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SYNDICATS > PRINCIPAUX SYNDICATS FRANÇAIS - 1

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SYNDICATS OUVRIERS

CAT (Confédération autonome du travail).  22, rue St-Vincent-de-Paul, 75010 Paris. Origine : issue d'une scission de la CGT en 1947, confédération fondée le 12-11-1953. Spécificité : proche des salariés, autonome vis-à-vis des gouvernements et de tout mouvement extérieur, notamment politique, philosophique et religieux. Organisation : confédération interprofessionnelle rassemblant des fédérations et syndicats autonomes de salariés du secteur privé et d'agents du secteur public (fonctionnaires d'État, territoriaux et hospitaliers). Budget fédéral et confédéral (en millions de F) : 1995 : 2,45 ; 98 : 1,8 ; 2001 : 2,9 ; en [euro] : 02 : 320 000. Publication : « Autonome Confédéral CAT » (bimestriel). Pt : Jean-Claude Geneste (né 12-5-1945). Cotisants : 1970 : 34 000 ; 76 : 76 800 ; 91 : 48 200 ; 96 : 32 000 ; 2001 : 54 000 ; 02 : 55 000.

CFDT (Confédération française démocratique du travail).  4, bd de La Villette, 75955 Paris Cedex 19. Origine : issue de la CFTC en 1964. Affiliée à la CES et à la CISL. Secr. gén. : 1964 Eugène Descamps (17-3-1922/9-10-1990), secr. CFTC depuis 1961). 1971 Edmond Maire (né 24-1-1931). 1989 Jean Kaspar (né 10-5-1941). 1992 (20-10) Nicole Notat (née 26-7-1947) ; 1998 (7/10-12) réélue par 77,8 % des mandats ; 2002 (30-5) François Chérèque. Permanents : environ 8 500. Budget confédéral officiel : 34,6 millions d'[euro] (cotisations 17). Publications : « CFDT Magazine » (mensuel, distribué à tous les adhérents), « Syndicalisme hebdo » (44 000 ab.), « Action juridique » (bimensuel, 4 000 ab.), « Social Actualité » (4 000 ab.), « La Revue » (2 000 ab.). Adhérents (au 31-12) : 1965 : 573 ; 71 : 772 ; 81 : 903 ; 95 : 680 ; 2001 : 865 (dont femmes : 43 %) (est. 600). Militants : 150 000 (10 000 délégués syndicaux, 50 000 dél. du personnel, 46 000 dél. au comité d'entreprise, 30 000 dél. de CHSCT, environ 40 000 élus dans la fonction publique, les représentants dans les institutions, les permanents et militants sans mandat dans les commissions de CE), 2 217 conseillers prud'hommes, 65 000 animateurs de sections.

CFTC (Confédération française des travailleurs chrétiens).  13, rue des Écluses-St-Martin, 75483 Paris Cedex 10. Fondée 1er et 2-11-1919. (Les 1ers synd. d'inspiration chrétienne remontent à 1887 : Seci : Synd. des employés du commerce et de l'ind.) 1920 adhère à la CISC devenue en 1968 CMT. 1940 dissoute par Vichy. 1964 abandonne la référence statutaire à la morale sociale chrétienne et crée la CFDT. Mineurs et employés refusent cet abandon. La CFTC continue. 1970-avril un arrêt du Conseil d'État confirme son caractère représentatif au niveau national. 1990-sept. adhère à la CES. Spécificité : synd. non confessionnel et indépendant du pouvoir politique ou religieux, s'inspire des principes de la morale sociale chrétienne : dignité et responsabilité de chaque être humain, défense des droits à la vie, au travail, à la propriété, à la liberté, à la vérité et devoirs correspondants. Rejette théories marxistes de lutte de classes et aspects totalitaires du libéralisme ; entend développer la force contractuelle, considère la grève comme ultime moyen de défense, préconise la médiation en cas de conflit du travail, refuse toute confusion entre responsabilités politiques et synd., défend politique familiale et participation. Présidents : 1919-40 Jules Zirnheld (9-11-1876/28-12-1940) ; 45 Georges Torcq ; 48 Gaston Tessier (5-6-1887/1967) ; 53 Maurice Bouladoux (1907-77) ; 61 Georges Levard (né 24-3-1912) ; 64 Joseph Sauty (1906-70) ; 70 Jacques Tessier (1914-97) ; 81 Jean Bornard (1928-96) ; 90 Guy Drilleaud (né 2-5-1933) ; 93 Alain Deleu (né 22-6-1946), réélu 1996 et 1999. Secr. gén. : 1919 Gaston Tessier ; 44 Gaston Tessier ; 48 Maurice Bouladoux ; 53 Georges Levard ; 61 Eugène Descamps (né 17-3-1922) ; 64 Jacques Tessier ; 70 Jean Bornard ; 81 Guy Drilleaud ; 90 Alain Deleu ; 93 Jacques Voisin (né 12-12-1950) ; 2000 Jacky Dintingen. Publication : « La Vie à Défendre » (mensuel, 135 000 ex.). Organisations affiliées : 2 142 synd., 80 synd. nationaux, 2 410 sections synd., 102 unions départementales, 22 régionales, 266 locales, 30 fédérations, 1 union nationale des ingénieurs cadres et assimilés, 1 des retraités et pensionnés (publicité France Retraités Syndicalisme, 60 000 ex.). Principaux lieux d'implantation : Snec (Syndicat national de l'enseignement chrétien), Féd. de la Santé et des Services sociaux, Féd. de la métallurgie, Féd. des cheminots. Adhérents (en milliers) : 1919 : 90 ; 20 : 150 ; 21 : 165 ; 25 : 115 ; 30 : 150 ; 36 : 200/300 ; 39 : 380 ; 45 : 300 ; 50 : 330 ; 55 : 333 ; 60 : 422 ; 65 : 50 ; 70 : 160 ; 86 : 260 ; 90 : 250 ; 96 : 250 ; 98 : 250 (dont actifs 190, retraités 60) ; 2001 : 250 (est. 104). Budget confédéral officiel : 12,2 millions d'[euro] (cotisations 2,5).

CGT (Confédération générale du travail).  263, rue de Paris, 93100 Montreuil (siège inauguré 4-6-1982). Créée 1895-23/24-9 Congrès de Limoges. 75 délégués (dont 3 femmes corsetières en grève), représentant 28 fédérations, 18 bourses du travail, 126 syndicats non fédérés, créent une organisation unitaire et collective. Peuvent se confédérer directement syndicats de base, unions et fédérations. Les socialistes non guesdistes, Jean Allemane, Édouard Vaillant, Auguste Keufer jouent un rôle important. 1896 affiliation directe supprimée pour syndicats de base. 1902 Montpellier, 2e congrès se dote d'une base départementale avec les bourses du travail, et industrielle avec les fédérations sous l'impulsion de Louis Niel. 1906-8 au 14-10 après avoir échoué dans la grève générale, se donne comme loi la charte d'Amiens. 1914-31-7 se rallie à la défense nationale. 1920 exclut les membres des comités syndicalistes révolutionnaires (CSR) qui ont refusé de s'incliner devant la majorité.1921-déc. fondent la CGT-U. 1936-2 au 5-3 réunification CGT-CGT-U au congrès de Toulouse. 1939-25-9 la Commission administrative exclut les communistes. 1940-14-7 René Belin (second de Jouhaux) devient à Vichy secrétaire d'État à la Production industrielle et la Main-d'œuvre. -16-8 CGT et CFTC dissoutes. 1943-17-4 réunification, accords du Perreux. 1945-oct. affiliée à la FSM (la quittera en nov. 1994). 1947 scission de FO. 1980 la CES (Confédération européenne des syndicats) refuse l'affiliation de la CGT. 1999 mars affiliée à la CES. Rapprochement avec la CFDT. Structure : 30 fédérations, 96 unions départementales, 21 comités régionaux. Secrétaires généraux : 1895 A. Lagailse ; 1898 M. Copigneaux ; 1900 Renaudin ; 1901 Eugène Guerard, Victor Griffuelhes (1874-1922) ; 1909-24-12 Louis Niel, -28-5 démissionne ; -12-7 Léon Jouhaux [(1-7-1879/28-4-1954), 12-7 secr. gén. de la CGT, 1919-45 vice-Pt de la FSI Féd. synd. intern., 1936 seul secr. gén. CGT, 1941 arrêté, 1943-mars livré aux nazis et mis en résidence surveillée, 1947-54 Pt du Conseil écon., 1947-18/19-12 scission des Amis de Force ouvrière, démissionne de la CGT et participe à la création de la CGT-FO, 1948 vice-Pt de la FSM, -14-4 Pt de la CGT-FO, 1951 Prix Nobel] ; 1947 Benoît Frachon [(13-5-1893/1-8-1975), 1926 membre du Comité du PCF, 1936-45 du bureau politique du PCF, 1936 fait partie de la délégation aux accords Matignon, 1941-44 rôle dans la Résistance, 1944 cosecr. gén. avec Jouhaux, 1947-déc. seul secr. gén., 1967 Pt]. 1967 Georges Séguy [né 16-3-1927, CEP. Ouvrier imprimeur (1942-44). Responsable FTP. Déporté Mauthausen (1944). Ouvrier électricien SNCF (1946/70). Membre PCF (depuis 1942), du comité central (depuis 54), du bureau politique (56-82)]. 1982-juin Henri Krasucki [(né 2-9-1924 à Wolomin, Pologne), pour fuir les persécutions antisémites, se réfugie à Paris avec ses parents (militants communistes) ; ouvrier, puis résistant, 1943 déporté à Auschwitz puis Buchenwald, 1945 ajusteur chez Renault, 1956 au Comité central du PCF, 1964 au Bureau politique. A dirigé La Vie ouvrière 22 ans]. 1992-janv. Louis Viannet (né 4-3-1933) ancien agent des PTT. 1999-janv. Bernard Thibault (né 2-1-1959), ancien cheminot. Commission exécutive (en 1999) : 90 membres [en 1993 : 108 communistes, 21 non-communistes (dont 5 socialistes)] + 7 m. de la Commission financière et de contrôle (CFC) participent aux réunions. Permanents : 10 000. Budget officiel confédéral : 10,7 millions d'[euro] (cotisations 3,4). Publications : « L'Hebdo » 85 000 ex. ; 120 000 en comptant les hors-série [1981 : 400 000], « Peuple » (28 000 ex.). Adhérents officiels (actifs + retraités, en milliers) : 1921 : 489 (CGTU 349) ; 26 : 525 (431) ; 30 : 577 (323) ; 34 : 491 (264) ; 35 : (CGT unie) 786 ; 37 : 3 958 ; 46 : 5 952 ; 48 : 4 080 ; 51 : 3077 ; 53 : 2 342 ; 59 : 1 674 ; 60 : 1 932 ; 66 : 1 942 ; 68 : 2 302 ; 70 : 2 333 ; 75 : 2 378 ; 80 : 1 919 (dont actifs 1 634) ; 85 : 1 238 (actifs 990) ; 90 : 861 (actifs 653) ; 94 : 632 (dont actifs 492, retraités 143) ; 2001 : 650 (est. 600).

CGT-FO (Confédération générale du travail – Force Ouvrière).  141, av. du Maine, 75680 Paris Cedex 14. Fondée 19-12-1947. Congrès constitutif : 13-4-1948. Scission de la CGT par refus de l'emprise communiste et de l'URSS. Aidée par des syndicats étrangers européens et américains. Prend le nom de son journal « Force Ouvrière ». Fondateur : Léon Jouhaux (1879-1954). Secr. gén. : 1963 : André Bergeron (né 1-1-1922) ; 1989 : Marc Blondel (né 2-5-1938), réélu 1992 (78,1 % des voix), 1996 (85 %) et 2000 (97,8 %). Représente : 16 fédérations et 19 unions départementales. Administration : bureau de 14 membres et commission exécutive de 35 membres. Permanents : 7 000. Budget confédéral officiel : 19 millions d'[euro] (cotisations 14). Publications : « FO Hebdo » (50 000 ex.) ; « FO Magazine » (650 000 ex.). Effectifs (actifs + retraités, en milliers) : 1970 : 605 ; 75 : 450 ; 76 : 926 ; 80 : 1 110 ; 84 : 1 725 ; 85 : 483,5 ; 87 : 1 620. 90 : 1 428,5 ; 95 : 1 015 ; 2001 : 1 050 (est. 370).

CNSF-FNCR (Confédération nationale des salariés de France-Fédération nationale des chauffeurs routiers). bis, rue Maurice-Grandcoing, 94200 Ivry-sur-Seine. Histoire : créée 1949 par François de Saulieu (1907-87). Secr. conféd. : Michel Caillaud (né 24-7-1948). Comprend la Féd. nat. des chauffeurs routiers et une Fédération des salariés de l'industrie, du commerce et des services publics. 8 unions régionales et 400 locales. Cotisants : 172 000.

CSL (Confédération des syndicats libres).  37, rue Lucien-Sampaix, 75010 Paris. Origine : CFT (Conféd. française du Travail, fondée 13-12-1959 après regroupement de tendances du syndicalisme indépendant et libre) devenue CSL en 1977. Souhaite l'instauration rapide d'un système de « cogestion à la française » et axe sa politique sur la défense de l'emploi (structure interne « chômeurs en action »). Délégué général : Auguste Blanc (né 8-6-1934). Secr. gén. : Georges Lenglet (né 22-1-1943). Adhérents et budget : la CSL refuse de communiquer ses chiffres. Publications : « CSL Magazine » (trim.), « Profil syndical » (hebdo.).

FSU (Fédération syndicale unitaire de l'enseignement, de l'éducation, de la recherche et de la culture, de la formation et de l'insertion)  3, rue de Metz, 75010 Paris. 1re fédération de la fonction publique d'État. Créée : 15-4-1993. Secr. Gén. : Gérard Aschieri. Regroupe : 17 syndicats d'enseignants et de personnels divers : Snes (Synd. nat. des ens. du 2d degré), Snep (éduc. phys.), Snesup (ens. sup.), Snetap (ens. agr.), Snuep (ens. prof.), Snasub (admin.), Snics (infirmières), Snuas-fp (assistantes sociales), Snpes-Pjj (éducation surveillée), Snac (culture), Epa (jeunesse et sports), Unatos (agents), SNCS (chercheurs scientifiques), Snpi-en (inspecteurs), Snepap (pénitenciaire), Snu-Tefi (ANPE) : syndicat associé. Adhérents : 200 000. Publication : « Pour ».

UFT (Union française du travail).  53, rue Vivienne, 75002 Paris. Fondée 1975 par réaction contre la politisation des syndicats. Secr. gén. : Jacques Simakis (dirigeant des synd. indépendants depuis 1949, secr. confédéral 1952), fondateur et secr. gén. de la CFT de 1959 à 1975. Objectifs : structure d'accueil des syndicats indépendants et autonomes, est à l'origine de la participation et des accords d'entreprise. Structure : 19 unions régionales, 17 fédérations professionnelles. Budget (1998, en millions de F) : 33,5 (dont cotisations 34,5, subventions 0,5). Publications : « Liberté syndicale » (50 000 ex.), « Flash infos » (commerce), « L'Indépendant » (alimentation), « L'Aéropresse » (transports et aviation), « Le Courrier des employés d'immeubles » (gardiens et concierges, 20 000 ex.). Adhérents (en milliers) : 1975 : 70 ; 81 : 150 ; 85 : 160 ; 88 : 250 ; 94 et 95 : 305 ; 99 : 350.

Unsa (Union nationale des synd. autonomes).  21, rue Jules-Ferry, 93170 Bagnolet. Origine : Fédération générale de l'Enseignement fondée 1928 ; FEN 1946. Créée 1993. Regroupe 27 syndicats. Secr. gén. : Jean-Paul Roux (né 10-10-1942). Adhérents : 365 000 dont enseignants 170 000 ; fonctionnaires 130 000. Constitue la 1re organisation syndicale de la Fonction publique, tout en syndiquant également des personnels du secteur privé (services, commerce, métiers du sport...). Publications : « Unsa Magazine » (mensuel) ; « Flash » (quotidien), « L'Enseignement public » (trimestriel), « Unsa Éducation Infos » (bimensuel).

SYNDICAT DE CADRES

CFE-CGC (Confédération française de l'encadrement CGC).  59-63, rue du Rocher, 75008 Paris. Fondée 15-10-1944. 1980-1-1 fusionne avec CGC. 1981-21-5 nouvelle dénomination : Union des cadres et techniciens (UCT). Pts : 1944 Jean Ducros ; 1955 André Malterre (1909-75) ; 1975 Yvan Charpentié ; 1979 Jean Menu (1921-87) ; 1984 Paul Marchelli (né 11-7-1933) ; 1993 : Marc Vilbenoît (né 1936) ; 1999 : Jean-Luc Cazettes (6-11-1943). Secr. gén. : Jean-Louis Walter. Vice-Pt délégué (créé 1999) : Claude Cambus. Permanents : 3 000. Budget (en millions d'[euro], 2001) : 12,7 (cotisations 5,5). Adhérents (en milliers) : 1945 : 79 ; 47 : 117 ; 56 : 120 ; 68 : 250 ; 70 : 300 ; 76 : 399 ; 80 : 349 ; 85 : 254 ; 90 : 180 ; 95 : 183 ; 2000 : 196 (est. 100). Les VRP sont regroupés dans la Féd. synd. nat. de la représentation commerciale (CSN-ex-FSNRC).

SYNDICATS PROFESSIONNELS (liste non exhaustive)

Cidunati (Confédération Intersyndicale de Défense et d'Union Nationale d'Action des Travailleurs Indépendants).  Ex-Comité Interprofessionnel d'information et de Défense de l'Union Nationale des Travailleurs Indépendants). ZA St-Clair-de-la-Tour, B.P. 715, 38 358 La Tour-du-Pin Cedex. Déc. 1968 des commerçants et des artisans se regroupent sous des sigles différents. Dans l'Isère, le Mouvement de La Tour-du-Pin, fondé par Gérard Nicoud (né 5-3-1947) à La Bâtie-Montgascon, fédère ceux-ci dans le Cid (Comité d'information et de défense), devenu Cidunati. Composition : 2 confédérations [association loi 1901 (dissoutes 1991) et Confédération intersyndicale 1884 depuis juin 1973 (composée de 75 unions ou fédérations départementales et de 16 fédérations nationales de métiers)]. Pt : Henri Walbert (né 27-2-1945) ; vice-Pts : Roland Tempesti (né 9-9-1931) et Michel Lemaire (né 23-5-1949). Élections professionnelles : obtient environ 38 à 44 % des voix. Adhérents : 120 000. Publication : « Libre entreprise » (bimensuel).

CTI (Confédération des travailleurs intellectuels de France).  17, rue Rubens, 75013 Paris. Fondée mars 1920. Pt : Maurice Letulle (16-10-1923). Secr. gén. : Pierre-Julien Dubost. Organisations : 200. Adhérents : 500 000.

Unsa Éducation.  48, rue La Bruyère, 75009 Paris. Fondée 1928, adhère à la CGT jusqu'en 1948, puis autonome. 1992-6-10 désaffiliation du Snes (second degré) 73 000 adhérents, Snep (éducation physique) 9 000, départ du Syndicat de l'enseignement technique 18 000, celui des minoritaires de l'ex-Sni-PEGC (30 000 à 40 000 à terme) et des adhérents de plusieurs autres syndicats (professeurs d'IUFM, chercheurs scientifiques, personnels de l'enseignement agr.). 1992-déc. Congrès de Perpignan, nouveaux statuts. 1993-févr. participe à la création de l'Union nationale des syndicats autonomes (Unsa) avec Fgat, Fat, FMC, FGSOA, SRCTA, SIA, Sapac ; 360 000 adhérents environ. Secr. gén. : 1991 Guy Le Néouannic (né 27-5-1942) ; 1997 Jean-Paul Roux (né 10-10-1942). Regroupe 26 syndicats. Budget : 25 millions de F. Publications : « L'Enseignement public » (trimestriel), « Unsa Éducation Infos » (bimensuel), « Flash » (quotidien). Adhérents (milliers) : 1996 : 175 ; 97 : 180 ; 98 : 150 ; 99 : 150 ; 2000 : 150.

Fgaf (Fédération générale autonome des fonctionnaires).  96-98, rue Blanche, 75009 Paris. Fondée 1949 après scission avec CGT en 1948. Membre de l'UNSA. Secr. gén. : Gilbert Voisin (né 8-4-1943). Budget : 180 000 [euro]. Publication : « Les Échos de la fonction publique » (1949, trimestriel, 35 000 ex.). Adhérents : 50 000 dans 30 organisations dont la principale est la Féd. Autonome de la fonction publique territoriale. Institut de formation synd. (IFS-FGAF) agréé. Affilié à l'Union nationale des syndicats autonomes (UNSA).

Fnap (Fédération nationale autonome de la police).  21, square St-Charles, 75012 Paris. Fondée 1990. Secr. gén. : Collège fédéral. Regroupe 3 syndicats majoritaires chez les commissaires, officiers, personnels administratifs et techniques, et personnels scientifiques. Publication : « Concordances ». Adhérents : 13 000.

Fnar (Fédération nationale des artisans et petites entreprises en milieu rural).  11, rue d'Uzès, 75002 Paris. Fondée 1887. Pt : William Forestier. Regroupe 65 organisations départementales. Publication : « L'Officiel de l'Artisan rural ». Adhérents : 1 200.

FNA (Fédération nationale de l'artisanat automobile).  Immeuble Axe-Nord, 9-11, av. Michelet, 93583 St-Ouen Cedex. Créée 1921. Pt : René Rigaud. Publication : « L'Automobile actualité » (10 nos/an, 9 500 ex.). Adhérents : 10 000 entreprises.

FNCRM (Fédération nationale du commerce et de la réparation des cycles et des motocycles).  44, rue Roger-Salengro, Peripole no 130, 94126 Fontenay-sous-Bois Cedex. Pt : Roger Boulinguez. Adhérents : 3 000 entreprises.

Snigic (Syndicat indépendant des gardiens d'immeubles et concierges).  53, rue Vivienne, 75002 Paris. Fondé 1960. Publication : « Le Courrier des employés d'immeubles ». Adhérents : 52 000 (en 2002).



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