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30 Novembre 2008Un peu d'aide ?

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N° 373 - novembre 2008
Numéro spécial
La musique est-elle constituée d’un assemblage de sons comme les autres ? Certes, mais la musique n’est pas seulement un assemblage de sons : le tout est bien davantage que la somme de ses constituants. Sous la plume d’un compositeur, sous les doigts d’un instrumentiste, il naît d’une suite de sons, une mélodie qui ne laisse personne indifférent. Les premières flûtes en os dateraient de quelque 25000 ans et il n’est pas de groupe culturel qui n’ait sa musique. La musique est universelle. A-t-elle une valeur adaptative ? Est-elle un langage ?
La musique présente de multiples facettes, et physiciens, mathématiciens, informaticiens et neuroscientifiques s’y intéressent. D’abord pour comprendre la science cachée derrière les mélodies et les instruments qui les produisent, puis pour analyser et traiter ces sons, et laisser libre cours à leur imagination en les restituant, en les assemblant de façon inédite, en élaborant des orchestres virtuels. Enfin, les émotions musicales commencent à livrer quelques-uns de leurs secrets, même si l’on ignore encore pourquoi tel ou tel morceau interprété par tel ou tel soliste nous donne la chair de poule.  
La musique dans tous ses états !
Bonne lecture...
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Débat : Pour la Science et l'émission Science publique sur France Culture
La planète des singes
Gabrielle et Xena font bon ménage
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CD-Rom Pour la Science 2003-2005
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Charcot - A la conquête du cerveau
novembre 2008

En 1882, Jean-Martin Charcot est l’une des célébrités du moment. Le Tout-Paris se presse à ses leçons du mardi. Avec passion et clarté, le médecin de la Salpêtrière y présente des cas « intéressants » et prononce son diagnostic en public. Nombre des cas exposés sont des hystériques, chez qui Charcot déclenche, sous hypnose, les différentes phases de la crise hystérique. L’assistance est en émoi. Pourtant, ses leçons sont bien plus que de simples scènes de théâtre. Chacune d’elles est portée par une démarche rationnelle, la même qui a hissé Charcot parmi les sommités de la neurologie. Car Charcot est avant tout un neurologue, et c’est en neurologue qu’il aborde l’hystérie. Jean-Claude Dupont, historien de la neurologie, retrace le cheminement qui mena cette personnalité marquante du XIXe siècle de l’étude des pathologies du système nerveux aux portes de l’inconscient.
Dans le service de Charcot, un jeune étudiant de passage boit ses paroles : Sigmund Freud.
Également au sommaire : Louis Daubenton, sorti de l’ombre de l’imposant Buffon, un vif débat au XVIIe siècle entre Margaret Cavendish, philosophe, et Joseph Glanvill, savant, sur l’existence des sorcières, et les méfaits de la théorie du « rayon sonore » en acoustique.

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Gaulois. Qui étais-tu ?
octobre 2008
Nouvelle formule
• Une navigation plus facile
• Des entretiens avec des spécialistes
• Des synthèses en images
• Des recensions d’ouvrages à lire en plus
                                                                   Bonne lecture !

Qu’avons-nous hérité de nos ancêtres ? Nos défauts, comme l’annonce Rimbaud ? Nos vertus seraient alors issues d’un peuple civilisateur : aux Grecs et aux Romains l’art classique, la tragédie, la philosophie, les sciences, l’administration publique. Aux Gaulois, arriérés et sanguinaires, les bas instincts.
La comparaison est périlleuse. D’abord elle nous entraîne vers l’anachronisme : nous risquons de juger des comportements à l’aune d’une échelle de valeurs trop actuelle. Ensuite elle se fonde sur une réputation sans doute fallacieuse. Jusque récemment, l’image des Gaulois était négative, construite par des auteurs antiques qui les voyaient comme des barbares, voire des ennemis, puis dénigrée par un pouvoir chrétien soucieux de rejeter toute culture païenne, et enfin récupérée par le nationalisme.
Les mentalités se sont progressivement ouvertes aux sociétés différentes de la nôtre, et, aujourd’hui, historiens et archéologues visent à l’objectivité. Une tout autre image des Gaulois émerge des études récentes. La « cervelle étroite » ? Ils utilisaient l’écriture, frappaient leur monnaie, négociaient avec de nombreux peuples. La « maladresse dans la lutte » ? C’étaient des guerriers redoutés, formés dès le plus jeune âge et bien armés. Un « habillement barbare » ? Ils ont créé le pantalon et inventé des techniques de tissage. Des « brûleurs d’herbes ineptes » ? Leur agriculture a forgé les paysages qui sont encore les nôtres. « L’idolâtrie et les vices » ? Leurs dieux, qu’ils ne représentaient pas, étaient honorés par de nombreux rites. « Le mensonge et la paresse » ? L’organisation politique, l’artisanat et même l’art étaient bien plus avancés qu’on ne l’a prétendu.
L’héritage, si héritage il y eût, se révèle plus riche, plus noble, plus inattendu que nous ne le croyions.
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La rumeur
novembre 2008
Sais-tu ce que Michaël m’a dit ? Je viens de lire dans mon magazine favori que… Le savais-tu ? Il paraît que…
La rumeur, le bouche à oreille, les bruits de couloirs, les cancans… Tout un chacun serait concerné –sans doute à des degrés divers– par la rumeur, cette activité qui semble faire partie de la nature humaine. Nos ancêtres auraient déjà pratiqué l’art de la rumeur pour se transmettre des informations sur leurs congénères. Aujourd’hui colporter les rumeurs qui circulent sur les célébrités représenterait une façon de lier conversation et de créer du lien social. Les psychologues décryptent les mécanismes de la rumeur.
Ils tentent aussi de cerner les critères de la beauté et découvrent que les visages les plus appréciés sont ceux qu’obtiennent les chercheurs en superposant de nombreux visages : les visages « moyens » seraient les plus attirants !
Découvrez également comment la facilité d’accès aux jeux de hasard sur Internet augmente les risques de dépendance au jeu, quels sont les nouveaux liens entre père et fils, ou encore comment décoder le comportement des gens dans un ascenseur. Après avoir lu cet article, vous vous amuserez à reconnaître les personnalités des individus croisés dans l’ascenseur !
Bonne lecture !
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