son acte ou par sa complicité dans l’accomplissement de cette décision ignoble. Bien évidemment le but ne s’arrête pas à ce stade, mais il vise un plus noble objectif celui de parvenir à ce que plus jamais des frères meurent par le fait d’autres frères pour quelque motif que ce soit. Il n’y a pas de droit humain ni divin qui permet que des humains aveuglés par leurs pouvoirs et leurs désirs de se maintenir coûte que coûte fassent ce qu’ils ont fait.  Des “actes patriotiques” comme le justifient certains ne sont pas tolérables et ne peuvent être tolérés par notre conscience à tous. Nonobstant cette question qui est le vecteur de nos agissements et qui déterminent nos points de vue. Je condamne le fait de désigner un quelconque innocent à la vindicte publique. Je ne soutiens pas non plus la fougue que certains font pour défendre un collègue des AE ou du DRS et se taisent quand des centaines d’Algériens, simples citoyens ceux-là, se font ramasser à la pelle sous le seul délit de faciès.

C’est vrai qu’eux n’ont généralement pas ce “défaut” ;  ils sont gras et bien nourris, bien vêtus aussi, alors ils se faufilent dans les masses. Je n’ai rien contre Hasni, comme je n’ai pas de préjugés contre Samraoui. Les événements qui l’ont amenés à se mêler de cette affaire sont connus, son histoire au sein de la SM est connue de ses collègues, ses amis et ses voisins. Ce n’est pas lui le noeud gordien de l’affaire. Nous ne pouvons pas comprendre que notre pays couve un assassin et le couvre.

Si c’est la France qui pose problème à certains, pourquoi ne pas le juger en Algérie ? Cela est possible. Mais ça c’est une autre affaire, car alors il faudrait aussi juger, ceux qui ont dilapidés l’argent du pays avec mille artifices dont ils ont le secret, il faudrait aussi juger les assassins d’hier dont les corps de leurs victimes sont encore chauds, il faudrait enquêter sur les divers assassinats en Algérie et dont les enquêtes ont été bâclées et clôturées. Il faudrait aussi instruire et juger les affaires que les citoyens dénoncent chaque jour par dizaines, mais rien ne bouge.

Ils se glacent de frayeurs et on le ressent quand on parle de ces questions sensibles, comme par exemple les cas de chefs du GIA devenus des notables, et les assassins terroristes camouflés dans des lieux inconnus et j’en passe.

Quant à ceux qui semblent s’intéresser à la manifestation de la vérité, qui de l’intérieur nous donnent des informations avec parcimonie pour nous éloigner de notre but, quand ceux la nous parlent aussi de toutes les questions épineuses dont ils sont au courant et donc complices alors nous applaudirons à chacune de leur manifestation sur ce blog et ailleurs … en attendant nous continuons à contempler et à rire des agissements des plus autorisés d’entre eux à émettre des commentaires sentencieux pendant que d’autres ressassent les mêmes arguments.

En pédagogues qu’ils sont, ils savent que répéter et répéter les choses même fausses, il en reste toujours quelque chose. 

Par Mohand

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Noureddine Djoudi père de l’actuel ministre des Finances

Posté par Benderouiche le 23 octobre 2008

kdjoudi.jpgJe suis Ok avec les principes que défend Mohand. J’ajouterais que Nouredinne Djoudi, qui vient de se réveiller, est bien l’ambassadeur à Paris dans les années 90, pote de Bouteflika et père de l’actuel ministre des finances. L’attitude de N.Djoudi est parfaitement conforme à son statut de membre du système, et naturellement défenseur de ce système honni. Donc, rien d’étonnant. Le contraire l’aurait été. il aurait été extarordinaire qu’il se transforme en militant de la vérité dans l’affaire de l’assassinat de Mecili. D’ailleurs dans cette affaire, on semble être de plus en plus dans un dossier à tiroirs ou l’assassinat lui même et la quête de justice sont secondaire. N’oublions pas que deux nouveaux acteurs (spéciaux de par leur passé professionnel récent) sont entrés en jeu: Hicham Aboud et Mohamed Samraoui. Ajoutez-y les services français, allemands (où réside Samraoui) et belges (où réside Aboud). Ca tiraille de tous les cotés, sans oublier que pour les services algériens Aboud et Samraoui sont des traitres à abattre..Sans oublier les intérêts des différents Etats. Dans tout cela, faut être devin pour savoir comment l’affaire va se développer.

Mabdekka

Photo: Karim Djoudi ministre des Finances

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L’ambassadeur Djoudi écrit à El Watan

Posté par Benderouiche le 22 octobre 2008

amba.jpgLa personne mise en cause par votre journal dans son édition de ce jour, mardi 21 octobre 2008, étant en poste hors d’Algérie, je vous prie de bien vouloir publier la mise au point suivante comme réaction d’un citoyen algérien à une erreur gravissime de votre quotidien.

«Lecteur assidu d’El Watan dont j’apprécie souvent le sérieux et le professionnalisme, j’ai été scandalisé de voir en première page la photo d’un de nos meilleurs jeunes diplomates avec la mention « personne présentée comme étant Rachid Hassani ». Par delà la douloureuse épreuve que traverse notre ami Mohamed Ziane Hasseni, dont l’innocence, j’en suis intimement convaincu, ne fait aucun doute dans l’exécution d’un crime auquel rien ne le rattache, sinon le douteux « témoignage de visu » d’un ex-officier félon, il est particulièrement pénible de voir un quotidien respecté manquer à ce point de vigilance. Il vous souviendra que M. Hasseni a été interpellé sur simple dénonciation d’un ex-colonel, Semraoui en l’occurrence, qui affirme avoir reconnu sur un document photo le commanditaire de l’assassinat de André Ali Mecili. Au demeurant, ce délateur a été confondu par une chaîne de télévision française qui a démontré que le témoignage de Semraoui était entaché de nullité de par sa confusion des personnes et des visages.

Publier en première page la photo d’un de nos ambassadeurs les plus respectables, actuellement en poste en Europe, avec la mention en question, et compte tenu du climat qui règne autour de cette affaire, n’est-ce pas risquer non seulement de jeter la suspicion sur un diplomate algérien de plus, mais également de le rendre bien malgré lui acteur potentiel dans cette affaire ultra ubuesque où l’apparence physique et l’orthographe prennent le pas sur l’authenticité de l’acte d’état-civil ? Mais n’est-ce pas aussi et surtout ajouter, par manque de vigilance, de l’eau au moulin de ceux qui n’hésitent pas à user de tous les moyens pour s’en prendre à l’image de marque de notre pays et, accessoirement, ajouter un élément de discorde de plus dans nos relations avec la France ? Connaissant la probité, le souci de vérité et l’attachement profond de M. Belhouchet au respect de l’image de marque de notre patrie, je ne doute pas que vous saurez réparer comme il se doit cette malheureuse faute que je ne peux considérer comme intentionnelle. » Nourredine Djoudi

Commentaire: la photo a été publiée depuis plus d'un mois dans le site Mediapart et reprises par plusieurs sites internet. Pourquoi ni l'ambassadeur mis en cause ni les autorités algériennes n'ont réagi pour “rétablir” la “vérité” ? El Mouhtarem

Publié dans Affaire Mecili | 30 Commentaires »

 

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