En 2009, 588 films sont distribués en première exclusivité, soit 5,9 % de plus qu’en 2008. Cette hausse est notamment imputable aux films français (+28 films).

Nombre de films distribués chaque année en France

1 - Un nombre de films inédits en progression

En 2009, 588 films font l’objet d’une première sortie commerciale en France, soit 33 films de plus qu’en 2008. L’année 2009 atteint le plus haut niveau de la décennie après celui de 2006 (589 films). Cette hausse est essentiellement imputable aux films français dont le nombre augmente de 28 films à 268 titres. La progression du nombre de films français est notamment due à la hausse des sorties de films majoritairement français (+21 films), mais le nombre de coproductions minoritaires augmente également (+8 films). Le nombre de films 100 % français est stable, passant de 155 en 2008 à 154 en 2009. 45,6 % des films en première exclusivité sont français. Ce poids est le plus élevé de la décennie après celui de 2007 (45,7 %) et connaît une progression constante (39,5 % en 2000). Depuis 2001, les films nationaux représentent plus de 40 % de l’offre totale. A En 2009, la part des films américains dans le total des films sortis en première exclusivité atteint 28,1 % (28,1 % en 2008 et 30,5 % en 2007). C’est le niveau le plus bas après celui de 2005 (27,6 %). Toutefois, le poids des films d’Outre-Atlantique reste relativement stable depuis 2002, autour de 30 % chaque année. 165 films américains sortent en 2009, contre 156 en 2008. L’offre de films européens inédits est en légère diminution (-2 films) mais reste à un des plus hauts niveaux de la décennie à 96 films. Cette baisse reflète une présence moins importante des cinématographies allemande (-7 films), italienne (-4 films) et espagnole (-3 films) sur les écrans français. À 59, le nombre de films d’autres nationalités décroît (-2 films), malgré un nombre de films japonais en nette hausse (+6 films).

16 films projetés en 3D

En 2009, 16 films sont disponibles en 3D numérique. 14 sont des films américains et deux des films britanniques. Huit films sortent sur plus de 500 copies au total et trois sur moins de 100 copies (Voyage sous les mers 3D, Scar 3D et Jonas Brothers : le concert évènement 3D).

Stabilité du nombre de films distribués sur plus de 500 copies

En 2009, 32 films sont distribués sur plus de 500 copies (31 films en 2008) dont 18 films américains, 12 films français et deux films européens (Millenium, film suédois, et Harry Potter et le Prince de sang-mêlé, film britannique). Ils concentrent 26,9 % de l’ensemble des copies en circulation. Parmi ces titres, trois films disposent de plus de 800 copies : Harry Potter et le Prince de sang-mêlé, Arthur et la vengeance de Maltazard et Coco (films français). Ils étaient 5 en 2008 et 6 en 2007. 27,4 % des films sont disponibles sur plus de 200 copies (161 films) et 38,9 % sur plus de 100 copies (229 films). À l’inverse, 142 films (24,1 %) disposent d’une combinaison de sortie restreinte (moins de 10 copies), soit quatre copies par film en moyenne.

137 copies par film en moyenne

En 2009, les 588 films en première exclusivité sont distribués sur 80 301 copies au total (+3,7 % par rapport à 2008). Le nombre moyen de copies par film diminue. Un film inédit dispose, en moyenne, de 137 copies, contre 140 copies en 2008. L’année 2009 retrouve ainsi le niveau de 2007. Les films américains captent 44,7 % des copies en circulation, contre 42,9 % pour les films français. En moyenne, un film français est distribué sur 129 copies, soit 9 de moins qu’en 2008 qui avait atteint un niveau record. Toutefois, le niveau reste élevé au regard des années précédentes. Le nombre moyen de copies par film pour une oeuvre américaine passe de 221 en 2008 à 218 en 2009. Malgré une offre de films relativement stable, le nombre moyen de copies par film européen recule à 73 copies, contre 77 en 2008. Un film non européen et non américain dispose, en moyenne, de 50 copies (38 en 2008). Cette nette augmentation est due au fait qu’en 2009, cinq films sortent sur plus de 200 copies, contre un seul en 2008.

L’Art et Essai concerne 60,9 % des films et 27,7 % des copies

60,9 % des films en première exclusivité sont recommandés Art et Essai, soit 57 films de plus qu’en 2008 (358 oeuvres). C’est le plus haut niveau constaté sur la décennie, devant 2004 (345 films). À leur sortie, les films Art et Essai sont en moyenne programmés dans un nombre de salles plus de 4 fois inférieur à celui des films non recommandés. Un film Art et Essai sort dans 62 salles en moyenne en 2009 (52 en 2008), contre 253 salles pour un film non recommandé (243 copies en 2008). En 2009, cinq films Art et Essai sortent sur plus de 400 copies (4 en 2008, aucun en 2007 et 5 en 2006) et 39 sortent sur plus de 200 copies (15 en 2008 et en 2007 et 36 en 2006). La grande majorité des films Art et Essai disposent de moins de 20 copies (179 films en 2009, 136 films en 2008). Au total, les films recommandés mobilisent 27,7 % des copies en 2009 (19,5 % en 2008).

En 2009, les 190 films français recommandés Art et Essai (70,9 % des films français de l’année) sont distribués sur 60 copies en moyenne. 48 films américains bénéficient également de cette recommandation (29,1 % des films américains de l’année) et sont édités, en moyenne, sur 115 copies. 72,9 % des nouveaux films européens et 84,7 % des nouveaux films d’autres nationalités sont recommandés Art et Essai en 2009. Au total, 115 films recommandés Art et Essai sortent sur moins de 10 copies (32,1 % des films recommandés) dont 62 films français (32,6 % des films français recommandés) et 9 films américains (18,8 % des films américains recommandés). Ces 115 films représentent par ailleurs 81,0 % des films édités sur moins de 10 copies (92,5 % pour les films français sortis sur moins de 10 copies et 47,4 % pour les films américains).

Classification des films

Chaque année, plus de 80 % des films en première exclusivité bénéficient d’un visa d’exploitation tous publics. En 2009, 539 films sont dans ce cas (91,7 %) dont 256 films français (95,5 % de l’offre de films français) et 146 films américains (88,5 % de l’offre de films américains). 38 films font l’objet d’une interdiction aux moins de 12 ans et 11 films sont interdits aux moins de 16 ans dont 4 films français et 5 films américains. Aucun film n’est interdit aux moins de 18 ans en 2009.

Près d’un quart des films sont des drames

Le nombre de documentaires sortis en salles en première exclusivité s’établit à 71 en 2009, contre 58 en 2008, 67 en 2007 et 52 en 2006. 45 documentaires sont français, 13 sont européens, 12 sont américains et un est chinois (24 City). 35 films d’animation sortent en 2009, soit 13 films de plus qu’en 2008. L’animation française demeure particulièrement dynamique avec neuf films distribués dont : Arthur et la vengeance de Maltazard, la Véritable Histoire du chat botté, les Lascars, Totally Spies ! le film ou encore Kérity, la maison des contes. 13 films d’animation américains sortent sur les écrans dont Monstres contre Aliens, l’Âge de glace 3 et Là-haut. Cinq films d’animation sont européens, six sont japonais et deux sont australiens (le Sens de la vie pour 9,99 $ et Mary et Max). Gebeka Films et Buena Vista International sont les premiers distributeurs de films d’animation en 2009 avec cinq films chacun. Bac Films distribue trois films d’animation et Eurozoom, SND, Universal et 20th Century Fox en distribuent deux chacun. En 2009, 127 comédies (dont 64 films français et 48 films américains) sont distribuées pour la première fois sur les écrans français. 105 comédies dramatiques sortent, dont 52 films français et 21 films américains. À eux seuls, ces deux genres regroupent 39,5 % des films en première exclusivité. Le drame occupe toujours la première place du classement des genres avec 139 films sortis en 2009. Les films d’animation sont ceux qui disposent en moyenne du plus grand nombre de copies en 2009 (293 copies). Les films fantastiques et les films d’aventure présentent également d’importantes combinaisons de sortie : respectivement 292 copies (193 copies en 2008) et 288 copies (370 copies en 2008) en moyenne. À l’inverse, les documentaires, les drames et les comédies dramatiques sortent en moyenne sur un nombre de copies restreint.

De nouveau des films français l’été

En moyenne, 49 films sortent chaque mois en 2009 (11 films par semaine). Deux mois traduisent une activité plus soutenue : décembre (10,4 % de l’ensemble des sorties de l’année, soit 15 films par semaine) et avril (10,2 % des sorties, soit 15 films par semaine). Mai et août sont les mois où le nombre de sorties est le plus faible à respectivement 9 films et 10 films par semaine. En moyenne, 22 films français sortent chaque mois en 2009 (5 films par semaine), contre 14 films américains (3 films par semaine). Les films français représentent entre 37,0 % (juin) et 55,0 % (avril) des sorties mensuelles, contre 16,7 % (mai) à 41,3 % (juin) pour les films américains. Depuis deux ans, l’offre de films français en première exclusivité progresse significativement l’été. En juillet, période autrefois synonyme de pénurie de films français inédits, 20 films nationaux (7,5 % des films français en première exclusivité) sortent en 2009, contre 21 en 2008 (8,8 %) et 11 en 2007 (4,2 %). Il convient, par ailleurs, de signaler que juillet offre, en 2009, un large choix de films inédits (50 films).

619 200 € de frais d’édition en moyenne pour les films français en 2008

En 2008, les frais d’édition moyens des films d’initiative française sont stables et s’établissent à 619 200 € par film (+0,7 %). La combinaison de sortie moyenne augmente sur la période (+4,9 %) et atteint 168 copies en 2008 (160 copies en 2007). Les frais d’édition des films de fiction présentent une relative stabilité sur la période. Chaque année, environ 690 000 € sont en moyenne consacrés à la sortie d’un film d’initiative française de fiction (689 000 € en 2008). Le coût moyen de distribution d’un film d’animation connaît une forte amplitude selon les années. L’année 2008 compte cinq films d’animation d’initiative française, dont Chasseurs de dragons et Igor. Les frais d’édition moyens investis par film d’animation diminuent de 23,8 % par rapport à 2007 à 915 900 €, ainsi que la combinaison moyenne de sortie (-22,8 % à 271 copies). Les frais d’édition moyens des films documentaires peuvent également varier du simple au double d’une année sur l’autre. En moyenne, ils atteignent 158 600 € pour une combinaison de sortie de 33 copies en 2008. La part des frais de laboratoire dans les frais totaux d’édition s’accroît en 2008 à 32,6 %, contre 31,3 % en 2007. Toutefois, le premier poste de dépenses reste celui des achats d’espaces publicitaires. Il capte 43,2 % des coûts de distribution des films en 2008 (45,3 % en 2007).

Les frais d’édition : 9,9 % du coût définitif d’un film français en 2008

Les films d’initiative française distribués en 2008 présentent un coût définitif moyen (production + distribution) supérieur à celui des années précédentes à 6,96 M€, contre 5,17 M€ en 2007 et 5,75 M€ en 2006. Cette progression est liée à la sortie de films à très gros budgets tels que Astérix aux Jeux Olympiques et Babylon A.D. Après une progression continue entre 2004 et 2007, le poids des frais d’édition dans le coût définitif recule en 2008 (9,9 %, contre 13,1 % en 2007). En règle générale, les coûts de distribution impactent plus fortement les films dont le coût de production est inférieur à 1 M€ et ceux dont le coût de production est compris entre 4 M€ et 15 M€. Au delà de 15 M€, les frais d’édition représentent moins de 9 % du coût définitif.Par ailleurs, les frais de laboratoire représentent, en moyenne, 3,2 % du coût définitif d’un film en 2008. Cette part est nettement plus forte pour les films dont le coût de production est inférieur à 1M€ (6,7 %) et moins forte pour les films dont le coût de production est supérieur à 15 M€ (2,3 %).

La répartition des frais d’édition dépend étroitement du nombre de copies

En-deçà de 50 copies, la part des dépenses techniques (frais de laboratoire) représente 34,6 % du coût de distribution et celle des frais divers de promotion (relations presse, avant-premières…) 26,2 % en 2008. Au-delà de 50 copies, la publicité (achats d’espaces) concentre la majorité des dépenses, les distributeurs bénéficiant d’économies d’échelle sur leurs tirages de copies. Contrairement aux frais techniques, les moyens financiers dévolus à la promotion des films et plus particulièrement aux achats d’espaces publicitaires augmentent à mesure que le nombre de copies croît. Un film français sortant sur plus de 100 copies bénéficiera ainsi d’une campagne publicitaire d’envergure, afin d’optimiser la visibilité du film sur les différents médias (44,7 % des frais d’édition totaux en 2008). Au contraire, les distributeurs de films à petites combinaisons de sortie (moins de 10 copies) vont davantage miser sur les relations presse et effectuer un travail de proximité avec les salles (organisation d’avant-premières, rencontres avec le réalisateur, etc.). Ces frais de promotion divers représentent un tiers des frais d’édition en moyenne (35,8 % en 2008). Acheter de l’espace publicitaire représente un coût important et difficile à amortir sur des films à petite combinaison de sortie dont le budget de distribution atteint en moyenne environ 47 500 € en 2008.

Classement des distributeurs

Complément d’informations. En juillet 2009, TF1 et UGC se sont alliés pour assurer ensemble la distribution de leurs catalogues de films. En 2009, contrairement aux années précédentes, certains distributeurs ont collaboré pour la sortie en salles de films. En effet, deux films font l’objet d’une co-distribution : 24 City (Ad Vitam et MK2) et Bronson (Le Pacte et Wild Side Films).

En 2009, 105 distributeurs participent à la sortie des 588 nouveaux films. Les dix plus actifs assurent la distribution de 32,3 % des films inédits (35,3 % en 2008). Metropolitan Filmexport et TF1 International / UGC Distribution en distribuent plus de 20 chacun et totalisent 8,8 % des films diffusés pour la première fois en salles en 2009. Quatre distributeurs assuraient au moins 20 sorties en 2008 et totalisaient 18,2 % de l’offre totale de films inédits.

En 2009, 20th Century Fox prend la tête du classement des distributeurs en termes d’encaissements. La distribution de Avatar, de l’Âge de glace 3 et de X-Men Origins Wolverine, entre autres succès, lui permet de réaliser une part de marché de 12,2 % (6,5 % en 2008). En deuxième position, Warner Bros France capte 9,4 % des encaissements distributeurs en 2009, notamment grâce à Harry Potter et le Prince de sang-mêlé, Gran Torino et l’Etrange Histoire de Benjamin Button. Pathé Distribution occupe la 3e place. La société distribue des films ayant rencontré un large succès en salles : LOL (Laughing Out Loud) ou encore Slumdog Millionaire. L’association TF1 International / UGC Distribution permet aux deux sociétés d’intégrer le classement des 10 premiers distributeurs en termes d’encaissements à la 7e place. Le groupement dégage une part de marché de 5,7 % en 2009, contre 4,1 % en 2008 (2,9 % pour TF1 International et 1,2 % pour UGC Distribution), notamment grâce à la distribution de Neuilly sa mère. En 2009, les dix premiers distributeurs réalisent 71,6 % de l’ensemble des encaissements (74,8 % en 2008). Les cinq premiers en captent 44,7 % (51,5 % en 2008).

 

Les 10 premiers distributeurs en 2009 (en termes d’encaissements distributeur)
    part de marché (%) films distribués dont films nouveaux
1 20th Century Fox 12,2 99 19
2 Warner Bros France 9,4 158 12
3 Pathé Distribution 7,9 167 17
4 Sony Pictures Releasing 7,7 174 18
5 Buena Vista International 7,5 138 13
6 SND 6,3 52 16
7 TF1 International / UGC Distribution 5,7 147 22
8 Mars Distribution 5,0 41 20
9 StudioCanal 4,9 117 16
10 Metropolitan Film Export 4,9 137 30

 

531 M€ DE DÉPENSES DE PROMOTION DES FILMS

Précisions méthodologiques L’institut Kantar Media pige la publicité sur les cinq grands médias : affichage, cinéma, presse, radio et télévision. Depuis 2002, la publicité sur internet est également prise en compte. En 2004, l’institut a intégré de nouveaux médias : les médias tactiques. Ces derniers regroupent les supports non conventionnels tels que les voitures ou les tables de bistrots. Les montants mentionnés ci-après correspondent à la valorisation financière de l’exposition des publicités sur les sept médias analysés. Ce sont, par conséquent, des investissements bruts tarifés qui ne tiennent pas compte des rabais, remises, ristournes propres à chaque média et à chaque support. Par conséquent, ces données doivent être considérées avec précaution.

En 2009, les investissements publicitaires bruts tarifés pour la promotion des films s’élèvent à 531,30 M€, en hausse de 8,1 % par rapport à 2008. L’affichage, toujours premier support de promotion des films, enregistre une relative stabilité de ses investissements par rapport à 2008 (+2,4 %) pour atteindre 179,80 M€. Son poids au sein des investissements totaux continue de baisser et s’élève à 33,8 % (35,7 % en 2008 et 61,1 % en 2000). Les investissements publicitaires bruts tarifés en faveur d’internet, deuxième support de promotion, se stabilisent en 2009 : -0,2 % par rapport à 2008 (153,61 M€). Internet capte 28,9 % des dépenses publicitaires totales (31,3 % en 2007 et 26,8 % en 2007). Les investissements publicitaires destinés à promouvoir les films à la radio, au cinéma et dans la presse augmentent considérablement en 2009 : respectivement +29,2 %, +23,4 % et +19,1 %. En ce qui concerne la radio et la presse, la hausse est imputable à la progression des investissements publicitaires moyens (respectivement +21,1 % à 160 400 € et +22,7 % à 194 900 €) pour un nombre de film concernés en recul (respectivement -18,9 % et -3,0 %). La promotion au cinéma affiche une augmentation du nombre de films concernés (+8,2 %) et de l’investissement moyen par film (+14,0 %). Aucune promotion pour des films n’est réalisée sur les médias tactiques en 2009.

Les films français captent 29,9 % des investissements publicitaires bruts en 2009 (hors publicité groupée), contre 58,3 % pour les films américains. En moyenne, l’investissement publicitaire brut pour un film français est de 491 900 € (493 600 € en 2008) et de 1 262 100 € pour un film américain (1 043 800 € en 2008). Il existe une grande disparité entre les budgets de promotion : l’indice de dispersion varie de 1 à 2 600 pour les films français et de 1 à plus de 10 300 pour les films américains. Avatar prend la tête du classement des films 2009 en termes d’investissements publicitaires bruts, suivi de Transformers 2 et de la Nuit au musée 2. Un film français figure parmi les 20 premiers du classement : Arthur et la vengeance de Maltazard (4e) (un en 2008 et trois en 2007). Six films d’animation apparaissent parmi les 20 premiers : Arthur et la vengeance de Maltazard (4e), l’Âge de glace 3 (8e), Là-haut (12e), Alvin et les chipmunks 2 (15e), le Drôle de Noël de Scrooge (17e) et Volt, star malgré lui (19e). En ce qui concerne les films en première exclusivité de 2009, 497 films font l’objet d’une campagne publicitaire sur au moins un média, soit 84,5 % de l’ensemble des films sortis. L’investissement publicitaire brut total pour ces films atteint 414,4 M€, soit 94,8 % des investissements globaux (hors publicité groupée). Sur ces 414,4 M€, 122,9 M€ sont consacrés à la promotion de 225 films français et 243,0 M€ à celle de 151 films américains.

Télécharger : Le rapport du CNC

 

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