homepage
homepage
homepage


Volume IV, ÉDITION 6
Iyar 5763 / Mai 2003

EDITION D'ETE

MOT DU DIRECTEUR

Le Rabbin Saul Emanuel

Vaad Hair

Alors que Pessah est maintenant passé, il nous faut réfléchir aux choses à améliorer pour le prochain Pessah. Il ressort des commentaires du public que nous avons reçu concernant la brochure la Voix du Vaad, que pour l'édition de l'année prochaine, les informations relatives aux produits cosmétiques devraient être mise à jour.

Nous retournons à présent à notre programmation régulière et nous continuons à recevoir diverses demandes de compagnies qui souhaiteraient obtenir la certification de cacheroute.

Certaines de ces compagnies seront bénéfiques pour le marché des consommateurs de produits cachers, une fois qu'elles obtiendront leur certification de cacheroute.

Par ailleurs, la fête de Chavouot approche à grands pas et nous comptons les jours, chaque jour étant est distinct d'un autre jour et dans lequels tant de réalisations peuvent être accomplies. Puissions-nous faire en sorte que chaque jour compte, et que l'ambiance de Chavouot, celle que nous avions au moment du don de la torah "Ki'Ish Echad B'Lev Echad" unité et ahdout, soit présente tout au long de l'année.


QUOI DE NEUF?

M. Deitcher, Président du conseil d'administration est nommé President du Conseil d'Administration du Vaad Ha'ir.

Lors de la conférence du Vaad 2002, M. Saul Deitcher, président du conseil d'administration depuis plus de 50 ans, a reçu une plaque commémorative en reconnaissance pour son dévouement constant, au nom du Vaad Ha'ir et de l'ensemble de la communauté juive de Montréal.

M. Deitcher fut membre du conseil d'administration pendant de nombreuses années, ainsi qu'à titre de directeur et de conseiller. Il fut ensuite nommé président du conseil d'administration.

À présent, avec la croissance et la mise à jour des services du Vaad, M. Deitcher se retire des affaires mais non des services communautaires. Il sera présent dans les bureaux du Vaad quelques heures par jour, afin de contribuer aux projets vitaux qu'entreprend le Vaad. La présence de M. Deitcher au Vaad ainsi que ses atouts particuliers en relations interpersonnelles, permettront au Vaad de mieux servir le public et de promouvoir les services indispensables qu'offre le Vaad. M. Deitcher s'est dévoué bénévolement pour le Conseil de la communauté juive de Montréal et il se joindra à nous dans le seul but de continuer à servir la communauté. Le Vaad apprécie grandement ses efforts et il tient à le remercier. Nous lui souhaitons beaucoup de succès dans son nouveau poste et de nombreuses années de santé et de joies.


כהררין התלויין בשערה

TELLES DES MONTAGNES SUSPENDUES PAR UN CHEVEU


Haguiga I:8


© Vaad Ha'ir de Montréal

Le Rabbin Zushe Yosef Blech

Nouvelles & Perspectives Du Vaad

La Mishna à la fin du premier chapitre de Massehet Haguiga (I:8) fait remarquer que les Halachot de Chabat, Haguigot (sacrifices apportés lors des Fêtes) et Me’ilot (les interdits relatifs aux objets sacrés) sont “telles des montagnes suspendues par un cheveux” en raison de la complexité des multiples Halahot qui sont basées uniquement sur quelques écrits. En matière de production alimentaire, le statut de cacheroute de nombreux ingrédients est souvent défini par l’analyse de principes Halahiques subtiles et détaillées. Cependant, il existe un ingrédient chimique – nommé l-cystéine – dont le statut de cacheroute est unique en son genre, alors qu’il demande un niveau d’érudition halahique élevé pour être saisi. Dans le monde de la cacheroute, il est rare de trouver un ingrédient aussi controversé et comportant autant d’intéressantes questions halahiques.

L-cystéine est un acide aminé, qui fait partie de la catégorie d’acides organiques qui contiennent un groupe aminé de nitrogène. Parmi les 100 différents types d’acides aminés, seulement vingt d’entre eux servent de précurseur pour toutes les protéines – les éléments de base de toute vie. De plus, certains acides aminés ont une utilité précise dans l’industrie alimentaire. Par exemple, deux acides aminés – l-phénylalanine et l-acide aspartique – peuvent être modifiés pour former de l’aspartame, qui est utilisé de nos jours comme substitut de sucre. L’acide Glutamique, souvent employé sous sa forme de sel glutamate monosodium (MSG), sert à rehausser la saveur.

L-cystéine possède deux principales applications alimentaires. On l’emploi tout d’abord comme moyen d’accroître l'extensibilité de la pâte afin de la rendre plus malléable. Ce qui constitue en quelques sortes une réalisation moderne des berahots (bénédictions) conférés à Béné Israël. La Torah nous assure que nous serons si bénis de quantité de grains céréaliers que nous consommerons uniquement des grains agés - V’Achaltem Yachane Nochane – “et vous mangerez (du grain) très vieux”. Selon Hazal, (Baba Batra 91b) ce verset nous enseigne que les aliments plus vieux sont de meilleure qualité, et en effet, les propriétés de la farine sont telles qu’elle devient meilleure lorsqu’elle est entreposée pour un certain temps une fois moulue. La propriété d'élasticité de la pâte à pain résulte de la présence de deux protéines riches en sulfure (gliadine et gluténine) dans le blé. Au fur et à mesure que la pâte est pétrie, les liens entre ces deux protéines se renforcent, ce qui favorise la formation de gluten. La structure moléculaire de la pâte permet alors au dioxyde carbone produit par la levure d’y pénétrer et de faire lever le pain. La force de gluten employée doit être contrôlée afin qu’elle ne soit pas trop élevée. On y parvenait justement en laissant vieillir la farine, en permettant l’oxydation de la protéine et en la laissant exposée à l’oxygène présente dans l’air. De nos jours, cependant, la farine est employée une semaine après qu’elle soit moulue, de telle sorte qu’elle n’a pas le temps de mûrir pour pouvoir profiter de la beraha de Yachane Nochane. Afin de régler cette problématique, les chimistes alimentaires ont trouvé des formes chimiques de beracha qui entraînent le vieillissement instantané. L’acide aminé l-cystéine contient certaines particules à base de sulfure qui réagissent avec la protéine de blé afin d’affaiblir les liaisons de sulfures, ce qui permet une meilleure formation de la pâte. Une autre application alimentaire du l-cystéine est en tant que goût de viande produit par une réaction de Maillard, lorsque certains sucres réagissent avec des acides aminés. En employant du l-cystéine dans de telles réactions chimiques, les scientifiques alimentaires ont réussi à produire une variété de saveurs de poulet, de bœuf, et d’autres types de viandes qui sont à la fois Cacher et Pareve.

La plupart des acides aminés employés dans l’industrie alimentaire sont des produits d’un processus de fermentation, lorsque des microorganismes particuliers produisent l’acide aminé recherché, faisant partie de leurs processus métaboliques. Dans de tels cas, le statut de cacheroute de l’acide aminé dépend de la substance qui est fermentée. Par exemple, si du glucose de blé Hametz est fermenté dans de l’acide glutamique, le MSG ainsi formé serait considéré comme étant également Hametz. Concernant l’acide aminé l-cystéine, il a été historiquement extrait de plumes d’oiseaux et de cheveux – de cheveux humains plus précisément. C’est le statut Halahique de ses substances primaires – ainsi que les problématiques de cacheroute qui s’y rapportent – qui ont été au centre des discussions soulevées par le Choulhane Arouh.

Le cheveux humain est riche en deux types d’acides aminés, l-cystine et l-tyrosine, avec un pourcentage de 14% en l cystine. Losqu’on dissous le cheveux (par hydrolyse) dans de l’acide hydrochlorique, ces molécules peuvent être séparées et reconstituées. En réalité, la l-cystine est composée de deux acides aminés de l-cystéine liées, et lorsque cette liaison chimique est brisée par une réaction d’hydrolyse, la l-cystéine est formée. Bien qu’il ne soit pas particulièrement appétissant, le cheveux humain est Cacher, mais la source du cheveux peut être problématique. Presque la plupart des cheveux employés dans la production de l-cystéine proviennent de l’Asie, là où on les retrouvent en abondance et où les moyens de récupération sont peu dispendieux. Lorsque la l cystéine est sortie sur le marché, certains craignaient que les cheveux furent prélevés de cadavres. Le Choulhane Arouh (Y.D. 349:1) tranche qu’il est défendu de tirer profit d’un corps d’une personne décédée. Bien que certains Richonim (le Rambam et le Smag) permettent qu’on utilise les cheveux, le Choulhane Arouh (Simane 2) suit l’opinion du Rambane et du Rachba qui étend l’interdiction également à cette matière. Heureusement, cependant, personne n’est arrivé à concrétiser l’usage d’une telle source pour la production de l-cystéine, de telle sorte que le consensus sur cette discussion est que ceci ne présente pas de réel souci.

Par ailleurs, les problématiques de cacheroute relatives aux cheveux humains ne se limitent pas à la l-cystéine. En raison de normes halahiques de pudeur, une femme juive mariée à l’obligation de recouvrir ses cheveux en public, et ce qui est fréquemment respecté par le port d’une sheitl (perruque). Bien que le Rav Moshe Sternbuch, dans son livre Dat V’Halaha, soulève de nombreuses questions concernant l’emploi de cheveux humains pour la perruque, une des problématiques qu’il soulève concerne la l cystéine. En effet, il faut rechercher la source du terme acide aminé. Au 8ème siècle, un chimiste arabe nommé Musa Jabir Ibn Hayyan fait mention d’étranges cristaux de sel sur les murs du temple de la divinité égyptienne Amon. Il nomma cette substance sal ammoniac, ou “sel d’Amon”. Nous savons de nos jours qu’il s’agissait de la suie de chameau qui était brûlée dans le temple du désert et qui, contrairement au bois, celle-ci contient une quantité significative de nitrogène. L’ammoniac, et sa molécule amine (y compris les acides aminés), tire donc leurs noms d’une divinité païenne.

Dans notre cas, la problématique résulte d’un rituel païen pratiqué dans certains pays et par lequel une personne offrait en sacrifice ses cheveux à la divinité. Ainsi, il semble que les femmes laissaient pousser leurs cheveux et qu’elles les rasaient ensuite pour l’offrir en sacrifice à l’idole. Selon, le Rav Sternbuch, les prêtres responsables de ses idoles ramassaient ensuite les cheveux ainsi offerts et ils les vendaient à des fabricants de perruques, à l’insu des fidèles. Comme de tels articles seraient considérés comme étant Takrouvat Avoda Zara (sacrifices aux idoles), il serait interdit d’en tirer un bénéfice. (conf. Y.D. 139:1). Halahiquement, les objets offerts en sacrifices aux idoles sont plus problématiques que les idoles elles-mêmes, car un non-juif peut annuler le statut d’une idole (bitoul) mais pas les articles offerts en sacrifices à l’idole. (Ibid., 2). Ainsi, comme cette problématique est présente dans la production de l-cystéine, le fait de sa décomposition lors de sa transformation ne changerait en rien le problème. Cependant, en approfondissant notre analyse, il semble que la l-cystéine ne devrait pas être problématique. Premièrement, les cheveux employés proviennent exclusivement de salons de coiffures. Un système complexe de récupération de cheveux a d’ailleurs été implanté dans certains pays asiatiques, ce qui évite à avoir à piller les temples païens. Ensuite, certains argumentent que même si les cheveux étaient bel et bien offerts en sacrifice aux idoles, une telle action ne serait pas suffisante pour être considérée comme étant Takruvat Avoda Zarh. Le Choulhane Arouh (Ibid., 3) stipule qu’il existe une importante différence Halahique entre les types de matières qui sont offertes en sacrifices aux idoles. Les articles qui ressemblent à ceux offerts en sacrifice (Léhavdil) sur le Mizbéyah (autel) au Beth Hamikdach (K’ein P’nim) deviennent interdit, peu importe la méthode qui est employée pour l’offrir à l’idole. D’autres articles, cependant, doivent être offerts en sacrifice de façon à ressembler aux procédures d’offrandes du Beth Hamikdach, tel que l’abattage ou lorsque le sang était aspergé sur le Mizbéyah– Avoda K’éein P’nim. Ainsi, comme les cheveux n’étaient jamais offerts au Beth Hamikdach, le simple fait de les placer devant une idole ne serait pas suffisant pour les qualifier d’objets interdits – un tel acte ne peut être assimilé à la procédure ‘d’asperger’ puisque le fait de jeter ne fait pas en sorte de créer des gouttelettes ou de briser en morceaux les cheveux (Zerika Ha’Mishtaberes). [Par ailleurs, il est intéressant de noter que cet argument ne serait pas valide dans le cas où les cheveux seraient coupés devant l’idole. Dans un tel cas, le fait de couper serait considéré comme un acte d’abattage. De plus, selon le Rambam, tout article qui est placé juste devant l’idole (Lifnim min Ha’Kilklin) serait interdit, indépendamment de la manière dont l’objet ait été offert.] Il est également à noter que selon l’opinion du Ma’Harcham (III:116), il serait possible de prétendre que tout objet qui est vendu n’a pas servi pour le sacrifice d’une idole, puisque les païens n’accompliraient pas une telle profanation.

Les cheveux, cependant, ne sont pas l’unique source commerciale de l-cystéine. Les plumes de volailles contiennent une certaine quantité de l-cystine, et elles sont transformées de la même manière que les cheveux pour ce type d’application. Bien que libre de toutes problématiques de Avodah Zarah et de bénéfices de parties de corps décédés, il semble que les plumes posent d’autres problématiques plus conventionnelles. Lors de la transformation de volailles, le moyen le plus efficace de retirer les plumes est de tremper l’oiseau abattu dans de l’eau bouillante. Un tel procédé n’est pas autorisé pour la volaille cachère, car il n’est pas permis de cuire un oiseau avant de le laisser tremper et de le saler pour en retirer le sang. (Y.D. 68:10). Ainsi, nous nous retrouvons souvent avec des plumes en trop, provenant de nos poulets cachers. Cependant, les usines de poulets non-cachers, n’ont pas de telles restrictions, et elles trempent fréquemment leurs poulets saignants non-cachers avant d’en retirer les plumes. Bien que la volaille non-cachère ne nous concerne pas, certains pensent que les plumes qui proviennent de poulets non-cachers et qui sont cuits avec le poulet et avec son sang, pourraient être problématiques. Nous ne mangeons pas de plumes, mais nous produisons de la l-cystéine qui provient de ces plumes, ce qui présente une problématique potentielle de cacheroute. Heureusement, en raison de la manière dont les plumes sont transformées pour produire de la l-cystéine, ceci ne pose pas de véritable problématique halahique. Comme les plumes sont dissoutes dans de l’acide hydrochlorique, et qu’elles deviennent entièrement non-comestibles, tout goût non-cacher ou tout sang absorbé est considéré Halahiquement négligeable. Bien que de nombreux décisionnaires interdisent un aliment non-cacher devenu non-comestible et ensuite remit à l’état comestible (ex., la gélatine faite à base de viande non-cachère), ceci ne s’appliquerait pas dans notre cas. En effet, les plumes étaient cachères à la base – le seul soucis est le problème d’absorption du sang et du goût non-cacher. Puisque la récupération subséquente des plumes les rend comestibles, le sang et le goût n’est pas problématique, et elles deviennent Halahiquement insignifiantes [conf. Igrot Moshe (Y.D. II:23) qui discute du sang qui peut se retrouver sur de la peau cachère et qui est ensuite transformé en gélatine.]

Pour ceux qui trouvent que les cheveux et les plumes ne sont pas aussi appétissants, les scientifiques alimentaires ont récemment mis au point d’autres sources d’approvisionnement. Une compagnie produit de la l-cystéine par transformation de d’acrylate méthylique en l-cystéine en employant une enzyme produite par un processus de fermentation. Une méthode encore plus récente se sert d’un procédé de reconstitution, en changeant le codage génétique d’un certain microorganisme, qui libère de la l cystéine. Une fois de plus, le statut de cacheroute de produits de fermentation, dépend du statut de cacheroute des ingrédients fermentés et s’assurer que ces deux éléments soient bien certifiés cachers.

Tel que nous l’avons vu, les problématiques relatives à la l-cystéine fait appel un vaste spectre de notions Halahiques. Mais il est également intéressant de noter une autre propriété particulière de la l-cystéine qui remonte à l’époque du Talmud. La Guemara (Chabbat 145b) rapporte que Rav Abba avait une recette de poulet toute particulière, que Rachi explique comme étant un poulet qu’il cuisait et qu’il laissait reposer pendant plusieurs jours dans de l’eau chaude jusqu’à ce qu’il soit dissout, et qui était ensuite mangé comme médicament. Bien que Rachi ne mentionne pas pour quel maux ce type de soupe au poulet était prescrit, le Rambam avait prescrit précisément cette soupe au poulet pour traiter l’asthme du Prince Al-Afdal dans la cour de Saladin. Il semble que la l-cystéine qui se retrouve à l’état naturel dans les plumes du poulet et dans la peau, ressemble étrangement au médicament acetylcystéine, et la soupe de poulet et la quantité de l-cystéine qu’elle contient doit être justement ce que tout docteur prescrirait.

Hazal nous enseignent qu’à l’époque de Matane Torah, Hachem a fait suspendre le Har Sinaï au-dessus du peuple juif - Kafa Alehem Har K’Guiguit (Chabbat 88a). Il leur a alors présenté deux choix – soit d’accepter la Torah, soit que la montagne soit lâchée et qu’à cet endroit se forment leurs tombes. Lorsque Béné Israël ont accepté la Torah, ils ont également pris sur eux toutes les lois dans leurs moindres détails y compris ceux que la Michna qualifie de “suspendues par un cheveu”. Le Midrach (Tanhouma, Ki Tavo) explique que le Passouk fait référence au don de la Torah HaYom HaZeh – “en ce jour” – afin de nous enseigner qu’il faut considérer comme si la Torah nous est donnée chaque jour. Puisse le zéhout de l’étude des lois complexes relatives au l cystéine et les cheveux d’où elle est dérivée, servir de ‘cheveux’ qui permettront de tenir suspendu Har Sinaï sur chacun d’entre nous, chaque jour.


QUOI DE NEUF AU MK

ADIR WHOLESOME NUTRITION est un producteur de biscuits nutritifs. Tél: 514-278-4376

CENTRE MONT ROYAL INC. Une salle de réception qui possède une cuisine cachère. Elle est située au 2200 rue Mansfield, Montréal, Qc. H3A 3R8. Tél: 514-844-2000.

CONSTANT AMERICA INC. manufacture des produits ménagers et sanitaires. Tel: 514-761-3339.

LA MERE POULE ALIMENTS POUR BEBES INC. produit des aliments pour bébés surgelés qui sont disponibles dans les saveurs suivantes : Apples, Apples & Prunes, Cantaloupe, Honeydew Melon, Mangos, Peaches, Pears, Sunny Fruit Sauce, Broccoli, Butternut Squashes, Californian Strained Vegetables, Carrots, Green Peas, Sweet Potatoes, Yellow Beans & Zucchini La compagnie est située au 8790 Champ D'Eau, St. Leonard, Québec H1P 2Y8 Tél: 514-852-5858.

MOULIN AUX ABENAKIS INC. produit des Mélanges de Pains, de Muffin et de Cake. Tél: 418-883-3688

PIZZAMAN ouvrira un deuxième restaurant au Chabad, Peel.

SAM'S FOOD BROKERAGE distribue une variété de fromages durs qui ne sont pas Halav Israël sous le nom Royal and Delicious. Tél: 276-1981.

TIGERADE est une boisson Énergie (Sportive) offerte dans les saveurs suivantes : Blue Raspberry, Fruit Punch, Orange, Cherry, Grape et Raspberry Ice.

Les produits Coca Cola suivants sont Cachers uniquement lorsqu'ils comportent le symbole du MK:

Les marques suivantes: Nestea, Barq's, Dasani, Fanta, Master Chill, Minute Maid & Mellow Yellow

Les produits: Cream Soda, Root Beer, Caffeine Free Diet Coke, Coca Cola Classic, Dasani, Diet Coke, Blueberry, Cherry, Watermelon, Key Lime, Orange Mango, Plum Cherry Passionfruit, Mellow Yellow, Lemonade, Orange Soda, Raspberry, Strawberry, Cool Lemon, Peach Tea

BOULANGERIE ST. METHODE n'est plus sous le contrôle du MK.


BACK