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Cap sur l’intelligence 

énergétique

L’informatique verte

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Le ratio puissance/watt, 
nouvel indicateur de performance

La collaboration planétaire via les réseaux, la numérisation
des contenus et l’avĂšnement de la simulation numĂ©rique
requiĂšrent des puissances de calcul et de stockage
phĂ©nomĂ©nales. SimultanĂ©ment, l’énergie devient une
ressource qui ne cesse de se renchĂ©rir : empiler des
processeurs sans autre considération que leur puissance ou
leur coĂ»t n’est plus possible. DĂ©sormais, c’est le ratio
puissance/watt qu’il convient d’examiner. IntĂ©grer la
consommation d’énergie dans l’équation, c’est envisager le
systÚme dans la durée. Entre 1999 et 2007, la
consommation d’électricitĂ© des serveurs en rack a ainsi Ă©tĂ©
multipliĂ©e par environ sept et des analystes soulignent qu’à
ce rythme les dépenses en énergie nécessaires au
fonctionnement et au refroidissement d’une machine
dépasseront bientÎt son coût initial. La situation est telle que
certains grands centres informatiques ne pourront pas Ă©voluer
à terme parce qu’il n’y aura tout simplement pas assez de
puissance Ă©lectrique disponible. Bref, l’heure n’est plus Ă  la
quĂȘte aveugle de la performance mais Ă  ce que l’on peut
appeler l’intelligence Ă©nergĂ©tique, c’est-Ă -dire l’optimisation
du ratio puissance/watt dans une approche globale et
durable des infrastructures.

Conjuguer intĂ©rĂȘts Ă©conomiques 
et Ă©cologiques

Cependant, le souci de l’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique doit ĂȘtre
présent dÚs la conception des systÚmes et chaque élément
doit y contribuer. Les applications doivent minimiser leur
consommation de ressources tandis qu’infrastructures, outils
d’exploitation et pratiques opĂ©rationnelles doivent tirer les
leçons des téra-architectures, qui ont de par leur taille
gigantesque la particularitĂ© d’ĂȘtre confrontĂ©es Ă  grande
échelle aux contraintes énergétiques. Par ailleurs, de
nouvelles idĂ©es peuvent ĂȘtre explorĂ©es, comme le recours aux
Ă©nergies renouvelables ou, pour des entreprises mondiales,
l’installation de certains grands data centers dans des rĂ©gions
froides. Mais rĂ©duire la facture Ă©nergĂ©tique de l’informatique,
c’est aussi rĂ©duire son impact Ă©cologique. En 2007, 
l’étude d’ACS (Australian Computer Society) a dĂ©montrĂ© 
que l’empreinte carbone de l’infrastructure informatique des
entreprises australiennes Ă©tait Ă©quivalente Ă  celle de secteurs
tels que l’aviation civile ou la sidĂ©rurgie. L’intelligence
Ă©nergĂ©tique conjugue donc intĂ©rĂȘts Ă©conomiques et
Ă©cologiques. Les entreprises ne s’y trompent d’ailleurs pas :
dans son dernier baromĂštre trimestriel « Green progress in
enterprise IT Â», le cabinet Forrester relĂšve que 38% des
entreprises intĂšgrent dĂ©sormais le respect de l’environnement
parmi leurs critĂšres d’évaluation. Et pour 55% d’entre elles, la
réduction des coûts est la motivation premiÚre


L’ùre de l’intelligence Ă©nergĂ©tique

Longtemps, l’informatique a semblĂ© n’avoir d’autres contraintes que ses propres limites

technologiques. Depuis 1965, celles-ci sont fixĂ©es par la loi de 

Moore, selon laquelle

la puissance des microprocesseurs est susceptible de doubler tous les deux ans. 

Jusqu’au milieu des annĂ©es 1990, cette course Ă  la performance Ă©tait pour tous l’ultime

frontiĂšre. Cependant, vers 1995, dans un contexte de rĂ©duction globale des coĂ»ts, 

on ne s’intĂ©resse plus seulement Ă  la puissance brute mais au rapport puissance/prix.

En effet, la généralisation des standards et des technologies de plus en plus denses

permet alors d’obtenir les performances voulues pour un coĂ»t moindre. 

Mais, depuis quelques années déjà, cette approche trouve à son tour ses limites.

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Les promesses 
des nouvelles générations de processeurs

Composants essentiels des serveurs, les
microprocesseurs contribuent de façon non
négligeable à leur consommation électrique. Les
fabricants, conscients des enjeux Ă©conomiques et
environnementaux, se sont eux-mĂȘmes rĂ©solument
engagés dans le design de processeurs économes
en énergie. Leader du marché, Intel

Âź

innove ainsi

continuellement autour des technologies
multicƓurs, Ă  frĂ©quence variable et voltage bas.
Ces nouvelles générations de processeurs offrent
d’excellentes performances Ă©nergĂ©tiques tout en
apportant plus de flexibilité. Bull a développé un
partenariat avec Intel pour intégrer et exploiter au
mieux ses technologies les plus avancées au sein
de sa famille de serveurs NovaScale

Âź

. Dotés de

processeurs multicƓurs, les serveurs NovaScale
fournissent une plus grande capacité de traitement
Ă  consommation d’énergie Ă©gale. Ils permettent
une rĂ©duction de la consommation d’électricitĂ© qui
peut atteindre 60% tout en délivrant une puissance
de calcul sans cesse croissante. 
La famille de serveurs Escala

Âź

permet elle aussi de

significatives Ă©conomies d’énergie depuis
l’introduction il y a quelques annĂ©es du processeur
POWER5ℱ. Celui-ci suspend en effet l’exĂ©cution
de certains processus quand ils ne sont plus utilisés.
LancĂ© rĂ©cemment, le POWER6ℱ se caractĂ©rise 
par des fonctions de pilotage automatique de
l’horloge et des interfaces logicielles de contrĂŽle 
de l’énergie. GrĂące Ă  elles, l’administrateur pourra
analyser et gérer la consommation électrique de
tout un ensemble de serveurs.

La construction d’un serveur requiert l’intĂ©gration de plusieurs centaines de composants au sein d’une
architecture complexe. Comme ses fonctionnalitĂ©s et ses performances, sa consommation d’énergie dĂ©pend 
de la conception, de l’agencement et des interactions de chacun de ces Ă©lĂ©ments, tant matĂ©riels que logiciels.
L’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique d’un serveur dĂ©pend donc d’une multitude de paramĂštres et l’optimiser rĂ©clame 
un savoir-faire tout particulier. Grùce à sa riche expérience acquise dans le monde des mainframes et des
systĂšmes ouverts, Bull est Ă  mĂȘme de tirer le meilleur parti des technologies de l’industrie pour Ă©laborer des
serveurs ouverts proposant les meilleurs ratios performance/Ă©nergie.

PrioritĂ© Ă  

la performance énergétique

Design

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permettant de réduire de plus de 25% les pertes
Ă©lectriques et d’une solution de ventilation qui ne
consomme qu’un cinquiùme de la puissance des
ventilateurs traditionnels. Bull s'est engagé dans
« Climate Savers Computing Initiative Â» dont
l'objectif est de réduire de 50% d'ici à 2010 la
consommation énergétique des serveurs.

LA VIRTUALISATION, 
SOLUTION POUR MAXIMISER 
L’UTILISATION DES RESSOURCES

Aux Ă©conomies d’énergies apportĂ©es par une meilleure
conception des serveurs s’ajoutent celles permises par
la consolidation et la virtualisation des infrastructures.
Ces deux approches répondent en effet aux deux
dĂ©ficits majeurs qui caractĂ©risent les data centers : 
‱ d’une part le manque d’espace, qui complique les

déploiements supplémentaires et entraßne une
Ă©lĂ©vation de la tempĂ©rature ; 

‱ d’autre part la sous-utilisation des serveurs dĂ©jĂ 

installĂ©s (l’agence amĂ©ricaine de protection de
l’environnement (EPA) estime que seuls 5 à 15%
des ressources disponibles dans les data centers
sont employées).

GrĂące notamment Ă  sa collaboration avec IBM dans
le cadre du dĂ©veloppement du systĂšme d’exploitation
AIXÂź, Bull a acquis une solide expertise en matiĂšre
de virtualisation. A la fonction de partitionnement des
ressources, présente nativement dans la version 5,
AIX 6, basĂ© sur les serveurs POWER6, ajoute de
nouveaux concepts, en particulier les capacités de
mobilité et de clonage des partitions.
Sur le segment des technologies x86, Bull intĂšgre les
solutions VMotion et DRS de VMware Ă  ses serveurs
NovaScale et propose des plates-formes multi-OS
pour étendre la flexibilité des serveurs aux niveaux
les plus élevés.
La virtualisation et la consolidation des infrastructures
constituent de grands savoir-faire de Bull, tant au
niveau des serveurs que du stockage. Ainsi, dans le
cadre d’un projet de virtualisation pour la
communauté urbaine de Barnsley, au Royaume Uni,
Bull a remplacé 90 serveurs physiques par 5 serveurs
haute disponibilité, ce qui permet une réduction de
73% de la facture d’électricitĂ©. 




Les bénéfices des architectures éco-conçues

MalgrĂ© son rĂŽle fondamental, le processeur n’est
pas l’unique facteur expliquant les performances
globales d’un serveur ou sa consommation
d’énergie. Son architecture, sa conception
d’ensemble, jouent un rĂŽle dĂ©terminant. C’est le
cƓur de l’expertise de Bull que de concevoir des
architectures innovantes et à forte valeur ajoutée.
Bull intĂšgre la dimension environnementale trĂšs en
amont, dĂšs la conception de ses serveurs. Ses
Ă©quipes de R&D travaillent notamment sur un
concept d’infrastructures partagĂ©es qui permettent
de mutualiser les ressources critiques afin de
diminuer le nombre de composants Ă©lectroniques 
et les cĂąblages Ă  l’intĂ©rieur d’un serveur, ce qui
contribue fortement à en réduire la consommation
Ă©lectrique globale. Chaque composant (disque,
mĂ©moire
) fait en outre l’objet d’une Ă©valuation
énergétique.
Plusieurs études démontrent toutefois que plus de
50% de l’énergie consommĂ©e dans un data center
l’est par les systùmes d’alimentation et de
refroidissement. C’est pourquoi Bull apporte la plus
grande attention Ă  ces questions. Sont ainsi
développées des solutions alternatives de
refroidissement, comme les portes refroidissantes 
à liquide destinées aux serveurs racks à haute
densité NovaScale, notamment pour le calcul
intensif. Les serveurs Ă  lames NovaScale sont
quant Ă  eux dotĂ©s d’un systĂšme d’alimentation

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DĂ©velopper de bonnes 

pratiques environnementales

L’audit Ă©nergĂ©tique, 
premiĂšre Ă©tape indispensable

Conduire l’audit Ă©nergĂ©tique d’un data center, c’est
évaluer son efficacité énergétique en rapportant la
consommation énergétique totale du centre à celle
des Ă©quipements informatiques seuls. Initialement
dĂ©veloppĂ©e en 2003 par le 

Lawrence Berkeley

National Laboratory Ă  l’UniversitĂ© de Californie, 
et soutenue par le consortium Green Grid, auquel
Bull participe, la grille de ratio s’échelonne, dans
le sens de l’efficacitĂ© croissante, de 3,5 Ă  1,5.

Depuis quelques années, on observe généralement
un ratio de 3, la consommation énergétique totale
d’un data center se rĂ©partissant presque
Ă©quitablement entre refroidissement, infrastructures
auxiliaires et d’alimentation, et Ă©quipements
informatiques proprement dits. On estime que la
combinaison des améliorations technologiques
rĂ©centes et d’une meilleure maĂźtrise opĂ©rationnelle
devrait permettre d’atteindre un ratio proche de 2,
voire mĂȘme 1,6 pour des solutions extrĂȘmement
optimisées.

Au-delĂ  des progrĂšs rĂ©alisĂ©s dans la conception des matĂ©riels, l’intelligence Ă©nergĂ©tique doit se manifester dans
les conditions de leur exploitation. C’est en mettant en Ɠuvre de bonnes pratiques, en ayant en permanence 
le souci de l’économie et de la sobriĂ©tĂ© Ă©nergĂ©tique, en s’alignant sur les normes et les standards qui Ă©mergent
peu Ă  peu sous l’impulsion conjuguĂ©e de l’industrie, des pouvoirs publics et des consommateurs, que l’on
parviendra à consolider au niveau du data center les gains apportés par les derniÚres générations de solutions.

Exploitation

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Un des intĂ©rĂȘts de l’audit Ă©nergĂ©tique est de fournir
un indicateur global pour le data center et donc de
permettre de dĂ©finir un objectif d’efficacitĂ©
énergétique partagé par toutes les parties
prenantes. Trop souvent en effet, comme l’ont
montré de nombreuses études au cours des
derniÚres années, les DSI méconnaissent la facture
énergétique et ne sont donc pas incités à tenter de
la réduire. Bull propose ainsi des services de
conseil et d’assistance pour Ă©tablir des bilans
Ă©nergĂ©tiques, Ă©tablir des scĂ©narios d’optimisation
et amĂ©liorer l’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique du data center.

Le management opĂ©rationnel 
ou l’intelligence Ă©nergĂ©tique au quotidien

L’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique du data center dĂ©pend non
seulement de celle des machines mais aussi, en
grande partie, de son management opérationnel.
Au moyen des mĂ©thodes mises en Ɠuvre, il s’agit
en particulier de maĂźtriser les facteurs
environnementaux liés à la densité de certaines
zones de calcul, Ă  la consommation Ă©lectrique et Ă 
la dissipation thermique. 

Pour y parvenir, il est indispensable d’inclure des
rÚgles de politique énergétique au sein de la
solution de pilotage globale de l’infrastructure.
ConcrÚtement, cela peut signifier intégrer des
sondes thermiques et de mesure des
consommations Ă©lectriques Ă  l’administration
systĂšme afin de rĂ©guler automatiquement l’intensitĂ©
des dispositifs de refroidissement et des extracteurs
d’air chaud. Une autre pratique courante et
pertinente consiste à intégrer un calendrier
d’activitĂ© des serveurs alignĂ© sur les processus
mĂ©tier de l’entreprise afin d’assurer un pilotage
automatique des arrĂȘts et des dĂ©marrages.
Ce type de considérations fait désormais partie
intĂ©grante de l’approche de Bull en matiĂšre de
management opĂ©rationnel. L’objectif est de fournir
des outils – notamment Open Source – et des
méthodes industrialisées afin de garantir le
pilotage énergétique optimal des infrastructures,
tant physiques que virtuelles.

DES PROCESSUS 
DE PRODUCTION « PROPRES Â»

Bull est l’une des cent premiùres entreprises au monde
à avoir trÚs tÎt développé un systÚme de gestion de la
qualité intégré QSE (Quality, Safety & Environment)
pour ses sites de production et logistiques. Sa politique
de gestion dans ce domaine s’appuie sur trois rĂ©fĂ©rentiels :

‱ ISO 9001 : 2000 pour la qualitĂ© ; 
‱ ISO 14001 pour le respect de l’environnement ;
‱ OHSAS 18001 pour les rĂšgles de sĂ©curitĂ©. 

Cette démarche initiée en 1990, date à laquelle Bull
a obtenu la certification ISO 9001 s’est parachevĂ©e
en septembre 2004 par la certification OHSAS
18001. Pour les clients de Bull, c’est la garantie que
les produits et services proposés sont élaborés dans
les meilleures conditions. Bull publie par ailleurs sa
charte QSE sur son site Web.
Depuis plusieurs années, Bull a en outre développé
une politique globale pour prendre en compte
l’impact environnemental tout au long du cycle de vie
de ses produits. Cela dĂ©bute par une politique de 
partenariats et d’achats exigeante et des pratiques
responsables. Le processus de conception intĂšgre les
directives européennes ROHS (réduction de
l’utilisation de certaines substances dangereuses) et
DEEE (traitement des déchets des équipements
Ă©lectroniques). Enfin, Bull a mis en place une filiĂšre
de recyclage performante : le site de production
d’Angers reprend chaque annĂ©e l’équivalent de 50%
des volumes livrés en France et 90% du volume
recyclé est valorisé.

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Des principes forts et pragmatiques

Fort de son expérience des architectures complexes,
des environnements hĂ©tĂ©rogĂšnes et de la mise 
en Ɠuvre de tĂ©ra-architectures, Bull propose une
approche pragmatique basée sur trois principes
fondamentaux : 

‱ assurer les niveaux de service exigĂ©s par 

les utilisateurs (SLA) grñce à l’industrialisation
des processus opĂ©rationnels ; 

‱ optimiser la topologie des centres informatiques

pour libérer la puissance disponible et accroßtre
leur flexibilitĂ© ; 

‱ maĂźtriser l’hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© et rĂ©duire l’empreinte

carbone.

Géré selon ces rÚgles fondamentales, le Bio Data
Center s’intùgre plus naturellement à son
environnement, tant business que physique, et est en
mesure d’évoluer Ă  la maniĂšre d’un ĂȘtre vivant : de
façon continue, selon ses besoins, chaque organe
contribuant Ă  sa croissance globale dans le respect
des grands équilibres fonctionnels et énergétiques.
Bull applique d’ailleurs ces principes à ses propres
centres informatiques grĂące par exemple Ă  la
création de zones différenciées pour la haute et la
basse densité.

La mobilitĂ© des applications 
au service de l’éco-efficacitĂ©

Une des pistes explorées par Bull pour améliorer la
gestion de la question énergétique et thermique au
sein du data center consiste Ă  concevoir une solution
de pilotage automatique de la mobilitĂ© de la charge.
Il s’agit de dĂ©placer les charges intensives, crĂ©atrices
de points chauds, vers des zones du data center plus
fraßches et disposant des capacités de traitement
nécessaires. Cela nécessite le développement de
sondes détectrices, actuellement en cours, qui
doivent ĂȘtre disposĂ©es au niveau des interfaces
systĂšme des serveurs, de l’espace du data center,
des infrastructures de refroidissement, de la chaĂźne
de distribution Ă©lectrique et jusqu’au bĂątiment dans
son ensemble. Ajoutée aux technologies de
virtualisation, cette solution permet d’envisager dans
l’avenir l’autorĂ©gulation du data center, qu’il s’agisse
de ses capacitĂ©s de calcul, de sa gestion de l’énergie,
de la configuration des partitions virtuelles et des
serveurs, et de la rĂ©partition de la charge des
applications. Cette approche ouvre ainsi une voie
nouvelle pour un management du data center Ă©conome,
respectueux de l’environnement et capable
d’accompagner toutes les Ă©volutions de l’entreprise.

A l’ùre de l’économie numĂ©rique, oĂč vitesse et souplesse sont primordiales, le data center doit Ă©pouser 
le rythme des activitĂ©s de l’entreprise. Or, le dynamisme des marchĂ©s, les contraintes rĂ©glementaires, 
les exigences de sĂ©curitĂ©, les nĂ©cessitĂ©s du dĂ©veloppement durable, l’évolution mĂȘme des technologies avec 
la gĂ©nĂ©ralisation des architectures multicƓurs et la densitĂ© croissante des serveurs constituent autant de dĂ©fis
pour les directions informatiques. Pour ĂȘtre en mesure d’y rĂ©pondre avec la rĂ©activitĂ© et l’efficacitĂ© 
nĂ©cessaires, il est indispensable d’adopter une nouvelle approche du centre informatique. Conjuguant flexibilitĂ©,
performance et optimisation de son empreinte carbone, il doit se transformer en Bio Data Center.

Perspectives

L’avenir

appartient au 

Bio Data Center

ℱ

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