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L’Agenda des événements “Autrement”
en région parisienne
N° 2 - Avril 2004
Tiré à 25 000 exemplaires
2,
20
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-
3
,5
0
FS
Les graines germées
Le polymorphisme
La qualité de l’eau de boisson
Lire en ligne :
w w w . S o r t i r - A u t r e m e n t . c o m
S o m m a i r e
3
L
es graines germées
5
L
e polymorphisme
9
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15
A
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20
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23
Q
ualité de l’air et ionisation
atmosphérique
27
P
ersonnes âgées en institution
28
L
ivres
31
P
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A
nnonces
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E N S U E L
- 2 , 2 0
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21 av. du Onze Novembre 1918
94400 Vitry-sur-Seine
Tél./Fax : 01 47 18 75 71
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N° 2 - avril 2004
Directrice de publication :
Catherine Valat
Directeurs de rédaction :
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Tirage
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Mensuel : 11 numéros par an
Un numéro double en juillet
Les auteurs sont responsables
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annonces et publicité publiés.
La rédaction ne pourra être
responsable de leur contenu.
© La revue et les auteurs
Imprimeur Offset Languedoc
E D I T O R I A L
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out d’abord un grand merci à ceux qui ont manifesté
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en nous lisant. Bienvenue à ceux qui prennent le train en marche.
Vous pouvez encore recevoir le n° 1 du magazine en nous
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en timbres postes de préférence ou par chèque.
Nous avons reçu de nombreux témoignages de soutien
accompagnés de multiples compliments qui nous sont allés droit
au coeur. Un premier numéro, c’est un peu comme une bouteille
jetée à la mer avec un message et nombreux sont ceux qui se sont
manifestés avec enthousiasme pour nous encourager à continuer
notre projet. Nous avons opté pour des articles denses et courts,
vos commentaires nous incitent à persévérer dans ce sens. Le petit
format plaît également pour son côté pratique à transporter et à lire
dans les moyens de transports urbains.
Les 25 000 exemplaires ont été distribués sans gâchis. De
plus, lors de la distribution du n° 2, nous récupérerons les
numéros restant pour les réacheminer aux endroits où ils ont
manqués. Une distribution spéciale a été faite au Salon « Vivre
Autrement », ce qui a permis de faire connaître le magazine à
ceux qui ne fréquentent pas les magasins bio tout en s’intéressant
aux médecines douces et au développement personnel. Cela
nous a donné le plaisir de rencontrer plusieurs d’entre vous et de
mettre un visage amical derrière nos lecteurs.
Dans le n° 2, deux auteurs exposent chacun leur point de vue
sur la qualité de l’eau et les filtres à eau.
L’article des docteurs Myers et Miller sur l’origine endogène
des germes liée à l’acidité du « terrain » a fait un véritable tabac,
pour beaucoup ç’a été une véritable découverte. La suite de
l’article aborde les explications possibles quant à l’origine de ces
petits points vivants qui se lovent dans le sang.
Chacun est plus ou moins conscient que la santé est liée à
ce que nous consommons. Les graines germées contribuent à
revitaliser l’organisme, l’aident à retrouver l’énergie qui lui fait
parfois défaut.
La qualité de l’eau est un point essentiel pour rester en
bonne santé, l’organisme étant constitué d’environ 70 % d’eau.
L’article de Richard Haas fait le lien entre la qualité de l’eau et
la mortalité, d’où l’importance de boire une eau d’une certaine
qualité définie par Cl.-L. Vincent. Pierre Gissot nous décrit une
méthode simple et économique pour filtrer l’eau.
La qualité de l’air que l’on respire est tout aussi importante.
Yves Gain s’exprime sur les ioniseurs et de leurs possibles
bienfaits pour la santé.
Une page courrier attend vos lettres pour être créée. Que vous
ayez apprécié les articles ou inversement, vous avez la parole
dans cette page.
Pour que
Sortir & Choisir Autrement
perdure, nous espérons
votre soutien par le biais d’un abonnement. Les nouveaux
abonnés qui en feront la demande recevront le n° 1 en cadeau
(un stock de 600 exemplaires est disponible actuellement).
Catherine Valat et Thierry Domps
2
Tao
3
N
ous avons toute possibilité
d’échapper aux OGM, à la
dioxine, aux pesticides, aux orga-
nophosphates, aux colorants, aux
sapidifiants, etc. en choisissant
une alimentation à dominante
végétale, vivante si possible et
germée.
La germination est un moyen
naturel de contourner les impas-
ses alimentaires et les aléas de la
santé. Ce processus naturel est
un processus qui a traversé les
âges. Il a évité aux populations
de subir la dénutrition. En
quelques jours, les graines en
phase de germination subissent
une révolution enzymatique dès
qu’elles rentrent en contact avec
l’eau pendant une durée de 8
heures. Les enzymes inhibitrices
de protection de la graine en
phase de germination se dégra-
dent au bénéfice d’enzymes
nutritives : amylases, protéases
et lipases qui permettent à la
graine de démarrer son pro-
gramme de croissance.
L’arrosage au quotidien et
le contact avec l’eau donne à la
graine les moyens de transfor-
mer les protéines végétales en
acides aminés libres directement
assimilables par l’organisme et
de démultiplier par 8 à 10 fois,
les vitamines et les minéraux.
Manger des graines germées
fraîches ou sèches est un vérita-
ble cadeau de la nature.
Elles nous offrent leurs
valeurs énergétiques accrues.
Régénérantes par ses fibres et ses
enzymes, les germes facilitent la
digestion, restaurent la flore intes-
tinale, protègent par ses propriétés
anti-oxydantes les métabolismes.
Les graines à germer sont
cultivées
hors sol
, c’est-à-dire
sans apport de terre.
La mise en germination néces-
site :
Des graines « spécial ger-
mination » choisies pour leurs
propriétés spécifiques et leur
haut pouvoir de germination
d’origine biologique sans mani-
pulation génétique.
Les semences à germer sont
aussi cultivables en jardin après
la phase de trempage avec un
excellent rendement et à moin-
dre coût.
La germination hors sol se
déroule dans un germoir en plas-
tique alimentaire à 2 niveaux de
germination avec un bac de trem-
page et un couvercle perforé pour
l’ensemble de graines excepté
pour les graines mucilagineuses
qui demandent un support en
terre cuite de forme convexe pour
nourrir les graines par capillarité
en eau. La version de bocaux en
verre posées sur un support incli-
né convient à certaines graines.
En règle générale il est décon-
seillé d’utiliser des germoirs plats
en terre cuite pour des questions
bactériologiques.
Les perforations laissent
échapper les graines de petit
calibre.
Le processus de la germination
nécessite :
ü
L’hydratation des graines
(immersion dans l’eau)
ü
L’humidification quoti-
dienne au cours de leur
développement
ü
Une température ambiante,
environ 20° C
ü
Une aération protégée com-
posée du gaz carbonique qui
nourrit les pousses
ü
Une exposition à la lumière
et son énergie qui photo-
synthétise la chlorophylle
au cours des dernières 24
heures de germination
S’alimenter mieux avec les graines
germées, aliment vivant
par Ludmilla de Bardo
Nutritionniste
S’
alimenter est devenu un « casse tête chinois ». La recherche de la vitalité et du tonus
par l’aliment est possible si nous convertissons nos us et coutumes.
4
ü
Pour certaines graines, si on souhaite accroître
leur valeur nutritive et réduire leur temps de
germination, il est souhaitable d’incorporer
Pouss’Vit(Kelp), contenant des matières orga-
niques, minéraux et vitamines dans l’eau de
trempage et d’arrosage.
La germination développe les ressources nutri-
tives des aliments végétaux et pourrait résoudre en
partie le problème de la faim dans le monde.
Un regard nouveau qui pourrait mieux répartir
les besoins de l’alimentation humaine et la rendre
génératrice de santé par l’énergie verte qu’elle
développe.
La lacto-fermentation et la germination
sont 2
processus d’activation enzymatique différents :
-
Le 1
er
se réalise par immersion dans l’eau en
milieu anaérobie
- Le 2
e
par oxygénation en milieu aérobie.
Ces 2 procédés offrent :
ü
de nouvelles richesses nutritionnelles à partir
des aliments d’origine végétale
ü
en commun ils facilitent la digestion
ü
en commun ils développent une forte teneur
en minéraux, vitamines et enzymes.
ü
La germination favorise un accroissement des
acides nucléiques (ADN, ARN), des acides
aminés (peptides) susceptibles de freiner le
stress oxydatif.
Illustrons cet article en retenant quelques graines :
Graines d’alfalfa germées
en version fraîche ou
sèche. Une ressource :
- en
vitamines
A, C, B1,B2, PP, B5, B6,E, K
- en
minéraux
calcium, magnésium, phosphore,
potassium, fer, sodium, zinc, cuivre, manganèse
- en
hormones
: elle est phyto-œstrogénique et
anti-phyto-œstrogénique suivant les besoins du
consommateur. Le brocoli, le lin, le fenouil, le
trèfle rouge, le soja …. offrent les mêmes carac-
téristiques œstrogéniques.
Graines de blé germées
préservent la jeunesse
des cheveux, de la peau et des ongles. Une res-
source :
- en
vitamines
B1, B2, B6, B17, C, E
- en
minéraux
potassium, magnésium, calcium,
phosphore
- en
acides aminés
(le Kamut germé contient les
22 acides aminés)
- en enzymes antioxydantes et acides gras polyin-
saturés
Les germes de fenugrec
: un coupe-faim efficace,
un tonifiant, assiste la gestion des sucres même en
cas de diabète. Une ressource :
- en
vitamines
A, B1, C, J (choline), B2, B3, B5,
D
- en
minéraux
fer, phosphore, soufre
- en acides aminés dont la méthionine, la lysine
- la lécithine et la galactomanane, un polysaccha-
ride excellent allié de la minceur pour ses pro-
priétés coupe-faim.
L’énergie vitale de la germination est une res-
source santé au service de l’aisance nutritionnelle.
4
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S & C
4
5
E
n agissant sur les causes du déséqui-
libre, on agit sur le milieu interne ou
« terrain », qui n’est autre que le liquide
dans lequel baigne chaque cellule de
l’organisme. La consommation exces-
sive de protéines acidifie le « terrain ».
La civilisation moderne avec ses régi-
mes à la « fast food » à teneur élevée
en protéines et en glucides risque de
faire des ravages sur la santé de ceux qui
consomment cette nourriture. Pourtant,
les protéines sont nécessaires, cependant
nos besoins quotidiens ne sont que de
40 grammes de protéines pures par jour.
Un athlète en période d’entraînement
peut en consommer jusqu’à 80 gram-
mes par jour, alors que le régime moyen
américain en contient facilement 200
grammes (5 fois plus que la norme).
La surconsommation de protéines et de
glucides est à l’origine du problème de
l’acidose et non les graisses qui produi-
sent le cholestérol.
Protéines et glucides en
excès rendent le terrain acide
Le corps transforme les protéines
en acides nitrique, sulfurique et phos-
phorique. Ces
acides sont aussi forts
que celui contenu dans la batterie
d’une voiture. Finalement, ce sont les
reins qui gérent l’élimination de ces
acides, mais lorsqu’ils sont débordés un
déséquilibre va se développer progressi-
vement. Lorsqu’un acide est excrété,
un
minéral basique est excrété avec lui
pour
contrebalancer (un acide + une base =
un sel neutre), c’est le système tampon.
Dès lors, l’organisme commence à se
carencer en sodium, en potassium, en
magnésium et de bien d’autres miné-
raux avec une déficience basale rela-
tive. Cette perte en minéraux basiques
équivaut à être acide, c’est pourquoi
on l’appelle acidose latente. Le pH
du sang lui, ne change pas, cependant
cette carence en minéraux amorce le
début de la vieillesse et de la dégéné-
rescence. Le taux d’acidité entraîne
donc le développement du processus de
déminéralisation de l’organisme.
Le terme d’« acidité latente » ou
relative déficience en bases n’est pas
employé en médecine car le pH des
artères lui, reste constant aux alentours
de 7,40. Lorsque le pH du sang arté-
riel augmente ou baisse ne serait-ce
que d’un dixième d’unité, c’est immé-
diatement l’hôpital en soins intensifs.
Et lorsque le pH du sang artériel
d’une personne varie de 2 dixièmes à
la hausse ou à la baisse, elle meure.
Le sang draine les acides tirés des
protéines qui sont stockés dans les
tissus conjonctifs de l’organisme en
attendant de les éliminer par les reins.
Les lieux de stockage deviennent
douloureux : articulations, muscles
(fibrome, arthrite…). Une fois que ces
acides se sont accumulés dans les tissus,
ces derniers passent en mode métaboli-
que anaérobique (peu d’oxygène utilisé
= peu d’énergie produite), cela génère
encore plus d’acides, et c’est le cercle
vicieux. Comme les champignons et
les bactéries, les cellules cancéreuses
dégagent leur propre acide afin de se
sustenter : le cancer étant la maladie la
plus acide.
Les cellules de l’estomac sécrètent
de l’acide chlorhydrique, pour chaque
molécule d’acide produite, elles éla-
borent aussi une molécule de bicar-
bonate de soude. Ce dernier circule à
travers le circuit sanguin et neutralise
les résidus acides qui sont stockés dans
l’organe colloïde des tissus conjonctifs.
Le bicarbonate en excès est recueilli
par les glandes alcalines du corps : le
pancréas, le foie, la bile et les glandes
salivaires. Lorsqu’il n’y a plus assez de
bicarbonate pour ces glandes, l’orga-
nisme fait une indigestion (la salive, la
bile et les sucs pancréatiques ne peu-
vent fournir suffisamment d’alcalinité
pour une bonne digestion).
L’unique façon de pallier à la
déminéralisation est d’augmenter la
consommation de fruits et légumes
et de diminuer les aliments comme les
glucides et les protéines producteurs
d’acides. Tous les fruits et légumes
contiennent les minéraux dont l’orga-
nisme a besoin dans leur forme orga-
nique et naturelle. La supplémentation
en minéraux a sa place, mais d’origine
rocheuse pour l’essentiel, son assimila-
tion reste aléatoire. L’homme ne peut
consommer directement le minéral,
qui en revanche est assimilé par les
plantes. C’est donc en consommant
des végétaux que l’homme assimile le
mieux les minéraux.
En mesurant l’acidité des urines
et de la salive, on se fera une idée du
temps pour rétablir l’équilibre.
Le type métabolique
Le type métabolique
est un autre
sujet relatif à l’équilibre du pH et à des
effets sur la préservation des minéraux
basiques. Certaines personnes ne
métabolisent pas bien les glucides.
Les acides générés par cette mauvaise
oxydation produisent des
acides mous
;
l’acide lactique, l’acide citrique, le vinai-
gre de cidre sont transformés par l’or-
ganisme en acide carbonique (H
2
C0
3
)
qui est converti en eau et dioxyde de
carbone (CO
2
) éliminée par les urines
et expiré par les
poumons
. Parce qu’ils
Le Polymorphisme
(Suite et fin)
L’origine des bactéries, des vir us et des mycoplasmes
par le Dr Dennis Myers et le Dr Robert Miller
D
ans le n° 1, les Dr Myers et Miller ont fait un exposé sur l’origine endogène des
bactéries, des virus et des champignons. Ils proviendraient de « petits points » observés
dans le sang vivant appelés somatides ou microzymas qui changent de formes en fonction
de l’acidité du liquide extra-cellulaire. La seconde partie explique l’origine de cette
acidité et comment la combattre. En conclusion, ils traitent de l’origine des somatides.
Ceux qui n’ont pas lu le n° 1, peuvent
le lire en ligne sur Internet :
www.Sortir-Autrement.com
ou le commander (voir l’éditorial p. 2).
Le mot pléomorphisme a été mieux
traduit par polymorphisme.
6
sont dégradés en eau et en CO
2
, ils
n’utilisent pas de minéraux et sont donc
moins néfastes que les acides issus des
protéines. Toutefois, ils peuvent tout de
même participer à acidifier le terrain.
Une fois l’acide acétique du vinaigre ou
l’acide citrique des fruits convertit en
CO
2
et en eau, il reste les minéraux des
fruits ce qui est bénéfique pour la santé.
Pour ceux qui métabolisent mal
les glucides (
oxydatifs rapides
ou
para-
sympathiques dominants
), un régime
à base de protéines riche en graisse
(accompagné de fruits et légumes en
suffisance) régularise le pH du sang.
A l’inverse. ceux qui métabolisent cor-
rectement les glucides vont préfèrer un
régime végétarien avec glucides. C’est
une question d’équilibrer le pH tout
en conservant les minéraux basiques.
L’équilibre acido-basique
Le retour à la santé passe toujours
par cet équilibre : l’acide, les bases et la
reminéralisation. C’est la fondation du
squelette. La construction se fait du bas
vers le haut et non l’inverse. Les miné-
raux sont à la base de notre corps et parce
que ces minéraux/bases sont lessivés par
notre mode de vie acidifiant, l’équilibre
acido-basique sera à la première place
dans tout programme de guérison.
Le matin au réveil, si le pH de
la salive est en dessous de 6,8, cela
indique l’acidité
. Corriger l’acidose
peut prendre plusieurs années, cepen-
dant une fois équilibrée, on sentira
tout de suite s’il redevient acide et
il ne sera donc plus nécessaire de le
mesurer. En effet, lorsqu’il est équili-
bré, tout est en place, on se sent bien.
Une fois l’équilibre acido-basi-
que rétablit, on pourra procéder à la
revitalisation des intestins, tonifier et
reconstruire les reins et le foie.
Comme un jardin, les intestins ont
besoin d’être cultivés afin de restaurer la
flore intestinale. On veillera à éliminer
les aliments allergènes, à détecter les
problèmes liés aux glucides, à bien oxy-
géner les tissus en faisant de l’exercice
et en respirant profondément...
On parviendra à éliminer les toxi-
nes en n’en consommant plus et en
mangeant de la nourriture bio. Jeûner
un jour par semaine est une façon éco-
nomique et efficace de se détoxiner.
Si nécessaire, on renforcera son sys-
tème endocrinien et immunitaire. Alors
seulement on s’occupera de l’organe par
lequel la maladie a commencé, s’il n’a
pas déjà pris les devants de la guérison
grâce aux mesures déjà entamées ; après
tout l’organe malade n’est que le résultat
et non la cause du désordre.
Causes de l’ulcère de
l’estomac
Dans la littérature médicale
actuelle, il est bien connu que
l’ulcère
de l’estomac
et l’
artériosclérose
sont
« causés » par la bactérie
Helicobacter
pylori
et
Chlamydia pneumoniae
.
D’où proviennent ces bactéries ?
Pour la science moderne, la question
reste sans réponse.
La citation suivante est tiré d’un
article dans
L’Atlantique Mensuel
(The
Atlantic Monthly, février 99), écrit
par Judith Hooper et intitulé
« Une
nouvelle théorie microbienne »
. Cette
information est très pertinente et
d’un grand intérêt pour le monde de
la microbiologie, pourtant cet article
ne mentionne pas les
microzymas
,
somatides
ou
protits
et rien qui soit
en
relation avec le concept de
polymor-
phisme
. Pourquoi ?
Concernant l’ulcère de l’estomac :
« En 1981, Barry J. Marshall
s’intéresse aux bacilles en spirale
trouvés sur les parois de l’estomac.
On pensait alors que la bactérie était
sans rapport avec la pathologie de
l’ulcère. Par chance, Marshall et J.R.
Warren remarquent que les douleurs
des patients traités à la tétracycline
(pour des raisons non liées à l’ulcère)
disparaissent et l’endoscopie indique
la guérison de l’ulcère.
Un article écrit par Marshall et
Warren à propos de la culture d’un
« bacille de forme courbe non iden-
tifié » a paru dans le journal médical
britannique,
The Lancet
en 1984.
Personne ne s’intéressa à cet article
jusqu’à ce que Marshall ingére une
dose de ces fameux bacilles en spirale.
A la suite de l’expérience, il contracta
une gastrite très douloureuse, ce qui
remplissait tous les postulats de
Koch (voir n° 1 de
Sortir & Choisir
Autrement
).
A présent, il n’y a plus de doute
sur le fait qu’
Helicobacter pylori
,
découvert dans l’estomac d’un tiers
des adultes aux Etats-Unis est la
cause de l’inflammation de la paroi
intestinale. Dans 20 % des cas, il
provoque un ulcère. Pratiquement
toutes les personnes qui sont
malade d’un ulcère du duodénum
sont infectées par cette bacérie.
Les infections par
H. pylori
sont
diagnostiquées soit par une biopsie
endoscopique, soit par une analyse
sanguine détectant les anticorps
ou encore par un prélèvement des
voies respiratoires. Dans 90 % des
cas, ces infections peuvent guérir
en moins d’un mois avec des anti-
biotiques. »
7
L’athéroclérose
et ses causes bactériennes
En ce qui concerne l’athérosclé-
rose : « 99 % des patients sujet aux
plaques d’athérome ont les artères
infectées par la bactérie
Chlamydia
pneumoniae
. »
« En 1991, en faisant l’autopsie
des tissus d’une artère coronaire, Allan
Shor, pathologiste à Johannesburg, a vu
des ‘‘ particules en forme de poire ’’ qui ne
ressemblaient à rien de ce qu’il connais-
sait jusqu’à présent. Cho-Chou Kuo, de
l’Université de Washington, Ecole de
Santé Publique, constata que les artères
bouchées étaient pleines de C. pneumonia.
La bactérie provoque à l’endroit où
elle se niche une inflammation chro-
nique suivie par l’agglomération d’une
plaque qui bouche l’ouverture de
l’artère (dans le cas de la Chlamydia
vénérienne, il se forme une accumula-
tion de tissus cicatrisés dans la trompe
Carcinoma).
L’article référencé plus haut
ajoute :
« Bien que l’on puisse démontrer
que les malades cardiaques ont des
anticorps de
C. pneumoniae
et que des
colonies de bactéries se développent
dans leurs artères coronaires, est-il
certain que ce soit ce microbe qui
cause les dommages ? ‘‘
Peut-être s’agit-
il d’un témoin innocent
, ont proposé
certains critiques ? ’’. »
Non, ces organismes ne sont pas
des « témoins innocents », ils sont l’ef-
fet d’un déséquilibre du milieu interne
ou « terrain ». Mettez une plante
malade dans un bon terreau, elle se
développera rapidement. A l’opposé,
une plante en bonne santé dans un sol
pauvre tombera malade et les insectes
l’envahiront. C’est le même processus,
la même chimie que de cultiver la
terre ou d’entretenir un aquarium. En
fait, ces organismes sortent des cellules
du corps lui-même. Au microscope,
dans le sang, on peut apercevoir une
multitude de microorganismes.
Ce qui est amusant c’est que les
médecins allopathes ne
peuvent littéra-
lement pas voir
ces mutations alors qu’il
suffit d’observer le sang avec n’importe
quel microscope. La question n’est
plus de « voir c’est croire », mais de
croire, c’est voir
. Encore faudrait-il que
ces personnes veuillent bien regarder
pour commencer.
En résumé :
1. Le sang n’est pas stérile comme on
l’apprend à l’école de médecine
2. La médecine moderne n’est pas
scientifique
3. La cellule n’est pas la plus petite
chose vivante
4. Les organismes proviennent du
sang et des tissus dans le but de
décomposer les tissus lorsque
ceux-ci ne peuvent plus survivre et
subvenir à leur propre métabolisme
dans leur
milieu interne
.
5. Des somatides d’origine animale
(pas d’origine d’embryons humains)
ciblées pour des organes bien spéci-
fiques peuvent même régénérer de
nouveaux tissus et organes. C’est la
thérapie par cellule vivante
(cellulo-
thérapie du Dr Niehans) utilisée en
Allemagne depuis quelque temps.
Les somatides/microzymas sont
réellement totipotents (c’est-à-dire
capable de développer un organisme
entier). Des somatides/microzymas
spécifiques à un organe peuvent être
et ont été cultivés dans ce sens. Je
connais un exemple où des soma-
tides de muscle continuent de se
développer dans une culture depuis
20 ans. Ces cellules musculaires sont
vivantes et
continuent à se développer
.
Les
embryons humains
ne sont pas
nécessaires pour faire des recherches
sur les cellules souches (cellules
embryonnaires non différenciées).
Les
cellules
humaines et animales ne
sont même pas nécessaires. Faire de
la recherche sur des cellules souche,
c’est réinventer la roue.
L’origine des cellules
Les microzymas de Béchamp, les
protits d’Enderlein et les somatides
de Naessens représentent tous les trois
la même chose, ce sont la plus petite
particule de vie. Cependant, il y a un
point dans l’espace et le temps où ceux-
ci proviennent de quelque chose ou de
« quelque » part. Si l’on présume que la
cellule est la plus petite chose vivante,
alors d’où provient-elle donc ? Cette
question n’a jamais eu de réponse. Le
polymorphisme répond à cette question.
Croissance quantique
Lorsqu’on regarde ces organismes
vivants avec un bon microscope à fond
noir, on peut les observer « croître »,
par sauts
quantiques
.
Si l’on observe pendant des heu-
res, un jour ou deux environ, on voit
immédiatement chez les personnes
en excès d’acidité, des
fila
(terme
d’Enderlein) qui se forment. Les
Fila
sont des filaments de fibrine ;
la fibrine est une protéine blanchâtre
insoluble. Cela commence par un
filament de longueur 1, puis il est
long de 2, puis 4, 8, 16, 32 de façon
exponentielle. Vous ne pouvez pas
observer cet accroissement se produire
car il est « instantané », (s’il y avait
un intervalle de temps on pourrait le
mesurer). Au départ, il y a une boule
ou une somatide (appelée
coccus
en
microbiologie) puis 2, 4, 8, 16, 32
cocci
liés les unes aux autres de façon à for-
mer un filament (
strepto-coccus
). Puis
cela se produit à nouveau de façon
« instantanée » ; on en aperçoit 4 puis
soudain il y en 8, etc. C’est vraiment
extraordinaire d’observer la théorie
quantique –
la biologie quantique
.
Selon la science, ces bâtonnets
n’existent pas. Mais si les scientifiques
ne les ont pas encore découvert, c’est
qu’ils n’observent pas du
sang vivant
,
mais du sang chauffé ou coloré qui ne
contient plus de substances vivantes.
En fait, le concept de génération
spontanée n’a jamais été réfuté scien-
tifiquement, il a tout simplement
été balayé et caché sous le tapis par
l’église, Pasteur, Darwin... A ce jour, la
théorie des germes n’explique toujours
pas d’où viennent précisément les
microbes ? Où se nichent le
microbe
père
et le
microbe mère
?
Le nouveau paradigme de la
médecine est holistique, polymorphi-
que et en mutation perpétuelle. Il est
holographique. Ces pères et mères
microbes que l’on cherche toujours
sont bien entendu le somatide/
microzyma, qui existe sur le plan
physique. Il est asexué, polypotent
(peut se transformer en différentes
formes de vie) et immortel. Chaque
étincelle de vie provenant de la
Les
sauts quantiques
.
Les bâtonnets s’expansent alors qu’ils
sortent d’un globule rouge.
somatide est une projection holo-
graphique dans ce temps et dans cet
espace d’une puissance qui n’est pas
de l’ordre physique, un pouvoir qui se
manifeste en tant que Vie.
Le lien entre l’énergie
et la matière
Dans le livre
Do No Harm, Writers
and Research
(Chercheurs et écrivains,
ne faitent pas de mal),
de Charlie
Pixley, Gaston Naessens a fait l’obser-
vation suivante au sujet des somatides
et du polymorphisme.
«
Composition de la somatide
:
elle est probablement le lien entre
l’énergie et la matière. L’énergie peut
prendre de multiples formes. La
somatide est peut-être le lien entre la
biologie et la physique. »
Selon George Merkel les micro-
zymas sont :
« … composés de petits
cristaux
d’ATP
de forme pyramidale. L’ATP
(adénosine triphosphate) est le carbu-
rant de l’organisme. C’est l’énergie des
molécules du corps, les muscles « brû-
lent » de l’ATP lorsqu’ils se contrac-
tent. Ces cristaux se sont multipliés
dans tous les océans du monde pour
transmuter la vie depuis une structure
formée d’ondes électromagnétiques
bidirectionnelles localisées dans le
potentiel scalaire du vide.
« Dans notre monde, des micro-
zymas sont continuellement créés,
dans les océans de notre planète et à
l’intérieur de notre corps. Lors de sa
formation, la matrice formée par la
membrane interne du microzyma est
remplie par des amas d’hydroxyles (les
ions OH de l’eau) et de protons afin
de fournir une graduation électrochi-
mique permettant de stocker l’énergie.
Cette charge électrique crée un champ
magnétique qui a pour effet de charger
le condensateur qu’est la membrane du
microzyma en énergie. Cette énergie
peut être utilisée de différentes façons.
Tout d’abord, elle est stockée en
réserve d’ATP dans la chlorophylle
de la plante puis en tant que mito-
chondrie chez les animaux. Elle peut
être utilisée pour donner naissance
à un enfant (la reproduction), pour
désassembler le matériel génétique de
ce qui essaye de le détruire (commen-
cement du système immunitaire).
En fait, ces protits dévorent enzy-
matiquement les bactéries, les virus
et tout composant chimique mettant
en danger le processus génétique des
mammifères ; ils se différencient en
cellules, lymphocytes... dont c’est le
travail. Cette énergie transmute tous
les polluants de notre organisme ainsi
que notre corps de fond en comble.
Ces protits « créés » évoluent aussi,
guidés par une intelligence « interne »
ou une Volonté … ils se transfor-
ment selon leurs besoins. D’abord,
ces protits originels se différencient
dans la chlorophylle (source d’énergie
ATP pour les plantes) et ensuite en
mitochondrie (source d’ATP pour les
mammifères) et ensuite en cellules. »
George Merkel continue :
La synthèse de la vie
« … en allant de l’avant, si la théorie
acide/base est correcte, en partant du
pléomorphisme, les somatides syn-
thétisent tous les organes vivants. Les
microzymas originels sont stockés dans
la flagelle du spermatozoïde, à partir de
ceux-ci toutes les parties de notre corps
peuvent être cultivées, en les faisant
croître génétiquement en sens inverse. »
(Genesis II, George Merkel)
« … les algues bleu-vert et la
chlorophylle ont été cultivées à partir
de testicules de requin par synthèse
inverse. De la même façon, nous pou-
vons recréer ou nous souvenir de notre
système immunitaire antérieur qui
reconstruira ce que nous avons perdu
en grandissant dans le monde pollué
dans lequel nous vivons. Ces anciens
organes, nos organes embryogéniques
peuvent être et seront régénérés à par-
tir des microzymas primordiaux … »
Rappelez-vous,
in utero
, en tant
qu’embryon, notre corps était d’abord
composé de cellules simples telles que
les algues et les amibes puis comme
des poissons, des grenouilles puis des
mammifères.
L’ontogénie récapitule
la phylogénie
, la
Loi de la génétique
.
Notre développement embryonnaire
(ontogénie) voyage à travers les formes
ancestrales (phénotypes), comme pour
dire qu’il y a des millions d’années notre
héritage évoluait dans l’eau salée. Dans
l’utérus (eau salée) le fœtus récapitule
toutes les formes passées qu’il a eues.
L’étude de la vie est amusante et
excitante et non morte comme à l’école
de médecine. Sans les microzymas la
vie est athée, de la poussière à la pous-
sière. Avec les microzymas, comme
transducteur de l’énergie de « l’au-
delà » … le yin et le yang de la religion
et des sciences deviennent complémen-
taires et non plus des opposés.
Le concept des opposés est une
illusion. Ils ne sont pas opposés mais
simplement
complémentaires
, l’un ne
peut exister sans l’autre.
Rappelez-vous ce que disait le
français
Antoine Béchamp
qui a
découvert les microzymas vers 1850 :
« Rien n’est la proie de la mort :
au contraire, l’expérience prouve tous
les jours que tout est la proie de la vie,
c’est-à-dire, de ce qui peut être nourrit
et de ce qui peut être consumé. »
L’énergie commence en tant que
LUMIERE :
« Des quanta lumineux d’intelligen-
ce divine vibrant en d’infinies vibrations
d’harmonie, se fondant joyeusement
dans un rythme de vagues de plus en
plus vaste d’illumination, s’intensi-
fiant vers la lumière de Connaissance
existant par soi et en expansion, se
réveillant spontanément à elle-même
au SOLEIL DE LA VERITE,
recevant le monde depuis les abysses
ténébreuses d’un asservissement obscur
du monde physique vers les hauteurs
illuminées de la liberté spirituelle grâce
aux radiations transformantes de SON
glorieux arc de lumière. »
8
La phase bactériale (en forme de filaments) se développement à partir des soma-
tides (petits points). Alors que les somatides qui se lient les uns aux autres en de
longues chaînes en forme de filament sont les bacilles qui en résultent. Les larges
cercles brillants sont les globules blancs et rouges.
djmyers1000@msn.com
www.EuroAmericanHealth.com
www.PleomorphicPictures.com
9
Qualité de l’eau et mortalité
A propos des minéraux contenus dans l’eau
C
’
est au début du xx
e
siècle que des recherches éparses, faites par des
chercheurs de tous pays, ont été entreprises sur la base d’une approche
physique des phénomènes électriques et électromagnétiques liés à la vie sur
terre. Comment définir un terrain ? Comment le reconnaître ? Comment le
corriger ? Quel est le terrain idéal ? Quelle qualité d’eau faut-il boire ? Tels
sont les objectifs, que s’est fixés une science la :
« bioélectronique de L. Cl. Vincent »
Un peu d’histoire
Les prémices de cette méthode
sont inspirées des travaux de Fred
Vles, professeur de physique biolo-
gique à l’Université de Strasbourg
et de Charles Laville, fondateur
de la biologie électronique. Vers
1950, le chercheur français
Louis-
Claude VINCENT (1906-1988)
met au point la méthode de la
« BIOELECTRONIQUE »
qui porte
depuis son nom. De nos jours, Jeanne
Rousseau, docteur en pharmacie
en retraite, proche du professeur
Vincent, effectua un grand nombre
de recherches à la lumière de cette
méthode. Autres scientifiques qui
pratiquent cette technique : J.M.
Danze, R. Cannenpasse-Riffard, J.A.
Giralt-Gonzalez, P. Bressy (décédé).
Autre ancien disciple de Vincent,
le professeur André Fougerousse,
doyen à l’Université Louis Pasteur de
Strasbourg continue son travail sur
le procédé. Hors de nos frontières,
le professeur Joseph Orszagh de la
Faculté des Sciences de Chimie et
Physique appliquée de l’Université
de Mons-Hainaut en Belgique, est
un éminent spécialiste de la B.E.V.
De par le monde, un nombre de
plus en plus croissant de méde-
cins, Heilpraktiker, pharmaciens,
laboratoires, scientifiques et autres
chercheurs autodidactes, s’acharnent
à faire connaître cette merveilleuse
et précieuse méthode scientifique.
Elle mériterait d’être beaucoup plus
répandue alors que pour l’instant
elle est plus connue et utilisée en
Allemagne, au Canada et aux Etats-
Unis qu’en France.
Louis-Claude VINCENT
était
ingénieur des travaux d’hygiène
publique, spécialiste en hydrologie,
professeur à l’école d’Anthropologie
de Paris, titulaire de la chaire de
bioélectronique à la faculté de méde-
cine de Paris et l’un des créateurs de
la S.I.B.E.V. avec le docteur Morell,
médecin allemand.
Dès 1936, grâce au concours de
ses collègues et celui de nombreux
maires en France, il constate, après
une étude de longue haleine, un fait
très important :
« Le taux de mortali-
té de maladies de tous ordres est direc-
tement lié à la qualité de l’eau déli-
vrée aux populations. Ce taux aug-
mente lorsque l’eau est très minérali-
sée et rendue artificiellement potable
après traitement et adjonction de
produits chimiques oxydants. »
Après
10 années de recherche, il abou-
tit à la découverte des
« LOIS
BIOELECTRONIQUES »
applica-
bles à tous les milieux aqueux.
La seconde histoire com-
mence au Liban en 1950 où
L. Cl.
VINCENT
, spécialiste en hydro-
logie, est chargé d’apporter l’eau
courante aux habitants. Pour cela,
il analyse des milliers d’échantillons
d’eau et
constate que la santé des
villageois souffrant d’épidémies est
en rapport direct avec la composi-
tion du terrain de l’eau des sources
et des puits.
Il remarque également
que la santé des habitants d’un
même village retrouve son équilibre
en changeant la provenance des
eaux non polluées alimentant les
adductions.
Illustration : Séverin Krön 01 60 78 62 59
11
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La grande enquête
Conforté par tous ces succès,
L.
Cl. Vincent
entreprend entre
1962
et 1974
une grande et vaste étude
pour mesurer l’impact de la qualité
de l’eau sur la mortalité. Il étudie la
qualité de l’eau et la mortalité de la
population de 57 des plus grandes
villes de France. Le résultat est sur-
prenant.
Il constate que plus l’eau
est minéralisée et traitée artificiel-
lement, plus le taux de mortalité
est élevé
(voir tableau). La mortalité
moyenne de l’ensemble de ces villes
était de 1151 décès pour 100.000
habitants entre 1962 et 1974. Paris
était dans cette moyenne. Roubaix
détenait le record avec le plus grand
nombre de décès, 1520. Une ville (on
pense à Rion ou Mozac, sans certitu-
de) dont le nom n’a jamais été révélé
par le professeur Vincent de peur
de provoquer un exode massif de la
population vers cette ville, n’avait à
l’époque que 615 décès. Elle avait le
record de la plus faible mortalité en
Europe. Cette ville avait une eau de
source très pure, pauvre en calcaire,
sans chloration, sans adjonction de
produits chimiques et sans aucun
autre traitement. Curieusement de
nos jours les personnes âgées choi-
sissent de vivre leur retraite dans
des villes comme Nice et Cannes ou
l’eau n’est pas idéale et qui à l’époque
avaient une mortalité assez élevée,
de 1300 et 1340 décès pour 100.000
habitants !!
Les villes avec un taux de mor-
talité bas se trouvent en haut du
tableau. L’analyse de leurs eaux
indique alors une eau pure, peu
minéralisée et non traitée. A l’in-
verse, les villes qui détiennent le
record de mortalité sont en bas du
tableau. Leur eau provient d’une eau
de surface ou de fleuves pollués dans
lesquels étaient drainées les eaux de
rejets industriels, elle est plus cal-
caire, chargée en produits chimiques
et traitée par divers procédés.
Pourquoi le taux de mortalité
varie-t-il selon les villes ?
Réponse :
« A cause de la qualité de l’eau. »
A la lumière de ces faits, com-
ment des entreprises qui exploitent
des sources d’eau minéralisée et très
minéralisée peuvent-elles encore
prétendre aujourd’hui qu’un taux
élevé de minéralisation est bon pour
la santé alors que l’étude de
L. Cl.
Vincent
démontre justement tout le
contraire. Il est évident qu’une étude
réactualisée des eaux de ces mêmes
villes mériterait d’être refaite pour
comparaison et confirmation.
Les eaux minéralisées et très
minéralisées, dites
« minérales »
sont-
elles des eaux de table à consommer
régulièrement tous les jours ? Certes
non. Elles devraient être considérées
comme des eaux thérapeutiques et
réservées uniquement à la thérapeu-
tique.
Leur ingestion devrait se faire
en cures et elles devraient être bues
directement au griffon.
Et l’eau osmosée ?
Aujourd’hui en France très peu
d’eaux du robinet répondent encore
aux critères de la B.E.V. pour la con-
sommation courante. Nous sommes
donc obligés de nous rabattre sur
certaines eaux de sources peu miné-
ralisées en bouteilles et sur les « eaux
osmosées informées » pour retrouver
les qualités adéquates.
Il est évident que des eaux
de source comme par exemple
Lauretana en Italie (minéralisa-
tion globale 14 mg/l, la plus légère
d’Europe), Montcalm, Rosée de la
Reine et Mont Roucous en France,
(minéralisation globale 18 mg/l) et
quelques rares autres eaux
peu miné-
ralisées
du même type, ont l’avan-
tage d’être des eaux naturelles et sont
donc à privilégier par rapport à l’eau
osmosée, même informée. Lorsque
le transport manuel de l’eau en bou-
teilles devient une charge, en particu-
lier pour les personnes âgées ou pour
une question de prix de revient trop
élevé, l’eau osmosée informée est
alors le meilleur choix. Encore faut-il
choisir un appareil adéquat donnant
toutes les garanties de qualité et qu’il
soit surveillé régulièrement.
Qu’appelle-t-on « eau infor-
mée, vivante, énergisée, vibratoire,
dynamisée… » ? Ce sont tous des
synonymes qui ne veulent rien dire,
fréquemment utilisés par les diffé-
rents auteurs, et qui pourtant, ont
une très grande importance. La tech-
nologie de la B.E.V. ne permet pas
de mettre en évidence ces données.
Pourtant, ces éléments doivent être
présents dans une bonne eau osmo-
sée. Qu’est-ce qu’une eau informée ?
Scientifiquement on ne sait pas
grand chose sur cette question. Des
procédés subtils, comme la cristalli-
sation sensible, la photo Kirlian, l’ex-
périence de la pousse de germes de
végétaux, le procédé du Dr Masaru
Emoto, etc. permettent pourtant de
mettre en évidence des phénomènes
de ce type. Des tests physiques peu-
vent y être reliés, la biophotonique
ainsi que quelques autres analyses
électromagnétiques. Ils permettent
de mettre en évidence une compo-
sante supplémentaire dans l’eau. Les
seules connaissances scientifiques
en la matière établies par des cher-
cheurs, entre autres les Allemands
Popp et Ludwig, démontrent que
sous ces diverses appellations sont
regroupés : le sens de la rotation des
molécules d’eau (rotation droite ou
gauche des Spins), la luminescence
biophotonique des tests sur l’eau
et surtout l’émission de fréquences
électromagnétiques observées par
spectroscopie. Il est connu que cer-
taines fréquences électromagnétiques
présentes dans l’eau engendrent des
effets subtils et sont bénéfiques (cos-
motelluriques, tels les fréquences de
Schumann, etc.), alors que d’autres
sont néfastes (220 volts, téléphones
portables, ...).
L’osmose inverse est un pro-
cédé entièrement physique et non
chimique. Un appareil entièrement
automatique onéreux mais, oh com-
bien pratique ! En plus des éléments
traditionnels dont les filtres à osmose
inverse sont composés, membrane
semi-perméable de haute qualité,
pré-filtre, filtre à charbon et post fil-
tre à charbon, il faut s’intéresser à
d’autres critères.
Notre grande expérience en la
matière nous a démontré que l’usage
d’un réservoir
sous
évier pouvait
présenter des inconvénients pour
un usage familial au niveau des
contaminations bactériennes. Même
si le problème n’est pas constant
ni récurrent, ce risque reste possi-
ble. L’astuce de mettre de la laine
d’argent en contact avec l’eau (truc
connu des techniciens de labora-
toire) pour stocker l’eau distillée
afin d’éviter la contamination bac-
térienne est à proscrire. Ce procédé
est un non-sens et pas nécessaire si
l’on opte pour un osmoseur familial
de bonne qualité avec réservoir
sur
évier. L’utilisation de cette laine
d’argent par certains fabricants
démontre bien que la contamina-
tion bactérienne est encore mal
maîtrisée dans les réservoirs
sous
évier. Un réservoir
sur
évier, d’accès
facile pour le nettoyage, est donc
recommandé pour l’usage familial.
Finalement, pour éviter tout pro-
blème de contamination on peut se
tourner vers la toute dernière géné-
ration d’osmoseurs qui travaillent
en flux direct et à débit constant
12
13
sans passer par le stockage dans un
réservoir, si ce n’est une question
de prix !!!
Un autre élément important dont
peu d’appareils sont équipés et dont
on parle peu en France est le rin-
çage séquentiel automatique. A notre
connaissance, sur le marché inter-
national deux systèmes cohabitent.
Le meilleur système est doté d’un
rinçage automatique de la membrane
pendant quelques minutes toutes les
4 heures, 24 h sur 24 et 365 jours
par an. Le second système enclen-
che un rinçage de la membrane à
chaque mise en route de l’osmoseur.
L’inconvénient est que la membrane
n’est pas rincée en dehors de son
utilisation (nuit, vacances, absence
dans la journée). La consommation
pour les rinçages reste insignifiante
et présente une bonne sécurité. Ces
rinçages séquentiels évitent l’effet
«
collage »
de la flore bactérienne
sur la membrane et la fixation de
particules de silicates, de calcaire...
qui sinon, bouchent rapidement les
pores de la membrane.
A défaut d’une surveillance cons-
tante du taux de résistivité de l’eau,
qui peut être mesurée directement
par certains filtres, la seule façon de
surveiller ce taux, ce qui est primor-
dial, est d’utiliser un conductimètre
manuel qui donne la solution d’éta-
lonnage en même temps. Il est facile
de trouver ses appareils sous forme
de stylo (35 euros environ), chez
tous les fournisseurs d’accessoires de
laboratoire.
A l’entrée de l’osmoseur, l’eau
des villes déjà traitée aux oxydants ou
encore polluées sont des eaux dites
« non vivantes »
. Pour cette raison,
l’eau filtrée par l’appareil n’est pas
vivifiante. Il faut inclure à la sortie
de l’appareil un élément revitalisant
qui donne l’information d’une eau
vivante. Cette phase du traitement
est à mon sens très importante. Cela
peut être par exemple une compo-
sante magnétique pour restructurer
et repolariser l’eau et/ou des cristaux
de roche pour l’informer. Pour opti-
miser, on peut ajouter au filtre un
dispositif qui reénergise et revivifie
l’eau osmosée.
En France, il existe des disposi-
tifs valables mais qui ont encore du
retard par rapport à l’Allemagne (voir
les travaux de Victor Schauberger et
d’autres chercheurs).
En cas d’utilisation d’un sur-
presseur ou d’un conductimètre
électrique, il faut s’assurer que ces
appareils utilisent bien un courant
basse-tension de 12 ou 24 volts en
courant continue afin d’éviter les
pollutions électromagnétiques et
d’éviter que l’eau soit porteuse de
fréquences électromagnétiques nui-
sibles après osmose. En général un
sur-presseur n’est nécessaire que si
la pression de l’eau à l’entrée de l’os-
moseur est inférieure à 2,5 kg. Par
ailleurs, un « économiseur d’eau » est
une excellente alternative.
Un appareil de trop grande capa-
cité peut être inadapté à une famille
réduite et à l’utilisation que l’on veut
en faire, boisson + cuisine + aqua-
rium, etc. Une membrane d’osmose
inverse est faite pour travailler, plus
elle travaille mieux s’est pour elle car
il faut éviter les trop longues pério-
des d’arrêt.
Souvent les fabricants essayent de
vendre un adoucisseur d’eau en même
temps qu’un osmoseur sous le couvert
qu’il permet à la membrane d’éviter
de se boucher trop rapidement et
donne une meilleure qualité d’eau. Ce
ne sont que des arguments de vente,
un excellent osmoseur n’a pas besoin
d’eau adoucie pour fonctionner cor-
rectement. En effet, en dessous d’une
cinquantaine de degré de dureté Th
français, le prix du changement d’une
membrane d’osmoseur tous les 3 à 5
ans est beaucoup moins onéreux que
l’achat du sel qui fait fonctionner
l’adoucisseur. Le degré de dureté Th
permet de mesurer si une eau est
douce, moyennement dure, dure ou
très dure. Ce renseignement peut être
obtenu sur simple demande auprès
de la mairie de votre résidence. Un
adoucisseur consomme annuelle-
ment une certaine dose de sel qui
représente des frais de consommable
non négligeables. Un filtre à osmose
inverse est un investissement à l’achat
et son amortissement, dans ce cas
précis, devient hypothétique. Sans
oublier que le rejet de la saumure lors
du rinçage de l’appareil, ne respecte
pas l’environnement.
L’appareil à osmose inverse idéal
n’existant pas, il faudra de toute
façon faire un compromis. Je me
suis penché sur une bonne partie des
appareils disponibles sur le marché
français et n’en ai trouvé aucun qui
rassemble l’ensemble des critères
que je recommande. Rassurez-vous,
il existe quand même de très bons
appareils en France. Cependant, à
ma connaissance, le seul appareil
conçu à partir des critères de la
B.E.V. qui propose l’ensemble des
critères évoqués plus haut est alle-
mand. Il dispose d’un choix de 3
membranes différentes adaptées à
l’appareil en fonction de la qualité de
l’eau du robinet après une analyse en
B.E.V. de cette dernière.
Sur quels critères choisir
un osmoseur ?
La réponse est simple. Assurez-
vous que votre vendeur connaît la
« Bioélectronique de Vincent ».
Si c’est
le cas, quels sont les critères précis
auxquels répond son appareil et
quelle est la qualité d’eau osmosée
produite ?
Puis, vérifiez que l’appa-
reil comporte soit un conductimètre
incorporé ou un conductimètre
manuel
avec
sa solution d’étalon-
nage. Celui-ci vous permettra de
vérifier vous-même facilement, en
continu ou mensuellement la qualité
de votre eau osmosée.
Pour obtenir un osmoseur répon-
dant à tous les critères de la B.E.V.,
il est plus judicieux de s’adresser à
un revendeur qualifié. Le respect de
ces critères permet d’obtenir une
eau
biocompatible
.
Pour mémoire voici les critères
d’une eau
« bonne à boire » d’après les
critères de la B.E.V.
(L. Cl. Vincent / J. Orszagh / R. Haas)
Norme des valeurs pour une eau
de qualité biocomptabible :
- pH : 5,5 – 7,0
- rH2: 24-28
- Résistivité : entre 6.000 et
100.000
Ω
/cm ou Conductivité
entre 167 et 10 µS/cm.
- Quantification de Vincent : entre
3 - 30 µW.
- Minéralisation globale : entre
10 mg minimum et 150 mg/l.
- Avec l’utilisation d’un osmoseur :
adapter la membrane en fonction
des critères de minéralisation de
l’eau de ville pour atteindre ces
valeurs.
- Pouvoir d’épuration de la mem-
brane d’osmose inverse : de 94 à
96 %.
A l’identique d’une eau de
source naturelle peu minéralisée,
il est important de conserver une
minéralisation globale minimum à
l’eau osmosée. Un taux de 10 mg/l
est indispensable pour assurer à
l’eau sa structure supra-moléculaire
12
12
13
et permettre à celle-ci d’avoir une
meilleure stabilité dans le temps.
C’est aussi l’élément essentiel qui
va permettre à l’eau de conserver, de
retrouver et de fixer l’information.
(A titre indicatif une minéralisation
globale de l’eau à un taux de 10 mg/l
correspond à une conductivité mini-
mum de 10 µS/cm ou à un maxi-
mum de résistivité de 100.000
Ω
/
cm, et sera donc mesurable par le
particulier). Une eau totalement
déminéralisée ou distillée n’est pas
bonne pour la santé et ne devrait
pas être bue quotidiennement. Ces
eaux sont réservées aux cures et sont
à boire sous surveillance médicale.
Une astuce permet de donner à l’eau
osmosée un atout supplémentaire.
En rajoutant à chaque cruche d’eau
osmosée destinée à la boisson un
petit grain de sel de mer non raf-
finé, on lui transmet l’ensemble des
oligo- et micro-éléments
du tableau
de la classification périodique des
éléments de Mendeleïv.
Contrairement aux croyances
et pour faire taire les détracteurs,
sachez que
l’eau osmosée n’est pas
une eau déminéralisée.
Elle con-
tient encore un petit pourcentage
de minéraux à l’image d’une eau de
source peu minéralisée. La membra-
ne d’osmose inverse doit être choisie
en conséquence.
A tous ceux qui ne sont toujours
pas convaincu par la qualité de l’eau
osmosée, je conseille de faire l’expé-
rience suivante. Prenez en bouche une
gorgée d’eau osmosée et recrachez-la
immédiatement. Mesurer avant et
après l’expérience, le pH et surtout la
résistivité ou la conductivité des deux
eaux. Vous serez très surpris de cons-
tater combien la résistivité a baissé
et la conductivité augmentée après
l’avoir mise en bouche. La minéra-
lisation de l’eau a changé. Elle s’est
beaucoup minéralisée par l’apport des
minéraux de la salive. Ce même phé-
nomène se reproduit dans l’estomac.
Nous n’ingérons donc pas une eau
déminéralisée mais bel et bien une eau
minéralisée qui sera métabolisée en
temps que tel.
Le mythe
de la carence de minéraux
dans l’eau osmosée
Dissous dans l’eau, les minéraux
sont des éléments
anorganiques
(sauf dans l’eau de mer). D’après
les dernières connaissances, le corps
humain ne métabolise ces minéraux
qu’en très faible quantité et unique-
ment
si le besoin en minéraux orga-
niques n’est pas couvert par l’ali-
mentation
. L’homme hétérotrophe*
se nourrit de substances
organiques
,
plantes, fruits, légumes..., tandis que
le végétal autotrophe** a la capacité
d’élaborer son aliment organique à
partir d’éléments minéraux anorga-
niques. Les minéraux organiques se
trouvent dans les légumes, les fruits
et les diverses plantes sous forme de
chélates. Ce sont des liaisons pro-
téiques et de sucres naturels comme
les lactates, orotates, citrates, acides
aminés, etc.
La plupart des minéraux anorga-
niques non assimilés par l’organisme
seront éliminés, le reste se fixe et
s’accumule petit à petit et devien-
nent des charges qui encrassent le
corps. Certains de ces déchets con-
tiennent des éléments qui peuvent
devenir toxiques à des seuils criti-
ques et engendrer des maladies. A
la suite d’une dissolution indésirable
de ses déchets minéraux, une éner-
gie se forme pour être libérée lors de
diverses liaisons. Lorsque les subs-
tances produites lors de ces réactions
se combinent à d’autres substances
du corps cela peut engendrer les
fameux radicaux libres qui sont
source de gros problèmes. Ce même
effet est aussi observé avec beaucoup
de médicaments classiques actuels
qui sont responsables de nombreux
effets secondaires.
Minéraux, calcium et
ostéoporose
Souvent, les personnes souffrant
d’ostéoporose reçoivent le conseil
de boire de l’eau minérale contenant
beaucoup de calcium. Erreur ! En
effet, la majorité des ville de France
consomme l’eau du robinet très
minéralisées ou de l’eau minérale en
bouteille trop minéralisée. Or, c’est
justement aux endroits ou sont con-
sommés ces fameuses eaux haute-
ment minéralisées que beaucoup de
femmes sont atteintes d’ostéoporose.
Curieux, n’est-ce pas ? L’ostéoporose
n’est pas liée ni au manque de cal-
cium dans l’eau ou ni à l’absence de
consommation de produits laitiers
comme la publicité nous le fait
croire. En effet, dans les deux cas,
les résultats constatés sont plus que
médiocres. D’autre part, ce n’est pas
non plus un problème hormonal au
point qu’il justifie une médication,
mais plutôt et en premier lieu, c’est
surtout un problème d’équilibre
acido-basique. Le « terrain », les tis-
sus et le mésenchyme (aussi nommé
tissus conjonctif et matrix) sont trop
acides car la réserve alcaline n’est
plus en quantité assez importante
pour faire tampon. L’organisme doit
donc aller chercher les minéraux
basiques là où ils sont, c’est-à-dire
dans le squelette. En changeant
ses habitudes alimentaires pour
privilégier les fruits, les légumes et
les végétaux, en adoptant une ali-
mentation du type régime Crétois,
on pourra pallier aux carences. Au
début du rééquilibrage alimentaire,
il est bon de consommer des sels
minéraux alcalins, des orotates ou
aspartates de calcium, de magné-
sium, de la silice sous forme biodis-
ponible (colloïdal) et des vitamines
D et C pour retrouver un équilibre
acido-basique digne de ce nom. Les
gouttes homéopathiques allemandes
de FM Pharma « FM-Spezialität
Calcium fluoratum comp. d’après le
Dr. Schimmel » sont d’une efficacité
remarquable dans l’ostéoporose.
Le rôle de l’eau et du sel
dans l’ostéoporose
et d’autres maladies
D’après les Dr Fereydoon Bat-
manghelidj, Barbara Hendel et le
biophysicien Peter Ferreira, un autre
facteur important dans diverses
affections et en particulier l’ostéo-
porose est celui de la quantité d’eau
et de sel consommée par jour. Voici
une synthèse que j’ai adaptée en
fonction des recommandations de
ces divers auteurs.
Pour rétablir un électrolyte
cellulaire adéquat qui permet un
échange osmotique intra et extra
cellulaire, il est nécessaire de con-
sommer un
minimum
de 30 ml
d’eau de source peu minéralisée (ou
d’eau osmosée
informée
) par kg de
poids corporel et par jour (2,1 l/jour
pour une personne de 70 Kg).
La consommation est répartie de
la façon suivante : 2 verres (1 verre
= 250 ml) 1⁄2 heure avant le petit
13
* Hétérotrophe : s
e dit d’un être vivant, homme
ou animal, ainsi que la plupart des plantes
dépourvus de pigments assimilateurs, qui se nour-
rissent de substances organiques.
** Autotrophe
: se dit des organismes végétaux,
plantes vertes et certains végétaux inférieurs qui
sont capables d’élaborer leurs aliments organiques
à partir d’éléments minéraux anorganiques (donc
pas l’homme).
14
déjeuner + 1 verre, 1⁄2 heure avant
le déjeuner + 1 verre, 1⁄2 heure avant
le dîner.
On boira en plus : 1 verre, 2 heu-
res 1⁄2 après chacun des trois repas.
Pour le reste, s’il y a lieu, il doit être
réparti tout au long de la journée.
Avant chaque repas copieux, boire 2
verres d’eau au lieu d’un.
Le café, le thé, le chocolat et
l’alcool extraient l’eau de nos cel-
lules. Il faut savoir que pour 1 tasse
de café il faudra boire en plus des
doses préconisées, 1 tasse d’eau
supplémentaire pour remplacer l’eau
perdue par le corps.
Les boissons autres que l’eau
plate peu minéralisée, comme
l’eau pétillante, la limonade, les jus
de fruits, de légumes, la bière, le
vin, le café, le lait, etc. ne sont pas
comptabilisées avec les doses d’eau
à consommer quotidiennement, elles
ne comptent pas.
Quant au sel, en rapport au
volume d’eau préconisé journelle-
ment, il est nécessaire d’additionner
un peu de sel aux aliments mais sans
exagération.
Une cuillère à café de solution
saline à
saturation
de
« sel cristal
de l’Himalaya »
(sauf contre-indi-
cation médicale) à diluer dans le
premier verre d’eau consommé le
matin à jeun. C’est plus un apport
de
«
l’information de l’élément sel »
de
l’ère primaire, issu de la naissance de
notre terre-mère, que d’une quantité
pondérale de sel à proprement par-
ler. La qualité du sel qui transmet
cette information, harmonise et re-
informe le sérum physiologique de
notre être, est d’une grande impor-
tance. En effet, lorsqu’on respecte
la consommation du volume d’eau
recommandé (30 ml/kg par jour),
cela provoque des urines en quantité
plus importante qu’à l’accoutumée ce
qui implique un rejet plus important
de minéraux dont le sodium. Ces
pertes seront facilement compensées
par une consommation suffisante de
légumes, de fruits et par cette sau-
mure du matin à jeun.
Les transmutations
biologiques
de Cl. Louis Kervran
On ne peut parler de la B.E.V.
en passant sous silence les travaux
d’un autre scientifique français dis-
paru et méconnu, Cl. Louis Kervran.
Ses travaux vont dans le même sens
que ceux de L. Cl. Vincent. Sa théo-
rie est basée sur les transmutations
biologiques et naturelles à faible
énergie qui stipule qu’un ou plu-
sieurs éléments de la classification
périodique des éléments chimiques
(tableau de Mendeleïlev) peuvent
se transmuter en un autre élément.
Le phénomène porte sur le noyau
des atomes. Il prend en compte le
nombre de masse de l’isotope le plus
abondant et le nombre de charges
des éléments, puis par un jeu d’ad-
ditions et de soustractions, il arrive
à des résultats surprenants. Ses nom-
breuses expériences scientifiques fai-
tes sur le terrain et réussies attestent
de la crédibilité de ses travaux.
Par exemple pour rester dans
le domaine du calcium, il dit ne
jamais donner en supplémentation
l’élément manquant, mais son pré-
décesseur. Par exemple, on ajoute à
du sodium (sel) de l’oxygène (qui se
trouve dans l’eau et l’air) pour obte-
nir du potassium. A ce dernier on
ajoute de l’hydrogène (qui se trouve
dans l’eau et l’air) pour obtenir du
calcium. Deuxième exemple. Tou-
jours au départ prenons du sodium à
lequel nous ajoutons de l’hydrogène
(qui se trouve dans l’eau et l’air) pour
obtenir du magnésium. A ce dernier
l’on ajoute de l’oxygène (qui se
trouve dans l’eau et l’air) pour obte-
nir également du calcium. Et pour
finir, partons du silicium. Ajoutons
à celui-ci du carbone (tout végétal
a un squelette de carbone) et nous
obtenons toujours et encore du cal-
cium. C’est l’expérience connue de la
poule que l’on prive de calcium mais
qui picore du mica (silicium) dans le
sable avec de l’herbe (carbone) et qui
pont des œufs dont la coquille est
faite de calcium. Pour les curieux en
chimie vous pouvez vérifier le calcul
du nombre de charges et de masse
de ces différents éléments minéraux
en les additionnant et vous verrez
que ça marche. (Exemples : Na 23,
11 + H 1, 1 = Mg 24, 12 + O 16, 8 =
Ca 40, 20 ou Na 23, 11 + O 16, 8 =
K 39, 19 + H 1, 1 = Ca 40, 20. Autre
exemple : Si 28, 14 + C 12, 6 = Ca
40, 20).
Par ces exemples, on peut être
amener à une réflexion différente sur
le fonctionnement physiologique et
biologique du vivant et mettre ainsi
en valeur l’importance essentielle
de l’ensemble de tous les micros et
oligoéléments issus de notre alimen-
tation en insistant sur leur synergie.
Ainsi, s’ouvre aussi une autre voie
aux personnes qui souffrent de
maladies osseuses, leur permettant
de penser à la précieuse silice sous
forme colloïdale bien entendu.
En ajoutant un exercice physique
au quotidien à l’ensemble des recom-
mandations précédentes, il est enfin
possible de régler définitivement un
problème de santé qui en réalité n’en
est pas réellement un. Ce ne sera
pas évidemment très bénéfique à
l’industrie pharmaceutique. C’est le
moins que l’on puisse dire !!!
Richard HAAS
http://perso.wanadoo.fr/fibromyasan
/
Bibliographie:
- « Revue de Pathologie comparée et
Hygiène générale » (1952, 52,
n° 636, p. 172) L. Cl. Vincent
« Eau et Maladies, leur Evolution »
(épuisé)
- « B.E.V.-Fibel » Franz Morel
1983 « Bio-Elektronik Vincent »
(épuisé)
- « Bioélectronique de Vincent »
Séminaire pratique, standardisa-
tion des procédures et matériels,
osmoseur et eau osmosée, Richard
Haas, 2
e
édition revue, augmentée
avec mises à jour, janvier 2001.
- « Votre corps réclame de l’eau,
effets méconnus de la déshydrata-
tion », Fereydoon Batmanghelidj,
Editions des trois Fontaines, 1994
ISBN 2-909206-16-5 (Epuisé en
français. Disponible en allemand)
« Wasser die gesunde Lösung. Ein
Umlernbuch » Batmanghelidj
Faridun - VAK Verlag ISBN 3-
924077-83-5
- « Sie sind nicht krank, Sie sind
durstig !, Heilung von innen
mit Wasser und Salz», Faridun
Batmanghelidj Vak Verlag, ISBN
3-935767-25-0
- « Wasser & Salz – Urquell des
Lebens », Dr. Barbara Hendel -
Peter Ferreira, INA Verlag, ISBN
3-00-008233-6
- « Gesundheit & fit mit Wasser &
Salz », Dr. Barbara Hendel, INA
Verlag, ISBN 3-9808408-0-8
- La revue « Wasser & Salz », INA
Verlag
- « A la découverte des transmu-
tations biologiques », C. Louis
Kervran, Le courrier du livre,
1966, ISBN 2 7029 0096 8
(épuisé)
14
14
S
O
R
T
IR
-
C
O
N
F
É
R
E
N
C
E
S
-
A
T
E
L
IE
R
S
-
C
U
L
T
U
R
E
-
15
A
GENDA
DES
ACTIVITÉS
EN
Î
LE
-
DE
-F
RANCE
- A
VRIL
2004
V
ENDREDI
2
AVRIL
19h30
Naître à la mort et
accompagner dans le passage
,
Comment et pourquoi se prépa-
rer dès aujourd’hui à ce passage
incontournable ? Importance
et responsabilité des mots, des
gestes et des émotions, ... lors de
l’accompagnement. Les erreurs à
ne pas commettre. La mort ... et
après ? Réflexions sur la vie après
la vie. Daniel Kieffer. 8
€
.
Forum
104 rue de Vaugirard, 6
e
.
20h
Comment est-il possible
d’accepter joyeusement la
souffrance ?,
la méditation
bouddhiste par Guèn Kelsang
Lhamo, nonne bouddhiste. Part.
libre souhaitée 9
€
.
Forum
104
rue de Vaugirard, 6
e
.
Le foie : lois biologiques de
l’adaptation au monde
, B. Rou-
cayrol. 10
€.
Forum
104 rue de
Vaugirard 6
e
.
20h30
Le sourire au pied de
l’échelle,
Danielle Marty conte
la quête de la joie intérieure :
un récit poétique d’Henri Miller.
8-12
€
.
Crypte de l’Eglise
Saint-Thomas d’Aquin
, 7
e
.
Réservation 01-42-22-59-74.
21h30
Tous les vendredis soirs.
Randonnées à vélo
, 20-25 km.
Départ Hôtel de Ville retour
Hôtel de ville. Location vélo 9
€.
06.10.87.05.87.
S
AMEDI
3
AVRIL
Les 3 et 4 avril
1
er
Festival Li-
pica « A la découverte de soi »
,
Conférences sur la numérologie,
les pouvoirs de la détoxination...
Un mélange de thérapeutes, éner-
géticiens, voyants se retrouvent le
temps d‘un week-end
.
Centre équestre Lipica
77 Ozoir-la-Ferrière.
10h
Journée de l’astronomie
,
ateliers, conférence... Association
Vega. Entr. libre
.
78 Château de
Plaisir
. 01-34-60-54-08.
11h
Chaque samedi en plein air.
Rire à Paris
, « Etre le premier
à sourire pour mieux rire avec
la vie », Françoise Rousse. 5
€.
Jardin du Luxembourg
de-
vant l’entrée du jardin, 6
e
. 01-43-
47-28-22.
14h
Lire les auras
, M.-A. Des-
camps. 10
€.
Centre Améthys-
te
20
e
. 01-45-35-41-95.
Action anti-bagnole (cyclique,
rollers et piétons ensemble
contre la pollution)
. Mouve-
ment de masse et populaire,
Vélorution a pour objectif de
dénoncer les politiques gouverne-
mentales et municipales en faveur
de l’automobile. Tous les 1
ers
same-
dis du mois.
Place du Châtelet
1
er
. http.//velorution.free.fr/
16h
Discussion autour de Pâ-
ques
, Nadia Abès et Elise Giradi.
Participation : 1 consommation
.
Le Jardin des Fées
11
e
. 01-43-
14-98-91
16 à 18h
Chaque samedi sur Eu-
rope 1 (104.7)
Bien-être
, com-
ment se requinquer, avoir un
état d’esprit positif, dynamique,
comment trouver des médeci-
nes moins lourdes... avec Marc
Menant
.
De 21 à 23h
Chaque samedi.
Uranoscope ouvre sa coupole
,
Entr. libre
.
Maison de la Cul-
ture et des Loisirs
77 Gretz-
Armainvilliers. 01-64-42-00-02.
D
IMANCHE
4
AVRIL
10h
Chaque dimanche en plein
air.
Rire à Paris
, « Etre le premier
à sourire pour mieux rire avec la
vie », Françoise Rousse. 5
€.
Bois
de Vincennes
devant la mairie
de Saint Mandé. 01-43-47-28-22.
13h30-18h30
Biodanza
danse
de la vie. 18
e
Clichy. Ouvert à tous.
1/2 tarif avec ce journal.
01.46.29.07.92
- www.biodanza.fr
15 à 17h
Chaque dimanche sur
Europe 1 (104.7)
Le domaine de
l’irrationnel
, parce que la science
ne répond pas à toutes nos inter-
rogations, à tous les phénomènes
dont nous sommes témoins et
dont un grand nombre laisse des
traces... avec Marc Menant
.
17h30
Redécouvrir le sens du
sacré dans la vie
.
Loge des
théosophes
16
e
. 01.47.20.42.87
L
UNDI
5
AVRIL
20h30-22h30
Biodanza,
4
e
.
Beaubourg. « Le plaisir de la
danse ». Atelier découverte 5
€
.
01.46.29.07.92
- www.biodanza.fr
M
ARDI
6
AVRIL
15h
Comment circule l’éner-
gie des planètes, en lien avec
la médecine chinoise, dans
l’expression de la vie,
Claudine
Briand
.
Salle Psyché
1
er
.
01-42-33-37-44
18h30
Des machines bran-
chées sur le cerveau,
Jean Del-
becke, neurophysiologiste
.
Cité des Sciences
19
e
19h30
La littérature initiati-
que,
Richard Khaitzine, auteur de
Transformez vos désirs en réalité
.
Un parcours au sein de la littéra-
ture internationale où se mêlent
le sérieux, l’humour et la spiritua-
lité. Richard Bach, Fynn, Gustav
Meyrink, Victor Hugo, Yoshikawa...
Equilibre-énergie
13
e
.
Réservation 06-14-85-72-72
20h
Nourriture morte ou vi-
vante : comment savoir ?,
A
l’heure où le débat sur l’intérêt
de manger bio est plus que
jamais d’actualité, la question
reste posée : qu’est-ce qu’un
aliment sain ? Doit-on le limiter
à l’absence de pesticides, de
conservateurs, de produits chi-
miques ? Comment savoir si nos
aliments sont vivants ou morts ?
Projections sur la cristallisation
sensible, biophotonique qui met-
tent en évidence la vitalité de nos
aliments. J.-P. Garel, biologique,
auteur
.
Le
Jardin des Fées,
11
e
Réserver : 01-43-14-98-91.
M
ERCREDI
7
AVRIL
20h
La modernité des raci-
nes de la psychanalyse
, Jacques
Sedat, psychanalyste. 10
€.
Idée psy
01-42-78-91-21
L’émergence de Maitreya et
des Maîtres de Sagesse
, Vidéos,
diapos et questions-réponses.
Ass. Partage. 01 42 50 26 60. 8
€.
Forum
104 rue de Vaugirard 6
e
.
J
EUDI
8
AVRIL
18h30
Comprendre la mort
pour pouvoir faire son deuil
,
B. Chaumeil. 10
€.
Forum
104 rue de Vaugirard 6
e
.
19h
Les 4 nobles vérités :
bases
philosophiques du bouddhisme.
Forum 104 rue de Vaugirard, 6
e
.
19h15
Chaque jeudi.
Rire à
Paris
, « Etre le premier à sourire
pour mieux rire avec la vie », F.
Rousse. 5
€.
Salle Victor Bro-
ciéro
Vincennes. 01-43-47-28-22.
19h30
Comprendre les problè-
mes de peau pour mieux les
soigner
, Dr Danièle Pomey-Rey,
dermatologue, psychiatre et psy-
chanalyste. 5
€.
Kiria
6
e
. 01-55-42-52-52.
V
ENDREDI
9
AVRIL
21h30
Tous les vendredis soirs.
Randonnées à vélo
, 20-25 km.
Départ Hôtel de Ville retour
Hôtel de ville. Location vélo 9
€.
06.10.87.05.87.
S
AMEDI
10
AVRIL
14h
Le Roi et l’oiseau,
dessin
animé de Paul Grimault. 1h27,
1980. 4
€.
Eden République
11
e
. 01-44-61-85-50
15h
Centres subtils : leur
thérapeutique par les huiles
essentielles
(centre cardiaque et
laryngé), Bernard Bérigaud.
Salle
Psyché
1
er
. 01-42-33-37-44
20h30
Rêveries d’un prome-
neur solitaire
court-métrage
de
Christian Riberzani.
Le Hublot
92 Colombes 01-47-60-10-33
De 21 à 23h
Chaque samedi.
Uranoscope ouvre sa coupole
,
Entr. libre
.
Maison de la Cul-
ture et des Loisirs
77 Gretz-
Armainvilliers. 01-64-42-00-02.
6
e
D
IMANCHE
11
AVRIL
15h
Les rapports parents/
enfants vus par la morphopsy-
chologie,
Amélie Dutheil
.
Salle
Psyché
1
er
. 01-42-33-37-44
L’immortalité de l’âme selon
le Yoga et le Bouddhisme,
Atman et Brahman. Le non-moi
et le Soi. L’entité qui se réincarne.
M.-A. Descamps, professeur de
psychologie
.
Salle Psyché
1
er
.
01-42-33-37-44
15 à 17h
Chaque dimanche sur
Europe 1 (104.7)
Le domaine de
l’irrationnel
, parce que la science
ne répond pas à toutes nos inter-
rogations, à tous les phénomènes
dont nous sommes témoins et
dont un grand nombre laisse des
traces... avec Marc Menant
.
L
UNDI
12
AVRIL
15h
Rencontrez vos animaux
guides,
Laure Clément. 8
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Salle Psyché
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J.acques Rousseau 1
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S
O
R
T
IR
-
C
O
N
F
É
R
E
N
C
E
S
-
A
T
E
L
IE
R
S
-
C
U
L
T
U
R
E
-
M
ARDI
13
AVRIL
20h30
Court-z’y,
sélection de
courts-métrages décalés et déso-
pilants. Entr. libre
.
Ars Longa
11
e
.
01-43-55-47-71.
M
ERCREDI
14
AVRIL
20h30
Astrologie et homéopa-
thie,
B. Biardeau. 11
€.
Librairie
Astres
11
e
. 01-48-05-00-05
J
EUDI
15
AVRIL
19h15
Chaque jeudi.
Rire à
Paris
, « Etre le premier à sourire
pour mieux rire avec la vie », F.
Rousse. 5
€.
Salle Victor Bro-
ciéro
Vincennes. 01-43-47-28-22.
V
ENDREDI
16
AVRIL
20h
Transmutation Multidi-
mensionnelle
, Les Emissaires
de la Lumière et Juliette Barmet.
15
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Espace Harmonie
10
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.
01-47-70-78-79
20h15
Signes de la présence du
Divin dans l’Homme
.
Loge des
théosophes
16
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. 01.47.20.42.87
S
AMEDI
17
AVRIL
11h
Chaque samedi en plein air.
Rire à Paris
, « Etre le premier
à sourire pour mieux rire avec
la vie », Françoise Rousse. 5
€.
Jardin du Luxembourg
de-
vant l’entrée du jardin, 6
e
. 01-43-
47-28-22.
16 à 18h
Chaque samedi sur Eu-
rope 1 (104.7)
Bien-être
, com-
ment se requinquer, avoir un
état d’esprit positif, dynamique,
comment trouver des médeci-
nes moins lourdes... avec Marc
Menant
.
19h30
Promenades plantes et
champignons :
A la découverte
des plantes comestibles de début
de saison et à la recherche des
morilles ou des mousserons de
printemps. De nombreuses orchi-
dées peuvent déjà être visibles. A.
Tardif. 8
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Départ Gare du Nord
à 8h30 ou RdV gare de l’Isle
Adam à 10h.
Inscription : 01-43-56-89-00.
De 21 à 23h
Chaque samedi.
Uranoscope ouvre sa coupole
,
Entr. libre
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Maison de la Cul-
ture et des Loisirs
77 Gretz-
Armainvilliers. 01-64-42-00-02.
D
IMANCHE
18
AVRIL
10h30
Le 3e dimanche du mois.
Randonnées à vélo
, 20-25 km.
Départ Hôtel de Ville retour
Hôtel de ville. Location vélo 9
€.
06.10.87.05.87.
15 à 18h
Chant sacré, langage
de l’âme,
animé par des membres
de la confrérie soufie. 9
€.
Forum
104
6
e
. Rens. 01 47 84 81 04
L
UNDI
19
AVRIL
19h
La vérité sur la condition
humaine,
Julien Loubiou
.
Ti Ar Beleg
Villemonble.
01-43-67-87-87
20h30-22h30
Biodanza,
4
e
.
Beaubourg. « Le plaisir de la
danse ». Atelier découverte 5
€
.
01.46.29.07.92
- www.biodanza.fr
M
ARDI
20
AVRIL
19h30
Les élixirs floraux du
Dr Bach à nos jours,
Eve Apprill
présente le travail d’Andréas
Korte, de l’australien Ian White.
Equilibre-énergie
13
e
.
Réservation 06-14-85-72-72
L’alimentation vivante,
Cl.
Richard, naturopathe.
Exposé-
débat :
Renforcer sa vitalité et
ses défenses naturelles.
Dîner
« vivant » (hors boisson) 25 �
.
Jardin des Fées
11
e
.
Réservation 01 43,14 98 91
20h
Intégration Mémorielle :
se libérer de son karma,
J. Bar-
met, thérapeute, 12
€.
Espace
Harmonie
10
e
01.47.70.78.79
M
ERCREDI
21
AVRIL
15h
La méthode Coué
aujourd’hui,
H. Vignaud
.
Salle
Psyché
1
er
. 01-42-33-37-44
20h30
Les maladies auto-
immunes ou la « folie »
organique,
Alain Rousseaux
.
Salle du Musée Social
7
er
.
01-45-26-83-33
J
EUDI
22
AVRIL
19h15
Chaque jeudi.
Rire à
Paris
, « Etre le premier à sourire
pour mieux rire avec la vie », F.
Rousse. 5
€.
Salle Victor Bro-
ciéro
Vincennes. 01-43-47-28-22.
V
ENDREDI
23
AVRIL
20h
Les délicieuses sauva-
geonnes du printemps,
Cl. Bon-
net, botaniste, herboriste.
Con-
férence-dégustation :
tisanes
et canapés d’ortie au chèvre.
10 �
.
Jardin des Fées
11
e
.
Réservation 01 43 14 98 91
Identifier la colère, la seule
ennemie de tous,
Guèn Kelsang
Lhamo (nonne bouddhiste).
Forum 104
6
e
01 43 67 87 87
20h15
Karma, la loi de l’Etre
.
Loge des théosophes
16
e
.
01.47.20.42.87
20h30
Conteurs, griots et
cuenta cuentos,
Soirée contes
et chansons du Coeur du monde
avec Sylvie de Berg. Anne Maillol,
contes de Perse et Nathalie Ro-
cher, contes Kazakhs
.
Ars Longa
11
e
. 01-43-55-47-71.
21h30
Tous les vendredis soirs.
Randonnées à vélo
, 20-25 km.
Départ Hôtel de Ville retour
Hôtel de ville. Location vélo 9
€.
06.10.87.05.87.
S
AMEDI
24
AVRIL
15h
Quelles règles élémentai-
res du Feng-Shui peuvent nous
aider à harmoniser notre lieu
de vie,
Christian Gilles
.
Salle
Psyché
1
er
. 01-42-33-37-44
16h
La destinée,
par Nadia Abès
et Bruno Mairet
.
3 �
.
Jardin des
Fées
11
e
. 01 43,14 98 91
De 21 à 23h
Chaque samedi.
Uranoscope ouvre sa coupole
,
Entr. libre
.
Maison de la Cul-
ture et des Loisirs
77 Gretz-
Armainvilliers. 01-64-42-00-02.
D
IMANCHE
25
AVRIL
10h
Sortie en Nature
,
à la ren-
contre de Dame Nature. Rens. et
inscription. 01-69-45-25-66
16h
Contes : Les aventures
de Jonathan le Goëland,
P.
Brémond, lecteur, C. Bossu et A.
Vaultier, flûtistes.
7-12 �
.
Jardin
des Fées
11
e
. 01 43,14 98 91
L
UNDI
26
AVRIL
19h
Se libérer du stress et de
l’anxiété dans nos relations
avec les autres,
Julien Loubiou
.
Ti Ar Beleg
Villemonble.
01-43-67-87-87
20h30-22h30
Biodanza,
4
e
.
Beaubourg. « Le plaisir de la
danse ». Atelier découverte 5
€
.
01.46.29.07.92
- www.biodanza.fr
M
ARDI
27
AVRIL
20h
Nouvelle approche holis-
tique des troubles de la vision,
Pascal Barbey, formateur en opto-
métrie.
Conférence
.
8 �
.
Le Jardin des Fées
11
e
.
Réservation 01 43,14 98 91
1
J
EUDI
29
AVRIL
18h30
Les effets biologiques de
la lumière du soleil :
une palette
étonnante
,
Paul Mathis. 5.50-
7.50
€.
Cité des Sciences
19
e
.
01 40 05 84 08
19h
Changer la face de la
mondialisation,
conférence-
débat par Ph. Leconte. 8
€.
Jar-
din des Fées
11
e
. 01 43 14 98 91
19h15
Chaque jeudi.
Rire à
Paris
, « Etre le premier à sourire
pour mieux rire avec la vie », F.
Rousse. 5
€.
Salle Victor Bro-
ciéro
Vincennes. 01-43-47-28-22.
19h30
Le bain dérivatif,
France
Guillain. Le bain dérivatif et les
graisses fluides qui chassent les
mauvaises graisses et régénèrent
l’organisme. 8
€.
Librairie As-
tres
11
e
. Rens. 06-22-73-27-23
V
ENDREDI
30
AVRIL
20h
Accepter et transformer
sa souffrance personnelle,
Guèn Kelsang Lhamo (nonne
bouddhiste).
Forum 104
6
e
01 43 67 87 87
21h30
Tous les vendredis soirs.
Randonnées à vélo
, 20-25 km.
Départ Hôtel de Ville retour
Hôtel de ville. Location vélo 9
€.
06.10.87.05.87.
S
AMEDI
1
er
MAI
11h
Chaque samedi en plein air.
Rire à Paris
, « Etre le premier
à sourire pour mieux rire avec
la vie », Françoise Rousse. 5
€.
Jardin du Luxembourg
de-
vant l’entrée du jardin, 6
e
. 01-43-
47-28-22.
14h
Action anti-bagnole
(cyclique, rollers et piétons
ensemble contre la pollution)
.
Mouvement de masse et popu-
laire, Vélorution a pour objectif de
dénoncer les politiques gouverne-
mentales et municipales en faveur
de l’automobile. Tous les 1
er
same-
dis du mois.
Place du Châtelet
1
er
. http.//velorution.free.fr/
20h15
Comment assumer
le deuil de nos être chers
.
Loge des théosophes
16
e
.
01.47.20.42.87
De 21 à 23h
Chaque samedi.
Uranoscope ouvre sa coupole
,
Entr. libre
.
Maison de la Cul-
ture et des Loisirs
77 Gretz-
Armainvilliers. 01-64-42-00-02.
L
UNDI
3
MAI
20h
La méditation pour déve-
lopper l’état divin en l’homme,
Swami Paramananda
Espace
Solara
Rens. 01 42 02 41 58
(voir encadré)
20h30-22h30
Biodanza,
4
e
.
Beaubourg. « Le plaisir de la
danse ». Atelier découverte 5
€
.
01.46.29.07.92
- www.biodanza.fr
M
ARDI
4
MAI
18h30
Carburant, plastiques,
cosmétiques : quelle alterna-
tive au pétrole ?
Marguerite
17
S
O
R
T
IR
-
C
O
N
F
É
R
E
N
C
E
S
-
A
T
E
L
IE
R
S
-
C
U
L
T
U
R
E
-
Rinaudeau. Entr. libre
.
Cité des
Sciences
19
e
.
19h45
Renaître à la vie : vivre
en couple aujourd’hui,
Aleth
Naquet. Entr. libre
.
Forum 104
6
e
. 01-44-24-55-89
20h
Agir sur nos 7 corps par la
pensée positive,
Swami Parama-
nanda Rens. 01 42 02 41 58
M
ERCREDI
5
MAI
20h
La Voie du Milieu : le par-
cours initiatique le plus rapide
vers la réalisation,
Swami Para-
mananda (Voir encadré)
Espace Solara
01 42 02 41 58
J
EUDI
6
MAI
20h
Comment transcender le
stress, maladie du siècle,
Swami
Paramananda
Espace Solara
Rens. et inscr. 01 42 02 41 58
S
AMEDI
8
MAI
20h
Les enseignements cachés
de la Bible,
Swami Paramananda
Rens. 01 42 02 41 58
D
IMANCHE
9
MAI
15 à 17h
Chaque dimanche sur
Europe 1 (104.7)
Le domaine de
l’irrationnel
, parce que la science
ne répond pas à toutes nos inter-
rogations, à tous les phénomènes
dont nous sommes témoins et
dont un grand nombre laisse des
traces... avec Marc Menant
.
17h
Les amères loques de
Charlie,
documentaire-fiction
retraçant les années après-guerre
(14-18) aux USA et l’euphorie
forcenée dans laquelle l’industria-
lisation va bon train sans tenir
compte des existences sociales
d’une population miséreuse.
Musique des années 20 mêlant
swing, blues et charleston, tout en
gardant la touche très «Django»
du groupe. 6-8
€.
Le Hublot
92
Colombes. 01-47-60-10-33
L
UNDI
10
MAI
19h
Les noces intérieures à
travers l’expression corporelle,
EvelyneTravigné, thérapeute cor-
porel. 20
€.
Le geste enchan-
teur
06-14-99-70-80
20h
Bouddha et son approche
scientifique pour vivre le Nir-
vana,
Swami Paramananda (voir
encadré).
Espace Solara
Rens.
et inscr. 01 42 02 41 58
20h30-22h30
Biodanza,
4
e
.
Beaubourg. « Le plaisir de la
danse ». Atelier découverte 5
€
.
01.46.29.07.92
- www.biodanza.fr
J
EUDI
13
MAI
Du 13 au 17 mai de 11h
à 19h.
20
e
édition du salon
VIVEZ NATURE
à la
Cité des
Sciences et de l’Industrie,
19
e
M° Pte de la Villette. Entrée :
3 �, libre pour les -12 ans. Pour
recevoir une invitation gra-
tuite, donnez vos coordonnées à
viveznat@club-internet.fr
Site : www.vivez-nature.com
13h
L’ABC des huiles essen-
tielles,
Thierry Telphon, médecin
généraliste, phytothérapeute
.
Vivez Nature
19
e
.
16h
Produits bio et naturels :
recettes et secrets de fabrica-
tion,
Jérôme Baray, enseignant
chercheur
.
Vivez Nature
19
e
.
19h
Les mémoires ancestrales,
Joëlle Duchemin. 8
€.
Librairie
Astres
11
e
. 01 48 05 00 05
19h15
Chaque jeudi.
Rire à
Paris
, « Etre le premier à sourire
pour mieux rire avec la vie », F.
Rousse. 5
€.
Salle Victor Bro-
ciéro
Vincennes. 01-43-47-28-22.
V
ENDREDI
14
MAI
11h à 22h
VIVEZ NATURE
à la
Cité des Sciences et de l’In-
dustrie,
19
e
M° Pte de la Villette.
13h
Quand les dents se met-
tent à parler,
Michèle Caffin,
chirurgien dentiste
.
Vivez Na-
ture
19
e
.
16h
Se soigner par l’homéo-
pathie au troisième millénaire,
Alain Paul, médecin homéopathe
.
Vivez Nature
19
e
.
19h
L’écologie au secours de
la vie : une médecine pour
demain,
Philippe Saint Marc,
écrivain spécialisé en écologie
humaine.
Vivez Nature
19
e
.
S
AMEDI
15
MAI
11h à 19h
VIVEZ NATURE
à la
Cité des Sciences et de l’In-
dustrie,
19
e
M° Pte de la Villette.
13h
Passion patate : histoires
de ce fameux tubercule du
jardin à nos cuisines,
Lyndsay et
Patrick Mikanowski, passionnés
de saveurs
.
Vivez Nature
19
e
.
15h
Diététique énergétique :
une approche pratique de la
diététique chinoise à l’usage de
tous,
Richard Zagorski, spécialiste
en médecine chinoise
.
Vivez Nature
19
e
.
17h
Et si c’était le gluten ?,
Marion Kaplan, bio-nutritionniste
.
Vivez Nature
19
e
.
D
IMANCHE
16
MAI
11h à 19h
VIVEZ NATURE
à la
Cité des Sciences et de l’In-
dustrie,
19
e
M° Pte de la Villette.
11h30 et 13h30
Mirko Bel-
janski : 50 ans de recherches,
Monique Beljanski et Jean-Paul le
Perlier journaliste
.
Vivez Nature
19
e
.
15h30
La méthode relax-oeil,
Catherine Benjamin, orthoptiste
.
Vivez Nature
19
e
.
17h30
Stress et immunité,
Christian Brun, naturopathe
.
Vivez Nature
19
e
.
L
UNDI
17
MAI
11h à 19h
VIVEZ NATURE
à la
Cité des Sciences et de l’In-
dustrie,
19
e
M° Pte de la Villette.
13h
Mastiquer, c’est la santé,
France Guillain, écrivain spécialisé
en santé-alimentation
.
Vivez Nature
19
e
.
16h
S’arrêter de fumer !,
Yves
Requena, spécialiste en médecine
chinoise
.
Vivez Nature
19
e
.
E
XPO
A
RT
David Kantorovitz,
Les Sé-
maphores et les Derviches
Tourneurs.
Jusq. 09/04, 12-20h
sf dim.
Ars longan
75 rue de
Varenne 11
e
Blake et Mortimer
, Edgar P.
Jacobs.
Jusq. 30/04. Sauf mar.
9h45-17h15.
3 à 7
€
.
Musée de
l’Homme
17 pl. du Trocadéro 16
e
J’aime Chéri Samba,
peintre
congolais.
Jusq. 02/05, 12-20h sf
lun.
4.50-6.50
€
Fondation
Cartier
14
e
01.42.18.56.51
Charles Cordier (1827-1905),
sculpteur :
l’autre et l’ailleurs.
Jusq. 02/05. Sauf lun. 10-18h.
5-
7
€.
Musée d’Orsay
7
e
Claudio Bravo et le Maroc,
peintre Chilien :
une soixantaine
de toiles orientalistes.
Jusq. 16/05.
Sauf lun. 10-18h.
2-3
€.
Institut du monde arabe
5
e
Au coeur de l’impressionnisme,
la famille Rouart
.
Jusq. 13/06.
Mar. au dim. 10-18h.
3-7
€, libre
-13 ans.
Musée de la Vie Ro-
mantique
Hôtel Renan-Scheffer
16 rue Chaptal 9
e
Joan Miró : la naissance du
monde
.
Jusq. 28/06. Sf mar. et
fêtes 11-21h.
7-9
€,
Centre
Georges-Pompidou
4
e
Araignée,
Louise Bourgeois.
Jusq.
12/09. Sauf mar. 10-18h.
5 à 7
€.
Musée national d’histoire
naturelle -
Jardin des Plantes
36 rue Geoffroy-Saint-Hilaire 5
e
Les génies de la mer,
sculpture
navale.
Jusq. 15/10. Sauf mar. 10-
18h.
5 à 7
€.
Musée national de
la Marine
17 pl. Trocadéro 16
e
T
HÉÂTRE
Le Groenland
de P. Sales, mise
en scène M.-P. Bésanger.
Du 2 au
5 avril. ven.-sam. 20h30, dim. 16h,
lun. 15h.
6-8
€
.
Le Hublot
, 92
Colombes 01-47-60-10-33
Victime du devoir
de Ionesco,
mise en scène Didier Moine.
Jusq.
6/04. Mar. 21h.
Dim. 17h.
10 à
14
€
.
Théâtre des 3 Bornes
, 32
rue des 3 Bornes 11
e
Donne-moi du feu
mise en
scène Miguel Angel Sévilla.
Du
7 au 10 avril. 10h30.
6-8
€
.
Le
Hublot
, 92 Colombes 01-47-
60-10-33
Fables
de La Fontaine, mise en
scène Robert Wilson.
Jusq. 15/05.
Lun., mer., sam. 20h30.
5 à 32
€
.
Comédie Française
, 2 rue de
Richelieu 1
er
M
USIQUE
D’elph,
la plume D’Elph caresse
les syllabes, joue avec les mots, la
musique est en osmose pour une
juste dose. Invitation à la poésie,
à la dérive de la réalité.
Les 6 et
8/04 20h30
.
Espace Jemmapes
10
e
Infos 01-47-31-34-23
www.Sortir-Autrement.com
contact@Sortir-
Autrement.com
01-47-18-75-71
Du lundi 3 au mardi 11 mai
Sous la direction de
SWAMI PARAMANANDA
Partagez la routine d’un
Ashram (1 à 9 jours)
Conférences chaque soir
à 20 h
Consultations individuelles
Enseignements
Initiation
Méditation de groupe
Récitation de mantras
Renseignements
et inscription :
E S PAC E S O L A R A
01 42 02 41 58
18
19
18
Soledad,
univers pathétique et
enivrant, martelé d’ivoire, aux
arrières-pensées d’Argentine...
Manu Comté, Nicolas Stevens,
Alexander Gurning, Patrick de
Schuyter, Philippe Cormann.
Le
27/04 à 21h
.
L’archipel
10
e
Infos
01 48 00 04 35
Espace Odyssée - Musiques
Spaciales depuis les années
50
.
Jusq. 05/09. Mar. au sam. 12-
18h. Dim. 10-18h. Jusqu’à 20h
les soirs de concert.
3.20-6.50
€
.
Cité de la Musique
221 av. Jean
Jaurès 19
e
P
HOTO
Rome 1850,
le cercle des artistes
photographes du Caffe Greco.
Jusq. 13/04. Sauf lun., mar. 11h-
19h30.
2,50-5
€
.
Maison euro-
péenne de la photographie
5-7 rue Fourcy 4
e
C
IVILISATIONS
L’Algérie en Héritage,
art et
histoire.
Jusq. 04/04. Sauf lun. 10-
18h.
5-7
€
.
Institut du Monde
arabe
1 rue des Fossés-Saint-
Bernard 5
e
La cité interdite,
Kangxi, empe-
reur de Chine 1661-1722
.
Jusq.
09/05. Sauf lun. 10-18h.
5-7.50
€
.
Musée national du Château
de Versailles,
78
Parures de tête,
art africain.
Jusq.
11/07. Sauf lun. mar. 11-19h.
2.5
à 5
€.
Musée Dapper
35 rue
Paul-Valéry 16
e
Le Canada vraiment
.
Jusq. 29/08.
Sauf lun. 10-18h.
5-7
€
.
Cité de
Sciences et de l’industrie
19
e
D
ANSE
X’XY
. Cie Kataline Patkaï. Passage
de la jeune fille en femme, passage
secret, confus, va-et-vient per-
manent entre l’enfant et l’adulte,
entre la femme qu’elle devient et
l’homme qu’elle désire être...
24/04 à 20h et 25/04 à 17h.
8
€
.
Mains d’oeuvres,
Saint-Ouen
01-40-11-25-25
S
CIENCE
Scènes de silence
, Exposition-
expérience : chemin initiatique
conçu par Andreas Heinecke.
Jusq.
14/04. Mar. au sam. 10h15-17h15.
Dim. 10h15-18h15.
8.50 à 10.50
€
.
Cité des sciences
, 19
e
La Boussole et l’orchidée, une
aventure savante
, Humboldt et
Bonpland aux Amériques, 1799-
1804.
Jusq. 31/05. Sauf lun. 10-18h.
Jeu. 10-21h30.
3.8 à 5.5
€.
Musée
des Arts et Métiers
, 3
e
Le sommeil
, un art de vivre.
Jusq. 14/08. Sauf lun. 10-19h. Dim.
10-19h.
5.5 à 7.5
€.
Palais de la
découverte
8
e
Climax
, Exposition-simulation sur
les changements climatiques.
Jusq.
29/08. Sauf lun. 10-18h. Dim. 10-
19h.
5.5 à 7.5
€.
Cité des Scien-
ces et de l’industrie
19
e
C
IRQUE
L’Homme Canon
.
Jusq. 25/04.
Ven. 20h45. Sam. 15h, 20h45. Dim.
16h.
10-26
€.
Cirque du Grand
Céleste
, 22 rue Paul Meurice 20
e
E
NFANTS
THEATRE
4 à 107 ans.
Contes d’Amour et
de Sagesse
par Sarah Maïa. Des
animaux parlent et agissent avec
noblesse et générosité, s’entrai-
dent et manifestent des qualités
dont nos amis les hommes
pourraient s’inspirer.
Mer. et dim.
16h.
10-14
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Médina
3
e
. Sur
réservation 01-43-31-65-88
Conte. Raphaëlle et la source
magique
. A Pâques, la princesse
est entraînée dans une aventure
périlleuse et passionnante. Pour
sauver ses amis, elle devra coura-
geusement parcourir la Russie à la
recherche de la source magique...
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Méricourt 11
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Bois de Boulo-
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Petit coq et le maïs bleu
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Jusqu’au 27/04. Mer., sam.
15h30.
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Théâtre de Nesle
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A partir de 4 ans.
Voyage au
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Jusqu’au 25/04. Mer. 14h30. Sam..
dim. 15h30
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Jemmapes
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Rock & Pique & Cole-gram
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14h30. Sam. 15h.
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Clavel
3 rue Clavel 19
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A partir de 5 ans.
Le singe blanc
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Jusqu’au 31/04. 14h30 mer. ,sam.,
dim. et vac. scol. (rel. dim.).
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Le Tambour
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31/04. Mer. 10h. Sam. 16h30.
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Théâtre Clavel
3 rue Clavel 19
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Le Roman de Renart
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Point Virgule
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rue St-Croix-de-la-Bretonnerie 4
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A partir de 6 ans.
Jacques Offen-
bach et la mouche enchantée,
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Dim. 15h.
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Théâtre de la Main d’Or
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5 pass. de la Main d’Or 11
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A partir de 6 ans.
Les Gens de
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par Jean-Félix Cuny.
Jusqu’au 26/05. Mer. 14h.
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L
orsqu’on passe la porte de
« chez Chloë », on pénètre
dans un univers d’harmonie
voué à la féminité, à la beauté
où les produits sont naturels.
Blanc immaculé, le salon est agré-
menté de plantes vertes, une petite
fontaine chuchote dans un coin,
l’atmosphère qui s’y dégage pré-
sage de passer un moment agréable.
Puis la danse des couleurs, des
senteurs qu’exhalent les produits
utilisés éveillent les sens.
Cependant, il faut faire un choix
car les possibilités sont larges en
dehors de la coupe de cheveux à
dialoguer, Chantal, passionnée
par l’esthétique, la beauté et la
nature constitue son « book » en
photographiant ses clientes.
Peut-être choisirez-vous un soin
profond du cheveu comprenant
3 massages d’un quart d’heure
sur le cuir chevelu, la nuque
et les épaules, les mains et les
pieds avec un bain d’huile essen-
tielle à la figue, au lotus, au jas-
min, ou encore à l’ylang-ylang.
Les bains aux graines d’épices
pour le volume et les reflets
Chantal propose plus d’une dizai-
ne d’épices en commençant par le
poivron qui égaye le châtain par
ses reflets piquants ; le safran, lui,
relève la couleur et donne du carac-
tère au cheveux ; avec le cacao,
ils auront un reflet gourmand de
chocolat chaud ou un roux tendre
avec la cannelle. Les reflets irisés
sont obtenus avec le sucre candi, le
poivre noir intensifie et ravive les
châtains, les blonds sont embellis
par le gingembre, quant à la noix
de muscade, il illumine les châ-
tains 5 à 6 semaines.
Pour un balayage, le salon utilise
des produits aux noms savoureux
à base de cerises, d’oranges, de
citrons, de pommes vertes, de myr-
tilles, composés avec un mélange
d’argile, d’huile d’olives ou de lait.
La couleur fixée par la chaleur
reste lumineuse 2 à 3 mois.
D’autres soins sont proposés : le
maquillage avec un grand nombre
de produits naturels, les soins à la
protéine de soie, le gonflement des
racines et les permanentes douces
aux extraits végétaux (houblon,
camomille, huile de coco, acide de
fruits…). Le défrisage est réalisé
aux acides de fruits, à la protéines
de soie, sans ammoniaque.
Pour connaître les autres soins
proposés par « Chloë » : soins
orientaux, frictions aromatiques,
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mains… vous pouvez visiter son
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47 bd Saint-Germain
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4 place Saint-Michel
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3 rue de Médicis
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41 rue d’Amsterdam
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14 rue de Maubeuge 9
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33 bd Voltaire
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3 rue de Belford
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34 rue d’Aligre
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1 rue Jean Jaurès
94600 Choisy-le-Roi
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20
21
Quels sont les avantages
et pourquoi filtrer l’eau du
robinet ?
En partant du constat sui-
vant
: La plupart des français
achètent de l’eau en bouteilles.
L’eau du robinet réputée « pota-
ble » est rarement utilisée pour
la boisson, en revanche on s’en
accommode plus facilement
pour cuisiner. C’est un non sens,
surtout lorsqu’on consomme des
produits de qualités bio, si c’est
pour les cuisiner avec une eau
chlorée, parfois encore chargée
en résidus de produits chimi-
ques et de métaux lourds.
Bien sûr, cette pratique a un
coût et des contraintes
et ne
répond pas à tous les besoins.
Pour s’affranchir de la
difficile et quotidienne cor-
vée d’eau, afin de respecter
l’environnement et éviter les
quantités énormes de déchets
plastiques qui encombrent vos
poubelles et ne font le bonheur
que des multinationales telles
que Danone, Nestlé et bientôt
Coca-Cola.
Filtrer l’eau du robinet
de
consommation courante utilisée
pour la boisson, la cuisine et le
lavage des légumes, ne repré-
sente qu’une dizaine de litres par
jour environ reste une excellente
solution
.
Filtrer l’eau du robinet
est simple et apporte la sécu-
rité : Poser un filtre au robinet
équivaut à mettre un verrou sur
votre porte… En plus d’éliminer
quotidiennement les substances
nocives qui se trouvent dans
l’eau, il est également le gardien
d’une contamination acciden-
telle voire intentionnelle propa-
gée par l’eau … A condition de
choisir le bon filtre.
Comment filtrer l’eau ?
Alors que les systèmes sont
connus et relativement simples
à mettre en œuvre, et bien que
des normes existent, l’absence
de textes sur le respect de ces
normes laisse place à une profu-
sion de matériels plus ou moins
complexes et plus ou moins
efficaces.
Heureusement le décret du
20/12/2001 qui est seulement
rentré en application le 25/12/
2003 apporte un plus appré-
ciable au consommateur en ce
sens que le contrôle de pota-
bilité exercé par les DDASS
va pouvoir maintenant s’opérer
directement à la sortie du robi-
net et non plus au compteur.
Ces quelques mètres sont
importants, on peut maintenant
prendre en compte les traite-
ments privés qui engagent la
responsabilité du matériel ou
de l’installateur en cas de défaut
de conception, d’installation ou
d’entretien.
Qu’est-ce qu’un bon systè-
me de filtration ?
C’est d’abord
un système adapté aux besoins
de chacun qui tient compte des
caractéristiques particulières de
l’eau de l’usager (chacun peut
connaître l’analyse de la qualité
de l’eau de son réseau) et qui
respecte ses promesses d’eau
purifiée sans risque de détério-
ration, de contamination, de
relargage des substances indési-
rables filtrées pendant un temps
donné ou pour une quantité
d’eau donnée. Un bon matériel
aura la marque certifiée
NSF
ou soit l’ensemble de ses com-
posants sont certifiés NSF. La
norme NSF (National Sanitary
Foundation) reconnue en France
par équivalence par le
CSTB
est
la certification internationale
qui fait autorité .
Filtrer l’eau du robinet
pour boire et cuisiner
par Pier re Gissot
20
Illustration : Séverin Krön 01 60 78 62 59
20
21
Les techniques utilisées font invariablement
appel à 4 grands groupes de filtrations.
1.
Les impuretés physiques
sur filtres à tamis :
polypropylène bobiné, nylon, tamis métalliques,
etc. Ces filtres éliminent de l’eau les grosses parti-
cules, les boues, le sable, les algues, les particules de
corrosion, etc. Une bonne filtration ne doit être ni
trop fine (colmatage) ni trop large : 20 microns en
entrée de maison et 5 microns en amont d’un filtre
eau pure sont des bons standards.
2. Le mauvais goût et l’odeur du chlore,
ainsi
que la plupart des produits chimiques tels herbi-
cides, pesticides, phénols et trihalométhanes…
C’est le rôle du
charbon actif
. Ce dernier peut se
présenter en grains, compacté, activé, extrudé avec
divers degrés de filtration et de longévité. Le char-
bon actif seul élimine le mauvais goût et jamais
les bactéries dont il peut au contraire favoriser la
prolifération (voir les mauvais résultats des tests
sur les carafes filtrantes réalisés par le magazine
Que Choisir
d’octobre 2003) même s’il est enrichi
en argent (lui-même agent nocif ).
Indispensable, le charbon actif devra toujours
être complété d’un traitement antibactéries.
3.
Les métaux lourds
: rôle du charbon actif s’il
a un traitement spécial métaux lourds.
4. Les Bactéries
. Pour éliminer les bactéries, il
y a trois techniques :
- le rayonnement UV (peu utilisé en traitement
final au robinet),
- les céramiques microporeuses à 0.5 microns qui piè-
gent dans leur masse les bactéries dont la taille 0 est
toujours comprise entre 1 et 2 microns. Les cérami-
ques laissent passer les minéraux et oligo-éléments,
- l’Osmose inverse qui filtre à 0.0001 micron et
enlève tout de l’eau y compris les sels minéraux
et les oligoéléments.
Les bons systèmes sont ceux qui associent les
quatre types de filtration.
Les filtres céramique et charbon actif
(le char-
bon se présente sous forme d’une seconde bougie
gigogne située à l’intérieur de la céramique). L’eau
traverse la cartouche de l’extérieur vers l’intérieur.
Les impuretés physiques se déposent à l’extérieur
de la cartouche et peuvent être nettoyées par bros-
sage tandis que les bactéries sont piégées dans la
masse de la céramique elle-même auto-stérilisante.
A l’intérieur de la céramique, le charbon actif est
lui-même protégée contre les bactéries, ce qui le
rend encore plus efficace. L’eau sort directement
du filtre (sans réservoir) est à la fois pure et sûre
avec un débit raisonnable de 2 à 3 litres par minu-
te. Avantages majeurs : les minéraux sont préservés
et il n’y a pas de stockage. De plus, un remplace-
ment annuel de la cartouche suffit à garantir une
efficacité optimale. Faciles à installer, ces filtres
existent en version sur évier et sous évier.
Le remplacement de la cartouche se fait par
l’utilisateur
une fois par an
pour une moyenne
d’environ 10 litres par jour.
Si le taux de nitrate est supérieur à 25 mg, il est
possible d’ajouter une seconde cartouche sélective
anti-nitrates. Le nitrate est un sel minéral dont
seul l’excès présente un risque sanitaire et plus
particulièrement pour la femme enceinte et le
nourrisson.
Les filtres par Osmose Inverse
(exiger tou-
jours la certification NSF) qui conjuguent filtre à
sédiments + cartouche charbon actif + membrane
d’osmose délivrent une eau ultra pure qui n’est pas
forcément l’eau idéale de boisson. En effet, l’eau
osmosée n’existe pas à l’état naturel, elle est utilisée
dans l’industrie, pour le fer à repasser ou la batterie
de la voiture. Autres inconvénients de l’Osmose
Inverse : elle nécessite une eau peu calcaire afin
21
22
de ne pas endommager la mem-
brane et une pression au robinet
de 3 bars minimum. Dans le cas
contraire, il faudra recourir à des
compléments (antitartre, pompe
booster, pompe perméat) qui
alourdissent le prix d’achat. Son
principal défaut est un débit fai-
ble et une consommation d’eau
élevée à cause de la perte engen-
drée par le mode de filtration.
Pour pallier à la faiblesse du
débit, l’osmose inverse nécessite
un réservoir de stockage d’où
un risque supplémentaire de
contamination bactériologique
et de nouvelles contraintes de
surveillance et d’entretien.
Les osmoseurs existent en
version sur évier et sous évier.
Les filtres à céramique et
charbon actif sont « simples-
pratiques-efficaces » d’utilisa-
tion et peuvent être installés et
entretenus par l’utilisateur. Leur
prix varie entre 165 et 345 euros
selon les options.
Les appareils par Osmose
Inverse nécessitent des précau-
tions d’emploi, d’installation et
des obligations de maintenance
annuelle avec désinfection et
remplacement des cartouches
qui relèvent d’un professionnel
qualifié. Leur prix est compris
entre 300 et 1 500 euros.
La différence de filtration
entre les deux systèmes ne joue
que sur les sels minéraux. A
ce sujet deux écoles s’affron-
tent : celle qui prétend que les
minéraux de l’eau ne sont pas
assimilables (alors à quoi servent
les eaux minérales ?) et celle qui
affirme et démontre (nombreux
rapports et tests scientifiques)
que les minéraux de l’eau sont
bien assimilés par l’organisme
qui sait faire la part des choses
en fonction de sa propre deman-
de et de sa nature pondérale ou
colloïdale d’oligoéléments.
Cette différence n’est pas de
nature à influencer sur le choix
d’un système de filtration qui
rappelons le doit être le plus
simple possible avec pour but de
ramener l’eau à son état natu-
rel, c'est-à-dire sans chlore, ni
produits chimiques, ni métaux
lourds, ni bactéries telle qu’elle
est à la source avec sa minéralité
naturelle. Souvent un système
trop complexe risque d’être pire
que le besoin à traiter.
Le tableau ci-dessous fait
une étude comparative entre les
systèmes afin de vous aider dans
votre choix .
Ceci filtre cela
Boues et
sédiments
Chlore et
dérivés
chlorés
Herbicides
pesticides
Plomb
métaux
lourds
Calcium
magnésium
oligo-
éléments
Nitrates Bactéries
Remarques
Filtres à sédiments
Oui
Non
Non
Non
Non
Non
Non
A mettre de préférence après le compteur
Cartouche Charbon
actif seul
Non
Oui
Oui
Non
Non
Non
Non
Risque de contamination bactérienne si utilisé seul
Charbon actif aux
sels d’argent
Non
Oui
Oui
Non
Non
Non
En partie
Risque de relargage de sels d’argent
Céramique Doulton
Oui
Non
Non
Non
Non
Non
Oui
Avantage / possibilité de brossage
Céramique Doulton
+ charbon actif
Oui
Oui
Oui
Non
Non
Non
Oui
A condition que le charbon actif soit dans la
céramique ou après
Céramique Doulton
+ charbon actif
+ traitement
métaux lourds
Oui
Oui
Oui
Oui
Non
Non
Oui
Elimine tout mais conserve les sels minéraux et
oligo-éléments
Même qu’au-dessus
+ filtre nitrate
Oui
Oui
Oui
Oui
Non
Oui
Oui
Elimine tout mais conserve les sels minéraux sauf
les nitrates, ne concerne que les régions où le
taux de nitratres est supérieur à 25 mg
(taux légal 50 mg)
Adoucisseur
Oui
Non
Non
Non
Oui
Non
Non
Ce n’est pas un appareil de potabilité :
risque de contamination bactérienne et ajout de
sodium dans l’eau
Osmoseur
Oui
Oui
Oui
Oui
Oui
Oui
Oui
Eau osmosée = eau ultra pure = privée de tous les
sels minéraux et oligo-éléments. L’eau osmosée
n’existe pas à l’état naturel.
L’osmose Inverse exige une eau peu calcaire où
préalablement traitée contre l’entartrage et une
pression de réseau élevée.
Risque de contamination bactérienne si réservoir.
Gaspillage en eau important (4 à 10 fois). Main-
tenance obligatoire et onéreuse par entreprise
qualifiée
23
Qualité de l’air
et ionisation atmosphérique
Nous survivons dans une atmosphère raréfiée en ions négatifs indispensables
à la vie. L’espérance de vie dans un air totalement privé d’ions négatifs est
de 3 jours. Or, nous supprimons les forêts génératrices de ces ions et notre
technologie fabrique des ions positifs (écrans, moteurs...).
Notre seule défense et espérance de vie : ioniser l’air que l’on respire.
L’ionisation atmosphérique est une régénération cellulaire.
N
otre alimentation se com-
pose de nourriture solide,
liquide et gazeuse ; or, si l’on
mange environ une centaine
de grammes de solide par jour
(nourriture déshydratée), nous
consommons de 2 à 3 kg d’eau et
de 15 à 20 kg d’air dans le même
temps. C’est dire l’importance
de la nature de cet air que notre
corps va ingérer.
Qualité de l’air
L’air est un ensemble de gaz
auxquels s’ajoutent des molécu-
les d’origine naturelle (senteurs,
pollens…) et d’autres moins
naturelles, toutes ces pollutions
chimiques et pathogènes qui nous
pourrissent la vie. Ces pollutions
sont présentes sous forme de par-
ticules plus ou moins grosses; les
« grosses » particules (supérieures
à 5µm) sont plus lourdes que l’air
en général, elles « tombent » par
terre et peuvent être éliminées par
de simples moyens mécaniques
(aspirateur, filtres…). Les par-
ticules plus petites restent dans
l’air et sont donc beaucoup plus
difficiles à éliminer.
Une autre caractéristique de
l’air est sa charge électrique défi-
nie, comme on le verra plus loin,
par son enrichissement en ions
positifs (mauvais) et négatifs
(bons). Chacun a déjà ressenti
la différence de l’air avant ou
après un orage, en ville ou à la
montagne, etc.
En effet, l’air contient de
l’oxygène – élément actif de l’air
et de l’eau – qui peut prendre di-
vers aspects électriques : neutre,
positif (ion positif ) ou négatif
(ion négatif ).
L’agent actif de ce « jeu » est
l’électron qui, en se déplaçant
d’un atome à un autre va engen-
drer ces ions (+) ou (-).
Qu’est-ce qu’un ion ?
Un peu de physique simple.
L’atome est constitué d’un
noyau
entouré de plusieurs
électrons
:
- le
noyau
possède une charge
positive (+)
- l’
électron
possède une charge
négative (-)
Un atome d’Oxygène possède
8 électrons qui tournent autour
de son noyau ; ce noyau aura
une charge positive de 8 (+8),
équilibrant les 8 charges unitaires
négatives des 8 électrons.
=> Si un électron est arraché à cet
atome, il n’y aura plus que 7- (7
électrons) pour 8+ (8 charges + du
noyau) ; la charge résultante sera de
1+ . Nous avons obtenu un Ion Po-
sitif Oxygène (néfaste pour la vie).
=> Si en revanche on vient fixer un
électron isolé sur notre atome d’oxy-
gène du départ (équilibré), on aura
9 électrons. Nous avons obtenu un
Ion Négatif Oxygène (bénéfique).
Les ions négatifs oxygène sont
indispensables
au bon fonctionne-
ment du corps humain : d’une part
en provoquant le fonctionnement
des
cellules
, d’autre part en favo-
risant la
circulation
des liquides
dans notre corps (sang, lymphe,
liquide céphalorachidien...
Fonctionnement
de nos cellules
La cellule obéissant à la Loi de ré-
partition des charges, est « néga-
tive » à l’intérieur et « positive » à
l’extérieur.
1. S’il y a
déficit d’électrons
(négatifs) dans la cellule (fig.1),
la charge positive extérieure for-
mera un rempart infranchissable
pour les électrons à l’intérieur.
En haut : atome oxygène ; en bas
à gauche ion (-) ; en bas à droite
ion(+).
24
Ceux-ci ne pourront pas
s’échapper vers l’extérieur, la cellule
n’envoyant plus de « messagers »
n’appliquera plus son programme,
il n’y a plus d’échanges, les phéno-
mènes d’homéostasie sont bloqués,
la cellule se sclérose et meurt, en-
traînant des disfonctionnements.
2. S’il y a
enrichissement d’élec-
trons
dans la cellule, la rendant
majoritairement « négative » (fig.2),
les électrons - porteurs du mes-
sage d’application de la cellule (sous
forme des Spins de ces électrons)
- vont s’échapper vers l’extérieur.
Ils « communiqueront » en
provoquant les phénomènes
d’homéostasie ; c’est le grand
principe de la V
ie.
Circulation sanguine
Considérons un tuyau (canali-
sation, artère ou autre) représenté
ici en coupe. L’extérieur est cou-
vert de charges (+) et l’intérieur
de charges (-).
1
er
cas :
le fluide circulant est
positif
Les particules positives vont
être attirées par la paroi néga-
tive ; il y a freinage des parti-
cules, du fluide, et la pompe de
circulation (pompe hydraulique,
cœur,...) va peiner. De plus, des
dépôts vont se produire et en-
crasser les « canalisations ».
2
e
cas :
le fluide circulant est
négatif
Les particules négatives seront
repoussées par la paroi négative
provoquant une hyper-fluidité et
la pompe - ou le cœur - fonction-
nera sans aucune fatigue.
De plus les dépôts présents se-
ront frottés par le fluide circulant
plus vite et donc progressivement
arrachés car fortement négativés par
le fluide et repoussés par la paroi.
Ces exemples nous montrent
l’intérêt vital de respirer des ions
négatifs qui vont enrichir nos
cellules en électrons.
Les «ions» dans la nature
L’impression de bien-être,
universellement reconnue, à la
montagne, dans une forêt, près
d’une rivière ou d’un torrent, est
directement liée à l’importante
concentration en ions négatifs
de ces lieux.
Ils sont nécessaires à la Vie.
Or, on constate dans l’atmos-
phère, une concentration très
variable d’ions négatifs :
• 50 000 ions négatifs/cm
3
au
pied d’une cascade
• 5 000 à 10 000 en montagne
• 2 000 à 5 000 après un orage
• 500 à 1 000 dans la campagne
• 20 à 500 en milieu urbain
• 10 à 50 en appartement bureau
• 0 à 10 en local climatisé
En revanche, les ions positifs
(mauvais) sont présents avant un
orage, provoquant énervement
et tensions, et dans certaines
régions du globe sous forme de
vents qui « rendent fou » (l’autan,
le fœhn, etc.).
De plus, l’homme s’acharne
à faire disparaître les forêts qui
nous donnent des ions négatifs,
et crée une technologie ne géné-
S
PIN
Tout électron possède un «Spin».
Le spin (tourner en Anglais) est un
mouvement de rotation de l’électron
sur lui-même et autour du noyau, tout
comme la terre tourne sur elle-même et
autour du soleil.
Mais ces mouvements sont nom-
breux:
- rotation sur elle-même,
- précession (rotation de son axe
Nord/Sud selon un angle de 23°27
en 26 000 ans),
- mouvements de nutation (oscillations
autour de ses axes),
- et de nombreux autres mouvements.
Les électrons possèdent des mouve-
ments analogues et deux remarques
sont à faire :
- tous les « spins» des électrons d’un
même corps pur sont identiques ;
ce qui veut dire – par exemple – que
tous les spins de tous les électrons du
cuivre sont identiques,
- les spins des corps purs sont tous
différents entre eux : les spins du
cuivre sont différents de ceux du fer,
différents de ceux du plomb.
Ces spins varient en vitesse, sens de
rotation, inclinaison des axes de rotation,
etc. Ils apportent une personnalité uni-
que à chaque corps pur.
Mais ces électrons peuvent se charger
d’un autre spin !
Supposons qu’un électron du cuivre
s’échappe et rentre dans un atome de
fer ; il gardera son spin du cuivre mais
se chargera de celui du fer ; on dit que
l’électron s’est chargé de la mémoire du
fer. Et ainsi de suite, un électron peut
véhiculer un ensemble de «Mémoi-
res» ou «Spins».
Cas de la cellule
Toutes nos cellules possèdent dans
leur noyau des centrioles qui sont de
microscopiques bulles d’eau à l’intérieur
desquelles se trouve un micro cristal de
silice (Quartz SiO
2
)
Ce micro cristal a une fonction
très spécifique : il prélève dans notre
A.D.N., des séquences qu’il ordonne
dans un ordre bien précis : c’est la
fonction de la cellule hôtesse ; ainsi
la cellule exécutera sa fonction pour
laquelle elle est prévue.
S’il y a présence d’électrons en
quantité suffisante, ils seront le
support pour porter et véhiculer les
informations du centriole vers la
cellule (Spin de l’électron) ; d’où la
nécessité d’être électronégatif.
25
rant que des ions positifs : écrans
TV et ordinateurs, moteurs élec-
triques et thermiques, etc.
D’où l’intérêt de recréer cet
air électronégatif indispensable
à notre survie
.
La solution existe :
l’Ionisa-
tion atmosphérique.
Mais attention :
ne pas con-
fondre !!!
I
ONISATION
INDUSTRIELLE
Stérilisation des aliments par
irradiation radioactive.
Résultat
:
aliments morts et irradiés.
I
ONISATION
ATMOSPHÉRIQUE
Enrichissement de l’oxygène
en électrons.
Résultat
: air et ali-
ments vivants et redynamisés.
Ionisation industrielle
Depuis quelques années est
apparue une technique de con-
servation basée sur l’irradiation
radioactive appelée pudiquement
« ionisation industrielle ».
Cette technique consiste à irra-
dier fruits, légumes et même l’eau
de boisson afin de tuer tous les ger-
mes coupables de faire « pourrir »
les végétaux. En effet, ils ne pour-
rissent plus étant donné qu’ils sont
morts. Ils n’ont plus aucune vita-
lité, ne nous apportent plus aucune
énergie et en plus contiennent des
traces significatives de radioacti-
vité. Le terme d’« Ionisation » est
totalement inapproprié ; il semble
qu’il aie été utilisé pour sa conno-
tation qualitative.
Ionisation atmosphérique
Un ioniseur atmosphérique est
un appareil qui envoie des ions
négatifs dans l’atmosphère (de
10 000 à 40 000 milliards par
seconde !)
P
RINCIPE
U
n circuit électronique fabrique
une haute tension électronéga-
tive qui, appliquée à des poin-
tes, envoie des électrons dans
l’atmosphère (effet Corona) ;
ceux-ci rencontrent des atomes
d’oxygène de l’air et les enrichis-
sent, engendrant ainsi des ions
négatifs.
Un ioniseur ne fabrique pas
d’ions négatifs ; en effet, un ion
négatif est un atome d’oxygène
enrichi d’un électron. On ne « fa-
brique » pas d’oxygène !!!
L’ioniseur prélève des élec-
trons au secteur et les propulse
dans l’atmosphère.
Effets de l’ionisation
atmosphérique
1. Purification de l’atmosphère
Toutes les particules en sus-
pension dans l’air ambiant étant
électriquement neutres ou posi-
tives (pollution), les ions négatifs
vont être attirés par ces particules
(effet d’attraction électrostati-
que). Ces poussières et particu-
les, étant rendues électriquement
négatives par ces ions, seront
ensuite précipitées au sol, sur les
meubles et les murs par ce même
principe électrostatique.
L’air sera ainsi
purifié.
Un ioni-
seur atmosphérique suffisamment
puissant, placé dans une pièce, en-
lève de 80 à 90 % des poussières et
particules en 1 à 2 heures. En fonc-
tionnement permanent, l’atmos-
phère de la pièce sera débarrassée
de plus de 95% de la pollution.
2. Passage de l’oxygène dans le sang
Quand on respire, l’air entre
dans les poumons puis dans les
alvéoles pulmonaires ; mais si cet
air ne contient aucun ion négatif,
l’oxygène ne passe pas dans le
sang
! Le sang n’étant plus oxy-
géné, il s’ensuit très rapidement
des troubles graves.
Les travaux de Métadier,
Rager et d’autres montrent :
- 1 ion négatif laisse pénétrer en-
viron 100 molécules d’oxygène,
- si l’on enferme un être vivant
dans une pièce correctement
aérée mais totalement désio-
nisée, son espérance de vie est
de 3 jours.
Heureusement, il y a prati-
quement partout un peu d’ions
26
négatifs permettant le passage
d’oxygène dans le sang; mais leur
action est proportionnelle à leur
quantité ; ceci explique l’état
désastreux de notre santé. Ceci
est tellement connu par les scien-
tifiques, que dans les atmosphères
confinées comme les navettes
spatiales ou les sous-marins, on
installe toujours des ioniseurs
atmosphériques ; non pour leur
bien-être, mais pour leur survie.
On voit que le passage de
l’oxygène dans le sang n’est
pas lié à la quantité d’oxygène
dans l’air mais directement à la
quantité d’ions négatifs. Ceci
est d’ailleurs vérifié de la ma-
nière suivante : on sait qu’on res-
pire mieux à la montagne qu’en
plaine ; or, à la montagne, il y a
moins d’oxygène et plus d’ions
négatifs qu’en plaine.
3. Augmentation de nos défen-
ses immunitaires
En vivant dans une atmos-
phère chargée d’ions négatifs,
toutes nos cellules vont s’en-
richir des électrons présents ;
or on sait que l
es cellules bien
portantes sont électronégatives
et les cellules déficientes sont
électropositives.
Nos cellules étant enrichies
d’électrons vont fonctionner
correctement, augmentant con-
sidérablement nos défenses im-
munitaires.
4. Radicaux libres
Les radicaux libres sont des
molécules, des particules ou
des cellules auxquelles il man-
que des électrons.
Les radicaux libres étant instables
vont donc chercher des électrons
autour d’eux pour se stabiliser ; de
ce fait, ils vont prélever ces élec-
trons sur les cellules voisines qui,
appauvries, vont mal fonctionner et
engendrer des pathologies.
Les ions négatifs que l’on res-
pire réalimentent ces radicaux
libres en électrons, les rendant
stables électriquement : les
« radicaux libres » sont automa-
tiquement supprimés.
Effets sur la santé
Les Pr. Métadié, J.F. Dusailly,
les Dr Donadieu, Rager, Hervé
Robert, André Masson et bien
d’autres depuis près d’un siè-
cle (voir la bibliographie) ont
démontré les effets positifs et
spectaculaires de l’ionisation
atmosphérique.
Citons le Dr Donadieu :
- hypertension et hypotension
(régulation),
- rhume, rhinite, sinusite, bron-
chite, emphysème pulmonaire,
asthme et toutes insuffisances
respiratoires,
- troubles menstruels et de la
ménopause,
- trac et hyperémotivité, insom-
nie,
- migraine,
- brûlures, cicatrisations diffici-
les, dermatoses.
Le Pr Dusailly insiste sur ce
«puis-
sant moyen de lutte contre le vieillisse-
ment et l’altération de la santé».
Écran et santé
Les écrans T.V. et ordinateurs
envoient des « ions positifs » en
très grande quantité ; on mesure
de 5 000 à 10 000 ions positifs/
cm
3
à 1 m de l’écran.
Ces ions positifs viennent
« manger » nos électrons, créer
des radicaux libres, détruire
notre champ énergétique et nos
défenses immunitaires.
C’est déjà grave avec une T.V.
que l’on regarde à 3 m environ,
mais ceci devient dramatique
avec un ordinateur, l’écran étant
à 50 ou 60 cm de nous. Pour
donner une idée du massacre,
travailler 8 heures devant un
écran détruit à 75 % notre champ
énergétique et il faut 2 jours
– dans des conditions normales
(campagne…) – pour le recons-
tituer; or en général, on recom-
mence dès le lendemain !!!
Un ioniseur atmosphérique
placé dans la pièce produisant
plus de 100 000 ions négatifs/cm
3
à 1 m va totalement balayer tous
les ions positifs (+) et recharger
l’air en ions négatifs (-).
La bibliographie est un tout
petit aperçu des ouvrages con-
sacrés à l’aéro-ionisation. Des
centaines de livres et thèses
ont été écrits durant ces 50
dernières années confirmant
l’intérêt thérapeutique de cette
technique. On peut se deman-
der pourquoi celle-ci reste
méconnue, voir occultée, et à
quelles fins ?
Yves
G
UIN
www.acd-ionisation.com
Bibliographie
Donadieu,
L’aéro-ionisation
, Éd.
Maloine, 1987
Métadier,
L’ionisation de l’air et son
utilisation,
Éd. Maloine, 1978
Les Oxions,
Éd. Godefroy, 1983
Les vitamines de l’air,
1987
Rager,
Problèmes d’ionisation et
d’aéro-ionisation
, Éd. Maloine,
1975
Hervé Robert,
Ionisation Santé
Vitalité,
Éd. Artulen, 1989
Breton J.,
L’air en péril,
Éd.
Vivez Soleil, 1992
Les ioniseurs d’Yves Gain
sont dans une classe à part,
tant par le choix des ma-
tériaux nobles (or, albâtre,
cire d’abeille) que par leur
esthétisme et la conscience
qu’il met à les fabriquer.
27
“Invisibles” derrière les murs qui vous pro-
tègent, vous l’êtes pour ceux qui à l’extérieur, à
la ville ou à la campagne, ne savent pas. Ils ne
savent pas qu’au delà des retraités, seniors et autres
appellations médiatiques et sociologiques, vous
êtes là, nombreux, souvent seuls, accueillis au sein
d’institutions lorsque les conséquences de votre
vieillissement le rendent nécessaire.
Des professionnels vous accompagnent sur
votre chemin de vie, dans un cadre adapté à la vie
qui continue, la vôtre, au long de vos capacités et de
vos handicaps et parfois de vos questionnements,
jusqu’au bout.
À l’extérieur, parmi ceux qui savent, ferons-
nous également le pas de venir vous rencontrer ?
“Visibles”, vous l’êtes pour ceux d’entre nous
qui connaissent le besoin de la rencontre, de se
relier, quelles que soient les étapes de l’âge.
L’Association
CONNAISSANCE
auprès
de la personne âgée en institution est de ceux-là.
Elle propose des relais de bénévoles formés à la
présence et à la rencontre avec les personnes de
grand âge.
Les bénévoles offrent cette disponibilité de
l’être, ce temps de la présence avec un regard égal à
toute autre rencontre de connaissance.
Créée avant la canicule (!), L’Association
CONNAISSANCE
auprès de la personne âgée
en institution recherche des bénévoles pour ouvrir
de nouveaux relais sur Paris en partenariat avec les
équipes médicale et soignante.
Vous disposez d’une demi-journée par se-
maine, la vie d’équipe vous intéresse.
Rejoignez L’Association
CONNAISSANCE
,
choisissez un bénévolat où la présence à soi et à
l’autre sont les clefs de la rencontre et laissez-vous
surprendre par la relation.
Véronique Martinet, présidente.
Association
CONNAISSANCE
auprès de la personne âgée en institution
Siège à Paris :
www.connaissance-relais.fr.st
Personnes âgées en institution :
être là au cours de leur dernière étape
de vie avec l’association connaissance
S
i la canicule a fait beaucoup parler d’elle,
il n’en demeure pas moins qu’en 2004, être une personne de grand âge
en institution vous place toujours dans la catégorie des “Invisibles”
C’est la connaissance du besoin
de la rencontre, de se relier,
quelles que soient les étapes de l’âge.
28
29
LE REVEIL
DE LA CONSCIENCE
Dialogues sur une nouvelle
vision du monde
Il y a quelque trente ans, dans
Le
Hasard et la nécessité
, le biologiste
Jacques Monod affirmait que
le hasard, seul, est à l’origine de
toute création et que cette con-
ception d’un univers « immobile
et muet » ne pourra en aucune
cas être révisée. Mais, comme le
disait Voltaire : « Le hasard est
le synonyme de Dieu quand il ne
veut pas signer », et les récentes
découvertes de la science nous
permettent plutôt de penser que
le hasard a été fabriqué par les
réductionnistes dans les labora-
toires.
La biologiste Jacqueline Bous-
quet, chercheur honoraire au
CNRS et Sylvie Simon, journa-
liste qui combat les idées reçues
en médecine et écologie, échan-
gent leurs vues sur les découver-
tes de la physique qui ont révolu-
tionné notre vision du monde et
ouvert de nouvelles perspectives,
tout en commentant leur appli-
cation aux sciences du vivant.
Le réveil de la conscience -
Dialogues sur une nouvelle
vision du monde
,
Jacqueline Bousquet - Sylvie Simon,
Guy Trédaniel Editeur.
Au diable la vieillesse !
Garder la forme et la santé
Comment affronter dans les
meilleures conditions les maux, réels
et supposés de l’âge dit critique. Le
Dr Willem a rencontré des peuples
centenaires et des communautés où
il n’y a ni cancer ni infarctus, il nous
démontre comment faire fructifier
dès l’adolescence son capital santé,
afin de vivre agréablement et saine-
ment le plus longtemps possible.
Nous pouvons raccourcir ou
prolonger la durée de notre exis-
tence en fonction de notre mode
de vie. Pour le comprendre, prenons
l’exemple de la lampe à huile. La
quantité d’huile dans la lampe est
définie, mais il est possible de régler
la flamme : soit dilapider l’énergie
par un mode de vie déréglé, soit en
faire le meilleur usage grâce à une
hygiène de vie correcte. Cependant,
l’énergie décroît au fil du temps et il
ne faut pas confondre vieillissement
et pathologie. Tout structure vivan-
te naît, croît, décline et disparaît...
Vieillir traduit l’usure physiologi-
que normal du vivant, sans aucune
connotation pathologique.
Au diable la vieillesse
, Dr Willem J.-P.
Editions Dauphin.
L I V R E S
Vitalité et graines germées
La vitalité semble nous faire dé-
faut de temps à autre. Elle nous
échappe au fil du temps. Com-
ment la retrouver ? à volonté et à
disposition : en mangeant vivant,
prédigéré, riche en minéraux,
vitamines. Les graines germées
détiennent toutes ces ressources
vitales et anti-oxydante activées
et densifiées par la germination.
Leurs expressions de vie se libè-
rent au contact de l’eau, l’air, la
lumière. Les amidons se trans-
forment en sucres simples, le
gluten et les protéines végétales
en acides aminés assimilables.
Les germes et les pousses sont
une nouvelle fête gastronomique
et nutritionnelle, dans nos assiet-
tes au quotidien, un moyen na-
turel de contourner les impasses
alimentaires et les aléas de santé.
Un ouvrage d’éveil à la germi-
nation, à la découverte du geste
du vivant : semer en toute con-
naissance 40 variétés de graines
à germer en fonction des pôles
santé recherchés.
Vitalité et graine germées
,
Ludmilla de Bardo,
de Bardo Editions.
28
28
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NOIR & BLANC
FORMAT
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Prix HT par nombre de parutions
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7
8
9 10 11
1/4 de page
(1 ou 2 col.)
31x190 ou 65x94 200 360 540 680 850 960 1 120 1 200 1 350 1 500 1 540
1/6e de page
(1 ou 2 col.)
31x140
160 288 432 544 680 768
896 960 1 080 1 200 1 232
1/8
e
de page
(1 ou 2 col.)
31x94 ou 65x46 120 216 324 408 510 576
672 720 810 900 924
1/12e de page
31x68
100 180 270 340 425 480
560 600 675 750 770
1/16
e
de page
31x46
70 126 189 238 298 336
392 420 473 525 539
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