Les sources d'origine française ou Hutu power/génocidaires
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Le livre de Pierre Péan, d'une très grande
partialité, qui a pour but évident de tenter de jeter un doute sur ceux qui cherchent
la vérité en France et sont traités de "cabinet noir du FPR en France" (Nous faisons
partie au premier chef des groupes visés)
- Le livre de Ruzibiza, membre du "network commando", transfuge du FPR qui roule pour
la France, tout en l'accusant pour son rôle au Rwanda, dont la principale caractéristique
est de prétendre être membre du commando responsable de l'attentat du 6 avril 1994 qui a assassiné
deux présidents de la République, trois officiers français, et des responsables
politiques et militaires de deux pays (Rwanda et Burundi), et est ressorti libre du
bureau du juge français anti-terroriste Bruguière.
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Inshuti, site des sympathisants
du régime génocidaire au Rwanda qui aspirent au retour à l'ancien régime
- Les Forces démocratiques de libération du Rwanda et le RDR groupements
politiques qui rassemblent les anciens génocidaires en RDC et dans la diaspora rwandaise
- Quelques livres en français (Lugan, Hogard, Debré, Onana, Philpot, Booh Booh, etc)
qui font partie de la nébuleuse des services français.
- Des militaires français et des Forces armées rwandaises de l'ancien régime
- Des journalistes et des intellectuels
- Des témoins rwandais
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Il est très difficile d'avoir des informations fiables sur les crimes du FPR.
La principale cause est le génocide des Tutsi, que le FPR a combattu, qui a focalisé à
juste titre l'attention de la communauté internationale.
Il convient d'observer que les crimes du FPR apparaissent pour la France comme un moyen
d'expliquer sa présence au Rwanda. Présenter le FPR comme plus criminel que les
génocidaires justifierait l'acharnement de leur soutien français.
Il en résulte une évidente surévaluation de ces crimes par les services français qui ont
été à maintes reprises humiliés ou rappelés à l'ordre au Rwanda par le FPR et Paul
Kagame, notamment lors de l'opération Turquoise et ensuite dans des discours officiels.
Globalement on peut dire que la stratégie française au Rwanda a été mise en échec par le
FPR... et les Français sont très mauvais perdants.
A contrario il apparait que Paul Kagame a petit à petit séduit les américains. Mais ce
soutien, au départ, ne semble pas avoir été aussi déterminant que le disent les services
français. Pendant le génocide les USA ont en effet freiné des quatre fers pour
reconnaitre le génocide, et Alain Juppé, ministre des affaires étrangères du gouvernement
Balladur, s'enorgueillit d'avoir été le premier à l'ONU à employer officiellement ce mot.
Mais dès la fin du génocide le soutien américain à Kagame n'a pas cessé de s'amplifier.
Quand on parle de crimes du FPR, de quoi parle-t-on ? Nous essayons de le déterminer
sur cette page. Les services Français et les alluvions du Hutu power génocidaire
amplifient ces crimes *, les services américains les
relativisent. Entre ces deux courants les sociétés civiles essayent d'y voir clair à
travers les ONG.
Ces crimes tournent autour de quatre périodes :
- La période 1990-mars 1994
- La difficulté est ici de faire la part entre ce qui serait une volonté criminelle
et les pertes liées à toute guerre civile au milieu de la population civile. Donc
crimes de guerre ou crimes contre l'humanité.
- Pendant le génocide (avril-juillet 1994)
- La période présente depuis l'adoption de la constitution en 2003
- On signale des assassinats politiques et des disparitions inexpliqués, attribués
au FPR pas ses opposants.
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Sources fiables
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>>> Voir les rapports internationaux
- Le "rapport Gersony" qui a été étouffé au sein de l'ONU et dont Alison Des Forges
parle dans "Aucun témoin ne doit survivre".
>>> Les ONG
- Human Rights Watch ONG américaine qui semble objective.
- Amnesty International, qui a tendance à ne prendre la mesure du génocide dans la
contestation d'emprisonnement de certaines personnes et à souligner les crimes du FPR.
- Reporters sans frontières qui semble très proche de la démocratie chrétienne et ne
voir que l'aspect "journaliste en prison" même s'il s'agit d'un journaliste compromis
dans le génocide ou de la couverture d'un membre des services secrets d'un pays étranger
agissant sous couvert d'une carte de journaliste.
- Des militaires de la Minuar
- Quelques rares militaires français
- Des journalistes et des intellectuels
- Des témoins rwandais
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Sujets connexes
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Recherche sur les mots "FPR" et "crime" sur nos sites :
Sur le site de Survie France
Sur le site de Survie en Alsace
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