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Médias. La presse féminine en pleine forme !

9 février 2010

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Plus de 40 titres, près de 400millions d'exemplaires par an: la presse féminine affiche une belle santé. Les Françaises sont accros et les éditeurs cherchent continuellement à les séduire.

Lancement de nouveaux titres, succès confirmés des hebdomadaires comme des mensuels, les magazines féminins affichent une excellente santé. Aujoud'hui le groupe Marie-Claire (Marie-Claire, Famili, Avantages, Cosmopolitan...) doit présenter son dernier titre, «Envy», hebdomadaire féminin haut de gamme qui vise les lectrices de 20 à 35 ans. Lagardère Active (éditeur d'Elle, lancé en 1945) s'apprête à décliner une «marque globale» autour du nom de domaine be.com qui, après un site communautaire et une application iPhone, aboutirait prochainement à un nouveau magazine visant les 20-35 ans. Prisma Presse (groupe Bertelsmann), qui édite notamment Femmes actuelles et Prima, pourrait lancer d'ici à un an un nouveau mensuel.

Le «people» et le haut de gamme

Bref, le marché français de la presse féminine est florissant et prospère avec plus de 40 titres qui vendent près de 400millions d'exemplaires par an. «Ce qui a progressé, ce sont plutôt les aspects people et les féminins haut de gamme, plus particulièrement les positionnements jeunes», explique Bruno Lesouëf, directeur général des publications de Lagardère Active. «Les femmes sont une cible privilégiée pour les éditeurs et là on peut faire le rapprochement avec le livre, les femmes lisent plus naturellement et plus spontanément, en plus l'achat d'impulsion est plutôt féminin», a-t-il estimé. «En France, les femmes sont des accros à la presse», renchérit Loïc Guilloux, éditeur du pôle féminin de Prisma Presse.

Complémentaire du net

La presse féminine se partage en deux catégories principales: d'un côté, les féminins pratiques et plutôt populaires, de l'autre, le «haut de gamme» où la concurrence est très forte. Quant au net, la presse féminine ne se sent nullement menacée. «L'hebdo correspond bien à un mode de lecture «weekend, du coup, c'est l'offre des mensuels qui devra être retravaillée», considère un éditeur. Le lancement d'un hebdo coûte de deux à trois fois plus cher que celui d'un mensuel, mais rapporte quatre fois plus en cas de succès. Tous les éditeurs s'accordent à penser que le marché est loin d'être saturé. L'an dernier, le lancement réussi par Mondadori de l'hebdomadaire Grazia n'a pas pénalisé les titres existants et beaucoup d'entre eux devraient annoncer sur l'année 2009 une diffusion en hausse. Grâce aux femmes...

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