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Les albums de Grateful Dead
 
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THE GRATEFUL DEAD (1967) :
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ANTHEM OF THE SUN (1968):
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AOXOMOXOA (1969) :
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LIVE/DEAD (1969)
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AMERICAN BEAUTY (1970):

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WORKINGMAN'S DEAD (1970):
undefinedSKULLS AND ROSES (1971):undefined
WAKE OF THE FLOOD (1973):
FROM THE MARS HOTEL (1974) :

BLUES FOR ALLAH (1975):

TERRAPIN STATION (1977) :

GO TO HEAVEN (1980):


IN THE DARK (1987):


REJOIGNEZ LA COMMUNAUTE "ON THE ROAD..."
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Pour découvrir le site officiel de ce groupe mythique, cliquez
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ALL TIME GREATESTS ROCK ALBUMS
Cliquez ICIundefinedJefferson Airplane, l'album "Surrealistic Pillow"
à l'écoute ci-dessous :

Derniers Commentaires

Mercredi 30 juillet 2008

Bah oui forcément, c'est le mois d'août et ça sent bon la route tout ça!!! Donc cette année direction la Norvège pour deux semaines de Road Trip. Bien sûr avant de partir pour ce magnifique pays scandinave : un p'tit séjour de quatre jours en Bretagne s'impose, histoire de prendre quelques kilos...

Alors bon, comme à mon habitude, avant de partir, je vous propose quelques questions auxquelles il faudra répondre.
Celui ou celle qui trouvera les bonnes réponses en premier aura comme récompense un p'tit cadeau souvenir de Norvège ainsi qu'un DVD avec de la bonne musique dessus...et oui, on ne change pas les lots à gagner...à part si entre temps je suis inspiré pour trouver autre chose. Voici donc 5 questions :



Question 1


Quel est le nom du groupe norvégien dont la musique rappelle le Velvet Underground, les Stooges mais aussi R.E.M et Placebo, avec des influences puisées chez Bob Dylan et Chris Isaak?
Voici à l'écoute (ci-dessous) un morceau de de groupe, cliquez sur Play :

 


Question 2

Si je vous dis : "Plat roboratif qui se mange dans le Nord de la Norvège : poisson à demi séché au goût fort, servi avec des pommes de terre cuites dans leur peau et du lard fondu pour arroser le tout..." de quelle spécialité norvégienne s'agit-il?



Question 3

Qui a écrit :
"Les seuls gens qui existent sont ceux qui ont la démence de vivre, de discourir, d'être sauvés, qui veulent jouir de tout dans un seul instant, ceux qui ne savent pas bâiller."



Question 4

Quel est (en quantité) l'instrument de musique le plus vendu dans le monde de nos jours?



Question 5

Quelle a été la toute dernière chanson jouée par Grateful Dead (du vivant de Jerry Garcia) lors d'un concert au Soldier Field de Chicago le 9 juillet 1995?




CE QUI VOUS ATTEND A LA RENTREE SUR CE BLOG :


Lynyrd Skynyrd, Joan Baez, Newton Faulkner et plein d'autres artistes ainsi que
des cours (en vidéos) pour apprendre à jouer l'instrument mystère de la question 4...et bien sûr des articles sur les Sixties...comme d'hab!!!

Sur ce, je vous laisse ..rendez-vous en septembre et d'ici là...
TRIPEZ BIEN!!!

Tonton
Mercredi 30 juillet 2008
Won't Get Fooled Again, dont le titre signifie littéralement « On ne se fera pas avoir de nouveau », est une vision très désabusée d'une révolution selon Pete Townshend.



Nous ne cesserons de nous battre dans les rues
Avec nos enfants à nos pieds
Et les morales qu'ils vénèrent auront disparu
Et les hommes qui nous ont éperonné
Siègent pour juger toutes les infractions
Ils décident et le fusil chante sa chanson
 
[Refrain]
Je lèverai mon chapeau à la nouvelle constitution
Ferai une révérence à la nouvelle révolution
Sourirai ou grimacerai aux changements de tous côtés
Prendrai ma guitare et jouerai
Simplement comme hier
Puis je m'agenouillerai et prierai
Pour que nous ne nous fassions pas avoir une fois de plus
 
Le changement, il fallait qu'il arrive
Nous l'avons toujours su
On nous a libéré des ennemis, c'est tout
Et le monde semble exactement le même
Et l'histoire n'a pas changé
Car les étendards, ont tous été déployés durant la dernière guerre
 
[Refrain]
 
Non, non !
 
Je vais mettre ma famille et moi à l'abri
S'il arrive que nous restions à moitié en vie
Je prendrai tous mes papiers et enverrai un sourire au ciel
Car je sais que les gens hypnotisés ne mentent jamais
Mentez-vous ?
 
Ouiiiiiiiiiiiiii !
 
Il n'y a rien dans la rue
Qui me paraisse différent en quoi que ce soit
Et les slogans ont changé, à propos
Et le parti de gauche
Est maintenant le parti de droite
Et leurs barbes ont toutes poussé pendant la nuit
 
[Refrain]
 
Ne vous faîtes pas avoir une fois de plus
Non, non !
 
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
 
Va voir le nouveau patron
Il ne diffère en rien de l'ancien patron


Analyse des paroles

Le soulèvement commence dès la première ligne : We'll be fighting in the streets (« Nous lutterons dans la rue »), et se conclut par le renversement des puissants, non sans violence. Mais finalement, la révolution s'achève, et rien n'a changé : And the world looks just the same / And history ain't changed (« Et le monde est toujours pareil / Et l'histoire n'a pas changé »). Le nouveau régime mis en place n'est en rien différent de celui qui est tombé, comme l'indiquent les dernières lignes des paroles : Meet the new boss / Same as the old boss (« Rencontre le nouveau patron / Le même que l'ancien patron »).

 

Bien que diverses interprétations des paroles aient été données, Pete Townshend lui-même nie les affiliations politiques prêtées parfois au morceau et expliquait sur son blog en mai 2006 que "cette chanson était censée faire savoir aux hommes politiques, et aux révolutionnaires de même, que ce qui réside au centre de [sa] vie n'était pas à vendre et ne pouvait pas être instrumentalisé au nom de n'importe quelle cause." ("The song was meant to let politicians and revolutionaries alike know that what lay in the centre of my life was not for sale, and could not be co-opted into any obvious cause."). Il finit par dire que le morceau n'est qu'une prière ("What is there is a prayer."). Les paroles invitent les acteurs politiques à ne pas instrumentaliser la vie de chacun, mais ce sont ces mêmes paroles qui l'ont été.

Au sein du projet abandonné Lifehouse, cette chanson avait une place bien particulière. Elle était chantée par Bobby, le compositeur subversif, dénonçant l'hypocrisie de Jumbo, son principal opposant.

Dimanche 27 juillet 2008

Un p'tit tour en Angleterre et voici 7 vidéos...entre concert acoustique, leçons, cours de musique et souvenirs de l'époque des Beatles, un one man show réjouissant de Paul McCartney dans les mythiques studios d'Abbey Road. A la suite de ces vidéos vous trouverez à l'écoute l'album "Chaos & Creation In The Backyard" de Paul McCartney...bon visionnage et bonne écoute surtout!!!

De retour dans les mythiques studios d'Abbey Road, où les Beatles ont enregistré la quasi-totalité de leurs albums, Paul McCartney se livre à un one man show original devant quelques happy few. Entre ses interprétations, seul à la guitare ou au piano, des morceaux issus de son excellent dernier album, Chaos and creation in the backyard, l'ex-Beatles se souvient, livre des secrets de fabrication in situ. Inspiré par ce lieu spécial, Paul McCartney évoque sa rencontre avec John Lennon – ce qui donne lieu à l'interprétation d'un standard d'Eddie Cochran –, propose des leçons de choses musicales, réalise un enregistrement sur un vieux "quatre pistes" à partir d'instruments traditionnels et de verres à pieds effleurés du doigt. Avec application et beaucoup d'humour, il propose un flash-back réjouissant où résonnent l'intro de "Strawberry field for ever" jouée sur un Melotron (ancêtre du synthétiseur), des tubes des Beatles comme "Twenty flight rock" ou "Lady Madonna", "Band on the run" (composé avec les Wings), ainsi que le tout premier single enregistré par le groupe avant l'arrivée de Ringo. Et bien d'autres surprises encore, orchestrées par le plus fringant des papys rock !

Vidéo 1/7



Vidéo 2/7



Vidéo 3/7



Vidéo 4/7




Vidéo 5/7



Vidéo 6/7



Vidéo 7/7


"Chaos & Creation In The Backyard"



 

Dimanche 27 juillet 2008

TANGLED UP IN BLUE
ALBUM : "BLOOD ON THE TRACKS" - 1975


Cette chanson arriverait sans doute dans les cinq chansons préférées des amateurs de Dylan, et de lui-même également. C'est une de celles qu'il a chantée en concert le plus souvent, en changeant souvent la mélodie et les paroles, vous pouvez consulter les traductions des variantes.

L'histoire est assez décousue, on peut y trouver des éléments autobiographiques, les situations et les dialogues rendent l'identification assez facile pour l'auditeur.
Dylan a curieusement réagi au succès des chansons de l'album "Blood On The Tracks", en disant qu'il ne comprenait pas comment on pouvait prendre plaisir à ces chansons et leurs textes alors qu'ils évoquaient une période troublée de sa vie - le moment de la désagrégation de son mariage avec sa première femme, Sara.



 


 

Tangled Up In Blue Empêtré dans le blues
Early one mornin' the sun was shinin',
I was layin' in bed
Wond'rin' if she'd changed at all
If her hair was still red.
Her folks they said our lives together
Sure was gonna be rough
They never did like Mama's homemade dress
Papa's bankbook wasn't big enough.
And I was standin' on the side of the road
Rain fallin' on my shoes
Heading out for the East Coast
Lord knows I've paid some dues gettin' through,
Tangled up in blue.
Un matin tôt le soleil brillait,
J'étais couché au lit
A me demander si elle avait changé
Si ses cheveux étaient encore roux.
Ses vieux ils disaient que notre vie ensemble
Pour sûr serait dure
Ils n'avaient jamais aimé les robes maison de Maman
Le compte en banque de Papa n'était pas assez gros.
Et j'étais debout sur le bord de la route
La pluie me mouillait les chaussures
En partance pour la côte Est
Dieu sait que j'en ai bavé pour survivre,
Empêtré dans le blues.
She was married when we first met
Soon to be divorced
I helped her out of a jam, I guess,
But I used a little too much force.
We drove that car as far as we could
Abandoned it out West
Split up on a dark sad night
Both agreeing it was best.
She turned around to look at me
As I was walkin' away
I heard her say over my shoulder,
"We'll meet again someday on the avenue,"
Tangled up in blue.
Elle était mariée à notre première rencontre
En voie de divorcer
Je l'ai tirée d'embarras, je crois,
Mais j'y ai été un peu trop fort.
Nous avons conduit cette voiture aussi loin que nous pouvions
L'avons abandonnée dans l'Ouest
Avons rompu par une triste et sombre nuit
D'accord tous les deux qu'il valait mieux.
Elle s'est retournée pour me regarder
Comme je m'éloignais
Par-dessus l'épaule je l'ai entendu dire,
"Nous nous reverrons un jour sur la route",
Empêtrés dans le blues.
I had a job in the great north woods
Working as a cook for a spell
But I never did like it all that much
And one day the ax just fell.
So I drifted down to New Orleans
Where I happened to be employed
Workin' for a while on a fishin' boat
Right outside of Delacroix.
But all the while I was alone
The past was close behind,
I seen a lot of women
But she never escaped my mind, and I just grew
Tangled up in blue.
J'ai eu un job dans les forêts du Grand Nord
Comme cuisinier quelque temps
Mais je n'ai jamais aimé vraiment ça
Et un jour le couperet est tombé.
Alors j'ai dérivé jusqu'à la Nouvelle-Orléans
Où par hasard j'ai eu un emploi
A travailler un moment sur un bateau de pêche
Juste à la sortie de Delacroix.
Mais tout ce temps-là j'étais seul
Le passé était tout proche,
J'ai vu des femmes par dizaines
Mais elle ne s'est jamais évadée de ma tête, et je suis devenu encore plus
Empêtré dans le blues.
She was workin' in a topless place
And I stopped in for a beer,
I just kept lookin' at the side of her face
In the spotlight so clear.
And later on as the crowd thinned out
I's just about to do the same,
She was standing there in back of my chair
Said to me, "Don't I know your name?"
I muttered somethin' underneath my breath,
She studied the lines on my face.
I must admit I felt a little uneasy
When she bent down to tie the laces of my shoe,
Tangled up in blue.
Elle travaillait dans un bar topless
J'y suis entré boire une bière,
Je n'arrêtai pas de regarder son profil
Dans la clarté des spots.
Plus tard comme la foule se dispersait
J'étais sur le point d'en faire autant,
Elle se tenait là derrière ma chaise
Et dit "J'connaîtrai pas ton nom?"
J'ai marmonné quelque chose dans ma barbe,
Elle étudiait les traits de mon visage.
Je dois avouer que je me sentais un peu mal à l'aise
Comme elle se courbait pour nouer mes lacets de soulier,
Empêtrés dans le blues.
She lit a burner on the stove and offered me a pipe
"I thought you'd never say hello," she said
"You look like the silent type."
Then she opened up a book of poems
And handed it to me
Written by an Italian poet
From the thirteenth century.
And every one of them words rang true
And glowed like burnin' coal
Pourin' off of every page
Like it was written in my soul from me to you,
Tangled up in blue.
Elle a allumé un brûleur au fourneau et m'a offert une pipe
"J'croyais qu'tu dirais jamais bonjour" dit-elle
"T'as l'air d'un silencieux".
Puis elle ouvrit un livre de poèmes
Et me le tendit
C'était écrit par un poète italien
Du treizième siècle.
Et chacun de ces mots sonnait juste
Et luisait comme des charbons ardents
Ils se déversaient de chaque page
Comme si c'était gravé dans mon âme rien que pour toi,
Empêtrée dans le blues.
I lived with them on Montague Street
In a basement down the stairs,
There was music in the cafes at night
And revolution in the air.
Then he started into dealing with slaves
And something inside of him died.
She had to sell everything she owned
And froze up inside.
And when finally the bottom fell out
I became withdrawn,
The only thing I knew how to do
Was to keep on keepin' on like a bird that flew,
Tangled up in blue.
Je vivais avec eux sur la rue Montague
Au sous-sol en bas des marches,
Il y avait de la musique dans les cafés le soir
Et la révolution dans l'air.
Puis il commença à faire du trafic d'esclaves
Et quelque chose mourut en lui.
Elle dût vendre tous ses biens
Et se glaça en dedans.
Et quand enfin ils touchèrent le fond
Je fus emporté,
La seule chose que je savais faire
C'était de continuer comme l'oiseau qui vole,
Empêtré dans le blues.
So now I'm goin' back again,
I got to get to her somehow.
All the people we used to know
They're an illusion to me now.
Some are mathematicians
Some are carpenter's wives.
Don't know how it all got started,
I don't know what they're doin' with their lives.
But me, I'm still on the road
Headin' for another joint
We always did feel the same,
We just saw it from a different point of view,
Tangled up in blue.
Voilà, je repars à nouveau,
Il faut que je la voie d'une façon ou d'une autre.
Tous les gens qu'on connaissait
Ne sont qu'illusion pour moi désormais.
Certains sont mathématiciens
Certaines sont femmes de charpentiers.
Je ne sais pas comment tout ça a commencé
Je ne sais pas ce qu'ils font de leurs vies.
Mais moi, je suis toujours sur la route
En direction d'une autre boîte
On se sentait vraiment pareils,
On avait juste des points de vue différents,
Empêtrés dans le blues.

 

Jeudi 24 juillet 2008

Alela Diane Menig (née le 20 avril 1983 à Nevada City, Californie) est une chanteuse et une compositrice américaine, dont les chansons sont imprégnées d'un style psyché folk.

La rédaction des Inrockuptibles classa l'album "The Pirate's Gospel" comme l'un des 10 meilleurs albums de 2007

Un nouvel album est annoncé pour l'automne 2008.


Jeune
Californienne, Alena Diane est l'héritière d'une lignée de chanteuses qui possèdent un rayonnement propre à ceux que beaucoup qualifient de 'vieilles âmes'. En grandissant dans une famille de musiciens, la jeune artiste a été bercée par la musique de ses parents toute sa jeunesse. Au départ, l'atmosphère de la maison familiale était plutôt folk, variant au fil des ans vers des styles plus variés. Alors qu'elle est en voyage à San Francisco, Alela décide d'apprendre la guitare et commence à écrire ses propres chansons. Elle explique d'ailleurs qu'elle a ressenti le besoin d'écrire lorsqu'elle s'est éloignée de sa famille. L'année suivante, elle compose plusieurs chansons qui se trouvent sur son premier album, 'The Pirate's Gospel'. Au départ, l'album est seulement distribué à quelques connaissances et aux personnes qui venaient assister à ses concerts. Petit à petit, l'opus a fait son chemin jusqu'en Europe, où il sort en 2007. Les critiques l'applaudissent, saluant un univers riche et contrasté.


Alela Diane - The Pirate's Gospel
Cliquez sur Play afin de visionner la vidéo sans oublier, avant, de stopper la playlist en cours (l'album d'Alela Diane) pour un meilleur visionnage



Alela Diane "Oh! My Mama"
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The Pirate's Gospel...
...à l'écoute ci-dessous :

 



Voici Emily Jane White, jolie jeune femme de San Francisco, guitariste et pianiste, qui a maintes fois joué seule dans les bars enfûmés et bruyants de la ville, et réussi (souvent) à charmer le public le plus retors à la musique folk. Cette Américaine d'une vingtaine d'années, entourée de quelques amis musiciens, nous gratifie d'un somptueux premier album, Dark Undercoat, qui navigue entre folk songs pastorales (Dark Undercoat, Sleeping Dead) et somptueuses ballades jouées simplement au piano (Wild Tigers I Have Known).
Elle est aussi présente sur la bande originale d'un film indépendant, Wild Tigers I Have Known, de son ami Cam Archer.

"Hole in the Middle" - Emily Jane White
Cliquez sur Play afin de visionner la vidéo sans oublier, avant, de stopper la playlist en cours (l'album d'Alela Diane) pour un meilleur visionnage


"Wild Tigers I Have Known"


Voici à l'écoute son album "Dark Undercoat"
Cliquez sur la chanson de votre choix mais avant stopper la playlist en cours (l'album d'Alela Diane) pour une meilleure écoute bien sûr!!!

 

 

Mercredi 23 juillet 2008
The Band est un groupe de rock canadien, composé de Robbie Robertson (guitare), Levon Helm (batterie, mandoline, chant), Garth Hudson (claviers, saxophone, accordéon), Richard Manuel (piano, batterie, chant) et Rick Danko (basse, chant).

 The Band est célèbre à la fois pour ses propres albums, notamment Music From Big Pink et The Band, mais aussi pour avoir fréquemment accompagné
Bob Dylan, de 1965 à 1974.


Le groupe s'est progressivement formé à la fin des
années 1950, sous le nom de The Hawks, accompagnant alors Ronnie Hawkins dans d'incessantes tournées au Canada. Remarqués par John Hammond lors des sessions d'enregistrement d'un de ses albums, ce dernier conseillera Robbie Robertson, le guitariste, à Bob Dylan, lorsqu'en 1965 il décide de passer au rock. Les Hawks accompagneront Dylan lors de sa célèbre tournée de 1966 (Royal Albert Hall Concert). Ils le suivront dans sa semi-retraite de Woodstock en 1967, l'accompagnant lors des enregistrements connus sous le nom de The Basement Tapes.




Leur premier album, Music From Big Pink, sort en
1968. Il contient leur tube The Weight, repris dans le film Easy Rider. Le deuxième album, The Band, connaîtra le même succès.

Mais les tensions commencent à se faire voir : les chansons sont toutes créditées Robbie Robertson, alors qu'elles ont été composées par l'ensemble du groupe. Ce leadership ne fera que s'affirmer avec le temps. S'ensuivent des albums de plus en plus décevants (Cahoots), jusqu'en 1974 où Dylan les repêche pour sa tournée américaine qui connaît un succès sans précédent. Après avoir sorti Northern Lights - Southern Cross en 1975, album qui retrouve un peu les qualités des débuts, Robertson saborde le groupe en 1976, déclarant qu'il ne veut plus tourner.


The Band - King Harvest  & Long Black Veil (1970)
Cliquez sur Play afin de visionner la vidéo, n'oubliez pas de stopper la playlist en cours qui se trouve à la fin de cet article, pour un meilleur visionnage

 

 

 



S'en suivra le célèbre concert d'adieu au Winterland, immortalisé par le film La Dernière Valse de

 

 

Martin Scorsese, concert auquel participe le gratin du rock de l'époque : Dylan, bien sûr, mais aussi Eric Clapton, Neil Young, Muddy Waters, Van Morrison, entre autres.

Durant les années 1980, Levon Helm reforme le groupe sans Robbie Robertson, sans grand succès. Le groupe tourne dans des lieux de plus en plus miteux, ce qui conduit au suicide de Richard Manuel, devenu par ailleurs alcoolique, en 1986. Le groupe continue bon gré mal gré, jusqu'à la mort de Rick Danko en 1999.





The Band - The Weight from The Last Waltz (1978)
Cliquez sur Play afin de visionner la vidéo, n'oubliez pas de stopper la playlist en coursqui se trouve à la fin de cet article, pour un meilleur visionnage



Music from Big Pink (

 

 

1968)

L’album est un mélange de country, rock et folk, le son est brut avec peu d’arrangements. Il a été bien reçu par la critique, mais ne fut pas un succès commercial, malgré l’aide de Bob Dylan qui a composé trois chansons (Tears of Rage, This Wheel's on Fire et I Shall Be Released), et a également dessiné la pochette. Big Pink est le nom de la maison rose, située près de Woodstock, dans laquelle le groupe enregistrait au sous-sol (c'est là que furent enregistrées les Basement Tapes avec Dylan).

Ce disque, qui était à contre-courant des tendances rock de 68, est, pour certains, un classique incontournable de l'histoire du rock, et, plus largement, de la musique américaine. Ainsi, Eric Clapton et George Harrison ont exprimé leur admiration pour ce disque.


 

Lundi 21 juillet 2008

LA MUSIQUE
:

Philippe Thieyre
Psychédélisme : des USA à l'Europe

(Ed. des accords 2007)
Parti de la Côte Ouest des USA, le rock psychédélique a essaimé sur les Etats-Unis, puis sur l'Europe. C'est ce voyage que nous suivons ici, dans cette histoire très documentée et richement illustrée en affiches de concerts et en pochettes de disques originales.


Philippe Thieyre
Le Rock psychédélique américain
1966-1973

(Ed. Parallèles 2000)
La bible du psychédélisme, par le spécialiste français du genre. Les groupes, des plus connus aux plus obscurs, sont présentés par ordre alphabétique ; de solides commentaires et une bonne discographie complètent ce travail de titan, qu'on doit au Monsieur Erudit rock de Rock & Folk.

Barney Hoskyns
San Francisco 1965-1970 :
les années psychédéliques

(Castor Astral 2006)
Au beau milieu des années 60, San Francisco ouvre une nouvelle page de sa longue et tumultueuse histoire : une génération, née ou arrivée sur la nouvelle terre promise, transforme le quartier de Haight-Ashbury en l'épicentre de l'explosion psychédélique.
Jefferson Airplane, Janis Joplin, Quicksilver Messenger Service, Grateful Dead, Country Joe and the Fish ainsi qu'une pléiade de groupes garage aujourd'hui cultes inventent la bande-son de l'utopie hippie.
 
 

Barney Hoskins
Waiting for the sun :
histoire de la musique à Los Angeles

(Allia 2004)

Il y a San Francisco, mais il y a aussi Los Angeles, ce n'est pas Frank Zappa qui dirait le contraire. Des années 1940 à l'an 2000, ce livre visite la scène musicale de la Cité des Anges, et consacre une partie fournie à l'époque psychédélique.

Gaël Tynevez
The Beach Boys : l'enfance pour l'éternité

(Ed. Camion Blanc 2002)

L'histoire du groupe californien auteur de l'album Pet sounds, premier concept-album de l'histoire du rock, dont la carrière débute à Hawthorne en 1961, et de Brian Wilson, son leader talentueux et tourmenté, producteur de génie.
Les Garçons de la Plage sont à jamais l'image d'une Californie ensoleillée et insouciante, et du mythe de la jeunesse éternelle.

Jim Morrison
Ecrits

(Bourgois 2000)

 Voici la somme de tous les écrits du poète publiés à ce jour, dans l'ordre chronologique de leur parution et dans leur traduction originale. On y découvre ou retrouve un Jim Morrison parolier des Doors bien sûr, mais aussi penseur, scénariste et poète.

 


John Densmore
Les Cavaliers de l'orage :
ma vie avec les Doors

(Camion Blanc 2005)
Un témoignage à la première personne de l'histoire des
Doors, par John Desmore, batteur du groupe.


Alain Dister
Grateful Dead : une légende californienne

(Castor Astral 2004)
Alain Dister fut voisin, ami et témoin privilégié des musiciens vivant en communauté sur les collines de San Francisco lors des années hippies. Il relate la naissance et les années de folie et d'apogée du groupe de rock Grateful Dead, emblématique de l'époque, de 1966 à 1968 dans le quartier du Haight-Ashbury. Avec une chronologie.
Ce livre est le seul ouvrage en français sur Grateful Dead. A quand un livre sur
Jefferson Airplane ?

Charles R. Cross
Jimi Hendrix : l'expérience des limites

(Camion Blanc 2006)
Traduction d'une belle biographie de Jimi Hendrix, qui intègre des témoignages inédits de membres de la communauté noire de Jackson Street à Seatle ou encore des habitués des clubs de blues du sud des Etats-Unis. L'auteur recompose ainsi le panorama culturel des années 1960, dessinant en creux une des réalités de l'artiste virtuose de la guitare électrique, sorcier des studios et des scènes de concert.

Alain Dister
Ezy Rider : en voyage avec Jimi Hendrix

(Seuil 1995)

Une approche originale de Jimi Hendrix, par Alain Dister, écrivain et photographe, qu'il fait revivre ici sous la forme d'un journal intime illustré de ses photographies de Jimi, en grande partie inédites.



Guy Darol
Frank Zappa ou l'Amérique en déshabillé

(Castor Astral 2003)
Dans le sillage de Frank Zappa, musicien très politisé de la mouvance rock, principal porte-parole de la liberté d'expression dans l'Amérique des années 60, activiste anti-guerre et libre penseur, Guy Darol expose les mécanismes qui ont fait de l'Amérique ce qu'elle est aujourd'hui selon lui : une hyperpuissance paranoïaque.

Jeanne-Martine Vacher
Sur la route de Janis Joplin

(Seuil 1998)

La vie brève de la plus grande chanteuse blanche de blues, né au Texas mais ayant rallié San Francisco, où ses prestations et celles de
son groupe feront quelques belles nuits des salles de concert de la ville. Après une fulgurante carrière, Janis Joplin mourra d'overdose d'héroïne en 1970 à l'âge de 27 ans.
Jeudi 17 juillet 2008

Pat Garrett and Billy the Kid

Réalisé par Sam Peckinpah
Avec James Coburn, Kris Kristofferson, Bob Dylan, Richard Jaeckel, Kathy Jurado,Jason Robards, R.G. Armstrong, Luke Askew, John Beck, Jack Elam, Emilio Fernandez, L.Q. Jones, Slim Pickens, Charles Martin Smith, Harry Dean Stanton, Chill Wills
Scénario : Rudolph Wurlitzer
Musique : Bob Dylan
Photographie : John Coquillon
Montage : Roger Spottiswoode, Tony Zarraga

Une production MGM
USA - 122mn (1988) / 115mn (2005) - 1973

L'histoire
En 1881
, Pat Garrett (James Coburn) est nommé shérif du comté de Lincoln. Grand propriétaire terrien et homme fort de la région, Chisum lui demande de chasser William Bonney, un jeune hors-la-loi que l’on surnomme Billy the Kid (Kris Kristofferson). Pat se rend auprès de Billy qui n’est autre que son ami et lui conseille de fuir. Blessé dans son orgueil, Billy ne l’entend pas de cette oreille et reste dans le comté en compagnie de ses hommes de main. Pat et les sbires de Chisum prennent alors d’assaut la maison où le gang de Billy est réfugié. Après une fusillade meurtrière, Billy est menotté puis conduit en prison. Condamné à la pendaison, il trouve néanmoins le moyen de s’échapper après avoir abattu l’adjoint de Pat Garrett. Les politiciens et autres huiles de la région ordonnent alors à Garrett de retrouver et éliminer Billy. A contre cœur, Pat accepte sa mission et part sur les traces de son ami…





La bande annonce, cliquez sur Play (stoppez la playlist en cours à la fin de cet article, avant le visionnage, bande son du film)


Alors qu'il n'est pas à l'origine du projet, Sam Peckinpah, choisi par la MGM malgré sa réputation d'être incontrôlable, a conçu ce western comme une parabole épique derrière laquelle on reconnaît les Etats-Unis de l’ère Nixon tout comme l’époque depuis longtemps révolue de la conquête de l’Ouest. Toutefois, ce n’était pas seulement la critique de Peckinpah à l’égard des connivences entre l’état et le capital qui heurta à l’époque les studios de production. La MGM se préoccupait surtout de sortir le film le plus vite possible et à moindres frais.
Le différend commença dès le premier jour du tournage et se termina par une version raccourcie par les monteurs du studio à une durée de 90 minutes et qui fut un échec en salles. Il y eut ensuite une version rallongée de 16 minutes qui connut le succès.

Sam Peckinpah imposa Kris Kristofferson, alors connu comme chanteur folk, dans son premier grand rôle, et proposa à Bob Dylan le rôle d'Alias, personnage mystérieux, qui composa pour le film sa célèbre chanson Knocking on heaven's door.


"Knocking on heaven's door" par Bob Dylan...extraits du films (cliquez sur Play après avoir stoppé la playlist en cours à la fin de cet article)


Pat Garrett & Billy the Kid est un album de Bob Dylan, auteur-compositeur-interprète américain de folk-rock, sorti en 1973. Il s'agit de la bande originale du film de Sam Peckinpah Pat Garrett et Billy le Kid, dans lequel Dylan interprète le rôle d'Alias. L'album contient l'une de ses chansons les plus célèbres : Knockin' on Heaven's Door.








 La bande son par Bob Dylan :


Biographie de Billy The Kid

Légende du Far West américain, Billy The Kid a été détourné par le cinéma qui a fabriqué à partir de sa personne un mythe idéal pour les westerns sur pellicule. Après le décès successif de ses parents, Henry MacCarthy fuit l'autorité de son beau-père brutal en devenant cow-boy en Arizona. A peine âgé de 17 ans, il tue son premier homme. Recherché pour meurtre, il s'échappe au Nouveau-Mexique, où il se fait engager par un éleveur de chevaux. Il ne tarde pas à rejoindre le camp des 'Regulators', avec qui la guerre des ranchs fait rage au comté de Lincoln. De là part sa légende : Henry MacCarthy devient Billy The Kid, celui qui n'a pas froid aux yeux et qui s'en tire toujours, en échappant à une embuscade où la plupart de ses complices sont tués. Après avoir éliminé le chasseur de têtes Joe Grant, Billy The Kid se lie d'amitié avec Patrick Garrett. Mais suite à un diffèrent avec ce dernier, devenu Shérif, il s'enfuit. Rattrapé par la loi, sa pendaison imminente, The Kid n'a pas encore dit son dernier mot et réussit à s'échapper de prison. Mais il succombe à une balle en plein coeur tirée par Garrett. Enterré au cimetière de Fort Sumner, Billy The Kid ignorait que cinquante ans plus tard Hollywood s'emparerait de son histoire.

Mardi 15 juillet 2008

Un petit tour à la Flêche d'or sur Paris la semaine dernière, et voilà que je tombe sur Hooka Hey...un trio que j'ai bien envie de vous faire découvrir!!!

 Avec un son analogique, organique, brut ou simplement vrai, ce groupe est un souffle qui s'échappe de la culture urbaine pour flirter avec les grands espaces. Côté référence, on y retrouve, les incontournables, Led Zep pour les guitares, Neil Young pour la folk, les Who ou le Gun Club pour l'urgence.

Et c'est dans les bas fonds des seventies qu'il faut chercher l'héritage de ce trio français
. L'arrogance du rock anglais (Dead Ringer, Standing Outside) et la puissance du rock sudiste (Kabuki) compilées dans treize titres puissants qui sentent bon le cuir et le whisky.


Hooka Hey
n'est pas le dernier né de la scène garage, le trio s'est déjà fait connaître avec une belle série de concerts virulents (lauréat de la tournée Ricard Tour 2007), des sessions aux Olympic Studios et un premier EP sous le nom de Sentenza. On comprend mieux le style et l'écriture live de cet album. Entre deux brûlots électriques,


Hooka Hey
se balade dans ses grands espaces folk avec ses balades acoustiques de bonne facture (Black Eye) mettant en avant un chant rocailleux. Soucis d'authenticité toujours, ce premier album a été enregistré live, en analogique, sur du matériel vintage, par Lionel Darenne, élève de Steve Albini. L'explosif You turn avec ses riffs ciselés et ses faux airs d'AC/DC, est un bon exemple de l'excellent potentiel de ce combo. Un rock brut et sans fioritures.





Le MySpace de Hooka Hey :
http://www.myspace.com/hookaheyspace

"A Brand New Place"...version acoustique, cliquez sur play afin de visionner le clip (stoopez la playlist en cours avant le visionnage) :

 


Voici ce premier album à l'écoute ci dessous :


Passant sans perte d'intensité de l'électrique à l'acoustique, Hooka Hey refuse de s'enfermer dans un genre. L'album navigue subtilement de titres rock incisifs en ballades folks, de heavy blues en country aux accents d'americana.

Avec ce premier album, Hooka Hey pose les bases d'un avenir à la fois brut et électrique placé sous le signe du vaudou...

Bonne écoute!!!




 

Mercredi 9 juillet 2008


CONTRE CULTURE ET PROLONGEMENTS
:


Christiane Saint-Jean-Paulin
Quand l'Amérique contestait : 1960-1970

(Ophrys 1999)
L'auteur s'attache à l'étude d'une décennie qui a profondément marqué la société américaine contemporaine, grâce à des textes et des documents iconographiques souvent inédits rythmés par une chronologie détaillée.


Christiane Saint-Jean-Paulin
La Contre-culture : Etats-Unis, années 60, naissance de nouvelles utopies

(Autrement 1997)

Dans les années 60, la contre-culture dépasse largement le simple phénomène de mode.
Ellle ébranle les fondements mêmes de la société américaine, alors à peine remise de sa chasse aux sorcières. Aujourd'hui, à l'heure du désenchantement du monde, que reste-t-il de cette révolution des années 60 dans nos moeurs, dans nos rêves ?

Rémi Sussan
Les Utopies post-humaines

(Omniscience 2005)

Un voyage dans les nouveaux mondes ouverts grâce aux technologies de l'information et de la communication, par Rémi Sussan, journaliste spécialisé dans les nouvelles technologies.
L'auteur explore les contre-cultures nées depuis les années 1930, présente les acteurs, les théories et les pratiques alternatives puis fait le point sur la cyberculture.




HIPPIES - SAN FRANCISCO :

Barry Miles
Hippies

(Octopus 2004)

L'histoire, de 1965 à 1971, de cette libération des mentalités qui a secoué le monde, de San Francisco à Londres en passant par Paris. S'élevant contre des valeurs jugées périmées, la génération de l'après-guerre soutient de nouvelles idées et connaît un désir commun d'utopie et de liberté.

Alain Dister
Oh, hippie days ! :
carnets américains 1966-1969

(Fayard 2001)
A la fois journal intime et reportage, écrit par le co-fondateur de la revue Rock & Folk, photographe, critique et historien du rock et témoin privilégié de l'époque, Oh ! Hippie days ! brosse un tableau attachant du mouvement hippie dans la belle période de sa jeunesse, quand tout semblait encore possible.


Alain Dister
Couleurs 60s

(Ed. du Collectionneur 2006)
A travers une centaine de photos prises à New York ou San Francisco, Alain Dister porte un oeil plein d'amour sur la vie quotidienne, la mode et le comportement des jeunes du mouvement hippie dans l'Amérique de la Côte Est et de la Côte Ouest de la fin des années 1960. Les projections en technicolor de la révolution psychédélique.


Jean-Pierre Bouyxou et Pierre Delannoy
L'Aventure hippie

(10/18 2004)
De la route à l'utopie communautaire, Jean-Pierre Bouyxou, journaliste et Pierre Delannoy, chercheur en sciences sociales, plongent dans la contre-culture hippie. Musique, arts plastiques, cinéma, sexualité, mode de vie sont ainsi présentés, dans un voyage qui accorde une belle place à l'étape française.


Jacques Pessis
Les Années hippies :
chronique d'une époque

(Chronique 2005)
Aux temps de la guerre du Vietnam, de la création de Concorde et de la course à la Lune, la jeunesse hippie vole vers d'autres planètes et prône la paix et l'amour. Cet ouvrage retrace les joies, les peines, les exubérances et les excès d'une époque qui a marqué durablement les esprits et les moeurs.

 

Michel Lancelot
Je veux regarder Dieu en face :
vie, mort et résurrection des hippies

(Octopus 2004)
Ecrit en 1971 par un journaliste de radio, ce livre figurait à l'époque parmi les rares témoignages à chaud.

Tom Wolfe
Acid test

(Points 1996)
En route pour la folle pérégrination des Prankters, qui en 1968 parcourent les USA dans un bus... qui ne risque pas de passer inaperçu. Une épopée du XXème siècle, qui renoue avec l'esprit des pionniers, même si le traditionnel chariot s'est depuis motorisé.
Tom Wolfe, mélangeant vécu, analyse et critique, est un des fondateurs du nouveau journalisme, dont ce livre est un exemple.


Jean-Marc Bel
En route vers Woodstock :
de Kerouac à Dylan,
la longue marche des baby-boomers

(Balland 2004)

Tandis que cinq cent mille Américains sont perdus dans le bourbier du Vietnam, cinq cent mille autres se rassemblent en août 1969 à Woodstock pour trois jours de paix, de musique et d'amour. A travers l'histoire du festival, l'auteur dresse le portrait de cette
génération.

Antonio Gnoli & Franco Volpi
Le LSD et les années psychédéliques :
entretiens avec Albert Hofmann

(Rivages 2006)
Le journaliste Antonio Gnoli et le philosophe Franco Volpi s'entretiennent avec le
chimiste suisse Albert Hofmann. Le vieux chimiste inventeur du LSD en 1943 propose
une réflexion sans complaisance sur la substance dont il est le père.



Albert Hofmann
LSD, mon enfant terrible

(L'Esprit frappeur 2003)
Le chimiste suisse - qui a fêté ses 100 ans en 2006 - relate avec rigueur scientifique l'histoire du LSD, son enfant terrible synthétisé lors de ses travaux pour les laboratoires pharmaceutiques Sandoz.
Il décrit les effets curatifs possibles mais insiste aussi sur les dangers d'une substance qui, prise hors de tout contrôle, peut mener à une grave confusion mentale, voire à une psychose définitive : Syd Barrett, musicien de Pink Floyd, en a payé le prix fort, ainsi que des milliers d'anonymes.

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