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Quelques faits Aperçu du système éducatif Éducation élémentaire Éducation secondaire de base Éducation secondaire supérieure Éducation supérieure Comparaison année par année Autres ressources Version imprimable		Aperçu du système éducatif Organisation administrative et financière Dimension Structure Éducation privée Année scolaire Formation des professeurs Organisation administrative et financière : En Iran, l’éducation est fortement centralisée. Le ministère de l’Éducation est responsable de la planification éducative, du financement, de l’administration, de l’élaboration des programmes et des livres de cours. La formation des professeurs, leur notation et les examens relèvent également de la responsabilité du Ministère. Dimension : On compte approximativement 92 500 établissements publics, tous niveaux confondus, et un effectif total de 17 488 000 élèves et étudiants inscrits. Structure : La structure actuelle du système est constituée de l’éducation pré-primaire non-obligatoire, de l’éducation primaire, secondaire de base (cycle d’orientation), secondaire supérieure et des établissements d’éducation supérieure. Tous les établissements publics d’éducation sont placés sous le contrôle du ministère de l’Éducation. Comme le système est fortement centralisé, il est difficile de faire la différence entre l’administration et les organismes d’accréditation. Au niveau de l’éducation supérieure, le Haut Conseil de la révolution culturelle détient l’autorité suprême. Il autorise la création de nouveaux établissements, encadre la politique éducative et la planification, et il contrôle les opérations d’admission dans les établissements post-secondaires. Le Haut Conseil de la planification, qui est présidé par le ministre de la Culture et de l’Éducation supérieure, est responsable de l’approbation des programmes d’enseignement supérieur et des projets. Éducation publique et privée : Au niveau primaire, secondaire de base (cycle d’orientation) et secondaire supérieur, l’enseignement privé se déroule dans le cadre d’établissements à but non lucratif. Ces écoles doivent se conformer aux directives du ministère de l’Éducation, bien qu’elles soient financées principalement par les frais de scolarité versés par les élèves. Les établissements privés suivent le même programme que les établissements publics. Les écoles pratiquent une sélection rigoureuse et sont libres de concevoir leurs propres examens d’entrée. Un nombre significatif d’élèves reçoivent leur éducation dans des écoles tribales ou ethniques; les tribus nomades sédentarisées sont considérées comme des communautés rurales. L’éducation tribale n’existe pas au niveau secondaire supérieur. 6 % environ des établissements d’éducation secondaire supérieure sont des établissements privés. Au niveau de l’éducation supérieure, il existe quelques collèges de formation des professeurs. Le plus grand établissement privé est l’Université Azad. Bien que ses programmes menant à un grade universitaire soient réputés pour leur niveau d’exigence élevé, le ministère de l’Éducation ne reconnaît pas les titres universitaires de ses diplômés. Année scolaire : De septembre en juin. Il est à noter que les élèves fréquentent les cours du samedi au jeudi. Formation des professeurs : La formation des professeurs d’école primaire, secondaire de base (cycle d’orientation) et des écoles pour les enfants exceptionnels, relève des Centres de formation des professeurs. Ces centres dispensent des programmes de deux ans qui mènent à un *Fogh-Diploma* (grade d’associé). Les étudiants des Centres de formation des professeurs ont des antécédents scolaires divers. Ils ont au moins terminé le cycle d’orientation de l’éducation secondaire de base, mais la plupart d’entre eux ont terminé l’école secondaire supérieure. La réussite à un examen d’entrée national est obligatoire pour être admis dans ces centres. Pour enseigner au niveau secondaire supérieur, un *Kar-shenasi* (baccalauréat) est en principe obligatoire. Toutefois, en raison de la pénurie de professeurs, les écoles ont été contraintes de recourir à des personnels enseignants dont la formation était différente. Ces professeurs sont formés dans des universités et dans des instituts d’enseignement supérieur. Il existe sept collèges de formation des professeurs en Iran. Révision : 06/05/04 Droits d’auteur © 2001 World Education Services. Tous droits réservés.

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Éducation secondaire de base

Éducation secondaire supérieure

Éducation supérieure

Comparaison année par année

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Organisation administrative et financière :
En Iran, l’éducation est fortement centralisée. Le ministère de l’Éducation est responsable de la planification éducative, du financement, de l’administration, de l’élaboration des programmes et des livres de cours. La formation des professeurs, leur notation et les examens relèvent également de la responsabilité du Ministère.

Dimension :
On compte approximativement 92 500 établissements publics, tous niveaux confondus, et un effectif total de 17 488 000 élèves et étudiants inscrits.

Structure :
La structure actuelle du système est constituée de l’éducation pré-primaire non-obligatoire, de l’éducation primaire, secondaire de base (cycle d’orientation), secondaire supérieure et des établissements d’éducation supérieure. Tous les établissements publics d’éducation sont placés sous le contrôle du ministère de l’Éducation.

Comme le système est fortement centralisé, il est difficile de faire la différence entre l’administration et les organismes d’accréditation. Au niveau de l’éducation supérieure, le Haut Conseil de la révolution culturelle détient l’autorité suprême. Il autorise la création de nouveaux établissements, encadre la politique éducative et la planification, et il contrôle les opérations d’admission dans les établissements post-secondaires. Le Haut Conseil de la planification, qui est présidé par le ministre de la Culture et de l’Éducation supérieure, est responsable de l’approbation des programmes d’enseignement supérieur et des projets.

Éducation publique et privée :
Au niveau primaire, secondaire de base (cycle d’orientation) et secondaire supérieur, l’enseignement privé se déroule dans le cadre d’établissements à but non lucratif. Ces écoles doivent se conformer aux directives du ministère de l’Éducation, bien qu’elles soient financées principalement par les frais de scolarité versés par les élèves. Les établissements privés suivent le même programme que les établissements publics. Les écoles pratiquent une sélection rigoureuse et sont libres de concevoir leurs propres examens d’entrée. Un nombre significatif d’élèves reçoivent leur éducation dans des écoles tribales ou ethniques; les tribus nomades sédentarisées sont considérées comme des communautés rurales. L’éducation tribale n’existe pas au niveau secondaire supérieur.

6 % environ des établissements d’éducation secondaire supérieure sont des établissements privés.
Au niveau de l’éducation supérieure, il existe quelques collèges de formation des professeurs. Le plus grand établissement privé est l’Université Azad. Bien que ses programmes menant à un grade universitaire soient réputés pour leur niveau d’exigence élevé, le ministère de l’Éducation ne reconnaît pas les titres universitaires de ses diplômés.

Année scolaire :
De septembre en juin. Il est à noter que les élèves fréquentent les cours du samedi au jeudi.

Formation des professeurs :
La formation des professeurs d’école primaire, secondaire de base (cycle d’orientation) et des écoles pour les enfants exceptionnels, relève des Centres de formation des professeurs. Ces centres dispensent des programmes de deux ans qui mènent à un Fogh-Diploma (grade d’associé). Les étudiants des Centres de formation des professeurs ont des antécédents scolaires divers. Ils ont au moins terminé le cycle d’orientation de l’éducation secondaire de base, mais la plupart d’entre eux ont terminé l’école secondaire supérieure. La réussite à un examen d’entrée national est obligatoire pour être admis dans ces centres.

Pour enseigner au niveau secondaire supérieur, un Kar-shenasi (baccalauréat) est en principe obligatoire. Toutefois, en raison de la pénurie de professeurs, les écoles ont été contraintes de recourir à des personnels enseignants dont la formation était différente. Ces professeurs sont formés dans des universités et dans des instituts d’enseignement supérieur. Il existe sept collèges de formation des professeurs en Iran.