Glossaire informatique

$$$: Désigne, le plus souvent sous MS-DOS, l'extension associée aux fichiers temporaires. (définition $$$ ).
*: Ce symbole désigne en mathématiques l'opération de multiplication. Sous Unix, ce symbole employé avec un nom d'extension de fichiers désigne l'ensemble des fichiers associés à cette extension. Son équivalent MS-DOS est *.*. Voir Wildcart. (définition * ).
**: Deux symboles de multiplication désignent, en informatique, l'exponentiation. (définition ** ).
*.*: Equivalent MS-DOS du * sous Unix. Voir *. (définition *.* ).
*BSD: Désigne l'ensemble des versions d'Unix construites sur la racine BSD. Ex : 386BSD, FreeBSD, NetBSD, OpenBSD, BSDI, SunOS. (définition *BSD ).
*GRIN*: De l'anglais "grin", "sourire". On l'emploie dans un message pour transmettre l'expression d'une joie. On emploie aussi . (définition *GRIN* ).
*JK*: Acronyme de l'anglais "just kidding", "je plaisante". On emploie aussi . (définition *JK* ).
*NIX: Désigne l'ensemble des versions d'Unix. L'utilisation de * permet d'éviter l'emploi du terme Unix, déposé par la société AT&T; et longtemps protégé par les lois américaines. (définition *NIX ).
*WINK*: De l'anglais "wink", "clin d'½il". On l'emploie en signe de complicité. (définition *WINK* ).
.SIG: Extension des fichiers dotfile, sous Unix. Sig est le raccourci pour "signature". (définition .SIG ).
@: Arobase. Ce signe s?emploie entre le nom ou le pseudonyme de l?utilisateur d?une adresse e-mail et celui du serveur qui héberge cette adresse. On le prononce donc « chez » en français et « at » en anglais. Par extension, il s?utilise comme équivalent d?une adresse e-mail ou d?une liste de diffusion. Il vient de la contraction, au Moyen-Age, du a et du d de « ad » qui signifie « chez », « à » en latin, la barre du d décrivant une courbe vers la gauche. L?appellation dériverait d?une mesure archaïque espagnole, l?arrobas. L?orthographe et la prononciation évoluent puisqu?on trouve aussi arobasque, arobasse, arobace. On parle aussi d?escargot, ou de « sept-huit » puisque, chez IBM, on obtenait ce caractère en pressant simultanément les touches 7 et 8. Sur IRC, @ devançant un pseudonyme désigne l?utilisateur du pseudonyme comme responsable du canal. (définition @ ).
@ +: "à plus tard", d'où "A+". (définition @ + ).
: Abréviation de l'anglais "grin", "sourire". Voir *grin*. (définition ).
µ-LAW: Format de compression audio en 8Khz, employé surtout pour le traitement vocal et utilisé essentiellement aux Etats-Unis dans des domaines comme le téléphone, l'internet, ainsi que dans le format AU. L'échantillonnage des données vocales suit une courbe logarithmique, ce qui signifie que les variations importantes sont traitées plus grossièrement que les faibles variations. Voir a-law. (définition µ-LAW ).
¶: "Pied de mouche", un signe servant à délimiter des paragraphes. (définition ¶ ).
0 0 0 0 0: Désigne le rêve de toute entreprise : 0 défaut, 0 délais, 0 pannes, 0 papiers, 0 stock. (définition 0 0 0 0 0 ).
0 3 0: Abréviation de 68030. Se prononce « love thirty » en anglais. (définition 0 3 0 ).
0 DAYS: Désigne une prouesse informatique annoncée depuis 0 jours, donc non encore rendue publique, ce qui rend tous les postes concernés fragiles. (définition 0 DAYS ).
0: Le 0 peut être confondu avec la lettre O, c?est pourquoi il est parfois barré d?une ligne transversale : Ø. Mais là aussi, il existe un risque de confusion avec le symbole mathématique de l?ensemble vide, ou avec une voyelle des langues nord-européennes. Le 0 est donc parfois noté avec un point au centre. La confusion est cependant de moins en moins possible grâce aux améliorations graphiques. (définition 0).
¼UF DE PâQUES: Désigne un visuel caché qu'on peut obtenir dans certaines conditions. Sous Atari ST, par exemple, on pouvait obtenir un écran expliquant que « Dave Staugas loves Bea Hablig » lorsqu'on éditait le ROM. L'équivalent anglais est « Easter Egg ». (définition ¼UF DE PâQUES).
1000BASET: Désigne le gigabit ethernet qui utilise des fils de cuivre avec une vitesse de 1000 Mbps. (définition 1000BASET ).
100BASEFX: Fast Ethernet, Ethernet rapide utilisant de la fibre optique. (définition 100BASEFX ).
100BASET: Désigne un groupe de standards (100baseT4, 100baseTX et 100baseTF). C?est le synonyme de Fast Ethernet, avec une vitesse de 100 Mbits/s. (définition 100BASET ).
100BASETX: C?est le standard fréquent qui utilise deux paires de fils dans un câble de 5. (définition 100BASETX ).
10BASE2: Désigne une classe de câble coaxial utilisée par Ethernet. Le câble comporte un bouchon à chaque terminaison (voir "bouchon de terminaison") et possède un débit de 10Mbps. Il est monté selon une typologie physique en bus, c'est-à-dire qu'il circule entre toutes les étapes du réseau, sans que la distance entre chaque étape dépasse 200 mètres. Une interruption dans le câble fait chuter la totalité du réseau. "Base" est l'abréviation de "Baseband", à laquelle on ajoute 10 pour désigner le débit, puis 2 pour la longueur maximale. On désigne également le 10base2 "thin ethernet" (éthernet fin) ou cheapernet (ethernet moins cher). (définition 10BASE2 ).
10BASE5: Le débit est toujours de 10Mbps, mais la longueur est de 500 mètres. (définition 10BASE5 ).
10BASEF: Désigne un Ethernet qui utilise une fibre optique à débit bridé à 10 Mbits/s (limitation due au standard ethernet. Il possède trois évolutions : 10base-FP, 10base-FL, 10base-FB. (définition 10BASEF ).
10BASE-FB: Désigne l?ethernet synchrone (définition 10BASE-FB ).
10BASE-FL: Désigne un Ethernet utilisant une fibre optique (définition 10BASE-FL ).
10BASE-FP: Passive Star Fiber Ethernet (définition 10BASE-FP ).
10BASET: Désigne le câble employé par l?ethernet (définition 10BASET ).
1-2-3: Tableur conçu par Lotus dans les années 80, largement répandu à l?époque. (définition 1-2-3 ).
1284: Un standard IEEE s?appliquant au port parallèle d?un PC, avec une vitesse de 2 Mbps en mode EPP. (définition 1284).
133+: Une variation de 1337. On peut la lire comme une stylisation du mot « leet », lui-même venant de « Eleet » (définition 133+ ).
1337: Stylisation de « leet », venant de « Eleet », le meilleur. Désigne un pirate. (définition 1337).
13H: Désigne le mode de marche d?une carte graphique VGA, longtemps utilisé dans les jeux. Sa caractéristique principale est l?utilisation de 320 pixels par 200 pixels. (définition 13H ).
16-32 BITS: L?architecture des ordinateurs du début des années 90. C?est encore la dimension des bus et la mesure des registres de la puce. (définition 16-32 BITS ).
16450: Successeur de la 8250, son ratio de transport est plus important. (définition 16450).
16550: C?est la version suivante, avec un tampon sur 16 octets. (définition 16550).
16650: L?évolution suivante de l?UART : un tampon sur 32 octets. (définition 16650).
16750: Idem, un tampon sur 64 octets. (définition 16750).
16950: Désigne la version suivante qui dispose d?un tampon sur 128 octets. (définition 16950).
186: Puce produite par Intel. Raccourci pour 80186 (définition 186).
1NF: Raccourci de l'anglais "First Normal Form", première forme normale. (définition 1NF ).
1ST: Extension des fichiers "First", premier en anglais, qui désignent les fichiers à lire en priorité, tout comme un document README. (définition 1ST ).
1U: "1 Unit", une unité correspondant à une épaisseur de 44.54mm. (définition 1U ).
2.5D: Désigne l?astuce utilisée dans la conception de jeux vidéos pour faire apparaître un milieu 3D avec une carte graphique 2D, en donnant des valeurs de hauteur aux murs. Doom utilise cette astuce de fausse 3D. (définition 2.5D ).
2.5G: Génération deux et demi. Une mise à jour logicielle permet l?amélioration des téléphones mobiles de seconde génération. Le débit est supérieur et la connexion est effectuée par substitution de paquets. Des applications telles que le WAP et le MMS sont utilisables sur les téléphones 2.5G. Ils se servent des standards EDGE, GPRS. (définition 2.5G ).
232: Désigne le chiffre associé à la prise RS, un standard très commun, longtemps employé par le port série. (définition 232).
24: En million, c?est la quantité quotidienne de connexions à l?internet en 1995. Désigne également la quantité de bits qui encode une image de type photo. Désigne enfin un affichage employant 24 bits pour un pixel. (définition 24).
2600: Aux Etats-Unis, dans les années 60, c?est la fréquence audio employée par un central pour signaler le terme d?une communication. Un sifflet offert dans des boîtes de céréales et émettant cette fréquence donna l?idée à John T. Drapper d?employer cette fréquence. Depuis, « 2600 » a été employé en hommage, tant par des groupes de discussions que par des magazines. (définition 2600).
2700000: C?est le chiffre des ventes de consoles de jeu en France en 2003. (définition 2700000).
286: Raccourci pour 80286. (définition 286).
287: Raccourci pour 80287. (définition 287).
2B+D: Désigne un modèle de branchement vers un RNIS, dont les caractéristiques sont 2 voies à 64 kbps (B : informations sur la substitution de circuits) et 1 voie à 16 kbits/s (D : indication sur la substitution de paquets). (définition 2B+D ).
2D: Pour deux dimensions. Se dit de tout objet ne comportant que les dimensions de la longueur et de la largeur. (définition 2D ).
2G: Deuxième génération. C?est le nom associé aux téléphones mobiles transmettant numériquement la voix, le texte (SMS) ainsi que quelques informations. Ils utilisent les standards GSM ou CDMA. (définition 2G ).
2GL: Acronyme pour Second Generation Language, langage de seonde génération. L?assembleur prend la place des O et des 1 du langage binaire classique. Voir 3GL, 4GL, L4G. (définition 2GL ).
2GR: Désigne l'extension de fichier des vieilles versions de Windows. (définition 2GR ).
2K: Abréviation de 2000. Voir an 2000. (définition 2K ).
2U: "2 Units", deux unités de 44,54 mm soit 89,08 mm. Voir U. (définition 2U ).
3*: « * » est une wildcard (voir *, wildcard) qui remplace « S », « M », « C », « X », « G » ou « F » qui représentent les bibliothèques basiques d?Unix avant la sortie des Spec1170. (définition 3* ).
30B+D: Un modèle de branchement vers un RNIS. Ses caractéristiques sont 30 voies à 64kbps (B : informations sur substitution de circuits) et 1 à 64 kbits/s (D : indication sur la substitution de paquets). (définition 30B+D ).
31337: Stylisation du terme « Eleet ». Le port TCP/IP concordant peut être employé pour des essais d?intrusions. (définition 31337).
32 BITS: L?architecture des ordinateurs de la fin des années 90. (définition 32 BITS ).
323: Désigne l?extension des fichiers correspondant à des données concernant le téléphone selon le standard H.323. (définition 323).
3270: Classe de machines d?IBM, du terminal au imprimantes, qui connurent un grand succès. (définition 3270).
3615: Le numéro le plus courant pour se connecter aux services du Minitel. Il est toujours suivi d?un nom de service. (définition 3615).
386: Raccourci pour 80386. (définition 386).
386BSD: Variante d?Unix développée à Berkeley pour les PC et fondée sur la version 4.4 de BSD. Voir BSD. (définition 386BSD ).
387: Raccourci pour 80387. (définition 387).
3COM: Computer Communications and Compatibility. Une entreprise dont l?activité se concentre sur les réseaux. (définition 3COM ).
3D ISOMETRIQUE: Désigne un modèle de développement en trois dimensions. (définition 3D ISOMETRIQUE ).
3D STUDIO: Désigne le logiciel de calcul vidéo synthétique produit par Autodesk. Très cher (environ 3700¤), ce logiciel est pourtant le plus répandu en PC. (définition 3D STUDIO ).
3D SUBJECTIVE: Désigne, souvent dans les jeux vidéos (par exemple Doom), le fait d?être intégré à la scène par le placement de la caméra au niveau du regard du personnage contrôlé. (définition 3D SUBJECTIVE ).
3D: Trois dimensions. Se dit de tout objet ou espace possédant une longueur, une largeur et une épaisseur. Sur un écran, une image en 3D ajoute donc le relief aux images 2D. Le relief peut cependant n?être qu?un leurre visuel, par exemple pour les calculs 3D des interfaces graphiques. (définition 3D ).
3DES: Désigne un processus de chiffrement mise au point en 1999 par le NIST pour remédier aux insuffisances de DES devant les gains de puissance de calcul des ordinateurs. Le processus utilise des blocs qui emploient trois longueurs de clé DES. Une clé DES mesurant 56 bits, les clés 3DES mesure donc 168 bits. On utilise désormais AES. (définition 3DES ).
3DFX: Une entreprise qui fabriquait des cartes d?accélération graphique 3D (Voodoo par exemple). Elle a fini par être rachetée par son concurrent Nvidia. (définition 3DFX ).
3DNOW: Désigne une mesure de calcul de vecteur en virgule flottante à l?½uvre dans les processeurs Athlon de la société AMD. Utilisés à bon escient, un processeur cadencé à 700MHz est capable de procéder à un milliard de calculs à la seconde. (définition 3DNOW ).
3DO: Acronyme de 3 Dimensional Optics, une console de jeux dotée d?un processeur RISC 32bits qui peut lire différents CD (ROM, audio, vidéo). (définition 3DO ).
3DS: Acronyme de 3D Studio. (définition 3DS ).
3DSL: Acronyme de 3Digital Suscriber Line. Désigne une version de DSL qui tente de rassembler différents médias et transmet des informations numériques, vocales et télévisuelles. (définition 3DSL ).
3DWM: 3D Windows Manager. Désigne, sous environnement Windows, l?affichage de fenêtres en deux dimensions dans un milieu à trois dimensions. On attend de véritables fenêtres en trois dimensions. (définition 3DWM ).
3G: Troisième génération. Désigne les réseaux télécoms de troisième génération. (définition 3G ).
3G2: Extension pour les fichiers vidéos en 3GPP version 2. Les caractéristiques sont un encodage vidéo MPEG-4 ou H.263 et un encodage audio AAC, AMR ou QCELP. Le réseau utilisé est le CDMA. (définition 3G2 ).
3GL: Third Generation Language. Langage de troisième génération. Désigne la classe des langages les plus répandus (C, Perl?). (définition 3GL ).
3GP: Extension pour les fichiers vidéos en 3GPP. Les caractéristiques sont un encodage vidéo MPEG-4 ou H.263 et un encodage audio en AMR ou AAC. Le réseau utilisé est le GSM. (définition 3GP ).
3GPP: Third Generation Partnership Project. Désigne la structure fondée en 1998 qui cherche à obtenir la rationalisation des standards d?intégration du multimédia pour les réseaux sans fil de troisième génération. On distingue au sein de la structure, 3GPP qui se focalise sur les réseaux GSM, et 3GPP2 qui se focalise sur les réseaux CDMA. (définition 3GPP ).
3GPP2: Désigne la partie de 3GPP s?occupant des réseaux CDMA. (définition 3GPP2 ).
3RD: Désigne le Réseau Radioélectrique Réservé aux Données. (définition 3RD ).
3RP: Désigne le Réseau Radioélectrique à Ressources Partagées. (définition 3RP ).
3U: 3 Units. Trois Unités, soit une épaisseur de 3 fois 44,54mm, c?est-à-dire 133,12mm. (définition 3U ).
4004: Désigne le tout premier microprocesseur, conçu en 1971 par Marcian E. Hoff et fabriqué par Intel. Ses caractéristiques : 60000 calculs/seconde en 4 bits, 10mm2, 2300 transistors, soit la même puissance que l?ENIAC qui mesurait 30m3. (définition 4004).
401: Désigne un message d?erreur, voisin du 404. L?erreur 401 signifie que vous ne possédez pas l?autorisation nécessaire à la consultation de la page demandée. (définition 401).
404: Le message d?erreur le plus courant. L?erreur 404 signifie que la page n?existe plus, ou existe à un emplacement différent. On peut aussi avoir, parmi les erreurs fréquentes : 403 ? l?accès est interdit. 500 ? une erreur du serveur. 503 ? le service n?est pas disponible. (définition 404).
486: Raccourci pour 80486. (définition 486).
4D: SGBDR à l?origine dédié au Mac, puis développé sur PC. Aujourd?hui inusité. (définition 4D ).
4GL: Fourth Generation Language. Désigne les langages de quatrième génération. L?équivalent français est L4G. (définition 4GL ).
4U: 4 Units. Quatre unités, soit 178,16mm. (définition 4U ).
5.1: Un format audio mis au point par Dolby Laboratory comme développement de la stéréo. Il comprend cinq circuits (arrière droit et arrière gauche, avant droit, avant gauche et avant centre) et un canal pour les fréquences basses. (définition 5.1 ).
520: La quantité, sur un mois, d?heures passées connectées au Minitel par certaines personnes dépendantes à l?outil en question. (définition 520).
520ST: Désigne un ordinateur construit en 16 bits par Atari en 1985. Il possédait une RAM centrale de 512 ko. Le système d?exploitation (TOS plus GEM) était disponible sur disquettes. (définition 520ST ).
5250: Classe de terminal clavier/écran, produit par IBM et fonctionnant avec les machines IBM 3X ou AS/400. (définition 5250).
56K LINE: Ligne numérique supportant le convoyage d?informations en 56 kbps. (définition 56K LINE ).
56K: Type de modems possédant un débit maximum de 56 kbps selon le standard V90. Le débit réel est plus proche de 44 Kbps. (définition 56K ).
601: Désigne la première puce PowerPC. Les caractéristiques sont : un cache interne de 32 ko, 2,8 millions de transistors. Cadencée à 66MHz, elle effectue 3 commandes par cycle, atteint un résultat de 60 au test SPECint92 et de 80 au test SPECfp92. Elle a évolué jusqu?au G3. (définition 601).
64 BITS: Pour un processeur, la technologie 64 bits indique le nombre de bits pouvant être traités simultanément. De plus en plus de processeurs 64 bits viennent à remplacer les 32 bits et apparaissent comme la future génération de processeur. Cette nouvelle technologie permet de meilleures performances à une fréquence processeur égale. (définition 64 BITS).
650: C?est le modèle de son époque (c?est-à-dire 1960), conçu par IBM. 1500 modèles ont été écoulés. (définition 650).
6502: Désigne une puce 8 bits, conçue par MOS technologies en 1975 à l?½uvre dans les premières machines d?Apple ou dans le Commodore 64. (définition 6502).
669: Désigne un fichier qui contient un élément audio au standard du soundtracker appelé « 669 ». (définition 669).
6800: C?est la première puce de la famille des 680x0 (Motorola) conçue en 1975 en réponse au 8080 d?Intel. (définition 6800).
68000: Désigne le premier de la classe, utilisé par les Ataris, les Macs et d?autres. Son bus est de 16 bits, l?adressement se fait sur 24 bits. (définition 68000).
68008: Une variante bon marché du 68000 employant 20 bits d?adresse et 8 bits d?informations. (définition 68008).
6801: Désigne une amélioration de la 6800. Elle est développée pour un emploi dans les contrôleurs embarqués. Elle intègre de la RAM, de la ROM et des entrées et sorties. (définition 6801).
68010: Une puce 32 bits de Motorola, évolution du 68000, qui connu des débuts difficiles et fût rapidement remplacé par la version fiable 68020. (définition 68010).
68020: Une évolution du 68000. (définition 68020).
68030: Désigne une puce de la famille des 68000, qui dispose de processus pour gérer la mémoire paginée et d?une mémoire cache. On la désigne aussi par l?appellation « love-30 ». (définition 68030).
68040: Une évolution de 68030 qui est dotée d?un coprocesseur arithmétique, un fonctionnement en pipeline des commandes et plusieurs bus en interne. (définition 68040).
68060: La dernière évolution de la classe, rapidement rendue obsolète par l?arrivée des puces PowerPC et les produits d?Intel. (définition 68060).
6809: Désigne une puce 8 bits produite par Motorola. Elle est le précurseur de la famille des 680x0, avec ses deux accumulateurs 8 bits pouvant être couplés. (définition 6809).
680X0: La classe des puces 68000 de Motorola : le 68000, le 68020, le 68060? (définition 680X0 ).
68K: Désigne la classe des puces 68000 mises au point par Motorola. Désigne également les applications destinées aux Macs équipés de ces puces. (définition 68K ).
6BONE: Colonne IPv6 destinée à mettre à l?épreuve la nouvelle variante d?IP. (définition 6BONE ).
6D: Six degrés. Equivalent français de 6DOF. (définition 6D ).
6DOF: Six Degrees Of Freedom. Désigne la latitude nécessaire à un mouvement dans l?espace : panoter, zoomer, rouler, pivoter. (définition 6DOF ).
6E: Ergonomie, Emission, Energie, Ecologie, Efficacité, Economie. Désigne les critères émis par TCO?92 au sujet des écrans. (définition 6E ).
6TO4: Désigne un procédé d?attribution d?adresse par encapsulation. Le procédé, expliqué dans la RFC 3056, crée un préfixe global pour une adresse publique IPv4. Le format de l?adresse est alors « 2002 :WWXX :YYZZ :[SLA] :[interface] », W, X, Y, Z désignant les octets propres à l?adresse. (définition 6TO4 ).
6X86: Désigne une puce conçue par Cyrix, compatible avec les Pentiums. (définition 6X86 ).
701: C?est la première machine d?IBM qui conserve ses logiciels dans une mémoire interne. Il est lancé en 1952. (définition 701).
7Z: Seven Z. Désigne l?extension des fichiers compressés selon la norme 7z. (définition 7Z ).
8 BITS: Désigne l?architecture la plus courante des ordinateurs construits au début des années 80. 8 bits correspond à la dimension des bus utilisés ainsi qu?à la mesure des registres de la puce. (définition 8 BITS ).
8.3: Désigne le calibre des noms de fichiers sous environnement MS-DOS ainsi que sous d?autres OS. Il signifie : 8 symboles pour le nom du fichier, 3 pour l?extension déterminant le contenu. Ces limitations sont aujourd?hui tombées. (définition 8.3 ).
80/20: Parmi les commandes du langage de montage, certaines actions sont nécessaires, d?autres sont tout juste utiles. Ainsi, une puce en activité consacre 80% de son temps à opérer 20% du trousseau de commandes. Cette observation a conduit à la mise au point du RISC. (définition 80/20 ).
80186: Désigne une puce produite par Intel en 1982. Dotée au départ d?une vitesse de 6MHz, il était capable de se substituer à 22 puces par rapport au 8086 d?après le constructeur. (définition 80186).
80188: Une version meilleur marché de la 80186 disposant d?un bus de 8 bits de large, contre16 bits pour la 80186. (définition 80188).
802.11 E: Cette variante emploie la bande des 2.4 GHz avec un débit de 54 Mbps. (définition 802.11 E ).
802.11: Standard s?appliquant aux réseaux wireless pour des fréquences comprises entre 2.400 et 2.480 GHz. Le standard 802.11 possède un débit compris entre 1 et 2 Mbits/s. (définition 802.11 ).
802.11A: Standard pour les réseaux wireless employant la bande des 5 GHz, dont le débit s?élève à 54 Mbps. (définition 802.11A ).
802.11B: Le débit s?élève ici à 11 Mbps. (définition 802.11B ).
802.11D: Une nouvelle variante de 802.11 qui rend possible l?utilisation de réseaux sans fil dans des pays restreignant l?utilisation des bandes de fréquences. (définition 802.11D ).
802.11I: Variante cherchant l?intégrité des WLAN. Elle met en place des procédures de chiffrement (TKIP ou AES) pour commuter des informations entre les étapes, grâce à l?extension de WPA. Récemment fiabilisé, elle va se substituer à WEP, trop fragile et vulnérable. (définition 802.11I ).
802.11N: Un plan pour un réseau sans fil au débit de 320 Mbit/s. (définition 802.11N ).
802.16: WMAN. Une norme s?appliquant aux réseaux wireless haute vitesse. (définition 802.16 ).
802.16A: La première variante de 802.16, née en janvier 2003. Une base de ce type doit offrir une vitesse de 70 Mbps dans un cercle de 50km. (définition 802.16A ).
802.1X: Un standard moins particulier que 802.11 qui comprend la certification et le chiffement. (définition 802.1X ).
802.3: Standard émis par l?IEEE s?appliquant aux réseaux Ethernet conçus selon une topologie en bus. (définition 802.3 ).
802.3AE: Standard de l?IEEE s?appliquant aux réseaux Ethernet possédant un débit de 10 gigabits. (définition 802.3AE ).
802.3AF: Standard s?appliquant au « power over ethernet », c?est-à-dire un câble RJ45 de catégorie 3 ou 5 transportant du courant électrique de 48 volts en même temps que des informations numériques. Economique et simple, ce standard pourrait être celui de l?avenir. (définition 802.3AF ).
802.5: Standard s?appliquant aux réseaux Token Ring. (définition 802.5 ).
802.X: Désigne une classe de normes émises par l?IEEE s?appliquant aux réseaux locaux. 802.3 s?applique aux réseaux Ethernet, 802.5 aux réseaux Token Ring, 802.11 aux réseaux wireless. (définition 802.X ).
80286: Une évolution qui date de 1982. Ses caractéristiques : un fonctionnement en 16 bits, 134000 transistors, une vitesse de 6, 8, 12 ou 16 MHz et 16 Mo de mémoire maximum. Cette version présente une innovation majeure : un mode protégé pour défendre la machine contre les erreurs logicielles. Par la suite, le constructeur lui a associé un coprocesseur arithmétique (80287). (définition 80286).
80287: Désigne le coprocesseur de la puce 80286. (définition 80287).
80386: L?évolution de 1985 fonctionne entièrement en 32 bits, tant pour l?adressage que pour le bus ou les registres (version DX). En 1988, une version SX est commercialisée, elle possède un bus en 16 bits. Cette évolution possède 275000 transistor et est cadencée de16 à 40 Mhz. (définition 80386).
80387: C?est le coprocesseur arithmétique dédié à la puce 80386. (définition 80387).
80486: L?évolution de 1989 contient 1,2 millions de transistors sous 32 bits. Elle innove en présentant un cache interne, des commandes exécutables en pipeline et un coprocesseur intégré (version DX). La sortie du 486 coïncide avec l?explosion de la concurrence. C?est la dernière évolution de la famille, le prochain processeur d?Intel sera le Pentium. (définition 80486).
8080: Désigne une puce 8 bits d?Intel, sortie en 1974. Désigne aussi un numéro de port fréquemment employé par les proxies. (définition 8080).
8086: La première puce de la famille des i80x86 d?Intel. Elle fonctionnait en 16 bits, disposait d?une RAM maximum de 1 Mo, de 29000 transistors et pouvait être cadencée de 4,77 à 8 MHz. (définition 8086).
8087: Désigne le coprocesseur accompagnant les 8086, 8088, 80186, 80188 et les rendant capables d?opérations en virgule flottante. (définition 8087).
8088: Version simplifiée du 8086 puisqu?il se sert d?un bus de 8 bits (contre 16). C?est cette version, meilleur marché, qu?IBM a installé dans son PC. Fonctionnant d?abord à 4,77 MHz, il a été par la suite poussé à 10 MHz. (définition 8088).
80X86: La classe des puces d?Intel allant du 8086 au 80486. Elles ont abouties aux Pentiums. (définition 80X86 ).
8250: UART classique dans les PC. Elle est limitée à 9600 bauds, et son tampon s?applique à un octet seulement. (définition 8250).
88000: Désigne une classe de processeurs RISC conçu par Motorola en 32 bits. (définition 88000).
88100: Le processeur de la classe 88000. (définition 88100).
88200: Désigne la CMMU dédiée au 88100. (définition 88200).
8N1: 8(bits), N(o parity), 1 (bit). Désigne une forme basique du transfert par port série : 8 bits d?informations, pas de parité, une pause de 1bit. (définition 8N1 ).
A *K: Désigne l'ensemble des "killers". Par exemple, Delphi appartient à la classe des *K, c'est-à-dire *killer (définition A *K ).
A BASSES RADIATIONS: Caractéristique des ondes produites par les tubes des écrans non-plats, qui peuvent avoir des effets sur la santé de l?utilisateur. (définition A BASSES RADIATIONS ).
A DOCUMENTATION INTEGREE: C?est le français pour « self-documented » (définition A DOCUMENTATION INTEGREE ).
A LA VOLEE: Se dit d?un algorithme qui ne stocke pas de données, ce qui peut conduire à la non-prise en compte de certaines informations. « A la volée » est très proche de temps réel. (définition A LA VOLEE ).
A TO A: Application to Application, qu?on peut également abréger en A2A (définition A TO A ).
A: Suivie de « : », A désigne le lecteur de disquettes. C?est aussi l?extension associée aux fichiers Ada. (définition A ).
A / UX: Apple / Unix. Désigne une version d?Unix développée par Apple pour ses Macs, à partir d?un mélange du système V de la firme AT&T; et de BSD (avec le NFS). Cette adaptation rend possible l?emploi de l?interface graphique du Mac. MacOS X l?a détrônée. (définition A / UX ).
A*: Désigne un algorithme de détermination de parcours en langage ++. (définition A* ).
A+: Le raccourci pour « à plus », soit « à plus tard ». A++ est possible, le plus tard étant alors retardé. A+ désigne aussi un contrôle indépendant de compétences mis en ½uvre par la CompTIA pour confirmer des compétences en maintenance informatique (définition A+ ).
A++: "A bien plus tard". (définition A++ ).
A0: Désigne pour le papier un standard industriel allemand utilisé partout dans le monde, d?une surface de 1m2, où chaque pliure de la longueur doit fournir un format homothétique pour simplifier les reproductions avec modification de l?échelle. La traduction mathématique de ces deux caractéristiques est : longueur x largeur =1 et longueur / largeur = ?2. Les dimensions du format A0 sont donc 0,841m x 1,189m. On peut, en pliant ce format, décliner et obtenir le standard A1 = 0,841m x 0,594m ou le A13, le dernier possible, qui mesure 9 x 13mm. (définition A0 ).
A12C4: Raccourci pour « à un de ces quatre »(matins). (définition A12C4 ).
A2A: Application to application. Désigne l?échange entre deux programmes. (définition A2A ).
A3: Standard papier assez utilisé, valant 2 A4, c?est-à-dire mesurant 29,7cm x 42cm. (définition A3 ).
A4: Standard papier le plus fréquent qui mesure 21cm x 29,7cm. (définition A4 ).
A4AF: Ask for Another File, soit "demande un autre fichier". Désigne, dans eMule, une commande rend possible le fait de circuler dans une même source. (définition A4AF ).
A5: Standard papier correspondant à la moitié d?un A4. A5 Désigne aussi un algorithme de cryptage des téléphones mobiles en Europe. (définition A5 ).
AA: Automatic Answer, soit « Réponse automatique ». C?est l?indication émise par un modem pour signaler qu?il est prêt à recevoir un appel entrant. Egalement Anti-Aliasing. (définition AA ).
AAA: Authentification, Authorization and Accounting. Désigne une technique de définition d?un espace de référence pour l?emploi des données d?un réseau en toute sécurité : l?utilisateur est authentifié, ses autorisations sont vérifiées et sa consommation est définie. (définition AAA ).
AAAA: American Association Against Acronyms, soit « Association Américaine Contre les Acronymes ». (définition AAAA ).
AAAI: American Association for Artificial Intelligence, soit « Association Américaine pour l?Intelligence Artificielle », fondée en 1979 et ayant pour objectif la recherche scientifique. (définition AAAI ).
AABB: Axis Aligned Bounding Bos. Désigne une bounding box définie par ses valeurs minimales et maximales sur un repère à trois dimensions. (définition AABB ).
AAC: Acronyme de advanced audio coding. Ce format audio est un algorithme de compression des données avec perte. Aussi appelé mpeg 2, ce format est probablement le remplaçant futur du MP3. Cet algorithme permet une qualité audio supérieure pour un débit binaire moindre. (définition AAC).
AAD: Appel A Discuter. C?est la francisation de la RFD. (définition AAD ).
AAEMSCCL: « Apple A Encore Merdé Sur Ce Coup-Là ». (définition AAEMSCCL ).
AAI: Architectural Artificial Intelligence. Désigne la branche des recherches scientifiques sur l?intelligence artificielle qui s?occupe des débouchés en Architecture. (définition AAI ).
AAL: ATM Adaptation Layer, au nombre de 5. (définition AAL ).
AARNET: Australian Academic Research NETwork. Désigne le réseau de recherche universitaire en Australie. (définition AARNET ).
AAT: Average Access Time. Désigne la durée moyenne d?accès à une donnée sur un disque, ce qui donne une bonne idée de la vitesse de ce disque. (définition AAT ).
AAUI: Apple Attachment Unit Interface. C?est la connectique Ethernet particulière à Apple, avec 14 ou 15 broches. (définition AAUI ).
AAV: Appel A Voter, il vient juste après un AAD. (définition AAV ).
ABANDON: Désigne le terme mis au fonctionnement d?une application. L?utilisateur peut en être la cause, ou une erreur. (définition ABANDON ).
ABANDONNER: Stopper l?exécution d?une action. (définition ABANDONNER ).
ABANDONWARE: Désigne un programme abandonné par ses concepteurs à d?autres programmateurs. Les raisons de l?abandon d?un programme peuvent être variées : difficultés économiques, conception défectueuse ? (définition ABANDONWARE ).
ABAP: Advanced Business Application Programming, soit « Programmation d?Application pour le Business Avancé ». (définition ABAP ).
ABC: Langage d?instruction destiné à prendre la place du BASIC. (définition ABC ).
ABCD:EFGH: Désigne une localisation dans la mémoire d?un PC. Abcd identifient un segment et efgh un offset. C?est l?astuce employée pour s?affranchir de la limitation des bus 16 bits qui ne peuvent pas adresser une quantité supérieure à 64 Ko. Le découpage en segment règle ce souci. (définition ABCD:EFGH ).
ABEND: Abnormal End, soit « arrêt anormal ». Désigne le terme non-voulu donné à un programme. Une mauvaise commande ou un bug peuvent, entres autres, en être la cause. (définition ABEND ).
ABERRATION CHROMATIQUE: Désigne une incohérence de couleurs dans une image numérique. La cause est généralement à chercher dans l?optique de l?appareil de prise de vue. (définition ABERRATION CHROMATIQUE ).
ABI: Administration (ou Application) Binary Interface, Soit « Interface d?administration binaire ». Désigne l?interface qui configure les rapports entre les applications et le système. Désigne aussi « Abiword », un logiciel libre de texte. (définition ABI ).
ABILENE: C?est la colonne de fibre optique d?internet 2 aux Etats-Unis. Elle court entre les grandes structures de recherche. (définition ABILENE ).
ABIOS: Advanced Basic Input Output System. Désigne le BIOS avancé des PS / 2 d?IBM. Il est développé pour le multitâche et optimisé pour OS / 2. (définition ABIOS ).
ABM: Anything But Microsoft, soit « Tout Sauf Microsoft ». (définition ABM ).
ABNF: Augmented Bachus-Naur Form. Désigne une BNF qui a été augmenté. La norme est définié dans la RFC 2234. (définition ABNF ).
ABONNEMENT: Désigne une inscription, payante ou non, souscrite auprès d?un site, d?un groupe de news etc? (définition ABONNEMENT ).
ABONNER: Le fait de souscrire un abonnement. (définition ABONNER ).
ABOUT: « Au sujet de? », « à propos de? ». Désigne, dans les menus d?un logiciel, l?entrée dans laquelle se trouvent des détails sur le programme utilisé. (définition ABOUT ).
ABR: Available Bit Rate, soit « débit disponible ». Egalement désigné par le terme « classe C », elle autorise l?utilisation de toute la bande passante vacante pour le transport d?informations. (définition ABR ).
ABSCONS: Reproche souvent adressé à la langue de l?informatique, pour mettre en cause son caractère obscur. (définition ABSCONS ).
ABSORBEUR: Procédé récupérant et effaçant les sorties d?un programme sans les traiter. Le procédé est intégré dans le système d?exploitation sous Unix (/ dev / null). (définition ABSORBEUR ).
ABSTRAIT: Désigne une classe d?informations caractérisée par les actions valides exécutables sur elle, comme la désignation et la valeur des variables. Désigne aussi un caractère nécessitant une configuration avant toute reconnaissance possible. (définition ABSTRAIT ).
ABUSE: Désigne une boîte aux lettres réservée aux plaintes déposées par les clients du serveur. Désigne également le service qui gère ces dépôts de plaintes. (définition ABUSE ).
AC: Désigne l?Autorité de Certification qui s?occupe d?une PKI. (définition AC ).
AC: Signifie qu?une URL est localisée dans l?île de l?Ascension. (définition AC ).
AC-3: C?est une autre façon de désigner l?AC3 (définition AC-3 ).
AC3: Extension de fichiers audio au standard Dolby. Désigne également un standard qui encode le 5.1 en 384 kbps contre 4 Mbps habituellement. (définition AC3 ).
AC97: Audio Codec 97, sous ++. (définition AC97 ).
ACAP: Application Configuration Access Protocol, soit « Protocole de Configuration d?Accès au Applications ». Il s?agit d?un dispositif qui caractérise l?environnement en fonction des préférences des utilisateurs. (définition ACAP ).
ACB: Automatic Call-Back, soit « Rappel Automatisé ». (définition ACB ).
ACCELERATEUR: Désigne des outils permettant d?optimiser des capacités. Par exemple, un accélérateur de téléchargement élimine le superflu d?un document web (des images notamment) téléchargé (définition ACCELERATEUR ).
ACCELERATION GRAPHIQUE: L?image utilise une grande quantité de ressources. C?est pourquoi elle est maintenant gérée par des chipsets particuliers, les GPU qui optimisent l?affichage et qui sont installés sur la carte graphique. (définition ACCELERATION GRAPHIQUE ).
ACCENT: Les accents n?existent pas en anglais. Or la grande majorité des ordinateurs sont de conception américaine. Il a donc fallu attendre les standards ASCII et ANSI pour pouvoir utiliser des accents sur toutes les machines. Sur certains programmes cependant, les accents ne fonctionnent pas, on a alors tendance à les abandonner ou à les remplacer par des apostrophes à côté des lettres. On peut aussi, plus simplement, se servir des standards tels que le latin 9 ou l?ISO latin-1. (définition ACCENT ).
ACCES ALEATOIRE: Désigne un synonyme d?accès direct. (définition ACCES ALEATOIRE ).
ACCES DE BASE: Désigne l?ensemble composé de deux voies B et d?une voie D sur un RNIS. Aujourd?hui abandonné au profit de l?ADSL. (définition ACCES DE BASE ).
ACCES DIRECT: Désigne le fait d?accéder directement aux données désirées. Cela nécessite a) la connaissance de l?emplacement précis de ces données, b)l?indépendance de ces données par rapport à d?autres. (définition ACCES DIRECT ).
ACCES DISTANT: Désigne le fait d?atteindre des données situées à distance de son propre ordinateur en utilisant un réseau ou un câble. Le processus employé pour cet accès est souvent le RTC. Cet accès est également désigné « accès à distance ». (définition ACCES DISTANT ).
ACCES EFFICACE: Caractérise une liaison à une mémoire cache qui obtient les données désirées. (définition ACCES EFFICACE ).
ACCES MONTANT: Désigne un synonyme de dial-up. (définition ACCES MONTANT ).
ACCES MULTILIGNE: Désigne une multiplicité de circuits de communication employables en même temps. (définition ACCES MULTILIGNE ).
ACCES MULTIPLE: Procédé autorisant plusieurs usagers à partager des ressources, souvent dans le domaine des télécoms. (définition ACCES MULTIPLE ).
ACCES PRIMAIRE: Liaison basique au réseau Numéris, composée de 30 circuits B et 1 circuit D. (définition ACCES PRIMAIRE ).
ACCES SEQUENTIEL INDEXE: C?est le contraire de l?accès direct. Un Accès séquentiel désigne le fait de devoir traverser plusieurs données avant d?atteindre celles que l?on cherche. Si le document est indexé, la recherche est plus rapide. Cette technique était notamment employé dans l?administration d?une base de données. (définition ACCES SEQUENTIEL INDEXE ).
ACCES: Désigne la possibilité d?accéder à des informations, d?entrer dans un circuit ou un réseau. (définition ACCES ).
ACCES A DISTANCE: Désigne la possibilité pour un ordinateur d'accéder à des données ou des ressources d'un ordinateur éloigné, sans que celui-ci appartienne au même réseau. Les deux équipements informatiques doivent être alors dotés d'un matériel de communication réseau. Le plus souvent, un des ordinateurs tient le rôle de serveur et l'autre est le client. (définition ACCES A DISTANCE).
ACCESS: SGBDR conçu par Microsoft et inclus dans la suite Office Pro. Access entrepose toutes les informations dans un fichier unique. Regorgeant d?erreurs de conceptions, parfois aux conséquences graves, Access est peu utilisé. (définition ACCESS ).
ACCESSIBILITE: Désigne un assortiment de réglages permettant aux personnes atteintes de certains handicaps d?utiliser facilement un ordinateur : modifications de couleurs, utilisation de loupe? (définition ACCESSIBILITE ).
ACCESSOIRE DE BUREAU: Sous MacOS 9, ils se trouvent dans le menu pomme. (définition ACCESSOIRE DE BUREAU ).
ACCESSOIRE: Désigne un outil, parfois superflu, ou un programme plus amusant que nécessaire (le démineur, par exemple). (définition ACCESSOIRE ).
ACCORDEON: Désigne un type de rangement de deux kilomètres de papier listing, sous la forme d?un cube ce qui permet de conserver chaque feuillet à plat. Désigne aussi l?altération d?un feuillet par une imprimante, quand les bobines d?entraînement du papier fonctionnent mal. (définition ACCORDEON ).
ACCUEIL: C?est la structure par laquelle on entre en contact (définition ACCUEIL ).
ACCUMULATEUR: C?est le registre essentiel d?une puce, ou, sur les vieux modèles, le registre unique d?opération. C?est aussi, en électricité, une pile qui stocke de l?énergie. (définition ACCUMULATEUR ).
ACCUPAGE: Configuration automatisée du contraste et de la luminosité sur les scanners conçus par HP. (définition ACCUPAGE ).
ACCUSE DE RECEPTION: Désigne une procédure certifiant la réception d?un message. Cette procédure est souvent non reconnue par les programmes d?e-mails car elle renseigne l?émetteur du message sur la vie privée du récepteur. (définition ACCUSE DE RECEPTION ).
ACD: Commutateur automatique qui permet suivant un plan programme d'acheminer des communications téléphoniques. (définition ACD).
ACE: Advanced Computing Environment. Standard cherchant à donner à Unix une position dominante dans le développement des grands groupes. Ce sont finalement les systèmes dits « libres » comme Linux ou *BSD qui se sont imposés. Désigne également l?Access Control Entry, soit « Entrée dans un Contrôle d?Accès », ou ACL : l?extension des archives encodées au format ACE. (définition ACE ).
ACF: Utilisé dans les architectures sna, l'acf est le logiciel permettant de contrôler les communications ibm. (définition ACF).
ACHEMINEMENT: Détermination d'une route à suivre à travers les n?uds d'un réseau. L'acheminement est contrôlé pour les routeurs du réseau. (définition ACHEMINEMENT).
ACIA: Asynchronous Communications Interface Adapter, soit « Adaptateur Interface de Communications Asynchrone ». C?est un circuit intégré conçu par Motorola qui traduit les informations d?un port série en informations utilisables par un port parallèle et inversement. (définition ACIA ).
ACID: Atomicité, Cohérence, Isolation, Durabilité. Ce sont les critères définissant une transaction. (définition ACID ).
ACK: Désigne le raccourci pour ACKnowledged, reconnu. C?est le code signalant un accusé de réception dans une communication, c?est-à-dire l?absence d?erreur et la possibilité de poursuivre la communication. Le code opposé est NAK. (définition ACK ).
ACL: Access Control List, soit « Liste de Contrôle d?Accès ». C?est une liste mentionnant les utilisateurs autorisés à atteindre une information. Une ACL comprend des ACE. (définition ACL ).
ACLU: American Civil Liberties Union, soit « Organisation Américaine pour les Libertés Civiles ». Elle prend bien sûr en compte le respect des libertés des usagers de l?internet. (définition ACLU ).
ACM: Association for Computer Machinery, soit « Association pour l?Ingénierie Informatique ». Créée en 1947 aux Etats-Unis, elle lutte pour la promotion de la recherche et l?adoption de standards. Le SIGGRAPH est né de cette association. ACM désigne aussi l?Advanced Computer Modeling, soit « Modélisation Informatique Avancée », et également l?Audio Compression Manager, soit « Gestionnaire de Compression Audio ». (définition ACM ).
ACMS: Ensemble de plusieurs logiciels permettant le contrôle des télétraitements sur un pc dec. (définition ACMS).
ACNOR: Association Canadienne de Normalisation, qui est en anglais désignée par l?acronyme CSA, Canadian Standards Association. (définition ACNOR ).
ACORN: Désigne un groupe informatique anglais, concepteur notamment de l?Archimedes. Acorn fût le principal fournisseur des établissements scolaires anglais, mais les machines ont également été utilisées dans l?édition vidéo et dans la musique. (définition ACORN ).
ACPC: Apple Communication Protocol Card. (définition ACPC ).
ACPI: Advanced Configuration and Power Interface. C?est un standard utilisé en informatique qui rend possible la programmation des veilles de l?ordinateur. D?où une utilisation de celui-ci comme réveil-matin par exemple. (définition ACPI ).
ACQUISITION: C?est un synonyme de numérisation. Il désigne l?opération de conversion de données analogiques en données numériques. D?une manière plus générale, c?est la compilation d?informations destinées à être traitées par un ordinateur. (définition ACQUISITION ).
ACQUITTEMENT: C?est un synonyme de ACK, l?accusé de réception d?un message. (définition ACQUITTEMENT ).
ACR: Indice de qualité d'un câble selon son rapport signal/bruit. (définition ACR).
ACROBAT DISTILLER: Programme de création de PDF. (définition ACROBAT DISTILLER ).
ACROBAT: Logiciel conçu par Adobe traduisant tout type de document en PDF, c?est-à-dire Portable Document Format. Un seul lecteur est alors nécessaire pour consulter tous les formats de document. C?est d?autant plus intéressant que le lecteur en question est gratuit. (définition ACROBAT ).
ACSE: Successeur du CASE, l'ACSE est une sous couche du niveau 7 du modèle OSI (couche application), et permet la mise en relation de deux entités en leur fournissant des services courant. (définition ACSE).
ACSEL: Association pour le Commerce et les Services En Ligne. C?est le produit de la réunion de l?AFCEE et de l?AFTEL. (définition ACSEL ).
ACSI: Atari Computer System Interface. C?est une évolution du SCSI. (définition ACSI ).
ACSS: Aural Cascading Style Sheet. Désigne une CSS créant des indications orales rendant possible la lecture sonore de pages web. (définition ACSS ).
ACTEL: Organisme à vocation commerciale de France Telecom, principalement dans les domaines de la vente et du conseil. (définition ACTEL).
ACTIF: Désigne, dans une interface graphique, tout élément, processus ou logiciel agissant, c?est-à-dire recevant ou exécutant des commandes. Désigne aussi un réseau en ++. (définition ACTIF ).
ACTION-RPG.: Action Role Playing Game. Désigne un jeu de rôle qui intègre des phases de combat. Le personnage évolue dans un monde, fait des rencontres mais se bat également. (définition ACTION-RPG. ).
ACTIVATION: Désigne le fait de lancer un programme ou tout élément à partir d?une interface graphique. L?élément devient donc actif, c?est-à-dire susceptible de recevoir et d?exécuter des commandes. Désigne aussi le fait de mettre un élément en service, après une authentification ou une autorisation. (définition ACTIVATION ).
ACTIVE MOVIE: Standard de Microsoft fondée sur Direct X, qui regroupe plusieurs formats de données vidéo. Très peu utilisé aujourd?hui, à cause notamment de la volonté de contrôle des usagers par DRM et brevets. (définition ACTIVE MOVIE ).
ACTIVER: Mettre un programme en service. (définition ACTIVER ).
ACTIVESTATE: Groupe commercial exploitant Perl, un logiciel libre, mais contribuant aussi au développement de ce logiciel libre. (définition ACTIVESTATE ).
ACTIVEX: Nom donné à la technologie composant développé par Microsoft, uniquement compatible avec les OS Windows (définition ACTIVEX).
ACU: Automatic Call Unit, soit « Unité d?Appel Automatique ». (définition ACU ).
ACUTANCE: Indique le niveau de netteté d'une image numérique. (définition ACUTANCE).
AD: A la fin d?une URL, signale que le site est basé à Andorre. (définition AD ).
AD: Access Denied, soit « Accès Refusé ». Désigne le message obtenu quand on tente d?obtenir des informations sans avoir les autorisations adéquates. On est alors « adéisé ». Désigne également l?Administrative Domain, et encore l?Actice Directory. (définition AD ).
ADA 83: C?est la toute première version d?Ada, en référence à l?année de sa publication. (définition ADA 83 ).
ADA 95: C?est une extension d?Ada, avec une sécurité améliorée. Elle rend possible la programmation orientée objet ainsi que d?autres fonctionnalités. (définition ADA 95 ).
ADA: C?est le surnom de la Comtesse Augusta Adélaïde Lovelace, fille du poète Byron. Elle est la toute première chercheur en informatique et a mis au point le branchement conditionnel. Ada désigne aussi un langage de programmation très contraignant pour le programmeur. Il a été développé par J. FD. Ichbiah dès 1979 pour répondre à un appel d?offre lancé par le Département de la Défense aux Etats-Unis, avec le double objectif de standardiser les multiples langages et de développer des projets très lourds. Il ne rencontra jamais le succès, peut-être parce qu?il était autant destiné à des tâches de gestion qu?au domaine militaire. (définition ADA ).
ADAPTATEUR RESEAU: Carte réseau (définition ADAPTATEUR RESEAU ).
ADAPTATEUR SCSI: Désigne une carte autorisant l?installation de canaux SCSI dans un ordinateur. (définition ADAPTATEUR SCSI ).
ADAPTATEUR VIDEO: Désigne une carte qui traduit les données électroniques en analogiques lisibles par l?écran. On préfère aujourd?hui le terme de carte vidéo qui traduit mieux la puissance qu?ont désormais ces adaptateurs. Il faut noter que le développement des écrans à cristaux liquides ne nécessite plus la conversion du numérique en analogique. (définition ADAPTATEUR VIDEO ).
ADAPTATEUR: Désigne une méthode de connexion hiérarchisée de deux systèmes. (définition ADAPTATEUR ).
ADAPTEC: Groupe important dans le marché des adaptateurs SCSI. Adaptec a mis au point le standard ASPI. (définition ADAPTEC ).
ADB: Apple Desktop Bus. Désigne chez Mac l?interface de gestion des claviers, souris etc?. La capacité de gestion s?élève jusqu?à 16 outils simultanément. Cette interface n?a pas résisté au développement de l?USB sur les Macs depuis 1998. (définition ADB ).
ADC: Analog to Digital Converter, ou plus simplement convertisseur analogique numérique. (CAN) (définition ADC).
ADD: Le terme utilisé pour désigner le mnémonique en assembleur qui correspond à la commande effectuant une addition. Désigne également l?Automatic Document Detection. (définition ADD ).
ADDENDUM: Texte ajouté après édition suite à un oubli, sur un encart de la page. (définition ADDENDUM).
ADD-IN: Type de patch qui optimise le fonctionnement d?un élément en modifiant certaines fonctionnalités. On peut en français utiliser le terme de « colmatage ». (définition ADD-IN ).
ADDITIONNEUR: Désigne un circuit qui peut faire une addition entre nombres binaires ou entre signaux analogiques. C?est un circuit primordial puisque les quatre opérations arithmétiques peuvent se résoudre en une suite d?additions. (définition ADDITIONNEUR ).
ADD-ON: Type de patch qui optimise le fonctionnement d?un élément en ajoutant une ou plusieurs fonctionnalités. (définition ADD-ON ).
ADDRESS HARVESTER: Désigne un « récolteur d?adresse », c?est-à-dire un programme qui récupère des adresses sur le réseau pour composer un répertoire de cibles pour l?envoi de spam. (définition ADDRESS HARVESTER ).
ADDRESS SPOOFING: Désigne le fait « d?emprunter » l?adresse IP d?un autre usager pour se connecter ou envoyer des messages en se faisant passant pour cet autre usager. (définition ADDRESS SPOOFING ).
ADDRESS: En français, une adresse. (définition ADDRESS ).
ADDY: Désigne, aux Etats-Unis, une adresse électronique. (définition ADDY ).
ADE: Advanced Dynamic Execution. Désigne un procédé visant à prédire les branchements. C?est une méthode développée par Intel pour conserver plein le pipeline du Pentium 4. (définition ADE ).
ADEISER: Refuser à un usager l?accès à un réseau, lui adresser un message d?AD, « Access Denied ». On dit souvent « se faire adéiser ». (définition ADEISER ).
ADELE: Désigne une tentative infructueuse de contraction du terme « adresse éléctronique ». (définition ADELE ).
ADF: Automatic Document Feed, soit « Alimentation Automatique en Documents ». ADF désigne une fonction de certains scanners et fax, qui vise à dérouler la feuille suivante une fois traité le document précédent. Désigne aussi « Automatic Document Feeder », c?est alors la mécanique. (définition ADF ).
ADHERENCE: Désigne la dépendance réciproque de deux programmes. (définition ADHERENCE ).
ADI: C?est une suite assez réussie de programmes pédagogiques destinés à l?enseignement au collège, du nom de l?extraterrestre qui anime les leçons. Adibou existe aussi pour le primaire. Désigne également l?Autocad Device Interface (définition ADI ).
ADM: Add Drop Multiplexer. (définition ADM ).
ADMD: Défini dans la norme x400 de messagerie électronique, l'ADMD est le domaine géré par une autorité publique (définition ADMD).
ADMIN: Désigne le raccourci d?administrateur c?est-à-dire la personne qui assure la gestion d?un système. Est également possible « sysadmin » qui désigne l?administrateur d?un site. C?est aussi l?appellation de la commande qui conçoit puis assure la gestion d?un fichier SCCS. (définition ADMIN ).
ADMINISTRATEUR SYSTEME: C?est l?utilisateur qui est en plus autorisé à assurer la gestion d?un système, c?est-à-dire qui porte la responsabilité de l?intégrité du système et de sa bonne marche. Le système en question peut être un réseau, une simple machine, un serveur. (définition ADMINISTRATEUR SYSTEME ).
ADMINISTRATEUR: Désigne la personne qui assure l?intendance d?un ordinateur. (définition ADMINISTRATEUR ).
ADMINISTRATION: Le fait d?assurer la gestion d?un système. (définition ADMINISTRATION ).
ADMINISTRER: Assurer la fonction d?administrateur. (définition ADMINISTRER ).
ADN: Advanced Digital Network, c?est à dire Réseau Numérique Avancé. Désigne une ligne simple qui plafonne souvent à 64 Kbps. ADN est aussi l?acronyme de « Any Day Now? », soit « d?un jour à l?autre ». (définition ADN ).
ADO: Active (X) Data Object. Une forme d?accès aux datas de Microsoft, qui se sert de modules ActiveX. (définition ADO ).
ADOBE: Désigne un développeur de programmes créé par J. Warnock et C. Geschke. Ils décidèrent de quitter Xérox, leur employeur d?alors, car celui-ci avait refusé leur Postscript et fondèrent leur propre groupe en 1982. Parmi leurs logiciels, on peut noter Photoshop, ou le langage de description Postscript. (définition ADOBE ).
ADP: Automatic Data Processing, soit « Traitement Automatique des Informations ». (définition ADP ).
ADPCM: Utilisé pour l'encodage numérique d'information analogique tel que l'audio. (définition ADPCM).
ADRESSAGE ABSOLU: Désigne un adressage où l?adresse visée est l?adresse telle qu?elle existe dans la mémoire. (définition ADRESSAGE ABSOLU ).
ADRESSAGE DIRECT: Désigne le procédé par lequel une adresse est attribuée sans calcul ni pointeur. (définition ADRESSAGE DIRECT ).
ADRESSAGE INDEXE: C?est un synonyme d?adressage relatif. (définition ADRESSAGE INDEXE ).
ADRESSAGE RELATIF: Procédé par lequel une adresse est attribuée en relation à un autre emplacement dans la mémoire. C?est un synonyme d?adressage indexé et le contraire d?adressage absolu. (définition ADRESSAGE RELATIF ).
ADRESSAGE: Désigne le procédé de computation d?adresses. (définition ADRESSAGE ).
ADRESSAGE MEMOIRE: Désigne le fait de donner une adresse numérique à un emplacement de mémoire. Plus cette adresse comporte de bits, plus la mémoire est être grande. Avec 32 bits on peut accéder jusqu'à 4Go de mémoire, mais les nouveaux processeurs 64 bits permettent un accès mémoire de 16 milliards de Go, soit quasi illimité. (définition ADRESSAGE MEMOIRE).
ADRESSE CANONIQUE: Désigne une adresse « vraie » qui renvoie à un véritable usager et non à un alias. (définition ADRESSE CANONIQUE ).
ADRESSE D?E / S: Désigne l?adresse du tampon des E / S, où sont analysées et écrites les informations qui viennent d?un périphérique ou sont envoyées vers lui. (définition ADRESSE D?E / S ).
ADRESSE ELECTRONIQUE: Désigne une adresse à partir de laquelle on peut faire partir des e-mails ou en recevoir. Elle a la forme suivante : utilisateur @ serveur . domaine. (définition ADRESSE ELECTRONIQUE ).
ADRESSE PHYSIQUE: Désigne une adresse MAC écrite dès la fabrication de la machine sur la ROM d?une carte réseau. Cette adresse ne peut en général pas être changée. (définition ADRESSE PHYSIQUE ).
ADRESSE RETICULAIRE: C?est le français pour URL. (définition ADRESSE RETICULAIRE ).
ADRESSE ELECTRONIQUE: Code permettant de vous identifier sur Internet afin de recevoir du courrier électronique. Elle est de la forme login@serveur.pays dans laquelle login est le nom d'utilisateur, serveur le nom du serveur distant sur lequel sont stockés vos mails, et pays un code de deux ou trois lettres identifiant le pays. (définition ADRESSE ELECTRONIQUE).
ADRESSE IP: Adressage hiérarchique et unique permettant la localisation de n'importe quel ordinateur sur le réseau Internet. Cette adresse est composée de 4 octets. (définition ADRESSE IP).
ADRESSE: Codé défini de façon unique permettant d'accéder à une ressource, tel qu'un fichier en mémoire, un périphérique ou encore une ressource sur un réseau. (définition ADRESSE).
ADRESSER: Désigne le fait d?attribuer une adresse à un élément, une information. (définition ADRESSER ).
ADSL: asymetric digital suscriber line. Service d'accès à l'Internet utilisant les lignes téléphoniques classiques, en utilisant une bande de fréquence plus élevé que celles utilisée pour la téléphonie. Le débit descendant est plus élevé que le débit ascendant. (définition ADSL).
ADSLISTE: Désigne une personne utilisant une connexion ADSL. (définition ADSLISTE ).
ADSP: Apple Data Stream Protocol, soit « Protocole Apple de Flux de Données ». Désigne le dispositif d?échange de processus entre un Mac et des VAX. (définition ADSP ).
ADSR: Attack, Decay, Sustain, Release, soit « Attaque, Chute, Entretien et Extinction. Décrit la vie d?un phénomène audio. (définition ADSR ).
ADT: Atlantic Daylight Time. Désigne aussi un Application Developpement Tool, c?est-à-dire un outil de développement d?application. (définition ADT ).
ADVENT: C?est l?origine du jeu d?aventure. Il est conçu par W. Crowther sur PDP-10 et contient des textes souvent drôles. On dit désormais « Adventure » car la limitation en caractère des noms de fichiers est tombée. (définition ADVENT ).
ADWARE: Diminutif de advertising spyware. Ces logiciels espions se renseignent sur les sites visités par un utilisateur, afin de mieux cibler le type de publicités à afficher, le plus souvent à travers des fenêtres pop up. Les informations récoltées sont parfois stockées sur des bases de données à des fins commerciales. Il existe des logiciels intégrant des adware sans en avertir l'utilisateur. (définition ADWARE).
AE: A la fin d?une URL, signale que le site est basé aux Emirats Arabes Unis. (définition AE ).
AE: Apple Expo. Désigne le show annuel qui a lieu à Paris et qui présente les nouveautés de la marque. Désigne aussi l?Autorité d?Enregistrement, l?autorité contrôlant et validant les requêtes dans le cadre d?une PKI. (définition AE ).
AEEL: Analyse des Effets des Erreurs d?un Logiciel. C?est un procédé qui vient de l?AMDEC. (définition AEEL ).
AEF: Automate à Etats Finis. (définition AEF ).
AEROGRAPHE: Désigne un dispositif de dessin fréquent dans les application de PA0, qui reproduit l?effet d?un large jet de peinture, comme un nuage. (définition AEROGRAPHE ).
AES: Application Environment Services, soit « Services d?Environnement d?Application ». Désigne les fonctionnalités du GEM d?Atari, qui visent à apporter le nécessaire à un programme afin que celui-ci se serve de l?interface graphique. Désigne aussi un « Advanced Encryption Standard », soit une « Norme Avancée de Cryptage ». C?est un procédé de chiffrement qui a été commandé par le gouvernement des Etats-Unis et qui est toujours employé par lui. Il est prévu de durer jusqu?en 2015-2020. C?est une évolution du chiffrement par blocs Rijndael. (définition AES ).
AES EBU: Norme de transmission de signal numérique, de très bonne qualité. Utilisé pour le transport de signal audio stéréo. (définition AES EBU).
AES-128: Advanced Encryption Standard qui utilise des clés de 128 bits. (définition AES-128 ).
AF: A la fin d?une URL, signale que le site est basé en Afghanistan. (définition AF ).
AFA: Association des Fournisseurs d?Accès internet. (définition AFA ).
AFAI: Association Française d?Audit et de conseil Informatique. (définition AFAI ).
AFAIK: As Far As I Know. « Autant que je sache? ». (définition AFAIK ).
AFAQ: Association Française de l?Assurance Qualité. C?est l?association indépendante qui délivre des certifications ISO aux entreprises. (définition AFAQ ).
AFAS: Association Française des Auteurs de Shareware. Désigne une association qui travaille pour le développement de sharewares en langue française. (définition AFAS ).
AFC: AntiFerromagnetically Coupled. Désigne, sur un disque, l?insert de ruthénium entre deux couches magnétiques. (définition AFC ).
AFC2E: Association Française pour le Commerce et les Echanges Electroniques. Désigne une association créée en 1999, disparue peu après lors de la fusion avec l?AFTEL. (définition AFC2E ).
AFCE: Association Française pour le Commerce Electronique. (définition AFCE ).
AFCEE: C?est l?autre nom de l?AFC2E. (définition AFCEE ).
AFCET: Association française pour la Cybernétique Economique et Technique, ancienne appellation pour l?ASTI, Association Française des Sciences et Technologies de l?Information et des Systèmes. Fondée en 1968, elle vise à la promotion des nouvelles technologies. (définition AFCET ).
AFD: Automate Fini Déterministe. (définition AFD ).
AFE: Apple File Exchange. Désigne une application conçue par Apple visant à rendre possible l?échange de fichiers entre les machines Apple et les autres. Devenue obsolète depuis que les normes classiques de réseau sont intégrées dans les Macs. (définition AFE ).
AFEL: Association Française des Editeurs de Logiciels. C?est une association créée en 1990 pour contrer les effets du piratage. Elle semble avoir disparue en raison des progrès du droit d?auteur. (définition AFEL ).
AFFECTATION: En anglais « assignment ». Désigne l?opération d?affecter. (définition AFFECTATION ).
AFFECTER: Désigne le fait d?allouer des ressources. Plus particulièrement, il s?agit d?attribuer une valeur à la mémoire présente à un emplacement donné. (définition AFFECTER ).
AFFICHAGE EN NEGATIF: C?est le synonyme de vidéo-inverse. (définition AFFICHAGE EN NEGATIF ).
AFFICHAGE: D?une manière générale, c?est le nom donné aux périphériques tels que les écrans ou moniteurs, c?est-à-dire ceux dont le visuel est changeant. Un affichage est caractérisé par la quantité de bits de chaque pixel : 16 bits, 32 bits. (définition AFFICHAGE ).
AFFICHER: Le fait de faire apparaître une information, souvent grâce à un écran. (définition AFFICHER ).
AFFICHEUR: Dispositif permettant la visualisation d?un ou plusieurs signes, via des cristaux liquides ou des LEDs. Un afficheur est donc de taille réduite, par opposition à un écran. (définition AFFICHEUR ).
AFFINAGE: C?est le synonyme de raffinage. (définition AFFINAGE ).
AFIG: Advanced Function Image and Graphics Feature. (définition AFIG ).
AFIM: Association Française des Ingénieurs et responsables de Maintenance. (définition AFIM ).
AFIN: Association Française des Informaticiens. Elle se caractérise par un site internet introuvable. (définition AFIN ).
AFIPS: American Federation of Information Processing Societes, soit « Fédération Américaine des Sociétés de Traitement numérique ». Elle est fondée en 1961. (définition AFIPS ).
AFISI: Association Française d?Ingénierie des Sytèmes d?Information. (définition AFISI ).
AFJ: April Fool Joke, soit, en français, poisson d?avril. Internet s?est largement emparé de cette tradition. (définition AFJ ).
AFK: Away From Keyboard, soit « à distance du clavier ». Désigne le message par lequel vous prévenez votre interlocuteur que vous n?êtes pas devant votre écran. (définition AFK ).
AFM: Adobe Font Metrics. (définition AFM ).
AFN: Automate Fin Non Déterministe. (définition AFN ).
AFNIC: Association Française pour le Nommage Internet en Coopération. C?est une appellation alternative au NIC France qui assure la gestion des TLD fr et re. (définition AFNIC ).
AFNOR: L'AFNOR est une institution française en charge de la normalisation, elle est affiliée à l'ISO, son équivalent international. (définition AFNOR).
AFORM: Association Française des Opérateurs de Réseaux Multiservices. Il s?agit souvent des réseaux cablés. C?est un lobby qui cherche à se lier aux pouvoirs publics. (définition AFORM ).
AFP: Advanced Function Presentation, soit « Présentation Avancée de Fonction ». Désigne une structure conçue par IBM, qui regroupe des programmes et applications dont le but est l?affichage et l?impression sur des machines IBM. Avec cette structure, on peut formater, imprimer, visualiser, archiver des informations. Désigne aussi l?Advanced Function Printing », soit l?Impression Avancée de Fonction. C?est l?ancienne version de l?Advanced Function Presentation, qui se bornait à imprimer grâce à un système qui gérait les impressions. Désigne également l?AppleTalk Filing Protocol, le procédé Apple de partage de fichiers et d?accès aux imprimantes. Désigne enfin l?Agence France Presse. (définition AFP ).
AFPDS: Advanced Function Presentation Data Stream. Désigne le flux d?informations qui sert à imprimer des datas dans l?APF. Il définit les formes, polices et textes. (définition AFPDS ).
AFPI: Association Française des Professionnels d?Internet. C?est un regroupement de Francenet, Internet Way, Imaginet et Calvanet afin de protéger les intérêts des Fournisseurs d?Accès Internet. (définition AFPI ).
AFS: Andrew File System. Désigne un système conçu par l?Université de Carnegie-Mellon et vendue à une société. Il rend possible la distribution d?un système de fichiers par LAN ou WAN. (définition AFS ).
AFTEL: Association Française de TELématique multimédia. C?est l?appellation d?origine de L?ACSEL. (définition AFTEL ).
AFTERDARK: Désigne un économiseur d?écran disposant de multiples animations, dont des grilles pains planant à travers l?écran. (définition AFTERDARK ).
AFTERSTEP: Désigne un gestionnaire de fenêtres libre, doté notamment d?un pager (définition AFTERSTEP ).
AFTERTOUCH: C?est le signal MIDI qui prévient de la fin d?utilisation d?une touche et des conditions de fin d?utilisation de cette touche sur un clavier MIDI. (définition AFTERTOUCH ).
AFTT: Association Française du Télétravail et de la Téléactivité (définition AFTT ).
AFUI: Association Française des Utilisateurs d?Internet. (définition AFUI ).
AFUM: Association Française des Utilisateurs du MIDI. (définition AFUM ).
AFUU: Association Française des Utilisateurs d?Unix et des systèmes ouverts. Fondée en 1982, l?AFUU possède l?appellation « système ouvert », et tente de promouvoir Unix auprès des utilisateurs, universités, instituts publics etc? (définition AFUU ).
AG: A la fin d?une URL, signale que le site est basé aux Antigua et Barbuda. (définition AG ).
AGENDA ELECTRONIQUE: C?est le français pour « organiser ». (définition AGENDA ELECTRONIQUE ).
AGENT ELECTRONIQUE: Désigne une petite application qui se meut dans un réseau et assure quelques fonctions simples. (définition AGENT ELECTRONIQUE ).
AGENT INTELLIGENT: Désigne une application qui se sert de l?intelligence artificielle pour cultiver un réseau selon les demandes de l?utilisateur. C?est encore un projet. (définition AGENT INTELLIGENT ).
AGENT SYSTEME: Désigne une application qui peut déclencher des processus selon une programmation, comme at ou cron. (définition AGENT SYSTEME ).
AGENT: Désigne des éléments électroniques ou intelligents. A l?heure actuelle, ils sont un projet relativement flou. (définition AGENT ).
AGI: Active Group Integrity. (définition AGI ).
AGIS: Un serveur accueillant un grand nombre de spammeurs en 1997. (définition AGIS ).
AGL: Atelier de Génie Logiciel. Désigne un environnement de conception d?applications. On peut d?ailleurs utiliser le terme équivalent d?environnement de développement. (définition AGL ).
AGLET: Agile Applet. Désigne un applet qui peut se déplacer sur un réseau pour récolter des données. (définition AGLET ).
AGLOO: Atelier de Génie Logiciel Orienté Objet. (définition AGLOO ).
AGP: Accelerated Graphic Port. Connecteur utilisé pour les cartes graphiques, situé au dessus des ports PCI. Le débit maximal disponible pour ce port est de 2 Go/s (définition AGP).
AGREGATEUR DE CONTENU: Désigne l?élément (personne, société ou programme) qui effectue une compilation de données venant de sources diverses à des fins de revente ou d?utilisation. (définition AGREGATEUR DE CONTENU ).
AGREGATION DE LIENS: Désigne l?unification de plusieurs liens. Le débit de l?ensemble sera la somme des unités. (définition AGREGATION DE LIENS ).
AGREGATION: Désigne la constitution d?un assortiment d?informations, éventuellement en opérant une analyse de ces données. (définition AGREGATION ).
AGUA: Association des Grands Utilisateurs Apple. En anglais, c?est l?Apple User Group. (définition AGUA ).
AH: Authentification Header, soit « En-tête d?authentification » sous IP Sec. (définition AH ).
AI: Artificial Intelligence. Désigne aussi Adobe Illustrator. (définition AI ).
AI: A la fin d?une URL, signale que le site est basé à Anguilla. (définition AI ).
AIBO: Artificial Intelligent Bot, la création robotique d?un groupe japonais qui a la forme d?un chien en mesure d?effectuer quelques actions simples. Ses caractéristiques sont : un poids d?1,4 kg, des mesures de 154 mm x 266 mm x 274 mm et 18 degrés de liberté. Aibo veut dire « copain » dans la langue de Kurosawa. (définition AIBO ).
AI-COMPLET: Désigne un obstacle dont la levée réclame la conception d?un cerveau artificiel. (définition AI-COMPLET ).
AIDE A LA DECISION: Désigne une tentative d?associer l?informatique à la décision par des programmes. (définition AIDE A LA DECISION ).
AIDE CONTEXTUELLE: Désigne une aide qui dépend de la position de l?utilisateur dans l?application. Pour un problème d?impression par exemple, l?aide affichée concernera l?impression et non la saisie. (définition AIDE CONTEXTUELLE ).
AIDE EN LIGNE: Ensemble d?informations qu?on atteint depuis le menu disponible dans l?application. L?aide en question n?est pas nécessairement localisée sur internet ou sur un autre réseau. (définition AIDE EN LIGNE ).
AIDE: Advanced Intrusion Detection Environment, soit « Environnement Avancé de Détection des Intrusions ». C?est un développement de l?IDE. (définition AIDE ).
AIDE: Dans une application, c?est le nom du menu censé répondre aux questions de l?utilisateur. L?aide peut être « en ligne », et propose alors un champ dans lequel on tape sa question pour obtenir le renseignement demandé. La qualité des aides est souvent contestable. (définition AIDE ).
AIDS: Anomaly Intrusion Detection System. Désigne un système de détection des intrusions qui s?appuie sur le repérage d?anomalies survenues sur le réseau. (définition AIDS ).
AIF: Audio Interchange File Format. Désigne un fichier audio encodé selon une norme proche d?IFF, en premier lieu sur Amiga, ensuite sur Apple, enfin sur SGI. Un AIF peut être compressé ou non compressé. (définition AIF ).
AIFC: Audio Interchange File Format Compressed. (définition AIFC ).
AIFF: Format de fichier audio utilisé sur les plateforme macintosh, il s'agit d'un format non compressé. Equivalent du WAV (définition AIFF).
AIGUILLAGE: Dans une application, désigne un dispositif de vérification du flux qui rend possible le choix de la série de commandes à effectuer selon une condition. C?est un synonyme d?alternative, à ceci près que l?alternative ne comporte que deux choix, contre une multiplicité pour l?aiguillage. (définition AIGUILLAGE ).
AIIM: Association for Information and Image Management, soit « l?Association pour la Gestion de l?Information et de l?Image. (définition AIIM ).
AIKEN, HOWARD: C?est un mathématicien américain (1900-1973). Ses recherches l?ont conduit vers des équations différentielles dont la résolution n?était possible que numériquement. Il a donc été amené à travailler sur les tous premiers ordinateurs, l?ASCC d?IBM ou la suite des Harvard. (définition AIKEN, HOWARD ).
AILF: Association des Informaticiens de Langue Française. (définition AILF ).
AIM: Apple, IBM, Motorola. Désigne une tentative d?association des trois constructeurs pour contrer la réunion Microsoft / Intel. Le projet initial, un ordinateur sous PowerPC avec un OS propre, a été abandonné dans un premier temps avant d?être remis à l?ordre du jour puis réalisé sous l?impulsion de Steve Jobs, patron d?Apple. Désigne aussi Aol Instant Messenger, l?application de messagerie instantanée d?Aol. (définition AIM ).
AIMM: AGP Inline Memory Module. (définition AIMM ).
AIRPORT EXTREME: ?est l?appellation sous laquelle Apple a commercialisé ses adaptateurs au standard 802.11g. (définition AIRPORT EXTREME ).
AIRPORT: Désigne un adaptateur réseau wireless au standard IEEE 802.11b DSSS. Il est d?abord installé dans les iBook, avant d?être généralisé dans tous les Macs. Sa vitesse maximale est de 11 Mbps, sous 2.4 GHz de fréquence. Dans un premier temps, une déclaration devait être remplie comme préalable à l?emploi de cette carte dans la mesure où l?armée est propriétaire de la plus grande partie de l?espace hertzien. (définition AIRPORT ).
AISI: As I See It, soit littéralement « tel que je le vois ». C?est l?expression par laquelle on introduit son point de vue. (définition AISI ).
AIT: Advanced Intelligent Tape, soit « Bande Avancée Intelligente ». Il s?agit d?une bande AIT-1 d?une capacité de 25 Go (la capacité d?une AIT-2 atteint 50 Go). Ses résultats sont meilleurs que ceux du DLT. (définition AIT ).
AIUI: As I Understand It, soit « tel que je le comprends ». On introduit par là sa propre interprétation. (définition AIUI ).
AIX: Advanced Interactive eXecutive. C?est l?appellation d?une évolution d?Unix conçue en 1986 par IBM à destination de ses RISC, sur une base de SVr2 puis SVr3 et intégrant des éléments de BSD. (définition AIX ).
AJOUTER UNE PATTE: Désigne le fait d?adjoindre un adaptateur (souvent un adaptateur réseau) dans une machine. La patte en question ne doit pas être confondue avec celle d?un processeur. (définition AJOUTER UNE PATTE ).
AKEP: Authentification Key Exchange Protocol, soit « Protocole d?Echange de Clé d?Authentification ». (définition AKEP ).
AL: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Albanie. (définition AL ).
AL: Assembly Language, soit « Langage d?Assemblage » qui désigne un assembleur. (définition AL ).
ALARME: Désigne un avertisseur audio ou vidéo qui signale un fait inhabituel ou une atteinte à l?intégrité du système. Plus généralement, alarme désigne tout signal programmable, comme le réveil-matin. (définition ALARME ).
A-LAW: Désigne un standard de compression européen utilisé en matière de télécom. Ses caractéristiques sont : mono, 8 KHz, une courbe logarithmique d?encodage des informations. (définition A-LAW ).
ALBOOK: Désigne un PowerBook utilisant un processeur G4 dans un boîtier aluminium. (définition ALBOOK ).
ALBUM: Désigne le presse-papier dans les versions antérieures à l?OS 9 d?Apple. (définition ALBUM ).
ALDES: Algorithm DEScription (définition ALDES ).
ALERTE: Désigne un signal qui avertit l?usager d?un fait inhabituel, comme une intrusion. En cas d?emploi d?une GUI, ce signal apparaît dans une boîte dédiée. (définition ALERTE ).
ALERTE VIRUS MICROSOFT: Notification fournie par les logiciels Microsoft indiquant une attaque potentielle de virus. L'alerte décrit un virus spécifique et propose des solutions pour la résolution de l'incident. (définition ALERTE VIRUS MICROSOFT).
ALERTEUR: Le mécanisme qui produit les alertes selon les événements. (définition ALERTEUR ).
ALG: Application Level Gateway. Désigne un pont associé au niveau Application (OSI), pouvant assurer la gestion par exemple des procèdures de sécurité. (définition ALG ).
ALGO: C?est le raccourci d?algorithme. (définition ALGO ).
ALGOGENE: Désigne le raccourci d?algorithme génétique. (définition ALGOGENE ).
ALGOL 58: C?est le nom initial de ALGOL. (définition ALGOL 58 ).
ALGOL 60: Désigne le nom d?une première évolution d?ALGOL. (définition ALGOL 60 ).
ALGOL 68: Développé entre 1963 et 1968 par A. van Wijngaarden, ce développement d?ALGOL a une réputation de difficulté, tant dans l?utilisation que dans l?installation. (définition ALGOL 68 ).
ALGOL: ALGOrithmic Language. C?est le précurseur des langages informatiques, composé de blocs, de procédures et processus de validation. Il fut conçu en 1960 en Europe et connu à la fois un fort retentissement pédagogique et une absence totale de succès en matière de vente. Il a évolué, notamment en ALGOL 68. (définition ALGOL ).
ALGORITHME DE DIJKSTRA: Désigne un algorithme traditionnel mis à jour par E. Dijkstra. Cette séquence peut résoudre le problème de la distance minimale du sommet d?un graphe orienté vers chacun des sommets. (définition ALGORITHME DE DIJKSTRA ).
ALGORITHME STA: Désigne l?algorithme « Spanning-Tree Algorithm ». C?est l?appellation préconisée par l?OLFQ. (définition ALGORITHME STA ).
ALGORITHME: Désigne une suite de calcul nécessaire à la solution d?un problème dans une durée limitée. L?appellation « algorithme » est l?équivalent latin d?un terme figurant dans l?ouvrage du mathématicien arabe Mohammed Ibn Musa Abu Djefar Al-Khwarizmi. (définition ALGORITHME ).
ALGORITHMIE: C?est un synonyme d?algorithmique, ou bien la science dont l?objet est l?algorithme. (définition ALGORITHMIE ).
ALGORITHMIQUE: C?est un synonyme d?algorithmie. (définition ALGORITHMIQUE ).
ALIAS: Sous MacOS, un alias désigne un élément renvoyant vers un autre situé à un emplacement différent. On peut par exemple installer sur son bureau un alias lançant l?exécution d?une application située dans le répertoire Applications. Sous Unix, (notamment dans le Bourne Shell et le Korn-Shell), alias est le raccourci d?une commande, l?évaluation remplaçant le raccourci par la commande entière. Alias désigne aussi, dans une URL, le raccourci qui permet d?abréger des adresses longues. Enfin, c?est l?appellation de l?identité de l?usager d?une adresse électronique, son pseudo. (définition ALIAS ).
ALIASING: C?est l?anglais pour crénelage. (définition ALIASING ).
ALICE ET BOB: Ce sont les prénoms classiques figurant dans tous les exemples des textes traitant de cryptage. On a aussi Vic, Paul ou Eve dans les textes en langue anglaise. (définition ALICE ET BOB ).
ALICE: Désigne un micro conçu par Matra Hachette en 1983, doté d?une technologie obsolète dès sa lancée, mais également d?une couleur très attrayante. (définition ALICE ).
A-LIFE: Artificial Life, vie artificielle. (définition A-LIFE ).
ALIGNEMENT: Désigne le fait de vérifier la parité de l?adresse d?une information, une parité préférée par les puces Intel. « Align » est en ce sens la commande de compilation. Désigne également le mode de présentation d?un paragraphe : l?alignement peut être alors centré, justifié, droite ou gauche. (définition ALIGNEMENT ).
ALIM: C?est le raccourci pour alimentation. (définition ALIM ).
ALIMENTATION FEUILLE A FEUILLE: Désigne l?indépendance de chaque feuille par rapport à la précédente et à la suivante. (définition ALIMENTATION FEUILLE A FEUILLE ).
ALIMENTATION PAR FRICTION: Désigne l?alimentation d?une imprimante, qui s?opère par un mécanisme de rouleaux tournants qui entraînent le papier. (définition ALIMENTATION PAR FRICTION ).
ALIMENTATION PAR PICOTS: Désigne l?alimentation d?une imprimante, où des picots s?insèrent dans les trous du papier et l?entraînent. (définition ALIMENTATION PAR PICOTS ).
ALIMENTATION: C?est le secteur assurant dans une machine l?apport en électricité (tension et intensité) à toutes les parties de cette machine. Ce secteur est relié à la prise de courant. Désigne également le fait de fournir du papier à une imprimante. En ce sens, l?alimentation peut être par entraînement, par picots etc? (définition ALIMENTATION ).
ALINE: Désigne un réseau digital qui rassemble des services. C?est la version belge de notre Numéris. (définition ALINE ).
ALINEA: Début d'un paragraphe, marqué par un retrait du texte sur la première ligne. (définition ALINEA).
AL-KHWARIZMI: Le premier mathématicien qui a mis en évidence l?existence des algorithmes. (définition AL-KHWARIZMI ).
ALL YOUR BASE: La phrase complète est « all your base are belong to us », ce qui en anglais ne veut rien dire. C?est la traduction fausse mais souvent reprise d?une réplique figurant dans le jeu Zero Wing (Megadrive, 1990). (définition ALL YOUR BASE ).
ALLEN, PAUL: Co-créateur de Microsoft en 1975, il collabore à la conception de Windows, Word, MS-DOS avant de quitter le groupe en 1983. (définition ALLEN, PAUL ).
ALLOCATION: Notamment lorsqu?on parle de mémoire, désigne la distribution de cette mémoire. (définition ALLOCATION ).
ALLUMAGE: Désigne la conséquence de la mise sous tension d?une machine. (définition ALLUMAGE ).
ALNUM: C?est le raccourci d?alphanumérique. (définition ALNUM ).
ALOHA: Bienvenue, dans la langue traditionnelle hawaïenne. Désigne un procédé développé à l?Université d?Hawaï afin de mettre les multiples îles de l?archipel en réseau en utilisant des circuits satellites. (définition ALOHA ).
ALOUETTE-PLACARD: C?est le surnom de Hewlett-Packard. (définition ALOUETTE-PLACARD ).
ALP: Sur un IRC, signifie "à la prochaine". (définition ALP ).
ALPA: Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle. (définition ALPA ).
ALPHA BLENDING: Désigne un procédé qui mixe le canal alpha des contextures pour atteindre des transparences. (définition ALPHA BLENDING ).
ALPHA RELEASE: Désigne la distribution de la version alpha d?un logiciel. (définition ALPHA RELEASE ).
ALPHA VERSION: C?est un programme dont le développement n?est pas encore finalisé mais qui est distribué à des fins d?évaluation ou de publicité. La version suivante est la bêta. (définition ALPHA VERSION ).
ALPHA: Un diagramme de bits par lequel on peut caractériser la transparence d?une image. On dit aussi « canal alpha ». Désigne également une série de puces extrêmement performantes qui utilisent une structure RISC. Elles sont conçues par le groupe Digital. (définition ALPHA ).
ALPHANUMERIQUE: Désigne tout langage qui mélange lettres, signes, chiffres. Un texte par exemple est souvent alphanumérique. (définition ALPHANUMERIQUE ).
ALT: C?est le raccourci commun de l?Alternate sur un clavier PC ou compatible. Sur un Mac, cela correspond à la clover key. Désigne également l?acronyme de « Alternatif, Ludique et Terroriste » sur l?Usenet. C?est un canal regroupant des forums libres, parfois peu recommandables. (définition ALT ).
ALT.SEX: C?est le nom d?un canal de groupes de discussion très visité sur l?Usenet. (définition ALT.SEX ).
ALTA VISTA: C?est un moteur de recherche qui s?appuie sur le robot Scooter. Il est développé à l?Université de Stanford par Digital. Il est de moins en moins utilisé notamment en raison de l?orientation commerciale de ses résultats. (définition ALTA VISTA ).
ALTAïR IV: C?est le précurseur des micros, conçu et commercialisé avec un certain succès par MITS dans les années 1970. Ses caractéristiques : un processeur Intel 8080 sous 8 bits, une mémoire de 256 Ko, une dizaine de boutons, des LEDs. Il fallait l?assembler soi-même et Altaïr IV n?acceptait qu?une programmation binaire. (définition ALTAïR IV ).
ALTERE: Désigne l?état d?un disque dont l?intégrité a été atteinte (définition ALTERE ).
ALTERNAT: Désigne une communication binaire où réception et émission sont alternées. (définition ALTERNAT ).
ALTERNATE: Sur un clavier PC, c?est la touche alt qui sert à commuter. (définition ALTERNATE ).
ALTERNATIF: Désigne un élément déviant par rapport à la norme. Par exemple, Excel n?est pas un tableur alternatif. (définition ALTERNATIF ).
ALTERNATIVE: Désigne un agencement de programmation proposant la sélection d?un circuit parmi plusieurs possibles. C?est le contraire d?un agencement séquentiel. L?alternative est résumée par la formule « if..then..else..endif ». (définition ALTERNATIVE ).
ALTGR: C?est le raccourci d?Alternate Graphics ». Désigne la touche qui rend accessible différents signes sur un clavier. Ces signes étaient à l?origine des symboles graphiques, d?où le nom de la touche. (définition ALTGR ).
ALTIVEC: C?est une série de commandes conçue par Motorola, Apple et IBM et destinée à augmenter la capacité des PowerPCs. Ces commandes sont au nombre de162 et opèrent sur 32 registres à 128 bits. L?AltiVec nécessite le changement de l?OS. (définition ALTIVEC ).
ALU: Arithmetical and Logical Unite, soit « Unité Arithmétique et Logique ». Désigne dans une puce le secteur chargé des opération arithmétiques. (définition ALU ).
AM: A la fin d?une URL, signale que le site est basé en Arménie. (définition AM ).
AM: Amplitude Modulation. Egalement Ante Meridiem, « avant la moitié du jour » en latin. C?est l?abréviation utilisée en anglais après une heure, pour signifier que l?on est le matin. Par exemple, 10 AM, dix heures du matin. (définition AM ).
AMA: A Mon Avis. On introduit par là sa propre opinion. AMHA existe également, pour plus de modestie. C?est l?équivalent de l?anglais IMO ou IMHO (In My Opinion, In My Humble Opinion). Désigne aussi l?Active Member Adress, une adresse active d?un membre (définition AMA ).
AMAAMQJA: A Mon Avis A Moi Que J?Ai. Un développement encore plus restricitf du « AMA ». (définition AMAAMQJA ).
AMALGAME: Impression simultanée de plusieurs films, afin d'obtenir un seul film en repérage. (définition AMALGAME).
AMAYA: Désigne un programme libre d?édition Web ainsi qu?un navigateur. Mise au point par le WC3, la première version date de1996. Le programme cherche à compiler différents procédés d?édition à des fins de démonstration. (définition AMAYA ).
AMAZON.COM: Un groupe présent uniquement sur Internet, qui distribue livres, disques, DVDs etc. Beaucoup de succès d?estime, aucun bénéfice. (définition AMAZON.COM ).
AMBRE: Désigne un mode d?affichage orangé sur fond noir, aujourd?hui inutilisé. (définition AMBRE ).
AMD: Advanced Micro Device. Désigne un groupe qui fabrique des processeurs copiant les modèles d?Intel. Il a connu un petit succès avec une copie du 386DX40 meilleur marché et disposant de plus de capacité que l?original. (définition AMD ).
AMDAHL: Désigne une annexe de Fujitsu qui s?occupe du secteur des grands systèmes. (définition AMDAHL ).
AMDEC: Analyse des Modes de Défaillance, de leurs Effets et de leur Criticité. C?est une technique inductive visant à protéger les systèmes des incidents. (définition AMDEC ).
AME: Dans un câble coaxial, c?est le noyau de cuivre. (définition AME ).
AMHA: A Mon Humble Avis. C?est un synonyme de AMA ou en anglais IMHO. (définition AMHA ).
AMHAAMQJA: A Mon Humble Avis A Moi Que J?Ai. Une évolution de AMHA, qui tend à plus d?humilité. (définition AMHAAMQJA ).
AMHO: A Mon Humble Opinion. Un développement de AMHA peut-être basé sur l?anglais. (définition AMHO ).
AMI: American Megatrends Inc. Le leader mondial en terme de BIOS. (définition AMI ).
AMI: Désigne sur Internet toute personne qui vient d?obtenir votre adresse e-mail. (définition AMI ).
AMICAL: C?est la version française de « User friendly ». Se dit de tout élément simple d?utilisation. On peut préférer la traduction ergonomique, ou convivial. (définition AMICAL ).
AMIGA: Désigne une machine intéressante dans sa conception, mise au point par Commodore et qui s?épanouit dans l?univers du jeu (c?est l?unique adversaire d?Atari). Des évolutions de l?Amiga sont encore utilisée après quelques modification (ajouts d?adaptateurs graphiques, changements des processeurs). Amiga appartient aujourd?hui au groupe Gateway 2000 et serait selon certains l?acronyme de « A Merely Insignificant Games Addiction). (définition AMIGA ).
AML: Désigne un Atelier de Maintenance logicielle. (définition AML ).
AMON MIB: ATM Monitoring MIB. Désigne une base de données de gestion qui fonctionne sous ATM. Son architecture est RMON. (définition AMON MIB ).
AMORçAGE: C?est la version française de Boot. (définition AMORçAGE ).
AMORCE: Désigne le bout d?une bande magnétique. (définition AMORCE ).
AMORCER: Une tentative de francisation de booter. (définition AMORCER ).
AMPERSAND: C?est l?appellation de « & » en anglais. Le français préfère « perluète ». (définition AMPERSAND ).
AMPLIFICATEUR: Désigne tout procédé d?augmentation de la puissance d?un signal. (définition AMPLIFICATEUR ).
AMPLIFIER: Désigne l?anglais pour amplificateur. Désigne en français le fait de multiplier la puissance d?un signal. (définition AMPLIFIER ).
AMPS: Advanced Mobile Phone System, soit « Système Avancé de Téléphonie Mobile ». C?est l?ancêtre (1976) de nos téléphones mobiles, un appareil analogique développé aux Etats-Unis. Il a évolué en TDMA, puis GSM. (définition AMPS ).
AMPSHA: A Mon Pas Si Humble Avis. C?est une variante restrictive de AMHA, l?équivalent de l?anglais IMNSHO. (définition AMPSHA ).
AMR: Adaptive Multi Rate. Format de compression audio avec perte, le plus souvent utilisé pour la création de sonnerie téléphonique. (définition AMR).
AMRC: Accès Multiple à Répartition par Code. Désigne un procédé de communication avec un satellite où le canal est partagé. (définition AMRC ).
AMRF: Multiplexage fréquentiel utilisé pour la radiotéléphonie analogique. Chaque récepteur dispose alors d'une bande de fréquence à écouter. (définition AMRF).
AMRT: Multiplexage temporel employé dans les communications satellites et en radiotéléphonie. Consiste à attribuer à chaque voie une fraction de temps pour émettre. (définition AMRT).
AMS: Autocommutateur Multi-Services. Egalement Apple Mail Server, associé à MacOS X version serveur. (définition AMS ).
AMSTRAD: Alan Michael Sugar TRADing. C?est une entreprise de fabrication née dans les années 80. Après avoir connu un joli succès (notamment avec ses CPC 464, 664 et 6128, des ordinateurs 8 bits fonctionnant sous CP / M), le groupe a disparu lorsqu?il a voulu se lancer dans la fabrication de PC. (définition AMSTRAD ).
AN 2000: C?est le nom de code d?un cauchemar numérique. Pour gagner de la place, on a régulièrement enlevé les deux premiers chiffres des années dans les programmes. Il existait donc un risque de voir l?horloge des systèmes passer du 31 décembre 1999 au 1er janvier 1900. Il a donc fallu corriger ces logiciels, pour un coût important. Les problèmes ont finalement été très réduits. (définition AN 2000 ).
AN: A la fin d?URL, signale que le site est basée aux Antilles Néerlandaises. (définition AN ).
ANA: Apple Network Assistant. Désigne une application de gestion administrative pour un réseau Mac, comme l?installation d?application sur un parc entier. Par manque de fiabilité, on lui a substitué ARD. (définition ANA ).
ANAC: Automatic Number Announcement Circuit. Désigne un numéro de téléphone qui identifie la ligne avec laquelle vous l?appelez. Son utilisation est réservée aux techniciens, ou aux domaines de l?espionnage ou du piratage. (définition ANAC ).
ANAGLYPHE: Appellation technique des visuels en 3D basés sur la superposition d?images. (définition ANAGLYPHE ).
ANALOGIQUE: Signal à valeurs continues. Par opposition à un signal numérique, à valeurs discrètes. (définition ANALOGIQUE).
ANALYSE LEXICALE: Désigne une étape d?une compilation. On y assemble les signes en énoncés sensés, les lexèmes. (définition ANALYSE LEXICALE ).
ANALYSE POST-MORTEM: Désigne l?analyse d?un système après son effondrement, notamment de la mémoire centrale de l?élément et des registres de la puce. (définition ANALYSE POST-MORTEM ).
ANALYSE SYNTAXIQUE: Désigne l?étape qui suit l?analyse lexicale lors d?une compilation. On y contrôle la validité grammaticale de la suite des lexèmes. (définition ANALYSE SYNTAXIQUE ).
ANALYSE: Réduction d?un élément complexe en une multiplicité d?éléments simples. (définition ANALYSE ).
ANALYSEUR LEXICAL: C?est le programme qui effectue l?analyse lexicale d?un code source. (définition ANALYSEUR LEXICAL ).
ANALYSEUR SYNTAXIQUE: Ce programme effectue une analyse syntaxique. (définition ANALYSEUR SYNTAXIQUE ).
ANALYSEUR: Système permettant le contrôle d'un signal lors d'une communication. (définition ANALYSEUR).
ANALYSTE: Désigne celui qui analyse, c?est-à-dire examine les problèmes et envisage des solutions. S?il est aussi programmeur, on parle d?analyste-programmeur. (définition ANALYSTE ).
ANCIEN TESTAMENT: C?est l?appellation de l?ouvrage « le Langage C » (édition Masson) qui caractérise ce langage de programmation. Le titre anglais de ce livre de Kernighan et Ritchie est « the C programming Language ». (définition ANCIEN TESTAMENT ).
ANCRE: En programmation HTML, l?ancre caractérise un lien hypertexte. (définition ANCRE ).
ANDREESSEN, MARC: C?est le concepteur du navigateur Mosaic et le cofondateur de Netscape. (définition ANDREESSEN, MARC ).
ANGLE DE TRAME: Lors d'une impression, on évite l'effet de moirage en orientant chaque trame à 30° . (définition ANGLE DE TRAME).
ANGLICISME: La science informatique s?est largement développée aux Etats-Unis, et c?est très naturellement que beaucoup de termes anglais ont traversé l?Atlantique. Un anglicisme désigne donc la construction d?un verbe ou d?un mot de forme et de grammaire françaises à partir d?un terme d?un acronyme anglais. Par exemple, « ftper » désigne le fait d?utiliser un serveur ftp. Par souci d?exactitude (un souci né de la spécificité d?une machine numérique qui ne supporte pas l?imprécision), ce procédé d?anglicisation est souvent préféré à la francisation. (définition ANGLICISME ).
ANI: Reconnaissance automatique du numéro en appel. (définition ANI).
ANIM: C?est le raccourci d?animation. (définition ANIM ).
ANIMATION: Désigne une petite séquence visuelle, de taille souvent réduite et de débit aléatoire. Le format employé peut être AVI, MOV, WMV, MPG? (définition ANIMATION ).
ANIMATIQUE: Ce terme regroupe tous les procédés numériques utilisés en matière d?animation. (définition ANIMATIQUE ).
ANIME: Désigne le dessin animé japonais. (définition ANIME ).
ANN: Désigne un type d?architecture de réseau dans lequel courent des jetons. (définition ANN ).
ANNEAU A JETON: Architecture d?un réseau en anneau. (définition ANNEAU A JETON ).
ANNEAU A JETON: Utilisé dans les réseaux en anneaux (token ring). La liaison est attribuée à celui qui " attrape " le jeton circulant dans l'anneau. (définition ANNEAU A JETON).
ANNEE-HOMME: Quantifie le travail d?une personne sur une année. C?est une question traitée dans l?ouvrage de F. P. Brooks, « the mythical man-month ». Le problème de cette mesure, c?est qu?elle méconnaît le fait que la quantité de travail effectué par un homme diminue lorsque augmente le nombre d?hommes collaborant à un même travail. Par exemple, la durée totale du développement d?Unix a augmenté à mesure qu?augmentait le nombre de programmeurs. (définition ANNEE-HOMME ).
ANNONCEUR: Entreprise participant à opération publicitaire dans le but de la promotion de ses produits ou de ses services. (définition ANNONCEUR).
ANNOTATION: Désigne toute explication, scolie ou critique associée à une page web, selon le W3C. (définition ANNOTATION ).
ANNUAIRE DES DOMAINES: Désigne la version française de DNS. (définition ANNUAIRE DES DOMAINES ).
ANNUAIRE: Désigne une assistance qui peut être concentrée ou décentralisée (c?est-à-dire utilisant une gestion locale) et qui recense des personnes, des réseaux, des ordinateurs. Désigne plus spécifiquement sur internet un outil qui compile et classifie des sites selon l?objet de ces sites. C?est une marque enregistrée. (définition ANNUAIRE ).
ANNULER: Désigne le fait de détruire des informations ou les formater. Désigne également le fait de refaire le chemin parcouru en sens inverse, c?est-à-dire en gommant ce qui vient d?être fait. Désigne enfin le simple fait d?effacer une action. (définition ANNULER ).
ANO: C?est le raccourci pour anonymous. (définition ANO ).
ANONYME: Désigne l?un des caractères spécifiques du réseau. C?est aussi l?un des plus fantasmé, dans la mesure ou l?anonymat total n?existe pas : on peut toujours remonter à l?adresse d?origine. On dit également qu?une variable est anonyme lorsque que son utilisation est indécidable. Elle ne peut alors pas être nommée. (définition ANONYME ).
ANONYMISEUR: Désigne un serveur qui transmet une communication en effaçant la signature de ce message. (définition ANONYMISEUR ).
ANONYMOUS: Désigne sur un FTP le login utilisé par un usager n?ayant pas de compte sur ce serveur. (définition ANONYMOUS ).
ANP: Assistant Numérique Personnel. C?est un synonyme peu employé de PDA. Désigne aussi dans le monde militaire un Appareil Normale de Protection. (définition ANP ).
ANSI: L'ANSI est un organisme nord américain en charge de la normalisation, affilié à l'ISO, son équivalent internationale. (définition ANSI).
ANSI.SYS: C?est l?appellation du pilote en charge sous, MS-DOS, des opérations ANSI. (définition ANSI.SYS ).
ANTEMEMOIRE: C?est une tentative de francisation de « cache ». (définition ANTEMEMOIRE ).
ANTHROPOMETRIE: C?est un synonyme de biométrie. (définition ANTHROPOMETRIE ).
ANTI ALIASING: Méthode d'affichage permettant de diminuer l'effet d'escalier apparaissant sur les images lorsque la résolution de l'écran est faible. (définition ANTI ALIASING).
ANTIALIASER: Appliquer le procédé d?anti-aliasing sur un document. En français, on a anticréneler. (définition ANTIALIASER ).
ANTI-ALIASER: C?est un synonyme du précédent, un bon exemple d?anglicisme. (définition ANTI-ALIASER ).
ANTI-ALIASING: Désigne un procédé de réduction des impressions d?escalier dans beaucoup de documents visuels. Le procédé est basé sur la confection de nuances de couleurs afin de polir les bordures. Le procédé est lourd et gourmand en ressources. C?est une technique voisine du dithering. On trouve aussi antialiasing, et, en français, anticrénelage. (définition ANTI-ALIASING ).
ANTICRENELAGE: Désigne une tentative de francisation de l?anti-aliasing. (définition ANTICRENELAGE ).
ANTICRENELER: Le fait d?utiliser le procédé d?anticrénelage. (définition ANTICRENELER ).
ANTIMALWARE: Désigne une famille de programmes destinées à nettoyer un disque des logiciels indélicats qui s?installent sans demander l?autorisation de l?utilisateur. (définition ANTIMALWARE ).
ANTISLASH: C?est l?appellation de la barre oblique inversée. Sous DOS, on l?emploie pour séparer des éléments dans le nom du chemin d?accès (sous Unix, c?est le slash qui est utilisé comme séparateur). (définition ANTISLASH ).
ANTI-SPAM: Utilisé comme attribut, désigne une personne qui ne cautionne pas la pratique du spam. Désigne également tout signe accolé à une adresse e-mail afin de dérouter les automates qui récoltent des adresses. (définition ANTI-SPAM ).
ANTISPYWARE: C?est une famille de logiciels destinés à repérer et à supprimer les spywares qui pullulent sous Windows notamment. (définition ANTISPYWARE ).
ANTITROYEN: C?est un programme qui vise à localiser et détruire les chevaux de Troie. C?est donc un type particulier d?antivirus. (définition ANTITROYEN ).
ANTIVIRUS: Logiciel destiné à protéger un poste de travail contre les attaques de virus, lorsque celui-ci est connu. (définition ANTIVIRUS).
ANYCAST: Désigne un rapport en IPv6 entre un émetteur l?élément le moins distant d?une réunion de récepteurs, l?objectif étant la mise à jour des tables de routages. C?est le contraire d?unicast. En revanche, le terme est voisin de multicast. (définition ANYCAST ).
AO: A la fin d?une URL, signale que le site est basé en Angola. (définition AO ).
AOCE: Apple Open Collaboration Environnment. (définition AOCE ).
AOHELL: C?est le surnom basé sur un jeu de mots d?AOL (Hell signifiant Enfer). C?est aussi le nom d?un programme destiné à pirater le réseau AOL. (définition AOHELL ).
AOL: America On Line. C?est un réseau numérique américain, à but lucratif. La mauvaise réputation de ce réseau a plusieurs causes. La première, c?est l?essai de commercialiser les données-clientèle. La deuxième, c?est la tentative de censure de plusieurs sites. On peut ajouter l?incapacité de leurs ordinateurs à gérer les trafics importants ou l?offre internet gratuite d?évaluation qui offrait à beaucoup l?occasion de « s?amuser » sur le réseau en toute impunité. Le groupe s?est depuis lié avec Time Warner, sans que sa réputation en soit améliorée. (définition AOL ).
AOPC: Annual Obfuscated Perl Contest. Désigne la compétition annuelle de programmation en utilisant le langage Perl, dont l?objectif est la production du programme le moins nécessaire possible. Désigne également l?Aspect Oriented Programming. (définition AOPC ).
AOUTELOUQUE.: Désigne le surnom péjoratif d?Outlook Express. (définition AOUTELOUQUE. ).
AOUTELOUQUERIE: Désigne toute incongruité produite par Outlook. C?est assez fréquent. (définition AOUTELOUQUERIE ).
AP: Arbre Programmatique. Désigne le développement structuré d?une programmation, représenté sous la forme d?un diagramme arborescent. (définition AP ).
APACHE: Serveur web couramment utilisé sur Internet, utilise la plateforme UNIX. (définition APACHE).
APARTMENT MULTI-THREADING: Désigne chez Microsoft l?archétype multithread employé par COM. (définition APARTMENT MULTI-THREADING ).
APC: Asynchronous Procedure Call, soit « Appel en Procédure Asynchrone ». (définition APC ).
APCI: Application-Layer Protocol Control Information. (définition APCI ).
APDU: Application Protocol Data Unit. Désigne l?unité passant d?une application à une autre sur un réseau. C?est le degré supérieur de l?archétype en couches OSI. (définition APDU ).
APERçU: On rencontre souvent « aperçu avant impression ». Désigne la visualisation sur moniteur du document tel qu?il va être reproduit sur papier. (définition APERçU ).
APERTURE: Désigne une étendue virtuelle de mémoire atteinte par un adaptateur graphique AGP comme si elle était une mémoire physique. C?est la GART qui mappe les emplacements sur la mémoire physique. On dit parfois « ouverture AGP ». (définition APERTURE ).
API: Dans le domaine de la programmation, ensemble de primitives permettant à un programme d'utiliser des ressources système. (définition API).
APIC: Advanced Programmable Interrupt Controller. (définition APIC ).
APINC: Association pour la Promotion de l?Internet Non Commercial. (définition APINC ).
APIPA: Automatic Private Internet Protocol Addressing. (définition APIPA ).
APL: A Programming Language. C?est l?appellation d?un langage mis au point par K. E. Iverson entre 1957 et 1967 Son usage est surtout répandu en mathématique. Ce langage a la réputation d?être assez créatif. (définition APL ).
APLAT: Désigne une zone de teinte uniforme, sans aucune différence de ton (définition APLAT).
A-PLUS: C?est l?équivalent de la certification A+. (définition A-PLUS ).
APM: Système permettant l'économie d'énergie sur certains ordinateurs. (définition APM).
APNIC: Asia Pacific Network Information Center. C?est un NIC commun à plusieurs pays en Asie et Pacifique. (définition APNIC ).
APP: Agence pour la Protection des Programmes. C?est une structure de lutte contre le piratage. (définition APP ).
APP: C?est le raccourci courant d?application. (définition APP ).
APPAREIL PHOTO NUMERIQUE.: C?est un appareil de prise de vue qui, en lieu et place d?une pellicule argentique, utilise un senseur CCD et une carte mémoire (parfois un disque dur). (définition APPAREIL PHOTO NUMERIQUE. ).
APPARIEMENT DE FORMES: C?est le synonyme de filtrage (en anglais « pattern matching). (définition APPARIEMENT DE FORMES ).
APPC: Procédé de communication entre des applications ibm sna, lorsqu'il n'y a pas de relation hiérarchique entre elles. (définition APPC).
APPEL SYSTEME: Réalisation d?une tâche répétitive du système. Cette réalisation utilise des ressources extérieures à l?environnement de l?usager. (définition APPEL SYSTEME ).
APPEL: A P3P Preferences Exchange Language. Désigne un langage qui décrit les totalités de préférences P3P. (définition APPEL ).
APPEL: C?est la réalisation instantanée d?un programme avec traversée des variables. (définition APPEL ).
APPEND: Augmenter un fichier par l?apport de nouvelles informations. (définition APPEND ).
APPLE II: Conçu par Apple au début des années 80, cet ordinateur a été le premier succès d?Apple notamment dans le monde de l?éducation. (définition APPLE II ).
APPLE III: C?est une évolution de l?Apple II destinée aux professionnels. Ses caractéristiques :128 Ko de RAM, un processeur 6502, un disque dur optionnel de 5 Mo (définition APPLE III ).
APPLE: C?est la firme, lancée par S. Jobs et S. Wozniac, qui produit des machines dotées d?une interface visuelle très conviviale, mais qui empêche l?entrée dans le c½ur de l?ordinateur, même si OS X a largement corrigé ce défaut. Apple est surtout connu pour ses Macs (le raccourci de Macintosh) qui sont largement utilisés par les milieux du spectacle, de la publicité. Parmi les derniers modèles de la marque, le MacBook ou l?iMac. Selon certains, Apple signifierait « Arrogance Produces Profit-Losing Entity », selon d?autres « All Programmers Pursuing Legal Ends ». (définition APPLE ).
APPLEMANIA: Désigne une pathologie affectant les partisans d?Apple. (définition APPLEMANIA ).
APPLEMANIAQUE: Désigne un usager Apple séduit par la convivialité des machines de la marque, qui ne souhaite pas changer de constructeur informatique. (définition APPLEMANIAQUE ).
APPLESCRIPT: Désigne un langage d?automatisation des routines sur un Mac. Les commandes employées sont très voisines du langage naturel. (définition APPLESCRIPT ).
APPLESHARE: Désigne une suite destinée aux réseaux locaux. AppleShare se sert de Apple Talk, mais est tombé en désuétude depuis l?adoption par la marque des normes ouvertes. (définition APPLESHARE ).
APPLET JAVA: Petit programme en java qui s'exécute non pas sur l'ordinateur client mais sur le serveur. (définition APPLET JAVA).
APPLET: Petit programme écrit en java pouvant être intégré dans une page Internet. (définition APPLET).
APPLETALK: Type de réseau local développé par Apple et utilisant une topologie en forme de bus. Le support utilisé est la paire torsadé mais le débit atteignable est faible ( < 1 mbps ). (définition APPLETALK).
APPLETTE: C?est une tentative de francisation du terme d?applet. On trouve également appliquette. (définition APPLETTE ).
APPLI: Désigne un raccourci teinté d?affection pour application. (définition APPLI ).
APPLICATIF: Désigne ce qui a trait à une application. Désigne aussi simplement une application. (définition APPLICATIF ).
APPLICATION VERTICALE: Désigne une application associée à un milieu spécial. (définition APPLICATION VERTICALE ).
APPLICATION: Désigne un logiciel d?importance considéré du point de vue de l?action qu?il doit accomplir. La « couche d?application » désigne une couche de l?archétype OSI. (définition APPLICATION ).
APPLIQUER: Rendre un changement de configuration opérant sans fermer la fenêtre de dialogue. C?est l?équivalent de l?anglais apply. (définition APPLIQUER ).
APPLIQUETTE: C?est une francisation de l?anglais applet. (définition APPLIQUETTE ).
APPN: Structure permettant la communication entre les systèmes ibm, dans l'architecture ibm sna. (définition APPN).
APPROCHE: Espacement entre deux lettres d'un même mot. (définition APPROCHE).
APRIL: Association Pour la Promotion et la Recherche en Informatique Libre. Désigne également l?Agent Process Interaction Language. (définition APRIL ).
APROGED: Association des PROfessionnels de la GeiDe. GEIDE désigne une réunion de groupes travaillant sur la gestion numérique de documents. (définition APROGED ).
APS: Advanced Photo System. C?est une pellicule de prise de vue dotée d?une bande magnétique susceptible de conserver des données concernant les prises de vue. Désigne également l?Advanced Planning and Scheduling, une application d?intendance de projets. (définition APS ).
APT: Avalanche Photodiode (définition APT ).
AQ: A la fin d?une URL, signale que le site est basé en Antarctique. (définition AQ ).
AQ: C?est l?acronyme d?Assurance Qualité. (définition AQ ).
AQUA: Désigne l?interface visuelle utilisée par l?OS X d?Apple. Ses caractéristiques : un dock, une refonte des icônes, plus de teintes. (définition AQUA ).
AQUARIUM: C?est le surnom affectueux du Macintosh historique qui intégrait unité, clavier et écran en un seul boîtier. (définition AQUARIUM ).
AR: A la fin d?une URL, signale que le site est basé en Argentine. (définition AR ).
AR: Augmented Reality (définition AR ).
ARA: Appletalk Remote Access. Désigne le dispositif d?accès distant utilisant AppleTalk. (définition ARA ).
ARAIGNEE: Désigne un robot d?indexation de données placées sur le web (en référence à la traduction française de web : toile). (définition ARAIGNEE ).
ARAP: Appletalk Remote Access Protocol. Désigne les protocoles utilisés par ARA. (définition ARAP ).
ARBITRAGE: Désigne le fait de hiérarchiser les demandes d?accès des périphériques à une ressource partagée, notamment les bus. (définition ARBITRAGE ).
ARBITRATEUR: Désigne l?instance effectuant les arbitrages. (définition ARBITRATEUR ).
ARBORESCENCE: Caractérise la structure des fichiers et dossiers sur un disque. (définition ARBORESCENCE ).
ARBRE DE NOëL: Désigne le terme utilisé pour qualifier, souvent critiquer, une page web surchargée en animations ou éléments visuels. Un navigateur ancien ne prenant pas en charge ces éléments peut être d?un grand secours. (définition ARBRE DE NOëL ).
ARBRE: Désigne une forme de diagramme qui modélise une hiérarchie. En informatique, on utilise les notions de feuille, de racine, de branche. Ce type de diagramme n?utilise pas de boucle et est à direction unique. (définition ARBRE ).
ARC: Désigne une archive compressée en utilisant les logiciels Squash ou ARC. Ce format d?archivage était largement utilisé sous DOS, beaucoup moins aujourd?hui. Désigne également l?Advanced RISC Computing. (définition ARC ).
ARCADE: Désigne une forme architecturale figurant un arc de cercle. Désigne également un modèle de jeux vidéos fréquent dans les salles de jeux ou les cafés. Ces jeux sont souvent des jeux d?action ou de conduite. (définition ARCADE ).
ARCHIE: Désigne un programme de recherche de fichiers automatisée qui utilise des bases de données. Il est devenu obsolète depuis le développement des moteurs de recherche internet. (définition ARCHIE ).
ARCHIMEDES: Il s?agit d?un micro développé par Acorn, généralement employé à des fins de démomaking. Il était exploité par le système RISC OS. (définition ARCHIMEDES ).
ARCHITECTURE INTEGREE: C?est une architecture où tous les éléments sont en situation d?interdépendance, ce qui bride les possibilités d?évolution de la machine. (définition ARCHITECTURE INTEGREE ).
ARCHITECTURE MODULAIRE: Les éléments constitutifs du système sont ici indépendants. La modification de l?un, le retrait d?un autre n?ont pas d?influence sur les autres. (définition ARCHITECTURE MODULAIRE ).
ARCHITECTURE N-TIERS: C?est une architecture trois tiers où l?analyse des informations (on dit aussi middleware) est elle-même composée de multiples couches. (définition ARCHITECTURE N-TIERS ).
ARCHITECTURE TROIS TIERS: Désigne une structure serveur-client où l?on distingue l?interface usager, l?archivage des données et leur analyse. L?avantage d?une telle structure est la possibilité de gestion multi-systèmes ainsi que la modularité. (définition ARCHITECTURE TROIS TIERS ).
ARCHITECTURE: Désigne la forme de montage des éléments tant matériels que logiciels d?un ordinateur. Le type de puce employé ainsi que la largeur du bus principal sont ses déterminants principaux. On distingue une architecture intégrée d?un architecture modulaire. (définition ARCHITECTURE ).
ARCHIVAGE: Désigne le fait de composer une archive de fichiers. (définition ARCHIVAGE ).
ARCHIVE: Fichier informatique contenant un autre groupe de fichier, afin de faciliter leur manipulation. Une archive est souvent compressée pour un gain de place et de temps de transmission. Les formats de compression les plus courants sont zip et rar. (définition ARCHIVE).
ARCHIVER: L'action de placer des fichiers dans une archive. (définition ARCHIVER ).
ARCHIVEUR: Désigne un programme d?archivage. Le plus connu de la famille est sans doute Zip. (définition ARCHIVEUR ).
ARCNET: Type de réseau local développé par Datapoint, utilisant une topologie type bus et intégrant une méthode de jeton (Token Bus). Le débit théorique est de l'ordre de 2.5 mbps. (définition ARCNET).
ARD: Apple Remote Desktop. C?est l?appellation d?un développement d?ANA. (définition ARD ).
ARDOISE ELECTRONIQUE: Désigne un ordinateur portable de taille réduite qu?on utilise via un écran tactile. C?est un synonyme de notepad. (définition ARDOISE ELECTRONIQUE ).
ARG: C?est le raccourci tellement employé d?argument, qu?il est rentré dans le langage courant. (définition ARG ).
ARGB: Alpha, Red, Green, Blue. Désigne un RGB lié à un canal alpha. (définition ARGB ).
ARGENTIQUE: C?est l?adjectif qui caractérise la photo analogique, en référence aux cristaux d?argent qui compose une pellicule. Ces multiples cristaux éclatent sous l?effet de la lumière. Une prise de vue analogique est composée de plusieurs dizaines de millions de pixels. (définition ARGENTIQUE ).
ARGUMENT: La signification est, en informatique, proche de celle de paramètre. Dans une programmation, un argument est un paramètre saisi à la main, comme dans un code source. L?argument, contrairement au paramètre, ne peut pas être changé ou récupéré. (définition ARGUMENT ).
ARIAL: Désigne l?appellation d?une police de caractère utilisée dans les produits Microsoft, donc très largement répandue dans le monde de l?informatique. Elle est très semblable à l?Helvetica. (définition ARIAL ).
ARIB: Association of Radio Industries and Business. Fondé en 1995, cette structure japonaise tente de développer le wireless au Japon, et s?appuie sur une recherche en partie financée par le secteur public. (définition ARIB ).
ARIN: American Registry for Internet Numbers. Désigne le NIC administrant la distribution des Ips dans les zones Caraïbes et Afrique subsaharienne ainsi qu?aux Etats-Unis. L?ARIN existe depuis 1997. (définition ARIN ).
ARJ: Désigne un utilitaire d?archivage, compactage / décompactage et gestion des archives aujourd?hui obsolète. Désigne également un fichier passé sous ARJ. (définition ARJ ).
ARJISER: Utiliser le programme ARJ pour traiter des informations. (définition ARJISER ).
ARKANOïD: Nom d?un jeu de type casse-briques. (définition ARKANOïD ).
ARM: Advanced RISC Machine. Il s?agit d?une puce RISC 32 bits développée en Angleterre. (définition ARM ).
ARME: Désigne un programme composé de telle sorte que son analyse soit compliquée. S?utilise particulièrement pour un virus. (définition ARME ).
ARMM: Automated Retroactive Minimal Moderation. Désigne un robot développé pour chasser et détruire les messages non signés sur l?Usenet. Le problème est que le robot s?est mis à détruire ses propres messages. (définition ARMM ).
AROBACE: Désigne une orthographe alternative d?arobase. (définition AROBACE ).
AROBASE: Caractère spécial uniquement utilisé en informatique, il sert principalement dans les adresses de courrier électronique. Il est composé d'une lettre a entourée aux trois quarts. (définition AROBASE).
ARP: Address Resolution Protocol. L?ARP convertit des IPs 32 bits en Ethernet 48 bits. Il est fixé par la norme RFC 826. (définition ARP ).
ARPA: Advanced Research Projects Agency. Désigne une structure américaine de soutien aux projets (comme l?Arpanet). Le DARPA la remplace aujourd?hui. (définition ARPA ).
ARPANET: Premier réseau de communication créé en 1969 par les services militaires américains. Ce réseau expérimental utilisait la communication par paquet mais fut démantelé peu de temps après sa création. (définition ARPANET).
ARPG: Action Role Playing Game. Un type de jeu qui mélange l?action, la réflexion, la découverte. (définition ARPG ).
ARQ: Automatic Repeat reQuest. Désigne un message envoyé lors d?un échange via modem, indiquant la détérioration de certaines informations. Le modem demande automatiquement un réacheminement des données abîmées. (définition ARQ ).
ARRACHAGE: Dégradation du papier lors d'une impression. (définition ARRACHAGE).
ARRêT DEFILEMENT: Sur un PC, désignait la touche permettant de faire une pause dans le défilement des informations. (définition ARRêT DEFILEMENT ).
ARRIERE-PLAN: Qualifie une action s?exécutant sans commande directe de l?usager. Désigne aussi un système protégé par une sécurité, c?est-à-dire non accessible immédiatement. (définition ARRIERE-PLAN ).
ARROBE: C?est une version de l?arobase. Elle est adoptée par Microsoft et recommandée par l?ISO. (définition ARROBE ).
ARS: Automatic Route Selection. (définition ARS ).
ART ASCII: Désigne des éléments visuels qui utilisent exclusivement des signes ASCII. (définition ART ASCII ).
ART: Désigne un standard de fichier comportant un élément visuel esthétique. Désigne également l?Autorité de Régulations des Télécoms, qui doit contrôler les agissements des groupes de téléphonie. Désigne enfin l?Automatic Receiver Transmitter. (définition ART ).
ARTEFACT: Désigne une altération de l?aspect d?un visuel. (définition ARTEFACT ).
ARTICLE: Désigne toute communication rendue publique sous une forme écrite. On l?utilise donc notamment pour désigner sur l?Usenet un message posté dans un groupe de news. (définition ARTICLE ).
ARTILLERY: C?est un jeu vidéo archaïque : deux éléments d?artillerie sont face à face, et, au tour par tour, tentent de se détruire. (définition ARTILLERY ).
ARYTHMIQUE: Méthode de transmission asynchrone. Le message transmis contient des informations de synchronisation en lui-même. (définition ARYTHMIQUE).
AS: A la fin d?une URL, signale que le site est basé aux Samoa Américaines. (définition AS ).
AS / 400: Désigne une machine développée par IBM, dont l?exploitation est assurée par le système OS / 400. Ce produit est financièrement parlant essentiel à IMB. (définition AS / 400 ).
ASAP: Cet acronyme signifie « As Soon As Possible », soit « dès que possible ». (définition ASAP ).
ASC: Désigne l?extension associée à un fichier texte au standard ASCII. (définition ASC ).
ASCC: Automatic Sequence Controlled Calculator. Il s?agit d?une machine de calcul d?un poids de 35 tonnes et utilisant 800 km de câbles, développée au sein d?IBM par H. Aiken. La machine effectuait les quatre opérations basiques et pouvait en plus se référer aux informations précédentes. (définition ASCC ).
ASCENDANT: Désigne la compréhension d?un système précédent par un nouveau système. Le contraire est « descendant ». (définition ASCENDANT ).
ASCENSEUR: Désigne l?élément qui, sur la bordure d?une fenêtre, montre à quel « étage » du document on se trouve. Un synonyme est « barre de défilement », un autre, « glissière », un troisième, « slider ». Quand on a besoin d?un repérage sur la largeur du document, on dit « translateur ». (définition ASCENSEUR ).
ASCII ETENDU: C?est une augmentation du standard ASCII. On y trouve 256 caractères, soit 128 de plus que l?ASCII. (définition ASCII ETENDU ).
ASCII: american standard code for information exchange. Tableau faisant correspondre à chaque caractère alphanumérique un code spécial. (définition ASCII).
ASCIIBETIQUE: Désigne le classement ASCII des chaînes. Cet ordre se distingue de l?ordre alphabétique car on trouve d?abord les majuscules, puis les minuscules et en enfin les accents. La prononciation est « askibétique ». (définition ASCIIBETIQUE ).
ASCIIZ: American Standard Code for Information Interchange Zero. C?est une chaîne ASCII close par un 0 qui en signale la fin. On peut aussi indiquer au début la longueur, ce qui explique le maximum de 32767 caractères dans beaucoup de langages. (définition ASCIIZ ).
ASE: Application Service Element. Egalement Account Support Engineer. (définition ASE ).
ASEM: Application Specific Embedded Modules. Désigne une barrette de RAM spécialement développée pour une application précise, par exemple sur une carte mère ou sur un serveur. (définition ASEM ).
ASF: Active X Streaming Format ou Advanced Streaming Format. Désigne un standard de flux spécifique à Microsoft. Egalement Apache Software Foundation. (définition ASF ).
ASHTON-TATE: C?est une entreprise créée par W. Ratliff et G. Tate dans les années 80. Leur plus grande réussite fut dBase. (définition ASHTON-TATE ).
ASI: Actuator Sensor Interface. Désigne un bus dédié aux échanges avec les senseurs ou les actionneurs. Egalement Adapter Support Interface. (définition ASI ).
ASIC: Application Specific Integrated Circuit, soit « Circuit Intégré Spécialisé ». Désigne un circuit intégré produit selon des besoins spécifiques. (définition ASIC ).
ASL: Age, Sex, Location. C?est la question initiale lors d?un premier échange sur une messagerie. La version française est ASV. (définition ASL ).
ASM: C?est le raccourci fréquent d?assembleur. Désigne également un fichier texte qui présente du source en assembleur. (définition ASM ).
ASMP: ASymetric MultiProcessing, soit « Multitraitement Asymétrique ». Se dit d?un système où plusieurs processeurs hiérarchisés se servent de la même mémoire. Cette structure est donc simple de fabrication, mais son efficacité est limitée. Ce type de système s?oppose donc aux MPP et aux SMP. (définition ASMP ).
ASN: Abstract Syntax Notation. Désigne un langage formel par lequel on caractérise le contenu des PDU de SNMP. (définition ASN ).
ASO: Addresses Supporting Organisation. Désigne une structure au sein de l?ICANN, qui alloue les IPs. (définition ASO ).
ASP: Active Server Pages. Langage de programmation développé par Microsoft permettant l'exécution de script sur le serveur, de la même façon que le PHP ou le Perl. (définition ASP).
ASPI: Advanced SCSI Programming Interface. Désigne une API d?Adaptec facilitant la conception de pilote pour les périphériques SCSI. (définition ASPI ).
ASPIRATEUR: On trouve souvent « aspirateur de site » qui désigne un programme pouvant aspirer le contenu d?un site web et l?enregistrer sur le disque de l?ordinateur, à des fins d?économies ou de sauvegarde. Les administrateurs de site n?apprécient pas ce type d?outil parce qu?il aspire le contenu sans « visiter » réellement le site (d?où une diminution des statistiques). (définition ASPIRATEUR ).
ASPIRER: Enregistrer le contenu d?un site. (définition ASPIRER ).
ASR: Automatic Send Receive. Egalement Automatic Speech Recognition. Enfin, Administrateur Système et Réseau. (définition ASR ).
ASSEMBLAGE: Consiste à ranger les cahier suivant un ordre strict. (définition ASSEMBLAGE).
ASSEMBLER: En programmation, désigne le fait de compiler avec un assembleur. C?est également la traduction anglaise d?assembleur. Enfin, assembler désigne le fait de connecter entre elles les parties d?un ordinateur. (définition ASSEMBLER ).
ASSEMBLEUR: Il s?agit d?un programme par lequel on peut convertir du source en langage d?assemblage. C?est également l?appellation usuelle du langage qui se sert des mnémoniques au lieu du code binaire du processeur. C?est un langage peu utile, sauf pour les petits programmes. En ce sens, on peut dire « langage d?assemblage ». Assembleur désigne enfin une personne ou un groupe qui assemble des machines à partir d?éléments fournis (définition ASSEMBLEUR ).
ASSEMBLIER: C?est l?activité de celui qui connecte les parties pré-existantes d?un ordinateur. (définition ASSEMBLIER ).
ASSERTION: Désigne des structures conseillées par certaines méthodes d?ingénierie logicielle. C?est en fait un prédicat visant à repérer toute anomalie due à une méprise dans la programmation. (définition ASSERTION ).
ASSISTANCE: Désigne un appui extérieur destiné à lever un obstacle. Cet appui peut être fourni par une structure ou une personne. (définition ASSISTANCE ).
ASSISTANT PERSONNEL: Désigne un ordinateur de poche comme la gamme des Palm. C?est un synonyme de PDA. (définition ASSISTANT PERSONNEL ).
ASSISTANT: Un assistant numérique désigne un ordinateur de poche fonctionnant avec un écran tactile au lieu du clavier. Sous forme de programme, il désigne un logiciel de soutien pour le maniement d?une autre application. Enfin, « assistant » peut désigner un ajout augmentant les fonctions d?un programme. (définition ASSISTANT ).
ASSP: Application Specific Standard Product. Désigne un circuit intégré développé en vue de son utilisation par un logiciel spécifique. (définition ASSP ).
AST: Atlantic Standard Time. (définition AST ).
ASTERISQUE: C?est le caractère « * », utilisé pour remplacer dans un énoncé un signe quelconque. Par exemple, *BSD peut signifier FreeBSD, OpenBSD, 386BSD etc? (définition ASTERISQUE ).
ASTEROIDS: Désigne le jeu vidéo de référence en matière de jeu de tir, disponible sur arcade dans les années 70, dans lequel un appareil au centre de l?écran doit détruire des astéroïdes. Le vaisseau est un triangle, les astéroïdes, des points. (définition ASTEROIDS ).
ASTI: Association Française des Sciences et Technologies de l?Information. C?est l?organisme qui a remplacé l?AFCET. (définition ASTI ).
ASV: Age, Sexe, Ville. C?est la question qui permet de connaître un peu son interlocuteur sur une messagerie. L?équivalent anglais est ASL. (définition ASV ).
ASVD: Analogic Simultaneous Voice and Data, soit « Voix et Données en Simultanée et en Analogique ». (définition ASVD ).
ASX: Advanced Streaming Redirector, soit « procédé Avancé de Redirection du Flux ». (définition ASX ).
ASYNC: C?est le raccourci d?asynchrone. (définition ASYNC ).
ASYNCHRONE: Désigne un type d?échange de données entre deux machines où les données échangées sont émises et analysée selon une référence de temps différente et un rythme variable. Désigne également le même modèle de communication que précédemment mais cette fois appliqué à des processus. (définition ASYNCHRONE ).
AT: Désigne l?ordre d?exécution unique d?une commande selon une programmation précise. At signale également, à la fin d?une URL, que le site est basé en Autriche. (définition AT ).
AT SIGN: C?est l?équivalent anglais du caractère @, notre arobase. (définition AT SIGN ).
AT&T;: Désigne l?opérateur téléphonique historique aux Etats-Unis. C?est également chez AT&T; qu?a été développé Unix dans les années 70. AT&T; est surnommé Bell (c?est le nom du fondateur), ou « Death Star », en raison d?une ressemblance du logo d?AT&T; avec l?Etoile Noire de Star Wars. (définition AT&T; ).
ATA: Advanced Technology Attachment. Désigne un dispositif d?envoi d?informations du disque dur à la mémoire. Il existe plusieurs évolutions de cette technologie. ATA (qui, d?après l?ANSI, est le synonyme de l?IDE) possède un débit s?élevant à 8,3 Mo/s. ATA-2 (on dit également E-IDE) est un composé d?un élément logiciel présent dans le BIOS et d?un élément matériel dont le débit s?élève à 16,6 Mo/s. La version la plus récente est le Serial ATA. (définition ATA ).
ATA-2: C?est un développement du standard ATA, également désigné E-IDE. L?interface peut accueillir jusqu?à 4 disques de 8,4 Go (définition ATA-2 ).
ATANASOFF, JOHN V.: C?est un physicien américain (1904-1995), concepteur en 1938 du tout premier ordinateur électronique. Il s?est fait voler la vedette par Mauchly et Eckert car leur invention, contrairement à la sienne, pouvait être programmée. (définition ATANASOFF, JOHN V. ).
ATAPI: Particularité de certains périphérique qui indique leur compatibilité avec n'importe quel pc sans avoir la nécessité d'ajouter une carte d'extension. (définition ATAPI).
ATARI ST: Désigne une famille de machines 16 / 32 bits (du 520 ST au Mega ST doté d?une RAM de plusieurs Mo) commercialisées dans les années 80. (définition ATARI ST ).
ATARI: Désigne un groupe américain spécialisé dans la conception de machines de jeu : d?abord les jeux d?arcade, puis les micros (notamment le 800 XL et la suite des ST), enfin les consoles de jeu. La firme n?est plus aujourd?hui que l?ombre de ce qu?elle était au milieu des années 1980. (définition ATARI ).
ATARIEN: C?est le synonyme d?atariste. (définition ATARIEN ).
ATARISTE: Usager d?une machine Atari. Un synonyme est atarien. (définition ATARISTE ).
ATD: Asynshronous Time Division. (définition ATD ).
ATHEOS: Signifie Athena OS. Désigne un système d?exploitation libre pour les micros de bureau, voisin d?Unix. Il utilise un système de fichiers 64 bits et se plie au standard POSIX. (définition ATHEOS ).
ATHLON 64: C?est l?évolution 64 bits de l?Athlon. Ses caractéristiques : 106 millions de transistors, une vitesse minimale de 2 GHz, sur un support de 754 broches. (définition ATHLON 64 ).
ATHLON: C?est un produit de la firme AMD : une puce x86 à 32 bits. Par rapport à ses concurrents d?Intel, de Xeon ou Celeron, il possède une puissance incomparable. (définition ATHLON ).
ATIP: Absolute Time In Pregroove. Sur un CD vierge, désigne la partie préenregistrée qui est constituée de données concernant la constitution du CD et le constructeur. (définition ATIP ).
ATLAS: Désigne un ordinateur de conception anglaise produite dans les années 1960. Elle fut la première machine équipée d?un dispositif de mémoire virtuelle. L?Atlas 400 est quant à lui une messagerie fonctionnant sur Transpac et s?appuyant sur le standard X400. Elle est rendue obsolète par internet. (définition ATLAS ).
ATLAS 400: Système public d'échange d'information développé par Transpac compatible avec la norme x400. (définition ATLAS 400).
ATM FORUM: Désigne le groupement des firmes engagées dans la conception et le développement de réseaux ATM. (définition ATM FORUM ).
ATM: Méthode de communication asynchrone. La technologie ATM permet le transfert de types de données tels que la voix, les images et les données, en utilisant des paquets de tailles fixes, appelés cellules. (définition ATM).
ATOME: Désigne un identificateur ou une variable (qui peut être alphanumérique ou seulement numérique) utilisé en LISP. (définition ATOME ).
ATOMICITE: Qualifie une action complexe qui ne peut être effectuée que si chacun de ses éléments constitutifs est effectué. Ce terme s?applique notamment aux transactions. (définition ATOMICITE ).
ATOMIQUE: Désigne une action qui ne peut être réduite à une suite d?opérations. C?est par exemple le cas d?une commande assembleur du processeur. (définition ATOMIQUE ).
ATRAC: Algorithme de compression audio avec perte, essentiellement utilisé pour les lecteurs minidisc. Ce format audio consiste à supprimer les fréquences n'entrant pas dans le spectre audible, c'est-à-dire entre 20 Hz et 20 kHz. (définition ATRAC).
ATRAC3: Codec audio employé par les lecteurs mp3 de Sony et les lecteurs minidisc. (définition ATRAC3).
ATSC: Australian Telecommunication Standardization Committee, soit « Comité Australien de standardisation des Télécommunications ». Désigne également l?Advanced Television Systems Committee, soit la structure de standardisation du procédé de télévision haute définition compressée en MPEG-2. (définition ATSC ).
ATTACHEMENT: Désigne le procédé par lequel un document est lié à un e-mail. Il sera ensuite converti selon une norme qui le rendra « transférable ». Attachement est la francisation de l?anglais « attachment ». (définition ATTACHEMENT ).
ATTAQUE DISTANTE: Intrusion d'une station de travail par un ordinateur distant, par l'intermédiaire d'un autre pc sur lequel un hacker a ouvert une session. (définition ATTAQUE DISTANTE).
ATTAQUE LOCALE: Attaque touchant l'ordinateur sur lequel un hacker a ouvert une session. (définition ATTAQUE LOCALE).
ATTAQUER: Attaquer une base de données signifie simplement la solliciter. Dans le domaine du piratage, la signification est plus traditionnelle. (définition ATTAQUER ).
ATTENTE ACTIVE: Désigne l?état d?un processus qui se met en boucle en attendant l?occurrence d?une circonstance. (définition ATTENTE ACTIVE ).
ATTENUATION: Désigne la perte d?intensité d?un signal sonore pendant son existence. L?atténuation est quantifiée en décibels. (définition ATTENUATION ).
ATTRIBUT DE FICHIER: Il s?agit d?un ensemble d?informations associées à un fichier, mais qui ne font pas partie du fichier (définition ATTRIBUT DE FICHIER ).
ATTRIBUT: Désigne le raccourci fréquent de « attribut de fichier ». Désigne également d?une qualité essentielle à un élément. (définition ATTRIBUT ).
ATU-C: ADSL Termination Unit ? Central Office. Désigne, au niveau du central, le dispositif qui rend une ligne de téléphone apte à supporter l?ADSL. (définition ATU-C ).
ATU-R: ADSL Termination Unit ? Remote. C?est un dispositif similaire au précédent, mais utilisé sur l?installation de l?usager. (définition ATU-R ).
ATX: Désigne un type standard de carte mère. C?est une évolution du modèle AT dans lequel la puce et les emplacements d?extension ont été pivotés de 90 dégrés. Plus largement, ATX désigne le modèle du boîtier associé à cette carte mère. (définition ATX ).
AU: A la fin d?une URL, signale que le site est basé en Australie. (définition AU ).
AU: Désigne un type de fichier audio compacté fréquent sous Unix. L?algorithme utilisé pour le compactage est le m-law. (définition AU ).
AUA: Traduction française de l'acronyme anglais SAA System Application Architecture, Désigne un ensemble de règles définies par IBM permettant l'indépendance des programmes informatique vis-à-vis du hardware (matériel et réseau). (définition AUA).
AUDIO: C?est le terme très large qui désigne tous les dispositifs et technologies de traitement de phénomènes sonores : conversion en données numériques, amplification du signal, diffusion du phénomène etc?Lié à la vidéo, on a alors un phénomène AV. (définition AUDIO ).
AUDIOCONFERENCE: Désigne une réunion où les participants sont à distance les uns des autres. On utilise une liaison téléphonique ou informatique. (définition AUDIOCONFERENCE ).
AUDIOTEX: Procédé de communication vocal se servant de la numérisation de la voix (définition AUDIOTEX).
AUDITTRAIL: Procédé d'enregistrement de toutes les opérations effectuées sur un réseau afin de repérer les anomalies, les opérations de malveillance ou les intrusions. (définition AUDITTRAIL).
AUG: Apple User Group. Ils sont souvent reconnus et acceptés par Apple. (définition AUG ).
AUGMENTED REALITY: Désigne une réalité à laquelle on a ajouté des informations produites par le virtuel (définition AUGMENTED REALITY ).
AUI: Association des Utilisateurs d?Internet. Désigne également une Attachment Unit Interface, soit « Interface d?Unité de Connexion ». Il s?agit de la prise de connexion à un réseau Ethernet qui réclame l?utilisation d?un adaptateur Ethernet en paire torsadée. L?AUI est située entre une station et un MAU. (définition AUI ).
AUP: Acceptable Use Policy. Désigne l?ensemble de prescriptions qui s?appliquent sur un réseau et qui définissent ce qui y est permis. De 1969 à 1993, les prescriptions étaient celles dictées par la NSF. (définition AUP ).
AUTEUR: Qualifie un logiciel de programmation qui ne nécessite pas la saisie de code. Les applications produites sont souvent lourdes. (définition AUTEUR ).
AUTHENTIFICATION: Procédé permettant de vérifier l'identité d'une personne, largement utilisé dans les réseaux informatiques. L'utilisateur doit alors fournir un nom d'utilisateur et un mot de passe associé. (définition AUTHENTIFICATION).
AUTHENTIFIER: Contrôler et valider l?identité d?une personne ou la conformité d?un message. (définition AUTHENTIFIER ).
AUTHORISER: C?est un vilain anglicisme pour « permettre ». On dirait en français « autoriser ». (définition AUTHORISER ).
AUTO: C?est le raccourci pour automatique. Utilisé comme préfixe, il signale que l?élément en question s?exécute seul. (définition AUTO ).
AUTOCODE: Désigne un type de langage assembleur basique qui ne dispose pas des macros. Conçu par A. E. Glennie en 1952, il convertit les commandes en langage machine utilisable par la machine Mark I. Par extension, autocodage est devenu le synonyme de programmation en langage assembleur symbolique. (définition AUTOCODE ).
AUTOCOM: C?est le raccourci fréquent d?autocommutateur (qui en anglais se dit PBX). (définition AUTOCOM ).
AUTOCOMMENTE: Qualifie un code qui se commente lui-même, c?est-à-dire qui est suffisamment clair pour ne pas avoir besoin d?explication. Un synonyme est « autodocumentaire ». (définition AUTOCOMMENTE ).
AUTOCOMMUTATEUR: Commutateur automatique qui permet la création d'une liaison temporaire entre deux équipements de communication. Utilisé par exemple pour l'établissement d'une communication téléphonique. (définition AUTOCOMMUTATEUR).
AUTOCONFIGURATION: Désigne l?idée selon laquelle un élément pourrait se paramétrer seul, sans action de l?utilisateur. (définition AUTOCONFIGURATION ).
AUTOCOPIANT: Désigne un type de papier NCR utilisable seulement avec les imprimantes matricielles. (définition AUTOCOPIANT ).
AUTODIAGNOSTIC: Désigne un procédé par lequel une machine peut repérer seule la cause de ses disfonctionnements. (définition AUTODIAGNOSTIC ).
AUTODIAL: Désigne le processus de numérotation automatique. (définition AUTODIAL ).
AUTODIALER: En français, se dit composeur. (définition AUTODIALER ).
AUTODOCUMENTAIRE: C?est un synonyme d?autodocumenté ou d?autocommenté. (définition AUTODOCUMENTAIRE ).
AUTODOCUMENTE: Désigne selon la CMTI un appareil informatique qui offre la possibilité d?interroger la documentation associée à cet appareil via l?écran. Désigne également un code source qui possède des commentaires. (définition AUTODOCUMENTE ).
AUTOEXEC: C?est l?appellation des macros et programmes déclenchés à chaque lancement d?un système (définition AUTOEXEC ).
AUTOEXEC.BAT: Désigne le fichier de commandes dont l?exécution est déclenchée par le lancement d?un système fonctionnant sous MS-DOS. (définition AUTOEXEC.BAT ).
AUTOMAGICALLY: Automagiquement, en français. (définition AUTOMAGICALLY ).
AUTOMAGIQUEMENT: Qualifie le fonctionnement prévu et commandé d?un programme. (définition AUTOMAGIQUEMENT ).
AUTOMATE: Désigne une structure qui enchaîne de façon automatique des calculs logiques et arithmétiques. On peut trouver, par exemple, automate cellulaire : il permet de modéliser des phénomènes de la nature. Désigne plus largement tout dispositif, machine ou robot dont le fonctionnement est automatisé. (définition AUTOMATE ).
AUTOMATICIEN: Désigne un technicien oeuvrant dans le milieu des automates. (définition AUTOMATICIEN ).
AUTOMATIQUE: Désigne la science de l?automatisme. Qualifie également ce qui survient sans assistance de l?homme. (définition AUTOMATIQUE ).
AUTOMATISME: Désigne un système développé pour agir seul. (définition AUTOMATISME ).
AUTOMODIFIANT: Parfois « automodifié ». Qualifie un code pouvant se modifier pendant son exécution, ce qui nécessite beaucoup d?attention : il est possible que seul le code présent dans le cache soit reprogrammé. (définition AUTOMODIFIANT ).
AUTOMODIFIE: C?est un synonyme d?automodifiant. (définition AUTOMODIFIE ).
AUTOMONTAGE: Désigne le mécanisme qui permet l?accès à un fichier présent sur un disque. (définition AUTOMONTAGE ).
AUTO-NEGOCIATION: Désigne, pour un périphérique, la possibilité de gérer ses propres rapports avec un autre élément pour le partage des protocoles. (définition AUTO-NEGOCIATION ).
AUTOPLAY: C?est l?exécution automatique de l?application contenue sur un CD-ROM dès l?insertion de celui-ci dans le lecteur. (définition AUTOPLAY ).
AUTOPSIE: C?est un synonyme d?analyse post-mortem, c?est-à-dire l?étude des causes de l?effondrement d?un système. (définition AUTOPSIE ).
AUTOREPONDEUR: Désigne une application assurant la réponse automatique à un e-mail. (définition AUTOREPONDEUR ).
AUTORISATIONS: Désigne un attribut listant les permissions d?accès, essentiellement utilisé avec Unix. C?est le propriétaire d?un fichier qui décide de ces permissions éventuelles. (définition AUTORISATIONS ).
AUTOROOTER: C?est une application d?essai de rootkits sur une multiplicté de machines, qui donc permet des entrées non autorisées. (définition AUTOROOTER ).
AUTOROUTE DE L'INFORMATION: Néologisme qui réfère au programme Clinton Gore, permettant l'intégration aux services de communication de tous les services Internet, tels que la télévision, les divertissements, la téléphonie, le multimédia? (définition AUTOROUTE DE L'INFORMATION).
AUTOROUTES DE L?INFORMATION: En anglais, on a « information superhighway ». Désigne l?idée de relier le monde par un réseau numérique haute vitesse. (définition AUTOROUTES DE L?INFORMATION ).
AUTOSTEREOGRAMME: Désigne un visuel en relief visible sans dispositif particulier (comme les lunettes rouge et bleue), mais avec un effort d?attention consistant à faire le point quelques dizaines de centimètres derrière l?image tout en louchant. (définition AUTOSTEREOGRAMME ).
AUTOSYNC.: C?est le raccourci pour autosynchronisation. (définition AUTOSYNC. ).
AUTOSYNCHRONISATION: Désigne la possibilité, pour un écran, de se paramétrer automatiquement sur la fréquence de l?adaptateur vidéo. C?est une norme sur les moniteurs CRT. (définition AUTOSYNCHRONISATION ).
AUTO-TEST: Désigne le test opéré par un système sur lui-même, le plus souvent lors de son démarrage. Sur un PC, ce test est désigné par le terme de POST, et il est ponctué de signaux sonores. Un tel test est également mené par les périphériques. (définition AUTO-TEST ).
AUTO-WOLF: Désigne un robot développé pour répondre simplement à quelques questions peu complexes. (définition AUTO-WOLF ).
AUUG: Australian Unix and open systems User Group. Désigne la structure des professionnels australiens utilisant Unix et ses copies. Cette structure existe depuis 1975. (définition AUUG ).
AUX: C?est l?appellation du port auxiliaire standard sous MS-DOS, souvent un port série. Ce nom provient de CP / M. (définition AUX ).
AV: C?est l?acronyme d?Audio ? Vidéo. Qualifie les technologies supportant simultanément les données sonores et visuelles. Le terme a été notamment employé par Apple pour caractériser certaines de ses conceptions des années 90 spécialement équipées pour ces tâches. (définition AV ).
AVANT-PLAN: Par opposition à « arrière-plan », qualifie une activité possédant une priorité d?exécution (définition AVANT-PLAN ).
AVATAR: C?est votre représentation graphique dans une réalité virtuelle, par exemple dans un jeu. C?est avant cela l?incarnation terrestre de Vishnou. (définition AVATAR ).
AVERTISSEMENT: C?est la traduction de l?anglais warning. (définition AVERTISSEMENT ).
AVEUGLE: Désigne, sur un disque, une écriture non vérifiée. Désigne également un système qui ne voit pas. C?est le cas d?une sonde qui ne « lit » pas le destinateur d?un e-mail s?il est passé par un routeur. (définition AVEUGLE ).
AVI: Format de fichier vidéo développé par Windows. Plutôt lourd, il n'est pas adapté à la diffusion sur Internet pour les vidéos longues. (définition AVI).
AVIS: Une série de standards de l?UIT. (définition AVIS ).
AVL: C?est l?acronyme d?Adelson, Velskij et Landis qui sont les concepteurs d?un procédé permettant d?obtenir des arbres binaires équilibrés. (définition AVL ).
AVN: Association des Villes Numériques. (définition AVN ).
AVO: Audio / Vidéo Object. C?est un objet qui compose un fichier MPEG-4. (définition AVO ).
AVOCAT: Désigne celui dont l?activité est la défense d?une cause quelconque. (définition AVOCAT ).
AVR: Audio Visual Research. Le terme est assez peu fréquent, et désigne un fichier qui renferme un échantillon. Surtout employé pour un Mac. (définition AVR ).
AVS: Age, Ville, Sexe. C?est une variante d?ASV. (définition AVS ).
AW: A la fin d?une URL, signale que le site est basé à Aruba. (définition AW ).
AW: C?est le raccourci d?AppleWorks, la suite d?application de bureau développée par Apple. (définition AW ).
AWG: American Wire Gauge. Désigne la jauge officielle pour le diamètre des câbles aux Etats-Unis. L?AWG est inversement proportionnel au diamètre du câble. (définition AWG ).
AWK: C?est l?acronyme de Aho, Weinberger et Kernighan. Awk désigne le langage de manipulation d?informations textuelles conçu par les trois hommes. Awk est proche de Perl et sa synatxe ressemble à du C. Désigne aussi (rarement) l?extension d?un fichier contenant un script en Awk. (définition AWK ).
AWT: Abstract Windowing Toolkit. Désigne un kit d?outils de développement d?interfaces graphiques multiplateforme. La programmation se fait en Java. (définition AWT ).
AYBABTU: C?est l?acronyme de All Your Base Are Belong To Us. (définition AYBABTU ).
AYFK: Ask Your Fucking Question, soit littéralement « Pose ta putain de question ». (définition AYFK ).
AYT: C?est l?acronyme de Are You There, soit « Es-tu là ? ». (définition AYT ).
AZ: A la fin d?URL, signale que le site est basé en Azerbaïdjan. (définition AZ ).
AZALIA: Désigne un sous-système audio. Conçu par Intel en 2004, il doit être associé au cartes mères de la marque. L?intérêt principal d?Azalia (outre ses caractéristiques techniques intéressantes : gestion en simultané de 15 voies, prise en charge du format THX Surround) est d?utiliser un pilote unique pour toutes les plateformes. (définition AZALIA ).
AZERTY: Qualifie un clavier français, par opposition à un clavier américain par exemple (QWERTY), en reprenant la suite de caractères qui compose la deuxième ligne. Cette suite semble avoir été choisie pour rendre la saisie plus lente, car une frappe trop rapide entraînait, sur les machines à écrire du passé, un disfonctionnement des marteaux. (définition AZERTY ).
AZT: A Zero Terminal. C?est une des prescriptions de limitation des chaînes en programmation. A Zero Terminal indique qu?un 0 (null) signale la fin de la chaîne. Un synonyme de AZT est ASCIIZ. Une autre méthode consiste à commencer une chaîne en indiquant par un nombre sa longueur totale. (définition AZT ).
B: Désigne le procédé de spécification formelle et de développement mis au point par J-R. Abrial. On peut avec ce procédé construire des codes en partant de machines abstraites. C?est le précurseur lointain de C. Sur un micro, B désigne aussi fréquemment le second lecteur de disquette. (définition B ).
B ISDN: Futur réseau qui permettra l'intégration de tous les services numériques, caractérisé notamment par sa large bande passante. (définition B ISDN).
B TO B TO C: Business to Business to Consumer. | (définition B TO B TO C).
B TO B: Business To Business. Désigne le commerce électronique réalisé directement entre les sociétés. (définition B TO B).
B TO C: Business To Consumer. Désigne le commerce électronique à destination des consommateurs. (définition B TO C).
B TO R: Business to Retailer. C'est l'activité qui va du groupe commercial au détaillant. | (définition B TO R).
B: ZA la fin d'une URL, signale que le site est basé à Belize. | (définition B).
B2B: C?est un synonyme de B to B qui signifie Business to Business. (définition B2B ).
B2C: C?est un synonyme de B to C qui signifie Business to Consumer, ou Business to Client. (définition B2C ).
B2E: Signifie Business to Employee. (définition B2E ).
B2I: Brevet Informatique et Internet. Au collège, c?est une certification des compétences de l?élève en matière d?informatique. (définition B2I ).
B4N: Bye For Now, soit « Au revoir pour l?instant ». Signifie que l?on n?a, pour le moment, plus rien à ajouter. (définition B4N ).
B4STEP: Désigne un gestionnaire de fenêtres pour X11, dont l?originalité est la management des titres. (définition B4STEP ).
BA: A la fin d?une URL, signale que le site est basé en Bosnie-Herzégovine. (définition BA ).
BABASSE: Désigne une machine, souvent un micro personnel. On trouve comme synonyme bécane. (définition BABASSE ).
BABBAGE, CHARLES: C?est le concepteur de la « machine analytique » en 1850, une mécanique de calcul qui n?a jamais marché du vivant de son inventeur. La programmeuse de cette machine n?était autre que la comtesse de Lovelace. La machine analytique a fini par fonctionner la fin du siècle dernier, grâce aux progrès réalisés en termes d?usinage des pièces. Elle utilisait un lecteur de carte perforée et était associée à une imprimante. La machine est visible au Science Museum de Londres. (définition BABBAGE, CHARLES ).
BABILLARD: Désigne un petit réseau simple surtout utilisé dans les années 80, destiné à l?échange d?informations, à la discussion. Beaucoup plus petit que l?internet, disponible via modem, il est aujourd?hui confidentiel. En anglais, on utilise le terme BBS. (définition BABILLARD ).
BABY AT: Désigne une classe de carte mère de taille inférieure (d?ou le terme de Baby) ayant succédée à celle employée dans les premiers AT d?IBM. C?est la classe souvent rencontrée dans les Pentiums, les 386 ou 486. Lui a succédé la classe des ATX. (définition BABY AT ).
BABY ATX: Désigne une évolution de l?ATX. (définition BABY ATX ).
BABY BELL: C?est le surnom employé pour désigner les groupes nés du fractionnement de Bell (pour mettre fin au monopole). L?appellation officielle est RBOC, Regional Bell Operating Company. Ces groupes sont au nombre de sept, auxquels on ajoute AT&T.; (définition BABY BELL ).
BABYLON: Désigne un milieu de développement pour les systèmes experts. (définition BABYLON ).
BAC: C?est le raccourci pour BACkup, la copie de sauvegarde. Plus fréquemment, on utilise le terme BAK. (définition BAC ).
BACK ORIFICE: Désigne un cheval de Troie fameux. Il s?agit d?un simple client de contrôle à distance. (définition BACK ORIFICE ).
BACK PRESSURE: Désigne une fonctionnalité de contrôle de flux qui arrête l?émission si le flux rencontre une congestion. Elle fonctionne dans le mode half-duplex, pour un switch. (définition BACK PRESSURE ).
BACKBONE CABAL: Signifie « la cabale de la dorsale ». Désigne un groupe non officiel de surveillance du trafic Usenet, constitué des gestionnaires de sites. Il a disparu. (définition BACKBONE CABAL ).
BACKBONE: Partie central d'un réseau d'entreprise, elle permet de connecter entre eux plusieurs sous réseau et représente la zone la plus performante et la plus sure du réseau. (définition BACKBONE).
BACKDOOR: Signifie « la porte de derrière ». Désigne un accès dissimulé dans un système, utilisé pour le débugger puis oublié, sauf par celui qui cherche à s?introduire dans le système sans autorisation. (définition BACKDOOR ).
BACK-END: a traduction française est « arrière-plan ». C?est le contraire de « front-end ». (définition BACK-END ).
BACKPLANE: C?est le synonyme de carte mère. (définition BACKPLANE ).
BACK-PORT: C?est la conséquence du back-porting. (définition BACK-PORT ).
BACK-PORTING: Désigne l?action qui consiste à importer les développements d?une application vers sa version antérieure. L?intérêt est de pouvoir faire l?économie d?une mise à jour. (définition BACK-PORTING ).
BACKSLASH: C?est un synonyme d?antislash. (définition BACKSLASH ).
BACKSPACE: Sur un clavier, cette touche supprime le signe (ou la suite sélectionnée) situé à gauche du curseur. (définition BACKSPACE ).
BACKUP: Mot anglais pour sauvegarde informatique. Consiste à copier des fichiers sur un support séparé. (définition BACKUP).
BACTERIORHODOPSINE: Désigne une molécule qui peut changer d?état sous l?action d?une intensité lumineuse. Comme cette molécule connaît seulement deux types d?état, et que ces deux états sont consistants, elle pourrait être employée pour développer des circuits bioélectroniques d?archivage d?informations binaires. (définition BACTERIORHODOPSINE ).
BAD: Broken As Design. Egalement « mauvais ». (définition BAD ).
BADAUD: C?est l?équivalent du « lurker » anglais. Sur l?Usenet, un badaud désigne celui qui se cantonne à des activités de lecture. On peut dire également « lecteur silencieux », ou, mieux, « consommateur passif ». (définition BADAUD ).
BAGUETTE MAGIQUE: Désigne, dans un logiciel de correction graphique, un outil voisin du lasso. Il sélectionne un zone en fonction d?une tolérance de teintes. C?est également un objet utilisé pour corriger des couleurs dans une application de CAO. (définition BAGUETTE MAGIQUE ).
BAIE: C?est un synonyme de rack. (définition BAIE ).
BAK: C?est le raccourci pour BacKup. Il désigne un fichier contenant une version antérieur d?un document donné. C?est aussi l?acronyme de Back At Keyboard, soit « de retour devant le clavier ». (définition BAK ).
BAL: Désigne l?acronyme de Boîte à Lettres. Sur un disque, c?est la zone (réservée à un usager) où sont archivés les e-mails reçus qui attendent la lecture. En anglais, on trouve MBX. (définition BAL ).
BALADEUR MP3: Désigne un appareil numérique diffusant des données au format MP3. La plupart prennent en charge d?autres standards. (définition BALADEUR MP3 ).
BALADEUR: C?est la traduction française de « walkman ». Désigne tout appareil portable diffusant des données sonores. Il peut utiliser une bande magnétique, un CD, ou une RAM. Dans ce dernier cas, le standard des fichiers est souvent le MP3. Le premier modèle de lecteur MP3 portable a été commercialisé 1998, sous le nom de Rio. (définition BALADEUR ).
BALAYAGE: Analyse d'une image ligne à ligne par l'intermédiaire d'un rayon lumineux, le plus souvent dans le cadre d'une numérisation (scanner). (définition BALAYAGE).
BALAYER: Opérer un balayage. (définition BALAYER ).
BALISAGE: Introduire des repères appelés balise dans un document. (définition BALISAGE ).
BALISE: Utilisé en langage xml et html pour la délimitation d'un groupe de mot ayant une propriété commune. (définition BALISE).
BALLADEUR: Désigne, mal orthographié, un baladeur. (définition BALLADEUR ).
BALUN: BALanced / Unbalanced. Désigne un type de jonction qui rend possible la connexion d?un câble symétrique à un câble asymétrique. (définition BALUN ).
BAN: Désigne l?avis qu?on adresse à celui qu?on souhaite bannir. (définition BAN ).
BANC D?ESSAI: Désigne la modélisation en vue d?un test de l?environnement de la bonne marche d?un système. Le banc d?essai est souvent confondu avec le « benchmark » qui ne teste que les performances. (définition BANC D?ESSAI ).
BANCATIQUE: Désigne le groupe des procédés informatiques et électroniques développé pour et utilisé par le milieu de la banque. (définition BANCATIQUE ).
BANDE CARBONEE: Désigne un ruban encreur mono-utilisation. Ce dispositif est aujourd?hui obsolète. (définition BANDE CARBONEE ).
BANDE DE BASE: Désigne un dispositif d?envoi d?informations sans modulation de celles-ci. (définition BANDE DE BASE ).
BANDE MAGNETIQUE: Il s?agit d?une bande où la lecture des données se fait par la mesure de la direction d?éléments magnétiques sur la bande. (définition BANDE MAGNETIQUE ).
BANDE OPTIQUE: L?écriture et la lecture se font par diode laser. (définition BANDE OPTIQUE ).
BANDE: C?est le raccourci fréquent par lequel on désigne une bande magnétique. C?est un support de sauvegarde de données, qu?on utilise avec un streamer (en anglais tape drive). Le désavantage majeur de la bande est, outre l?usure est la possibilité de rupture, la durée d?accès à une information. Il faut en effet parfois plusieurs dizaines de secondes pour atteindre une donnée. (définition BANDE ).
BANDE PASSANTE: Intervalle de fréquence utilisable sur une voie de communication. Plus la bande passante est large, plus la communication est rapide. (définition BANDE PASSANTE).
BANDEAU DE PUB: Désigne un visuel souvent animé présent sur une page web, qui veut attirer l?attention sur tel produit ou tel site. Le standard utilisé est souvent le GIF. (définition BANDEAU DE PUB ).
BANDE-MERE: C?est le synonyme de master, c?est-à-dire l?original d?une bande. (définition BANDE-MERE ).
BANG PATH: Désigne un inventaire de noms de sites, où ceux-ci sont séparés par des « ! », et qui décrit le routage d?une communication. (définition BANG PATH ).
BANG: C?est l?appellation du signe « ! » en anglais. (définition BANG ).
BANNIERE DE LOGIN: C?est le synonyme de « Display Manager ». (définition BANNIERE DE LOGIN ).
BANNIERE: Désigne la première page d?une application (définition BANNIERE ).
BANNIR: Désigne le fait d?exclure une personne d?un IRC. C?est l?opérateur de l?IRC qui prend cette décision. (définition BANNIR ).
BANQUE DE DONNEES: Le sens est proche de celui d?une base de données, à la différence que la base exclu la répétition et est plus strictement structurée. (définition BANQUE DE DONNEES ).
BANQUE: Désigne un segment sur une mémoire. Entre deux banques, la distance est mesurée, en octets, par la granularité. L?équivalent anglais est « bank ». (définition BANQUE ).
BANYAN VINES: Banyan Virtual Networking System. Désigne l?OS réseau, basé sur Unix Système V, développé par Banyan Systems Inc. Il connecte des PC ou mainframes en un réseau illimité en utilisant un contrôle de sécurité et fonctionne sur un serveur DOS ou OS / 2. Le groupe a changé d?activité en 1999, se muant en fournisseur de services internet. (définition BANYAN VINES ).
BAP: Body Animation Parameters, soit Paramètres d?Animation Corporelle. (définition BAP ).
BAR: Base Address Register, soit « registre d?adresse de base ». (définition BAR ).
BAR: Signifie exemple dans un environnement anglo-saxon. (définition BAR ).
BARAN, PAUL: Ingénieur à la RAND Corporation, il s?est penché sur la commutation de paquets, pendant la Guerre Froide. (définition BARAN, PAUL ).
BARBONE: C?est une orthographe fausse pour Barebone. (définition BARBONE ).
BARBOUILLER: C?est un synonyme de défacer, c?est-à-dire abîmer le visuel d?un site web. (définition BARBOUILLER ).
BAREBONE: Désigne un boîtier vide à l?exception d?une alimentation, vendu à celui qui prévoit d?assembler sa machine. (définition BAREBONE ).
BAREWORD: Littéralement « mot nu ». En Perl, désigne un terme qui n?appartient pas au langage, ni n?est associé à une variable etc..Du point de vue du langage, il ne signifie rien. (définition BAREWORD ).
BARRE D?ESPACE: Désigne abusivement la touche d?espacement. (définition BARRE D?ESPACE ).
BARRE D?ESPACEMENT: Désigne la longue touche en bas d?un clavier, qui permet d?espacer deux caractères. (définition BARRE D?ESPACEMENT ).
BARRE D?ETAT: Désigne une suite de caractères donnant des informations sur l?état du logiciel utilisé. Elle est située le long du bord inférieur d?une fenêtre. (définition BARRE D?ETAT ).
BARRE D?ICôNES: C?est un synonyme de barre d?outils. Elle présente un suite d?icônes se référant à différents outils. (définition BARRE D?ICôNES ).
BARRE D?OUTILS: C?est un synonyme de barre d?icônes. (définition BARRE D?OUTILS ).
BARRE DE MENU: Désigne l?élément horizontal situé sur le bord supérieur d?une fenêtre, par lequel on accède aux menus déroulants. (définition BARRE DE MENU ).
BARRE DE REGLAGES: Dans MacOs, désigne la barre qui donne accès au paramétrage de différents éléments tels que le volume. Cette barre se déploie en travers de l?écran. (définition BARRE DE REGLAGES ).
BARRE DE TITRE: Désigne la partie supérieure d?une fenêtre. Y figurent le nom de la fenêtre, celui du document qu?elle affiche ainsi que les boutons nécessaires à la gestion de cette fenêtre (fermer, agrandir, réduire). (définition BARRE DE TITRE ).
BARRE DES TâCHES: Indique de façon horizontale quelles sont les fonctions actuellement utilisées par l?utilisateur. Les processus engagés par le système n?apparaissent pas dans cette barre. (définition BARRE DES TâCHES ).
BARRE OBLIQUE INVERSE: C?est le français officiel et peu utilisé pour antislash. (définition BARRE OBLIQUE INVERSE ).
BARRE: Désigne un élément beaucoup plus long que large. Les significations sont nombreuses. (définition BARRE ).
BARREL SHIFTER: Désigne un type de raccordement par câble à l?intérieur d?un microprocesseur. Ce raccordement est très rapide car il peut effectuer jusqu?à 8 shifts dans un cycle machine. (définition BARREL SHIFTER ).
BARRETTE: Désigne une carte composée de RAM qui, une fois installée, permet d?augmenter la RAM totale de la machine. Les différents standards sont SIPP, DIMM, SIMM etc? (définition BARRETTE ).
BARRIERE DE SECURITE: C?est un synonyme de pare-feu. Désigne donc de manière officielle un firewall. (définition BARRIERE DE SECURITE ).
BAS NIVEAU: Désigne un langage de programmation peu développé. Qualifie également ce qui est proche du niveau système. (définition BAS NIVEAU ).
BAS: Désigne un fichier renfermant du source en BASIC, qui n?est pas toujours codé en ASCII. (définition BAS ).
BAS DE CASSE: Terme de typographie désignant la partie inférieure de la casse, là où se trouve les lettres minuscules. Ce terme désigne donc simplement les minuscules. (définition BAS DE CASSE).
BASCULAGE: Désigne le retournement d'une feuille de papier dans le but d'une impression recto verso (définition BASCULAGE).
BASCULE: Qualifie ce qui possède deux états, un interrupteur lumineux quelconque, par exemple. Désigne également une classe de circuit à deux états qui peut contenir des données, tel qu?employé dans les SRAM. Plus généralement, bascule désigne tout interrupteur. L?anglais dit « flip-flop ». (définition BASCULE ).
BASCULEMENT: C?est un synonyme de migration. (définition BASCULEMENT ).
BASE DE CONNAISSANCES: C?est la traduction de « Knowledge Base » : une base de données compilant des questions et leurs réponses. Ce type de base est largement utilisé par les helpdesks. (définition BASE DE CONNAISSANCES ).
BASE DE DONNEES: Désigne une compilation ordonnée, interrogeable et modifiable d?informations. Par extension, elle désigne tout stock d?informations. En anglais, on a Database (DB) (définition BASE DE DONNEES ).
BASE DE REGISTRES: Désigne un type spécifique de base de données. Y est archivée la forme d?un système Windows 95 ou Windows NT. On parle en anglais de registry. (définition BASE DE REGISTRES ).
BASE: En numération, indique le nombre de chiffres utilisé dans un système. On parle par exemple d?une base hexadécimale quand on utilise un système à 16 chiffres. Désigne aussi, dans un tableau, le plus petit élément de ce tableau, souvent le 0 ou le 1. C?est également le raccourci pour désigner une base de données. (définition BASE ).
BASE DE DONNEES RELATIONNELLE: En plus d'une base de donnée BDD, les tableaux d'une BDD relationnelle contiennent des relations entre les différentes tables, identifiables par des entités communes entre deux tables. (définition BASE DE DONNEES RELATIONNELLE).
BASE DE DONNEES: Ensemble de tableaux contenant des données de différents types. Utilisé pour le stockage de volume de données important. (définition BASE DE DONNEES).
BASE64: Désigne le standard d?encodage des signes 8 bits sur 6 bits, tel que défini par la RFC 2045. Un ensemble de 3 octets est converti en 4 groupes de 6 bits. Ce standard permet, dans un réseau qui ne connaît pas les accents, d?envoyer des informations binaires. (définition BASE64 ).
BASEWARE: L?OSI donne comme définition « logiciel des couches basses ou inférieures ». (définition BASEWARE ).
BASH: Bourne Again Shell. Désigne un shell complet mis au point par la FSF. Il est associable à sh auquel il ajoute les développements introduits par csh et ksh. Le plus souvent, il est utilisé sous Linux et BeOS. (définition BASH ).
BASHISME: Désigne un élément de syntaxe du shell bash. (définition BASHISME ).
BASIC: Beginner?s All purpose Symbolic Instruction Code. Désigne le langage mis au point par Kemeny et Kurtz en 1964. Il souffre d?une mauvaise réputation (peut-être injustifiée) liée à son extrème simplification. Selon certains, BASIC signifierait « Bloody Awful System It Creates », soit « il crée un système sacrément affreux ». (définition BASIC ).
BAT: Désigne le fichier qui renferme un programme d?analyse par lots. Désigne également la Block Address Translation, ou bien le Baby AT. (définition BAT ).
BATCH: Désigne le fonctionnement par file d'attente d'un système : les instructions ne sont pas effectués lors de l'arrivée, mais d'abord toute regroupées dans la file puis exécutées en une séquence. (définition BATCH).
BATTERIE: Désigne un instrument de percussion, pris en charge par le standard MIDI. Désigne également une suite d?élément de même nature. Plus spécifiquement, il s?agit d?une suite d?accumulateurs chargée d?alimenter en électricité un appareil. C?est le point faible des ordinateurs portables. (définition BATTERIE ).
BAUD: Unité d'information, utilisé pour définir une vitesse de transmission. 1 baud/s ne correspond pas toujours à 1 bits/s car l'unité d'information peut être de plusieurs bits suivant le type de réseau. (définition BAUD).
BAUDOT, EMILE: Né en 1846, mort en 1903, il a donné son nom au code qu?il a inventé, ainsi qu?au Baud. (définition BAUDOT, EMILE ).
BAVARDAGE: C?est un équivalent français et rare de l?anglais chat. (définition BAVARDAGE ).
BAVER: Caractérise des couleurs qui débordent de leur zone. Les raisons sont multiples : une programmation erronée, un fonctionnement anormal du matériel de visualisation? (définition BAVER ).
BB: A la fin d?une URL, signale que le site est basé à la Barbade. (définition BB ).
BB: C?est le raccourci fréquent de Blackbox. (définition BB ).
BBIAB: Be Back In A Bit, soit « je reviens dans un moment ». C?est une évolution de BBIAF (définition BBIAB ).
BBIAF: Be Back In A Few minutes, soit « de retour dans quelques minutes ». (définition BBIAF ).
BBL: Be Back Later, soit « je reviens un peu plus tard ». C?est une variante d?AFK dans une messagerie instantanée. (définition BBL ).
BBN: Bye Bye Now, « au revoir, maintenant », quand il s?agit vraiment d?interrompre la conversation. (définition BBN ).
BBS: Serveur de messagerie sur lequel des utilisateurs déposent des messages. Les BBS peuvent être payant ou non. (définition BBS).
BBT: Balanced Binary Tree, soit « Arbre Binaire Equilibré ». Désigne un B-tree où le nombre de feuilles associées à chaque n½ud est limité à deux. (définition BBT ).
BCC: Blind Carbon Copy, soit « Copie Carbone Aveugle ». Désigne la copie d?un e-mail envoyé à plusieurs personnes dans lequel les adresses sont masquées. Un destinataire ne peut donc pas lire l?adresse d?un autre destinataire, ni savoir qu?une copie a été envoyée à d?autres. En français, on emploie (assez rarement) le terme de CCI. Cette norme est définie dans la RFC 822. (définition BCC ).
BCD: Table de codage des caractères alphanumériques. Le BCD utilise 6 bits, il y a donc 64 caractères possibles, mais ce format tend à être supplanté par l'ASCII (définition BCD).
BCNU: Be Seeing You, « on se voit plus tard ». Une variante est « BCNU L8TER ». (définition BCNU ).
BCP: Best Current Practice, soit « la Meilleure Pratique Actuelle ». A distinguer d?une norme, ces documents des RFC sont proposés par l?IESG et soumis à l?approbation de l?IETF. (définition BCP ).
BCRCI: Désigne un service de la police judiciaire : la Brigade de Répression de la Criminalité Informatique. C?est l?équivalent en province du SEFTI parisien. (définition BCRCI ).
BCS: Système de liaison câblée développé par Bull (définition BCS).
BD: A la fin d?une URL, signale que le site est basé au Bangladesh. (définition BD ).
BD: C?est un raccourci pour base de données, également pour Baud. Enfin, c?est l?acronyme de Barrel Distortion : une distorsion de l?affichage selon l?axe vertical dans les écrans CRT. (définition BD ).
BDA: BIOS Data Area. Désigne la région du BIOS sont archivées des données relatives à la structure matérielle de l?ordinateur. (définition BDA ).
BDD: C?est un raccourci pour Base De Données. (définition BDD ).
BDP: Body Definition Parameters. (définition BDP ).
BE: A la fin d?une URL, signale que le site est basé en Belgique. Désigne aussi un groupe créé par J-L. Gassée. Le groupe a notamment produit la BeBox. Seul l?OS existe encore (BeOS), l?entreprise a disparu. (définition BE ).
BEAMER: En anglais, beam signifie rayon. Il s?agit d?un type de transport d?informations qui s?effectue par un rayon au lieu des câbles classiques. Le rayon en question est souvent un rayon infrarouge. (définition BEAMER ).
BEASTIE: C?est un surnom de la mascotte de BSD. La prononciation de Beastie est très proche de celle de BSD. (définition BEASTIE ).
BEAT THEM UP: Désigne un type de jeu vidéo où deux personnages s?affrontent. Le représentant le plus connu d?un beat them up est Street Fighter. (définition BEAT THEM UP ).
BEAT?EM UP.: C?est une variante de Beat them up. (définition BEAT?EM UP. ).
BEAUTIFIER: Le français dit « embelliseur ». Il s?agit d?un type d?application qui doit embellir un code source (définition BEAUTIFIER ).
BEBOX: Désigne une machine conçue par Be. Le micro est basé sur des PowerPCs et prend en charge les standards PC (PCI, ISA, SCSI ou IDE). Seul l?OS, BeOS, existe encore. (définition BEBOX ).
BECANE: C?est le surnom d?un ordinateur, souvent un micro. (définition BECANE ).
BEDO DRAM: Burst EDO DRAM. Désigne une DRAM EDO marchant en mode burst : un fonctionnement à vitesse accélérée sur une courte durée, suivie d?une resynchronisation avec le bus. (définition BEDO DRAM ).
BEEP: Blocks Extensible Exchange Protocol. Désigne un protocole d?échange de datas au standard XML en mode asynchrone de pair à pair. Il est très proche du http. Cette norme est définie dans la RFC 3080. (définition BEEP ).
BEEP: Désigne un signal sonore émis par une machine. Sa signification peut être multiple, bonne ou mauvaise selon les événements. Désigne également un pager qui sonne et indique qu?une personne souhaite vous contacter. Le marché du pager est aujourd?hui très réduit. (définition BEEP ).
BEFTI: Désigne une section de la police judiciaire : la Brigade d?Enquêtes sur les Fraudes aux Technologies de l?Information. C?est l?ancienne SEFTI, elle opère surtout à Paris. (définition BEFTI ).
BEG: Big Evil Grin, soit « Grand Sourire Maléfique ». Dans une messagerie, indique qu?on est très satisfait d?avoir fait quelque chose de quelque peu répréhensible. (définition BEG ).
BELL: Désigne la firme de télécommunication fondée par l?inventeur du téléphone. L?entreprise a ensuite explosé à la demande des autorités antitrust américaines, donnant naissance aux Baby Bell. (définition BELL ).
BELL, GRAHAM: A 29 ans, il a inventé le téléphone puis a fondé sa firme de télécommunication. (définition BELL, GRAHAM ).
BELLCORE: BELL Communications Research. Désigne la structure de recherche partagée par les entrprises nées du démantèlement de l?empire Bell. (définition BELLCORE ).
BELLE PAGE: Désigne la page droite ou le recto d'un document. (définition BELLE PAGE).
BENCH: C?est un raccourci pour benchmark. (définition BENCH ).
BENCHMARK: Désigne une série d?essais effectués sur une machine ou un système afin d?en qualifier les performances, souvent à des fins de comparaisons. (définition BENCHMARK ).
BENCHMARKING: Désigne la caractérisation précise des possibilités d?un système en vue d?une comparaison. On emploie ce procédé pour rendre plus performants les systèmes d?informations. (définition BENCHMARKING ).
BENDAY: Procédé consistant à superposer des trames d'une certaine couleur primaire afin d'obtenir une autre couleur. (définition BENDAY).
BEOS: C?est l?OS développé par Be, qui reprend certains éléments d?Unix, avec un shell bash. A l?origine implanté dans les BeBoxes du même groupe, il a ensuite migré vers les Macs puis les PCs. Multitâches, il prend en charge un bon nombre de dispositifs GNU. (définition BEOS ).
BEOWULF: Désigne un type de machine, constituée de plusieurs ordinateurs (appelés n½uds) travaillant en parallèle et dirigés par un serveur. Le premier Beowulf est l?½uvre de la NASA. Une machine de ce type n?emploie que des équipements standards tant pour ses ordinateurs que pour son OS (Linux) ou ses éléments de réseau. Le nom vient du héros d?un poème épique anglais, le premier composé dans cette langue. (définition BEOWULF ).
BER: Bit Error Rate. C?est une mesure de la qualité de la transmission, qui s?appuie sur le ratio de bits faux. (définition BER ).
BERNERS-LEE, TIM: C?est le concepteur du web en 1989 et l?auteur du premier navigateur en 1990. (définition BERNERS-LEE, TIM ).
BERT: Bit Error Rate Test. Désigne le test effectué pour juger de la qualité de la ligne utilisée pour une transmission. Il utilise le rapport du nombre de bits défectueux sur le nombre total de bits envoyés. (définition BERT ).
BêTA TESTEUR: Désigne l?utilisateur qui accepte d?essayer une bêta version puis de rendre compte de ses essais. Il peut souvent bénéficier d?une aide technique. (définition BêTA TESTEUR ).
BêTA VERSION: Il s?agit d?une version complète d?un logiciel, mais non encore complètement débuggée. Elle est donc utilisée en vue d?être testée. On peut trouver beta ou béta au lieu de bêta. (définition BêTA VERSION ).
BETTERWHOIS: Désigne un prestataire de recherche des groupes administrant les noms de domaines sur le web. L?ICANN ayant mis fin au privilège de Network Solutions dans ce domaine, ces sociétés sont en effet multiples. (définition BETTERWHOIS ).
BETWEENING: C?est un synonyme peu fréquent de tween. (définition BETWEENING ).
BEUGUE: C?est une tentative de francisation du bug. (définition BEUGUE ).
BEURK: C?est un surnom du PC, son usager étant alors un beurkiste. Il est utilisé par un applemaniaque. Un tel dédain est contestable, dans la mesure où les PCs sont devenus plus performants que les Macs. (définition BEURK ).
BEURKISTE: Désigne le surnom donné par un fanatique d?Apple à l?usager d?un PC. (définition BEURKISTE ).
BEZIER: En CAO ou dans la production d?images synthétiques, les courbes de Bézier aident à produire des modèles de surface ou des formes. Quelques points suffisent souvent au dessin d?une courbe complexe. Le nom est celui de Pierre Bézier, l?inventeur de ces courbes. (définition BEZIER ).
BEZIER, PIERRE.: C?est l?ingénieur qui a mis au point les courbes de Bézier. (définition BEZIER, PIERRE. ).
BF: A la fin d?une URL, signale que le site est basé au Burkina-Faso. (définition BF ).
BFC: BrieFCase. Désigne la sacoche dans laquelle on transporte un ordinateur portable. (définition BFC ).
BFD: Big Fucking Deal, soit littéralement « une putain de grosse affaire » (définition BFD ).
BFG: Big Fat Grin, soit « un bon gros sourire ». Egalement un Big Fuckin?Gun, c?est-à-dire, dans Doom, le BFG9000. (définition BFG ).
BFN: Bye For Now, « pour l?instant, c?est tout , à plus tard ». (définition BFN ).
BFS: Breadth First Search. C?est une évolution du spanning-tree : on construit l?arbre selon la largeur du graphe. (définition BFS ).
BFT: Binary File Transfer, soit « Transfert Binaire de Fichier ». Il est en train de devenir le standard en lieu et place du transfert en mode caractère. (définition BFT ).
BG: A la fin d?une URL, signale que le site est basé en Bulgarie. (définition BG ).
BG: Background. Egalement Big Grin, « un grand sourire ». (définition BG ).
BGA: Ball Grid Array. Désigne un standard d?éléments qui constituent une mémoire (définition BGA ).
BGCOLOR: Background Color. Désigne un repère par lequel on caractérise une couleur d?arrière-plan sur une page web écrite en HTML. (définition BGCOLOR ).
BGE: Branch If Greater or Equal. C?est l?appellation du mnémonique en assembleur qui commande une connexion si une variable atteint ou dépasse une valeur donnée. (définition BGE ).
BGI: Borland Graphic Interface. Désigne une interface par laquelle, en utilisant les langages sous le DOS de Borland, on produit des sorties graphiques. (définition BGI ).
BGP: Border Gateway Protocol. Désigne le protocole par lequel les passerelles sur internet se transmettent des informations sur le routage. Sa version le plus récente est le BGP-4. (définition BGP ).
BGT: Branch If Greather Than. Désigne le mnémonqiue en assembleur qui commande le branchement à condition qu?une variable dépasse une valeur donnée. C?est un synonyme de BHI. (définition BGT ).
BH: A la fin d?une URL, signale que le site est basé à Bahreïn. Désigne également BlackHole, une extension de fichier au format BlackHole. (définition BH ).
BHI: Branch if HIgher. C?est le synonyme de BGT. (définition BHI ).
BHIS: Branch if Higher or Same. C?est le synonyme de BGE. (définition BHIS ).
BI: A la fin d?une URL, signale que le site est basé au Burundi. (définition BI ).
BIB: C?est le raccourci pour désigner un fichier renfermant une bibliographie, souvent associé à LaTeX. (définition BIB ).
BIBLE: Désigne un ouvrage faisant autorité dans un domaine donné. (définition BIBLE ).
BIBLIOTHECAIRE: Désigne une famille de logiciels d?administration de bibliothèques. (définition BIBLIOTHECAIRE ).
BIBLIOTHEQUE: Désigne un groupe de fonctionnalités dont les caractéristiques sont éditées, et donc à la disposition de différentes applications. L?extension des fichiers bibliothèques ont une extension .lib. (définition BIBLIOTHEQUE ).
BIBTEX: Désigne un logiciel d?archivage et analyse de bibliographie. Désigne également le format d?un fichier de ce logiciel. (définition BIBTEX ).
BIBTEXML: Désigne la visualisation XML d?un fichier BibTeX. (définition BIBTEXML ).
BICAPITALISATION: Désigne la tendance qui veut qu?on écrive l?appellation d?un groupe ou d?un logiciel sans respecter une casse unique (définition BICAPITALISATION ).
BICBW: But I Could Be Wrong, soit « Mais il est possible que je me trompe ». (définition BICBW ).
BICHROMIE: Procédé d'impression en deux couleurs. (définition BICHROMIE).
BICMOS: Composant cmos amélioré, sur lequel vient se greffer un module bipolaire. Le nouveau composant est plus puissant mais chauffe plus. (définition BICMOS).
BIDI: C?est le raccourci de bidirectionnel. (définition BIDI ).
BIDIRECTIONNEL: Qualifie une méthode de communication qui peut s'effectuer dans les deux sens. Si la communication est réellement simultanée, il s'agit d'une communication full duplex, sinon semi duplex. (définition BIDIRECTIONNEL).
BIDOUILLAGE: Désigne une petite opération sur un système, une machine. Le terme n?est pas toujours péjoratif. (définition BIDOUILLAGE ).
BIDOUILLE: Désigne un petit programme, quelques lignes de code vite écrites et non documentées. (définition BIDOUILLE ).
BIDOUILLER: Désigne le fait de concevoir rapidement et d?appliquer une petite programmation simple, avec des moyens réduits. L?anglais dit kluge. (définition BIDOUILLER ).
BIDOUILLEUR: Désigne celui qui se spécialise dans le bidouillage, avec un sens péjoratif. Les codes d?un bidouilleur sont inexploitables par toute autre personne, car ils ne sont jamais documentés. (définition BIDOUILLEUR ).
BI-ENDIAN: Désigne une machine capable de conserver des informations en little endian ainsi qu?en big endian. (définition BI-ENDIAN ).
BIENFOUTOSE: Désigne le fait d?être bien conçu, « bien foutu ». Le contraire est « malfoutose ». (définition BIENFOUTOSE ).
BIG 8: Désigne les plus grandes hiérarchies en matière de newsgroups, au nombre de 8 : soc, comp, news, humanities, rec, sci, talk et misc. Ces hiérarchie ont des modérateurs. (définition BIG 8 ).
BIG BLUE: C?est le surnom de la firme IBM qui synthétise la couleur de son logo et sa taille, en ajoutant une référence peu flatteuse au Big Brother du roman d?Orwell « 1984 ». (définition BIG BLUE ).
BIG BROTHER: C?est le nom du personnage dans « 1984 » d?Orwell, le tyran (ou structure tyrannique?) qui voit tout et sait tout. (définition BIG BROTHER ).
BIG ENDIAN: Représente un mode de conservation des nombres dans des octets. Une donnée est conservée en big endian lorsque l?octet de poids fort est conservé avant l?octet de poids faible. La classe des 680x0 de Motorola, par exemple, utilise ce type de stockage. Le contraire est little endian (définition BIG ENDIAN ).
BIGNUM: Signifie BIG NUMber. S?applique aux nombres contenant au minimum vingt chiffres. (définition BIGNUM ).
BIGOT: Désigne celui qui raisonne par dogmes, poussant ainsi aux guerres de religions. (définition BIGOT ).
BILBOQUET: Ensemble des cartes, faire-part, facture (définition BILBOQUET).
BI-LEVEL: Qualifie un élément visuel composé de pixels n?utilisant que deux couleurs, en particulier le noir et le blanc. Un fax est bi-level. (définition BI-LEVEL ).
BILIP: C?est une variant du beep. (définition BILIP ).
BILL BROTHER: C?est un surnom donné à Bill Gates, le patron de Microsoft. Bill Brother contient une référence au Big Brother d?Orwell, qui s?applique à la très large présence de la firme de Gates dans le monde de l?informatique. (définition BILL BROTHER ).
BILLOU: C?est un autre surnom de Bill Gates (on trouve parfois l?orthographe Bilou). (définition BILLOU ).
BIN: C?est le raccourci de binary. Désigne un fichier renfermant un exécutable, c?est-à-dire un fichier composé de code binaire machine par opposition du code source. Désigne plus généralement le répertoire contenant ces exécutables. (définition BIN ).
BINAC: BINary Automatic Computer. C?est l?une des premières machines, conçue en 1946 par Mauchly et Eckert pour le compte de la Northrup Aircraft Corporation. Sa mémoire fonctionnait avec une ligne de mercure à retard acoustique. (définition BINAC ).
BINAIRE: Désigne tout élément ne connaissant que deux états : blanc ou noir, 1 ou 0, vrai ou faux. On parle par exemple de code binaire lorsqu?il n?utilise que deux symboles. Se dit également d?un procédé dont la valeur de retour est fonction de deux paramètres (un synonyme est ici diadique). Binaire est aussi le raccourci de fichier binaire. Enfin, un binaire désigne un article composé d?un code illisible par l?½il, qui est en fait la traduction ASCII 7 bits d?un fichier binaire. Cet article peut alors être transmis par un serveur de News. (définition BINAIRE ).
BINARISER: Désigne le fait de convertir un groupe d?informations numériques en données binaires. C?est par exemple ce qu?on fait à une image lorsqu?on convertit ses millions de couleurs en noir et blanc. (définition BINARISER ).
BINCANCEL: Désigne le fait, sur l?Usenet, d?effacer un message renfermant un fichier binaire posté sur un groupe qui n?a pas été créé à cet effet. (définition BINCANCEL ).
BIND: Berkeley Internet Name Domain. Désigne l?implémentation d?un serveur de nom de domaine (DNS) conçu à l?Université de Berkeley. (définition BIND ).
BINDER: C?est un synonyme de linker. (définition BINDER ).
BINDING: Désigne l?action de binder, relier entre eux divers éléments. (définition BINDING ).
BINETTE: C?est le français pour smiley. Cette traduction a été proposé par l?OLF. (définition BINETTE ).
BINHEX: Binary Hexadecimal. Désigne le procédé de conversion des informations binaires en ASCII en vue de leur transmission, par exemple dans un e-mail. Le procédé est encore rare. L?extension des fichiers est alors HQX. (définition BINHEX ).
BINL: Boot Information Network Layer, sous ++. (définition BINL ).
BIOBREAK: Désigne la « pause biologique » prise par l?usager qui parcourt l?internet. L?équivalent sur une messagerie instantanée est AFK. (définition BIOBREAK ).
BIOINFORMATIQUE: Désigne une région de la biologie qui s?occupe du traitement de large quantité d?informations, sur le modèle biologique. (définition BIOINFORMATIQUE ).
BIOMETRIE: Désigne la mesure du vivant. On peut également dire anthropométrie pour un sens plus proprement humain. L?objectif de la biométrie est de reconnaître ou d?admettre des personnes grâce au contrôle de données comme les empreintes digitales. (définition BIOMETRIE ).
BION: Believe It Or Not, soit « crois-le ou non ». (définition BION ).
BIONET: Désigne une hiérarchie où il est question d'écologie et de biologie. (définition BIONET ).
BIONIQUE: Science intégrant la génétique et l'électronique (définition BIONIQUE).
BIOPUCE: On dit aussi « puce à ADN ». Désigne un processeur qui peut repérer l'ADN grâce à une sonde (« complémentaire ») posée sur la puce. | (définition BIOPUCE).
BIOS: basic input output system. Le BIOS est le premier programme à s'exécuter lors de l'allumage d'un ordinateur. Son emplacement est situé sur la carte mère et permet le contrôle des éléments de l'ordinateur (définition BIOS).
BIOTRONIQUE: Désigne les techniques robotiques, informatiques, électroniques, employées pour améliorer ou corriger le corps humain. | (définition BIOTRONIQUE).
BIP: C'est une variante du beep. | (définition BIP).
BIPROCESSEUR: Désigne une machine qui se sert de deux processeurs principaux. A ne pas confondre, donc, avec coprocesseur. | (définition BIPROCESSEUR).
BISCOTTE: C'est un synonyme de disquette. | (définition BISCOTTE).
B-ISDN: Broadband ISDN, soit « ISDN à large bande ». | (définition B-ISDN).
BISON: Désigne un logiciel permettant de produire le source d'une application d'analyse syntaxique dans une certaine grammaire. Aux débuts de Bison, il était obligé de rendre public le source obtenu grâce à lui car ce code était GPL (Bison étant développé sous GPL). Cette obligation a disparu avec la version 1.24. | (définition BISON).
BISON++: C'est une variante de Bison qui engendre du C++. | (définition BISON++).
BIT D'ARRêT: Désigne le bit qui signale le terme d'une communication, son contraire est le bit de départ. | (définition BIT D'ARRêT).
BIT DE DEPART: Il signale qu'une communication commence. | (définition BIT DE DEPART).
BIT DE PARITE: Désigne un élément de contrôle de la qualité d'une transmission. Il est obtenu par l'analyse d'un caractère, et peut être pair ou impair selon le nombre de bits pairs présents dans le caractère (définition BIT DE PARITE).
BIT DE START: C'est une variante de bit de départ. | (définition BIT DE START).
BIT RATE: Désigne le ratio de bits circulant sur un réseau, qui sert à calculer la vitesse de ce réseau. Sous ATM, on caractérise l'emploi fait de ce réseau en utilisant les variantes du Bit rate : CBR (Constant Bit Rate), ABR (Available Bit Rate), VBR (Variable Bit Rate) et UBR (Unspecified Bit Rate). | (définition BIT RATE).
BIT: Unité primaire d'information. Un bit n'a que deux valeurs : 0 ou 1. Un ensemble de bit permet d'obtenir des informations plus complexes. Exemple : un caractère = 8 bits (définition BIT).
BITFAT: Désigne une FAT spécifique développée pour son utilisation sur un disque compressé à la volée, c'est-à-dire sur un disque où les enregistrements ont une longueur variable. Adaptée particulièrement au CVF de MS-DOS 6, la BitFAT dit quelles zones sont employées dans les fichiers comprimés. | (définition BITFAT).
BITMAP: Désigne une image présentant exhaustivement les pixels de l'écran. Par extension, qualifie une telle image. On trouve parfois l'orthographe Bit-Map. | (définition BITMAP).
BITNET: Because It's Time NETwork. Réseau mondial pour les universités créé en 1981 pour contrer le coût élevé de l'Internet de l'époque. (définition BITNET).
BITNIC: BITNET Network Center. | (définition BITNIC).
BITOUILLE: Désigne une bidouille effectuée sur une application. | (définition BITOUILLE).
BITOUILLER: Effectuer une bitouille. | (définition BITOUILLER).
BITTORRENT: Désigne une application qui s'utilise en P2P pour l'échange de fichiers. Il n'y a pas de serveur central (d'où l'intérêt du procédé du point de vue légal), mais une multiplicité de réseaux locaux qui n'existent que le temps de la transmission du fichier. En 2004, ce logiciel utilisait 35% de la bande passante de l'internet. | (définition BITTORRENT ).
BIT-WISE: Désigne le fait de comparer deux valeurs en bit par bit. | (définition BIT-WISE).
BIX: Byte Information eXchange. Désigne le réseau d'assistance du magazine Byte publié aux Etats-Unis. Ils sont les créateurs des (^_^), devenus depuis fréquents, notamment au Japon. | (définition BIX).
BJ: A la fin d'une url, signale que le site est basé au Bénin. | (définition BJ).
B-K: C'est une abréviation de Backup, le fichier renfermant une version antérieure d'un élément, qui est produit de façon automatique. | (définition B-K).
BK !: C'est un autre version de Backup. | (définition BK !).
BLACKBOX: Désigne un gestionnaire de fenêtres sous Linux. Il est extrêmement maniable et léger. | (définition BLACKBOX).
BLACKLIST: Liste noire, en anglais. Elle peut contenir l'identification de spammeurs ou d'usagers indélicats. Son contraire est la bluelist : elle identifie ceux qui luttent contre le spam. | (définition BLACKLIST).
BLANC: En programmation, un blanc discerne les opérateurs, les paramètres. D'une importance fondamentale, on le représente par un b dont la boucle est barrée, ou par un crochet à plat. | (définition BLANC).
BLANCHET: Feuille en caoutchouc disposée entre la plaque et la feuille sur le cylindre de transfert (définition BLANCHET).
BLANCHIR: Ajouter des espaces ou des interlignes dans un texte. (définition BLANCHIR).
BLANK LINE: Désigne un trait vide. | (définition BLANK LINE).
BLASTER: Désigne un ver à l'½uvre sur internet dès juin 2003, visant Windows XP grâce à une ouverture du RPC. Il déclenchait la mise hors tension de la machine infectée. | (définition BLASTER).
BLD: BASIC Bload graphic. | (définition BLD).
BLÉ: Boîte à Lettres Electronique. L'usage en est peu fréquent. | (définition BLÉ).
BLE: Branch if Less or Equal. Désigne un mnémonique assembleur qui déclenche la connexion si une variable égalise ou ne dépasse pas une certaine valeur. | (définition BLE).
BLED: Blue Light Emitting Diode, soit une « diode émettant une lumière bleue ». | (définition BLED).
BLEU: Qualifie les fabrications d'IBM, ou les produits développés pour des machines IBM. | (définition BLEU).
BLINDAGE: Désigne un élément de protection contre les parasites, qui prend la forme d'une pièce de métal qui conduit l'électricité. | (définition BLINDAGE).
BLINDER: Désigne le fait de modifier un élément en lui ajoutant une pièce métallique pour éviter le parasitage. | (définition BLINDER).
BLIP: C'est une variante du beep. | (définition BLIP).
BLITTER: Désigne une puce développée à des fins d'optimisation des images Bitmap. Surtout utilisée dans les Atari STE, elle est abandonnée aujourd'hui. | (définition BLITTER).
BLOATWARE: Désigne tout élément complexe dont la lourdeur d'utilisation n'est pas compensée pas l'intérêt des fonctions. | (définition BLOATWARE).
BLOB: Binary Large Object, soit un « grand objet binaire », souvent audio ou vidéo, qui peut peser jusqu'à plusieurs Go. Désigne également un objet 3D produit par les altérations structurelles de plusieurs sphères rentrant en contact (définition BLOB).
BLOC: Désigne une séquence unie d'opérations et d'ordres dans un source. La série doit être exécutée en une fois. Désigne également un groupe de secteurs dans un disque. Un synonyme du second sens est cluster. | (définition BLOC).
BLOCK: C'est la version anglaise de bloc. | (définition BLOCK).
BLOCKBUSTER: Désigne un site très visité. Un blockbuster est à l'origine un film qui multiplie les entrées et donc les bénéfices. | (définition BLOCKBUSTER).
BLOG: Contraction de Web et Log. Le Blog, véritable phénomène de société, désigne les nombreux journaux personnels que l'on trouve sur Internet. (définition BLOG).
BLOGGER: Désigne celui qui possède son blog. | (définition BLOGGER).
BLOGOSPHERE: Désigne l'espace qui comprend tous les blogs. | (définition BLOGOSPHERE).
BLOGUE: C'est la version française de blog. | (définition BLOGUE).
BLOGUER: Composer un blogue, un site composé autour de la personne du blogueur. | (définition BLOGUER).
BLOGUEUR: Désigne celui qui possède et entretient son blogue. Un synonyme est « diariste ». | (définition BLOGUEUR).
BLOQUANT: Qualifie un tube par lequel transitent des informations mais qui peut stopper ce transfert. Il est donc capable de synchroniser le processus. | (définition BLOQUANT).
BLOQUE: Qualifie un processus en attente d'un événement pour pouvoir poursuivre sa marche. | (définition BLOQUE).
BLOS: Branch if Lower Or Same. Désigne le mnémonique en assembleur qui déclenche la connexion si une variable égalise ou reste inférieure à une valeur. C'est un synonyme de BLE. | (définition BLOS).
BLOWFISH: Désigne un algorithme rapide et peu complexe de cryptage par blocs de 64 bits. Mis au point par B. Schneier en 1993, cet algorithme est public. Blowfish est aussi le nom de l'emblème d'OpenBSD. | (définition BLOWFISH).
BLR: Boucle Locale Radio. Désigne une technologie qui substitue des ondes radio aux câbles de téléphone. Ce procédé n'est possible que dans les derniers kilomètres de l'installation. | (définition BLR).
BLUE BOMB: Désigne l'évolution ciblée Windows de la bombe logique. Le résultat est un écran bleu. | (définition BLUE BOMB).
BLUE BOX: Désigne une technologie voisine du modem, qui compose aléatoirement des numéros afin de, peut-être, trouver une chose intéressante (par exemple un BBS). Le successeur de la Blue box est la Beige box. | (définition BLUE BOX).
BLUE BOXING: Désigne le fait de servir d'une blue box. | (définition BLUE BOXING).
BLUE SCREEN: Ecran bleu : c'est le symptôme d'une grave erreur système sous Windows. | (définition BLUE SCREEN).
BLUELIST: Recense les personnes qui luttent contre le spam. | (définition BLUELIST).
BLUE-RAY DISC: Désigne un disque dont la capacité peut être plus large (de 25 à 100 Go) grâce au faisceau laser employé pour sa lecteur. On rencontre parfois l'orthographe blu-ray disc. | (définition BLUE-RAY DISC).
BLUETOOTH 2: Désigne une évolution de Bluetooth. Son nom de code est 802.15.3. Elle est plus rapide et plus sûre que Bluteooth. | (définition BLUETOOTH 2).
BLUETOOTH: Nouvelle norme de communication sans fil, par ondes hertzienne. Elle est pour l'instant surtout utilisé pour relier divers appareils, comme des téléphones portables ou des pda, à des ordinateurs personnels. (définition BLUETOOTH).
BM: A la fon d'une URL, signale que le site est basé aux Bermudes. | (définition BM).
BMP: Contraction de Bitmap. Constitue un format de fichier image, pixel par pixel et sans compression. (définition BMP).
BN: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Brunei. | (définition BN).
BNC: Bayonet Neill-Concelman Connector. Désigne une classe de connecteur. Il peut connecter un écran, un réseau, du coaxial. Pour un écran, il faut 5 connecteurs (un par signal, vert, bleu, rouge et deux pour les synchronisations). Son intérêt est certain, car en plus de sa facilité d'utilisation par rapport aux modèles vissés, il bénéficie d'une isolation sur toute sa longueur. | (définition BNC).
BNF: Backus-Naur Form. Désigne une technique qui, en programmation, permet de décrire la syntaxe d'un langage formel. Backus est le nom de son concepteur, Naur, celui qui l'a améliorée. On trouve parfois FNB ou FBN comme équivalent français. | (définition BNF).
BNQ: Bureau de Normalisation du Québec. | (définition BNQ).
BO: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Bolivie. | (définition BO).
BOARD: C'est l'appellation courant des BBS, Bulletin Board System. Il désigne occasionnellement une carte. | (définition BOARD).
BOC: Bell Operating Company. | (définition BOC).
BODY SCANNING: Désigne l'opération par laquelle on numérise un corps humain. | (définition BODY SCANNING).
BODY: En anglais, signifie corps. Désigne la partie rédigée d'un message, c'est-à-dire le message sans la signature et l'en-tête. | (définition BODY).
BOF: Beginnig Of File, soit « le début du fichier ». Désigne aussi un « Birds Of a Feather », la réunion d'un groupe composé pour lever un obstacle ponctuel. Ce dernier sens est basé sur l' idiome anglais « birds of a feather flock together », qu'on peut traduire par « qui se ressemble s'assemble ». | (définition BOF).
BOGOMIPS: Désigne, sous Linux, une évaluation au boot de la puissance d'une machine. Cette mesure est peu fiable car Linux se contente d'un très petit échantillon pour son estimation. | (définition BOGOMIPS).
BOGUE: C'est le français pour bug. Désigne toute complication dans l'exécution d'un programme. La francisation vient d'une bogue, la coque hérissée d'une châtaigne. | (définition BOGUE).
BOINC: Berkeley Open Infrastructure for Network Computing, soit « infrastructure ouverte informatique de réseau de Berkeley ». Il s'agit de développer les fruits du projet SETI @ Home et de les rendre accessibles à tous. | (définition BOINC).
BOîTE A LETTRES.: C'est le développement de l'acronyme BAL. L'usage correct est boîte aux lettres. | (définition BOîTE A LETTRES. ).
BOîTE A OUTILS: Désigne un groupe d'outils associés les uns aux autres. L'anglais dit toolbox. | (définition BOîTE A OUTILS ).
BOîTE A PIZZA: Désigne une structure de boîtier. Un tel boîtier est plat, comme sur certaines machines d'Apple. C'est également le surnom des machines Sun, notamment les SparcStation. | (définition BOîTE A PIZZA).
BOîTE A RI: ZDésigne la copie asiatique d'un ordinateur, souvent très bon marché. | (définition BOîTE A RI).
BOîTE BLANCHE: Se dit d'un débuggage conduit en toute connaissance de la machine à débugger. Le contraire est boîte noire. | (définition BOîTE BLANCHE).
BOîTE COMBINEE: C'est la version française de combo-box : elle est composé d'une partie d'édition et d'un menu qui permet de choisir le texte à éditer. | (définition BOîTE COMBINEE).
BOîTE D'ALERTE: Désigne une boîte délivrant un message d'alerte. | (définition BOîTE D'ALERTE).
BOîTE DE DIALOGUE: Désigne une fenêtre dans laquelle l'usager peut effectuer des modifications ou régler des paramètres. | (définition BOîTE DE DIALOGUE).
BOîTE NOIRE: C'est le contraire de boîte blanche : on ne connaît pas les spécifications structurales du système. | (définition BOîTE NOIRE ).
BOîTE: Désigne une fenêtre destinée à l'affichage de données. Plus largement, désigne tout élément rectangulaire dans une interface graphique. | (définition BOîTE).
BOîTIER: Désigne l'enveloppe externe d'une machine. Elle est destinée à la protéger des chocs, des parasites magnétiques. Un boîtier peut être en tour, en boîte à pizza etc?| (définition BOîTIER).
BOLDUC: Ruban de coton ou de lin utilisé pour la création d'un signet. (définition BOLDUC).
BOMBE LOGIQUE: Désigne les quelques lignes de code qui, ajoutées à un programme, peuvent détruire le système après déclenchement par l'auteur. | (définition BOMBE LOGIQUE).
BOMBE TEMPORELLE: Désigne une bombe logique qui « explose » selon une programmation horaire. | (définition BOMBE TEMPORELLE).
BOMBE: C'est ce qui s'affichait à l'écran d'un Mac ou d'un Atari ST lors d'une erreur grave. L'équivalent sous Unix est le panic. | (définition BOMBE).
BON A GRAVER: Approbation sur les gammes de réalisation avant la photogravure (définition BON A GRAVER).
BON A ROULER: Approbation par le client et préserver comme modèle pendant l'impression (définition BON A ROULER).
BON A TIRER: Approbation du client sur la dernière impression réalisée avant le tirage complet (définition BON A TIRER).
BONBON: C'est le surnom de la deuxième évolution des iMacs, en référence à leurs couleurs vives et à leur design. | (définition BONBON).
BOND: BandWidth On Demand, soit « bande passante allouée selon la demande ». | (définition BOND).
BONDI: Désigne l'appellation de la première série des iMacs, en 1998, en référence à une plage australienne où l'un des ingénieurs pratiquait le surf. | (définition BONDI).
BONG: Désigne le son émis par un Mac lors de son allumage. | (définition BONG).
BONUX: C'est un surnom de Linux, utilisé par les adeptes de Microsoft en référence à la gratuité de Linux (Bonux est le nom d'une lessive offrant de petits gadgets dans chacun des paquets). | (définition BONUX).
BOO.COM: C'est l'archétype de la start-up première génération : beaucoup de fonds levés et une débâcle dans les mois qui suivent. | (définition BOO.COM).
BOOCH: Désigne un procédé d'analyse et de génération orientée objet. | (définition BOOCH).
BOOK OF MOZILLA: Désigne l'ouvrage mythique de Mozilla (le nom du personnage incarnant les navigateurs de Netscape), dont des extraits peuvent être trouvés en composant l'adresse « about:mozilla » dans votre navigateur. | (définition BOOK OF MOZILLA).
BOOKMARK: Désigne un marque-page, plus connu sous le terme « signet », en français. Il s'agit d'un repère par lequel on enregistre l'adresse d'une page web ou un emplacement dans tout type de document, afin de pouvoir y revenir sans recherche et sans adresse à taper. | (définition BOOKMARK).
BOOKMARKLET: Désigne le petit logiciel que renferme un bookmark. On emploie plutôt le terme d'applet (applette en français). | (définition BOOKMARKLET).
BOOKWARE: Désigne un logiciel commercialisé avec un livre de documentation. | (définition BOOKWARE).
BOOLE, GEORGES: C'est un mathématicien anglais (1815-1864) ayant couvert un vaste domaine d'étude, des probabilités aux équations différentielles, mais surtout connu comme étant le concepteur de la logique booléenne (on dit également algèbre booléenne). | (définition BOOLE, GEORGES).
BOOLEEN: Se dit d'un élément ayant trait à la logique du même nom. Il s'agit par exemple de données binaires qui ne connaissent que deux états. Le contraire d'un élément booléen est un élément flou. | (définition BOOLEEN).
BOOSTER: Désigne le fait d'apporter une modification à un programme ou à un élément quelconque dans le but d'augmenter sa vitesse de fonctionnement. Désigne également le procédé développé à cette même fin. Un synonyme est accélérateur. | (définition BOOSTER).
BOOT SECTOR: Désigne le secteur contenant le bootstrap, le programme de lancement de l'OS. Le français dit plutôt secteur de démarrage. Un synonyme est MBR. | (définition BOOT SECTOR).
BOOT: Etape de lancement au moment de l'allumage d'un ordinateur. (définition BOOT).
BOOTABLE: Qualifie un disque qu'on peut booter. Un synonyme est démarrable. | (définition BOOTABLE).
BOOTER: Synonyme de démarrer un ordinateur (définition BOOTER).
BOOTLOADER: Désigne une famille de logiciels qui lancent le système lors du démarrage. C'est le BIOS qui active ces logiciels. Sous Linux, on a par exemple Brub. | (définition BOOTLOADER).
BOOTP: Bootstrap Protocol. Désigne le protocole par lequel un client questionne un serveur pour l'attribution d'une adresse IP relativement à son adresse matérielle. Des stations sans disques peuvent par exemple l'utiliser pour booter. Aujourd'hui, on lui préfère le DHCP. | (définition BOOTP).
BOOTSTRAP: C'est un synonyme de boot. | (définition BOOTSTRAP).
BOOTSTRING: Désigne un algorithme de codage. Punycode est basé sur cet algorithme. | (définition BOOTSTRING).
BORLAND: Désigne une firme de développement de langage de programmation, conceptrice entre autres de Delphi et de Turbo Pascal. Son nom est devenu Inprise en 1998. | (définition BORLAND).
BORNE INTERACTIVE: Désigne toute guichet automatique renfermant un ordinateur et visant le renseignement du public. | (définition BORNE INTERACTIVE).
BOS: Basic Operating System. Désigne un système d'exploitation d'IBM (définition BOS).
BOSAK, JOHN: C'est un ingénieur ayant fait partie des fondateurs d'OASIS. Il a mis au point le XML. | (définition BOSAK, JOHN).
BOSS KEY: En français, « la touche du patron ». Désigne le raccourci clavier par lequel on superpose à la fenêtre actuelle une autre fenêtre. On l'utilise par exemple pour superposer un document « sérieux » à la fenêtre de jeu. Un synonyme est panic key. | (définition BOSS KEY).
BOSS: Dans un jeu vidéo de combat, désigne l'élément (homme, bête, machine?) qui survient à la fin d'un niveau, et sur lequel une victoire est nécessaire pour passer à l'étape suivante. | (définition BOSS).
BOSSELAGE: C'est un synonyme inusité de bump making. | (définition BOSSELAGE).
BOT: Désigne un programme simulant un comportement humain, par exemple sur un chat, ou pendant un jeu en réseau. (définition BOT).
BOTNET: Désigne un ensemble d'automates logiciels reliés entre eux, installé sur un maximum de machines. | (définition BOTNET).
BOTTUM-UP: C'est le contraire de top-down qui en français se dit conception ascendante. | (définition BOTTUM-UP).
BOUCHON DE TERMINAISON: C'est la technologie employée sur l'extrémité d'un câble afin de clore une liaison. Par exemple, le bouchon employé par un réseau Ethernet a une résistance de 50 Ohm. | (définition BOUCHON DE TERMINAISON).
BOUCLE FOR: Désigne une boucle contenant la commande for, qui peut donc relancer le programme autant de fois que décidé par la boucle. | (définition BOUCLE FOR).
BOUCLE INFINIE: Désigne une boucle qui ne peut être interrompue que par la mise hors tension du système. | (définition BOUCLE INFINIE).
BOUCLE LOCALE: Ensemble des lignes du réseau téléphonique entre un central et un client. (définition BOUCLE LOCALE).
BOUCLE SANS FIN: C'est un synonyme de boucle infinie. | (définition BOUCLE SANS FIN).
BOUCLE: Désigne une partie d'un code lorsqu'elle intègre une instance de vérification qui peut relancer le code si une condition manque. | (définition BOUCLE).
BOUCLIER: Désigne un logiciel visant à rendre tout accès non autorisé impossible. Un pare-feu peut assurer cette fonction. Ce terme est très proche d'anti-virus. | (définition BOUCLIER).
BOUFFER: Faire disparaître irrémédiablement des informations. Un synonyme est bousiller. | (définition BOUFFER).
BOULE DE COMMANDE: C'est le français officiel pour trackball. | (définition BOULE DE COMMANDE).
BOUNCE: Se traduit par le verbe rebondir. C'est ce que fait un e-mail lorsque l'adresse spécifiée est fausse, soit dans le nom de l'utilisateur, soit dans le nom du serveur (définition BOUNCE ).
BOUNCER: C'est la francisation de l'action d'un message qui rebondit, à cause d'une adresse incorrecte. | (définition BOUNCER).
BOUNDING BOX: Désigne un objet 3D qui renferme un élément complexe. On utilise ce procédé pour augmenter la vitesse de calcul de la synthèse d'une image. En raytracing, rencontrer une bounding box est en effet nécessaire pour tester l'élément complexe. Désigne également une boîte imaginaire qui renferme un caractère dans un fichier EPS. | (définition BOUNDING BOX).
BOURNE SHELL: Désigne un shell développé par M. Bourne pour le SVr4 d'Unix. Il est plus fréquent de le rencontrer dans son évolution, le bash. | (définition BOURNE SHELL).
BOURRAGE: Désigne l'incident qui survient dans une imprimante lorsque les feuilles sont humides ou encore attachées les unes aux autres. Un bourrage en accordéon est un cas particulier : il signifie que les rouleaux froissent le papier. | (définition BOURRAGE).
BOURRIN: Qualifie, de manière péjorative, un système lourd ou de faible vitesse. Désigne aussi celui qui cherche à passer en force, dans un jeu par exemple. | (définition BOURRIN).
BOURRINADE: C'est le nom associé au verbe bourriner. | (définition BOURRINADE).
BOURRINER: Bourriner dans un jeu vidéo signifie tirer avant de réfléchir. | (définition BOURRINER).
BOUSILLER: On trouve parfois l'orthographe bouziller. Désigne le fait de faire disparaître des données ou un élément matériel, souvent à cause d'une erreur. | (définition BOUSILLER).
BOUTON: Désigne un élément qui permet d'exécuter une fonction. Un bouton renferme du texte, par opposition à une icône qui ne représente qu'une image. | (définition BOUTON).
BOUZINE: C'est un synonyme de machine. Bouzine est associé à une idée de tendresse pour la machine en question ainsi qu'à une nuance portant sur la taille imposante de la machine en question. Par exemple, un calculateur de 1950 est une bouzine. | (définition BOUZINE).
BOXEL: C'est un synonyme inusité de voxel. | (définition BOXEL).
BOXOLOGIE: Désigne la science des boîtes. | (définition BOXOLOGIE).
BP: C'est l'acronyme de bande passante. Désigne également l'acronyme de Back Propagation, soit « propagation vers l'arrière », qu'on traduira plutôt par rétropropagation. | (définition BP).
BPB: Bios Parameter Block. Désigne une partie de la mémoire d'un PC qui contient les paramètres du BIOS. | (définition BPB).
BPD: Binary Printer Description. C'est la compilation en binaire d'un fichier PPD. | (définition BPD).
BPDF: C'est l'acronyme de Bon Père De Famille (définition BPDF).
BPDU: Bridge Protocol Data Unit. | (définition BPDU).
BPI: Bits per inch. Désigne l'unité de mesure d'une densité de donnée, sur un support quelconque. L'équivalent français est bpp. | (définition BPI).
BPL: Broadband Power Line. Désigne la technologie qui fait circuler un réseau à haute vitesse dans l'installation électrique. Le coût est réduit, car les lignes sont déjà installées, mais le risque d'interférences est grand. | (définition BPL).
BPM: Beat per minute, soit « battement par minute ». Désigne l'unité qui mesure la vitesse d'une musique. La musique la plus rapide est la techno, où les Bpm sont en moyenne autour de 150, mais peuvent atteindre 1000. | (définition BPM).
BPML: Business Process Modelling Language. | (définition BPML).
BPO: Branch on Power Off. Egalement Business Process Outsourcing. Désigne le fait de délocaliser certaines activités de hautes technologies en matière informatique. | (définition BPO ).
BPP: Bits par pouces. C'est la traduction française de Bpi. | (définition BPP).
BPR: Business Process Reengineering. Processus qui consiste à revoir l'organisation et les méthodes utilisées par une société pour parvenir à ses objectifs (définition BPR).
BPS: Bits Par Seconde. Cette unité permet de mesurer un débit de transfert d'information. (définition BPS).
BPU: Branch Prediction Unit, soit « Unité de Prédiction de Branchement ». Désigne, sur une puce, la zone qui tente de prédire la direction choisie dans une alternative, avant même le choix (définition BPU).
BR: Bit Rate. Egalement Bus Request, soit « Demande de Bus ». Mais aussi Base de registre. Enfin, à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Brésil. | (définition BR).
BRAINFUCK: Désigne un langage de programmation mis au point par U. Müller sur Amiga. Son compilateur occupait 240 octets. | (définition BRAINFUCK).
BRAN: Broadband Radio Acces Networks. Désigne une recherche de l'ETSI, ayant comme objectif la qualification d'un standard pour un réseau radio à bande large. | (définition BRAN).
BRANCHEMENT: Désigne le saut fait par un programme, c'est-à-dire quand le programme cesse d'exécuter séquence pour reprendre ailleurs dans le programme. L'anglais dit jump. | (définition BRANCHEMENT).
BRAS D'ACCES: Désigne la pièce sur laquelle sont installés les dispositifs d'écriture et de lecture d'un disque. | (définition BRAS D'ACCES).
BRAS: C'est une abréviation fréquente pour bras d'accès. Désigne aussi un outil de travail. | (définition BRAS).
BRASSAGE: Désigne l'état de lignes interconnectées. | (définition BRASSAGE).
BRASSER: Effectuer un brassage. | (définition BRASSER).
BRASSEUR: Désigne le dispositif effectuant un brassage. | (définition BRASSEUR).
BRB: Be Right Back, soit « je reviens de suite ». | (définition BRB).
BRD: C'est une abréviation pour blue (ou blu)-ray Disc ». | (définition BRD).
BREAK: Désigne l'interruption d'un système ou le terme d'un processus, lorsqu'ils sont dus à une erreur. Un break n'est pas un événement « normal ». | (définition BREAK).
BREAKOUT: Désigne une des premiers réussites commerciales du jeu sur ordinateur, développée par Atari. C'est un jeu de casse-briques. Désigne également l'archétype du « frigo » informatique. | (définition BREAKOUT).
BRETELLE: Désigne, de façon peu fréquente, un accès qu'on peut emprunter en vue d'une connexion à un réseau. | (définition BRETELLE).
BRI: Basic Rate Interface. Désigne la première version du RNIS (définition BRI).
BRIDE: Caractérise une variante d'un programme qui ne dispose pas de toutes les fonctionnalités du programme original. Un logiciel bridé est souvent proposé en vue d'un test. | (définition BRIDE).
BRIDGE: Le français dit plutôt pont. | (définition BRIDGE).
BRIDGE-ROUTER: C'est l'anglais pour désigne un pont-routeur. | (définition BRIDGE-ROUTER).
BRIF: Business Rules Interchange Format. | (définition BRIF).
BRIN: Désigne une conversation suivie. Un synonyme est enfilade (définition BRIN).
BRML: Business Rules Markup Language. | (définition BRML).
BROADBAND: Qualifie un réseau jouissant d'une large bande passante. C'est, à l'époque, le cas du B-ISDN, par exemple. | (définition BROADBAND).
BROADCAST: Caractérise qualitativement un enregistrement audio ou vidéo susceptible d'être diffusé sur des canaux de radio ou de télévision. Désigne également la diffusion d'un message à plusieurs destinataires sur un même réseau. | (définition BROADCAST).
BROCHAGE: Finalisation d'une impression avec des couvertures souples. (définition BROCHAGE).
BROCHE: Désigne, sur une puce, les pattes. | (définition BROCHE).
BROKEN AS DESIGN: Désigne un produit inutilisable et semblant avoir été développé dans ce dessein. En anglais, on a l'abréviation BAD. | (définition BROKEN AS DESIGN).
BROMURE: Impression d'une photo sur papier spécifique : papier sensible (définition BROMURE).
BROOKS, FREDERICK P.: Grâce à ses recherches sur l'ingénierie logicielle et les éléments informatiques de structure, Brooks a reçu, en 1999 le prix Alan Turing de l'ACM. Il est l'auteur de la loi de Brooks : « Ajouter des gens à un projet logiciel qui prend du retard retarde d'autant ce projet ». | (définition BROOKS, FREDERICK P. ).
BROUILLEUR: Dispositif permettant de protéger une communication en codant le signal d'entrée. (définition BROUILLEUR).
BROUTEUR: Désigne un pont routeur de niveau 2 OSI (pont) et 3 (routeur). L'anglais dira bridge-routeur. | (définition BROUTEUR).
BROWSER: Synonyme de navigateur, il s'agit d'un logiciel client permettant la lecture de pages Internet contenus sur un serveur. (définition BROWSER).
BROYEUR: Désigne un procédé virtuel remplaçant la poubelle sur l'OS / 2 d'IBM. | (définition BROYEUR).
BRUIT: Signal parasite venant perturber une information pendant le transport de celle-ci. (définition BRUIT).
BRUITER: Désigne l'action de produire un bruit inutile. | (définition BRUITER).
BRûLAGE D'IP: Désigne le procédé grâce auquel un indélicat peut être brûlé sur un réseau. Il s'agit de désigner son IP aux serveurs et routeur qui peuvent alors l'ignorer. | (définition BRûLAGE D'IP).
BRûLAGE: C'est ce qui arrive à un mauvais moniteur qui tourne trop longtemps (définition BRûLAGE).
BRûLER: Brûler une ROM désigne le fait de graver des informations sur une mémoire (de type CD-ROM, EPROM etc..). S'il s'agit de brûler une adresse, cela désigne alors le fait de séparer cette adresse du terminal. | (définition BRûLER).
BRûLEUR: Désigne le procédé par lequel on brûle une ROM. On peut également parler d'insoleuse ou de claqueur. | (définition BRûLEUR).
BS: A la fin d'une URL, signale que le site est basé aux Bahamas. | (définition BS).
BS7799: Désigne une norme de sécurité d'un système informatique. | (définition BS7799).
BSA: Business Software Alliance. Désigne la réunion de plusieurs firmes de logiciels en une structure d'opposition au piratage. Désigne également un Bidouilleur Sans Argent. | (définition BSA).
BSB: BackSide Bus. Désigne le bus qui va de la puce à la mémoire cache de niveau 2. | (définition BSB).
BSC: Méthode de communication synchrone développé par IBM, bientôt remplacé par le SDLC (définition BSC).
BSD: Berkeley Software Distribution. Désigne une série de variantes d'Unix développées par l'Université de Berkeley notamment pour le PDP-11 et modifiées pour PC sous le nom de 386BSD. L'Université a conçu de nouvelles fonctions et leurs réalisations ont servi de modèles à d'autres développeurs. L'originalité de Berkeley est la mise dans le domaine public de toutes leurs conceptions. | (définition BSD).
BSDI: Berkeley Sofware Design Inc. Désigne la firme commerciale créée en 1991 par un groupe issu du Computer Systems Research Group de Berkeley. | (définition BSDI).
BSI: LA BSI est un organisme anglo-saxon en charge de la normalisation, elle est affiliée à l'ISO, son équivalent international. (définition BSI).
BSP: Board Support Package. | (définition BSP).
BSS: Basic Service Set. Désigne la cellule initiale dans un réseau 802.11b. | (définition BSS).
BST: British Summer Time. | (définition BST).
BSV: BASIC Bsave Graphics. | (définition BSV).
BT: British Telecom. C'est l'opérateur britannique historique qui prétend avoir déposer un brevet sur le lien hypertexte. C'est également l'acronyme de Bluetooth. Enfin, Bt à la fin d'une URL signale que le site est basé au Bhutan. | (définition BT).
BTA: But Then Again, soit « mais encore une fois? ». | (définition BTA).
BTAM: Basic Telecommunication Access Method. C'est le précurseur de VTAM. | (définition BTAM).
BTM: Better Than Microsoft, soit « mieux que Microsoft ». | (définition BTM).
BTO: Blame The Operator, soit « Blâme l'Administrateur », ou plutôt « c'est la faute de l'administrateur ». | (définition BTO).
BTP: Blame The Programmer, soit « c'est la faute du programmeur ». | (définition BTP).
B-TREE: Signifie « Balanced Tree », soit un arbre équilibré qui est composé d'un nombre identique de niveaux dans chaque branche. Ce type de représentation, mis au point par Bayer, est utilisé pour conserver des index. | (définition B-TREE).
BTU: Blame The User, « c'est la faute de l'utilisateur ». | (définition BTU).
BTW: By the way, soit « à propos,? ». Un synonyme est OBTW. | (définition BTW).
BTX: Désigne un type de carte mère pour PC. De taille réduite par rapport à l'ATX qu'il est censé remplacer, il dispose également de nouvelles fonctionnalités (comme PCI Express). | (définition BTX).
BUBBLE JET: C'est l'appellation du jet d'encre chez Canon. | (définition BUBBLE JET).
BUFFER OVERFLOW: La traduction littérale est « débordement de tampon ». C'est ce qui se produit lorsqu'on ne fait pas attention à la quantité d'informations écrites dans un tampon. Les premières données écrites sont écrasées, voir exécutées. | (définition BUFFER OVERFLOW).
BUFFER: Mémoire temporaire servant de tampon en attendant un traitement ultérieur. (définition BUFFER).
BUFFERISER: Désigne le fait d'associer un buffer à un flux entrée-sortie. | (définition BUFFERISER ).
BUG FIX: Désigne la réparation d'un bug, parfois grâce à une update. | (définition BUG FIX).
BUG REPORT: En français, signifie rapport de bug. | (définition BUG REPORT).
BUG: Erreur de programmation due au développeur conduisant à un mauvais fonctionnement du logiciel. (définition BUG).
BUGFIX: C'est une orthographe alternative de bug fix. | (définition BUGFIX).
BUGGUE|: Qualifie un logiciel qui présente des bugs ou dont le fonctionnement est hésitant. C'est parfois le cas des premières versions d'un logiciel Microsoft. | (définition BUGGUE|).
BUGWARE: Désigne un type de programme qui marche surtout grâce à ses bugs. | (définition BUGWARE).
BULK: Un synonyme peut être « en gros ». Un bulk peut désigner un envoi massif d'e-mails, souvent du spam. Qualifie également un matériel simplifié qui est donc meilleur marché. | (définition BULK).
BULKMAILER: Désigne une famille d'applications utilisées pour l'envoi massifs d'e-mails à des fins de spam. On peut préférer se servir d'un manager de liste de diffusion. | (définition BULKMAILER).
BULL: C'est le nom d'un groupe français de fabrication d'ordinateurs intéressants. Bull s'est récemment lié à NEC pour développer sa politique commerciale, autrefois très faible. L'emblème de l'entreprise est un arbre. | (définition BULL).
BULLE D'AIDE: Désigne le visuel de petite taille qui apparaît quand on place la souris sur un élément, et qui dispense quelques informations sur cet élément. Un synonyme est infobulle. L'anglais, lui, dira tooltip. | (définition BULLE D'AIDE).
BULLE INTERNET: Désigne l'époque (entre 1998 et 2000) qui a vu l'explosion du nombre de micro-entreprises consacrées à l'internet (le plus souvent créées par des néophytes), et le gaspillage de milliards de dollars. La bulle a été crevée depuis. | (définition BULLE INTERNET).
BULLETIN DE SECURITE MICROSOFT: Notification d'un problème de sécurité d'un Software de Microsoft. Le message indique à lien afin d'aider l'utilisateur à résoudre le problème. (définition BULLETIN DE SECURITE MICROSOFT).
BUMP: Dans un forum, signale que quelqu'un vient de se faire taper ou expulser. Bump signifie bosse. | (définition BUMP ).
BUMP MAPPING: En image de synthèse, désigne le procédé assez simple par lequel on pose une image bitmap sur un autre élément afin de créer un relief. | (définition BUMP MAPPING).
BUNCH: Burroughs, Univac, NCR, Control Data, Honeywell. Désigne le groupe des grandes firmes informatiques tentant d'exister à côté d'IBM dans les année 70. Bunch signifie bande, en anglais. | (définition BUNCH).
BUNDESPOST: Ancienne institution en charge des télécommunications en RFA, aujourd'hui éclatée en trois activités postales, financières et de télécommunication. (définition BUNDESPOST).
BUNDLE: Désigne la réunion de plusieurs produits en un pack promotionnel. Désigne également plusieurs éléments électroniques associés pour composer un ensemble. Bundle est notamment utilisé pour désigner l'ensemble carte mère - processeur - mémoire vive associée. | (définition BUNDLE).
BUREAU VIRTUEL: Désigne un bureau de taille supérieure à l'écran. Il peut avoir, par exemple sous AfterStep, des dimensions de 32000 x 32000. | (définition BUREAU VIRTUEL).
BUREAU: Désigne dans un premier temps le boîtier d'une machine. Désigne également, dans une interface graphique, le point de départ d'une session (définition BUREAU).
BUREAUTIQUE: Apparue en 1976, bureautique désigne les développements de l'informatique vers le secteur tertiaire. Désigne donc classiquement la trilogie base de données - traitement de texte - tableur. On peut y ajouter les logiciels de comptabilité ou de communication. | (définition BUREAUTIQUE).
BURN-IN: Désigne un procédé d'essai des puces, qui consiste à tester leur fonctionnement sous une tension et une température supérieures à la normale. | (définition BURN-IN).
BURN-PROOF: Désigne une technologie de gravure de CD. Elle consiste à éviter que ne se vide le tampon. | (définition BURN-PROOF).
BURST MODE: Désigne un procédé de transmission ininterrompu entre deux zones d'une machine. L'intérêt de ce procédé est que la puce est toujours active. Les périphériques notamment utilisent ce procédé. | (définition BURST MODE).
BURST: En anglais, signifie rafale. | (définition BURST).
BUS DE FOND DE PANIER|: Désigne le bus présent en bas d'un rack et qui reçoit toutes connexions. Il est divisé en sous-parties : une pour le contrôle, une pour les adresses et la dernière pour les informations. | (définition BUS DE FOND DE PANIER|).
BUS D'EXTENSION: Liaison électrique physique entre le processeur et les différents ports d'extension d'un ordinateur (AGP, PCI, ATA). Ces liaisons permettent le branchement et l'exploitation de périphériques supplémentaires. (définition BUS D'EXTENSION).
BUS LOCAL: Désigne un bus employé lors de transmissions lourdes (la vidéo, par exemple) pour soulager le bus principal. | (définition BUS LOCAL).
BUS MASTERING: Désigne une topologie du bus principal (définition BUS MASTERING).
BUS SYSTEME: Liaison électrique physique permettant l'accès aux données de la mémoire vive (définition BUS SYSTEME).
BUS.: C'est le raccourci pour omnibus. C'est un circuit de transmission d'informations à l'intérieur d'une machine. Aucun processeur n'est dédié au bus, donc celui-ci utilise beaucoup de ressources. Désigne également une architecture de réseau selon laquelle toutes les machines partagent un fil unique. | (définition BUS. ).
BUSE: Désigne la technologie utilisée pour jeter l'encre sur le papier dans une imprimante. Le problème principal des buses est le durcissement de l'encre en cas d'inutilisation prolongée, donc le bouchage des buses. | (définition BUSE).
BUTINEUR: C'est une tentative d'adaptation du websurfer en français. | (définition BUTINEUR).
BV: A la fin d'une URL, signale que le site est basé sur l'île Bouvet. | (définition BV).
BW: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Botswana. | (définition BW).
BWANA: C'est le surnom du fournisseur d'accès Wanadoo. | (définition BWANA).
BWANADOO: Un autre surnom de Wanadoo. | (définition BWANADOO).
BWL: Bursting with Laughter, soit « éclater de rire » sur une messagerie instantanée. | (définition BWL).
BWOD: Bandwidth on Demand, soit « bande passante allouée selon la demande ». Cela permet de gérer au mieux, c'est-à-dire à moindre coût, les écarts de trafic sur de courtes durées. | (définition BWOD).
BXXP: Blocks eXtensible eXchange Protocol. C'est une évolution peu fréquente de BEEP. | (définition BXXP).
BY: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Biélorussie. | (définition BY).
BYPASS: Liaison directe de communication qui ne réserve pas de ressources d'un réseau publique de télécommunication (définition BYPASS).
BYTE: Mot anglais pour octet, ensemble de 8 bits. (définition BYTE).
BYTE-CODE: C'est une variante orthographique de bytecode. | (définition BYTE-CODE).
BYTECODE: Code intermédiaire avant la compilation d'un programme en Java. (définition BYTECODE).
BZ2: Désigne l'extension d'un fichier compressé selon la norme bzip2. | (définition BZ2).
BZIP2: Désigne une application de compression par statistiques. Les résultats sont meilleurs qu'avec Zip, mais Bzip2 est plus lent. L'extension associée est Bz2. | (définition BZIP2).
C: C'est un langage orienté objet mis au point par Microsoft dans un but de gain de productivité. C ressemble à du Visual Basic sous une forme de C++. (définition C ).
C / S: Client / Serveur. (définition C / S ).
C: Désigne un langage de programmation très répandu : souple d'utilisation, performant dans ses productions et offrant de larges possibilités, il est souvent associé à Unix. C désigne aussi le fichier renfermant du source en C. Enfin, C désigne souvent le disque dur, notamment sous Windows. (définition C).
C++: Langage de Programmation orienté objet, créé en 1983. (définition C++).
C2C: Consumer to Consumer. Désigne un rapport non marchand entre deux utilisateurs. (définition C2C).
C3I: Command, Control, Communications, Intelligence. Désigne, selon l'Etat américain, une des clés de la guerre contemporaine (Intelligence signifie renseignement). (définition C3I).
C4: Commande, Control, Communications, Computers. C'est un autre des acronymes-clés utilisés par les Etats-Unis. (définition C4).
C4I: Command, Control, Communications, Computers, Intelligence. Même définition. (définition C4I).
C4I2: Command, Control, Communications, Computers, Intelligence, Information. Même définition. (définition C4I2).
C64: Désigne un raccourci de Commodore 64. Le C64 était une machine extrêmement novatrice à sa sortie, notamment dans ses capacités audios et vidéos. Elle a eu un succès retentissant. (définition C64).
C89: Désigne la standardisation du C par l'ISO en 89. (définition C89).
C99: C'est la standardisation du C par l'ISO en 99. Cette évolution comporte beaucoup de nouveautés, ce qui la rend incompatible avec le C++. Elle est peu utilisée car il existe très peu de compilateurs libres compatibles avec elle. (définition C99).
CA: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Canada. (définition CA).
CA: Collision Avoidance, soit « évitement des collisions ». Egalement Certificate Authority, soit « Autorité de Certification ». On dira TPC en français. (définition CA).
CA*NET: Désigne le domaine canadien de l'internet en 89, animé par l'Université de Toronto. (définition CA*NET).
CAAD: Computer Assisted Architectural Design. Désigne La branche de la CAO qui se penche sur les questions d'architecture. (définition CAAD).
CAAO: Acronyme de CArtographie Assistée par Ordinateur. Désigne un logiciel permettant de faire de la cartographie sur un pc. (définition CAAO).
CAB: CABinet. Désigne, chez Microsoft, les archives (définition CAB).
CABALE: C'est le nom d'un groupe présent sur les groupes fr.usenet et souhaitant rien de moins que régner sur l'Usenet. (définition CABALE).
CâBLAGE: Désigne les fils et branchements d'une machine, notamment ceux présents sur les circuits intégrés. (définition CâBLAGE).
CâBLE CROISE: Désigne un type de câble croisant les transmissions de deux signaux, c'est-à-dire transmettant la diffusion de l'un à la réception de l'autre. Ce câble autorise donc une connexion directe entre deux étapes terminales. Le contraire de câble croisé est câble direct ou câble droit. (définition CâBLE CROISE).
CâBLE DIRECT: C'est un synonyme de câble droit. (définition CâBLE DIRECT).
CâBLE DROIT: Désigne un type de câble qui diffuse les signaux sans rien changer à leur ordre. Les synonymes en sont câble direct et câble plat. (définition CâBLE DROIT).
CâBLE JAUNE: Désigne un câble coaxial utilisé par le 10base5 (définition CâBLE JAUNE).
CâBLE PARALLELE: C'est un câble fait de plusieurs fils, qui communique différents signaux simultanément. Le problème de la synchronisation des différents signaux se pose alors, c'est pourquoi le câble série est plus utilisé. (définition CâBLE PARALLELE).
CâBLE PLAT: C'est un synonyme de câble droit. (définition CâBLE PLAT).
CâBLE RESEAU: Désigne un câble utilisé pour la transmission d'informations numériques. Le courant utilisé est donc peu élevé. (définition CâBLE RESEAU).
CâBLE SERIE: Désigne un type de câble qui diffuse les signaux à la suite les uns des autres. Le contraire d'un câble série est un câble parallèle. (définition CâBLE SERIE).
CâBLE: Désigne l'élément permettant la diffusion de données. Il peut être série, direct, croisé?Désigne également un e-mail, courrier électronique étant un peu long. (définition CâBLE).
CâBLE: Qualifie un algorithme implémenté dans un circuit. Cela donne une vitesse plus importante à une routine. (définition CâBLE).
CâBLER: Désigne le fait de brancher deux éléments à l'aide de câbles. Désigne aussi le fait d'écrire un algorithme dans un processeur par la connexion de transistors. Enfin, câbler peut signifier adresser un e-mail. (définition CâBLER).
CâBLERIE: C'est l'activité qui consiste à démêler des câbles. (définition CâBLERIE).
CâBLO: C'est le raccourci pour câblo-opérateur. (définition CâBLO).
CâBLO-OPERATEUR: Désigne la personne en charge d'un réseau câblé dans une entreprise de télécommunications. (définition CâBLO-OPERATEUR).
CACAHOUETE: « Partir en cacahouète » se dit d'un logiciel dont le fonctionnement est anormal. (définition CACAHOUETE).
CACHE DE NIVEAU N: Désigne le principe selon lequel on peut multiplier le nombre de niveau de cache. Deux niveaux sont la plupart du temps suffisants. (définition CACHE DE NIVEAU N).
CACHE DE PREMIER NIVEAU: Désigne une mémoire cache placée dans une puce. (définition CACHE DE PREMIER NIVEAU).
CACHE DE SECOND NIVEAU: C'est une mémoire cache située sur une carte mère, qui peut multiplier par deux la rapidité d'une machine. Son absence sur les premiers Celeron (Intel) est responsable de leur faible vitesse. (définition CACHE DE SECOND NIVEAU).
CACHE DISQUE: Désigne une mémoire cache dédiée au lecteur de disque. (définition CACHE DISQUE).
CACHE: Désigne une mémoire placée entre la puce et la mémoire première et dont l'objectif est d'augmenter la vitesse de fonctionnement. Une mémoire cache évite en effet les appels à la mémoire principale (définition CACHE).
CACHE-HIT: Désigne l'appel lancé par la puce à la mémoire cache, un appel qui touche sa cible. Un cache-hit est donc synonyme de gain de temps. Cache-miss en est le contraire. (définition CACHE-HIT).
CACHE-MISS: Désigne un appel du processeur, qui ne trouve pas la donnée demandée. C'est donc un synonyme de perte de temps. (définition CACHE-MISS).
CACM: Communications of the ACM. Désigne la revue édité par l'ACM (définition CACM).
CAD: Computer Assisted Design, soit « Conception Assistée par Ordinateur », qu'on désigne par CAO en français. Désigne également un Contact Auto-Dénudant (définition CAD).
CADD: Computer Assisted Design and Drafting. C'est une variante de CAD. (définition CADD).
CADDIE: C'est un synonyme de caddy, utilisé aux Etats-Unis. (définition CADDIE).
CADDY: Désigne le procédé par lequel un CD-ROM est chargé dans son lecteur, et protégé. Autrefois courante, cette méthode est presque abandonnée aujourd'hui. (définition CADDY).
CADENCEMENT: C'est un synonyme d'ordonnancement. (définition CADENCEMENT).
CADRAGE: Délimitation d'une zone à conserver sur une image, et redéfinition des dimensions et résolution désirées. (définition CADRAGE).
CADRATIN: Désigne un intervalle vide, d'une largeur égale à celle du M. (définition CADRATIN).
CADRE: C'est le français traduisant frame. (définition CADRE).
CAE: Computer Assisted Engineering, soit « Ingénierie Assistée par Ordinateur », c'est-à-dire IAO en français. (définition CAE).
CAFE: Communication Access For Everyone, soit « Accès à la Communication pour Chacun ». Désigne également la boisson préférée d'un programmeur. (définition CAFE).
CAGD: Computer Assisted Geometric Design, soit «Conception Géométrique Assistée par Ordinateur ». (définition CAGD).
CAHIER: Ensemble des pages issues d'une seule page pliée, destinés à être insérés ou superposés entre eux. (définition CAHIER).
CAI: Norme d'interface permettant à un téléphone sans fil de communiquer par onde radio avec une borne fixe. (définition CAI).
CAL: Client Acces License, soit « Licence d'Accès Client ». Dans un serveur NT, désigne l'autorisation de se connecter aux fichiers et imprimantes. (définition CAL).
CALAGE: Positionnement d'un groupe d'impression sur la machine avant impression, ce procédé permet l'obtention d'une page modèle qui servira ensuite de référence. (définition CALAGE).
CALANDRAGE: Opération consistant à lisser la feuille entre deux cylindres. (définition CALANDRAGE).
CALCING: C'est un raccourci pour calculating. Signifie qu'une opération est un cours de résolution. (définition CALCING).
CALCUL INTENSIF: Désigne toutes les méthodes de traitement d'applications complexes par des machines puissantes capables de gérer d'importants volumes d'informations numériques. (définition CALCUL INTENSIF).
CALCULATEUR: Désigne la classe des précurseurs de toutes les machines modernes. Le dernier représentant est l'ENIAC. On a abandonné le terme de calculateur car, même si le calcul représente encore le mode de fonctionnement d'un ordinateur, les fonctionnalités sont plus étendues. D'autre part, la part de calcul est souvent dissimulée. (définition CALCULATEUR).
CALCULATRICE: Désigne l'ordinateur de poche, parfois programmable, utilisé pour faire des calculs. Un synonyme est alors calculette. Désigne également, dans un ordinateur, l'application qui effectue des calculs. (définition CALCULATRICE).
CALCULETTE: C'est un synonyme de calculatrice. (définition CALCULETTE).
CALDERA: C'est le nom original du groupe diffuseur d'OpenLinux . Il a depuis disparu. (définition CALDERA).
CALIBRAGE DES COULEURS: Opération consistant permettant d'obtenir une image uniforme des couleurs pour tous les éléments de la chaîne graphique. (définition CALIBRAGE DES COULEURS).
CALIBRAGE: Opération consistant à régler un appareil suivant des données référence pré établi, afin d'obtenir un enregistrement ou une reproduction fidèle. Ce terme peut s'appliquer à tout matériel d'acquisition et restitution tel que les micros, enceinte, caméra vidéo ou télévision. (définition CALIBRAGE).
CALL-BACK: Désigne une méthode par laquelle on peut éviter un monopole en matière de téléphone. Elle consiste à 1) composer le numéro d'un serveur-commutateur étranger, 2) raccrocher, 3) attendre le rappel automatique du serveur grâce auquel on obtient une tonalité d'un réseau étranger, 4) composer le numéro de téléphone souhaité, en étant facturé selon le tarif du réseau étranger utilisé. On utilise également le call-back pour contrôler la sécurité de ses communications. (définition CALL-BACK).
CALLIGRAPHIE: Art de dessiner d'une façon élégante les caractères de l'écriture. (définition CALLIGRAPHIE).
CALLOC: Désigne le procédé par lequel on peut réserver de la mémoire (on peut commander n fois un bloc d'une taille donnée), en vue de son utilisation par un processus. (définition CALLOC).
CALQUE: Désigne le graphique transparent grâce auquel on peut rationaliser un travail de mise en page. Un calque supporte des éléments. En superposant des calques, on obtient ce que l'on souhaite. (définition CALQUE).
CALS: Projet initié par la défense américaine, dans le but de l'amélioration des échanges de données techniques. Utilise le langage sgml et le cgm. (définition CALS).
CAM: C'est un raccourci pour caméra. Désigne aussi un screener. (définition CAM).
CAM: Computer Assisted Manufacturing, soit « Fabrication Assitée par Ordinateur ». En français, on a FAO. Egalement Computer Assisted Mathematics. Enfin, Common Access Method, qui désigne un API de conception de pilotes SCSI. La CAM est standardisée par l'ANSI. (définition CAM).
CAMEL BOOK: Désigne la bible du langage Perl, publiée par O'Reilly. On peut distinguer parmi les différentes éditions le Pink et le Blue. (définition CAMEL BOOK).
CAMERON: Permet d'éditer des livres en des temps très court grâce à une rotative flexographique. (définition CAMERON).
CAML: Categorical Abstract Machine Language. C'est un métalangage fonctionnel développé à l'INRA. L'objectif était de remplacer Pascal dans l'enseignement et dans l'industrie. Il peut existé compilé ou interprété, et se distingue en deux sous-langages, Objective Caml et Caml-light. (définition CAML).
CAML-LIGHT: C'est une variante légère de Caml. Conçue pour une utilisation dans l'enseignement, cette variante n'est plus développée aujourd'hui. (définition CAML-LIGHT).
CAMPEUR: Dans l'univers du jeu vidéo, un campeur est celui qui préfère attendre en restant caché que quelqu'un passe à portée de tir plutôt que de prendre des risques. C'est un terme péjoratif. (définition CAMPEUR).
CAN: Controler Area Network. Désigne un bus pouvant atteindre une vitesse de 1 Mbits/s. Désigne également le raccourci fréquent de CANcel, annuler (définition CAN).
CANAL ALPHA: Canal additionnel pour la formation de couches, permettant ainsi un travail plus facile sur une zone de l'image. (définition CANAL ALPHA).
CANAL CACHE: Désigne un circuit de communication caché, utilisé par des pirates pour éviter des barrages de sécurité. L'anglais dit covert channel. (définition CANAL CACHE).
CANAL: Désigne une voie de communication entre des équipements réseau. (définition CANAL).
CANARIE: Canasdian Network for the Advancement of Research, Industry and Education. Désigne une ONG développant l'utilisation de l'internet au Canada. (définition CANARIE).
CANCEL: Ce qui se passe quand on (soit l'auteur de l'article, soit l'administrateur) fait disparaître un article de l'Usenet,. Cela ne se fait pas sans une bonne raison. (définition CANCEL).
CANCELLER: Désigne le fait de faire disparaître un article d'un newsgroup. (définition CANCELLER).
CANNIBALISATION: C'est l'action de cannibaliser des ordinateurs. L'effet est souvent de les rendre incapables de fonctionner. (définition CANNIBALISATION).
CANNIBALISER: Désigne le fait d'utiliser une ou plusieurs machines pour en réparer une autre. Ce terme n'est pas spécifique à l'informatique. (définition CANNIBALISER).
CANTER ET SEIGEL: Désigne le nom d'un cabinet de juristes, considéré par beaucoup comme les inventeurs du spam. Ils ont en effet posté des publicités dans de très nombreux forums et en ont subi les conséquences. (définition CANTER ET SEIGEL).
CAO ELECTRONIQUE: Conception Assistée par Ordinateur. Elle est surtout active dans les circuits intégrés. (définition CAO ELECTRONIQUE).
CAO: Conception Assistée par Ordinateur. (définition CAO).
CAP GEMINI, ERNST &: Young (définition CAP GEMINI, ERNST &).
CAP: Carrierless Amplitude and Phase Modulation. Désigne le type de codage utilisé par l'ADSL. Désigne également un raccourci pour CAPture. (définition CAP).
CAPABILITY: Proche de l'idée des accès réglementés, la capability caractérise les actions possibles en fonction des utilisateurs : administration, création, paramétrage système sont ainsi réglementés. (définition CAPABILITY).
CAPACITE: Mesure le nombre d'informations réelles émises dans une communication en un temps donné. Plus généralement, la capacité mesure le stockage ou le traitement dont un système est capable. Enfin la capacité d'un condensateur indique (en Farads) l'énergie maximale qu'il peut recevoir avant de brûler. (définition CAPACITE).
CAPI: API particulière offrant un service de sécurisation des applications IP fournies par Microsoft. (définition CAPI).
CAPILLOTRACTE: Littéralement « tiré par les cheveux ». Caractérise un argument spécieux. (définition CAPILLOTRACTE).
CAPITALE: Lettre majuscule (définition CAPITALE).
CAPSLOCK: C'est l'anglais pour verrmaj, souvent signalé par un verrou sur la touche. (définition CAPSLOCK).
CAPTAIN: Nom du système de vidéotex japonais (définition CAPTAIN).
CAPTEUR: Désigne tout outil qui convertit en charge électrique une grandeur d'ordre physique. (définition CAPTEUR).
CAPTURE D'ECRAN: Désigne la photo faite à un moment donné de l'état de l'écran. L'anglais dit screenshot. (définition CAPTURE D'ECRAN).
CAPTURE: Désigne ce que l'on obtient lorsqu'on a capturé un élément. (définition CAPTURE).
CAPTURER: Enregistrer en tant qu'image des informations présentes à l'écran. L'équivalent anglais est snapshot. (définition CAPTURER).
CAR: Contents of Address portion of Register. Sur l'IBM 704, c'est le résultat de la fonction. En langage LISP, désigne une des fonctions les plus importantes (définition CAR).
CARACTERE DE COMMANDE: Désigne un caractère qui n'a pas valeur de signe, mais de fonction, comme par exemple inser. (définition CARACTERE DE COMMANDE).
CARACTERE DE CONTRôLE: Désigne l'ornement d'un texte (italique, par exemple) qui n'est jamais affiché. (définition CARACTERE DE CONTRôLE).
CARACTERE GENERIQUE: C'est un caractère qui peut se substituer à d'autres. Un synonyme est wildcard en anglais. ON utilise aussi le caractère *. (définition CARACTERE GENERIQUE).
CARACTERE GRAPHIQUE: On l'utilise pour composer des formes, sur le Minitel, par exemple. (définition CARACTERE GRAPHIQUE).
CARACTERE IMPRIMABLE: Désigne un caractère qui peut être rendu visible par un symbole signifiant. (définition CARACTERE IMPRIMABLE).
CARACTERE MAGNETIQUE: Désigne ce qui compose une série, en bas d'un chèque par exemple, lisible par une machine. Une suite de caractère magnétique permet l'identification du document. (définition CARACTERE MAGNETIQUE).
CARACTERE: Désigne un type d'information conservé sur un ou des octets. Elle renferme un code, un signe, une lettre. Caractérise également un affichage qui ne peut représenter d'images. (définition CARACTERE).
CARACTERE: Lettre ou symbole appartenant à un alphabet particulier. (définition CARACTERE).
CARBON: Désigne la couche logicielle de MacOS X qui le rend capable d'être utilisé par des applications développées pour MacOS 9. A terme, Cocoa sera substitué à ce procédé. (définition CARBON).
CARBONISER: Désigne le fait d'apporter de légères modifications au code d'un programme en vue de son intégration sous MacOS X. (définition CARBONISER).
CARDBUS: Dénomination des cartes disposant d'une interface busmaster 32 bits. Les cardbus sont utilisées par des systèmes nécessitant un haut niveau de performance. (définition CARDBUS).
CARDING: Désigne l'activité de piratage des cartes de banques, de crédit etc?Très simple aux Etats-Unis car les cartes n'ont qu'un numéro, le carding est plus compliqué en France en raison du circuit intégré. (définition CARDING).
CAREWARE: Désigne une famille de programmes qu'on peut utiliser gratuitement à condition d'entrer dans une ½uvre de charité. C'est un synonyme de charityware. (définition CAREWARE).
CARITATICIEL: C'est l'équivalent français de careware. On le rencontre peu fréquemment. (définition CARITATICIEL).
CARNET D'ADRESSES: Désigne la banque de données associée à un logiciel d'e-mail et composée d'adresses. L'équivalent anglais est l'address book. (définition CARNET D'ADRESSES).
CARNIVORE: Désigne un dispositif de renseignement mis en place par le FBI américain chez les fournisseurs d'accès. (définition CARNIVORE).
CAROLL: Désigne la bande perforée entourant un listing. Les perforations rendent possible la mise en mouvement du papier par une machine d'impression. (définition CAROLL).
CARRIER: C'est l'équivalent anglais de porteuse. (définition CARRIER).
CARTE A PUCE: Désigne l'objet plastique de forme rectangulaire qui intègre une puce. La carte peut alors être utilisée pour identifier le propriétaire et conserver quelques informations. La puce présente sur une carte bancaire pourtant n'est utilisée que pour assurer un contact électrique (définition CARTE A PUCE).
CARTE BOOMERANG: Désigne une extension de forme triangulaire, portant souvent un adaptateur SCSI bon marché. (définition CARTE BOOMERANG).
CARTE COMBO: Désigne un adaptateur intégrant de multiples interfaces, par exemple un adaptateur réseau supportant l'AUI comme le RJ45. (définition CARTE COMBO).
CARTE D'EXTENSION: Désigne une carte accroissant les spécifications d'un adaptateur principal. (définition CARTE D'EXTENSION).
CARTE FILLE: Désigne un circuit à connecter sur un adaptateur. On n'emploie ce terme que pour les cartes d'extension. (définition CARTE FILLE).
CARTE GRAPHIQUE: Désigne une extension dédiée à l'affichage vidéo et aux traitements visuels. Parmi les standards, on peut rencontrer SVGA, VGA, Hercules. Un synonyme est carte vidéo. (définition CARTE GRAPHIQUE).
CARTE MEMOIRE: Désigne un circuit intégré dont la seule mission est de porter de la mémoire. (définition CARTE MEMOIRE).
CARTE MERE: Dans une machine, c'est la carte importante (définition CARTE MERE).
CARTE MERE: La carte mère est un élément central dans l'architecture d'un ordinateur. Elle permet de réunir tous les autres composants tels que le processeur, la RAM, les cartes d'extension, disque dur, mais aussi de garantir l'échange d'information entre tous les composants. (définition CARTE MERE).
CARTE PERFOREE: Désigne un procédé archaïque de sauvegarde des informations ou logiciels, où un trou correspond à un bit. Elle a disparu vers1990. L'anglais dit punched card. (définition CARTE PERFOREE).
CARTE RESEAU: Désigne l'extension autorisant la connexion d'une machine à un réseau. (définition CARTE RESEAU).
CARTE SON: C'est l'adaptateur dont la mission est la reproduction et les traitements sonores. Les cartes son sont aujourd'hui fréquemment intégrées à la carte mère. Un exemple connu de carte son est SoundBlaster. (définition CARTE SON).
CARTE VIDEO ACCELEREE: C'est une carte graphique intégrant une puce, soulageant donc le processeur. On peut dire également accélérateur graphique. (définition CARTE VIDEO ACCELEREE).
CARTE VIDEO ACTIVE: Désigne une extension graphique intégrant un processeur. (définition CARTE VIDEO ACTIVE).
CARTE VIDEO PASSIVE: Cette extension n'a pas de puce intégrée. (définition CARTE VIDEO PASSIVE).
CARTE VIDEO PROGRAMMABLE: Désigne une carte vidéo active dont le processeur est susceptible d'être programmé. C'est le cas de la grande majorité des cartes aujourd'hui. (définition CARTE VIDEO PROGRAMMABLE).
CARTE VIDEO: C'est le synonyme de carte graphique. (définition CARTE VIDEO).
CARTE: Fine feuille de carton mine. (définition CARTE).
CARTEL D'EMBROUILLE: Désigne une expression propre à Dilbert, le personnage de la BD de Scott Adams. Le cartel d'embrouille fait référence aux domaines dans lesquels les fournisseurs s'entendent pour partager un marché en empêchant le client potentiel de déterminer la meilleure offre. (définition CARTEL D'EMBROUILLE).
CARTONNAGE: Alliage de lin et de plâtre, avec l'apparence du papier mâché. (définition CARTONNAGE).
CARTOUCHE: Décoration utilisée pour encadrer un paragraphe de texte. (définition CARTOUCHE).
CAS LATENCY: Mesure en cycle d'horloge du temps écoulé entre l'arrivée d'une instruction READ par une mémoire SDRAM et la transmission des informations réclamées. Cette latence quantifie la vitesse de la mémoire. (définition CAS LATENCY).
CAS: Column Address Strobe. Désigne l'avertisseur qui prévient une mémoire DRAM que l'adresse utilisée est une adresse de colonne. (définition CAS).
CASCADE: Désigne un e-mail qu'on doit augmenter d'une ligne avant de le transmettre. (définition CASCADE).
CASE A COCHER: Désigne une case qu'on sélectionne ou désélectionne, modifiant ainsi l'état d'un drapeau. (définition CASE A COCHER).
CASE BADGE: Désigne le petit sticker publicitaire collé sur le boîtier d'une machine, informant sur les composants de cette machine. (définition CASE BADGE).
CASE D'OPTION: C'est un synonyme de case à cocher. (définition CASE D'OPTION).
CASE: Computer Assisted Software Engineering, soit « Ingénierie Logicielle Assistée par Ordinateur ». En français, on rencontre AGL, ou CPAO, moins fréquent. (définition CASE).
CASE, STEVE: C'est un des créateurs du groupe Quantum Computer Services qui deviendra AOL. (définition CASE, STEVE).
CASSAGE: Désigne le fait de percer un code, c'est-à-dire de pouvoir convertir un message codé en une version compréhensible. (définition CASSAGE).
CASSE: En typographie, la casse est le boîtier contenant les caractères d'une certaine police d'écriture. (définition CASSE).
CASSE-BRIQUES: Désigne une classe de jeux vidéos dans lesquels on utilise une balle pour détruire un mur. Son représentant le plus connu est Arkanoïd. En anglais, casse-briques se dit breakout. (définition CASSE-BRIQUES).
CASSER LA FIGURE: Pour un serveur, désigne le fait de cesser de fonctionner. Les causes peuvent en être multiples. (définition CASSER LA FIGURE).
CASSER: S'emploie à propos d'un code : casser un code désigne le fait d'être capable de lire ce qu'il cachait. (définition CASSER).
CASSEROLE: Sur un Mac, c'est ainsi qu'est surnommée la touche Option, en référence au symbole ressemblant à une casserole. On peut ainsi « faire cuire la pomme » en utilisant les touches pomme et casserole en même temps. Cette combinaison reconstruit le bureau. (définition CASSEROLE).
CASSETTE: Désigne la boîte de plastique contenant une bande magnétique utilisée pour la conservation de données. Désigne également l'élément d'une imprimante contenant du papier de dépannge. Un synonyme est alors bac. (définition CASSETTE).
CASSEUR: Désigne celui dont l'activité est de casser du code, souvent afin de mesurer la sécurité d'un élément quelconque. L'anglais dira cracker, voire code breaker. (définition CASSEUR).
CAST: Désigne dans C l'opérateur chargé des conversions de type explicites, représenté par un couple de parenthèses. L'équivalent français est forçage de type. (définition CAST).
CAST: Désigne un algorithme de chiffrement. (définition CAST).
CAT: Computer Assisted Teaching, soit « Enseignement Assisté par Ordinateur », EAO en français. Designe aussi la Computer Assisted Tomography. (définition CAT).
CAT: Désigne une instruction sous Unix. Elle sert à chaîner des fichiers. (définition CAT).
CATALOGUE: Désigne un inventaire du contenu d'un répertoire, d'une archive, d'un dossier. (définition CATALOGUE).
CATALOGUEUR: Désigne une application de génération de catalogues. (définition CATALOGUEUR).
CATB: The Cathedral and the Bazaar. CatB désigne deux représentations opposées de l'activité de conception de logiciels, notamment de logiciels libres. Le modèle de la Cathédrale renvoie à l'idée d'un petit groupe de personnes très qualifiées développant un logiciel complet, alors que le modèle du Bazar fait référence à une communauté ouverte travaillant dans l'anarchie pour concevoir un produit toujours en évolution. (définition CATB).
CATEGORIE 3: Désigne une vieille norme de câblage en RJ45, d'une vitesse maximale de 10 Mbits/s. (définition CATEGORIE 3).
CATEGORIE 5: Standardisée par la norme EIA / TIA 568, la catégorie 5 désigne un câble de cuivre Ethernet, composé de quatre couples de fils torsadés et équipé de deux connecteurs RJ45 aux extrémités. La longueur maximale est de 100 mètres, et la vitesse, de 100 Mbits/s sous 100MHz. (définition CATEGORIE 5).
CATEGORIE 5E: Désigne la même chose que la catégorie 5, mais à une vitesse supérieure, allant jusqu'à 1000 Mbits/s. (définition CATEGORIE 5E).
CATEGORIE 6: Désigne un câble Ethernet utilisant des fréquences situées entre 250 et 500 MHz. La vitesse de transmissions peut osciller entre 1000 Mbits/s et 7 Gbits/s. (définition CATEGORIE 6).
CATEGORIE 6E: C'est une câble de catégorie 6 évoluant à des fréquences dépassant les 550 MHz. (définition CATEGORIE 6E).
CATIA: Computer graphic Assisted Three dimensionnal Interactive Application. Fruit de la collaboration d'IBM et Dassault, ce logiciel au départ utilisé pour la conception d'avion est devenu courant dans l'industrie. (définition CATIA).
CATV: Désigne aux Etats-Unis la télévision par câble, et les technologies qui lui sont associées (définition CATV).
CAUCE: Coalition Against Unsolicited Commercial Email. Désigne la réunion d'usagers du réseau internet souhaitant mettre fin à la pratique du spam. (définition CAUCE).
CAUSETTE: C'est la traduction officielle de chat. Le terme rencontre peu de succès. (définition CAUSETTE).
CAV: Constant Angular Velocity, soit « Vitesse Angulaire Constante ». Elle est parfois employée pour lire des informations sur un disque. (définition CAV).
CAVALIER: Désigne un procédé visant à créer un contact électrique amovible. Il est parfois employé pour paramétrer un adaptateur. L'équivalent anglais, très utilisé, est jumper. (définition CAVALIER).
CAVITE: Qualifie un virus qui, dans un exécutable, se cache dans une partie composée exclusivement de 0. De cette façon, le poids du fichier reste constant et le virus, indétectable. (définition CAVITE).
CB: C'est l'acronyme bien connu de Carte Bancaire, ou Carte Bleue. Peut également servir, sur une messagerie instantanée, d'acronyme à la question « ça baigne ? ». (définition CB).
CBDS: Utilisé pour l'interconnexion de différents réseaux locaux, ce service est défini par l'ETSI (définition CBDS).
CBM 64: Commodore Business Machine 64. Désigne le Commodore 64, une machine ayant rencontré une grande réussite dans les années 80. (définition CBM 64).
CBR: Case Based Reasoning, soit « Raisonnement Basé sur des Cas ». Désigne également le Constant Bit Rate, « Taux Constant de Bits ». Enfin, désigne le Cas Before Ras, un procédé de choix de bits dans une mémoire DRAM. (définition CBR).
CBS: Case Based Systems, soit « Systèmes Basés sur des Cas ». (définition CBS).
CBX: Computerized Branch eXchange. C'est un synonyme de PBX. (définition CBX).
CC: C'est le raccourci pour Carbon Copy, Copie Carbone, Courtesy Copy. Désigne l'envoi d'un e-mail à des destinataires secondaires (on peut trouver dans ce cas Cc). Désigne également C Compiler, c'est-à-dire Compilateur C. CC renvoie aussi à une Carte de Crédit qui donne en anglais Credit Card. CC désigne d'autre part le Country Code soit Code de pays (définition CC).
CCA: Credit Card Authorization, soit « Autorisation d'utilisation d'une Carte de Crédit ». (définition CCA).
CCD: Couple Charge Device, soit « Appareil à Transfert de Charges ». Désigne un senseur qui convertit la lumière en charges électriques. A l'origine développé en vue de la fabrication de mémoire, il est aujourd'hui employé par les appareils photos numériques, les scanners ou les caméras. (définition CCD).
CCE: Désigne un Code de Correction d'Erreur. (définition CCE).
CCETT: Centre commun d'études de télédiffusion et de télécommunication. Organisme de recherche et développement situé à rennes, dans les domaines du multimédia, de la télévision numérique et du vidéotex. (définition CCETT).
CCI: Désigne une Copie Carbone Invisible. C'est l'équivalent en français du BCC. (définition CCI).
CCIR: Organisation internationale pour la normalisation des communications radio. Le CCIR prend notamment en charge l'affectation des fréquences. (définition CCIR).
CCIRN: Coordinating Comitee for Intercontinental Research Networks. Désigne une structure transatlantique de standardisation des réseaux. (définition CCIRN).
CCITT: Organisation de normalisation, s'occupe principalement de donner des recommandations dans le domaine des télécommunications. (définition CCITT).
CCN: Désigne le Conseil Canadien des Normes qu'on nomme Standard Concil of Canada. (définition CCN).
CC-NUMA: Cache Coherent Non Uniform Memory Access. (définition CC-NUMA).
C-COMMERCE: Désigne le Collaborative Commerce dont l'objectif est la simplification des démarches dans la recherche de fournisseurs. (définition C-COMMERCE).
CCP: Compression Control Protocol. Désigne, sur un lien PPP, le dispositif gérant le choix du format de compression. Désigne aussi l'acronyme de Cut, Copy, Paste : couper, copier, coller, les trois actions basiques. (définition CCP).
CCS: Centum Call Second. Désigne l'unité par laquelle on quantifie la fréquentation sur un réseau téléphonique. Un ccs vaut un appel de 100 secondes ou 10 appels de 10 secondes. (définition CCS).
CCSID: Coded Character Set Identifier, soit en français « l'Identifiant de Jeux de Caractères Codés » employé par Unicode. (définition CCSID).
CCTLD: Country Code Top Level Domain. Désigne l'ensemble des noms de domaines attribués au différents pays, be pour la Belgique, as pour l'Arabie Saoudite etc?. (définition CCTLD).
CD AUDIO: Renvoie à l'utilisation la plus fréquente du CD : stocker de la musique. (définition CD AUDIO).
CD GRAVABLE: Désigne un CD sur lequel on peut enregistrer des données à l'aide d'un graveur. (définition CD GRAVABLE).
CD R: Compact Disk Recordable. Disque gravable non réinscriptible. (définition CD R).
CD ROM: Compact Disc Read Only Memory. Disque avec un contenu statique qui ne peut être effacé ou modifié. (définition CD ROM).
CD RW: Compact Disc Rewritable. Disque gravable réinscriptible, jusqu'à 1000 fois environ. (définition CD RW).
CD TEXT: Format particulier de CD Audio sur lequel il est autorisé de rajouter des données textuelle, telles que des titres, des auteurs? (définition CD TEXT).
CD: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en République Démocratique du Congo. (définition CD).
CD: C'est l'acronyme bien connu de compact disc. Un CD désigne un disque sur lequel on peut enregistrer 650 Mo d'informations. Le format a été standardisé en 1985 dans le Yellow Book. Il est aujourd'hui largement employé pour conserver et commercialiser du son. Il est composé d'aluminium sur sa surface et de polycarbonate. Son diamètre est de 12 cm, sur une épaisseur de 1,2mm. (définition CD).
CDA: Format audio numérique, utilisé pour les CD audio. (définition CDA).
CDC 6600: Control Data Corporation 6600. Désigne le fer de lance du groupe Control Data, leader dans les années 60. L'innovation du 6600 consiste en différents systèmes de gestion des entrées et sorties visant à soulager le processeur des tâches les plus fréquemment exécutées. (définition CDC 6600).
CDDA: C'est l'équivalent de CD-DA. Mais CDDA est plus fréquent. (définition CDDA).
CD-DA: Compact Disk Digital Audio. Désigne la forme la plus courante du CD. (définition CD-DA).
CDDB: Compact Disc Data Base. Base De Données particulière disponible sur Internet permettant de récupérer des informations sur la plupart des CD Audio existant, c'est-à-dire le nom des pistes, des artistes, des durées? (définition CDDB).
CDDI: Copper Data Distribution Interface, soit « Interface Cuivrée de Distribution de Données ». (définition CDDI).
CDE: Common Desktop Environment. Désigne une interface graphique d'Unix. Le développement de la version 1.0 a été achevé en 1995. Désigne également un Compact Disc Erasable, sur lequel on peut donc réécrire. On dira plutôt CD-RW. (définition CDE).
CDF: Channel Definition format. Désigne un standard (aujourd'hui inutilisé) de caractérisation des canaux de push de Microsoft. (définition CDF).
CDFS: CD-ROM File System. Désigne le procédé par lequel les pistes d'un CD audio apparaissent comme des fichiers. (définition CDFS).
CD-I: Compact Disc Interactif. Désigne un standard CD (normalisé dans le green book) dont Philips et Sony sont les proprétaires. Nécessitant un équipement spécifique, il fût un échec. (définition CD-I).
CDMA: Code Division Multiple Access. Désigne un procédé de téléphone wireless utilisant un large spectre de fréquence. Il est utilisé notamment en Corée, ou aux Etats-Unis. (définition CDMA).
CDML: Climate Data Markup Language. Mais aussi COBOL Data Manipulation Language, ou Claris Dynamic Markup Language, qui sont autant de langage différents les uns des autres. (définition CDML).
CD-MO: CD Magnetic Optical. Désigne un format de CD sur lequel on peut réenregistrer et qui n'est pas pris en charge par un lecteur classique. (définition CD-MO).
CD-MRW: CD Mount Rainier / Read Write. Désigne une caractérisation visant à répandre le CD autant que la disquette en son temps. Cette caractérisation a été faite par le groupe du Mont Rainier. (définition CD-MRW).
CD-R: C'est l'acronyme de Compact Disc Recordable. Désigne un CD qu'on peut graver une seule fois. Un synonyme est donc CD-WO, et un contraire CD-RW. (définition CD-R).
CDR: Corel Draw. Désigne le graphique vectoriel produit par le programme Corel. Désigne également les Contents of Decrement portion of Register. Désigne une fonction sous LISP qui ôte la tête d'une liste. CDR signifie aussi Compact Disc Raw, le fichier renfermant des informations brutes extraites d'un CD audio. Enfin, signifie Common Data Representation. (définition CDR).
CDRAM: Cache Dynamic Random Access Memory. (définition CDRAM).
CD-ROM: Désigne un CD lisible par un ordinateur. On peut remplir ses 640 Mo par différents types d'informations. Désigne également le lecteur utilisé pour un tel support. La standardisation des CD-ROM a eu lieu en plusieurs étapes, parmi lesquelles : le Red Book en 81 pour le CD audio, le Yellow Book pour le CD-ROM en 85, l'ISO 9660, l'ADPCM etc? (définition CD-ROM ).
CD-RW: Désigne un CD ReWritable, réinscriptible donc. Il est susceptible, en plus d'être lu, d'être gravé, formaté, regravé etc? (définition CD-RW).
CDT: Central Daylight-savings Time. CDT désigne le fuseau correspondant au Centre des Etats-Unis (heure d'été). (définition CDT).
CD-TV: Commodore Dynamic Total Vision. Désigne le CD-ROM utilisé par une machine Amiga, dans sa variante propriétaire. (définition CD-TV).
CD-V: Compact Disc Vidéo. Désigne une tentative d'utilisation du CD pour stocker de la vidéo, une tentative rendue obsolète par le DVD. (définition CD-V).
CD-WORM: Compact Disc Write-Once Read Many. Désigne également un CD-R ou CD-WO, mais en précisant que les lectures sont multiples. (définition CD-WORM).
CD-XA: Compact Disc eXtended Architecture. Désigne un ajout au standard ISO 9660 afin d'augmenter la fiabilité de l'objet. (définition CD-XA).
CE: C'est l'acronyme de Comunnauté Européenne. Par extension, CE est devenu le logo signalant que la machine respecte la directive CEE 89.336 sur les radiations magnétiques. CE désigne aussi un courrier électronique ainsi que Consumer Electronic qui désigne toutes les technologies électroniques disponibles pour le public (appareil photo numérique, ordinateur, lecteur DVD etc?). (définition CE).
CEA: Consumer Electronics Association. C'est un groupe de pression américain émanant des fabricants d'électronique. (définition CEA).
CEBIT: Centrum der Burö und Information Technik. Désigne une exhibition informatique annuelle à Hannovre, équivalente au COMDEX américain. (définition CEBIT).
CEDEROM: C'est la création française qui voudrait remplacer le terme de CD-ROM. (définition CEDEROM).
CEI: Commission Electronique Internationale. Organisme Internationale chargé des normes dans le domaine de l'électricité et de l'électronique. (définition CEI).
CELERON 330A: C'est l'évolution suivante : 330 Mhz et un cache de niveau 2. (définition CELERON 330A).
CELERON: Désigne une variante bon marché du Pentium 2 d'Intel. Disponible en 98, les modèles originaux cadencés à 266 MHz n'avaient qu'un niveau de cache. Cadencés par la suite à 300 MHz, ils souffraient toujours de cette absence de cache de niveau 2. (définition CELERON).
CELIAS: Procédé d'échange d'information EDI pour le transfert de document, utilisé dans les assurances. (définition CELIAS).
CELLULAIRE: Qualifie une certaine méthode d'organisation dans le domaine de la radiotéléphonie, dans lequel on attribue une fréquence à une communication délimitée par une zone géographique appelée cellule. Ce mode de communication permet la réutilisation des fréquences entre différentes cellules. (définition CELLULAIRE).
CELLULE: Très employé dans un tableur, le terme désigne simplement une case. Il désigne aussi dans un autre contexte un paquet d'informations (de 53 octets) transporté par ATM. (définition CELLULE).
CELLULOSE: Matière végétale fibreuse utilisé dans la fabrication du papier, elle est issu de matériau tel que le coton, le bois, le chanvre, le lin et d?autres plantes. (définition CELLULOSE).
CEN: Le CEN est l?organisme officiel européen en charge de la normalisation. (définition CEN).
CENELEC: Organisation européenne de normalisation, dans le domaine de l?électrotechnique. Le CENELEC est lié au CEN par le biais d?une structure commune. (définition CENELEC).
CENSORWARE: Désigne un programme de censure de réseau, qui s'appuie sur la présomption de ce que contienne les paquets. (définition CENSORWARE).
CENTRE D'APPELS: Désigne une structure qui reçoit la totalité des appels téléphoniques émanant des clients, un centre unique permettant en effet de gagner en productivité. (définition CENTRE D'APPELS).
CENTRE DE TELECHARGEMENT MICROSOFT: Serveur Web fourni par Microsoft qui centralise des mises à jour accessibles aux utilisateurs de logiciels Microsoft. (définition CENTRE DE TELECHARGEMENT MICROSOFT).
CENTREX: Service autorisant une entreprise à utiliser un autocommutateur public dans le but de connecter ses équipements de télécommunication. (définition CENTREX).
CENTRINO: Désigne une famille de technologies développées par Intel à destination des portables. Ces technologies s'étendent du processeur (Pentium M) à la batterie, en passant par la connectivité réseau (WLAN). (définition CENTRINO).
CENTRONICS: Désigne un port parallèle, sur lequel on peut par exemple brancher une imprimante. Doté de 25 broches, le Centronics est une marque déposée. (définition CENTRONICS).
CEO: Chief Executive Officer. C'est l'homologue du directeur général en France. (définition CEO).
CEP: Connection End Point. Désigne un point marquant le départ ou l'arrivée d'un signal. (définition CEP).
CEPIS: Désigne le Concil of European Professional Informatics Societies, soit « Conseil Européen Des Professionnels des Technologies de l'Information ». (définition CEPIS).
CEPT: Conférence Européenne des Postes et Télécommunications. Réuni 26 pays européens afin de formuler des recommandations auprès du CCITT. (définition CEPT).
CERF, VINT: Après avoir conduit des recherches sur l'Arpanet, il a été l'un des inventeurs (l'autre étant B. Kahn) du TCP / IP en 73. En 92, il a crée l'Internet Society. (définition CERF, VINT).
CERIM: Désigne le Centre d'Etudes et de Recherche en Informatique Médicale. (définition CERIM).
CERN: Désigne le Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire. Il est l'une des premières réalisations européennes puisqu'il est né en 1954. Le concepteur de l'HTTP et du HTML, T. Berners-Lee y a travaillé. Si le Conseil est devenu le Laboratoire Européen pour la Physique des Particules, l'acronyme CERN est resté. (définition CERN).
CERT / CC: CERT Coordination Center. Il est basé à l'Université de Carnegie Mellon. (définition CERT / CC).
CERT: Computer Emergency Response Team. Désigne une force d'intervention rapide contre les attaques sur internet. Elle traque en particulier les failles diverses sur les différents systèmes. Elle a été fondé par le DARPA en 88. On compte en France trois centres CERT spécialisés dans différents domaines : l'éducation et la recherche pour le CERT Renater, le groupe industrie-tertaire pour le CERT-IST et l'administration pour le CERTA. (définition CERT).
CERTA: Computer Emergency Response Team pour l'Administration. Désigne le CERT dédié à la surveillance de l'administration. Il est une composante de la DCSSI. (définition CERTA).
CERTANGLE: Désigne un rectangle disposant de cercles à chaque coin, ou un cercle avec des coins. On les utilise dans l'analyse. (définition CERTANGLE).
CERTIFICAT NUMERIQUE: Désigne l'identification d'un élément (équipement, société, personne), sous une forme électronique. Il présente des données relatives à cet élément et un cachet d'une autorité qui garantit ces données. Il est standardisé par la norme X509v3 dans la RFC 2459. (définition CERTIFICAT NUMERIQUE).
CERTIFICAT NUMERIQUE: Document crypté contenant des informations sur l?identification d?un serveur ou d?un utilisateur, il permet la vérification d?une identité avant établissement d?une liaison sécurisée. (définition CERTIFICAT NUMERIQUE).
CERTIFICAT: Désigne un raccourci pour certificat numérique. (définition CERTIFICAT).
CERT-IST: CERT Industrie-Services-Tertiaire. (définition CERT-IST).
CES: Consumer Electronic Show. Organisé par la CEA, ce show international se tient à Las Vegas. (définition CES).
CEST: Central European Summer Time. C'est notre heure d'été, qui vaut UTC + 2. (définition CEST).
CESURE: Découpage d?un mot en fin de ligne dans le but d?économiser de la place. La césure suit des règles précises suivant la langue utilisée. (définition CESURE).
CESURE: Désigne la séparation d'un mot en deux. (définition CESURE).
CET: Central European Time. Notre heure d'hiver, UTC + 1. (définition CET).
CF: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Centrafrique. (définition CF).
CF: C'est le raccourci de Compact Flash. (définition CF).
CFA: Color Filter Array. Désigne un composant d'un senseur CCD. (définition CFA).
CFAIA: Conception et Fabrication Assistée par Intelligence Artificielle. (définition CFAIA).
CFAO: Conception et Fabrication Assistée par Ordinateur. C'est le mélange de la GPAO et de la CAO. (définition CFAO).
CFD: Computational Fluid Dynamics. Désigne l'utilisation de l'informatique dans la dynamique des fluides. (définition CFD).
CFML: ColdFusion Markup Language. Langage de programmation développé par Allaire, ainsi qu?un logiciel du même nom (définition CFML).
CFN: C'est l'acronyme de Ciao For Now, c'est-à-dire, « Ciao, pour le moment ». (définition CFN).
CFONB: Utilisé dans le cadre d?échange d?information sécurisée EDI et pour les transferts bancaires ETEBAC (définition CFONB).
CFT: Cross File Transfert. Logiciel de gestion et d?échange de fichiers développé par la société Crédintrans, il est basé sur un système de contrôle des transferts et est surtout utilisé dans le domaine bancaire. (définition CFT).
CFV: Call for Votes. Désigne un appel aux votes sur l'Usenet, qui porte souvent sur l'existence ou non d'un nouveau groupe. Le CFV suit une RFD. En français, on dira AAV. (définition CFV).
CG: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en République du Congo. C'est également l'acronyme de C graphique, une version de traitement graphique de C. (définition CG).
CGA: Color Graphics Adapter. Désigne un ancien standard d'adaptateur graphique, capable d'un affichage de 320 x 200 en 4 couleurs, ou 620 x 200 en 2 couleurs. (définition CGA).
CGI: Common Gateway Interface. Programme écrit en C, C++ ou Perl exécuté sur le serveur et qui renvoie une page html au client. (définition CGI).
CGI-BIN: Désigne, sur un serveur web, l'emplacement des scripts CGI ou des exécutables. Ils sont réunis pour en faciliter la surveillance. (définition CGI-BIN).
CGM: Computer Graphics Metafile. Désigne un type de graphiques qui peuvent être bitmap ou vectoriel. Le CGM est standardisé par l'ISO depuis 1987. (définition CGM).
CGS: C'est l'acronyme de Cap Gemini Sogeti. Désigne une SCII qu'on retrouve dans la fusion Cap Gemini Ernst & (définition CGS).
CGTI: C'est le Conseil Général des Technologies de l'Information. (définition CGTI).
CGUS: Désigne les Conditions Générales d'Utilisation du Service. (définition CGUS).
CH: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Suisse (Confédération Helvétique). (définition CH).
CHAîNAGE: Désigne la forme générale du raisonnement. Un chaînage avant est déductif (de la théorie au réel), un chaînage arrière est inductif (du réel à la théorie). On utilise ce modèle dans les recherches sur l'intelligence artificielle. Désigne également le fait de relier les composants d'une liste. Dans les SGBD par exemple, on peut parcourir les enregistrements si ceux-ci sont chaînés. (définition CHAîNAGE).
CHAîNE DE CARACTERES: en ce sens, un mot est une chaîne. On en marque l'extrémité par un zéro final ou par le nombre de caractères composant la chaîne au début de celle-ci. Chaîne désigne également une suite de périphériques branchés en série. (définition CHAîNE DE CARACTERES).
CHAîNE: Une chaîne de caractères est une suite rationnalisée de caractères (définition CHAîNE).
CHAMP: C'est une suite rationnelle d'éléments qui peuvent être des octets (c'est le cas par exemple d'une chaîne ASCII). (définition CHAMP).
CHAN: C'est le raccourci fréquent de channel sur un serveur IRC. (définition CHAN).
CHANGELOG: C'est la liste des changements effectués sur un programme. (définition CHANGELOG).
CHANGEUR DE SEXE: C'est une technologie capable de convertir une prise femelle en prise mâle et inversement. Cet outil permet également de changer le format d'une prise sans en changer le genre. (définition CHANGEUR DE SEXE).
CHANNEL: Désigne, dans une description RSS, le noyau composé des objets accessibles par URL. (définition CHANNEL).
CHANOP: C'est un raccourci pour Channel Operator. Désigne l'entité responsable d'un canal IRC. Elle est chargée notamment de bannir et de modérer. (définition CHANOP).
CHAOJI VCD: Désigne l'appellation initiale du SVCD (chaoji signifie en chinois super). (définition CHAOJI VCD).
CHAOS: Désigne l'environnement du bidouilleur. (définition CHAOS).
CHAP: Challenge-Handshake Authentification Protocol. Désigne un protocole d'identification qui permet d'éviter l'envoi en clair du mot de passe sur le réseau. (définition CHAP).
CHAPS: Système anglo-saxon de télécompensation interbancaire. (définition CHAPS).
CHAR: Désigne l'appellation fréquente d'un caractère lorsqu'il codé sur un octet. (définition CHAR).
CHARGE UTILE: Désigne dans un paquet ce qui est son contenu proprement dit. C'est également la fraction du code d'un virus qui renferme son objectif, et non ses mécanismes de fonctionnement. (définition CHARGE UTILE).
CHARGE: C'est le ratio indiquant à quel degré sont actives les ressources d'un système. Plus particulièrement, la charge CPU dit ce qui est utilisé de la puissance d'un processeur. Enfin, « en charge » indique qu'une machine est actuellement utilisée. (définition CHARGE).
CHARGEMENT: Le chargement désigne le transport d'informations vers une mémoire vive, en partant d'une mémoire de masse. (définition CHARGEMENT).
CHARGER: Désigne le fait de déclencher en chargement. (définition CHARGER).
CHARGEUR: Désigne l'application qui lance le chargement d'un programme plus important. L'anglais dit loader. Un chargeur de batteries les remplit de courant. (définition CHARGEUR).
CHARITYWARE: Désigne une famille de logiciels utilisables gratuitement à condition de donner à une action de charité. (définition CHARITYWARE).
CHARPENTE: Désigne le squelette d'un logiciel, qui peut être employé pour concevoir une autre application. On gagne ainsi un temps précieux. L'équivalent anglais est framework. (définition CHARPENTE).
CHARSET: Désigne en anglais un jeu de caractères. (définition CHARSET).
CHARTE GRAPHIQUE: Désigne les exigences graphiques d'un projet auxquelles doit se plier un concepteur afin d'unifier le visuel de ce projet. On l'emploie par exemple pour un site web. (définition CHARTE GRAPHIQUE).
CHASSE: Espace horizontal requit par un caractère, composé de la largeur du caractère et de son approche. (définition CHASSE).
CHAT ROOM: Désigne le salon virtuel où l'on peut causer. (définition CHAT ROOM).
CHAT: Mode de dialogue entre deux ou plusieurs utilisateurs par réseau interposé. Il existe des protocoles dédiés à ce service comme l?IRC (Internet Relay Chat) ainsi que des logiciels de messageries instantanées, comme MSN ou ICQ. (définition CHAT).
CHATBOT: Désigne un robot pouvant tenir le rôle d'un interlocuteur dans une discussion de base. (définition CHATBOT ).
CHâTEAU DES ILLUSIONS: Désigne une machine virtuelle placée dans un ordinateur qui sert à piéger un pirate en le laissant penser qu'il est toujours dissimulé. (définition CHâTEAU DES ILLUSIONS).
CHATTER: Désigne en anglais celui qui fréquente régulièrement les messageries instantanées ou les IRC. C'est aussi le verbe francisé qui désigne l'action de discuter. (définition CHATTER).
CHATTEUR: C'est l'équivalent français du chatter. (définition CHATTEUR).
CHATTY: Qualifie un lien où circulent beaucoup de données. Littéralement, bavard. (définition CHATTY).
CHEAT: C'est le raccourci de cheatcode. Il signifie triche. (définition CHEAT).
CHEATCODE: Désigne dans un jeu vidéo un code, souvent inséré par les concepteurs, et qui permet de tricher. Un cheatcode peut donner des armes, des munitions, de l'argent, l'invincibilité?. (définition CHEATCODE).
CHEATMODE: Désigne la modification de l'environnement d'un jeu par l'activation d'un cheatcode. (définition CHEATMODE).
CHECK: Désigne le signe servant à sélectionner une option, à indiquer que cette option à été « cochée ». Sa forme est proche d'un V, mais la barre de gauche est plus courte que la droite. (définition CHECK).
CHECKERBOARDING.: Désigne un damier. (définition CHECKERBOARDING. ).
CHECKPOINT: En français, on peut dire point de reprise. Désigne l'endroit d'où peut être relancée l'exécution d'un processus. Checkpoint-restart indique les procédés d'arrêt-reprise d'un processus. (définition CHECKPOINT).
CHECKSUM: Somme de tous les bits d?un message, dans le but de détecter des erreurs de transmission. Si la somme calculée après réception est différente, il y a eu une erreur de transfert. (définition CHECKSUM).
CHEMIN D'ACCES: Ou, plus simplement, chemin. Désigne le circuit emprunté dans une arborescence pour parvenir à un fichier. (définition CHEMIN D'ACCES).
CHEMIN DE FER: Représentation globale d?un document afin d?en visualiser la totalité, à raison d?une case par page. (définition CHEMIN DE FER).
CHEMIN: Désigne le parcours suivi par l'exécution d'un programme. Les parcours possible sont multiples. (définition CHEMIN).
CHEVAL DE TROIE: Petit Programme pirate installé sur un ordinateur à des fins malveillantes (détérioration, récupération d?information?) (définition CHEVAL DE TROIE).
CHI: Computer-Human Interface. Le français dira IHM. Désigne surtout l'ensemble des concepteurs travaillant sur ces interfaces. (définition CHI).
CHIEN DE GARDE: Procédé ou programme de surveillance, qui effectue une action commandée si survient un événement donné. L'équivalent anglais est watch, ou watchdog. (définition CHIEN DE GARDE).
CHIFFRE: Désigne le signe utilisé pour composer des nombres. Un chiffre peut donc également être un nombre, par exemple 5. En binaire, on dispose de deux chiffres, 0 et 1 (définition CHIFFRE).
CHIFFREMENT: Cryptage de données numériques par l?intermédiaire de fonctions mathématiques, et utilisant une clé de transformation. L?opération inverse nécessite cette même clé sinon les informations restent incompréhensibles. (définition CHIFFREMENT).
CHIFFRER: Désigne le fait de rendre un message incompréhensible en le modifiant de façon ordonnée grâce à une clé. Le message est alors protégé. On a comme synonymes encrypter ou encoder. (définition CHIFFRER).
CHIFFRIER: Désigne l'équivalent du tableur au Québec. (définition CHIFFRIER).
CHILL: CCITT High Level Language. Désigne un langage en temps réel conçu en 1980 et utilisé sur les réseaux télécoms européens. Il est standardisé par l'avis Z.200 de l'ISO / IEC 9496. (définition CHILL).
CHIP: C'est l'équivalent d'une puce, en anglais. (définition CHIP).
CHIPSET: Le chipset d?une carte mère permet le contrôle des échanges d?information. Décomposé en deux éléments, on trouve le northbridge qui gère les échanges entre processeur, mémoire vive et mémoire vidéo, et le southbridge qui gère les échanges entre périphériques d?entrée sortie. (définition CHIPSET).
CHIPZILLA: Désigne un surnom d'Intel, en référence à ses parts de marché dans le domaine des puces. (définition CHIPZILLA).
CHM: Compiled HTML. C'est un type de fichiers d'aide chez Microsoft. (définition CHM).
CHMOD: Désigne une instruction par laquelle on modifie les autorisations attachées à un document. (définition CHMOD).
CHOCOWARE: Désigne une famille de logiciels gratuits à condition d'expédier des chocolats aux concepteurs. (définition CHOCOWARE).
CHOOSER: C'est l'équivalent anglais du sélecteur (dans son troisième sens). (définition CHOOSER).
CHOWN: Désigne une instruction par laquelle on peut modifier le propriétaire d'un fichier. (définition CHOWN).
CHRISTENSEN: Désigne une norme de communication. (définition CHRISTENSEN).
CHROMA KEY: Désigne le code de chromaticité. Il rend possible l'incrustation vidéo (on le traduit d'ailleurs par incrustation en chrominance), par exemple l'insert d'une image derrière un présentateur. (définition CHROMA KEY).
CHROMA KEYING: Désigne l'utilisation du chroma key. (définition CHROMA KEYING).
CHROMAGE: Opération consistant à déposer du chrome sur les rouleaux de cuivrés dans le but d?augmenter la résistance à l?usure. (définition CHROMAGE).
CHROME: Désigne le visuel d'une application, comme la couleur des fenêtres. Des synonymes possibles sont thème ou skin. (définition CHROME ).
CHROMELESS: Qualifie une fenêtre brute, c'est-à-dire soulagée des widgets qui lui sont associés. (définition CHROMELESS).
CHROMINANCE: Portion de signal vidéo qui définit les couleurs de l?image transportées. (définition CHROMINANCE).
CHROMISTE: Personne spécialisée dans la restauration des couleurs des films. (définition CHROMISTE).
CHROOT: Désigne la commande par laquelle on déplace la racine d'un système de fichiers. Par exemple, on l'emploie pour tromper un programme d'intrusion sur le véritable emplacement de la racine. C'est une commande traditionnellement réservée à root. (définition CHROOT).
CHROOTER: Désigne le fait d'utiliser l'instruction Chroot. (définition CHROOTER).
CHRP: Common Hardware Reference Platform. Désigne in standard de palteforme s'appuyant sur le PowerPC. Cette plateforme a été édité puis abandonnée par le trio IBM, Motorola et Apple. (définition CHRP).
CHS: Cylinders Heads Sectors. Désigne les trois éléments de base d'un disque dur. Leur multiplication génère la quantité de secteur. Cette quantité multipliée par la taille d'un secteur donne la taille du disque. (définition CHS).
CHTML: Compact HTML. Désigne une variante compacte de HTML, développée pour les PDA. (définition CHTML).
CHURCH, ALONZO: C'est un mathématicien (1903-1995) dont la thèse principale affirme qu'il est possible de calculer toute fonction grâce à un nombre réduit d'instructions. Toute l'algorithmique est construite sur cette idée. Il est également l'inventeur du lamba-calcul et a effectué des travaux dans les domaines de la logique et de l'informatique théorique. (définition CHURCH, ALONZO).
CHURN RATE: Désigne le rapport entre la quantité d'abonnement et le nombre de résiliations sur un réseau. Il oscille traditionnellement autour de 50%, signifiant que le nombre de clients d'un fournisseur d'accès n'augmente pas. L'équivalent est taux de rotation. (définition CHURN RATE).
CHUTE D'EAU: Désigne un type de développement rapide qui ne se relit jamais. (définition CHUTE D'EAU).
CI: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Côte d'Ivoire. (définition CI).
CI: C'est un raccourci pour Circuit Intégré ou Circuit Imprimé. (définition CI).
CICS: Customer Information Control System. Système de management des transactions par IBM. (définition CICS).
CID: Caller Identification. C'est le procédé qui indique les coordonnées du poste qui appelle. (définition CID).
CIDR: Classless Inter-Domain Routing. Sur internet, désigne le procédé pré-IPv6 destiné à fournir assez d'adresses pour faire face à la demande. On obtient plus de sous-réseaux grâce à des préfixes d'une longeur de 13 à 27 bits qu'avec la répartition en classes. (définition CIDR).
CIEL: C'est le suffixe spécifiant la classe d'un logiciel. On peut citer comme exemple partagiciel ou caritaticiel. (définition CIEL).
CIFS: Common Internet File System. C'est la dernière évolution de SMB, plus extensible. (définition CIFS).
CIGREF: Désigne le Club Informatique des GRandes Entreprises Françaises. C'est un groupe de pression, fondé en 70. Composé de groupes appartenant à divers secteurs (industrie, banque, énergie etc?), il vise à développer l'utilisation des systèmes d'informations dans les entreprises et à défendre celles-ci. (définition CIGREF).
CIIBA: Comité Interministérie pour l'Informatique et la Bureautique dans l'Administration. (définition CIIBA).
CIM: Norme en phase de développement pour la description des données de management. (définition CIM).
CINEMATIQUE INVERSE: Désigne un procédé d'animation qui s'appuie sur les règles angulaires pour mettre en mouvement un élément. Ainsi, animer une jambe se fait par la seule mise en mouvement du pied, et l'articulation est calculée par la machine. (définition CINEMATIQUE INVERSE).
CINEMATIQUE: Désigne, dans un jeu vidéo, les phases non jouables qui mettent en place les éléments du scénario. Elles sont souvent produites en images de synthèse. (définition CINEMATIQUE).
CINEPAK: Algorithme de compression des images numériques, caractérisé par un temps de calcul très long. (définition CINEPAK).
CIR: Commited Information Rate. Désigne la vitesse de transfert certifiée par le fournisseur d'accès. (définition CIR).
CIRCUIT IMPRIME: Désigne un circuit électrique qui associe des pièces électroniques sur un support. Souvent, les adaptateurs prennent en charge plusieurs couches de circuit imprimé. (définition CIRCUIT IMPRIME).
CIRCUIT INTEGRE: Désigne un élément électronique qui joint plusieurs pièces pour en produire une seule. Il existe plusieurs classes de circuits intégrés, selon le nombre de composants qu'ils utilise : le SLSI utilise moins de 100 000 pièces, LSI, moins de 5000 pièces etc? (définition CIRCUIT INTEGRE).
CIRCUIT INTEGRE: Petit boîtier électronique contenant des milliers voire des millions de composants, obtenu grâce à une miniaturisation extrême de l?électronique. Exemple : un processeur contient des millions de transistors. (définition CIRCUIT INTEGRE).
CIRCUIT: Désigne une voie de communication. Le plus souvent, un circuit ne dure qu'un temps et rencontre plusieurs étapes intermédiaires. Ils sont utilisés pour router des données au début du transfert. (définition CIRCUIT).
CIRCULAIRE: Se dit d'un buffer (définition CIRCULAIRE).
CIRRUS LOGIC: Désigne un créateur d'adaptateur vidéo et de puce graphique. (définition CIRRUS LOGIC).
CIS: CompuServe Information System. Désigne une prestation de CompuServe (définition CIS).
CISC: Complex Instruction Set Computer, soit « Ordinateur à Jeu d'Instruction Complexe ». C'est le cas des ordinateurs des années 80 et des PC des années 90. Le contraire est RISC. (définition CISC).
CISCO: Désigne le groupe commercial créé en 84 par S. Lerner et L. Bosack. Il est devenu le premier fabricant de hubs locaux et de commutateurs. (définition CISCO).
CITATION: C'est la règle sur l'Usenet, servant à déterminer à quel article il est apporté une réponse. L'usage veut qu'on utilise le signe > (définition CITATION).
CITOILIEN: Désigne la version française très peu utilisée de netizen. (définition CITOILIEN).
CIVILIZATION: Désigne un succès retentissant dans l'industrie du jeu vidéo. Civilization offre la possibilité de refaire l'histoire du monde. Il est le premier d'une longue suite de god games. (définition CIVILIZATION).
CIX: Commercial Internet eXchange. Désigne un carrefour de connexion pour l'internet commercial : les fournisseurs d'accès s'y envoient des paquets d'informations. (définition CIX).
CJK: Chinese, Japanese, Korean. Désigne la trilogie cauchemardesque du développeur occidental : comment intégrer ces trois jeux de caractères, où les mots ne sont, par exemple, pas toujours isolés par des espaces ? (définition CJK).
CJKV: C'est une variante du précédent, auquel on a ajouté le vietnamien. (définition CJKV).
CK: A la fin d'une URL, signale que le site est basé aux Iles Cook. (définition CK).
CL: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Chili. (définition CL).
CL: C'est l'acronyme de Common Lisp. (définition CL).
CLAQUAGE: Désigne l'action de « claquer » une EPROM. (définition CLAQUAGE).
CLAQUER: C'est un synonyme de brûler (ce qui n'indique rien de mauvais). (définition CLAQUER).
CLARIS: Désigne une société de développement de logiciels, notamment la suite Works (définition CLARIS).
CLARK, DAVID: C'est l'un des principaux concepteurs de l'internet. Il fut président de l'IAB de 81 à 89. (définition CLARK, DAVID).
CLARK, JIM: C'est le co-créateur de Netscape (l'autre étant M. Andreesen) et le fondateur d'autres entreprises comme Silicon Graphics. (définition CLARK, JIM).
CLARUS: Désigne l'appelation de la dogcow d'Apple. (définition CLARUS).
CLASSE: Désigne un ensemble défini de données et d'objets semblables. Ces données et objets, éléments d'une classe, sont des instances. (définition CLASSE).
CLASSEUR: Désigne, dans un tableur, un document qui comporte plusieurs feuilles de calcul. (définition CLASSEUR).
CLAVARDAGE: C'est le mot composé de clavier et bavardage. Il signifie donc bavarder en utilisant un clavier. (définition CLAVARDAGE).
CLAVARDER: C'est un synonyme de chat, proposé au Québec. On l'utilise très peu en France. (définition CLAVARDER).
CLAVIER 105 TOUCHES: Désigne une extension du clavier étendu, conçue par Microsoft au moment de Windows 95. (définition CLAVIER 105 TOUCHES).
CLAVIER ETENDU: Désigne un type de clavier composé de 101 ou 102 touches. (définition CLAVIER ETENDU).
CLAVIER: Désigne le périphérique composé de touches, utilisé pour entrer des données. (définition CLAVIER).
CLAVISTE: Désigne celui dont l'activité consiste à saisir des informations avec un clavier. On utilise parfois l'équivalent anglo-saxon, typiste. (définition CLAVISTE).
CLAWHAMMER: Désigne le surnom de la première puce 64 bits d'AMD. (définition CLAWHAMMER).
CLE FAIBLE: Désigne, dans un contexte de chiffrement, une clé dont la sécurité n'est pas parfaite et qui ne protège pas bien le code. (définition CLE FAIBLE).
CLE PRIMAIRE: Désigne un champ rempli d'une valeur qui identifie les sauvegardes de la banque. Le terme correct est identifiant. L'équivalent anglais est primary key. (définition CLE PRIMAIRE).
CLE PUBLIQUE: Désigne une clé de chiffrement d'un message qui réclame une seconde clé pour être décodé. (définition CLE PUBLIQUE).
CLE USB: Désigne un petit outil que l'on connecte à un port USB. Une clé USB est constituée de mémoire flash, on peut donc y sauvegarder différentes données. (définition CLE USB).
CLE: Dans un contexte de chiffrement, la clé désigne l'explication du code (définition CLE).
CLE: La clé de chiffrement permet le cryptage/décryptage des données grâce à un algorithme associé. (définition CLE).
CLEC: Competitive Local Exchange Carrier. C'est un opérateur téléphonique local, aux Etats-Unis. (définition CLEC).
CLEF: C'est l'orthographe correcte de clé. (définition CLEF).
CLF: Combined Log File. Désigne un « fichier journal combiné ». (définition CLF).
CLIC TENU: La souris d'un Mac n'a qu'un bouton (définition CLIC TENU).
CLIC: Désigne le bruit émis par la pression sur un bouton de la souris. Désigne donc aussi l'action de cliquer. (définition CLIC).
CLICHE: Notamment dans l'expression cliché mémoire : désigne l'impression de ce que contient une mémoire. Autrefois utilisée à des fins de débogage, cette technique n'est plus utilisée depuis que la moindre machine possède des centaines de Mo de mémoire. Cliché est également un synonyme de capture d'écran. (définition CLICHE).
CLICHE: Plaque métallique sur lequel est gravé une reproduction d?une feuille de composition, utilisé lors du tirage de grande série. (définition CLICHE).
CLICHER: Le fait de « photographier » une mémoire. (définition CLICHER).
CLICK AND MORTAR: Signifie « des clics et du ciment ». Désigne le principe de la deuxième génération de la nouvelle économie, qui aux technologies numériques veut associer quelques éléments de l'économie classique (entrepôts, stocks etc?). (définition CLICK AND MORTAR).
CLICK STREAM: Désigne la sauvegarde du chemin parcouru de lien en lien par un usager du web. Click stream signifie littéralement courant de clics. (définition CLICK STREAM).
CLICK: C'est l'équivalent anglais du clic. (définition CLICK).
CLICKODRôME: C'est le synonyme de cliquodrôme. (définition CLICKODRôME).
CLIENT ICA: Désigne un programme de connexion à un serveur ICA. (définition CLIENT ICA).
CLIENT LEGER: Désigne un client réseau réduit à sa plus simple expression (clavier, écran, adaptateur réseau..), afin de réduire les interventions de maintenance. (définition CLIENT LEGER).
CLIENT LOURD: Désigne un ordinateur de bureau se connectant à un serveur. (définition CLIENT LOURD).
CLIENT OBESE: C'est la version supérieure du client lourd. (définition CLIENT OBESE).
CLIENT PULL: Désigne le procédé de mise à jour périodiques d'informations, dans lequel un poste client réclame ces données. Le contraire est donc le server push. (définition CLIENT PULL).
CLIENT SERVEUR: Architecture de réseau dans laquelle toutes les informations sont localisées sur des ordinateurs ayant le rôle de serveur, et accessible aux ordinateurs client. (définition CLIENT SERVEUR).
CLIENT X: C'est l'appellation de la classe des programmes qui ne tournent que sous X11. (définition CLIENT X).
CLIENT: Les logiciels clients accèdent aux données stockées sur les serveurs pour les exploiter. Exemple : un navigateur web récupère les pages Internet sur des serveurs, c?est un client. (définition CLIENT).
CLIENT-SERVEUR: Désigne une structure de réseau où ce sont les clients qui traitent les informations. Aux Etats-Unis, on emploie le raccourci C / S. (définition CLIENT-SERVEUR).
CLIM: Designe le Common Lisp Interface Manager. (définition CLIM).
CLIP: Désigne la Connected Line Indentification Presentation, la prestation de présentation du numéro du poste qui appelle. Désigne également le Chip Level Internet Protocol. Efin, CLIP signifie Compiler Language for Information Processing : c'est un langage conçu en 5ç, le premier capable d'écrire son compilateur. (définition CLIP).
CLIPART: Désigne un visuel de petite taille en noir et blanc employé sur des documents papiers. (définition CLIPART).
CLIP-ART: Désigne une variante orthographique de clipart. (définition CLIP-ART).
CLIPBOARD: C'est l'équivalent anglais de presse-papier. (définition CLIPBOARD).
CLIPBORDER: Désigne le fait de se servir du clipboard pour faire circuler des informations d'une application vers une autre. (définition CLIPBORDER).
CLIPPER: C'est l'appellation d'un puce conçue par le gouvernement américain à des fins de renseignements industriels. Le projet a été abandonné. Désigne aussi le fait de restreindre les sorties graphiques à un seul domaine. (définition CLIPPER).
CLIPPER: Désigne un kit de développement. (définition CLIPPER).
CLIPPING: Désigne le fait de borner le résultat d'un visuel : clipper un cercle dans un carré de taille supérieure donne un arc dans chaque angle du carré. (définition CLIPPING).
CLIQUABLE: Qualifie une chose qui produira autre chose si l'on clique sur elle. (définition CLIQUABLE).
CLIQUER: Désigne le fait du presser le bouton d'une souris. (définition CLIQUER).
CLIQUER-GLISSER: Il s'agit de cliquer sur un élément et de le déplacer en maintenant enfoncé le bouton de la souris. On a comme synonyme : tirer-lâcher, glisser-déposer. (définition CLIQUER-GLISSER ).
CLIQUODRôME: Désigne un OS complexe dont l'interface possède de multiples menus et sous -menus. (définition CLIQUODRôME).
CLIR: Connected Line Identification Restriction. Désigne la prestation par laquelle un poste appelant peut masquer son numéro, évitant ainsi le CLIP. (définition CLIR).
CLNP: Connection Less Network Protocol. Désigne la version normée par l'ISO du TCP / IP. Elle n'a jamais été utilisée. (définition CLNP).
CLNS: Connection Less Network Service, soit « Service de Réseau Sans Connexion ». Ce service fonctionne sur ATM. (définition CLNS).
CLOAKING: Méthode permettant d?améliorer le classement dans les moteurs de rechercher en dupliquant les pages web d?un site. (définition CLOAKING).
CLONAGE: Désigne la production d'un clone, par la reproduction à l'identique des informations contenues sur une machine dans une autre. Cette reproduction peut s'effectuer fichier par fichier, ou secteur par secteur. (définition CLONAGE).
CLONE: Désigne le double d'un ordinateur réalisé souvent par des firmes asiatiques. Plus généralement, un clone est le double autorisé d'un produit de marque. Enfin, un clone est la copie d'une machine-master. (définition CLONE).
CLONER: Produire un clone. (définition CLONER).
CLONEUR: Désigne un fabricant de clones. C'est également celui qui configure des machines par clonage. (définition CLONEUR).
CLOS: Common LISP Object System. Désigne un Common LISP orienté objet. (définition CLOS).
CLP: C'est le raccourci pour CliPboard, le groupe d'informations contenues dans le presse-papier. Désigne également une Cell Loss Priority, un bit signalant l'abandon possible en cas de congestion d'une cellule ATM. (définition CLP).
CLPM: Comp.lang.perl.misc : c'est le raccourci fréquent désignant le newsgroup de discussions consacrées à Perl. Il est en anglais, est son équivalent français est fr.comp.lang.perl. (définition CLPM).
CLUF: Désigne le Contrat de Licence Utilisateur Final .L'équivalent anglais est EULA. (définition CLUF).
CLUSIF: Désigne le CLUb de la Sécurité Informatique Français. (définition CLUSIF).
CLUSTER: Ensemble de plusieurs machines vues comme une seule permettant d?obtenir de grandes puissances de traitement. (définition CLUSTER).
CLUSTERING: Désigne l'emploi de clusters. (définition CLUSTERING).
CLUSTER-REMAPPING: C'est, pour un SGF, la capacité de signaler un cluster défectueux et de le remplacer. (définition CLUSTER-REMAPPING).
CLUT: Color Look Up Table. Désigne une table qui renferme un index couleur. Elle contient souvent 256 couleurs et une couleur peut être choisie simplement en la désignant par sa position dans l'index. (définition CLUT).
CLV: Constant Linear Velocity, soit « Vitesse Linéaire Constante ». Désigne un procédé de lecture d'un CD. La vitesse de rotation varie en fonction de la position de la piste sur le disque, ce qui permet à chaque piste d'être lue à vitesse égale. (définition CLV).
CM: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Cameroun. (définition CM).
CM: C'est un raccourci pour carte mère ou pour Contextual Menu. (définition CM).
CMD: C'est le raccourci fréquent de Command, la touche de commutation des Macs. (définition CMD).
CMI: Common Information Model. Désigne une norme pour gérer l'information. Elle s'applique aux PC de bureau. (définition CMI).
CMIP: Protocole créé par l?iso qui décrit la façon dont sont transmis les événements dans un réseau vers l?équipement d?administration. (définition CMIP).
CMIS: Service permettant d?enregistrer les évènements qui surviennent sur un réseau. (définition CMIS).
CMJN CMYK: Description d?une couleur par quatre composantes, de façon analogue au RVB qui possède 3 composantes de couleurs primaires. (définition CMJN CMYK).
CMJN: Cyan, Magenta, Jaune, Noir. Ce sont les trois couleurs de base en soustractif, avec en plus le noir. Ils sont utilisés principalement pour les impressions papiers en PAO. Les équivalents anglais sont CYMK ou YMCK. (définition CMJN).
CML: Chemical Markup Language, soit « Langage de Marquage Chimique » (définition CML).
CMM: Capability Maturity Model. Désigne un modèle de conception qui utilise cinq perspectives : l'organisation, l'ingénierie, la gestion des quantités, le développement continu et les techniques. (définition CMM).
CMMF: Désigne le Certificate Management Message Format. (définition CMMF).
CMMU: Désigne la Cache and Memory Management Unité. Désigne une puce effectue les tâches d'une MMU et d'un cache. Aujourd'hui, tout est intégré au processeur. (définition CMMU).
CMO: Communication Médiée par Ordinateur. C'est le cas de l'e-mail, ou de toute communication n'utilisant que l'ordinateur. (définition CMO).
CMOS: Technique de fabrication de composant électrique faible consommation. (définition CMOS).
CMOT: CMIP Over TCP-IP. Désigne un CMIP fonctionnant sur un réseau TCP / IP. (définition CMOT).
CMP: Désigne le Cellular MultiProcessing. C'est une topologie de systèmes développée par Unisys qui utilise la technologie Crossbar pour relier les éléments de la machine. Cette architecture peut supporter 32 processeurs. (définition CMP).
CMT: Cellular Mobile Telephone,soit « Téléphone Mobile Cellulaire ». Egalement un Cable Management Tray. (définition CMT).
CMYK: Cyan Magenta Yellow blacK. Les quatre couleurs permettant l?impression d?une page. (définition CMYK).
CMYKCM: Cyan, Magenta, Yellow, blacK - light cyan, light magenta. C'est un procédé employé avec une machine à jet d'encre pour augmenter la qualité de l'impression. En effet, le cyan clair et le magenta clair peuvent rendre moins visible les points dans les parties les plus claires d'un document graphique. (définition CMYKCM).
CN: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Chine. (définition CN).
CNAM: Conservatoire National des Arts et Métiers. Fondé en 1795, c'est une école ainsi qu'un musée. (définition CNAM).
CNET: Centre National d'Etudes en Télécommunications. Ouvert en 1944, c'est un centre de recherche. (définition CNET).
CNF: Désigne un fichier renfermant des variables de configuration. (définition CNF).
CNI: Certified Novell Instructor. (définition CNI).
CNIL: Commission Nationale de l?Informatique et des Libertés. Commission créée dans le cadre de la loi « informatique et liberté » de 1978 afin de préserver les libertés individuelles face aux progrès de l?informatique. (définition CNIL).
CNIT: Désigne le Centre National des Industries Techniques. (définition CNIT).
CNMO: Désigne la Commande Numérique de Machine-Outil, grâce à laquelle on peut commander les automates dans une fabrique. (définition CNMO).
CNP: Continued in Next Post, soit « A suivre dans le prochain article ». Désigne aussi un Certified Network Professional. (définition CNP).
CO: C'est l'acronyme de Compteur Ordinal qu'on désigne aussi par le terme compteur de programme. L'équivalent anglais est program counter. Un compteur de programme indique à la machine sa position dans les tâches à effectuer. (définition CO).
CO6OP: Désigne un Co-Sysop, c'est-à-dire l'adjoint d'un Sysop. (définition CO6OP).
COAST: Cache On A Stick. Désigne une unité de mémoire grâce à laquelle on peut accroître la capacité de la mémoire cache sur une carte mère. (définition COAST).
COAXIAL: Le câble coaxial est constitué d?un c?ur métallique, entouré d?une gaine isolante, et enfin recouvert par un second conducteur sous forme de tresse métallique. (définition COAXIAL).
COB: C'est un raccourci pour COBol : un fichier renfermant un code source en COBOL, c'est-à-dire du texte. COB désigne aussi la Commission des Opérations de Bourse, le gendarme de la Bourse. Enfin, COB est l'acronyme de Chip On Board : un élément directement installé sur la carte. (définition COB).
COBOL: Common Business Oriented Language. C'est l'un des ancêtres du langage informatique, conçu par G. Hopper. Malgré sa vétusté, il est toujours très utilisé, notamment grâce à sa portabilité. Il a évolué vers COBOL 74 et COBOL 85 qui rend possible la programmation structurée. (définition COBOL).
COBOLISTE: Désigne celui qui programme en COBOL. (définition COBOLISTE).
COCO: C'est un surnom du Commodore 64, fréquent aux Etats-Unis. (définition COCO).
COCOA: Désigne l'environnement dans lequel est né MacOS X (Aqua, multitâche réel?). (définition COCOA).
CODA: Désigne un système de fichiers réparti. Conçu à l'Université de Carnegie Mellon, il se substitue avantageusement à NFS. (définition CODA).
CODAFS: Coda File System. (définition CODAFS).
CODAGE: Désigne le fait de coder, dans ses différentes acceptions. (définition CODAGE).
CODASYL: Conference On Data SYstems Languages. C'est le nom d'une structure américaine dont l'objet est de codifier les systèmes de banques de données. C'est par exemple cette structure qui, en 59, a spécifié COBOL ou, en 70, a standardisé les SGBD. (définition CODASYL).
CODD, EDGARD F.: Codd (1923-2003) est le concepteur du modèle relationnel, dans son article « a relational Model of data for large shared data banks », soit « un modèle relationnel de données pour les banques de données à grande consultation ». (définition CODD, EDGARD F. ).
CODE A BARRES: Désigne un ensemble de lignes verticales d'épaisseur variable, de couleur noire, qui symbolisent des nombres et qui servent à reconnaître des éléments. Dans l'hexagone sont utilisés les Codes 39 (les militaires),128 (l'industrie), EAN 8 et 13 (la distribution) etc? (définition CODE A BARRES).
CODE BARRES: C'est une variation de code à barres. (définition CODE BARRES).
CODE BAUDOT: Désigne un code destiné à la communication. Mis au point par E. Baudot, il est considéré comme un précurseur de l'EBCDIC. Il encode les signes sur 5 bits en deux ensembles (caractères et lettres), en signalant le changement d'ensemble. (définition CODE BAUDOT).
CODE BINAIRE: Désigne un code que peut exécuter une machine, contrairement au code source. (définition CODE BINAIRE).
CODE BREAKER: Désigne un « casseur de code ». (définition CODE BREAKER).
CODE EXECUTABLE: Désigne un code que peut lire une machine (définition CODE EXECUTABLE).
CODE FORKING: Désigne un développement qui part du source d'un programme puis poursuit sans considérer l'original. Cet usage est fréquent dans le milieu du logiciel libre, où les développements sont parfois arrêtés. (définition CODE FORKING).
CODE MALICIEUX: Désigne tous les codes dont l'objectif est de poser des problèmes : cheval de troie, virus? (définition CODE MALICIEUX).
CODE MORT: Désigne un code que le parcours d'un programme n'atteindra jamais. Il signale donc une erreur de conception. L'équivalent anglais est dead code. (définition CODE MORT).
CODE SOURCE: Il s'agit d'un texte qui compose un programme visant à produire un effet et qui fournit la matière première du code exécutable par une machine. Un code source doit en effet être convertit par un dispositif qui rendra le source compréhensible puis exécutable par un machine. Le langage utilisé est le plus souvent standardisé, de telle façon que plusieurs programmeurs peuvent le lire, le comprendre, le corriger. (définition CODE SOURCE).
CODE: Désigne le texte source d'un programme. Désigne aussi un raccourci de code source, ou une méthode de chiffrement. (définition CODE).
CODE-BARRES: Désigne une autre variation de la même chose. (définition CODE-BARRES).
CODEC: Compression/Décompression. Programme permettant à la fois d?effectuer la compression et la décompression d?un média (son, vidéo?) (définition CODEC).
CODER: Désigne le fait de rédiger un code dans un langage, donc de programmer, ou de chiffre un message. Encoder peut être un synonyme. Désigne aussi, en anglais, un programmeur. Enfin, le verbe coder peut signifier compresser un document, mais l'utilisation de coder en ce sens est peu fréquente. (définition CODER).
CODET: Désigne un ensemble de signes équivalent à une information. Par exemple, le langage Morse est composé de codets, petits ensembles de signes, chaque ensemble valant une lettre. On peut également dire d'un mot qu'il est un codet composé de lettres qui associées, constituent une information. (définition CODET).
CODEUR: Désigne l'équivalent français du coder anglais, c'est-à-dire un programmeur. (définition CODEUR).
CODING PARTY: Désigne une réunion festive de codeurs, où le but du jeu est de programmer. Le raccourci de coding party est CP. (définition CODING PARTY).
CODING: Désigne le fait de produire le code d'un programme. (définition CODING).
COE: Client Operating Environment. Désigne l'OS client qu'on utilise sur un ordinateur personnel. Linux en est un exemple. (définition COE).
COFF: Common Object File Format. Désigne un type de fichier objet. (définition COFF).
COGECOM: Société de holding qui porte des participations de France Telecom dans des sociétés extérieures. (définition COGECOM).
COGNITICIEN: Désigne celui dont l'activité tourne autour des sciences cognitives, donc de l'intelligence artificielle. (définition COGNITICIEN).
COGNITIF: Qualifie ce qui a rapport avec la faculté de connaître : les sciences cognitives. Elles travaillent sur l'intelligence artificielle qui jusqu'à présent ont plus suscité d'espoir que produit des réalisations. (définition COGNITIF).
COIN-OP: Coin Operated. Désigne un jeu d'arcade qui fonctionne grâce à l'insertion d'une pièce de monnaie qui se dit coin en anglais. (définition COIN-OP).
COL: Caldera Open Linux désigne une distribution de Linux. (définition COL).
COLA: Comp.os.linux.anounce. C'est le raccourci pour le nom d'un forum traitant des événements importants dans la vie de Linux. (définition COLA).
COLDFIRE: Désigne une classe de puces conçues par Motorola. (définition COLDFIRE).
COLDFUSION: Désigne une famille d'instruments de développement web. Ces outils sont développés par le groupe Allaire qui a conçu pour l'occasion un langage de marquage qui est compilé en temps réel par le serveur du groupe. (définition COLDFUSION).
COLECO: COnnecticut LEather COmpany. Il s'agit d'un groupe né en 1932 de l'idée de M. Greenberg. Son activité concerne le silicium. (définition COLECO).
COLISTIER: Désigne celui qui est présent sur la même liste de diffusion que vous. (définition COLISTIER).
COLLECTICIEL: Désigne l'équivalent français de logiciel de groupware. (définition COLLECTICIEL).
COLLECTION: Désigne une classe rationnelle d'éléments. Le terme est utilisé par Microsoft. (définition COLLECTION).
COLLECTIQUE: Désigne le fait de se servir en réunion de logiciels. C'est un autre nom du groupware. (définition COLLECTIQUE).
COLLER: Désigne le fait d'injecter ce que contient un presse-papier à un endroit choisi. (définition COLLER).
COLLISION: Désigne ce qui survient lorsqu'un circuit identique de communication est occupé par plusieurs émetteurs simultanément. Désigne aussi, dans un contexte de chiffrement, des éléments du message d'origine qui ne peuvent pas être convertis par le procédé de chiffrement retenu. (définition COLLISION).
COLMATAGE: Désigne un synonyme rare de patch. (définition COLMATAGE).
COLMATER: Appliquer un colmatage (définition COLMATER).
COLORED BOX: Désigne les boîtes multicolores grâce auxquelles on peut modifier le RTC. Ces boîtes appartiennent au passé. On peut citer comme exemple : la crimson box autorise l'écoute des conversations du voisinage (définition COLORED BOX).
COLORISATION SYNTAXIQUE: Pour un logiciel de texte, c'est la possibilité de déterminer quelle syntaxe emploie un document, pour montrer les éléments les plus importants de ce fichier en surbrillance ou en couleur. (définition COLORISATION SYNTAXIQUE).
COLOSSUS: Désigne l'un des ancêtres des calculateurs, mis au point en 1943 en Angleterre pour casser les clés de chiffrement allemandes. (définition COLOSSUS).
COM: Acronyme de Component Object Model, soit un format de Microsoft de management d'objets distribués. Désigne également le raccourci pour communication dans l'OS CP / M, également utilisé sous MS-DOS ou Windows NT. Désigne enfin et surtout, sous MS-DOS, un fichier renfermant un exécutable. COM renvoie plus précisément aux « images-mémoire » de la mémoire vive. (définition COM).
COM: Désigne, sur l'internet, un nom de domaine employé en principe par les sites américains à objectif commercial. En fait, ce domaine est beaucoup plus large. (définition COM).
COM1: Désigne le premier port série d?un pc. Permet de brancher des périphériques. (définition COM1).
COMBINAISON DE TOUCHES: C'est le fait de presser en même temps plusieurs touches. (définition COMBINAISON DE TOUCHES).
COMBO: Désigne le raccourci de combinaison. On l'utilise dans un jeu vidéo pour désigne la combinaison de touches par laquelle on produit un effet spécial. Désigne également un procédé qui associe différentes fonctions. Un CD combo par exemple lira plusieurs standards de disques. (définition COMBO).
COMBO-BOX: Une Combo-box est le widget qui réunit une zone d'édition de texte et une liste : les objets de la liste peuvent entrer dans la zone d'édition, et les textes édités peuvent rejoindre la liste. Le français dira boîte combinée ou zone de liste. (définition COMBO-BOX).
COMDEX: Communication and Data processing Exposition. Désigne une exhibition informatique américaine bi-annuelle. Elle a lieu a Las Vegas. (définition COMDEX).
COMMANDE AT: Désigne un groupe de commandes, mis au point par Hayes afin de conduire le fonctionnement des modems. Les lettres A et T composent les préfixes de ce groupe de commandes. (définition COMMANDE AT).
COMMANDE: Désigne l'ordre donné par l'usager à une machine qui s'exécute. (définition COMMANDE).
COMMENTAIRE: C'est un ensemble de mots (en langue naturelle) inséré dans un source pour expliquer ou apporter des informations, et non pour programmer. (définition COMMENTAIRE).
COMMENTER: Désigne le fait d'injecter du commentaire dans un source. (définition COMMENTER).
COMMERCE ELECTRONIQUE: Désigne le type de commerce qui s'effectue sur un réseau informatique (en particulier la partie financière). C'est l'équivalent français du e-commerce. (définition COMMERCE ELECTRONIQUE).
COMMERCE ELECTRONIQUE: Désigne les transactions commerciales effectuées par l?intermédiaire d?Internet, en passant par des sites spécialisés. (définition COMMERCE ELECTRONIQUE).
COMMERCENET: C'est une réunion de plusieurs groupes commerciaux. Elle vise à standardiser les transactions financières ayant lieu sur internet. (définition COMMERCENET).
COMMIT: Désigne la commande SQL grâce à laquelle on valide la saisie d'une information dans une base. (définition COMMIT).
COMMODORE 64: C'est le nom d'une machine de Commodore. On la désigne aussi par le nom C64. (définition COMMODORE 64).
COMMODORE: Désigne un groupe d'informatique. Ils ont conçu le C64 et la série des Amiga. Ils ont fait faillite en 1994. (définition COMMODORE).
COMMON LISP: Désigne l'évolution de LISP qui est devenue la norme. Elle a été standardisée par le X3J13 de l'ANSI. (définition COMMON LISP).
COMMUNAUTE VIRTUELLE: Désigne une communauté qui n'existe pas hors d'un réseau et des échanges sur ce réseau. (définition COMMUNAUTE VIRTUELLE).
COMMUNICATION: C'est le rapport établi par un échange entre expéditeur et destinataire. Ces échanges sont codés et circulent dans un canal. (définition COMMUNICATION ).
COMMUNICATION INTER-PROCESSUS: Désigne le groupe des messages que s'échangent des instances fonctionnant simultanément dans une machine, à des fins notamment de synchronisation. L'équivalent anglais est IPC. (définition COMMUNICATION INTER-PROCESSUS).
COMMUNICATOR: C'est l'appellation du navigateur de Netscape qui a suivi Navigator. Il intégrait un client mail et news, ainsi qu'un outil d'édition web. Il a été remplacé par le projet Mozilla. (définition COMMUNICATOR).
COMMUTATEUR DIP: On ne l'utilise plus dans la mesure où les paramétrages sont le plus souvent faits par logiciel. (définition COMMUTATEUR DIP).
COMMUTATEUR MULTINIVEAUX: Désigne un commutateur qui peut déterminer un chemin (niveau 3) puis faire circuler les informations (niveau 2). (définition COMMUTATEUR MULTINIVEAUX).
COMMUTATEUR: Equipement d?interconnexion permettant la redirection d?un signal d?entrée sur une sortie bien déterminée. La commutation peut être faite sur des informations logiques (commutation de données) ou analogiques (commutation de circuit). (définition COMMUTATEUR).
COMMUTATION DE CIRCUITS: Désigne une technique de communication où un chemin est déterminé, dans lequel circuleront des informations. Le téléphone en est un exemple. (définition COMMUTATION DE CIRCUITS).
COMMUTATION DE PAQUETS.: Désigne une commutation dans laquelle ce sont des paquets d'informations qui circulent. (définition COMMUTATION DE PAQUETS. ).
COMMUTATION DE TâCHES: Le fait de circuler d'une tâche à une autre, les deux tâches étant présentes simultanément dans la mémoire. Par exemple, on utilise la combinaison Alt + Tab sous Windows. (définition COMMUTATION DE TâCHES).
COMMUTATION DE TRAME: Désigne une commutation dans laquelle ce sont des trames qui sont échangées. La commutation de trame se distingue du convoyage de trames : la première effectue une correction des erreurs. (définition COMMUTATION DE TRAME).
COMMUTATION: Opération consistant à établir une liaison temporaire physique entre deux n?uds d?un réseau. (définition COMMUTATION).
COMMUTER: Connecter deux points fixes d'un réseau. (définition COMMUTER).
COMP: C'est le raccourci pour computing. C'est une hiérarchie de l'Usenet. Elle contient les forums spécialisés dans l'informatique. La version française est fr.comp. (définition COMP).
COMPACT FLASH: Désigne une mémoire vive statique enfermée dans un boîtier plastique. On l'utilise notamment dans les appareils photos numériques. (définition COMPACT FLASH).
COMPACTAGE: Désigne le fait de compacter. Le sens est très proche de compression, celle-ci perdant des données dans l'opération. Désigne aussi, dans l'expression compactage de mémoire, un procédé de groupage de processus dans une mémoire. Désigne également le fait de rationaliser les données d'une base, afin d'augmenter la vitesse de recherche dans cette base. (définition COMPACTAGE).
COMPACTER: C'est la réduction du poids d'un fichier par l'élimination des répétitions. On utilise par exemple les algorithmes Lempel-Ziv-Welch, RLE, etc? (définition COMPACTER).
COMPAGNON: Désigne un fichier renfermant un code malicieux qui utilise le nom d'un fichier EXE et l'extension COM. En effet, si un fichier COM a le même nom qu'un fichier EXE, celui-là est exécuté avant celui-ci. L'équivalent anglais est companion. Plus rarement, Compagnon désigne aussi le programme d'accompagnement d'un autre logiciel, par exemple le Compagnon Office. (définition COMPAGNON).
COMPANION: C'est l'équivalent anglais de compagnon. (définition COMPANION).
COMPAQ: Désigne un fabricant de machines (ordinateur, serveur). Compaq a racheté DEC, puis a été avalé par HP. (définition COMPAQ).
COMPATIBILITE ASCENDANTE: Se dit lorsqu'une version nouvelle d'un OS peut prendre en charge des logiciels développés pour l'ancienne version de cet OS. (définition COMPATIBILITE ASCENDANTE).
COMPATIBILITE DESCENDANTE: Se dit d'un logiciel qui peut fonctionner sur une version antérieure de l'OS pour lequel il a été développé. (définition COMPATIBILITE DESCENDANTE).
COMPATIBILITE: Désigne la possibilité pour deux machines de se comprendre. (définition COMPATIBILITE).
COMPATIBLE: Qualifie un système qui peut emprunter le matériel et les logiciels d'un autre système. En tant que nom, un compatible désigne un micro compatible avec l'IBM PC. (définition COMPATIBLE).
COMPILATEUR: Désigne le programme qui compile un source. (définition COMPILATEUR).
COMPILATION: Désigne le fait de compiler. Désigne également le fait d'associer plusieurs programmes. (définition COMPILATION).
COMPILER: Convertir le source en code exécutable par une machine (c'est-à-dire en un code binaire). (définition COMPILER).
COMPILO: C'est un raccourci de compilateur. (définition COMPILO).
COMPLEMENT: Si l'on cherche, dans un nombre binaire, le complément à un, on substituera à chaque 0 un 1, et inversement. Un complément à deux sera obtenu par le complément à un + 1. Un complément à deux est utiliser pour la représentation des nombres signés. (définition COMPLEMENT).
COMPLETEMENT: C'est l'équivalent de complétion. (définition COMPLETEMENT).
COMPLETION AUTOMATIQUE: Dans un logiciel de texte, désigne l'opération par laquelle le logiciel complète une abréviation. C'est un outil d'accélération de frappe. (définition COMPLETION AUTOMATIQUE).
COMPLEXITE DE KOLMOGOROV: Désigne la quantité de complexité d'un objet composé de données. Elle s'exprime par le nombre de bits du programme qui peut générer un tel objet. (définition COMPLEXITE DE KOLMOGOROV).
COMPOSANT: Désigne un objet faisant partie d'un système. Les puces sont par exemple des composants électronique. (définition COMPOSANT).
COMPOSEUR: Désigne la technologie de composition d'un autodial. (définition COMPOSEUR).
COMPOSITE: Signal vidéo transporté par une seule voie électrique. Ce type de connecteur est disponible sur fiche rca ou péritel mais ne permet une qualité d?image optimale. (définition COMPOSITE).
COMPOSITION: Conception de textes en caractères typographiques, et plus largement, de photocomposition, titrage? (définition COMPOSITION).
COMPRESSER: Désigne le fait de réduire les dimensions d'un ensemble, en y éliminant les répétitions. (définition COMPRESSER).
COMPRESSION AUDIO: Permet de réduire la taille d?un fichier audio en limitant les différences de volume d?un chanson, tout en conservant un certain niveau dans les limites audibles. (définition COMPRESSION AUDIO).
COMPRESSION PAR SUBSTITUTION: Désigne un procédé de compression qui indexe les répétitions et substitue à leurs occurrences leur index. (définition COMPRESSION PAR SUBSTITUTION).
COMPRESSION: C'est un synonyme de compactage. Un ratio de compression est le rapport du poids régulier sur le poids après compression. (définition COMPRESSION).
COMPRIMER: C'est un synonyme de compresser. (définition COMPRIMER).
COMPROMISSION DE CONFIDENTIALITE: Contexte dans lequel une personne accède à des données confidentielles d?un autre utilisateur sans autorisation. (définition COMPROMISSION DE CONFIDENTIALITE).
COMPTE: Désigne les éléments d'une connexion, qui associe celle-ci à un usager particulier et permette à cet usager d'utiliser les ressources d'un système. (définition COMPTE).
COMPTEUR: Désigne le dispositif qui affiche un nombre et augmente ce nombre dès qu'une occurrence d'un événement déterminé survient. Sur les sites web par exemple, un compteur affiche le nombre de connexions. (définition COMPTEUR).
COMPTIA: Computing Technology Industry Association. C'est une réunion de groupes professionnels de l'informatique. (définition COMPTIA).
COMPU$ERVE: C'est une appellation de Compuserve qui met l'accent sur les tarifs du groupe. (définition COMPU$ERVE).
COMPUSERVE: Désigne un prestataire fondé en 1976 qui utilise son propre réseau. Il était au départ incompatible avec le protocole TCP / IP. (définition COMPUSERVE).
COMPUTER ASSOCIATES: Désigne le groupe informatique de C. Wong, créé à New York en 1976. Il concentre ses activités autour des grands comptes. (définition COMPUTER ASSOCIATES).
COMPUTER: C'est le terme anglais qui désigne un ordinateur. (définition COMPUTER).
CONAN DOYLE, ARTHUR: C'est le nom d'un auteur de romans policiers du XIXe siècle. (définition CONAN DOYLE, ARTHUR).
CONCATENATION: Désigne l'opération de mise en série d'objets appartenant à une même classe. Elle s'effectue sous Unix par l'instruction cat. (définition CONCATENATION).
CONCATENER: Désigne le fait d'opérer une concaténation. (définition CONCATENER).
CONCENTRATEUR: Equipement qui permet de regrouper plusieurs voies de communication en une seule de débit plus rapide. (définition CONCENTRATEUR).
CONCEPTION ASCENDANTE: Désigne un procédé de conception. Les éléments de bas niveau sont déterminés en premier lieu. (définition CONCEPTION ASCENDANTE).
CONCEPTION DESCENDANTE: Désigne le procédé de conception dans lequel on part d'une vue d'ensemble pour ensuite déterminer les éléments de bas niveau. N. Wirth l'a décrite le premier. (définition CONCEPTION DESCENDANTE).
CONCEPTION: Désigne la dernière étape dans la vie pré-commerciale d'un logiciel (définition CONCEPTION).
CONCIERGE: Désigne le manager d'une mailing-list. (définition CONCIERGE).
CONCURRENT: Qualifie des accès mémoire simultanés. (définition CONCURRENT).
CONDENSATEUR: Désigne un élément électronique de stockage d'énergie. Il est composé de deux conducteurs isolés l'un de l'autre. (définition CONDENSATEUR).
CONF: Désigne l'extension des fichiers de configuration d'un éléments. Désigne également le raccourci de conférence. (définition CONF).
CONFERENCE: C'est un synonyme peu fréquent de forum. (définition CONFERENCE).
CONFIDENTIALITE: Moyen de contrôle de l?utilisateur sur la diffusion et l?utilisation des informations le concernant. (définition CONFIDENTIALITE).
CONFIG: C'est le raccourci de configuration. C'est également l'appellation du fichier CONFIG.SYS, sous MS-DOS. (définition CONFIG).
CONFIGURATION: Désigne le groupe des déterminations techniques d'une machine : la classe d'une puce, la quantité de mémoire vive, la taille du disque dur. Désigne également le fait de paramétrer les variables d'un programme ou d'une machine. (définition CONFIGURATION).
CONFIGURER: Désigne le paramétrage des déterminations d'une machine ou d'un logiciel. Tuner en est un équivalent anglais. (définition CONFIGURER).
CONGESTION: Désigne l'événement qui survient lorsque la capacité d'un réseau est dépassée par la demande. (définition CONGESTION).
CONNECTABILITE: Désigne les capacités matérielles et logicielles d'une machine à s'intégrer dans un réseau. (définition CONNECTABILITE).
CONNECTER: Désigne le fait de relier deux éléments. (définition CONNECTER).
CONNECTEUR: Désigne la prise qui reçoit une connexion. (définition CONNECTEUR).
CONNECTION MACHINE: Désigne une machine qui emploie plusieurs milliers de puces en parallèle. (définition CONNECTION MACHINE).
CONNECTIQUE: Désigne le milieu des connecteurs et connexions. (définition CONNECTIQUE).
CONNECTIVITE: Désigne la faculté d'un système à se brancher à d'autres machines. (définition CONNECTIVITE).
CONNERIETIF: Désigne une variante de cognitif, qui met l'accent sur les promesses non tenues de cette science. (définition CONNERIETIF).
CONNEXION: Désigne le fait d'établir un rapport entre deux éléments. (définition CONNEXION).
CONNEXIONNISME: Désigne la science qui s'occupe des dispositifs de simulation d'une intelligence par des ordinateurs neuronaux en réseau. L'intelligence doit être produite par ce montage en réseau, et non par des séries d'opérations algébriques. (définition CONNEXIONNISME).
CONNEXITE: Désigne l'état de ce qui est connecté. (définition CONNEXITE ).
CONS: Désigne en LISP la commande par laquelle une liste devient un élément d'une autre liste. Désigne également l'acronyme de Connection Oriented Network Service, c'est-à-dire un service de connexion qui fonctionne sur ATM. (définition CONS).
CONSEILS D'UTILISATION: Désigne le texte qui, sur un forum Usenet, détermine les sujets abordés ainsi que les règles de fonctionnement du forum. On peut utiliser le raccourci CU. (définition CONSEILS D'UTILISATION).
CONSOLE DE JEU: Désigne une machine orientée vers le jeu. Le plus souvent dépourvues de clavier, ces machines sont souvent extrêmement performantes grâce à la limitation de leurs objectifs. Les consoles récentes peuvent s'intégrer à un réseau. Les grands constructeurs sont Sony et Nintendo. (définition CONSOLE DE JEU).
CONSOLE: Désigne la technologie qui rend possible la communication entre l'usager d'une machine et cette machine. Dans un ordinateur personnel, il s'agit de la machine elle-même (définition CONSOLE).
CONSOMMABLE: Désigne un élément à utilisation limitée, c'est-à-dire qu'il faut renouveler : papier et encre pour une imprimante, par exemple. (définition CONSOMMABLE).
CONST: C'est un raccourci pour constante. Const est parfois la commande pour une compilation, elle s'écrit alors en majuscules. (définition CONST).
CONSTANTE: Désigne un élément invariable dans l'exécution d'un code. (définition CONSTANTE).
CONSTRUCTEUR: Désigne, par opposition à l'assembleur, celui qui fabrique certaines pièces des machines qu'il assemble. Désigne aussi un élément qui compose un objet dont le but est l'initialisation d'un nouvel état de cet objet. On utilise le raccourci Cteur ou Ctor. (définition CONSTRUCTEUR).
CONSTRUCTION: Désigne une suite de commandes donnée en langage de programmation. (définition CONSTRUCTION).
CONSULTANT: Désigne celui qui doit porter un regard neuf sur une structure, un fonctionnement. (définition CONSULTANT).
CONSULTER: Désigne le fait de prélever des informations dans une base de données sans en changer la composition. (définition CONSULTER).
CONTENEUR: Désigne une classe de fichiers qui renferme des informations codées de façon variable. (définition CONTENEUR).
CONTENTION: Méthode d?occupation d?une liaison de communication accessible par plusieurs utilisateurs qui peuvent émettre à des moments aléatoire. Il est alors nécessaire de prévoir d?éventuelles collisions. (définition CONTENTION).
CONTEXT HIGHLIGHTING: Désigne l'opération par laquelle on sélectionne certains éléments à l'écran pour les faire apparaître plus clairement. (définition CONTEXT HIGHLIGHTING).
CONTEXT SWITCHING: Désigne une permutation de tâche, c'est-à-dire le fait de quitter une tâche pour commencer une autre. (définition CONTEXT SWITCHING).
CONTEXTUEL: Qualifie un menu associé à un certain emplacement de l'écran ou de la fenêtre. Un synonyme est pop-up. (définition CONTEXTUEL).
CONTINUUM: Désigne l'ancienne appellation française des forums de l'Usenet. (définition CONTINUUM).
CONTRETYPE: Régénération d?une photographie à partir du négatif ou du positif. (définition CONTRETYPE).
CONTRIB: C'est un raccourci de contribution. (définition CONTRIB).
CONTRIBRUITEUR: Désigne celui qui produit une contribution superflue. (définition CONTRIBRUITEUR).
CONTRIBUTEUR: Le terme est un barbarisme, mais il désigne celui qui compose des articles et les présente sur l'Usenet. (définition CONTRIBUTEUR).
CONTRIBUTIF: Qualifie un programme pour lequel l'achat de licence est laissée à l'appréciation de l'utilisateur. (définition CONTRIBUTIF).
CONTRIBUTION: Désigne tout élément composé par un individu et destiné à s'insérer dans un projet commun. Plus particulièrement, une contribution désigne un article de l'Usenet. L'anglais dit posting. (définition CONTRIBUTION).
CONTROL DATA: Désigne un groupe commercial précurseur en matière de superordinateurs, dans les années 60. Ils sont notamment les concepteurs des machines Cyber. (définition CONTROL DATA).
CONTROL: Désigne la touche de commutation sur laquelle figure le raccourci Ctrl. (définition CONTROL).
CONTRôLE D'ACCES: Désigne le dispositif qui valide les demandes d'accès à des données. (définition CONTRôLE D'ACCES).
CONTRôLE DE FLUX: Désigne la famille des procédés mis en ½uvre afin d'éviter les embouteillages sur un réseau. (définition CONTRôLE DE FLUX).
CONTRôLE PARENTAL: Désigne la petite protection utilisée pour interdire l'accès à certains sites. (définition CONTRôLE PARENTAL).
CONTRôLE: Désigne une opération de vérification de validité. (définition CONTRôLE).
CONTRôLEUR DE DOMAINE: Désigne le responsable d'un réseau NT. Ce serveur central est en charge notamment des contrôles d'accès. (définition CONTRôLEUR DE DOMAINE).
CONTRôLEUR DISQUE: Désigne l'élément qui commande un disque. (définition CONTRôLEUR DISQUE).
CONTRôLEUR VIDEO: Désigne le dispositif de commande des éléments visuels. Il convertit l'électronique en analogique utilisable par l'écran. (définition CONTRôLEUR VIDEO).
CONTRôLEUR: Désigne l'élément électronique de commande d'un périphérique. (définition CONTRôLEUR).
CONVENTIONNELLE: Procédé courant de photogravure par choix des couleurs sans tramage direct. (définition CONVENTIONNELLE).
CONVERSATIONNEL: Qualifie un programme qui offre en temps réel des options différentes. Le terme est ancien, et on a du mal à imaginer aujourd'hui un logiciel qui ne soit pas conversationnel. (définition CONVERSATIONNEL).
CONVERSION: Désigne le fait de convertir des informations, c'est-à-dire de modifier leur format. (définition CONVERSION).
CONVERTIR: Opérer une conversion. (définition CONVERTIR).
CONVERTISSEUR: Désigne la technologie qui convertit des informations numériques en quantités physiques, et inversement. Désigne également tout programme de conversion. (définition CONVERTISSEUR).
CONVIVIAL: Qualifie un programme accueillant et facile d'utilisation. (définition CONVIVIAL).
CONVIVIALITE: Désigne le fait, pour un logiciel par exemple, d'être facilement utilisable. Désigne également une communauté sur un forum. (définition CONVIVIALITE ).
CONWAY, JOHN: C'est le concepteur du « voisinage de conway » qui désigne, pour toute case dans un tableau, les huit cases adjacentes. (définition CONWAY, JOHN).
COOKIE JAR: Désigne l'emplacement, essentiellement sur Atari ST, dans lequel les logiciels laissent la trace de leurs utilisations. (définition COOKIE JAR).
COOKIE: Désigne le fichier déposé par un serveur dans l'ordinateur qui le visite et qui rend possible l'identification des machines. (définition COOKIE).
COOKIES: Fichier stocké sur l?ordinateur client permettant de retracer le parcours d?un utilisateur sur un site web. (définition COOKIES).
COOP: Désigne un nom de domaine réservé aux coopératives. L'utilisation de ce nom est aujourd'hui très restreinte. (définition COOP).
COOPERATIF: Qualifie un système qui distribue les priorités entre les programmes. Un tel système est donc multitâche. (définition COOPERATIF).
COORDONNEE: Désigne dans un tableau, les lignes et colonnes ou abscisses et ordonnées, par lesquelles on détermine l'emplacement d'un élément. On emploie beaucoup ce terme lorsqu'il est question d'affichage. (définition COORDONNEE).
COPIE CARBONE: Désigne la copie d'un message envoyée à plusieurs destinataires désignés dans le champ Cc. (définition COPIE CARBONE).
COPIE DE SAUVEGARDE: Désigne une copie d'informations, effectuée le plus souvent à des fins de sécurité. L'équivalent anglais est backup. (définition COPIE DE SAUVEGARDE).
COPIE D'ECRAN: C'est un synonyme de capture d'écran. L'anglais dira snapshot. (définition COPIE D'ECRAN).
COPIE: Tirage supplémentaire d?un ensemble de feuillet. (définition COPIE).
COPIE-COLLE: Désigne la suite de commandes utilisée pour insérer un contenu dans le presse-papier et le transférer à un autre emplacement que l'original. (définition COPIE-COLLE).
COPIER: Désigne le fait d'insérer un contenu dans le presse-papier. (définition COPIER).
COPIER-COLLER: Effectuer un copié-collé. (définition COPIER-COLLER).
COPIEUR: Désigne l'application mis au point pour copier des informations. (définition COPIEUR).
COPLAND: C'est le projet finalement abandonné de remaniement de l'OS d'Apple, inchangé depuis les premiers Macs. (définition COPLAND).
COPPERMINE: Désigne le surnom de certaines variantes du Pentium III (Intel). Coppermine signifie littéralement mine de cuivre, alors que cet élément est absent des puces en question. (définition COPPERMINE).
COPRO: C'est un raccourci pour coprocesseur. (définition COPRO).
COPROCESSEUR: Désigne un processeur secondaire chargé de certaines tâches précises. (définition COPROCESSEUR).
COPS: Programme permettant de tester la sécurité d?une machine unix. (définition COPS).
COPY PARTY: Désigne une réunion festive pendant laquelle l'objectif est de copier des logiciels. (définition COPY PARTY).
COPYLEFT: Désigne un type de copyright ouvert qui autorise chacun à utiliser ou transformer un élément à condition que les transformations soient libres également. Ce type de copyright tend à se généraliser à toutes les conceptions. (définition COPYLEFT).
COPYRIGHT: Garantie des droits d?auteur ou d?édition d?un document original. (définition COPYRIGHT).
COQUILLE: Faute d?orthographe en composition. (définition COQUILLE).
CORBA: C'est l'acronyme de Common Object Request Broker Architecture qui désigne une norme de gestion d'objets distribués. Conçue par l'OMG pour concurrencer le COM de Microsoft, cette architecture rend possible la communication entre plusieurs applications développées dans des langages différents et installées sur des machines différentes. (définition CORBA).
CORBEILLE: C'est l'icône qui reçoit les éléments qu'on souhaite détruire. L'équivalent sous NextStep est trou noir. (définition CORBEILLE).
CORDLESS: Qualifie un élément comme une souris ou un clavier lorsque cet élément est sans fil. (définition CORDLESS).
CORDON: Désigne un câble épais et de longueur limitée. (définition CORDON).
CORE DUMP: Désigne un fichier qui renferme une représentation de la mémoire lors d'un crash logiciel. On peut l'utiliser pour comprendre les causes du crash. (définition CORE DUMP).
CORE SPEED: Désigne la vitesse de fonctionnement du noyau, qui est différente de celle de la puce. Elle est exprimée en GHz aujourd'hui. (définition CORE SPEED).
CORE WAR: Désigne un jeu, créé dans les années 60, qui consiste à détruire le programme de l'adversaire. Il se joue entre des programmes en langage assembleur dans une machine virtuelle. Le nom du jeu est bien sûr en référence à Star Wars. (définition CORE WAR).
CORE: Council Of REgistrars, qui désigne la réunion des offices d'enregistrement des noms de domaines. (définition CORE).
CORE: Désigne le c½ur d'un système. Le terme est plutôt rare. Un synonyme de core est kernel, un autre est noyau. (définition CORE).
CORNET: Désigne le dispositif d'émission / réception au c½ur d'une parabole. (définition CORNET).
COROUTINE: Désigne une routine qui reprend là où le programme a été interrompu. (définition COROUTINE).
CORPS: Hauteur d?un caractère de typographie, qui comprend les talus, exprimé en points. (définition CORPS).
CORRECTEUR GRAMMATICAL: Désigne une famille de correcteurs dédiés à la grammaire. (définition CORRECTEUR GRAMMATICAL).
CORRECTEUR ORTHOGRAPHIQUE: Ces logiciels sont dédiés à l'orthographe. Ils sont souvent plus fiables que les correcteurs grammaticaux. (définition CORRECTEUR ORTHOGRAPHIQUE).
CORRECTEUR: Désigne une classe de logiciels de correction des erreurs dans une composition en langage naturel. On peut distinguer entre correcteur d'orthographe et correcteur de grammaire, mais les résultats de l'un et de l'autre sont souvent déconcertants. (définition CORRECTEUR).
CORRECTIF: Synonyme de patch ou mise à jour de correction. Petit programme permettant la correction d?un problème détecté sur un logiciel. (définition CORRECTIF).
CORRECTION D?AUTEUR: Modification ou correction d?un document par son auteur, facturée en plus du prix normal de la composition. (définition CORRECTION D?AUTEUR).
CORRECTION D'ERREUR: Désigne l'activité de certains algorithmes, qui consiste à contrôler l'intégrité des informations présentes dans un système. (définition CORRECTION D'ERREUR).
CORROMPU: Qualifie un fichier dont l'intégrité a été atteinte, soit par accident, soit intentionnellement. (définition CORROMPU).
COS: Organisation américaine constituée de grands constructeurs pour la promotion de la norme internationale ISO. (définition COS).
COSAC: Désigne une COmmunication SAns Connexion. Désigne également les Canadian Open Systems Application Criteria, c'est-à-dire l'ensemble de critères qui concernent les normes de l'OSI, et tentent de rendre les productions de l'OSI compatibles. Aux Etats-Unis, l'équivalent est le GOSIP. (définition COSAC).
COSE: Common Open Software Environment. Désigne la tentative de standardisation d'Unix, menée par SCO, IBM et HP contre Microsoft. Le COSE est par exemple le réalisateur du CDE. (définition COSE).
COSINE: Programme européen pour la création d?une structure de communication à l?échelle de l?Europe dans le domaine de la recherche scientifique et industrielle. (définition COSINE).
COSMOS: COmputer System for Mainframe OperationS. Désigne une banque qui renferme des données sur les lignes téléphoniques. Cette base de données tournait sous PDP11. (définition COSMOS).
COUCHE SENSIBLE: Recouvre la plaque offset et permet le report d?une image d?un film. (définition COUCHE SENSIBLE).
COUCHE SERVICE: Couche résidant dans la mémoire du système et situé entre la CI (Component Interface) et la MI (Management Interface). (définition COUCHE SERVICE).
COUCHE: Papier spécial recouverte d?un couche mâte ou brillante après traitement de surface, afin d?obtenir une meilleure impression. (définition COUCHE).
COUCHES: Correspond aux différents niveaux d?information d?une image dans un logiciel de retouche ou de dessin vectoriel. Ce système permet de superposer les couches et ainsi de les traiter indépendamment les unes des autres. (définition COUCHES).
COUCOU: Désigne affectueusement une vieille machine. (définition COUCOU).
COULEUR: Pour un pixel, la couleur est déterminée par une combinaison des trois couleurs primaire RVB, Rouge Vert et Bleu. (définition COULEUR).
COULEURS INDEXEES: Une image en couleurs indexées contient une table dans laquelle est définie l?ensemble de la palette de couleurs de l?image, et comporte jusqu?à 256 couleurs. Cette technique permet d?utiliser moins de couleurs que les images en cmyk cmjn tout en conservant une bonne qualité d?image. (définition COULEURS INDEXEES).
COULEURS VRAIES: C'est l'équivalent français de truecolors. (définition COULEURS VRAIES).
COUNTER-STRIKE: C'est un jeu vidéo en vue subjective et en réseau uniquement. Il est très largement répandu en raison de son caractère gratuit. (définition COUNTER-STRIKE).
COUPE-COLLE: Procédé par lequel on efface un contenu de son emplacement initial, on le place dans le presse-papier puis on l'insère dans un emplacement nouveau. (définition COUPE-COLLE).
COUPE-FEU: C'est la version française de firewall, un synonyme étant pare-feu. (définition COUPE-FEU).
COUPER: Désigne le fait de placer un contenu sélectionné dans le presse-papier et en effaçant ce contenu de son emplacement initial. (définition COUPER).
COUPER-COLLER: C'est le fait d'effectuer un coupé-collé. (définition COUPER-COLLER).
COUPLAGE LâCHE: Appellation d'une structure de système qui assemble plusieurs machines autonomes en un réseau qui permet de les considérer comme une seule. (définition COUPLAGE LâCHE).
COUPLEUR: Tout matériel permettant l?interconnexion avec un réseau. (définition COUPLEUR).
COURIER: C'est une police courante qui est souvent l'option par défaut. (définition COURIER).
COURRIEL: C'est l'appellation française, officielle depuis 2003, du courrier électronique. (définition COURRIEL).
COURRIER ELECTRONIQUE: Désigne un message circulant rapidement de l'émetteur au destinataire via un réseau. On utilise en français les termes de mail, ou de courriel (définition COURRIER ELECTRONIQUE).
COURRIER SECURISE: C'est un e-mail chiffré, c'est-à-dire en théorie non déchiffrable par qui n'a pas la clé. (définition COURRIER SECURISE).
COURRIER: C'est un raccourci pour courrier électronique. (définition COURRIER).
COURTIER: C'est l'appellation d'un logiciel qui gère les rapports entre objets (dans un environnement à objets). Désigne également l'intermédiaire entre le serveur et le client. (définition COURTIER).
COVINGTON: C'est le nom de développement des puces Celeron (Intel). (définition COVINGTON).
COW-BOY: Désigne un pirate chez W. Gibson. (définition COW-BOY).
COX, ALAN: C'est un célèbre pirate du noyau Linux. (définition COX, ALAN).
CP / M: Control Program for Microcomputers, soit un Programme de Commande pour les micro-ordinateurs. C'est un OS basique, mis au point entre 74 et 77 par Digital Research, pour des ordinateurs 8 bits. Il fut longtemps la référence des développeurs en raison de son caractère multi plateforme, avant d'être dépassé par Q-DOS puis MS-DOS (qui s'en inspirent largement). (définition CP / M).
CP: C'est l'acronyme de Copy Protection. (définition CP).
CPA: Code Parasite Autopropageable. C'est un synonyme peu employé de virus. (définition CPA).
CPAN: C'est l'acronyme de Comprehensive Perl Archive Network. Désigne une masse d'informations relatives au Perl. Elle comprend également des modules libres. (définition CPAN).
CPAO: Acronyme de Conception de Programmes Assistée par Ordinateur. (définition CPAO).
CPC 464: Désigne une machine 8 bits, conçue par Amstrad en 1983. Ses caractéristiques : écran noir et blanc (couleur en option), lecteur-enregistreur de cassettes, une puce Z80A et 64 ko de mémoire. (définition CPC 464).
CPC 6128: C'est une autre variante du CPC 464 avec une mémoire de 128 ko. (définition CPC 6128).
CPC 664: Désigne une variante du CPC 464 qui intègre un lecteur de disquettes en lieu et place des cassettes. (définition CPC 664).
CPC: Coût Par Clic. Détermine le coût d?un clic sur une bannière publicitaire dans un site Web. (définition CPC).
CPCS: C'est l'acronyme de Common Part Convergence Sublayer. La couche AAL est composée de cette couche, la CS, et d'une autre, la SAR. (définition CPCS).
CPE: Désigne les équipements de réseaux compris dans la zone propriétaire d?un utilisateur. (définition CPE).
CPI: Character per Inch, c'est-à-dire la mesure de la densité d'une police qui n'est pas proportionnelle. L'équivalent français est CPP. (définition CPI).
CPL: Désigne le Control PaneL, c'est à dire un exécutable du panneau de configuration. CPL désigne aussi un Courant Porteur en Ligne, soit le fait d'utiliser des fils électrique pour la circulation d'informations. Dans un fil électrique en effet, seule la fréquence 50 ou 60Hz est occupée par l'électricité. On peut donc se servir des autres bandes de fréquence, avec un débit de 100 kbps à 1 Mbps. (définition CPL).
CPM: Coût Pour Mille. Coût de l?achat d?un espace de publicité, exprimé pour mille pages vues. (définition CPM).
CPP: C'est l'unité de mesure : caractère par pouce. L'équivalent anglais est CPI. (définition CPP).
CPP: Désigne un fichier qui renferme un source en C ++. C'est aussi le procédé de Calling Party Pays, dans lequel c'est celui qui appelle qui paie. Désigne enfin un Collaborative Protocol Profile, soit Profil de Protocole de Collaboration. (définition CPP).
CPS: Mesure la vitesse d?impression. (définition CPS).
CPSR: C'est l'acronyme de Computer Professionals for Social Responsability. C'est une structure qui vise à rendre compréhensible par le plus grand nombre les risques inhérent à l'informatique en matière de vie privée. (définition CPSR).
CPT: Compact Pro. C'est un format de compression extrêmement rare. (définition CPT).
CPU: Central Processing Unit, ou Processeur. Unité de calcul d?un ordinateur, c?est en fait le c?ur de l?ordinateur. (définition CPU).
CR: A la fin d'un URL, signale que le site est basé au Costa Rica. (définition CR).
CR: C'est l'acronyme de Carriage Return, soit un retour chariot, qui indique un renvoi à la ligne suivante. On l'obtient par la touche entrée. (définition CR).
CRACHER: Désigne le fait de produire une grande quantité d'informations. On l'utilise par exemple pour une imprimante. Attention à ne pas confondre cracher et crasher, ce dernier indiquant le plantage d'une application. (définition CRACHER).
CRACK: C'est une petite application qui vise à détruire les protections d'un logiciel. (définition CRACK).
CRACKER: Désigne le fait de déstructurer un programme pour en observer sa composition. Désigne aussi un pirate, en anglais. (définition CRACKER).
CRACKING: C'est l'activité de cracker. (définition CRACKING).
CRADDLE: C'est le support d'un PDA. Le français préfère le terme de station d'accueil. (définition CRADDLE).
CRAP: Crusad to Reconstruct Awful Programs, soit une Croisade pour reconstruire des programmes affreux (crap signifie « merde » en anglais »). (définition CRAP).
CRAQUER: C'est l'équivalent français de cracker, mais le terme est rare. (définition CRAQUER).
CRAQUEUR: Celui qui se livre au cracking, c'est-à-dire l'équivalent français d'un cracker. (définition CRAQUEUR).
CRASH DUMP: C'est l'opération par laquelle on observe ce qui s'est passé lors d'un crash. (définition CRASH DUMP).
CRASH: Désigne le fait, pour un programme, de s'arrêter brutalement et de façon inopinée. Un synonyme est plantage. (définition CRASH).
CRASHER: C'est le verbe associé au crash d'un programme. C'est aussi un pirate qui cherche à provoquer des crashs. (définition CRASHER).
CRAVATE: C'est un outil peu utilisé par les informaticiens. (définition CRAVATE).
CRAY RESEARCH SUPERSERVERS: C'est le nom du groupe de Seymour Cray, qui, comme tous les fabricants de superordinateurs, a des problèmes de rentabilité. (définition CRAY RESEARCH SUPERSERVERS).
CRAY: Désigne une famille de superordinateurs, mise au point par Seymour Cray dans les années 80. Les Crays ont été les premiers à passer la barre du milliard de calculs par seconde. (définition CRAY).
CRAY, SEYMOUR: C'est le créateur de la société précédemment citée ainsi que le concepteur des machines Cray. (définition CRAY, SEYMOUR).
CRAYON OPTIQUE: C'est un crayon équipé d'une cellule sensible à la lumière, grâce auquel on peut désigner directement à l'écran l'objet qu'on veut utiliser. Il a disparu depuis l'apparition des souris. Un synonyme est photostyle (définition CRAYON OPTIQUE).
CRC: Cyclic Redundancy Check. Système de contrôle de l?intégrité d?un paquet de donnée. (définition CRC).
CRC32: Désigne un Contrôle de Redondance Cyclique qui opère sur 32 bits. (définition CRC32).
CRC-4: Désigne un Contrôle de Redondance Cyclique 4, c'est-à-dire un CRC employé par les routeurs en Europe. Il contrôle les redondances en créant des ensembles de 16 trames qui se réunissent en deux sous-ensembles de 4 bits de gestion des erreurs. (définition CRC-4).
CREDITS: Désigne la suite des noms ou surnoms des personnes impliquées dans la mise au point d'une démo. On peut parler de générique, en français. (définition CREDITS).
CRENAGE: Désigne l'adaptation de l'espace entre deux caractères dans un mot. (définition CRENAGE).
CRENELAGE: C'est l'effet causé par la non-continuité des informations numériques dans une image. Le crénelage se manifeste sur les extrémités de l'image (définition CRENELAGE).
CRESOL NOVALAC: Désigne la résine utilisée pour protéger les éléments électroniques de haute intégration. Elle est produite dans deux usines, toutes deux situées au Japon, ce qui explique le prix élevé de ce produit. (définition CRESOL NOVALAC).
CREUX: Qualifie, dans un programme, une partie non exécutable, du commentaire par exemple. (définition CREUX).
CRI: C'est l'acronyme de Centre de Ressources Informatiques ou de Centrale des Réglements Interbancaires. (définition CRI).
CRIM: Désigne le Centre de Recherche Informatique de Montréal, qui gère le RISQ. (définition CRIM).
C-RIMM: Continuity RIMM, c'est-à-dire une RIMM qui sert à assurer la continuité car elle ne peut être vide. (définition C-RIMM).
CRIPPLEWARE: Désigne une famille de logiciels gratuits mais limités. Il est nécessaire de payer pour débrider l'application. (définition CRIPPLEWARE ).
CRISTAUX LIQUIDES: C'est un matériau qui s'apparente simultanément aux éléments liquides et aux éléments solides. Ils peuvent changer de direction en présence d'un courant, d'où leur utilisation en affichage. (définition CRISTAUX LIQUIDES).
CRITIQUE: Qualifie un système qui, s'il plante, peut entraîner l'échec d'une mission. Lorsqu'un système est « critique de sécurité », cela signifie qu'il peut, en cas de disfonctionnement, entraîner des morts ou des atteintes graves à l'environnement. Le français préfère le terme crucial. (définition CRITIQUE).
CRM: Customer Relationship Management. Permet de définir la façon de gérer les relations avec la clientèle. (définition CRM).
CRMA: C'est l'acronyme de Cyclic Reservation Multiple Access (définition CRMA).
CRMF: C'est l'acronyme de Certificate Request Message Format. (définition CRMF).
CROFT, LARA: Elle est l'héroïne du jeu Tomb Raider. (définition CROFT, LARA).
CROISE: Pli perpendiculaire à un autre. (définition CROISE).
CROISE: Qualifie un code qui ne peut s'exécuter que sur un autre ordinateur que celui sur lequel il a été composé. Le contraire de code croisé est code natif. Qualifie également un compilateur qui émet du code binaire en vue d'une utilisation sur une autre machine. (définition CROISE).
CROMALIN: Système d?épreuvage rapide permettant de valider un dossier sans réaliser de plaques d?impression. (Marque déposée) (définition CROMALIN).
CRON: Désigne une application qui peut déclencher les tâches figurant dans la crontab, sous Unix. (définition CRON).
CRONTAB: Désigne la table où sont inscrites les tâches périodiques à effectuer : cron.hourly contient les processus devant être menés chaque heure (définition CRONTAB).
CROSS LINKING: Augmentation de la quantité de liens Internet entre des sites de sujet commun ou avec le même public. (définition CROSS LINKING).
CROSS POSTING: C'est le procédé par lequel on poste le même élément sur différents groupes de l'Usenet. C'est un procédé dont l'abus est condamné par la netiquette. Le français dira plutôt multipostage. (définition CROSS POSTING).
CROSS SITE SCRIPTING: Désigne un procédé par lequel on récupère des informations (mot de passe par exemple) en renvoyant l'usager vers un autre site qui se présentera comme l'original grâce à l'insertion d'un lien sur le site original. (définition CROSS SITE SCRIPTING).
CROSSBAR: C'est une classe de commutateur de téléphone. (définition CROSSBAR).
CROSS-MEDIA: Désigne l'usage rationnel de plusieurs médias. Il se distingue du multimédia en ceci que ce dernier concerne tous les sens simultanément. (définition CROSS-MEDIA).
CRT: Cathodic Ray Tube. Tube cathodique utilisé dans les écrans d?ordinateurs et les télévisions. L?image est obtenue par projection d?un faisceau d?électrons sur l?écran. (définition CRT).
CRTC: Organisation canadienne contrôlant la totalité des émissions radio et télévisuelles, le cryptage s?effectue par clé privée ou publique. (définition CRTC).
CRU: C'est l'acronyme de Comité Réseau des Universités. Le comité veut assurer un contrôle technique et être un point de passage pour les centres européens de recherche. (définition CRU).
CRUNCHER: C'est une famille d'applications de compactage insérées dans un logiciel. On utilise également cruncher comme un synonyme de cracker. (définition CRUNCHER).
CRYOGENIQUE: Désigne la science du froid. Elle est mise à contribution pour minimiser la chaleur produite par le courant circulant dans les ordinateurs. (définition CRYOGENIQUE).
CRYPTAGE: Action de rendre illisible des informations pour quiconque qui ne possède pas la clé de décryptage. (définition CRYPTAGE).
CRYPTANALYSE: C'est l'analyse des messages codés (définition CRYPTANALYSE).
CRYPTER: Désigne le fait d'encoder un fichier. On peut préférer le terme de chiffrer. (définition CRYPTER).
CRYPTO: C'est le raccourci de cryptographie. (définition CRYPTO).
CRYPTOGRAMME: Désigne un document codé. (définition CRYPTOGRAMME).
CRYPTOGRAPHIE: Méthode permettant de rendre illisible des informations afin de garantir l?accès à un seul destinataire authentifié. La conversion des données s?effectue au moyen d?une clé. (définition CRYPTOGRAPHIE).
CRYPTOGRAPHIQUE: Ce qui concerne la cryptographie. (définition CRYPTOGRAPHIQUE).
CRYPTOLOPE: Ensemble électronique réunissant à la fois des données cryptées et les règles permettant son utilisation. (définition CRYPTOLOPE).
CRYPTOSYSTEME: C'est un chiffrement érigé en système. (définition CRYPTOSYSTEME).
CS: Désigne un raccourci de Counter-Strike, le jeu vidéo. Désigne également la Computer Science, soit l'informatique. C'est également l'acronyme de Client Serveur (dans ce cas, on trouve aussi C / S), de Carte Son ou de Carrier Sense c'est-à-dire Senseur de porteuse qui est un capteur de collision dans l'Ethernet. C'est aussi le Cable Select, le procédé de paramétrage des disques IDE. Enfin, CS est l'acronyme de Convergence Sublayer. (définition CS).
CSA: C'est l'acronyme de Conseil National de l'Audiovisuel, qui tente parfois de réguler l'internet. C'est aussi la Canadian Standards Association, l'équivalent anglais de l'ACNOR. (définition CSA).
CSCW: Computer Supported Cooperative Work, soit travail en coopération assisté par ordinateur. C'est un type de groupware. (définition CSCW).
CSDI: C'est l'acronyme de Compressed Serial Digital Interface, une interface qui envoie du DV compacté avec son et timecode sur du BNC. (définition CSDI).
C-SET: C'est le raccourci de ChipSET. C'est aussi une standard de commerce en ligne, qui rend possible l'utilisation de carte à puce. (définition C-SET).
CSG: Outre un impôt, CSG désigne une Constructive Shape Geometry, qui se sert de calculs d'ensembles sur primitives simples (sphère, cube etc?) pour produire des objets complexes. (définition CSG).
CSH: C'est un raccourci de C-shell ainsi que l'appellation de l'odre par lequel on lance le C-shell. (définition CSH).
C-SHELL: Désigne un shell fondé sur le C, mis au point pour Unix par B. Joy à Berkeley. (définition C-SHELL).
CSI: Conception de Systèmes d'Information. Egalement CompuServe Inc. (définition CSI).
CSIRT: C'est l'acronyme de Computer Security Incident Response Team. C'est donc une variante du CERT. (définition CSIRT).
CSLIP: Compressed SLIP. (définition CSLIP).
CSM: C'est l'acronyme de Cluster Systems Management : une famille de programmes de gestion des clusters d'IBM. (définition CSM).
CSMA / CD: Carrier Sense Multiple Access / Collision Detection, soit un capteur de porteuse à accès multiple avec détection de collision. Il s'agit d'un protocole Ethernet. (définition CSMA / CD).
CSMA: Procédé permettant l?accès à un réseau local sur lequel les temps d?émission des stations ne sont pas régis, CSMA permet alors de vérifier qu?aucune station émet au même moment et évite les collisions. (définition CSMA).
CSN: Centre Satellite Numérique (définition CSN).
CSO: C'est l'acronyme de Computer Services Office. Désigne un secteur de l'Université de l'Illinois qui a mis au point Gopher. (définition CSO).
CSP: Désigne un Chip Scale Package, un standard de conditionnement des mémoires dans la résine. Chip scale signifie « au format de la puce ». Ce standard est plus fragile que le TSOP. (définition CSP).
CSS: C'est l'acronyme de Cascading Style Sheet, un format de feuille de style pour navigateurs internet. Ce format peut transformer le visuel entier d'un site en ne modifiant qu'un seul fichier. CSS désigne aussi l'extension des fichiers qui renferment une CSS. C'est aussi l'acronyme de Content Scrambling System, qui chiffre un DVD contenant de la vidéo. Enfin, CSS désigne le Cross Site Scripting. (définition CSS).
CSS1: C'est la première version de CSS, recommandée en 96 par le W3C. (définition CSS1).
CSS2: C'est une évolution de CSS, en 98. Elle améliore la précédente par l'ajout d'un manager de polices, et de feuilles de style dédiées à certains médias. (définition CSS2).
CSS3: C'est l'évolution de CSS2. (définition CSS3).
CST: C'est l'acronyme du Conseil Supérieur de la Télématique. C'est également le Central Standard Time. (définition CST).
CSTA: Acronyme de Computer Supported Telecommunications Applications. Désigne un standard de communication entre micro-ordinateurs et PABX. . (définition CSTA).
CSTI: Désigne le Conseil Stratégique des Technologies de l'Information. (définition CSTI).
CSU: Equipement utilisé aux Etats-Unis pour le raccordement des lignes T1 chez les utilisateurs. (définition CSU).
CSV: Comma Separated Values, soit valeurs séparées par des virgules. C'est un type archaïque de banques de données. (définition CSV).
CT: Computer Telephony, c'est-à-dire la téléphonie assistée par ordinateur. Il s'agit de rendre un ordinateur capable de téléphoner. (définition CT).
CT2: Norme définissant un protocole de radiotéléphonie numérique. Les terminaux sont de petites tailles et permettent des communications unidirectionnelles vers des bornes avec une portée de quelques hectomètres. (définition CT2).
CTAN: C'est l'acronyme de Comprehensive TeX Archive Network, qui désigne un réseau FTP contenant toute la documentation relatives à TeX. (définition CTAN).
CTB: Centre de Traitement Bancaire. (définition CTB).
CTCP: Acronyme de Client To Client Protocol. Dans un IRC, c'est le protocole qui gère les rapports entre clients. (définition CTCP).
CTF: Capture The Flag, soit capturer le drapeau. Désigne un mode spécifique dans certains jeux vidéos. (définition CTF).
CTI: Désigne la Computer Telephony Integration, c'est-à-dire l'intégration informatique-téléphonie, qui permet le suivi numérique automatique du dossier du client qui appelle au téléphone. (définition CTI).
CTIA: Cellular Telecommunication Industry Association, soit association des industriels de la téléphonie cellulaire. (définition CTIA).
CTR: Norme s?appliquant aux pays de la CEE et qui s?occupe des terminaux raccordables aux réseaux publics. (définition CTR).
CTRL: C'est le raccourci pour la touche de commutation Control. (définition CTRL).
CTRL-ALT-SUPPR: Pressée simultanément, ces touches permettent de rebooter un PC. Sous Windows NT, cette combinaison permet de se connecter. (définition CTRL-ALT-SUPPR).
C-TRON: Citron (définition C-TRON).
CTS WAN: Projet de dimension européenne pour l?harmonisation des contrôles de conformité avec les normes de l?OSI. (définition CTS WAN).
CTS: Clear To Send. C'est le signal qui valide une émission. On dit PAE (prêt à émettre) en français. Désigne aussi un Call Tracking System, un procédé de traçage des appels. Désigne enfin le Carpal Tunnel Syndrom, ou Syndrome du Canal Carpien, une pathologie connue des informaticiens. (définition CTS).
CTSS: C'est l'acronyme de Compatible Time Sharing System. Désigne le tout premier système en temps partagé. Conçu par le MIT en 1960, il est le support de MULTICS. (définition CTSS).
CU: A la fin d'une URL, signale que le site est basé à Cuba. (définition CU).
CU: C'est le raccourci pour « See You », qui signifie « à bientôt ». C'est également un raccourci pour Conseils d'Utilisation. (définition CU).
CUBA: Calculateur Universel Binaire de l'Armement. C'est le nom de la première machine de construction française. Il est conçu en 1952 par la SEA. définition CUBA).
CUBE: C'est la projection d'informations tirées d'un objet multidimensionnel dans un cube. (définition CUBE).
CUBE: Désigne le Club des Utilisateurs de Bull. Désigne également un ordinateur d'Apple, équipé d'un G4 et dépourvu de ventilateur (d'où un gain de volume intéressant). (définition CUBE).
CUBIC ENVIRONMENT MAPPING: Désigne un procédé qui pose des textures sur des plans en procédant à des opérations pour calculer les reflets. (définition CUBIC ENVIRONMENT MAPPING ).
CUG: C'est l'acronyme de Closed User Group, un groupe fermé d'usagers. (définition CUG).
CUL: See you later, variante de CU, à plus tard. (définition CUL).
CUL8R: See you later, variante de CU, à plus tard. (définition CUL8R).
CUPS: "Common Unix Printing System", système d'impression pour Unix basé sur IPP. (définition CUPS).
CUR: "CURsor" soit curseur, chez Microsoft, fichier de définition d'un curseur de souris. (définition CUR).
CURRY, HASKELL: (1900-1982) Mathématicien ayant travaillé sur la logique et la théorie des systèmes formels, dont le prénom désigne un langage informatique et le nom sert de préfixe à la cuuryfication. (définition CURRY, HASKELL).
CURRYFICATION: Un des principes du lambda calcul résidant dans la transformation d'une fonction à n paramètres en la composition d'une fonction à n-1 paramètres et d'une fonction à un seul paramètre. (définition CURRYFICATION).
CURSEUR: Elément d'une interface graphique désignant à l'utilisateur son positionnement dans celle-ci. (définition CURSEUR).
CURSOR: "CURrent Set Of Records", variable pointant vers un ou des enregistrements dans une table, permettant de la parcourir. (définition CURSOR).
CUSEEME: "See You, See Me", "je te vois, tu me vois", shareware de visioconférence via internet. (définition CUSEEME).
CUT: "Coordinated Universal Time" autre acception pour UTC. (définition CUT).
CUTTER: Outil d'un logiciel de retouche d'image permettant la sélection à main levée d'une partie d'image. (définition CUTTER).
CV: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Cap-Vert. (définition CV).
CV: abréviation pour "carte vidéo". (définition CV).
CVC: Circuit Virtuel Commuté, fonction d'un service de transport de données par relais de trames opposé à CVP. (définition CVC).
CVD: Carte Virtuelle Dynamique, carte de crédit virtuelle dont le numéro est recréé à chaque utilisation pour éviter toute fraude ou réutilisation, dans le cadre de paiements à distance. (définition CVD).
CVF: "Compressed Volume File" fichier d'un disue dur spécifique à Microsoft, contenant les données de ce premier sous forme compressée, apparu sous MS-DOS 6 puis repris par Windows. (définition CVF).
CVP: Circuit Virtuel Permanent, fonction d'un service de transport de données par relais de trames opposé à CVC. (définition CVP).
CVS: "Concurrent Version System", frontal de RCS. (définition CVS).
CWD: "Change Working Directory" commande de modification du répertoire de travail utilisé. "Current Working Directory", répertoire de travail courant, celui dans lequel on accèdera par défaut aux fichiers. (définition CWD).
CWK: Extension de fichier contenant un document Claris Works. (définition CWK).
CWMI: "Common Warehouse Metadata Interchange", format d'échange de données entre datawarehouses sur Java, XML ou UML. (définition CWMI).
CX: à la fin d'une URL, signale que le site est basé sur l'à®le Christmas. (définition CX).
CXML: Normalisation de données concernant des produits dans le but de faciliter le commerce, en un ensemble de DTD XML. (définition CXML).
CY: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à Chypre. (définition CY).
CYA: "See Ya", à plus tard. (définition CYA).
CYBER: Préfixe se rapportant à l'Internet et aux réseaux. (définition CYBER).
CYBER: Superordinateurs élaborés au début des 60's, gamme de machines de Control Data capables d'effectuer de 1à 128 MIPS. (définition CYBER).
CYBERCAFE: Café disposant d'ordinateurs permettant l'accès à l'Internet. (définition CYBERCAFE).
CYBERCULTURE: Culuture orientée vers l'Internet ou le "web". (définition CYBERCULTURE).
CYBERESPACE: Espace vituel contenu par les ordinateurs, ou entre eux dans le cas de mise en réseau. (définition CYBERESPACE).
CYBERIE: Synonyme de cyberespace. (définition CYBERIE).
CYBERIEN: Afférent à la Cybérie. (définition CYBERIEN).
CYBERMONDE: Synonyme de cyberespace. (définition CYBERMONDE).
CYBERNAUTE: Voyageur du cyberespace. (définition CYBERNAUTE).
CYBERNETIQUE: Science du comportement énoncée par Wiener Norbert: "boucle fermée permettant d'évaluer les effets de ses actions et de s'adapter à une conduite future grâce aux performances passées". (définition CYBERNETIQUE).
CYBERPRESENCE: Association d'une entité réelle à sa représentation, sa visibilité et sa présence sur l'Internet. (définition CYBERPRESENCE).
CYBERPUNK: A l'origine, mouvement littéraire fondé par William Gibson, désignant par la suite une personne évoluant marginalement dans un monde de super-technologie dominé par un système totalitaire. (définition CYBERPUNK).
CYBERSPACE: Synonyme anglais pour cyberespace. (définition CYBERSPACE).
CYBERSQUAT: Dépot d'un nom de domaine dans le but de le revendre à une marque déposée de manière à réaliser un substanciel bénéfice. (définition CYBERSQUAT).
CYBERSQUATTER: Personne pratiquant le cybersquat. Fait de pratiquer le cybersquatt. (définition CYBERSQUATTER).
CYBERSQUATTING: Synonyme de cybersquat. (définition CYBERSQUATTING).
CYBORG: "CYBernetic ORGanism", organisme composé de matière organique et de circuits intégrés. (définition CYBORG).
CYC: Base de connaissances issues du sens commun ayant pour but le développement d'un systèmes intelligent. (définition CYC).
CYCL: Système formel de langage utilisé par le Cyc. (définition CYCL).
CYCLADES: Réseau dédié à la recherche en France, similaire d'Arpanet, abandonné pour le transpac. (définition CYCLADES).
CYCLE DE VIE: Ensemble des étapes nécessaire au développement, à la diffusion et à l'utilisation d'un logiciel. Par extension, désigne aussi le reste de vie d'un logiciel fini jusqu'à son abandon par son éditeur. (définition CYCLE DE VIE).
CYCLE: Battement de l'horloge interne d'un processeur, 1 ns pour un fréquence de 1 GHz. (définition CYCLE).
CYGWIN: Logiciels libres nécessaires à la compilation d'application Unix sous Windows. (définition CYGWIN).
CYLINDRE: Ensemble des pistes équidistantes de l'axe d'un disque sur des faces ou plateaux différents, comandant l'attribution par cylindres de l'espace disque. (définition CYLINDRE).
CYM: "Check Your Mail", soit "regarde ton courrier". "Cyan Yellow Magenta", ensemble nécessaire à une impression couleur. (définition CYM).
CYO: "See You Online", soit "On se revoit en ligne". (définition CYO).
CYPHERPUNK: Cyberpunk se consacrant à la cryptographie et au cassage de codes. (définition CYPHERPUNK).
CYRIX: Fabricant de processeurs fondé en 1988, racheté par National Semiconductor en 1997, concurrent d'Intel et dont les bas coà»ts de fabrication ont poussé ce dernier à baisser ses prix. (définition CYRIX).
CZ: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Tchécoslovaquie. (définition CZ).
D/A: "Digital/Analog", antagonisme traduit de manière maladroite par "digital/analogique", auquel il faudrait préférer "numérique/analogique". (définition D/A).
D11N: Documentation. (définition D11N).
DAAO: Dessin-Animé Assisté par Ordinateur. (définition DAAO).
DAB: "Distributeur Automatique de Billets". " Digital Audio Broadcasting", norme dediffusion de données audio-numériques par voie hertzienne destinée aux autoradios. "Disk Access Buffer", tampon d'accès à un disque. (définition DAB).
DAC: Digital Analog Converter. Convertisseur Numérique Analogique. (définition DAC).
DACS: Equipement qui permet à la fois de faire de la commutation et de la concentration/déconcentration. (définition DACS).
DAD: "Duplicate Access Detection", détection d'adresse dupliquée, système intégrant la détection de deux mêmes adresses sur un réseau donné. (définition DAD).
DAEMON: "Disk And Exexution MONitor", voir la version française démon. (définition DAEMON).
DAI: "DMIF Application Interface", interface entre une application et la couche DMIF. (définition DAI).
DALNET: Réseau de serveurs IRC. (définition DALNET).
DAMIER: Phénomène révélé suite à des fragmentations successives d'un disque, durant lesquelles la coloration successive en blanc des zones occupées, et en noir des zones libres laisserait apparaà®tre un trait pointillé sur plusieurs lignes figurant un damier, par l'intermédiaire de l'outil de visualisation d'un logiciel de défragmentation. Phénomène aussi désigné par le terme de "fragmentation externe". (définition DAMIER).
DAMNED: Interjection suite à un bug. (définition DAMNED).
DANUP: "Dispoditif d'Accès Numérique Patagé". (définition DANUP).
DAO: "Dessin Assisté par Ordinateur", désigne la créatin aristique, et non pas le dessin technique, la CAO. "Délinquance Assistée par Ordinateur". "Data Access Objects", API Microsoft Visual Basic permettant l'accès à des bases de donnée Access. "Disk At Once" session unique de gravure d'un CDR, par opposition à des sessions multiples. (définition DAO).
DAP: "Directory Access Protocol", ancêtre du LDAP. (définition DAP).
DARK AVENGER: Pseudonyme utilisé par un pirate bulgare à l'origine de nombreux virus. (définition DARK AVENGER).
DARK STEP: Shell pour Windows similaire à After Step sous Unix. (définition DARK STEP).
DARPA: "Defense Advanced Research Project Agency", département du DoD sur les recherches informatiques, proche de l'ARPA. (définition DARPA).
DART: Programme édité par Doubleclick qui permet la gestion poussée des publicités sur un site web. Gère le ciblage et la rotation des bannières par exemple. (définition DART).
DARWIN: Noyau de Mac OS X, convergence de Mach 3.0 et FreeBSD 3.2. (définition DARWIN).
DARWINIEN: Utilisateur de l'OS Darwin. Relatif à ce système d'exploitation. (définition DARWINIEN).
DASD: "Direct Access Storage Device", périphérique de stockage à accès direct tel qu'une disquette. (définition DASD).
DAT: Digital Audio Tape. Support d?enregistrement de données numériques par l?intermédiaire de bandes magnétiques. (définition DAT).
DATA FORK: Partie d'un fichier contenant les données utiles dans un système HFS ou HFS+. (définition DATA FORK).
DATAGLOVE: Gant de données. (définition DATAGLOVE).
DATAGRAMME: Bloc d?information transmise sur une voie de communication dans un réseau. (définition DATAGRAMME).
DATALOGGER: Système de filtrage et d'enregistrement de données dans un but de surveillance ou de statistiques, des données d'un système. (définition DATALOGGER).
DATAMART: Datawarehouse spécialisé dans un domaine plus précis que ce dernier. (définition DATAMART).
DATAMINING: Ensemble des techniques nécessaires à la recherche d'informations dans une masse de données. (définition DATAMINING).
DATASUIT: Combinaison bardée de capteurs traduisant électroniquement les mouvements d'un corps. (définition DATASUIT).
DATAWAREHOUSE: "Entrepot de données", outil d'aide à la prise de décision fondé sur une base de données. (définition DATAWAREHOUSE).
DATAWAREHOUSING: Utilisation du warehouse. (définition DATAWAREHOUSING).
DATAWEB: Datawarehouse interfacé web. (définition DATAWEB).
DATAWINDOW: Standardisation du dialogue avec une base de données, permettantà un même programme associé à une interface d'exploiter divers moteurs de bases de données. (définition DATAWINDOW).
DATEX P: Réseau d?origine allemande réalisant de la commutation de paquet. (définition DATEX P).
DAVID 2: "Digital Audio Video Interactive Decoder", logiciel de pilotage universel des décodeurs de télé interactive, indépendant du matériel. (définition DAVID 2).
DB: "DataBase",soit base de données, utilisé parfois comme extension de nom de fichiers. (définition DB).
DB: Abréviation de décibel, orthographié dB. (définition DB).
DB2: Base de données relationnelle d'IBM. (définition DB2).
DB25: Connecteur à 25 broches pour port parallèle et connexions SCI. (définition DB25).
DBA: "Doing Business As", soit "Faisant affaire dansâ?¦". "Data Base Administrator", soit "administrateur de base de données. (définition DBA).
DBASE II: Nom générique, puis standart de format de stockage d'une famille de SGBD populaire dans les 80's, éditée par Vulcan et éditée par Ashton Tate. (définition DBASE II).
DBASE II: Premier SGBD grand public édité en 1981. (définition DBASE II).
DBASE III: Version de dBase éditée en 1984. (définition DBASE III).
DBCS: "Double Byte Char String", chaà®ne de caractères codés sur deux octets, normalisée dans Unicode. (définition DBCS).
DBD: "DataBase Driver", pilote de base donnée permettant son exploitation par le biais d'une interface d'abstraction. (définition DBD).
DBF: "Dbase File", format de fichier de SGBD de type dBase. (définition DBF).
DBI: "DataBase Interface" interface uniformisée de base de donnée utilisée en Perl. (définition DBI).
DBML: "DataBase Markup Language", langage de balisage de base de données. (définition DBML).
DBMS: "DataBase Management System", terme générique, "Système de Gestion de Base de Données", abrévié en SGBD. (définition DBMS).
DBR: "Dos Boot Record", boot sous DOS. (définition DBR).
DBS: "Direct Broadcasting via Satellite", "Diffusion directe par sattelite". (définition DBS).
DC: "Distributed Computing", "Informatique disribuée". (définition DC).
DCA: Ancienne architecture de réseaux développés par Sperry, fusionné aujourd?hui avec Burroughs. (définition DCA).
DCB: "Décimal Codé Binaire" plus généralement BCD. (définition DCB).
DCC: "Digital Compact Cassette", cassette audio-numérique créée par Philips. "Digital Content Creator", créateur de contenu numérique. (définition DCC).
DCE: Spécifications logicielles permettant de traiter des applications dispersées dans un réseau informatique, développées dans le cadre de l?Open System Foundation. (définition DCE).
DCI: Interface permettant aux animations vidéo de bénéficier de fonctions contenues dans les cartes graphiques, afin d?accélérer le rafraîchissement tout en permettant la re-dimension de la fenêtre. (définition DCI).
DCL: "Digital Command Language", langage de commandes sur VAX conçu par Digital, dont le fichiers exécutables sont désignés par l'extension ".com". (définition DCL).
DCOM: "Distributed Component Object Model", extension de COM supportant les objets sur un réseau, mais ne supportant pas de mécanisme d'héritage, ce qui diminue de fait son intérêt comme modèle objet. (définition DCOM).
DCP: "Device Control Protocols", protocoles établis par Microsoft, de configuration de périphériques. (définition DCP).
DCS 1800: Extension du GSM sur une fréquence de 1800 MHz. (définition DCS 1800).
DCS: Réseau des télégraphes et des téléphones belges, fonctionnant par commutation de paquet. (définition DCS).
DCSSI: "Direction Centrale de la Sécurité des Systèmes d'Information". (définition DCSSI).
DCT: "Discrete Cosine Transform", technique de compression utilisée dans le format JPEG. (définition DCT).
DCTE: Equivalent de l?ETCD en anglais, équipement terminal de circuit de données. (définition DCTE).
DD: "Double Density", "double densité", se dit d'un disque dur. (définition DD).
DD: Commande permettant de copier des blocs de données d'un fichier à un autre tout en le convertissant. (définition DD).
DDE: Norme pour l?échange de fichiers internes dans Windows, permettant des échanges de données entre deux programmes. (définition DDE).
DDI: "DMIF-DMIF Interface", interface entre deux couches DMIF. (définition DDI).
DDL: "Data Definition Language", description de métadonnées en SQL. (définition DDL).
DDML: "Document Definition Markup Language", langage descriptif de schémas pour XML, codant le contenu logique des DTD. (définition DDML).
DDN: "Defence Data Network", réseau de données du DoD. (définition DDN).
DDNS: "Dynamic DNS", "DNS dynamique". (définition DDNS).
DDOS: "Distributed Denial Of Service", "déni de service distribué", utilisation de démons sur différentes machines pour provoquer un déni de service. (définition DDOS).
DDR: "Double Data Rate", type de DDR-SDRAM. "Dial on Demand Routing", technique initiée par Cisco visant à construire un WAN à partir de lignes téléphoniques, de manière sporadique et selon les besoins en transmission. (définition DDR).
DDR466: Synonyme de PC3700. (définition DDR466).
DDRAM: "Double Data Rate RAM", DDR-SDRAM. (définition DDRAM).
DDR-II: Type de DDR-SDRAM de seconde génération somposée de 240 broches. (définition DDR-II).
DDR-SDRAM: "Double Data Rate SDRAM", mémoire de 200 à 266 MHz, composée de 184 broches aussi appelée PC1600 et PC2100. (définition DDR-SDRAM).
DDS: "Digital Data Storage", nom officiel de la DAT. "Digital Data Service", service de données numériques. (définition DDS).
DDWG: "Digital Display Working Group", "groupe de travail sur l'affichage numérique par écran plat" réunissant des industriels en faveur de la norme plug&play; fondée sur TMDS. (définition DDWG).
DE SECOURS: Appellation désignant un dispositif de sauvegarde. (définition DE SECOURS).
DE: "Desktop Environnement", "environnement de bureau. (définition DE).
DE: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Allemagne. (définition DE).
DEAD RAT: "Rat Mort", déformation péjorative de Red Hat. (définition DEAD RAT).
DEAD: Mort, abandonné. (définition DEAD).
DEADLOCK: Interblocage d'un système du fait d'une boucle infinie, ou de deux processus s'attendant mutuellement. (définition DEADLOCK).
DEATH CODE: Routine initialisant toutes les variables d'un système, finissant par se réinitialiser elle-même. (définition DEATH CODE).
DEATHMATCH: Mod multijoueur du titre Doom dont le but est de tuer le maximum d'adversaires. (définition DEATHMATCH).
DEB: Fichier comprenant un paquetage conçu pour être utilisé avec la distribution Debian de Linux. (définition DEB).
DEBIAN: Distribution de Linux caractérisée par un contenu exclusivement issu de lociels libres, à la réalisation élégante, sous format de paquetage de type "deb". (définition DEBIAN).
DEBIANEDU: Distribution de Linux de type Debian adaptée au monde de l'éducation. (définition DEBIANEDU).
DEBIANISTE: Utilisateur de la distribution Debian de Linux. (définition DEBIANISTE).
DEBIT BINAIRE: Débit nécessaire à l?écoute d?un son, c'est-à-dire le nombre de bits nécessaires pendant un intervalle de temps. Cette mesure montre le taux de compression d?un fichier audio, plus le débit binaire est faible, plus la compression est élevée. Un fichier mp3 de bonne qualité possède un débit binaire de 128 kilobits par seconde. (définition DEBIT BINAIRE).
DEBIT: Synonyme de "bande passante", quantité donnée d'informations emprutant un canal de communication donné pendant un intervall de temps donné, exprimée en Mbits/s ou Mbps. (définition DEBIT).
DEBIT: Unité mesurant la vitesse de transmission des données dans une voie de communication. Pour une liaison numérique, il s?agit du nombre de bits transférés en un temps donné. Pour une connexion Internet, le débit s?exprime en kbps (kilobits par seconde). (définition DEBIT).
DEBOGAGE: Action de déboguer un programme. (définition DEBOGAGE).
DEBOGUER: Synonyme de debugger. (définition DEBOGUER).
DEBOGUEUR: Logiciel permettant le débogage d'un programme par l'utilisation de valeurs espionnes ou son exécution pas à pas (définition DEBOGUEUR).
DEBORDEMENT DE TAMPON: Technique d'attaque d'un programme par le biais d'une chaà®ne trop longue pour celui-ci et dont il ne peut contenir la taille lors de son exécution, se produisant dans un tampon. (définition DEBORDEMENT DE TAMPON).
DEBORDEMENT: Erreur dà»e à l'impossibilité de stocker le résultat d'un calcul à l'emplacement désiré du fait de sa taille. (définition DEBORDEMENT).
DEBUGGAGE: Fait de debugger. (définition DEBUGGAGE).
DEBUGGER: Gommer les fautes et les erreurs d'un programme (définition DEBUGGER).
DEC: "Digital Equipment Corporation ", constructeur informatique racheté en 1998 par Compaq. (définition DEC).
DECALE: Plis réalisés parallèlement et effectué à intervalle régulier. (définition DECALE).
DECHIFFREMENT: Opérationfaisant écho au chiffrement, ayant pour but l'obtention de la version originale d'un message précédemment chiffré. (définition DECHIFFREMENT).
DECISIONNEL: Désigne un secteur informatique aidant à la prise de décision dans les entreprises. (définition DECISIONNEL).
DECLARATION DE CONFIDENTIALITE: Document écrit par une entreprise pour décrire les mesures prises concernant la confidentialité, c'est-à-dire les informations recueillies sur leur site web, la diffusion de ces données et les moyens de contrôler ces données par les utilisateurs. (définition DECLARATION DE CONFIDENTIALITE).
DECLARATION: Action ayant comme fin de déclarer des variables dans le but de leur réserver de la place en mémoire. (définition DECLARATION).
DECLARER: Fait de déclarer des variables dans le but de leur réserver de la place en mémoire. (définition DECLARER).
DECLENCHEUR: Dispositif logiciel utilisé entre dans les bases de données permettant le traitement de données suite à des évènements prédéfinis. (définition DECLENCHEUR).
DECNET: Réseau élaboré sur des protocoles propriétaires de DEC et certains protocoles standarts historiques. (définition DECNET).
DECOCHER: Désélectionner un protocole ou un paramètre binaire représenté par une case à cocher. (définition DECOCHER).
DECODAGE: Fait de décomposer les instructions complexes en instructions élémentaires dans une puce CISC. Transcrire des informations codées de manière à leur redonner leur forme d'origine. (définition DECODAGE).
DECODER: Restaurer des données cryptées de manière à leur redonner leur forme initiale. (définition DECODER).
DECODEUR: Appareil transformant un signal d'un type en un signal d'un autre type. Matériel ou logiciel décodant des données. (définition DECODEUR).
DECOMPACTER: Décompresser de données compactées à leur volume initial. (définition DECOMPACTER).
DECOMPATAGE: Décompression de données compactées à leur volume initial. (définition DECOMPATAGE).
DECOMPILATEUR: Classe d'utilitaire décompilant un exécutable. (définition DECOMPILATEUR).
DECOMPILATION: Action de décompiler un programme, visant à en obtenir le code source. (définition DECOMPILATION).
DECOMPILER: Transformer un exécutable, binaire, dans un langage de haut niveau. (définition DECOMPILER).
DECOMPRESSER: Fait de décompacter des données compressées en leur rendant leur volume initial. (définition DECOMPRESSER).
DECOMPRESSION: Action de décompresser. (définition DECOMPRESSION).
DECONNECTER: Par oppostion à se connecter, clore une session. (définition DECONNECTER).
DECONNEXION: Cloture d'une session. (définition DECONNEXION).
DECOUPE: Montage de filets en aciers coupeurs et raineurs utilisé pour le pliage et la découpe de tous ce qui ne peut se faire au massicot. (définition DECOUPE).
DECREMENT: Valeur soustraite à chaque itération d'une boucle. (définition DECREMENT).
DECREMENTER: Imputer une variable d'une valeur. (définition DECREMENTER).
DECRYPTAGE: Action de rendre lisible des données cryptées grâce à la clé de cryptage. (définition DECRYPTAGE).
DECRYPTAGE: Fait de décrypter. (définition DECRYPTAGE).
DECRYPTER: Restaurer des données cryptées de manière à leur redonner leur forme initiale. (définition DECRYPTER).
DECT: Standard européen de radiocommunication vocale en mode point à point, entre un terminal, tel qu?un téléphone, et une station de base. (définition DECT).
DECUS: "DEC USers", groupe des utilisateurs de DEC. (définition DECUS).
DEEE: "Déchets d'à?quipements à?lectriques et à?lectroniques". (définition DEEE).
DEEP LINKING: "Lien profond", fait de tisser des liens d'un site web à un autre. (définition DEEP LINKING).
DEFACEMENT: Fait de défacer. (définition DEFACEMENT).
DEFACER: Marque de piratage consistant à remplacer la page principale d'un site web par une autre page. (définition DEFACER).
DEFACEUR: Personne défaçant un site web. (définition DEFACEUR).
DEFENSIVE: Qualifie une programmation visant à faire crasher un programme. (définition DEFENSIVE).
DEFINITION GRAPHIQUE: Résolution exprimée en nombre de pixels sur la largeur et la hauteur que peut afficher un écran. (définition DEFINITION GRAPHIQUE).
DEFRAGMENTATION: Action visant à défragmenter les fichiers d'une partition ou d'un disque dur par la réunion consécutive des différents secteurs le constituant. (définition DEFRAGMENTATION).
DEFRAGMENTER: Réorganiser le système de fichier d?un disque dur afin de les agencer de manière continue. Permet de réduire les temps d?accès. (définition DEFRAGMENTER).
DEFRAGMENTER: Réunir consécutivement les différents secteurs d'un disque dur ou d'une partition de manière à en optimiser la lecture. (définition DEFRAGMENTER).
DEFRAGMENTEUR: Logiciel servant à défragmenter. (définition DEFRAGMENTEUR).
DEGAUSS: Démagnétisation d'un écran de manière à l'en débarasser d'électrons persistants. (définition DEGAUSS).
DEGLAçAGE: Nettoyage de la courroie d'impression d'une imprimante qui encrassée peut provoquer des bourrages. (définition DEGLAçAGE).
DEGOMMER: Se débarasser de manière radicale d'un élément gênant. (définition DEGOMMER).
DEGRADATION: Dans le domaine des télécoms, diminution de la qualité d'informations. (définition DEGRADATION).
DEGROUPAGE: Retrait du monopole d'Etat de la boucle locale par la libéralisation de celle-ci au profit de différents opérateurs de télécom. (définition DEGROUPAGE).
DEGROUPER: Effectuer le dégroupage d'une ligne téléphonique. (définition DEGROUPER).
DEJA.COM: Service indexant le contenu des archives Usenet notamment de manière nominative, racheté par Google. (définition DEJA.COM).
DEJANEWS: Premier nom de deja.com. (définition DEJANEWS).
DEK: "Data Encryption Key" clef de cryptage et, ou de décryptage de données. (définition DEK).
DEL: "Diode ElectroLuminescente", "LED" en anglais, produisant de la lumière lorsqu'elle est sous tension. (définition DEL).
DEL: Abréviation de "Delete" signifiant "supprimer" en anglais ayant pour équivalent la touche "suppr" sur un clavier français. (définition DEL).
DELIMITATION: Utilisation de délimiteur visant à séparer des informations. (définition DELIMITATION).
DELISTAGE: Suppression du référencement d'une adresse dans un moteur de recherche. (définition DELISTAGE).
DELL: Assembleur informatique ayan un système distribution par le biais de la vente par correspondance. (définition DELL).
DELOCALISER: Supprimer d'un programmedes informations de localisation. (définition DELOCALISER).
DELOGER: Version française de l'expression "délogger". (définition DELOGER).
DELOGGER: Clore une session de travail et quitter un système suite à l'exécution d'un log out. (définition DELOGGER).
DELOGUER: Synonyme de délogguer. (définition DELOGUER).
DELPHI: Kit de développement permettant l'accès aux bases de données Borland proche de super Pascal. (définition DELPHI).
DELTA: Méthode de stockage des variations entre des données, plutot que les données elles-mêmes. (définition DELTA).
DELURKER: Quitter l'état de lurker, à savoir s'exprimer sur un forum. (définition DELURKER).
DEM: Abréviation de modem. (définition DEM).
DEMAGNETISATION: Fait de démagnétiser un écran. (définition DEMAGNETISATION).
DEMAGNETISER: Retirer d'un écran une accumulation d'électrons à l'intérieur de celui-ci. (définition DEMAGNETISER).
DEMARRABLE: Version francisée de l'anglicisme "bootable", qualifiant un périphérique à partir duquel un ordinateur peut être démarrer. (définition DEMARRABLE).
DEMARRAGE A CHAUD: Version francisée de l'anglicisme "reboot",désignant le redémarrage d'un ordinateur sans l'extinction de celui-ci, généralement suite au plantage de dernier. (définition DEMARRAGE A CHAUD).
DEMI TEINTE: Illustration sans trame avec des dégradés ou des nuances de gris. (définition DEMI TEINTE).
DEMINEUR: Jeu de logique consistant à découvrir sur un tableau, de proche en proche, des mines et à indiquer leur emplacement avant de les faire éclater. (définition DEMINEUR).
DEMO TECHNOLOGIQUE: Version limitée d'un jeu servant de support à la démonstration de ses capacités. (définition DEMO TECHNOLOGIQUE).
DEMO: Abréviation de "démonstration", programme de virtuosité et d'effets visuels et, ou sonores. Désigne aussi une version bridée ou inachevée d'un logiciel, distribuée en vue de tests. (définition DEMO).
DEMODULATION: Conversion en données numériques d'un signal analogique modulé. (définition DEMODULATION).
DEMOFREAK: Synonyme de "démomaker" avec cependant comme nuance une conotation frénétique. (définition DEMOFREAK).
DEMOMAKER: Créateur démos, programmeur, graphiste ou musicien. (définition DEMOMAKER).
DEMON: A l'origine DAEMON, soit " Disk and Execution MONitor" , programme de tâche de fond du système sous Unix, communément désigné par le teme de driver sous d'autres systèmes. Peut aussi désigner un sous-programme désigné par l'abréviation DLL. (définition DEMON).
DEMONTER: Faire en sorte qu'un disque ne soit plus reconnu par un système dans le but de le changer, vérifier sa structure ou le réparer, sans risque pour l'intégrité de ses données. (définition DEMONTER).
DEMULTIPLEXAGE: Séparation de communications multiplexées. (définition DEMULTIPLEXAGE).
DEMUX: Contraction du terme "démultiplexage". (définition DEMUX).
DEN: "Directory Enabled Networking", répertoire apte à la mise en réseau. (définition DEN).
DENI DE SERVICE: Attaque visant à saturer un système de fausses requêtes dans le but d'empêcher les véritables requêtes d'être servies. (définition DENI DE SERVICE).
DENSITE LINEAIRE: Désigne la quantité de données inscriptibles sur une piste, une disquette ou un disque. (définition DENSITE LINEAIRE).
DENSITE: Désigne une certaine quantité de données. (définition DENSITE).
DENSITOMETRE: Appareil qui permet la mesure de densité d?une couleur. (définition DENSITOMETRE).
DENTRO: Synonyme de démo, chargée en une seule fois en mémoire, dont les parties s'enchaà®nent automatiquement sans intervention possible du spectateur. (définition DENTRO).
DEPARTMENTAL: Qualifie un serveur dédié à un département au sein d'une entreprise. (définition DEPARTMENTAL).
DEPASSEMENT: Traduction d'"overflow", opérations nécessitant une précision excédant celle que peut supporter un système. (définition DEPASSEMENT).
DEPENDANCE: Lien unssant certains paquetages ayan besoin les uns des autres pour un fonctionement correct. (définition DEPENDANCE).
DEPILER: Synonyme de désempiler, enlever un élément du sommet d'une pile. (définition DEPILER).
DEPLIER: Synonyme de décompacter. (définition DEPLIER).
DEPLOIEMENT: Fait de mettre en place un nouveau système ou un nouveau logiciel. (définition DEPLOIEMENT).
DEPLOMBER: Retirer d'un programme sa protection physique ou logique de manière à le copier facilement. (définition DEPLOMBER).
DEPLOMBEUR: Personne déplombant des programmes. (définition DEPLOMBEUR).
DEPLOYER: Procéder à la mise en place d'un nouveau système. (définition DEPLOYER).
DEPOMBAGE: Fait de déplomber un logiciel. (définition DEPOMBAGE).
DEPORT D'AFFICHAGE: Transmission via un réseau de l'affichage d'un écran vers un autre, principalement dans le cas de terminaux. (définition DEPORT D'AFFICHAGE).
DEPOT LEGAL: Obligation faite à un imprimeur ou un éditeur de déposer un ou plusieurs exemplaires d?un document à l?administration. (définition DEPOT LEGAL).
DEPOTAGE: Se dit du fait de rapatrier et de décompresser une archive. (définition DEPOTAGE).
DEPROTEGER: Retirer la protectin d'un programmeou du support de celui-ci. (définition DEPROTEGER ).
DEREGLEMENTATION: Désengagement d'un de ses monopoles par l'Etat au profit de la libre concurrence. (définition DEREGLEMENTATION).
DERNIER KILOMETRE: Ultime distance de câble séparant l'abonné du réseau téléphonique, généralement appelé boucle locale. (définition DERNIER KILOMETRE).
DEROULANT: Se dit d'un menu apparaissant par un clic de la souris sur le titre de sa fenêtre, vers le bas ou le haut. (définition DEROULANT).
DEROULER: Se dit d'une fenêtre que l'on restaure après l'avoir enroulée. (définition DEROULER).
DEROULEUR A BANDE: Version française du mot anglais streamer, ou tape drive. (définition DEROULEUR A BANDE).
DEROUTEMENT: Action de dérouter. (définition DEROUTEMENT).
DEROUTER: Détourner, suite à une erreur, l'exécution d'un programme. (définition DEROUTER).
DERUSHAGE: Anglicisme désignant le tri des enregistrements sur une cassette vidéo. (définition DERUSHAGE).
DERUSHER: Fait de réaliser un dérushage. (définition DERUSHER).
DES: "Data Encryption Standard", outil de cryptographie du gouvernement américain mis au point par IBM dans les 70's. (définition DES).
DES: "Directory Service Entry", entrée d'une arborescence LDAP. (définition DES).
DESABONNER: Annuler un abonnement à une liste de diffusion ou à un forum Usenet. (définition DESABONNER).
DESACTIVER: Faire cesser un processus, rendre non-opérationnelle une option, isoler l'action d'un virus. (définition DESACTIVER).
DESARCHIVAGE: Fait de désarchiver. (définition DESARCHIVAGE).
DESARCHIVER: Extraire d'une archive un fichier en vue de sa consultation ou de sa modification, sans notion de supression. (définition DESARCHIVER).
DESASSEMBLAGE: Opération qui consiste à remettre sous forme d?origine les informations transmises par un réseau à commutation de paquet. (définition DESASSEMBLAGE).
DESASSEMBLAGE: Rétrotechnique visant à désassembler un morceau de code exécutable. (définition DESASSEMBLAGE).
DESASSEMBLER: Fait d'utiliser un désassembleur sur un programme exécutable. (définition DESASSEMBLER).
DESASSEMBLEUR: Programme visant à retrouver le code assembleur d'un autre programme à partir de son code exécutable. (définition DESASSEMBLEUR).
DESAUTHENTIFICATION: Fait d'abandonner les privilèges acquis lors de l'authentification. (définition DESAUTHENTIFICATION ).
DESCENDANT: Se dit d'une compatibilité lorsque les sorties d'un système plus récent peuvent être lues par un système plus ancien. (définition DESCENDANT).
DESCENDRE: Se dit d'un fichier lorsue celui-ci se trouve être téléchargé à partir d'un serveur. (définition DESCENDRE).
DESCHUTES: Nom de code des processeurs Intel Pentium II. (définition DESCHUTES).
DESCRIPTEUR: Enregistrement d'un fichier indiquant sa méthode de stockage et, ou la structure de son contenu. (définition DESCRIPTEUR).
DESELECTIONNER: Annuler la sélection d'un élément. (définition DESELECTIONNER).
DESEMPILER: Synonyme de dépiler. (définition DESEMPILER).
DESERIALISATION: Opération qui consiste à transformer un communication série (bits transmis les uns à la suite des autres) en une communication parallèle (bits tansmis en même temps sur plusieurs voie de communication). (définition DESERIALISATION).
DESIMLOCKAGE: Libérer du simlockage un téléphone portable. (définition DESIMLOCKAGE).
DESINFECTANT: Programme visant à éradiquer un virus. (définition DESINFECTANT ).
DESINFECTER: Eradiquer un virus. (définition DESINFECTER ).
DESINSTALLATEUR: Synonyme de désinstalleur. (définition DESINSTALLATEUR).
DESINSTALLATION: Opération visant à désinstaller un programme. (définition DESINSTALLATION).
DESINSTALLER: Retirer d'un système un logiciel. (définition DESINSTALLER).
DESINSTALLEUR: Programme visant à désinstaller un logiciel d'un système. (définition DESINSTALLEUR).
DESKTOP: Type de boà®tier d'ordinateur désignant par extension un ordinateur de bureau. Désigne aussi le bureau, à savoir le fond d'écran d'une interface graphique. (définition DESKTOP).
DESPAMMEUR: Individu luttant contre le spamming. (définition DESPAMMEUR).
DESSIN VECTORIEL: Dessin effestcué à partir de vecteurs, permettant son redimensionnement à volonté sans effet d'escalier. (définition DESSIN VECTORIEL).
DESSINEUR: Classe de programme désignant un logiciel de dessin. (définition DESSINEUR).
DEST: Diplôme d'enseignement supérieur technique. (définition DEST).
DESTRUCTEUR: Format de fichier visant à simplifier ses données pour permettre un meilleur compactage de celles-ci, entraà®nant toutefois une perte d'informations. Désigne un virus détruisant les donnée du système quil affecte. (définition DESTRUCTEUR).
DESX: "Data Encryption Standard Xored", algorithme de cryptage basé sur le DES. (définition DESX).
DETACHER: Se désengager d'une communication multipoint. (définition DETACHER).
DETARER: Désarchiver des fichiers d'une archive .tar. (définition DETARER).
DETARRER: Synonyme de détarer. (définition DETARRER).
DETECTION CNG: Technique d'impression consistant à utiliser un télécopieur en guise d'imprimante sur un ordinateur. (définition DETECTION CNG).
DETOURAGE: Fait de déterminer sous un logiciel de retouche photo, un élément ou un objet d'une photo à l'aide d'outil te lque la baguette magique ou le cutter. (définition DETOURAGE).
DETOURER: Fait d'exécuter un détourage. (définition DETOURER).
DETRAMAGE: Dispositif permettant de retirer d'une image numérisée les trames. (définition DETRAMAGE).
DETROMPEUR: Encoche faite sur le coté d'une pise pour en interdire son branchement à l'envers. (définition DETROMPEUR).
DETRUIRE: Effacer d'un disque un fichier. (définition DETRUIRE).
DEV: Abréviation de "device", périphérique, désignant par extension sous Unix des fichiers d'accès aux périphériques. Abréviation de développement. (définition DEV).
DEVELOPPEMENT ITERATIF: Développement pour lequel est développé un prototype à destination des utilisateurs de sorte qu'ils puissent préciser ses spécifications futures. (définition DEVELOPPEMENT ITERATIF).
DEVELOPPEMENT: Synonyme de programmation. (définition DEVELOPPEMENT).
DEVELOPPER: Synonyme de programmer. Désigne aussi le fait d'afficher dans une arborescence les niveaux inférieurs. (définition DEVELOPPER).
DEVELOPPEUR: Synonyme de programmeur. (définition DEVELOPPEUR).
DEVERMINAGE: Action de déverminer. (définition DEVERMINAGE).
DEVERMINER: Synonme de debugger, utilisé aussi pour le fait d'éradiquer un virus. (définition DEVERMINER).
DEVFS: "Device File System" système de fichiers virtuels pour l'accès aux périphériques sous Linux. (définition DEVFS).
DEVICE: Version anglaise pour périphérique. (définition DEVICE).
DEVIDEUR A BANDE: Version francisée du terme anglais de streamer. (définition DEVIDEUR A BANDE).
DEZIPPER: Déplier une archive compessée au format .zip. (définition DEZIPPER).
DEZONAGE: Opération de modification d'un lecteur de DVD de manière à ce qu'il puisse lire des disues provenant de toutes les zones. (définition DEZONAGE).
DEZONER: Procéder au dézonage d'un DVD. (définition DEZONER).
DF: "Don't Fragment", "ne pas fragmenter" bit d'entête incitant à ne pas fragmenter un paquet. (définition DF).
DFA: "Deterministic Finite-state Automaton", "automate à états finis déterministe". (définition DFA).
DFS: "Distributed File System", "système de fichier distribué" permettant à un client d'utiliser le système de fichier d'un serveur comme s'il s'agissait du sien. "Depth First Search", variante du spanning tree oà¹le graphe est dans un premier temps parcouru en profondeur. (définition DFS).
DGPT: "Direction Générale des Postes et Télécommunications". (définition DGPT).
DGT: Direction Générale des Télécommunications. Prédécesseur de France Telecom jusqu?en 1986. (définition DGT).
DGXIII: "Direction Générale des Télécommunications, du Marché de l'Information et de l'Exploitation de la Recherche". (définition DGXIII).
DHCP: "Dynamic Host Configuration Protocol", protocole d'attibution dynamique des adresses IP sur un réseau, de manière à obtenir un nombre plus important de erminaux que d'adresses, basé sur bootP. (définition DHCP).
DHCPV6: "Dynamic Host Configuration Protocol version 6", DHCP adapté à IPv6. (définition DHCPV6).
DHRYSTONE: Benchmark visant à mesurer des performances de calcul entier dans les caches de second niveau, en ADA, Pascal et C, conçu par Reinhold Weicker. (définition DHRYSTONE).
DHTML: Dynamic HTML. Permet de rendre une page HTML dynamique grâce à de nouvelles fonctionnalités. (définition DHTML).
DI: "Data Interchange", échange de données. (définition DI).
DIADIQUE: Désigne une fonction dont la valeur de retour dépend de plusieurs paramètres. (définition DIADIQUE).
DIAGONALE: Longueur de la diagonale du tube d'un écran, désignant par extension celle d'un écran, exprimée en pouces d'une valeur unitaire de 2,5 cm. (définition DIAGONALE).
DIAGRAMME DE GANTT: Du nom de son créateur Henry L. Gantt en 1917, diagramme permettant la représentation des besoins de ressources en fonction du temps, par l'intermédiaire d'une liste de tâches figurées par des lignes horizontales, pour la mise en place d'un projet,encore utilisé de nos jours par les logiciels de gestion de projet. (définition DIAGRAMME DE GANTT).
DIALECTE: Variante quasi identique d'un système avec la référence, mais suffisamment différent pou créer quelques problèmes. (définition DIALECTE).
DIALER: Logiciel visant à composer des numéros de téléphone. (définition DIALER).
DIALOGUE: Synonyme de boà®te dialogue en matière de protocoles. (définition DIALOGUE).
DIAL-UP: Connexion via une ligne téléphonique à un réseau. (définition DIAL-UP).
DIAPHONIE: Anomalie due à des interférences entre deux canaux de communication. (définition DIAPHONIE).
DIB: Device Independent Bitmap. Format d?image sans aucune compression de type bitmap. (définition DIB).
DIBIT: Ensemble de deux bits. (définition DIBIT).
DIBOL: "DIgital Business Oriented Language". (définition DIBOL).
DIC: Extension des fichiers contenant un dictionnaire. (définition DIC).
DICHOTOMIE: Algorithme de recherche dans un ensemble ordonné partagé en deux à chaque itération. (définition DICHOTOMIE).
DICT: Démon exploitant le protocole DICT. (définition DICT).
DICT: Protocole visant à interroger des dictionnaires dans un réseau TCP/IP. (définition DICT).
DICTIONNAIRE DE MOTS DE PASSE: Compilation regroupant l'ensemble des expressions communément employées en guise de mots de passe comme des noms, prénoms, dates de naissance, etc... (définition DICTIONNAIRE DE MOTS DE PASSE).
DICTIONNAIRE: Ensemble des données contenues dans un warehouse, pouvant aussi contenir le mode d'emploi de celui-ci. (définition DICTIONNAIRE).
DIDACTICIEL: Logiciel visant à l'apprentissage, d'un autre logiciel parfois, synonme de tutoriel. (définition DIDACTICIEL).
DIDS: Standard d?échange d?information numérique EDI dans le domaine maritime. (définition DIDS).
DIE: En français matrice, portion d'un wafer sur laquelle sont gravés les circuits d'une puce. (définition DIE).
DIEU: Utilisateur d'un système ayant tous les droits sur celui-ci, en général son administrateur. (définition DIEU).
DIF: "Directory Interchange Format" standart descriptif de données, pour la création d'entrées de répertoire. (définition DIF).
DIFF: Commande permettant de déterminer la ou les différences entre deux fichiers par le biais d'une comparaison caractère par caractère. (définition DIFF).
DIFFERENCE: Soit deux ensembles A et B, la différence de ces ensembles est l'ensemble des éléments A qui ne sont pas dans B. (définition DIFFERENCE).
DIFFERENTIATEUR: Circuit intégré dont la sortie est la dérivée du dignal d'entrée. (définition DIFFERENTIATEUR).
DIFFIE-HELLMAN: Algorithme d'échange de clés de chiffrement à clé publique. (définition DIFFIE-HELLMAN).
DIFFUSION EN CONTINU OU STREAMING: Emission d?un fichier audio ou vidéo par Internet vers un lecteur client, qui peut commencer la lecture sans attendre la fin du téléchargement. (définition DIFFUSION EN CONTINU OU STREAMING).
DIGERER: Réside dans le traitement d'instructions et de données à caractère très fortement discontinu par un ordinateur semblant entraà®ner des difficultés voir des hoquetements pour ce dernier. (définition DIGERER).
DIGICASH: Société néerlandaise de paiement électronique garantissant par son système breveté Ecash le caractère privé des transactions d'un acheteur. (définition DIGICASH).
DIGIT: "DIGital unIT", élément d'information numérique désignant en réalité un simple chiffre. (définition DIGIT).
DIGITAL: Confondu avec le terme "numérique" désigne en réalité ce qui affère aux doigts. (définition DIGITAL).
DIGITAL: Nom courant de "DEC", "Digital Equipment Corporation", compagnie informatique rachetée en 1998 par Compaq. (définition DIGITAL).
DIGITALISATION: Transposition sous forme magnétique d?une image par bipolarisation. (définition DIGITALISATION).
DIGITALISER: Synonyme de numériser. (définition DIGITALISER).
DIGIZINE: Magazine au mode de diffusion électronique. (définition DIGIZINE).
DIJKSTRA, EDSGER: (1930, 2002) . Mathématicien, développeur du langage ALGOL dans les 50's, lauréat du prix Turing de l'ACM en 1972. (définition DIJKSTRA, EDSGER ).
DIKU: "Do I Know U?", "Te connais-je?". (définition DIKU).
DILBERT: Inforamticien de la Silicon Valley, héros de bande-dessinée créé par Scott Adams. (définition DILBERT).
DILEMME DU PRISONNIER: Problème dit "itéré", dans lequel deux malfaiteurs interrogés par la police sont confrontés à deux possiblités, à savoir trahir ou non son comparse. Si les deux trahissent, chacun perd un peu, si les deux restent fidèles, les deux gagnent beaucoup, si un seul trahi, il gagne un peu et l'autre perd beaucoup. Ce dilemme est dit "itéré" quand le choix de trahir ou coopérer est répété. (définition DILEMME DU PRISONNIER).
DIM: "Desktop Information Manager", programme intégrant divers fonctionnalités d'organisation telles que le bloc-note, l'agenda, le mémo, le carnet d'adresse, etc... (définition DIM).
DIME: "Direct Internet Message Encapsulation", clone de MIME défendu par IBM et Microsoft. (définition DIME).
DIN: Institution allemande en charge de la normalisation, affilié à l?ISO, son équivalent international. (définition DIN).
DINGBATS: Traduit littéralement par "andouille", voire "imbécile", désignant une série de symboles servant à créer des puces, ou attirer le regard du lecteur sur un point important. (définition DINGBATS).
DIODE: Composant électronique ne laissant circuler le courant électrique que dans un sens. (définition DIODE).
DIPC: "Distributer Inter Process Communication", mécanisme de fonctionnement d'IPC dans un réseau. (définition DIPC).
DIPC: "Dual Inline Pin Switch", micro-commutateur permettant le paramètrage de matériel électronique. (définition DIPC).
DIR: "Department Of Information Ressources", équivalent généraliste d'un service informatique. ".dir", extension de fichier contenant une animation Director. (définition DIR).
DIR: Commande DOS, VMS et Unix, permettant l'affichage du contenu d'un répertoire courant. (définition DIR).
DIRECT HIT: Méthode permettant de mesurer la renommée d?un site, développé par le moteur de recherche HotBot. (définition DIRECT HIT).
DIRECTDRAW: Norme d'affichage mise au point par Microsoft et Intel permettant le traitement d'images directement par la carte graphique sans intervention du processeur. (définition DIRECTDRAW).
DIRECTIVE DE COMPILATION: Instruction issue du code du programme inutile à la résolution d'un problème particulier, mais nécessaire au compilateur pour s'exécuter dans un cas particulier. (définition DIRECTIVE DE COMPILATION).
DIRECTIVE DE L UNION EUROPEENNE SUR LA PROTECTION DES DONNEES: Directive régularisant la transmission de donnée personnelle depuis un pays membre de l?union européenne vers l?extérieure. (définition DIRECTIVE DE L UNION EUROPEENNE SUR LA PROTECTION DES DONNEES).
DIRECTIVITE: Paramètre d?un système à diffusion, tel qu?une enceinte ou un écran, qui détermine l?angle avec lequel il est possible de profiter du média. Plus la directivité est grande plus il est possible de s?écarter de l?axe d?émission. (définition DIRECTIVITE).
DIRECTORY: Traduction anglaise de "répertoire". (définition DIRECTORY).
DIRECT-TO-DISK: Enregistrement de données en temps réel sur le disque dur (définition DIRECT-TO-DISK).
DISA: "Defense Information System Agency", agence américaine des systèmes d'information de l'armée, testant des sites sensibles par intrusion discrète. "Data Interchange Standards Association", oragnisatin à but non-lucratif en relation avec l'ANSI. (définition DISA ).
DISC: Traduction de "disque", dans le cas d'un CD, à ne pas confondre avec "Disk", désignant un disquette. (définition DISC).
DISCLAIMER: Texte d'entête d'un manuel d'utilisation de logiciel par lequel l'auteur se désengage de toute responsabilité face aux dégâts que son programme pourrait causer à l'utilisateur. (définition DISCLAIMER).
DISCLOSURE: Méthode de sécurité consistant en une transparence totale. (définition DISCLOSURE).
DISCUTER: S'applique à un modem, une carte réseau dont les LEDs clignotent. (définition DISCUTER).
DISK ARRAY: Multiconnexion de plusieurs disques durs, reconnue comme un seul disque par un système d'exploitation, en vue d'améliorer sa sécurité, ses performances ou une éventuelle tolérance aux pannes. (définition DISK ARRAY).
DISK DUPLEXING: "Duplexage de disques", enregistrement de données en simultané sur deux disques, chacun utilisant son propre controleur, laissant transparaà®tre à l'utilisateur l'utilisation d'un unique disque. (définition DISK DUPLEXING).
DISK MIRRORING: "Disques en miroir", enregistrement des mêmes données sur deux disques en même temps par le biais d'un unique controleur. (définition DISK MIRRORING).
DISK SCRUBBING: Opération visant à la maintenance des disques durs, réalisée périodiquement par des gestionnaires de disque nettoyant les systèmes de fichiers, recherchant des fichiers corrompus, des secteurs défectueux ou encore remettant en place les redondances nécessaires au fonctionnement d'un disque lorsque celui-ci a du être changé. (définition DISK SCRUBBING).
DISK: Désigne en anglais une disquette. (définition DISK).
DISKETTE: Synonyme de "flopppy", équivalent anglais de disquette. (définition DISKETTE).
DISKMAG: Fanzine distribué par le biais d'un support disquette ou CD-ROM. (définition DISKMAG).
DISOSS: Suite de logiciels de bureautique développée par IBM pour les sites centraux, fonctionne avec le système d?exploitation VM. (définition DISOSS).
DISP: "Direct Information Shadowing Protocol", protocole de réplicationet de synchronisation d'annuaires X500. (définition DISP).
DISPATCHEUR: Traduction de "scheduler", synonyme d'ordonnanceur. (définition DISPATCHEUR).
DISPLACEMENT MAPPING: Technique de modification géométrique d'une surface par ajout de polygones, proche du bump mapping. (définition DISPLACEMENT MAPPING).
DISPLAY MANAGER: Aussi appelé bannière de login, programme gérant différents "displays", c'est-à-dire l'affichage de serveurs auxquels la connexion est possible. (définition DISPLAY MANAGER).
DISPONIBILITE: Désigne un système capable de fonctionner de manière quasi-permanente. (définition DISPONIBILITE).
DISQUE A ETAT SOLIDE: Périphérique de mémoire de masse similaire à un dique dur, mais ne contenant aucune partie mécanique mobile, et bien plus rapide car composé de mémoire vive, d'un bus et d'une CPU. (définition DISQUE A ETAT SOLIDE).
DISQUE DUR: Pérphérique de stockage composé d'un ensemble de disques rigides empilés autour d'un axe et dont la rotation permet l'accès aux données. (définition DISQUE DUR).
DISQUE MOU: Ordinateur de science-fiction stockant un cerveau humain. (définition DISQUE MOU).
DISQUE NUMERIQUE POLYVALENT: Traduction française de l'abréviation anglaise DVD. (définition DISQUE NUMERIQUE POLYVALENT).
DISQUE VIRTUEL: Fonctionnement d'un disque dur simulé par la mémoire vive. (définition DISQUE VIRTUEL).
DISQUE: Terme générique synonyme de mémoire de masse désignant aussi bien un disque dur, un disquette ou un CD-ROM. (définition DISQUE).
DISQUETTE SYSTEME: Disquette contenant les fichiers essentiels à un système d'exploitation et permettant le cas échéant son démarage. (définition DISQUETTE SYSTEME).
DISQUETTE: Support de sauvegarde magnétique composé d'un rondelle de plastique couverte d'oxyde de fer enchassée dans un cache de plasique carré, dont la taill et la capacité varient de 1,44 mo pour 3,5 pouces à 2,88 Mo et jusqu'à 5 pouces un quart. (définition DISQUETTE).
DISQUETTING: Création d?un produit sur disquette. (définition DISQUETTING).
DISSI: "Délégation Interministérielle pour la Sécurité des Systèmes d'Information", organisme d'Etat consacré à la cryptographie dissout en 1996. (définition DISSI).
DISSIPATEUR THERMIQUE: Dispositif mécanique visant à dissiper la chaleur émise par un transistor, une puce ou un processeur, généralement en métal et composé d'ailettes. (définition DISSIPATEUR THERMIQUE).
DISSIPATEUR: Abréviation pour dissipateur thermique. (définition DISSIPATEUR).
DISTANCE DE HAMMING: Nombre distinct de bits dans une comparaison bit-wise, servant à la correction de certaines erreurs de transmission. (définition DISTANCE DE HAMMING).
DISTANT: Se dit d'un système qui se trouve éloigné géographiquement de son uilisateur. (définition DISTANT).
DISTRIBE: Abréviation populaire de distribution. (définition DISTRIBE).
DISTRIBUE: Par opposition à une architecture de type client-serveur, qualifie l'architecture d'un réseau ou d'un environnement dans lequel les ressources ne sont pas réunies en un même endroit ou ordinateur mais dépendent toutes d'un même centre, nécessitant par là un administrateur système. (définition DISTRIBUE).
DISTRIBUER: En typographie, replacer les caractères dans leur cassetin initial. (définition DISTRIBUER).
DISTRIBUTIEL: Version française de shareware. (définition DISTRIBUTIEL).
DISTRIBUTION SELECTIVE: Version française de "push". (définition DISTRIBUTION SELECTIVE).
DISTRIBUTION: Totalité des supports de données nécessaires à l'utilisation d'un logiciel. (définition DISTRIBUTION).
DISTRO: Abréviation de "distribution", plus rarement de "distributeur". (définition DISTRO).
DISTSITE: Site permettant la distribution d'un logiciel, contraction de "ditribution site". (définition DISTSITE).
DIT: "Direction de l'Informatique et des Télécommunications", soit un service informatique. Désigne aussi une arborescence hiérarchisée d'informations dans un annuaire LDAP. (définition DIT).
DITHERING: Technique pouvant être traduite par "diffusion", résidant en un algorihme consistant dans le traitement d'images numériques par l'extrapolation du nombre de couleurs qu'une image contient au départ. (définition DITHERING).
DIVX: DivX est une marque déposée correspondant originellement à un codec vidéo propriétaire basé sur MPEG-4 proposé par DivX Inc. (anciennement DivXNetworks, Inc.), connu pour sa capacité à compresser de longs et gros (plusieurs gigaoctets) fichiers vidéo en fichiers bien plus légers (quelques centaines de mégaoctets). (définition DIVX).
DIZ: "Description In Zip", fichier texte decriptif du contenu d'une archive Zip. (définition DIZ).
DJ: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à Djibouti. (définition DJ).
DK: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Danemark. (définition DK).
DL: "DispLay", format DOS de fichier d'animation graphique. "Dynamic Library", synonyme de DLL. (définition DL).
DLC: "Data Link Control". (définition DLC).
DLCI: "Data Link Control Identifier", canaux de communication semi-permanents similaires à des trames. (définition DLCI).
DLL: Dynamically Linked Library. Bibliothèques de primitives développées sous Windows, pouvant être utilisée par plusieurs programmes. (définition DLL).
DLP: Digital Light Processing. Méthode de projection vidéo développée par Texas Instrument, elle utilise une multitude de micro miroirs qui reflètent la lumière de l?image. (définition DLP).
DLS: "DownLoadable Sounds", standart de la MMA permettant l'extension à volonté l'ensemble normal des sons GM. (définition DLS).
DLT: "Digital Linear Tape", type de stockage de données sur bande développé par Quantum. (définition DLT).
DM: "Display Manager". "DataMart". "DeathMatch". (définition DM).
DM: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à la Dominique. (définition DM).
DMA SLAVE: Périphérique dit "esclave", nécessitant l'utilisation de DMA pour son fonctionnement, ne disposant pas de controleur propre. (définition DMA SLAVE).
DMA: Direct Memory Access. Procédé qui permet à un périphérique d?accéder directement à la mémoire vive sans occuper de ressources processeurs. (définition DMA).
DMCA: "Digital Millenium Copyright Act", loi américaine visant à interdire tout système permettant le contournement de dispositif de lutte contre la copie de matériel partagé. (définition DMCA).
DMD: "Digital Micromirror Device", dispositif composé de millions de mico-miroirs pivotant autour d'une puce, permettant la projection d'une image. (définition DMD).
DME: Distributed Management Environment. Ensemble de programmes développés par l?OSF afin de standardiser la gestion des machines et des réseaux dans un système ouvert. (définition DME).
DMF: "Distribution Media Format", format Microsoft pour l'enregistrement de 1,68 Mo de données sur disquette ne pouvant en contenir que 1,44, pour la distribution et la lutte contre la copie, de logiciels. (définition DMF).
DMG: "Dungeon Master's Guide", guide pour le jeu de plateau Dungeon Master, "Digital Map Generator". (définition DMG).
DMI: Desktop Management Interface. Interface permettant de gérer à la fois le matériel et les logiciels présents sur un ordinateur. (définition DMI).
DMIF: "Delivery Multimedia Integration Framework", couche d'abstraction du format MPEG4, visant à ce que les applications l'utilisant n'aient pas à gérer le transport de données sur un réseau. (définition DMIF).
DMIPS: "Dhrystone MIPS", dans le standart Drhystone, un million d'instructions par seconde. (définition DMIPS).
DMLT: "Distributed Multi Link Trunk". (définition DMLT).
DMS: "Digital Multiplex System", système d multiplexage numérique. (définition DMS).
DMT: Abréviation rare de datamart. (définition DMT).
DMTF: Distributed Management Task Force. Standard d?administration des ordinateurs. (définition DMTF).
DMZ: "DeMitilarized Zone", zone tampon d'un intranet sécurisé de manière intermédiaire entre l'intérieur et l'extérieur. (définition DMZ).
DNA: Structure de communication développée par Digital Equipment Corporation. Elle prend en charge les protocoles des réseaux Decnet et Ethernet. (définition DNA).
DND: "Drag aNd Drop", abréviation anglaise de glisser-déposer. (définition DND).
DNS DYNAMIQUE: DNS pouvanr s'adapter à une IP dynamique telle que celle que peut attribue à chaque ouverture de session un FAI. (définition DNS DYNAMIQUE).
DNS: Domain Name System. Serveur spécial qui permet de faire correspondre une adresse Web avec une adresse physique comme une adresse IP. (définition DNS).
DNSO: "Domain Names Supporting Organization", groupe de l'ICANN oeuvrant à laattribution et à la régulation des noms de domaine sur l'Internet. (définition DNSO).
DO CO MO: Opérateur japonais de télécoms. (définition DO CO MO).
DO: Instruction commuen à plusieurs langages indiquant le début d'une boucle. A la fin d'une URL, signale que le site est basé en République Dominicaine. (définition DO).
DOC: Abréviation pour document, désigne aussi l'extension de fichier d'un document issu d'un traitement de texte. "Disque Optique Compact", désignation officielle de l'académie française pour CD-ROM. Abréviation pour documentation. (définition DOC).
DOCBOOK: Utilisée particulièrement dans la documentation de Linux, DTD XML/SGML décrivant des ouvrages ou documentations traitant d'informatique. (définition DOCBOOK).
DOCK: Proche du wharf sous Linux, équivalent sous Windows des icones permettant l'accès aux applications système. (définition DOCK).
DOCKABLE: Désigne une application qui peut être déplacer vers un Dock avec une souris. (définition DOCKABLE).
DOCSIS: "Data Over cable Service Interface Specification", standart pour modem spécifiant sur réseau câblé le transfert à haut débit de données. (définition DOCSIS).
DOCTEUR WATSON: Utilitaire de Windows permettant l'analyse des détails des conditions d'un crash. (définition DOCTEUR WATSON).
DOCUMENT D?EXECUTION: Document original destiné à être imprimé avant reproduction. (définition DOCUMENT D?EXECUTION).
DOCUMENTATION EN LIGNE: Documentation d'aide en ligne par l'intermédiaire de liens hypertextes. (définition DOCUMENTATION EN LIGNE).
DOCUMENTATION MAGNETIQUE: Synonyme de documentation en ligne, définie ici par son support et non par son mode d'accès. (définition DOCUMENTATION MAGNETIQUE).
DOCUMENTATION: Texte en version papier expliquant le fonctionnement d'un matériel ou d'un logiciel. (définition DOCUMENTATION).
DOCUMENTER: Fournir à un utilisateur des informations sur le mode de fonctionnement d'un programme, d'une routine ou de leurs paramètres. (définition DOCUMENTER).
DOCZILLA: Navigateur basé sur Mozilla. (définition DOCZILLA).
DOD: Department of Defense. Ministère de la défense aux Etats-Unis. (définition DOD).
DOI: "Document Oriented Inteface", interface orientée document, terme caractérisant la majorité des interfaces graphiques. (définition DOI).
DOLBY DIGITAL 5.1: Standard audio qui permet la diffusion sur cinq voies indépendantes : deux voies à l?avant, deux à l?arrière, une centrale. Une dernière enceinte est ajoutée pour la reproduction des basses. Ce système permet de reproduire le Dolby Srd qui est le système sonore des salles de cinéma. (définition DOLBY DIGITAL 5.1).
DOLBY DIGITAL EX: Evolution du standard audio DOLBY DIGITAL 5.1. Une voie supplémentaire est ajoutée entre les deux enceintes arrières pour des effets encore plus spectaculaires. (définition DOLBY DIGITAL EX).
DOLBY PROLOGIC 2: Evolution du DOLBY PROLOGIC. Le son stéréo est cette fois reproduit sur 5 voies indépendantes et permet d?améliorer les effets arrières. (définition DOLBY PROLOGIC 2).
DOLBY PROLOGIC: Processus analogique permettant de former un son surround (4 voies) à partir d?un signal stéréo (2 voies). (définition DOLBY PROLOGIC).
DOLLAR: Nom du caractère "$", unité monétaire des USA. (définition DOLLAR).
DOLPHIN: Console de jeu Nintendo commercialisée en 2000 sous le nom de GameCube, fabriquée par IBM autour d'un processeur PowerPC G4. (définition DOLPHIN).
DOM 1: "Document Object Model level 1". (définition DOM 1).
DOM: Document Object Model. Modèle de document indépendant de tous les langages de programmation et de toutes les plates-formes. (définition DOM).
DOMAIN NAME SERVER: Serveur permettant d'obtenir l'adresse IP d'un site sur internet à partir de son nom en toute lettre. (définition DOMAIN NAME SERVER).
DOMAIN NAME SYSTEM: Expression désignant tout autant l'ensemble des serveurs DNS que leur mode de fonctionnement. (définition DOMAIN NAME SYSTEM).
DOMAIN NAME: Traduit en français par "nom de domaine". (définition DOMAIN NAME).
DOMAINE PUBLIC: Désigne en terme de législation sur la propriété intellectuelle, l'espace et le temps oà¹ celle-ci ne s'applique pas. (définition DOMAINE PUBLIC).
DOMAINE: Regroupe des adresses Internet dans un même nom. (définition DOMAINE).
DOMOTIQUE: Domaine technologique qui vise à automatiser et faire communiquer entre eux les équipements d?une habitation, afin de faciliter les interactions et de réagir avec l?environnement. (définition DOMOTIQUE).
DOMPUB: Abréviation de "DOMaine PUBlic", désignant un logiciel à la disposition de tous et libre de droits, dans le domaine public. (définition DOMPUB ).
DON: "Disque Optique Numérique". (définition DON).
DONATIONWARE: Classe de logiciel libre, dont la rémunération de l'auteur est laissée à l'appréciation de l'utilisateur. (définition DONATIONWARE).
DONC: "Disque Optique Numérique Compact". (définition DONC).
DONGLE: Clef de protection matérielle branché sur un port de l'ordinateur, stockant un code nécessaire au bon fonctionnement d'un logiciel, plus rarement cette clef peut être logicielle. (définition DONGLE).
DONKEY KONG: Jeu de plateforme édité par Nintendo en1981 dans lequel le joueur incarne un grand singe. (définition DONKEY KONG).
DONKEY: Synonyme d'Emule. (définition DONKEY).
DONNEES CHIFFREES: Données ayant subi un cryptage. (définition DONNEES CHIFFREES).
DONNEES SENSIBLES: Information personnelle d?un individu. En Europe, elle concerne l?origine raciale ou ethnique, les opinions religieuses et politiques, l?orientation sexuelle et l?adhésion à des partis syndicaux. (définition DONNEES SENSIBLES).
DONNEES: Informations numériques et alphanumériques codées et lisibles par la seule machine, envue de leur enregistrement, traitement, conservation et communication. (définition DONNEES).
DOOM: Titre d'un FPS. (définition DOOM).
DOPER: Optimiser le fonctionnement d'un programme, par la suppression ou l'la modification de certains de ses éléments. Se dit aussi de la modification des caractéristiques électriques de cristaux par incorporation d'impuretés, technique utilisée pour le silicium de certaines puces. (définition DOPER).
DORSALE: Version française du terme anglais "backbone", désignant l'artère principale d'un réseau interconnectant le sous-réseaux. Ce terme de dorsal au masculin désigne un ordinateur en secondant un autre de manière transparente pour l'utilisateur. (définition DORSALE).
DORURE: Aplats de couleur métallisée. (définition DORURE).
DOS: Disk Operating System. Système d?exploitation développé par Microsoft pour les IBM PC. (définition DOS).
DOSSIEN: Utilisateur de DOS, désigne aussi ce qui est relatif au DOS de Microsoft. (définition DOSSIEN).
DOTCOM: Entreprise Startup créé sur le Web. (définition DOTCOM).
DOTCORP: Filiale internet d'un entreprise. (définition DOTCORP).
DOTFILE: Fichier dont le nom est invisible car il commence par un point. (définition DOTFILE).
DOTGNU: Projet visant à concurrencer Net de Microsoft, concurrent aussi de Mono. (définition DOTGNU).
DOTHAN: Nom de code du projet du processeur succédant au Pentium M. (définition DOTHAN).
DOUBLE BUFFERING: Technique d'animation utilisant deux tampons, l'un étant dédié à l'affichage, l'autre au travail de cet affichage, évitant par là un phénomène de scintillement. (définition DOUBLE BUFFERING).
DOUBLE DENSITE: Caractérise certains types de disquettes succeptibles de contenir un nombre plus important de données qu'un simple disquette. (définition DOUBLE DENSITE).
DOUBLE DRAGON: Jeu de type Beat'em all publié par Taito en 1987 sur bornes d'arcade. (définition DOUBLE DRAGON).
DOUBLE FACE: Disquette dont les deux faces sont exploitables de manière garantie par le fabricant. (définition DOUBLE FACE).
DOUBLE: Ce qui est présent ou se produit par deux fois. (définition DOUBLE).
DOUBLE-CLIC: Action de cliquer par l'intermédiaire de la souris deux fois de suite de manière rapide. (définition DOUBLE-CLIC).
DOUBLEUR: Programme permettant un doublement des performances d'un système sur un point particulier au détriment des autres performances. (définition DOUBLEUR).
DOUCHETTE: Scanner en épousant la forme et la tenue, permettant la lecture des code-barre. (définition DOUCHETTE).
DOWN: Traduit par "planté" en français, signifiant en panne. (définition DOWN).
DOWNLOADER: Importer, télécharger, rapatrier un fichier à partir d'un serveur. (définition DOWNLOADER).
DOWNSAMPLER: Fait de diminuer la fréquence d'échantillonnage d'un sample de manière à diminuer sa taille, au détriment de sa qualité. (définition DOWNSAMPLER).
DOWNSIZING: Signifie littéralement "plan social" en anglais (définition DOWNSIZING).
DOX: Pluriel e DOC. (définition DOX).
DP: Abréviation de "Domaine Public". (définition DP).
DPA: "Dynamic Policy Agent". (définition DPA).
DPAF: Direction des Programmes et des Affaires Financières de france telecom. (définition DPAF).
DPB: "Drive Parameter Block", structure interne non-documentée de MS-DOS. (définition DPB).
DPCM: "Differential Pulse Code Modulation", cousin de l'ADCPM. (définition DPCM).
DPI: Equivalent anglophone de point par pouce (PPP) (définition DPI).
DPM: "Dual Port Memory", mémoire vive à double accès, utilisé à l'origine en video, généralisée depuis. (définition DPM).
DPMI: "DOS Protected Mode Interface", interface visant à fixer les règles standard de collaboration entre programme vis-à -vis de la mémoire sous DOS et Windows, leurs permettant l'utilisation de mode protégé. (définition DPMI).
DPMS: "Diplay Power Management System/Signaling", norme VESA programmant l'extinction automatique d'un moniteur. (définition DPMS).
DPNSS: Digital Private Network Signalling System. Protocole de réseau anglosaxon. (définition DPNSS).
DPOF: "Digital Print Order Format", protocole d'impression de photographie numérique visant à faire communiquer un appareil photo avec une imprimane sans l'intermédiaire d'un ordinateur. (définition DPOF).
DPR: Direction de la Production de France Telecom, en charge de l?utilisation des équipements de télécommunication. (définition DPR).
DQDB: Architecture de réseau australien, utilisant une topologie en double bus avec des débits jusqu?à 140 mbps, retenue comme possibilité pour la norme IEEE 802.6. (définition DQDB).
DQMOT: "Don't Quote Me On This", "Ne m citez pas à ce sujet". (définition DQMOT).
DR: Filiale régionale responsable au niveau local de concevoir, programmer et exploiter les réseaux. (définition DR).
DRAG -AND-DROP: "Glisser-déposer", dans une interface graphique, faire glisser un objet sur un autre. (définition DRAG -AND-DROP).
DRAM: Dynamic Random Access Memory. Mémoire la plus utilisée dans les anciens ordinateurs, mais ne disposait que d?une seule voie de transfert. (définition DRAM).
DRAPEAU: Texte aligné d?un côté à droite ou à gauche, ou bien centré mais sans coupure de mot. (définition DRAPEAU).
DRC: "Dynamic Resolution Conversion" (définition DRC).
DRDRAM: "Direct Rambus Dynamic RAM", DRAM élaborée conjointement par Intel et Rambus, cadencée à 800 MHz avec un bus 16 bits. (définition DRDRAM).
DREAMCAST: Console de jeu Sega 128 bits assemblée autour d'un processeur Hitachi SH-4 cadencé à 200 MHz, disposant de16 Mo de mémoire vive, 8 Mo de mémoire vidéo et 2 Mo de mémoire audio, ainsi que d'un modem 56K. (définition DREAMCAST).
DRG: Organisation en charge des règlements quant à l?utilisation des réseaux publics ou privés accessibles à des tiers, dépend du ministère des postes et télécommunication. (définition DRG).
DRILL DOWN: Traduit littéralement par "forcer vers le bas", désigne le fait d'organiser une recherche d'information dans une base de données multidimensionnelle allant du général au particulier. (définition DRILL DOWN).
DRIVE: Unité anglaise de disque. (définition DRIVE).
DRIVER: Mot anglais pour pilote. Programme qui sert d?intermédiaire entre un logiciel et un matériel. Il contient des fonctions permettant l?xploitation du matériel, et permet l?abstraction de la couche matérielle. (définition DRIVER).
DRM: Digital Rights Management. Technologie permettant de contrôler l?accès à des données soumis à la propriété intellectuelle. (définition DRM).
DROIDE: Personne ne communiquant avec ses congénères par le seul biais d'IRC ou d'ICQ. (définition DROIDE).
DROIT D'ACCES: Permission accordée à une personne d'utiliser un fichier en lecture ou en écriture. (définition DROIT D'ACCES).
DROITS D?ACCES: Droit nécessaire à un utilisateur pour l?accès à des données protégées, l?utilisateur devra alors dans un premier temps être identifé. Les droits sont définis par un administrateur. (définition DROITS D?ACCES).
DROP-DOWN LIST-BOX: Nom complet du widget communément appelé list-box. (définition DROP-DOWN LIST-BOX).
DROPLET: Application figurée sur un bureau par une icone, sur laquelle on peut glisser-déposer des fichiers de sorte qu'elle les traite. (définition DROPLET).
DRP: "Disaster Recovery Plan", plan de secours prévoyant la mise en place des mesures à mettre en Å?uvre en cas de catastrophe. (définition DRP).
DRV: Abréviation de driver, fichier contenant le code d'un pilote spécifique à un périphérique. (définition DRV).
DS: "Data Segment register", registre de segment de données dans un processeur Intel. "Twain Data Souce", description d'une source de données Twain. "Directory Service", service d'annuaire. (définition DS).
DS1: Synonyme de T1. (définition DS1).
DS3: Synonyme de T3. (définition DS3).
DSA: Structure de communication développée par Bull. (définition DSA).
DSAP: "Destination Service Access Point". (définition DSAP).
DSCL: "Data Specification and Conversion Language", langage de spécification et de conversion de données. (définition DSCL).
DSDT: "Differentiated System Description Table", dans le cadre de l'ACPI, table contenant les informations sur le système. (définition DSDT).
DSI: "Direction des Systèmes d'Information", désigne le service informatique d'une entreprise, plus rarement la "Diffusion Sélective de l'Information". (définition DSI).
DSIO: "Direction des Systèmes d'Information et de l'Organisation". (définition DSIO).
DSL: "Digital Suscriber Line", proche de l'xDSL et de sa variante la plus connue, l'ADSL. (définition DSL).
DSLAM: "Digital Suscriber Line Access Multiplexor", multiplexeur d'un central téléphonique réunissant et connectant plusieurs lignes DSL. (définition DSLAM).
DSM: "Digital Sound Model", fichier contenant un module soundtrack. (définition DSM).
DSN: "Data Set Name", permet le lien avec une base de données ODBC. "Delivery Status Notification", extension de SMTP permettant de s'assurer de la distribution d'un email ainsi que la cause de son échec en cas d'erreur. (définition DSN).
DSO: "Dynamic Shared Object", bibliothèque d'objets partagée sous Unix, équivalent des DLL sous Windows, chargée seulement lorsque l'exécution d'un programme le nécessite, permettant par là d'alléger son exécution s'il ne le nécessite pas. (définition DSO).
DSOM: "Distributed System Object Model", architecture d'objets distribuée, élaborée par IBM. (définition DSOM).
DSP: Protocole défini dans la norme x500 pour l?accès à un annuaire. (définition DSP).
DSR: "Data Set Ready". "Data Signaling Rate". (définition DSR).
DSS: "Decision Support System" version anglaise de SIAD. "Digital Signature Standard", norme d'authentification de documents effectuant la signature pour authentification par le biais de clefs de 512à 1024 éléments binaires, par le gouvernement américain. "Digital Switching System" commutateur électrique. (définition DSS).
DSSS: "Direct Sequence Spread Spectrum", méthode d'utilisation des fréquences dans les réseaux sans fil. (définition DSSS).
DST: "Direction de la Surveillance du Terrioire". "Daylight Saving Time", heure d'été. (définition DST).
DSTN: "Double Super Twisted Nematics", affichage à cristaux liquides à matrice passive. (définition DSTN).
DSTP: "Data Space Transfer Protocol", protocole d'indexation de fichiers au format XML décrites via des UCK. (définition DSTP).
DSU: "Data Service Unit", équipement de conversin des données numériques en voltage adapté à leur transit sur une LL. (définition DSU ).
DSVD: "Digital Simultaneous Voice and Data", transfert simultanné de voix et de données via une liaison numérique. (définition DSVD).
DT: "Development Tool", outil de développement. (définition DT).
DTA: "Disk Transfert Area", zone de transfert de données du disque incluant les paramètres essentiels à sa description. (définition DTA).
DTC: "Dispositif à Transfert de Charges", version française de CCD. (définition DTC).
DTD: Entité d?un fichier SGML qui définit le modèle de la structure d?un document et les noms des balises du document. (définition DTD).
DTE: Equivalent de ETTD, Equipement Terminal de Traitement de Données. (définition DTE).
DTF: "Digital Tape Format", format d'enregistrement de données numériquessur bande propriété de Sony, issu de la norme Betacam. "Dial Tone First". "Distributed Test Facility". "Data Transfer Facility". (définition DTF).
DTL: "Diode Transistor Logic", circuit intégré composé de diodes et de transistors. (définition DTL).
DTLS: "Descriptive Top Level Specification", spécification en langage naturel. (définition DTLS).
DTMF: Système permettant la transmission de la numérotation dans un réseau à commutation de circuit classique. (définition DTMF).
DTMP: "DeskTop Media Production", production de media sur le bureau, permettant par le biais d'un ordinateur de se passer de consoles et de tables de mixage ou de montage audio ou video. (définition DTMP).
DTP: "Distributed Transaction Processing", modèle de gestion distribuée de transactions de l'X/Open utilisé dans les moniteurs en mode client-serveur. (définition DTP).
DTR: "Data Terminal Ready", signal qui indique qu'un un terminal est prêt à traiter des données. (définition DTR).
DTRE: Filiale de France Telecom en charge de la création et la gestion de lignes internationales. (définition DTRE).
DTRN: Filiale de France Telecom en charge de l?exploitation des grandes lignes du réseau national de télécommunication, ce qui comprend les câbles et autres équipements du réseau interurbain. (définition DTRN).
DTS: Concurrent du Dolby Digital, Le DTS est un format de compression audio qui retranscrit le son sur 5 voies indépendantes plus une voie pour les basses fréquences. Considéré par certains de meilleure qualité que le Dolby grâce à une compression moins dégradante, cependant avec l?évolution des deux techniques la différence est subjective. (définition DTS).
DTTV: "Digital Terrestrial TeleVision", TNT, Télévision Numérique Terrestre. (définition DTTV).
DTV: "Digital TeleVision", télévision numérique pouvant offrir des services interactifs. (définition DTV).
DUAL BOOT: Boot offrant la possibilité d'utiliser des séquences de lancement différentes les unes des autres, permettant un démarrage sur un OS désiré, ou de tester une nouvelle configuration. (définition DUAL BOOT).
DUAL SCAN: Synonyme de DSTN. (définition DUAL SCAN ).
DUALVIEW: Possibilité pour une carte vidéo d'afficher de manière simultanée sur deux écrans. (définition DUALVIEW).
DUCTILITE: Capacité pour un système de fonctionner en dépit des pannes l'affectant. (définition DUCTILITE).
DUL: "Dial Up List", liste de points d'accès utilisables par des sapmmeurs. (définition DUL).
DUMP: Copie du contenu d'une mémoire vers un autre support. (définition DUMP).
DUMPER: Copier le contenud'une mémoire vers un autre support. Classe de logiciel dumpant des données. (définition DUMPER).
DUN: "Dial Up Networking", accès à un réseau via un téléphone. Extension du nom d'un fichier permettant l'accès à un réseau via un téléphone. (définition DUN).
DUOTONE: Technique d'impression consistant à rehausser une image noir et blanc par le biais s'une autre couleur. (définition DUOTONE).
DUPLEX: Méthode de communication bidirectionnelle. Si le transfert est simultané on parle de Full Duplex, sinon on parle de Half Duplex (ou Semi Duplex). (définition DUPLEX).
DUPLEXAGE DE DISQUE: Traduction de "disk duplexing", système de sécurité consistant à doubler les disques et les controleurs d'un ordinateur pour un enregistrement des donéées en double. (définition DUPLEXAGE DE DISQUE).
DUPLEXEUR: Equipement permettant d?utiliser une voie de communication pour l?utiliser comme s?il y en avait deux. Le débit est alors partagé entre les deux nouvelles voies. (définition DUPLEXEUR).
DUPLICATA: Reproduction en plusieurs exemplaires d?une composition. (définition DUPLICATA).
DUR: Abréviation populaire pour disque dur. (définition DUR).
DURON: Processeurs produit par AMD dont la fréquence varie de 600 à 700 MHz, concurrents des Celeron d'Intel (définition DURON).
DV: "Digital Video", format de compression vidéo numérique. (définition DV).
DVB-RCT: "Digital Video Broadcasting - Return Channel Terrestrial", diffusion de vidéo numérique avec canal de retour terrestre permettant une interactivité. (définition DVB-RCT).
DVD AUDIO: Successeur du CD audio, en plus d?un son codé en Dolby Digital ou en DTS, il peut contenir des vidéos et autres informations visualisables sur un écran. Nécessite un lecteur compatible DVD Vidéo pour être lu. (définition DVD AUDIO).
DVD: Digital Versatile Disc. Support de stockage de données numérique, de forme identique à un CD-ROM. Il peut contenir actuellement jusqu?à 4,7 Go de données. (définition DVD).
DVD+RW: "Digital Versatil Disk ReWritable", DVD réinscriptible. (définition DVD+RW).
DVD-10: DVD-5 double face contenant 8,76 Go de données. (définition DVD-10).
DVD-18: DVD-9 double face contenant 15,9 Go de données. (définition DVD-18).
DVD-5: DVD contenant 5 Go de données en simple face sur une seule couche, 4,38 Go en réalité. (définition DVD-5).
DVD-9: DVD contenant 9 Go de données en simple face sur deux couches, 7,95 Go en réalité. (définition DVD-9).
DVD-CCA: "DVD Copy Control Association", groupement de producteurs de DVD protégeant leur production via la mise en place de normes anti-copie. (définition DVD-CCA).
DVD-R: "Digital Versatil Disk Recordable", DVD enregistrable une unique fois. (définition DVD-R).
DVD-R: DVD Recordable. DVD gravable non réinscriptible. (définition DVD-R).
DVD-RAM: Type de DVD-RW développé par Matsushita réinscriptible jusqu?à 100 000 fois, et pouvant être lu et écrit en même temps. (définition DVD-RAM).
DVDRIP: Capture vidéo à partir d'un DVD. (définition DVDRIP).
DVD-ROM: "Digital Versatil Disk Read Only Memory", synonyme de DVD, lisibles uniquement sur lesquels toute écriture est impossible. (définition DVD-ROM).
DVD-RW: DVD ReWritable. DVD gravable réinscriptible.. (définition DVD-RW).
DVI: Digital Video Interface. Interface permettant de transmettre un signal vidéo numérisé, disponible sur la plupart des ordinateurs. (définition DVI).
DVNR: "Digital Video Noise Reduction", supression des bruits de fond apparus du fait de la poussière sur de vieux supports vidéo. (définition DVNR).
DVORAK: Agencement de clavier typographique conçu dans les 20's par August Dvorak et William Dealey. (définition DVORAK).
DVR: "Digital Video Recorder", enregistreur vidéo numérique, magnétoscope à disque dur. (définition DVR).
DW: Abréviation de datawarehouse. (définition DW).
DWARF: Personnage issu du monde des jeux de roles, sous forme de nain, désigne par extension un apprenti-programmeur. (définition DWARF ).
DWDM: "Dense Wavelength Data Multiplexing", technologie augmentant la bande passante disponible sur une portion de fibre optique par l'utilisation simultanée de signaux de longueurs donde différentes portant son débit à 400 Go/s. (définition DWDM).
DWG: "DraWinG", fichier issus du logiciel Autocad. (définition DWG).
DWH: Abréviation de datawarehouse. (définition DWH).
DWISNWID: "Do What I Say, Not What I Do", "Faites ce que je dis, non pas ce que je fais". (définition DWISNWID ).
DWORD: "Double word", valeur codée sur 4 octets, soit 32 bits dans l'univers Intel. (définition DWORD).
DWT: "Discrete Wavelet Transform", méthode de compression par ondelettes du format JPEG2000. (définition DWT).
DXC: "Digital Cross Connect". (définition DXC).
DXF: "Data eXchange Format", format propriétaire d'Autocad d'objets 3D. (définition DXF).
DXI: "Data eXchange Interface", interface entre un DTE et un DCE, soulageant de la création des cellules un routeur. (définition DXI).
DXR: "Data eXtraction Recording", fichier Director protégé. (définition DXR).
DYLAN: "Dynamic LANguage", langage dynamique orienté objet mis au point par Appla. (définition DYLAN).
DYNAMIQUE: Definit des particularités ne pouvant être déterminées que durant l'exécution d'un programme, par opposition à des valeurs précalculées. (définition DYNAMIQUE).
DYOH: "Do Your Own Homework", Fais tes devoirs toi-même. (définition DYOH).
DZ: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Algérie. (définition DZ).
E: Abréviation de "Enlightenment". (définition E).
E: Abréviation de l'anglais "Electronic", servant de préfixe à de nombreux néologismes. (définition E).
E/S: "Entrées/Sorties". (définition E/S ).
E1: Ligne permettant le transfert de données à un débit de 2,048 Mbits/s, par circuits de 56 à 64 kbps. (définition E1).
E2E: "End To End" (définition E2E).
E2PROM: "Electrically Erasable Programmable Read-Only Memory" ROM programmable et effaçable, synonyme d'EEPROM. (définition E2PROM).
EA: "Evolutionary Algorithm", algorithme évolutif. (définition EA).
EAI: "Enterprise Application Integration", intégration des évolutions dans une entreprise, par le biais de l'interopérabilité des programmes et la gestion de l'hétérogénéité générale. (définition EAI).
EAN: "European Article Number", chiifres présents sur les code-barres en Europe. (définition EAN).
EAO: "Enseignement Assisté par Ordinateur". (définition EAO).
EAP: "Extensible Authentication Protocol", extension de PPP définie par la RFC 2284 permettant l'authentification des utilisateurs d'un lien. (définition EAP).
EAPOL: "EAP Over Lan". (définition EAPOL).
EARN: Réseau international d?échange de données dans le domaine de la recherche et de l?enseignement. Développé à l?origine par IBM et maintenant indépendant. (définition EARN).
EAROM: "Electrically Alterable Read Only Memory", synonyme d'EEPROM. (définition EAROM).
EBCDIC: Type de codage des caractères, sur 8 bits, très utilisé par les équipements d?IBM. (définition EBCDIC).
EBG: "Electronic Business Group", groupe français de lobbying regroupant des acteurs du marketing en ligne, étudiant les changements économiques et politiques liés au développement du commerce électronique. (définition EBG).
EBML: "Extensible Binary Meta Language", format inspiré du XML. (définition EBML).
EBNF: "Extended Backus-Naur Form", ensemble des règles décrivant une partie d'une syntaxe, permettant de décrire un type de document. (définition EBNF).
EBONE: Dorsale européenne de l'Internet. (définition EBONE).
EBOOK: Livre électronique répondant à la norme OEB, Open EBook. (définition EBOOK ).
E-BUSINESS: Economie en ligne via un réseau. (définition E-BUSINESS).
EBX: "Electronic Book eXchange", groupe de travail visant à définir les méthodes de protection des livres électroniques. (définition EBX).
EBXML: "E-business XML", XML appliqué à l'E-business. (définition EBXML).
EC: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Equateur. (définition EC).
ECAD: "Electronic Computer Assisted Design", conception assistée par ordinateur de circuits électroniques. (définition ECAD).
ECC: "Error Correction Code", algorithme de détection et de correction d'erreurs proche du CRC. (définition ECC).
ECCAI: "European Coordinating Committee for Artificial Intelligence", comité européen fondé en 1982, de promotion de la recherche sur l'intelligence artificielle. (définition ECCAI).
ECDL: "European Computer Driving Licence", équivalent anglais du PCIE. (définition ECDL).
ECHAFAUDAGE: Programme ayant pour but d'en déboguer un autre. (définition ECHAFAUDAGE).
ECHANGEUR: Synonyme de fichier d'échange. (définition ECHANGEUR ).
ECHANTILLON: Portion numérisée d'un son. (définition ECHANTILLON).
ECHANTILLONNAGE: Fait d'échantillonner un son. (définition ECHANTILLONNAGE).
ECHANTILLONNAGE: Procédé de numérisation pour une image ou un son. La qualité de l?échantillonnage est défini par la profondeur d?un pixel pour une image (nombre de bits pour définir un pixel), ou bien par la fréquence d?échantillonnage pour un son (nombre de bits pour une valeur, et nombre de valeur par unité de temps). (définition ECHANTILLONNAGE).
ECHANTILLONNER: Numeriser un son, synonyme de sampler. (définition ECHANTILLONNER).
ECHANTILLONNEUR: Appareil d'échantillonnage de sons, synonyme de sampleur. (définition ECHANTILLONNEUR).
ECHAP: Abréviation d'échappement, escape en anglais, touche du clavier annulant une procédure en cours. (définition ECHAP).
ECHAPPEMENT: Sortie d'une procédure en cours. (définition ECHAPPEMENT).
ECHELLE DE REPRODUCTION: Rapport entre la dimension finale d?une image et de la dimension originale. (définition ECHELLE DE REPRODUCTION).
ECHELON: Reconversion du système d'espionnage anglo-saxon à l'issue de la guerre froide en un système d'espionnage économique et industriel. (définition ECHELON).
ECHO: Commande Unix permettant de faire des sorties. Renvoi des données transmises dans le domaine des ransmissions. (définition ECHO).
ECHOPLEX: Test d'une ligne télécom par envoi puis retour d'un signal, en l'occurrence un caractère. (définition ECHOPLEX).
ECL: "Emitter Coupled Logic", circuit intégré bipolaire non saturé, très rapide mais à très forte consommation. (définition ECL).
ECLUSE: Traduction de l'anglais "firewall" à laquelle sont préférés coupe-feu ou pare-feu. (définition ECLUSE).
ECM: "Espace Culturel Multimedia", version moderne de la maison de quartier. (définition ECM).
ECMA: Association de constructeurs de matériel informatique. (définition ECMA).
ECMA-262: Seconde version de standardisation par fusion de Javascript et Jscript par l'ECMA. (définition ECMA-262).
ECMASCRIPT: Langage à objets permettant la manipulation d'éléments d'une page web, par la standardisation par fusion de Javascript et Jscript. (définition ECMASCRIPT).
ECN: "Explicit Congestion Notification", protocole décrit dans les RFC 2481 et 2884 visant à l'échange d'inforamtions sur l'état de congstion d'un réseau entre routeurs et machines, en un lieu et un instant donnés. (définition ECN).
E-COMMERCE: Vente ou achat de biens et de services réalisé sur internet. (définition E-COMMERCE).
ECONOMISEUR D'ECRAN: Logiciel modifiant de manière automatique l'affichage d'un écran lors de sa mise en veille suite à sa non-utilisation prolongée, de sorte qu'il ne soit pas endommagé par un affichage persistant. (définition ECONOMISEUR D'ECRAN).
ECOS: "Embedded Configurable Operating System" système d'exploitation temps réel libre très léger fonctionnant dans moins de 2 Mo de mémoire vive, conçu par la société Red Hat, pouvant fonctionner sur des configurations trop exigues pour Linux. (définition ECOS).
ECP: "Extended Capabilities Port", port parallèle offrant un taux de transfert de 2à 5 Mbps permettant de connecter un modem ou une imprimante. (définition ECP).
ECR: "Efficient Consumer Response", service consommateur efficace. (définition ECR).
ECRAN: Dispositif d'affichage à tube cathodique ou à cristaux liquides (définition ECRAN ).
ECRAN A4: Ecran permettant d'afficher une page A4 de format 21x29,7 cm à sa taille réelle dans son intégralité. (définition ECRAN A4).
ECRAN PLAT: Ecran non cathodique pouvant uriliser la technologie à cristaux liquides, ou encore plasma. (définition ECRAN PLAT).
ECRAN PLEINE PAGE: Synonyme d'écran A4. (définition ECRAN PLEINE PAGE).
ECRAN TACTILE: Ecran capable de déterminer la postition d'un point de contact à sa surface, pouvant se passer de dispositif de pointage classique. (définition ECRAN TACTILE).
ECRASEMENT: Fait d'écraser des données. (définition ECRASEMENT).
ECRASER: Ecrire de nouvelles données dans un fichier en contenant déjà entraà®nant par là l'effacement des premières. (définition ECRASER).
ECRITURE: Enregistrement de données sur un support, ou envoi de données vers un périphérique de sortie. (définition ECRITURE).
ECROULEMENT: Fait pour une base de données ou un réseau de s'écrouler. (définition ECROULEMENT).
ECROULER: Conséquence d'un trop grand nombre de requêtes pour une base de données, ou d'envoi d'informations sur un réseau entraà®nant la saturation du système, se manifestant par une baisse brutale de ses performances voire même son arrêt. (définition ECROULER).
ECTF: "Enterprise Computer Telephony Forum",organisme de normalisation de l'intégration du téléphone et de l'ordinateur. (définition ECTF).
ECTS: "European Computer Trade Show", salon annuel londonien des professionnels du jeu vidéo. (définition ECTS).
ECTUA: Association qui réunit les plus grands organismes d?utilisateurs des télécommunications. (définition ECTUA).
ED: Editeur en mode ligne sous Unix. (définition ED).
ED2K: Abréviation de "eDonkey2000", puis par extension lien pointant vers un fichier téléchargeable par le biais de ce logiciel, ou aussi protocole qui lui est associé. (définition ED2K).
EDA: "Electronic Design Automation", automaisation de la conception automatique, dont le principe est la vérification virtuelle du bon fonctionnement d'une puce avant sa production. (définition EDA).
EDAC: "Error Detection And Correction", détection et correction des erreurs. (définition EDAC).
EDC: "Error Detection Code", code de détection des erreurs. "Error Correction and Detection", synonyme de EDAC. (définition EDC).
EDGE: "Ehanced Data GSM Environment", version du GSM permettant des transferts étendus jusqu'à 384 kbps. (définition EDGE).
EDI: "Echange de Données Informatisé". (définition EDI).
EDI: Echange de Données Informatiques. Utilise les réseaux de télécommunications pour l?échange de données informatisées. (définition EDI).
EDICON: Projet anglosaxon d?échange de données informatiques en rapport avec la construction. (définition EDICON).
EDICT: Réseau anglosaxon actif dans le domaine du transport. (définition EDICT).
EDIFACT: Normes internationales concernant les échanges de données informatiques. (définition EDIFACT).
EDIFRANCE: Affilié à l?AFNOR, EDIFRANCE a pour but la promotion de l?EDI en France, c'est-à-dire l?Echange de Données Informatisées. (définition EDIFRANCE).
EDINET: Réseau anglosaxon actif dans le domaine de l?EDI, l?Echange de Données Informatisées. (définition EDINET).
EDITER: Action de modifier un document par le biais d'un éditeur. (définition EDITER).
EDITEUR DE LIENS: Synonyme de lieur ou linker. (définition EDITEUR DE LIENS).
EDITEUR DE TEXTE: Programme permettant l'édition de texte simple. (définition EDITEUR DE TEXTE ).
EDITEUR HTML: Logiciel permettant la création de page Web. (définition EDITEUR HTML).
EDITEUR: Personne en charge d'un projet de logiciel, et par extension la société l'employant.Utilitaire permettant de créer ou modifier un fichier contenant du texte. (définition EDITEUR).
EDITIQUE: Synonyme de PAO et de micro-édition. (définition EDITIQUE).
EDLIN: Editeur de texte ligne à ligne fourni avec MS-DOS. (définition EDLIN).
EDO: "Extended Data Output", type de mémoire vive SDRAM améliorée. (définition EDO).
EDODRAM: "Extended Data Output DRAM", EDO améliorée. (définition EDODRAM).
EDONI: Projet de mise en place de l?EDI dans le secteur de l?équipement industriel et de l?outillage. (définition EDONI).
EDONKEY: Logiciel de P2P spécialisé dans le transfert de fichiers volumineux, permettant le téléchargement ainsi que le transfert par paquets de ces fichiers. (définition EDONKEY).
EDSAC: "Electronic Delay Storage Automatic Computer", calculateur automatique à mémoire életronique à retard, considéré comme le premier ordinateur électronique en 1947, programmable par instructions via la technologie des tubes à vide et pouvant résoudre 15000 opérations mathématiques par minute. (définition EDSAC).
EDT: "European Deaf Telephone". "Eastern Day Time". "Echange de Données Techniques". (définition EDT ).
EDU: A la fin d'une URL, désigne un nom de domaine de premier niveau dont l'attribution est réservée aux organismes éducatifs américains. (définition EDU).
EDUCATIF: Contraction de logiciel éducatif. (définition EDUCATIF).
EDVAC: "Electronic Discrete Variable Computer", calculateur électronique automatique à variables discrètes électroniques. Successeur de l'ENIAC en 1947, ordinateur dont le fonctionnement se référait au fonctionnement du cerveau humain. (définition EDVAC).
EE: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Estonie. (définition EE).
EECA: "European Electronic Component Association", association européenne des fondeurs européens. (définition EECA).
EED: "Echange Electronique de Données". (définition EED).
EEFC: "Eastern Europe Time", fuseau horair correspondant à UTC+2 heures. (définition EEFC).
EEMA: Organisation européen agissant pour la promotion de l?EDI et de la message électronique. (définition EEMA).
EEMS: "Ehanced Expanded Memory Specification", extension de la norme EMS. (définition EEMS).
EEPROM: "Electrically Erasable Programmable Read-Only Memory" ROM programmable et effaçable, synonyme d'E2PROM. (définition EEPROM).
EEST: "Eastern Europe Summer Time", fuseau horaire correspondant à UTC+3 heures. (définition EEST).
EFC: "Erreur Fréquemment Commise". (définition EFC ).
EFF: "Electronic Frontier Foundation", fondation de la frontière électronique, organisation à but non lucratif ayant pour but de dénoncer et de lutter contre les abus policiers dans leur usage des réseaux informatiques. (définition EFF).
EFFACER: Supprimer d'un support des données. (définition EFFACER).
EFFET DE BORD: Modificaion indirecte de la valeur d'un variable. (définition EFFET DE BORD).
EFFET DE SEUIL: Fait pour un système de voir ses performances varier brutalement suite à l'accumulation de modifications minimes, conduisant à son écroulement soudain. (définition EFFET DE SEUIL).
EFFET DE TUNNEL: Laps de temps écoulé entre la formulation des vÅ?ux d'utilisateurs concernant un futur logiciel, et l'aboutissement dans sa conception à l'issue duquel ces premiers peuvent évaluer le travail effectué sans avoir eu de droit de regard durant sa période de développement. (définition EFFET DE TUNNEL).
EFFET D'ESCALIER: Synonyme de crénelage. (définition EFFET D'ESCALIER).
EFFET FRIGO: Capacité développée par Apple pour ses ordinateurs portables consistant à faire en sorte que leur ouverture provoque leur sortie instantannée du mode veille, rappelant par là l'ouverure d'un réfrigirateur. (définition EFFET FRIGO).
EFFET GENIE: Effet graphique sous Mac OS X, faisant disparaà®tre une fenêtre par son rétrécissement progressif, puis son absorbtion par le dock, et inversement lors de sa retauration. (définition EFFET GENIE).
EFFEUILLEUR: Version française de "browser" préconisée en 1999 par le Jounal Officiel. (définition EFFEUILLEUR).
EFI: "Echange de Formulaire Informatisé", variante de l'EDI mise en Å?uvre avec des objectifs plus restreints. "Extensible Firmware Interface", spécifications d'une interface entre OS et périphériques définies par Intel destinée à être utilisée dans un système 64 bits et à remplacer le BIOS. (définition EFI).
EFM: "Enlightenment file manager", programme de gestions de fichiers intégré à Enlightenment. (définition EFM).
EFNET: "European Footwear Network for Electronic Trading", réseau européen du commerce électronique de chaussures. (définition EFNET).
EFR: "Enhanced Full Rate", full rate amélioré. (définition EFR).
EFS: Système de fichiers utilisé par Irix. (définition EFS).
EFT: Acronyme anglais pour Transfert Electronique de Fonds. (définition EFT).
EG: "Evil Grin", sourire diabolique. (définition EG).
EG: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Egypte. (définition EG).
EGA: "Enhanced Graphic Adaptator", norme de carte graphique atteignant une résolution de 640x350 en 16 couleurs. (définition EGA).
EGCS: "Experimented GNU Compiler System", évolution de gcc. (définition EGCS).
EGP: "Exterior Gateway Protocol", protocole de routage désuet, remplacé par BGP. (définition EGP).
EGREP: "Extended Get Regular Extension Pattern", version de grep ayant remplacé fgrep. (définition EGREP).
EGRESS: Tiré du latin "egressus" signifiant "sortir de", désigne des paquets quittant une interface réseau ou un routeur permettant de quitter un sous-réseau. Contraire de" ingress". (définition EGRESS).
EGT: Entité de France Telecom s?occupant de la distribution et de la vente à la grande distribution de produits et de services de télécommunication. (définition EGT).
EH: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Sahara Occidental. (définition EH).
EIA: Association Nord-américaine regroupant des fabricants d?électronique. (définition EIA).
EIAO: "Enseignement Intelligemment Assisté par Ordinateur". (définition EIAO).
E-IDE: "Enhanced IDE" (définition E-IDE).
EIDE: "Enhanced IDE", version améliorée de l'IDE pouvant accueillir quatre périphériques, généralement des disques durs nécessitant que l'un d'eux soit ATAPI. "Echange d'Informations et de Documents Electroniques", recommandation de l'Aproged visant à formaliser les échanges de documents par des règleset des formats définis en XML. (définition EIDE).
EIFFEL: Langage à objets datant de 1985 et conçu par Bertrand Meyer. (définition EIFFEL).
EIP: "Entreprise Information Portal", portail d'information d'entreprise, généralement intranet à usage interne. "Extended Instruction Pointer", pointeur d'instruction contenant pour une tâche donnée l'adresse de la prochaine instruction à exécuter. (définition EIP).
EIR: "Equipment Identity Register", registre des identifiants des équipements mobiles, base de donnée permettant de les tracer. (définition EIR).
EIS: "Executive Information System", système d'information pour cadres synthétisant des informations sur l'activité d'une entreprise, permettant l'aide à la décision. (définition EIS).
EISA: Ancien bus compatible ISA développé par plusieurs constructeurs en 1986 pour contrer le succès du bus MCA créé par IBM. (définition EISA).
EJB: "Entreprise Java Bean", grain de Java pour les entreprises. (définition EJB).
EKTACHROME: Photographie dont l?émulsion positive permet une lecture directe. EKTACHROME est une marque de Kodak. (définition EKTACHROME).
ELAN: Ensemble de plusieurs ordinateurs constituant un domaine de réseau à diffusion unique. (définition ELAN).
ELDORADONET: Considération de l'internet comme un potentiel économique à forte valeur ajoutée. (définition ELDORADONET ).
ELECTROMIGRATION: Déplacement d'atomes dans un conducteur sous l'effet d'un influx électrique. (définition ELECTROMIGRATION).
ELECTRON: Particule tournant à haute vitesse autour d'un noyau. (définition ELECTRON).
ELECTRONIC MAIL: Version anglaise pour courrier électronique. (définition ELECTRONIC MAIL).
ELECTRONIQUE: Discipline dont l'objet d'étude est le déplacement d'électrons dans différents matériaux. (définition ELECTRONIQUE).
ELECTROPHONOGRAPHIQUE: Qualificatif appliqué à la technologie laser utilisée dans les imprimantes. (définition ELECTROPHONOGRAPHIQUE).
ELECTROTECNICIEN: Technicien spécialisé en électronique. (définition ELECTROTECNICIEN).
ELEMENT BINAIRE: Synonyme français de "bit". (définition ELEMENT BINAIRE).
ELF: "Extremely Low Frequency", format de fichier binaire utilisé par le SVr4 présent dans cerains Unix apparentés. (définition ELF).
ELGAMAL: Algorithme de chiffrement asymétrique publié par Tahar Elgamal en 1984. (définition ELGAMAL).
ELISP: "Emacs LISP", version de LISP utilisée avec Emacs, conçu par Richard Stallman. (définition ELISP).
ELIZA: Programme d'intelligence artificielle traitant la langue naturelle par la recherche de mots-clefs dans les phrases qu'on lui donne, mis au point par Joseph Weizenbaum au MIT et dont le nom renvoie au personnage Eliza Doolitlle de la pièce de théâtre Pygmaglion de George Bernard Shaw. (définition ELIZA).
ELLISON, LARRY: Cofondateur et PDG de la société Oracle. (définition ELLISON, LARRY).
ELM: Programme de gestion de courrier électronique en mode caractère, du monde Unx. (définition ELM).
ELSE: Mot-clef d'une conditionnelle introduite par "if", puis par "then": "if-then-else", soit en français: "si-alors-sinon". (définition ELSE).
ELU: Etat d'un processus en cours d'exécution. (définition ELU).
EM: "Electronic Mail", courrier électronique. (définition EM).
EM: Unité de mesure typographique relative, égale à la hauteur commandée par la taille du caractère "M" selon le corps de la fonte. (définition EM).
EMA: Architecture conçue pour l?administration des équipements de télécommunication et les ressources informatiques, développé par Digital Equipement. (définition EMA).
EMAC: Version d'iMac dotée d'un écran plat 17 pouces. (définition EMAC).
EMACISTE: Fervent utilisateur des productions de l'éditeur Emacs. (définition EMACISTE).
EMACS: "Edititing MAcroS", éditeur de texte sous Unix doté d'un éditeur de macros inspiré de LISP, porté sur pratiquement us les environnements, créé par Richard Stallman. (définition EMACS).
EMACSEN: Pluriel d'Emacs en anglais. (définition EMACSEN).
EMACSIEN: Synonyme d'emaciste. (définition EMACSIEN ).
EMACSOS: OS constitué quasi-exclusivement d'Emacs. (définition EMACSOS).
EMAIL: "Electronic Mail", courrier électronique. (définition EMAIL).
E-MAIL: Electronic Mail. Désigne les messages échangés entre des utilisateurs par le moyen d?Internet, les messages sont stockés sur des serveurs avant d?être lus par les destinataires. (définition E-MAIL).
EMAILLER: Envoyer un courrier électronique. (définition EMAILLER).
E-MAILLING: Mailing réalisé par courriers électroniques, peut être synonyme de spam. (définition E-MAILLING).
EMAP: "Electronic Map", carte géographique électronique. (définition EMAP).
E-MARKETING: Marketing mené par email, généralement synonyme de spam. (définition E-MARKETING).
EMBALLEMENT THERMIQUE: Crash analogue à celui de la mémoire virtuelle appliqué aux systèmes de refroidissement, lorsque la production de chaleur dépasse les capacités de traitement du système et fini par s'accumuler excessivement. (définition EMBALLEMENT THERMIQUE).
EMBALLEMENT: Crash de la mémoire virtuelle du à une utilisation excessive de celle-ci, de telle sorte que le système décharge en boucle et exclusivement la mémoire virtuelle sur la mémoire virtuelle. (définition EMBALLEMENT).
EMBARQUE: Désigne un système destiné à fonctionner dans un véhicule ou dans un appareil portable, donc mobile. (définition EMBARQUE ).
EMBELLISSEUR: Traduction de beautifier. (définition EMBELLISSEUR).
EMBM: "EnvironMental Bump Mapping". (définition EMBM).
EMF: "Enhanced MetaFile", fichier sous Windows NT servant de commande à une imprimante. (définition EMF).
EML: Fichier contenant un email. (définition EML).
EMM: "Expanded Memory Management", gestionnaire de la mémoire étendue sous MS-DOS. (définition EMM).
EMOTICON: Smiley, francisé par émoticone. (définition EMOTICON).
EMOTICONE: Smiley, ou binette, trombine. (définition EMOTICONE).
EMPATTEMENT: En typographie, ce sont les petits traits prolongeant les extrémités d?un caractère de façon perpendiculaire. (définition EMPATTEMENT).
EMPILABLE: Caractérise un matériel pouvant être empilé sans risque. (définition EMPILABLE).
EMPILAGE: Fait de mettre un élément sur une pile, d'empiler. (définition EMPILAGE).
EMPILER: Placer un élément au sommet d'une pile. (définition EMPILER).
EMS: Mémoire organisé grâce à la pagination. (définition EMS).
EMSG: "Email MeSsaGe", synonyme d'email. (définition EMSG).
EMU: Abréviation d'émulateur et d'émulation. (définition EMU).
EMUG: Association d?utilisateurs du réseau local map (Manufacturing Automation Protocol) pour la promotion de ce dernier. (définition EMUG).
EMULATEUR DE TERMINAL: Emulateur dédié à la simulation du fonctionnement d'un terminal en vue de se connecter sur une autre machine. (définition EMULATEUR DE TERMINAL).
EMULATEUR: Désigne une classe de logiciel ou une carte d'extension capable de faire fonctionnerun système avec un autre système non-compatible à l'origine. (définition EMULATEUR).
EMULATEUR: Programme permettant d?exécuter un logiciel sur une plate-forme auquel il n?est pas destiné. (définition EMULATEUR).
EMULATION: Action d?utiliser un émulateur. (définition EMULATION).
EMULATION: Action d'émuler. (définition EMULATION).
EMULE: Logiciel de P2P descendant d'eDonkey2000 agrémenté d'options de filtrages. (définition EMULE).
EMULER: Se dit d'un système pouvant fonctionner comme un autre système à travers des fonctions pour lesquelles il n'avait pas été prévu à l'origine, sorte de compatibilité a posteriori. (définition EMULER).
EMULSION: Couche composée de cristaux en argent, sensible à la lumière. (définition EMULSION).
EN LIGNE: Se dit de données, de ressources ou de services que l'on peut atteindre via un réseau. (définition EN LIGNE).
EN RADE: Se dit d'un système temporairement en panne. (définition EN RADE).
EN: "European Norm", norme européenne obligatoire dans les pays de la CEE. "End Node", nÅ?ud terminal ne procurant pas de fonction de routage. (définition EN).
ENCAPSULAGE: Forme rare pour encapsulation. (définition ENCAPSULAGE).
ENCAPSULATION: Méthode consistant à réutiliser dans un programme des modules développé précédemment et prêt à l?utilisation. Ce mode programmation permet de gagner du temps mais diminue les performances. (définition ENCAPSULATION).
ENCAPSULER: Protéger le fonctionnement interne d'un programme ou d'un processus en le rendant inaccessible par son utilisateur. (définition ENCAPSULER).
ENCART: Cahier supplémentaire inséré dans une brochure. (définition ENCART).
ENCARTAGE: Positionnement d?un encart. (définition ENCARTAGE).
ENCASTRE: Se dit d'un système informatique inclus dans un appareil et difficlement modifiable. (définition ENCASTRE).
ENCOCHE: Petite découpe dans les pages d?un document afin de faciliter une recherche de début de partie. (définition ENCOCHE).
ENCODAGE: Fait de coder, voire de chiffre, mais pas nécessairement de crypter, des données. (définition ENCODAGE).
ENCODER: Modfier la structure de données par l'aplication sur celle-ci d'un code ou d'une méthode de chiffrement. (définition ENCODER).
ENCODEUR: Petit programme réalisant l?encodage d?un fichier son ou vidéo, ou la conversion d?un format dan un autre. (définition ENCODEUR).
ENCRYPTEUR: Logiciel qui permet le cryptage des données. (définition ENCRYPTEUR).
ENCRYPTION: version anglaise de chiffrement. (définition ENCRYPTION).
END-PART: Ecran final d'une démo contenant greetings et crédits. (définition END-PART).
ENERGY STAR: Label apposé sur un écran indiquant qu'il est doté d'un processeur de mise en veille. (définition ENERGY STAR).
ENFILADE: Série de messages hiérarchisée se rapportant les uns aux autres. (définition ENFILADE).
ENFILER: Introduire un support amovible dans une unité. (définition ENFILER).
ENFOUI: Synonyme d'"embarqué", désigne un système informatique incorporé dans un produit de grande consommation sans que son utilisateur ne le sache forcément. (définition ENFOUI).
ENGELBART, DOUG: Inventeur de la souris et du multifenêtrage. (définition ENGELBART, DOUG).
ENGORGEMENT: Phénomène se produisant lorsqu'un systèmene peut pas traiter les informations à la vitesse à laquelle il les reçoit. (définition ENGORGEMENT).
ENIAC: "Electronic Numerical Integrator And Calculator", calculateur conçu pendant la deuxième guerre mondiale à l'université de Pennsylvanie par Prosper Eckart et John Mauchly, inauguré le 15 février 1946 passant pour être le premier ordinateur du monde. En réalité, l'ENIAC fut l'un des premiers gros calculateurs électroniques, consommait 150 000 Watts, pesait 30 tonnes, pour 18 000 tubes à vide, 70 000 résistances, 10 000 condensateurs et 6 000 commutateurs. (définition ENIAC).
ENLIGHTENMENT: Window manager extrêmement configurable basé sur fvwm2. (définition ENLIGHTENMENT).
ENREGISTREMENT: Ensemble d'informations concernant un même sujet, représenté en général sous forme de ligne dans une table. Peut aussi désigner l'écriture de données dans un fichier, auquel on préfère le terme de sauvegarde. (définition ENREGISTREMENT).
ENREGISTRER: Rémunérer l'auteur d'un logiciel. Sauvegarder des données sur un support permanent. (définition ENREGISTRER).
ENROULER: A propos d'une fenêtre, la réduire à sa barre de titre. (définition ENROULER).
ENSEMBLIER: Entreprise réalisant l'installatin de matériels complexes. (définition ENSEMBLIER).
EN-TêTE: Partie d'un message contenant les informations nécessaires à sa gestion telles que l'expéditeur ou le destinataire. (définition EN-TêTE).
ENTIER: Terme français servant à désigner des données de type "integer", stockant un nombre entier, généralement sur 16 bits signés. (définition ENTIER).
ENTITE: Association d'objets, concrets ou abstraits, existants, ayant existé ou pouvant exister. Element actif d'un sous-système. (définition ENTITE).
ENTRAA®NEMENT: Mécanisme d'alimentation en papier d'une imprimante. (définition ENTRAA®NEMENT).
ENTREE DE MENU: Element sélectionnable dans un menu déroulant. (définition ENTREE DE MENU).
ENTREE DE SERVICE: Version française de "backdoor". (définition ENTREE DE SERVICE).
ENTREE: Touche représentant une fin de ligne et permettant de clore une saisie ou permettant de revenir à la ligne. (définition ENTREE).
ENTREES: Données saisies dans un ordinateur en vue de leur traitement. (définition ENTREES).
ENTRELACE: Sedit d'un affichage sur écran par lequel une ligne sur deux est dessinée à chaque balayage de cet écran, mode de fonctionnement standard d'un écran. (définition ENTRELACE).
ENTRELACEMENT: Caractéristique del'entrelacement. (définition ENTRELACEMENT).
ENTREPOT DE DONNEE: Version française pour datawarehouse. (définition ENTREPOT DE DONNEE).
ENTRER: Saisir des données de manière à ce qu'elles soient traitées par ordinateur, ou les valider de manière à ce qu'elles soient effectivement traitées. (définition ENTRER).
ENTROPIE: Effacement progressif des données d'un support amovible. (définition ENTROPIE).
ENUMERATION: Gestion dynamique de connexions de périphériques sur port USB. (définition ENUMERATION).
ENVIRONMENTAL BUMP MAPPING: Placage de textures sur des surfaces dans lesquelles se reflète l'environnement d'un objet. (définition ENVIRONMENTAL BUMP MAPPING).
ENVIRONNEMENT DE BUREAU: Ensemble de logiciels visant à figurer un bureau réel sur l'espace de travail. (définition ENVIRONNEMENT DE BUREAU ).
ENVIRONNEMENT DE DEVELOPPEMENT: Ensemble d'outils nécessaire au développement d'applications. (définition ENVIRONNEMENT DE DEVELOPPEMENT).
ENVIRONNEMENT: Ensemble des variables d'un programme et des ressources qui lui sont attribuées. (définition ENVIRONNEMENT).
ENVVAR: Abréviation de variable d'environnement. (définition ENVVAR).
EO: Modèle de PDA."End Of" marqueur de fin. (définition EO).
EOA: "End Of Adress", marqueur de fin d'adresse. (définition EOA ).
EOD: "End Of Dialing", marqueur de fin de communication. (définition EOD).
EOF: "End Of File", marqueur de fin de fichier. (définition EOF).
EOJ: "End Of Job", marqueur de fin de job. (définition EOJ).
EOL: "End Of Line", marqueur de fin de ligne. (définition EOL).
EOM: "End Of Message", marqueur de fin de message. (définition EOM).
EOR: "Exclusive OR", alternative rare pour "xor". (définition EOR ).
EOS: "End Of String", marqueur de fin de chaà®ne. "End Of Sale", marqueur de fin de vente. (définition EOS).
EOT: "End Of Transmission/Tape/Text", marqueur de fin de transmission , de bande, de texte. (définition EOT).
EOV: "End Of Volume", marqueur de fin de volume. (définition EOV).
EP: "Evolutionary Programming", programmation fondée sur les principes darwiniens de l'évolution. (définition EP).
EPAIR: Apparence d?une feuille lorsqu?elle est observée par transparence devant une source de lumière. (définition EPAIR).
EPAL: "Enterprise Privacy Authorization Language", langage respectant la vie privée de ses utilisateurs en contraignant les programmeurs à suivre ceraines règles. (définition EPAL).
EPAVE: Ordinateur dont le système n'a pas été mis à jour de longue date, offrant des failles de sécurité. (définition EPAVE).
EPC: "Earning Per Click", somme perçue par un site à chaque clic de souris sur un de ses liens. (définition EPC).
EPD: "Early Packet Discart", supression anticipée des paquets erronés, synonyme de debugger. (définition EPD).
EPIC: "Electronic Privacy Information Center", organisme américain de lutte pour les libertés individuelles sur les réseaux informatiques. (définition EPIC).
EPINE DORSALE: Artère principale d'un réseau. (définition EPINE DORSALE).
EPINE DORSALE: Equivalent en français de Backbone, c?est l?élément central d?un réseau de télécommunication, le plus souvent réalisé en fibre optique. (définition EPINE DORSALE).
EPOC: OS propriété de la société Symbian, utilisé par certains PDA ou téléphones portables. "Elevated Package Over CSP", empilement de puces de mémoire des barettes Kingston. (définition EPOC).
EPOCH 32: OS développé par la société Symbian, utilisé par certains PDA ou téléphones mobiles (définition EPOCH 32).
EPOCH: Version d'Emacs produite par le NCSA. (définition EPOCH).
EPP: "Enhanced Parrallel Port", port parallèle étendu permettant la connection d'une imprimante. (définition EPP).
EPREUVE: Impression papier d?un document pour effectuer un contrôle visuel de la typographie. (définition EPREUVE).
EPROM: "Erasable Programmable Read Only Memory", ROM effaçable et programmable. (définition EPROM).
EPS: "Encapsulated PostScript", fichier postscript encapsulé, format mixte comprenant une image basse résolution et une image vectorielle haute résolution, servant à la sortie dans un fichier et nécessitant d'être converti pour une sortie sur écran ou imprimante. (définition EPS).
EPS2: "Encapsulated PostScript" de niveau 2, extension de l'EPS. (définition EPS2 ).
EPSF: Encapsulated PostScript File", synonyme de l'EPS. (définition EPSF).
EPSON: Division du groupe japonais Seiko, fabricant d'imprimantes puis de PC et de scanner. (définition EPSON).
EPV: "Earning Per Visitor", somme perçue par un site à chaque visite. (définition EPV).
EQ: Diminutif de Equalizer. Filtre audio qui permet de réguler le volume du son pour une fréquence donnée. (définition EQ).
EQUIJOINTURE: Jointure ne combinant que des enregistrements dont les champs joints sont égaux. (définition EQUIJOINTURE).
EQUILIBRAGE DE CHARGE: Principe de répartition équilibrée de la charge de travail entre différents serveurs. (définition EQUILIBRAGE DE CHARGE).
EQUILIBREUR DE CHARGE: Serveur de distribution des requêtes entrantes entre différents serveurs ne laissant transparaà®tre à l'extérieur qu'un seul et unique serveur. (définition EQUILIBREUR DE CHARGE).
ER: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Erythrée. (définition ER ).
ERGONOME: Personne s'occupant de question d'ergonomie. (définition ERGONOME).
ERGONOMIE: Etude visant à faciliter la souplesse d'utilisation d'un système par son utilisateur. (définition ERGONOMIE).
ERGONOMIQUE: Se dit d'un système offrant une bonne ergonomie synonyme de convivial. (définition ERGONOMIQUE).
ERLANG: Unité de mesure permettant d?évaluer le trafic sur une liaison téléphonique. (définition ERLANG).
ERLL: "Extended Run Length Limited", version améliorée de RLL. (définition ERLL).
ERMES: European Radio MEssaging System. Système européen de radiomessagerie. (définition ERMES).
ERP: "Entreprise Resources Planning". (définition ERP).
ERRATUM: Correction d?un document en écrivant dans un encart. (définition ERRATUM).
ERREUR SYSTEME: Erreur se produisant au niveau de l'OS. (définition ERREUR SYSTEME).
ERREUR: Evènement traduisant le dysfonctionnement d'un système, identifiée par un numéro d'attribution. (définition ERREUR).
ES: "Extra Segment register", registre de segment supplémentaire. (définition ES).
ES: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Espagne. (définition ES).
ESAD: "Eat Shit And Die". (définition ESAD).
ESAQ: "Expérience Scientifique Assistée par Ordinateur" (définition ESAQ).
ESC: Abréviationde la touche "ESCape", échappement en français. (définition ESC).
ESCD: "Extended System Configuration Data", données de configuration de Périphériques PNP enregistrées par le BIOS. (définition ESCD).
ESCHER, MAURITS: Artiste peintre hollandais dont l'Oeuvre est orientée autour d'illusions optiques et de fractales. (définition ESCHER, MAURITS ).
ESCLAVE: Terme utilisé pour la description du controle undirectionnel d'un système par un autre, désignant ici le système controlé, particulièrement les disques durs IDE, pouvant être deux par nappes. Dans ce cas l'un est dit "maà®tre" et commande l'autre, dit "esclave". (définition ESCLAVE).
ESD: "ElectroStatic Discharge", décharge électrostatique. (définition ESD).
ESDI: "Enhanced Small Device Interface", interface étendue pour petits disques, standard de connexion de périphériques analogue au SCSI, améliorant la vérification d'erreurs et gérant davantage de périphériques. L'interface est partie intégrante du périphérique, le controleur se doit d'être certifié pour fonctionner avec lui. (définition ESDI).
ESF: "Ehanced SMTP", amélioration de SMTP intégrant les types MIME et le DSN. (définition ESF).
ESPACE DE NOMMAGE: Collection de noms, identifiés par un URI, qui sont utilisé dans des documents XML comme types d'éléments et noms d'attributs, constitué de structure interne. (définition ESPACE DE NOMMAGE).
ESPACE: Caractère 32 de la table ASCII, correspondant à la barre d'espacement. (définition ESPACE).
ESPERLUETE: Signe typographique désgnant "&". (définition ESPERLUETE ).
ESPIOGICIEL: Logiciel espion remontant les données d'un utilisateur à un serveur, spyware en anglais. (définition ESPIOGICIEL).
ESPIONGICIEL: Variante de "espiogiciel". (définition ESPIONGICIEL).
ESPRIT: "European Strategic Program for Research into Information Technology", programme européen pour le développement des technologies de pointe. (définition ESPRIT).
ESS: "Electronic Switch System", central téléphonique électronique. "Extended Service Set", élément d'un réseau 802.11b formé par un BSS et le pont qui le controle. (définition ESS).
EST: "Eastern Standard Time". (définition EST).
ESTAMPAGE: Technique permettant d?obtenir sur une feuille un relief ou un creux, afin d?obtenir un gaufrage. (définition ESTAMPAGE).
ESTEREL: Entreprise qui regroupe des agences de voyages et des sociétés de transport dans le but de leur fournir un réseau et des équipements pour réaliser des réservations. (définition ESTEREL).
ESTHETIQUE PAR DEFAUT: Désigne un affichage dénué de design, d'élaboration graphique, visant à la simplicité et au dépuillement de la représentation. (définition ESTHETIQUE PAR DEFAUT).
ESTL: "Extended State Transition Language", méthode de spécificaion formelle. (définition ESTL).
ET: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Ethiopie. (définition ET).
ETA: "Estimated Time of Arrival", heure d'arrivée estimée, délai restant avant la fin de l'exécution d'une tâche. (définition ETA).
E-TAIL: Vente par correspondance électronique. (définition E-TAIL).
ETALONNAGE: Calibration d'un périphérique par compraison de ses paramètres avec certaines valeurs types. (définition ETALONNAGE).
ETAT D'ATTENTE: Etat d'un pocesseur en attente d'informations en provenance de la mémoire. (définition ETAT D'ATTENTE).
ETAT: Présentation d'informations oragnisées pour leur visualisation ou leur impressio. (définition ETAT).
ETC: Nom du réperoire à la racine de l'arborescence de fichiers d'un système Unix, contenant les fichiers de configuration d'une machine. (définition ETC).
ETCD: "Equipement Terminal de Circuit de Données", appareil addaptant des signaux émis aux caractéristiques d'une ligne. (définition ETCD).
ETEBAC: "Echange TElématique entre les BAnques et leurs Clients", ensemble de normes pour la communication avec les banques. (définition ETEBAC).
ETEBAC: Structure d?échange de données informatisées utilisées par des organismes bancaires français. (définition ETEBAC).
ETEXT: Texte électronique. (définition ETEXT).
ETEXTE: Version francisée de etext. (définition ETEXTE).
ETHER TALK: Ethernet mis au point par Apple. (définition ETHER TALK).
ETHERNET: Protocole de réseau local défini par la norme iso IEEE 802.3, qui fonctionne à des débits allant de 10 à 1000 Mbits/s. (définition ETHERNET).
ETIQUETTE: Marque de position dans le code source d'un programme. (définition ETIQUETTE).
ETL: "Extract Transform Load", outil d'extraction de donnés d'une base de données, permettant de les modifier et de les y replacer. (définition ETL).
ETOILE: Topologie de réseau dans laquelle les ordinateurs sont connectés à un même nÅ?ud, généralement un hub ou un routeur. (définition ETOILE).
ETSI: European Telecommunication Standards Institute. Organisme de niveau européen en charge de la création de normes de télécommunications. (définition ETSI).
ETTD: Equipement Terminal de Traitement de Données. Désigne tout matériel permettant d?envoyer ou de recevoir des données par l?intermédiaire d?un réseau. (définition ETTD).
EUI-64: "Extended Unique Identifier", identifiant unique étendu, sur 64 bits, défini par l'IEEE. Utilisé pour identifier les protocoles ou les options ou encore les dispositifs matériels au sein d'un standard, . Constitué d'un identifiant de 24 bits attribué par l'IEEE à l'organisation fabricant ou produisant l'élément à identifier, et d'un nombre de 40 bits attribué par l'organisation en question. (définition EUI-64).
EULA: "End-User Licence Agreement", licence finale d'utilisation d'un logiciel. (définition EULA).
EUO: "End-User as Owner", utilisateur terminal en tant que propriétaire, l'utilisateur est ici propriétaire de la portion de réseau qu'il utilise. (définition EUO).
EURESCOM: Association d?opérateur de télécommunications européens, pour la promotion des technologies de télécommunication. (définition EURESCOM).
EURONET: Ancien réseau à commutation logique utilisé par la CEE pour l?échange des données scientifiques. (définition EURONET).
EUROPEN: Forum européens des systèmes ouverts, faisant la promotion de ces systèmes en vue de leur diffusion, de leur standardisation et de leur internationalisation. (définition EUROPEN).
EUROSINET: Associations de constructeurs européens pour la promotion de produits permettant l?interconnexion de réseaux de protocoles différents. (définition EUROSINET).
EUTELSAT: Organisme européen fournissant des services de communications satellitaires à l?international. (définition EUTELSAT).
EUVL: "Extreme Ultra-Violet Lithography", lithographie utilisant des rayons UV pour la gravure de microcircuits inférieursà 0,1 microns. (définition EUVL).
EVD: "Enhanced Versatile Disc" format chinois concurrent du DVD. (définition EVD).
EVENEMENT: Action déclenchée par l'utilisateur. (définition EVENEMENT).
EVENEMENTIEL: Type de programmation fondée sur les événements pouvant se produire. (définition EVENEMENTIEL).
EVENT BUBBLING: Littéralement bouillonnement d'événements, phénomène pouvant se révéler lorsque l'on cherche à programmer de façon événementielle dans une hiérarchie d'objets. (définition EVENT BUBBLING).
EVOLUTIF: Se dit d'un système pouvant évoluer par le remplacement de certins de ses éléments sans en provoquer l'écroulement. (définition EVOLUTIF).
EW: "Electronic Warfare", guerre électronique. (définition EW).
EWAN: "External WAN". (définition EWAN).
EWORLD: Réseau de services en ligne propriété d'Apple. (définition EWORLD).
EWOS: "European Workshop for Open Systems", organisme européen, de normalisation et d'implémentation des normes, créé en 1987 par la fusion du CEN, du CENELEC, du SPAG, de l'ECMA, de l'EMUG, de l'OSITOP, de la COSINE et de RARE. (définition EWOS).
EXAOCTET: 2 puissance 60 octets. (définition EXAOCTET ).
EXCA: "Exchangeable Card Architecture", norme de communicatin définie par Intel, entre une carte PCMCIA et l'ordinateur sur lequel elle est branchée. (définition EXCA).
EXCEL: Logiciel tableur développé par Microsoft. (définition EXCEL).
EXCEPTION: Erreur dans le déroulement d'un programme prévue lors de sa conception et gérée de fait en théorie. (définition EXCEPTION).
EXE: Fichier exécutable de MS-DOS. (définition EXE).
EXECUTABLE: Programme en code binaire compréhensible directement par le processeur. Fichier de commandes du système. (définition EXECUTABLE).
EXECUTER: Lancer l'exécution d'un programme ou d'une procédure. (définition EXECUTER).
EXECUTION: Moment durant lequel le processeur travaille pour le programme. (définition EXECUTION ).
EXECUTION SPECULATIVE: Capacité pour un processeur à exécuter les instructions d'un programme dans le désordre. (définition EXECUTION SPECULATIVE).
EXECUTION: Action de lancer un programme par un système d?exploitation. (définition EXECUTION).
EXIF: "EXchange Image Format", fichier d'échange d'image incluant une image et diverses métadonnées. (définition EXIF).
EXPANDEUR: Programme étendant la capcité de stockage d'une disquette par l'écriture sur ses deux faces. En musique, boà®tier générateur de sons. (définition EXPANDEUR).
EXPERT: Personne ayant un maximum de connaissances dans un domaine extrêmement réduit. (définition EXPERT).
EXPLOIT: Descriptif d'une technique de piratage permettant l'exploitation des failles de sécurité d'un système. (définition EXPLOIT).
EXPLORATEUR: Synonyme de navigateur. (définition EXPLORATEUR).
EXPLOSER EN VOL: Planter brutalement pour un logiciel. (définition EXPLOSER EN VOL).
EXPORTABLE: Se dit d'une variable déclarée comme telle par le biais de la commande"export", utilisable dans un autre shell. (définition EXPORTABLE).
EXPOSE: Mode d'affichage sous Mac OS Xconsistant à afficher simultanément de manière réduite toutes les fenêtres affichées à l'écran. (définition EXPOSE).
EXPRESSION RATIONNELLE: Chaà®ne de caractères décrivant le contenu de chaà®nes selon des conventions données. (définition EXPRESSION RATIONNELLE).
EXPRESSION: Suite d'opérateurs et d'opérandes décrivant un calcul à effectuer, version généralisée de la formule mathématique, par extension chaà®ne à laquelle correspond un sens dans un langage donné. (définition EXPRESSION).
EXT2: Système de fichiers standard de Linux. Complet pour un système Unix, mais pas journalisé (définition EXT2).
EXT2FS: Système de fichiers ext2. (définition EXT2FS).
EXT3: Troisième version du système de fichiers standard sous Linux, dont la principale caractéristique est d'être journalisée. (définition EXT3).
EXTENSIBILITE: Capacité pour un système à faire face à des charges d'utilisation variables. Système dont on peut étendre les capacités par ajout de mises à jour ou de modules. (définition EXTENSIBILITE).
EXTENSION: Amélioration des capacités d'un système par ajout de composant (définition EXTENSION).
EXTERNALISATION: Fait pour une entreprise d'externaliser son système d'information. (définition EXTERNALISATION).
EXTERNALISER: Confier la gestion de son système d'information en sous-traitance à une société tierce. (définition EXTERNALISER).
EXTERNE: Se dit d'un périphérique se présentant sous la forme d'un boà®tier par opposition aux périphériques internes sous forme de carte nue. Se dit d'une commande lorsque son code exécutable n'est pas inclus dans le code général du programme. (définition EXTERNE).
EXTRACTEUR: Classe de logiciel récupérant des données dans une base de données pour les mettre à disposition d'autres applications. (définition EXTRACTEUR).
EXTRACTIBLE: Se dit d'un périphérique pouvant être retiré à volonté d'un système. (définition EXTRACTIBLE).
EXTRA-INTELLIGENT: Caractéristique d'un réseau capable d'offrir des services autres que le simple acheminement de messages, tel que par exemple le routage en fonction du contenu d'un fichier. (définition EXTRA-INTELLIGENT).
EXTRANET: Méthode de communication interentreprises utilisant les ressources du réseau Internet. (définition EXTRANET).
EXTRA-PISTE: Piste non déclarée au système d'un disque. (définition EXTRA-PISTE).
EXTREME PROGRAMMING: Approche du développement logiciel mettant l'accent sur la satisfaction du client en améliorant réactivité et qualité. (définition EXTREME PROGRAMMING).
E-ZINE: "Electronic magaZine", magazine électronique diffusé via les réseaux. (définition E-ZINE).
F.I.L.: "Fédération Informatique et Libertés". (définition F.I.L.).
F2F: "Face to Face", face à face, rencontre de deux internautes dans le monde réel. (définition F2F).
F90: Abréviation de Fortran 90. (définition F90).
FAAQ: "Frequently Asked and Anticipated Questions", variante de la FAQ contenant aussi des réponses aux questions dont on s'attend à ce qu'elles vont être posées. (définition FAAQ).
FABLESS: Littéralement sans usine, désigne un entreprise ne disposant pas de moyens de production et déléguant celle-ci sous forme manufacturée à une autre entreprise. (définition FABLESS).
FAC SIMILE: Copie exacte d?un document. (définition FAC SIMILE).
FAçADE: Partie avant du boà®tier d'un ordinateur. (définition FAçADE).
FACE CACHEE: Méthode de viualisation d'un objet tridimensionnel en mode fil de fer, et en masquant les fils cachés par les surfaces correspondant aux arrêtes du premier plan. (définition FACE CACHEE).
FACONNAGE: Ensemble des dernières opérations après impression qui finalise un document. (définition FACONNAGE).
FAçONNIER: Entreprise spécialisée dans le travail à façon, comparable à assembleur ou intégrateur. (définition FAçONNIER).
FACTEUR DE FORME: Taille d'un périphérique. (définition FACTEUR DE FORME).
FAGOT: Nom du symbole dièse: "#". (définition FAGOT ).
FAH: "Fournisseur d'Applications Hébergées". (définition FAH).
FAI: Fournisseur d?Accès à Internet. Société qui fournit à ses clients un accès à l?Internet par l?intermédiaire des prises téléphoniques. (définition FAI).
FAIBLE: Qui compte le moins. (définition FAIBLE).
FAIL-OVER: Technique permettant de passe au dessus des pannes, sans en tenir compte. (définition FAIL-OVER).
FAIRE DU MENAGE: Effacer d'un support de données les ichiers devenus inutiles. (définition FAIRE DU MENAGE).
FAIRE TOURNER: Exécuter un programme. (définition FAIRE TOURNER).
FAKE: Faux, désignant un montage photographique, ou une rumeur non -fondée. (définition FAKE).
FALCON 030: Dernier ordinateur produit par Atari reprenant le boà®tier d'un Atari ST, avec un 68030 et un DSP. (définition FALCON 030).
FALCON 3.0: Simulateur de vol édité par Spectrum HoloByte en 1991, offrant pour la première fois la possibilité de jouer en réseau IPX jusqu'à 6 joueurs simultanés . (définition FALCON 3.0).
FALLBACK/FALL-FORWARD: Fonction permettant à un modem équipé d'un système de controle de la qualité de lligne de passer immédiatement à la vitesse inférieure en cas de dégradation des performances de la ligne, et de revenir à la vitesse maximale lorsque la qualité le permet. (définition FALLBACK/FALL-FORWARD).
FALSE: Un des deux états de la logique booléenne, avec "vrai", souvent codé par 0. (définition FALSE).
FALSIFIER: Modifier des informations dans un but malveillant. (définition FALSIFIER).
FAMICOM: Nom japonais de la console NES de Nintendo. (définition FAMICOM).
FAMILLE: Ensemble de produits similaires les uns des autres du point de vue de leurs spécifications. (définition FAMILLE).
FAMINE: Phénomène se produisant quand un système ne dispose pas de suffisamment de ressources, pouvant entraà®ner le blocage de certains processus. (définition FAMINE).
FANTOME: Image d'un objet graphique simplifiée, permettant à l'utilisateur de manipuler cet objet interactivement à l'écran sur une machine qui n'est pas suffisamment puissante pour le faire avec l'objet lui-même. à?lément destiné à leurrer quelqu'un. La victime fait alors confiance à ce qu'elle voit... Reste logique d'un composant qui a été retiré d'un système. Programme fonctionnant en arrière-plan. (définition FANTOME).
FAO: Fabrication Assistée par Ordinateur. (définition FAO).
FAP: "Format And Protocol", élément d'un middleware dans un système client-serveur, effectuant les conversions de format de données et de protocole. "Facial Animation Parameters", ensemble de paramètres définis par la norme MPEG-4 et permettant d'animer un visage défini par des FDP. (définition FAP).
FAQ: Frequently Asked Questions ou Questions Fréquemment Posées. Ensemble des questions réponse posées par les utilisateurs d?un service. Une FAQ permet de résoudre facilement les problèmes les plus courants. (définition FAQ).
FAQL: Liste de FAQ (définition FAQL).
FAQ-LIST: Liste de FAQ (définition FAQ-LIST).
FAQWA: "FAQ With Answers", FAQ avec réponses. (définition FAQWA).
FAR: Fichier contenant un module créé via le tracker "Farandole". (définition FAR).
FASMI: "Fast Analysis of Shared Multidimentional Information", analyse rapide d'information multidimensionnelle partagée, ensemble des critères retenus pour simplifier les règles de CODD et faciliter l'évaluatiob des outils OLAP. (définition FASMI).
FAST ATA: "Fast Advanced Technology Attachment", technologie de transfert de données entre le disque dur et la mémoire, amélioration de l'IDE simple. (définition FAST ATA).
FAST ETHERNET: Version de Ethernet au débit de 100 Mbps (définition FAST ETHERNET).
FAT: Système de fichiers utilisant une table stockée dans une zone du disque et réunissant des informations telles que les droits d?accès. (définition FAT).
FAT16: FAT utilisant des adresses de cluster sur 16 bits. (définition FAT16).
FATAL: Caractérise une erreur mettant une fin définitive à un processus. (définition FATAL).
FAUSSE MANIPULATION: Intervention inappropriée pouvant mettre en péril le bon fonctionnement d'un ensemble. (définition FAUSSE MANIPULATION).
FAUX POSITIF: Dans la lutte contre le spam, message légitime considéré à tort comme un faux à détruire par un système automatique de filtrage. (définition FAUX POSITIF).
FAVICON: "FAVorite ICON", icone associée à une URL facilitant visuellement la gestion des favoris. (définition FAVICON).
FAVICONE: Version française de "favicon". (définition FAVICONE).
FAVORI: Lien répertorié dans une liste d'URL préférées. (définition FAVORI).
FAVORIS: Dans L?explorateur Windows ou Internet Explorer, les favoris sont les onglets permettant d?accéder rapidement à une adresse couramment utilisée. (définition FAVORIS).
FAX: Abréviation de fac-similé, synonyme de télécopie ou de télécopieur. (définition FAX).
FBBG: "Follow book, book is good". (définition FBBG).
FBF: "Fédération Bancaire Française", organisme professionnel de l'ensemble des banques présentes en France, analyse, communique et anime autour de la profession. (définition FBF).
FBGA: "Fine Pitch Ball Grid Array", paquetage de puces AMD. (définition FBGA).
FCA: "Fibre Channel Association", association de fournisseurs visant à promouvoir l'utilisation de la technique Fibre Channel. (définition FCA ).
FC-AL: "Fibre Channel-Arbitrated Loop", norme d'interface série de disque dur, visant à remplacer l'ultra SCSI, offrant un débit allant jusqu'à 100 Mbps par l'utilisation de fibre optique. (définition FC-AL).
FCB: "File Control Bloc", descripteur de fichiers sous MS-DOS. (définition FCB).
FCBGA: "Flip Chip Ball Grid Array", enveloppe de circuit intégré utilisant en guise de contact à la place des pattes classiques, des billes de métal. (définition FCBGA).
FCC: Organisation américaine réglementation la tarification des services de télécommunication. (définition FCC).
FCFS: "First Come, First Serve", premier arrivé, premier servi. (définition FCFS).
FCI: "Fournisseur de Contenu sur Internet". (définition FCI ).
FCIP: "Fibre Channel over IP", encapsulation de Fibre Channel de sorte qu'il passe dans de l'IP pour connecter des SAN sur de longues distances. (définition FCIP ).
FCOL: Forum francophone sur l'Usenet consacré à Linux. (définition FCOL).
FCS: Frame Check Sequence. Code ajouté à la fin d?une trame permettant de détecter les anomalies. (définition FCS).
FCSM: Newsgroup consacré à Apple. (définition FCSM).
FDC: "Floppy Disk Controler", controleur de lecteur de disquette. (définition FDC).
FDDI: "Fiber Data Distribution Interface", réseau local offrant un débit de 100 Mbps, développé par l'ANSI, concurrençant l'ATM. (définition FDDI).
FDDI: Norme de réseau local, utilisant des support en fibre optique et basée sur un topologie en anneau double. (définition FDDI).
FDHD: "Floppy Disk High Density", disquette haute densitépouvant contenir 1,44 Mo de données. (définition FDHD ).
FDISK: Utilitaire de partitionnement de disques. (définition FDISK ).
FDL: "Free Documentation License", licence d'exploitation de documentations mise au point par le biais du projet GNU. (définition FDL).
FDM: Multiplexage fréquentiel. (définition FDM).
FDMA: Mode de multiplexage fréquentiel utilisé par la téléphonie mobile. Chaque utilisateur possède sa propre fréquence pour le temps de sa communication. (définition FDMA).
FDP: "Facial Definition Parameters", ensemble de paramètres définis par la norme MPEG-4 nécessaires à la calibration et à la modélisation de visage. (définition FDP ).
FDSE: "Full Duplex Schwitched Ethernet", synoyme d'ethernet. (définition FDSE).
FDU: "Font DeUglification", gestion de fontes sous X Window par le biais d'un serveur de polices True Type. (définition FDU).
FDX: "Full DupleX". (définition FDX).
FEATURE SCHOCK: Tiré du titre d'un livre éponyme d'Alvin Toffler, confusion face à un paquetage contenant un nombre trop élevé de fonctions et un manuel trop peu fourni. (définition FEATURE SCHOCK).
FEDORA: Distribution de Linux par Red Hat. (définition FEDORA).
FEED: Contribution par articles à une discussion sur un serveur de News. Par extension, ensemble des sources des articles d'un serveur de News. (définition FEED).
FEEDEUR: Site fournissant un autre site en News. (définition FEEDEUR).
FEMMA: "Foldable Electronic MemoryModule Assembly" (définition FEMMA).
FENêTRAGE: Découpage en fenêtres d'un affichage de données de programme. Technique donnant sens à une date exprimée sur deux chiffres par attribution d'une certaine valeur à un siècle donné. (définition FENêTRAGE).
FENêTRE GLISSANTE: Controle de "bout en bout", dans un protocole réseau. Sa taille correspond au nombre de paquets pouvant être émis sans attendre d'accusé de réception de la part de son destinataire, accroissant la capacité du canal de transmission et permettant son adaptation en fonction de l'état d'engorgement du canal. (définition FENêTRE GLISSANTE).
FENêTRE: Affichage d'informations à l'écran dont la taille est paramétrable à l'envi, modifiant par là sa surface de travail, et partageable en autant d'écran figuarant autant d'espaces de travail. Désigne aussi l'obturateur du clapet d'une disquette. (définition FENêTRE).
FENêTRE: Se dit d'un environnement ou d'une application permettant ou nécessitant l'usage de fenêtres. (définition FENêTRE).
FENêTRIER: Utilisateur d'un système à Fenêtres. (définition FENêTRIER).
FEP: Processeur réalisant en autonomie les tâches de télécommunications. (définition FEP).
FEPROM: "Flash Erasable Read Only Memory", mémoire flash. (définition FEPROM).
FER A DORER: Outil le plus souvent en bronze avec un relief qui permet la reproduction d?un document en dorure. (définition FER A DORER).
FERME: Lieu de stockage de servueurs, imprimantes ou fichiers. (définition FERME).
FERRET: Synonyme de balise. (définition FERRET ).
FEUILLE DE STYLE: Document décrivant l'interprétation de balises d'autres documents sur l'Internet. (définition FEUILLE DE STYLE).
FEUILLE DE STYLE: Fichier informatique regroupant des paramètres concernant la présentation graphique d?une page. (définition FEUILLE DE STYLE).
FEUILLE: Contenant de données de type dialogue, macro ou calcul. (définition FEUILLE).
FEUILLET: Dénomination désignant une subdivision de la page au format rogné ou pas. (définition FEUILLET).
FFT: "Final Form Text", texte non modifiable formaté en DCA. "Fast Fourier Transform", transformée de fourier rapide. (définition FFT).
FFTDCA: "Final-Form Text Document Content Architecture". "Fixed Get Regular Expression Pattern", version de grep permettant la recherche de chaà®nes. (définition FFTDCA).
FHI: "Fournisseur d'Hébergement sur l'Internet". (définition FHI).
FHS: "Filesystem Hierarchy Standard", standard d'indication de placemen de fichiers dans un système Linux,qui défini par le projet LSB vaut aussi pour certains eutres Unices tel que BSD. (définition FHS).
FHSS: "Frequency Hopping Spread System", dans un réseau sans fil, utilisation par saut des fréquences. (définition FHSS).
FI: "Form Interpreter", ancinne désignation de l'équivalent PHP. (définition FI).
FI: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Finlande. (définition FI).
FIABILITE: Probabilité du fonctionnement sans tomber en panne pendant un certain temps et dans des conditions d'utilisation définies, d'un sustème informatique. (définition FIABILITE).
FIAM: "Fédération Internationale des Associations Multimedia". (définition FIAM).
FIBRE CHANNEL: Norme de transmission de données offrant des transmissions de données à un débit de 100 Mo/s sur des sections maximum de 10 Km. (définition FIBRE CHANNEL).
FIBRE OPTIQUE: Mince et fragile fil de verre permettant le transport de données sous forme d'impulsion lumineuses, insensible aux variations électromagnétiques. (définition FIBRE OPTIQUE).
FICHER PLAT: Synonyme de fichier texte. (définition FICHER PLAT).
FICHIER A TROUS: Fichier contenant une ou plusieurs séries continues de caractères identiques. (définition FICHIER A TROUS).
FICHIER D'AIDE: Fichier contenant une aide en ligne sur l'utilisation d'un logiciel ou d'une application. (définition FICHIER D'AIDE).
FICHIER DE CONFIGURATION: Fichier des paramètres de foctionnement d'un programme. (définition FICHIER DE CONFIGURATION).
FICHIER DE TRACE: Synonyme de logfile, journal. (définition FICHIER DE TRACE).
FICHIER D'ECHANGE: Fichier utilisant une partie d'un disque dur de la même manière que de la mémoire vive. (définition FICHIER D'ECHANGE).
FICHIER D'INITIALISATION: Fichier exécutable contenant le paramétrage par défaut d'un programme. Son extension sous Windows est ".ini". (définition FICHIER D'INITIALISATION).
FICHIER SOUCE: Fichier contenant du code source. (définition FICHIER SOUCE).
FICHIER SYSTEME: Fichier nécessaire au fonctionnement du système d'exploitation. (définition FICHIER SYSTEME).
FICHIER TEXTE: Fichier ne contenant que du texte. (définition FICHIER TEXTE).
FICHIER: Ensemble d'informations stockées sur différents supports et dont la méthode de stockage implique un format. (définition FICHIER).
FIDONET: Réseau de BBS d'échange de courrier. (définition FIDONET).
FIF: "Fractal Image File", format graphique extrêmement compacté par l'usage de fractales offrant une très bonne qualité (définition FIF).
FIFO: "First In, First Out", premier arrivé, premier servi, désigne un file d'attente. (définition FIFO).
FIFO: First In First Out. Type de File d?attente dans laquelle le premier arrivé et le premier servi. (définition FIFO).
FIL: Abréviation de "fil de discussion". (définition FIL ).
FIL D'ATTENTE: Ensemble d'objets dans lequel le premier à être disponible este le premier à y avoir été placé. (définition FIL D'ATTENTE).
FIL DE DISCUSSION: Série de messages se répondant les uns aux autres. (définition FIL DE DISCUSSION).
FIL DE FER: Mode de rendu 3D ne figurant que les arrêtes d'un volume. (définition FIL DE FER).
FILAIRE: Désigne un objet relatif aux fils, se dit par exemple d'un réseau. (définition FILAIRE).
FILE VAULT: Chiffrement de données à la volée sous Mac OS X,sur la base de l'algorithma AES-128. (définition FILE VAULT).
FILE_ID.DIZ: Fichier texte présentant le descriptif succint d'une archive. (définition FILE_ID.DIZ).
FILER: Serveur de fichiers. (définition FILER).
FILET: Trait de taille variable accompagnant des éléments de texte ou des images afin de les mettre en évidence. (définition FILET).
FILEUTILS: Ensemble de programmes permettant la manipulation de fichiers sous Unix. (définition FILEUTILS).
FILIGRANE: Motif résultant de l?écrasement des fibres lors de la création d?une feuille de papier. (définition FILIGRANE).
FILM: Pellicule photographique. (définition FILM).
FILO: "First In, Last Out", premier entrée, dernier sorti, désigne une pile. (définition FILO).
FILTRAGE COLLABORATIF: Filtrage d'informations en fonction de l'avis d'utilisateurs. (définition FILTRAGE COLLABORATIF).
FILTRAGE: Fait de filtrer. (définition FILTRAGE).
FILTRE BAYESIEN: Filtre permettant le tri d'emails, par le biais d'une méthode prédictive probabiliste. (définition FILTRE BAYESIEN).
FILTRE: Matrice de traitement d'image par convolution. Structure de programme permettant le choix entre différentes conduites en fonction de la valeur d'une expression ou d'une variable. (définition FILTRE).
FILTRER: Sélectionner des données par le biais d'un filtre. (définition FILTRER).
FIN DE SESSION: Traduction de "logoff" ou "logout". (définition FIN DE SESSION).
FINDER: Shell graphique d'Apple d'opérations courantes. (définition FINDER).
FIP: "Factory Instrumentation Protocol", norme de réseau de terrain. (définition FIP).
FIREBIRD: Browser multiplateformes basé sur Mozila. (définition FIREBIRD).
FIREFOX: Nom de Firebird à partir de sa version 0.8. (définition FIREFOX).
FIREWALL: Ou Pare Feu. Logiciel ou matériel permettant de protéger les éléments d?un réseau des attaques d?un autre réseau lié par une passerelle. (définition FIREWALL).
FIREWALLING: Fait d'utiliser un firewall. (définition FIREWALLING).
FIREWIRE: Norme de bus fonctionnant en mode série, permettant le branchement de périphériques externes et supportant le plug-and-play. Le débit maximal atteint est de 800 Mbits/s. (définition FIREWIRE).
FIRMWARE: Logiciel intégré à un matériel et permettant son exploitation. (définition FIRMWARE).
FIRST: "Forum of Incident Response and Security Teams", organisme de coordination des CERT. (définition FIRST).
FISH: "First In, Still Here", premier arrivé, toujours l&. (définition FISH).
FIWI: Abréviation de "firewire". (définition FIWI).
FIX: "Federal Inormation eXchange", nÅ?ud d'interconnexion du gouvernement américain à l'Internet. (définition FIX).
FIXME: Littéralement "Corrigez-moi", note ajoutée à un programme par un programmeur indiquant le point d'un problème dans un code source. (définition FIXME).
FIXPACK: Ensemble de pachs destiné à la correction de bugs d'un système. (définition FIXPACK).
FJ: à la fin d'une URL, signale que le site est basé aux iles Fidji. (définition FJ).
FK: à la fin d'une URL, signale que le site est basé aux iles Faulkland. (définition FK).
FLA: "Four Letters Acronym", acronyme à quatre lettres. (définition FLA).
FLACHE: Déformation péjorative de "flash", format d'animation vectorielle utilisé sur l'Internet. (définition FLACHE).
FLAG: Littéralement "drapeau", valeur binaire, synonyme d'indicateur. (définition FLAG).
FLAME BAIT: Article polémique sur l'Internet desiné à créer la zizanie. (définition FLAME BAIT).
FLAME: Article violent et agressif sur l'Internet. (définition FLAME).
FLAMER: Se trouver être attaqué sur un réseau suite à la parution de flame. (définition FLAMER).
FLAMING: Campagne de propagande injurieuse sur un réseau. (définition FLAMING).
FLASH MOB: Manifestation éclair, forme de happening dans un lieu public initié par voie de communication technologique type SMS, email, etcâ?¦ (définition FLASH MOB).
FLASH MX: Version de Flash datant de 2002. (définition FLASH MX).
FLASH: Format d'animation vextorielle sur l'Internet à l'extension associée" (définition FLASH).
FLASHAGE: Opération qui consiste à réaliser un film à partir d?un fichier informatique. (définition FLASHAGE).
FLAT PANEL: Ecran cathodique à surface d'affichage plane et non bombée. (définition FLAT PANEL).
FLC: Format de fichier d'animation d'Autodesk. (définition FLC).
FLEX ATX: Format de carte mère Micro ATX. (définition FLEX ATX).
FLEXOGRAPHIE: Procédé d?impression en relief. (définition FLEXOGRAPHIE).
FLI: Format de fichier d'animation d'Autodesk antérieur à FLC. (définition FLI).
FLIGHT SIMULATOR: Simulateur de vol édité par Microsoft. (définition FLIGHT SIMULATOR).
FLINGUER: Synonyme de détruire ou de casser. (définition FLINGUER).
FLIP: Synonyme de bascule, interversion entre un écran logique et un écran physique, désigne par extension tout basculement d'un valeur binaire. Méthode affichant une image tout en travaillant sur une autre en mémoire, permettant d'éviter un phénomène de scintillement. (définition FLIP).
FLOAT: Type de données d'une valeur codée en virgle flottante, désignant par extension tout nombre réel. Synonyme francisé, flottant. (définition FLOAT).
FLOOD: Traduit par "inondation", fait d'envoyer une très grande quantité de messages de manière à saturer une boà®te aux lettres ou serveur. (définition FLOOD).
FLOODING ALGORITHM: Algorithme de diffusion d'un message à tous les nÅ?uds d'un réseau, de telle sorte que chaque nÅ?ud soit en mesure de le recevoir e de le réexpédier. (définition FLOODING ALGORITHM).
FLOP: Echec commercial d'une publication logicielle. (définition FLOP).
FLOPPY: Abréciation de "Floppy disk", disquette. (définition FLOPPY).
FLOPS: "FLoating Point Operation per Second", opération en virgule flottantepar seconde, mesurant la vitesse de calcul d'un ordinateur ou d'un processeur. (définition FLOPS).
FLOSS: "Free Libre Open Source Software", expression désignant les diférentes manières de désigner le logiciel libre. (définition FLOSS).
FLOT: Synonyme de flux de données. (définition FLOT).
FLOTTANT: Widget dont la position semble flotter. Désigne aussi une valeur réelledont la virgule n'est pas fixe. (définition FLOTTANT).
FLOU CINETIQUE: Version française de motion blur. (définition FLOU CINETIQUE).
FLOUTAGE: Fait de rendre floue tout ou partie d'image. (définition FLOUTAGE).
FLOUTER: Faire action de floutage. (définition FLOUTER).
FLOWCHART: Spécification de programmes utilisant des symboles, associée au COBOL. (définition FLOWCHART).
FLOWCHARTER: Programme de réalisation de flowcharts. (définition FLOWCHARTER).
FLUX DE DONNEES: Synonyme de stream sous Unix. (définition FLUX DE DONNEES).
FLUX: Vidéo diffusée en streaming sur un réseau. (définition FLUX).
FLX: Type de format d'image. (définition FLX).
FM: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Micronésie. (définition FM).
FM: Frequency Modulation. Mode de transmission par radio. (définition FM).
FMD-ROM: "Fluorescent Multiplayer Disc ROM", type de dique de stockage d'une capacité de 140 Go sur 10 couches. (définition FMD-ROM).
FMS: "Fortran Monitor System", OS basé sur le Fortran. (définition FMS).
FNB: "Forme de Naur Backus". (définition FNB).
FND: Fichier de description de recherche de fichier sous Windows 95. (définition FND).
FNNB: "Forme Normale de Naur Backus". (définition FNNB).
FNT: Extension de fichier contenant une police de caractère. (définition FNT).
FO: à la fin d'une URL, signale que le site est basé aux iles Féroé. (définition FO).
FOAD: "Friend Of A Friend", ami d'un ami, forme de rumeur. (définition FOAD).
FOCUS: Elément affiché par un système d'expoitation recevant les ordres de l'uilisateur. (définition FOCUS).
FOGGING: Simulation d'effets de brouillard (définition FOGGING).
FOIRE AUX QUESTIONS: Version française de FAQ. (définition FOIRE AUX QUESTIONS).
FOIRER: Action de dysfonctionner pour un programme avant son débuggage. (définition FOIRER).
FOIRL: "Fiber Otic Inter Repeater Link", norme de connexion de la fibre optique. (définition FOIRL).
FOLDER: Dossier, répertoire, élément d'une arborescence de fichiers pouvant contenir des fichiers ou des sous-dossiers. (définition FOLDER).
FOLDOC: Dictionnaire anglophone de l'informatique. (définition FOLDOC).
FOLIO: Numéro contenu dans les pages d?un document. (définition FOLIO).
FOLIOTAGE: Action de numéroter les pages d?un document. (définition FOLIOTAGE).
FOLLOW-UP: Sur l'Usenet réponse à un article par un autre aricle. (définition FOLLOW-UP).
FON: Fichier de description d'une fonte. (définition FON).
FONCTION: Ensemble d'ordres accomplissant une tâche renvoyant un résultat. (définition FONCTION).
FONCTIONNEL: Se dit d'un type de programmation utilisant des fonctions entre ensembles. (définition FONCTIONNEL).
FOND D'ECRAN: Synonyme de papier peint de bureau. (définition FOND D'ECRAN).
FOND PERDU: Impression d?une image débordant du cadre de la feuille. (définition FOND PERDU).
FONDEUR: Fabricant de circuits intégrés et de processeurs. (définition FONDEUR).
FONTE: Ensemble complet des caractères d?un certain style (police), comprenant les lettres les chiffres et la ponctuation. (définition FONTE).
FOO: RFC 3092. (définition FOO).
FOOBAR: Référence à l'acronyme de la seconde guerre mondiale "FUBAR", "Fucked Up Beyond All Recognition", utilisé comme nom d'exemple remplaçant tout ou n'importe quoi. (définition FOOBAR).
FOOTPRINT: "Empreinte", quantité de ressources utilisée par une application lors de son exécution. (définition FOOTPRINT).
FOPC: "First Order Predicate Calculus", calcul de prédicts de premier ordre. (définition FOPC).
FOR: Structure de controle définissant une boucle. (définition FOR).
FORA: Puriel de forum. (définition FORA).
FORAGE: Datatiming dans un datawarehouse. (définition FORAGE ).
FORçAGE DE TYPE: Modification du type d'une variable déjà déclarée. (définition FORçAGE DE TYPE).
FORCE BRUTE: Type de programmation fondée sur la puissance de calcul d'un ordinateur. (définition FORCE BRUTE).
FORCER: Introduire une valeur déterminée dans une vaiable. (définition FORCER).
FOREGROUND: Avant-plan. (définition FOREGROUND).
FORGER: En informatique, réaliser un faux. (définition FORGER).
FORK: Primitive créant un nouveau processus à partir d'un autre sans détruire ce dernier. (définition FORK).
FORM FEED: Caractère de commande signalant un saut de page. Abréviation de Firefox. (définition FORM FEED).
FORM: Abréviation de "format", circulaire en anglais. (définition FORM).
FORMAT 16/9: Standard de dimension de l?image d?un film. 16/9 représente le rapport de la largeur sur la hauteur. (définition FORMAT 16/9).
FORMAT DE NOMBRE: Moyen visuel d'affichage d'un nombre. (définition FORMAT DE NOMBRE).
FORMAT DTRING ATTACK: Attaque rendue possible par l'omission de la spécification du format nécessaire pour l'affichaged'une chaà®ne enC. (définition FORMAT DTRING ATTACK).
FORMAT MATRICIEL: Format d?un image constitué d?une matrice de points appelés pixels et ayant une dimension fixe et déterminée. La taille des points détermine la résolution qui s?exprime en dpi. (définition FORMAT MATRICIEL).
FORMAT OUVERT: Format de données dont les spécifications sont à la disposition du public de manière libre et gratuite. (définition FORMAT OUVERT).
FORMAT PROPRIETAIRE: Format exclusivement utilisé par un programme. Ces formats doivent être exportés ou importés pour être utilisé par un autre programme. (définition FORMAT PROPRIETAIRE).
FORMAT VECTORIEL: Image définie non pas par un ensemble de points colorés mais par des entités telles que des courbes, paramétrées par des équations mathématiques. Ce format permet d?être indépendant de la résolution des périphériques. (définition FORMAT VECTORIEL).
FORMAT: Désigne pour un fichier, la manière dont ses données sont codées, ainsi que le type de support utilsé pour un stockage, ou encore le nom d'une commande de formatage. (définition FORMAT).
FORMATAGE: Action de formater un disque en effaçant la structure de ses données, ou ses données elle-mêmes. Désigne aussi la mise en forme de données. (définition FORMATAGE).
FORMATER: Faire action de formatage, ou aussi mettre en forme des données. (définition FORMATER).
FORMATEUR: Classe d'utilitaire dédié au formatage. (définition FORMATEUR).
FORME FACTOR: Standart de format des dimensions des périphériques externes exprimées en pouces. (définition FORME FACTOR).
FORME: Composition prête à être imprimée et montée par page. (définition FORME).
FORMULAIRE: Synonyme de boà®te de dialogue. Désigne aussi sur l'Internet un document permettant la collecte d'information par l'intermédiaire de champs à compléter. (définition FORMULAIRE).
FORRESTER, JAY: Concepteur du Whirlwind en 1944, premier calculateur en temps réel. (définition FORRESTER, JAY).
FORT: Prioritaire, comptant le plus. (définition FORT).
FORTH: langage de programmation en temps réel de mini-ordinateurs ayant engendré le postscript. (définition FORTH).
FORTRAN 66: Version de fotran IV standarisée. (définition FORTRAN 66).
FORTRAN 77: Version grand public de fortran. (définition FORTRAN 77).
FORTRAN 90: Veion de fortran publiée en 1990. (définition FORTRAN 90).
FORTRAN: "Formula TRANslation", un des tout premier langage orienté vers les apllications scientifiques. (définition FORTRAN).
FORTUNE: Pensée, aphorisme ou citation tenant lieu d'éphéméride. (définition FORTUNE).
FORUM DE DISCUSSION: Pages Internet sur laquelle des personnes échanges des messages afin de réaliser une discussion sur un thème donné. (définition FORUM DE DISCUSSION).
FORUM: Lieu viruel sur un réseau d'échanges entre utilisateurs. (définition FORUM).
FORUMEUR: Personne utilisant un forum. (définition FORUMEUR).
FORWARD: Fait de faire suivre un message à un destinataire. (définition FORWARD).
FORWARDER: Faire suivre un message à un autre destinataire. Transmettre d'un port à un autre une donnée. (définition FORWARDER).
FOSS: "Free Open Source Softaware", logiciel libre et gratuit. (définition FOSS).
FOSSILE: Fonction d'un logiciel ne pouvant être comprise qu'en référence à un contexte disparu. (définition FOSSILE).
FOSTER: Nom de code du Pentium 4 Xeon. (définition FOSTER ).
FOT: Fichier d'une police de caractère. (définition FOT).
FOULAGE: Déformation du papier lors de l?impression. (définition FOULAGE).
FOUR: Dans une imprimane laser, partie chauffant fortement la poudre d'encre de manière à la fixer sur la page. (définition FOUR).
FOURCC: "Four Character Code", code à quatre caractères en début de fichier indiquant son type de contenu. (définition FOURCC).
FOURNISSEUR D?ACCES INTERNET: Ou FAI. Prestataire de service qui fourni un accès payant à Internet par l?intermédiaire des lignes téléphoniques. (définition FOURNISSEUR D?ACCES INTERNET).
FOURNISSEUR D'ACCES: Traduction de "provider", société permettant l'accès à l'Internet. (définition FOURNISSEUR D'ACCES).
FOX PRO: s parties d'un document, ou de différents document. (définition FOX PRO).
FPGA: "Field Programmable Gate Array", circuit intégré programmable. (définition FPGA).
FPM: "Fast Page Mode", type de gestion de mémoire dans les PC. (définition FPM).
FPR: "Fichier des Personnes Recherchées". (définition FPR).
FPS: "Frame Per Second", images par seconde, unité de mesure de la vitesse d'une animation. "First Personn Shooter", jeu de tir en vue subjective. (définition FPS).
FPU: "Floating Point Unit", unité de calcul en vigule flottante. (définition FPU).
FQDN: "Fullt Qualified Domain Name", nom complet d'un hote sur l'Internet. (définition FQDN).
FR: "Full Rate". (définition FR ).
FR: Digraphe désignant communément la France, la langue française dans les traductins, le nom du domaine dédié aux sites français ainsi que la hiérarchiedes forums francophone sur l'Usenet. (définition FR ).
FRACTAL: Objet mathématique dont la forme ne trouve ses règle que dans l'irrégularité et la fragmentation des branches des mathématiques qui les étudient, servant à la modélisation de certains objets naturels. (définition FRACTAL).
FRACTALE: Algorithme de compression avec perte d?information. (définition FRACTALE).
FRACTINT: Freeware de calcul de fractales utilisant les entiers plutot que le calcul en vigule flottante. (définition FRACTINT).
FRACTIONNEMENT: Technique d'affichage dans une même fenêtre d'informations issues de différent documents. (définition FRACTIONNEMENT).
FRACTIONNER: Utiliser le fractionnement. (définition FRACTIONNER).
FRAG: Dans un jeu vidéo multijoueur, point marqué contre un adversaire. (définition FRAG).
FRAGGER: Tuer, réduire en fragments un de ses adversaires dans un jeu vidéo. (définition FRAGGER).
FRAGMENTATION: Taux de fichiers sur un disque dur contenus dans des clusters discontigà¼s. (définition FRAGMENTATION).
FRAGMENTE: Se dit d'un disque dur dont les clusters contenant un même fichier sont discontigà¼s. (définition FRAGMENTE ).
FRAME BUFFER: Partie de la mémoire gérée comme la représentation directe des pixels affichés à l'écran. (définition FRAME BUFFER).
FRAME RELAY: Relais ou relayage de trame. (définition FRAME RELAY).
FRAME RELAY: Relayage de trame. Désigne aussi un onglet, à savoir la division de la fenêtre d'un browser en autant de de petites fenêtres correspondant à autant d'URL. (définition FRAME RELAY).
FRAME: Dans une animation , une image fixe. (définition FRAME).
FRAME: Equivalent de trame en anglais. Entité indivisible destinée à être transmis par l?intermédiaire d?un réseau, elle contient à la fois les informations à transmettre et des champs de contrôle des données. (définition FRAME).
FRAMEWORK: "Bibliothèque de classes spécialisées", ossature, charpente d'une application. (définition FRAMEWORK).
FRANCE TELECOM: Opérateur téléphonique historique français. (définition FRANCE TELECOM).
FRAPPE: Fait d'enfoncer les touches d'un clavier. (définition FRAPPE).
FRAPPER: Faire action de frappe. (définition FRAPPER).
FREEBSD: Version libre d'Unix. (définition FREEBSD).
FREELOADER: Synonyme de leecher, personne téléchargeant des données sans les échanger en retour. (définition FREELOADER).
FREESBEE: CD-R dont la gravure a échoué. (définition FREESBEE).
FREEWARE: Logiciel gratuit, à la différence d?un shareware qui est payant. (définition FREEWARE).
FREEZE: Issu du verbe anglais signifiant geler, désigne l'arrêt sur image dans une animation graphique, le blocage d'un ordinateur dont les mémoires restent sous tension. (définition FREEZE).
FREQUENCE D?ECHANTILLONNAGE: Défini l?intervalle de temps entre deux informations numériques dans un fichier audio. Plus la fréquence d?échantillonnage est élevée, meilleure est la qualité. Celle des CD Audio est de 44.1 KHz. (définition FREQUENCE D?ECHANTILLONNAGE).
FREQUENCE DE BALAYAGE: Nombre de pages et de lignes rafraà®chies par un écran en une seconde, exprimée en Hz. (définition FREQUENCE DE BALAYAGE).
FREQUENCE D'HORLOGE: Vitesse de fonctionnement d'un processeur exprimée en Mhz. (définition FREQUENCE D'HORLOGE).
FREQUENCE DU PROCESSEUR: La fréquence d?un processeur indique la quantité d?opérations élémentaires effectuées en un intervalle de temps donné. Elle s?exprime aujourd?hui en Giga Hertz et plafonne aux alentours de 3.5 GHz pour les processeurs les plus performant. (définition FREQUENCE DU PROCESSEUR).
FREQUENCE VOCALE: Gamme de fréquence de la voix humaine, de 300 à 3500 Hz. (définition FREQUENCE VOCALE).
FREQUENCE: Nombre d?entité transmise pendant un intervalle de temps. (définition FREQUENCE).
FREQUENCE: Vitesse de fonctionnement d'un processeur exprimée en Mhz, traduisant la vitesse de son horloge interne. (définition FREQUENCE).
FRIBI: De l'anglais FreeB, abréviation de FreeBSD. (définition FRIBI).
FRIMOUSSE: Version française officielle de smiley. (définition FRIMOUSSE ).
FRONTAL: Ensemble désignant l'interface entre un utilisateur et un système. (définition FRONTAL).
FS: "File System", système de gestion de fichiers. (définition FS).
FS5: "Flight Simulator 5", simulateur de vol. (définition FS5).
FSB: "Front Side Bus", bus reliant un processeur à la mémoire, au chipset, au cache externe et aux divers autres bus. (définition FSB).
FSC: "Free Software Community", communauté du logiciel libre. (définition FSC).
FSERV: Abréviation de "File server", serveur de fichiers. (définition FSERV).
FSF: "Free Software Foundation", fondation créée par Richard Stallman visant à promouvoir le logiciel libre et au développement d'applications libres de droit sous licence GPL, dont les principaux représentants forment le projet GNU. (définition FSF).
FSFE: "Free Software Foundation Europe", division européenne de la FSF. (définition FSFE).
FSFG: "Free Standart Group", groupe de standardisation de Linux. (définition FSFG).
FSK: "Frequency Shift Keyed". (définition FSK).
FSTN: "Film Super Twisted Nematic", synonyme de STN. (définition FSTN).
FT: Abréviation de France Telecom. (définition FT).
FTAM: Norme de l?iso décrivant la gestion et le transfert de fichier à distance, contenu dans la couche application du modèle ISO. (définition FTAM).
FTLS: "Format Top Level Specification", spécification formelle de vérification d'un programme. (définition FTLS).
FTN: "ForTraN", fichier de code source en fortran. (définition FTN).
FTP ANO: Terme désignant une utilisation du FTP, le téléchargement grâce à un compte anonyme. (définition FTP ANO).
FTP: "File Transfert Protocol", prtocole de transfert de fichiers sur un réseau, désigne aussi la commande permettant d'utiliser ce protocole. (définition FTP).
FTP: File Transfer Protocol. Protocole d?échange de fichier entre un client et un serveur sur internet. (définition FTP).
FTPD: Version MS-DOS de FTP. (définition FTPD).
FTPER: Utiliser le logiciel FTP. (définition FTPER).
FTTC: "Fiber To the Curb", interconnexion à l'aide de fibre optique, relayée par une section de cuivre, jusqu'au client. (définition FTTC).
FTTD: "Fiber To The Desktop", interconnexion à l'aide de fibre optique jusqu'au bureau de l'utilisateur. (définition FTTD).
FTTH: "Fiber To The Home", interconnexion à l'aide de fibre optique, juqu'au domicile du client. (définition FTTH).
FTTU: "Fiber To The User", interconnexion à l'aide de fibre optique, jusque chez l'utilisateur. (définition FTTU).
FU: Abréviation de français universel, version française des logiciels Apple pour MAC OS. "Follow Up". (définition FU).
FU2: "Follow Up To". (définition FU2).
FUBAR: Synonyme de foobar, "Failed UniBus Address Register". (définition FUBAR).
FUD WARS: "guerre du FUD", bataille que se livrent différents fournisseurs par les sentiments de peur instillés aux client de la conccurence. (définition FUD WARS).
FUD: "Fear Uncertainty and Doubt", terme de Gene Amdahl décrivant les sentiments inspirés par les commerciaux d'IBM à des clients potentiels hésitant entre leurs solutions et celles de la concurrence. (définition FUD).
FUITE DE MEMOIRE: Affection touchant certains OS, à la fin d'un processus, voyant le système incapable de libérer la mémoire. (définition FUITE DE MEMOIRE).
FUJITSU: Entreprise informatique japonaise. (définition FUJITSU).
FULL DUPLEX: Se dit d?une communication bidirectionnelle pour laquelle l?envoi et la réception peuvent s?effectuer simultanément. (définition FULL DUPLEX).
FULL MOTION VIDEO: Vidéo en mode plein écran et à 25 images/seconde. (définition FULL MOTION VIDEO).
FULL-DUPLEX: Communication sur une seule ligne dans les deux sens? (définition FULL-DUPLEX).
FULL-IP: Accès à l'Internet permettant l'accès à tout ses services. (définition FULL-IP).
FULLSCREEN: Plein écran. (définition FULLSCREEN).
FURETER: Pénétrer au cÅ?ur d'un système de manière à y récupérer des informations. (définition FURETER).
FURTIF: Se dit d'un programme ayant la capacité de se dissimuler aux yeux d'un utilisateur ou d'un OS. (définition FURTIF).
FUSION: Action consistant à fusionner différents ensembles en un seul. (définition FUSION).
FUSIONER: Réunir différents ensembles en un seul. (définition FUSIONER).
FUZZY LOGIC: Logique floue. (définition FUZZY LOGIC).
FUZZY: Flou. (définition FUZZY).
FVWM: "Feeble Virtual Window Manager", window manager pou Linux dérivé de TWM. (définition FVWM).
FVWM2: Seconde version de FVWM. (définition FVWM2).
FVWM95: Version de FVWM inspirée de Windows 95. (définition FVWM95).
FW: Abréviationde firewall ou de firewire. (définition FW).
FXP: Variante de FTP permettant un transfert direct entre deux serveurs FTP. (définition FXP).
FYA: "For Your Amusement". (définition FYA).
FYI: "For Your Inforamation", document informatif sans caractère normatif. (définition FYI).
G++: Surnom de la version GNU de C++. (définition G++).
G11N: Contraction de globalisation, synonyme d'internationalisation. (définition G11N).
G3: Processeur PowerPC 32 ou 64 bits utilisé sur Macintosh depuis 1997. (définition G3 ).
G4: Machine faisant partie de la série " IMac", mis sur le marché en 2002. (définition G4 ).
G4 MIROIR: Série de PowerMac G4 ayant comme particularité l'habillage en aluminium. (définition G4 MIROIR).
G4: Processeur PowerPC 32 ou 64 bits utilisé sur Macintosh depuis 1999 succédant au G3. Par extension désigne les boà®tiers tour qui en sont équipés. (définition G4).
G5: Processeur 64 bits successeur du G4 en 2005. Par extension désigne les boà®tiers tour qui en sont équipés. (définition G5).
GA: "Go Ahead", à vous. "Genetic Algorithm", algorihme génétique. (définition GA ).
GA: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Gabon. (définition GA ).
GABARIT: Structure définissant la mise en page d?un document, utilisé de façon répétitive pour un certain type de document. (définition GABARIT).
GACHE: Quantité de papier nécessaire pour mettre au point une opération de transformation. (définition GACHE).
GAL: "Get A Life", apprends à vivre. (définition GAL).
GALIA: Association de constructeurs automobiles et des équipementiers pour la promotion de l?EDI (Echange de Données Informatisées) inter entreprise. (définition GALIA).
GAME BOY ADVANCE: Game Boy Color dotée d'un écran plus grand. (définition GAME BOY ADVANCE).
GAME BOY COLOR: Game Boy dotée d'un écran couleur. (définition GAME BOY COLOR).
GAME BOY: Console de jeu portable Nintendo sortie en 1989, disposant d'un écran noir et blanc. (définition GAME BOY).
GAMIN: "Gestion Autonome de Médecine Infantile". (définition GAMIN).
GAMMA: Réglage des composantes couleur d'une image, redistribuant les pixels de manière à ne pas surexposer les zones claire. (définition GAMMA).
GAMME: Couleur que l?on obtient par le mélange de quatre couleurs primaires : rouge, bleu, jaune et noir pour la gamme européenne par exemple. (définition GAMME).
GAMUT: Gamme de couleur reproductble par un périphérique. (définition GAMUT).
GANG SCREEN: Synonyme d'écran caché. (définition GANG SCREEN).
GANT DE DONNEES: Dataglove en anglais, gant bardé se capteurs numérisant en temps réel les mouvements d'une main. (définition GANT DE DONNEES).
GAO: "Graphisme Assisté par Ordinateur". (définition GAO).
GAP: "Générateur Automatique de Programmes", langage de programmation d'IBM destiné aux applications de gestion. (définition GAP).
GARBAGE COLLECTION: Récupération d'emplacements en mémoire qui ne sont plus utilisés par le système, mise à jour des tables d'allocation de mémoire. (définition GARBAGE COLLECTION).
GARBAGE COLLECTOR: Logiciel mettant en Å?uvre une garbage collection. (définition GARBAGE COLLECTOR).
GARBAGE: Contenu d'une variable déclarée mais pas encore initialisée dans des langages comme C ou Pascal. (définition GARBAGE).
GARDE BARRIERE: Equivalence française pour firewall, ensemble logiciel ou matériel empêchant les intrusions no autorisées sur un réseau, synonyme de pare-feu. (définition GARDE BARRIERE).
GART: "Graphic Adress Remapping Table", table de mappge des adresses graphiques pour une carte vidéo AGP. (définition GART).
GATES, BILL: Fondateur de Microsoft. (définition GATES, BILL).
GATEWAY 2000: Ancien nom du constructeur informatique Gateway. (définition GATEWAY 2000).
GATEWAY: En français passerelle, lien entre deux réseaux, souvent un ordinateur. Nom d'un constructeur informatique. (définition GATEWAY).
GAUFFRER: Synonyme de planter pour un système. (définition GAUFFRER ).
GAUFRAGE: Technique d?impression qui permet l?obtention de motifs tridimensionnels sur une feuille. (définition GAUFRAGE).
GAZELLE: Version française pour "Start up", au même titre que "jeune pousse". (définition GAZELLE ).
GB: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Grande-Bretagne. (définition GB).
GBITS: Giga Bits, un milliard de bits, unté de mesure des capacités de mémoire d'une puce. (définition GBITS).
GBITS/S: Giga Bits par seconde. (définition GBITS/S).
GBPS: Giga Bits par seconde, unité de mesure d'un débit de données. (définition GBPS).
GCC: "GNU C Compiler", puis "GNU Compiler Collection", compilateur C, C++, Objective C, CHILL, fortran, java et ada, du projet GNU. (définition GCC).
GCOS: "General Comprehensive Operating Supervisor". (définition GCOS ).
GCOS X: "General Comprehensive Operating Supervisor x". (définition GCOS X).
GD: Abréviation de groupe de discussion. "Graphic Display", bibliothèque au standard ANSI C, permettant la production dynamique d'images. (définition GD ).
GD: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à la Grenade. (définition GD).
GDB: Débogueur du projet GNU. (définition GDB).
GDF: "Geographic Data File", standard européen de création et de description de bases de données relatives aux routes. (définition GDF).
GDI: Ensemble de fonctions qui permettent à Windows l?affichage d?une image à l?écran, mais aussi vers une imprimante ou un fax. (définition GDI).
GDM: "Gnome display manager", gestionnaire de session X du projet Gnome au fonctionnalités similaires à xdm. (définition GDM).
GDMO: Guidelines for Definition of Managed Objects. Langage de programmation orientée objet qui décrit les MIB, Management Information Base, qui sont en fait des base de données d?administration. (définition GDMO).
GDT: "Global Description Table". "Gestion de Données Techniques". (définition GDT).
GE: "Générateur d'Enveloppes". (définition GE).
GE: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Géorgie. (définition GE).
GEANT: Â« Gà?ANT a été créé par un Consortium de réseaux nationaux de la recherche et de l'éducation, dont DANTE est le partenaire coordinateur. Cofinancé par la Commission Européenne, l'objectif du projet Gà?ANT était de créer un réseau fédérateur pan-européen pour la recherche fonctionnant à plusieurs Gigabits par seconde. Le réseau Gà?ANT est opérationnel depuis décembre 2001 et il fonctionne à des vitesses atteignant 10 gigabits par seconde. Il permet de connecter - via leurs réseaux nationaux de recherche - plus de 3000 institutions de recherche et d'enseignement dans un grand nombre de pays d'Europe, tout en offrant une connectivité avec les chercheurs sur d'autres continents. Gà?ANT dispose de la plus grande capacité et de la plus grande couverture géographique de tous les réseaux de ce type au monde. Il joue un role double, fournissant une infrastructure de support aux chercheurs ainsi qu'une infrastructure pour la recherche (en réseau) elle-même. DANTE fut également créé par les Réseaux nationaux de Recherche et d'Education d'Europe afin d'organiser, d'administrer et d'élaborer des services de réseaux internationaux pour leur propre compte ". Définition tirée du site même du consortium. (définition GEANT).
GECKO: Nom de code du moteur de rendu de pages we de Mozilla, compatible HTML, et avec les recommandations XML, DOM 1.O et CSS. (définition GECKO).
GECOS: "General Electric Comprehensive Operating Supervisor", système élaboré par General Electric, racheté par Honeywell-Bull, aujourd'hui architecture mourante propriétaire de Bull. (définition GECOS).
GED-1: "Gestion Eectronique de Documents". (définition GED-1).
GED-1: Norme de GED remplacée depuis par l'EIDE. (définition GED-1).
GEEK TALK: Discussion en temps réel, de geeks sur un réseau. (définition GEEK TALK).
GEEK: Passionné monomaniaque d'informatique, synonyme positif de "nerd". (définition GEEK).
GEEKETTE: Femelle geek. (définition GEEKETTE).
GEEKSPEAK: Sabir geek. (définition GEEKSPEAK).
GEFORCE: Série de carte vidéo produite par Nvidia. (définition GEFORCE).
GEIDE: "Gestion Electronique de l'Information et des Documents Existants". (définition GEIDE).
GEKKO: Processeur PowerPC G4 destiné à la console Dolphin de Nintendo. (définition GEKKO).
GEL DE CODE: Etape du développement d'un logiciel marquant l'arrêt de l'incorporation de nouvelles fonctionnalités. (définition GEL DE CODE).
GEM: "Graphical Environment Manager", interface graphique pour Atari ST. (définition GEM).
GENCOD: Format d'EDI de la grande distribution. (définition GENCOD).
GENCOD: Organisation française pour l?amélioration le codage des produits dans la distribution. (définition GENCOD).
GENDER CHANGER: Changeur de sexe. (définition GENDER CHANGER).
GENERAL MIDI: Norme MIDI spécifiant les numéros des instruments de musique, 128 instruments réaprtis en 16 familles. (définition GENERAL MIDI).
GENERATION: Classement normatif des ordinateurs selon leur mode de fonctionnement et les technologies utilisées. (définition GENERATION).
GENERER: Anglicisme signifiant en réalité engendrer. (définition GENERER).
GENERICITE: Fait pour un objet de pouvoir être utilisé en l'état dans différents contextes. (définition GENERICITE).
GENERIQUE: Carctérise la générisité. (définition GENERIQUE).
GENESIS: Console de jeu Sega 16 bits aussi appelée Mega Drive. (définition GENESIS).
GENETIQUE: Algorithmie dans laquelle des vecteurs de paramètre évoluent de manière similaire à des chromosomes par le biais de principes évolutionnistes. (définition GENETIQUE).
GENIE LOGICIEL: Ensemble de méthodes et de techniques nécessaires à la production de logiciels. (définition GENIE LOGICIEL).
GENIE: Réseau informatique privé dépendant de General Electric. (définition GENIE).
GENLOCK: Périphérique de digitalisation vidéo et d'enregistrement au format vidéo de signaux informatiques. (définition GENLOCK).
GENTOO: Métadistribution de Linux, utilisant un système de gestion de paquetages inspiré de BSD, pour les architectures x86, PowerPC, Sparc et Spar64. (définition GENTOO).
GEOMARKETING: Démarche marketing qui repose sur une analyse du comportement des consommateurs tout en tenant compte de la géographie du terrain, comme par exemple la zone d?attraction d?une entreprise. (définition GEOMARKETING).
GEOMATIQUE: Application de l'informatique à la géographie. (définition GEOMATIQUE).
GEOMATIQUE: Ensemble des techniques et des moyens technologiques permettant l?acquisition, l?analyse et l?intégration d?un milieu géographique. (définition GEOMATIQUE).
GEOMETRIE: Ensemle des carctéristiques physiques d'un disque. (définition GEOMETRIE).
GEOPORT: Moyen de contrôle utile au processeur pour la gestion des communications passant par le port série (définition GEOPORT).
GEOSTATIONNAIRE: Désigne un sattelite en orbite fixe autour de la Terre. (définition GEOSTATIONNAIRE).
GESTION DES DROITS NUMERIQUES: Moyen de protection en permanence de données informatique telles que de la musique, vidéo? Utilise pour cela des algorithmes de cryptage, des méthodes d?authentification ou encore des certificats. (définition GESTION DES DROITS NUMERIQUES).
GESTIONNAIRE DE FENêTRES: Version française de Window Manger. (définition GESTIONNAIRE DE FENêTRES).
GESTIONNAIRE DE MACINTOSH: Surcouche logicielle permettant l'uilisation des versions de MacOS inférieures à 10 dans un environnement multi-utilisateur. (définition GESTIONNAIRE DE MACINTOSH).
GESTURE: Mouvement reconnu par une machine comme étant une commande. (définition GESTURE).
GF: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Guyane Française. (définition GF).
GFDL: "GNU Free Documentation Library". (définition GFDL).
GFI: "Group Format Identifier", désigne les qutre premiers bits d'entête d'un paquet dans la norme X25. (définition GFI).
GFLOPS: Gigaflops, unité de mesure de vitesse de calcul d'une machine équivalent à un milliard d'opérations par seconde en vitesse flottante. (définition GFLOPS).
GFN: "Gone For Now", "parti pour le moment". (définition GFN).
GFSI: "Groupe Français sur les Standards de l'Internet". (définition GFSI).
GFX: Abréviation de "graphics". (définition GFX).
GG: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à Guernesey. (définition GG).
GH: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Ghana (définition GH).
GHOST: Logiciel permettant la création d'image d'un disque dur servant de sauvegarde ou de configuration d'installation. (définition GHOST).
GHZ: Giga Hertz. (définition GHZ).
GI: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à Gibraltar. (définition GI).
GIBI-OCTET: Néologisme proposé par l'IEC en remplacement de giga-octet, le préfixe " giga" désignant un milliard, et non pas 2 puissance 30. (définition GIBI-OCTET).
GID: "Group Identifier", identificateur de groupe associant un chiffre à un groupe d'utilisateurs sur une machine multi-utilisateurs. "Global Index", fichier contenant l'index du fichier d'aide Windows. (définition GID).
GIF 89A: Extension de la norme GIF permettant le stockage de plusieurs images dans un seul fichier. (définition GIF 89A).
GIF ANIME: Fichier contenant plusieurs images, dont l'affichage successif donne lieu à une animation. (définition GIF ANIME).
GIF: Format d?image très léger grâce à une compression élevée et une profondeur de 8 bits. Très utilisé sur Internet. (définition GIF).
GIFWARE: Freeware en échange duquel est demandé l'envoi d'images au format GIF. (définition GIFWARE).
GIGA: Abréviation de giga-octet. D'une manière générale, préfixe multiplicateur par un milliard. (définition GIGA).
GIGABIT ETHERNET: Ethernet au débit de 1000 Mbps, appelé 1000 baseT aussi. (définition GIGABIT ETHERNET).
GIGABIT: Abréviation de gigabit par seconde. (définition GIGABIT).
GIGAFLOPS: Unité de mesure de vitesse de calcul d'une machine équivalent à un milliard d'opérations par seconde en vitesse flottante. (définition GIGAFLOPS).
GIGA-OCTET: 2 à la puissance 30 octets, soit près d'un milliard. (définition GIGA-OCTET).
GIGAOCTET: Unité de quantité de donnée, un gigaoctet représente environ 1 milliard d?octet. (définition GIGAOCTET).
GIGE: Abréviation de gigabit ethernet. (définition GIGE).
GIGO: "Gerbage In, Garbage Out". (définition GIGO).
GIGOT: Déformation de gigaoctet. (définition GIGOT).
GIGUE: Défaut sur l?amplitude ou la fréquence d?un signal autour de valeurs normalisées (définition GIGUE).
GILT: "Globalization, Internationalization, Localization, Translation", ensemble des techniques concernant la globalisation, l'internationalisation, la localisation et la traduction. (définition GILT).
GIMP: "Gnu Image Manipulation Program", logiciel de retouche d'image libre et gratuit. (définition GIMP).
GIRO: "Garbage In Rubbish Out", poubelle en entrée, poubelle en sortie. (définition GIRO).
GIS: "Geographic Information System", système d'informations géographiques. (définition GIS).
GIX: Equipement d?interconnexion entre les FAI français. (définition GIX).
GK/S: "GigaKey per secon", milliard de clés par seconde, unité de mesure de clefs utilisées lors d'un concours de cassage de code. (définition GK/S).
GKS: "Graphic Kernel System", système de noyau graphique, norme d'environnement graphique permettant la manipulation d'image indépendamment du matériel. (définition GKS).
GL: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Groà«nland. (définition GL).
GL: Format de fichier d'animation vidéo. (définition GL).
GLACE: "Générateur de Logiciel Anti-Intrusion par Contremesures à?lectroniques", désigne un système de protection contre le piratage dans les romans de science-fiction de W.Gibson. (définition GLACE).
GLACIERE: Surnom de G3 du fait de leur boà®tier tour en plastique bleu translucide. (définition GLACIERE).
GLADE: Application de développementd'interfaces graphiques utilisant les bibliothèques GTK+ et Gnome, dont le code est généré de façon automatisée dans différents langages et dont les interfaces sont décrites en XML. (définition GLADE).
GLANEUR DE CELLULES: Version poétisée de garbage collector. (définition GLANEUR DE CELLULES).
GLISSE-DEPOSE: Fait de réaliser un glisser-déposer. (définition GLISSE-DEPOSE).
GLISSEMENT: Fait de glisser un objet dans une interface graphique. (définition GLISSEMENT).
GLISSER: Déplacer un objet en cliquant dessus avec la souris et en déplaçant celle-ci, en ne lâchant le bouton que lorsque le curseur est parvenu à la destination finale de l'objet. (définition GLISSER).
GLISSER-DEPOSER: Cliquer sur un objet graphique, maintenir le bouton enfoncé, déplacer la souris et lâcher le bouton une fois arrivé à destination. (définition GLISSER-DEPOSER).
GLISSIERE: Synonyme d'ascenseur. (définition GLISSIERE).
GLITCH: Défaillance sans importance de l'alimentation électrique d'un circuit électronique, désignant par extension tout petit problème passager sans importance. (définition GLITCH).
G-LITE: Version d'ADSL allégée, permettant sa connexion par simple changement de modem. (définition G-LITE).
GLOB: Forme de pattern matching pratiquée par les shells traditionnels. " *" y remplace n'importe quelle chaà®ne, et " ?" un seul caractère. (définition GLOB).
GLOBAL: Caractérise la portée d'une variable, disponible pour toutes les routines, dans toutes la totalité du programme. (définition GLOBAL).
GLOBALISATION: Application, et résultat de celle-ci, d'un motif sur une liste d'éléments. (définition GLOBALISATION).
GLOBALSTAR: Projet de communication par satellites en orbite basse. (définition GLOBALSTAR).
GLSI: "Giant Large Scale Integration", circuits intégrés très haute intégration contenant plus de 100 millions de composants. (définition GLSI).
GLU: Programme permettant le fonctionnement conjoint d'autres programmes, tel que le Perl peut le faire. (définition GLU).
GM: "Gestionnaire Macintosh". "General MIDI". (définition GM ).
GM: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Gambie. (définition GM).
GMCH: "Graphic and AGP Memory Controller Hub", puce d'Intel. (définition GMCH).
GMHS: Service de messagerie fourni par NetWare. (définition GMHS).
GML: Prédécesseur du SGML, il s?agit d?un langage généralisé utilisant des balises. (définition GML).
GMT: "Greenwich Mean Time". (définition GMT).
GMTA: "Great Minds Think Alike", les grands esprits se rencontrent. (définition GMTA).
GN: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Guinée. (définition GN).
GNA: "Générateur de Nombres Aléatoire". (définition GNA).
GNILBC: "GNU Library C", bibliothèque C du projet GNU. (définition GNILBC).
GNKSA: "Good NetKeeping Seal of Approval", benchmark qualitatif comparant les clients de News. (définition GNKSA).
GNOME: "GNU Network Object Model Environment", environnement de bureau tournant sous X, concurrent de KDE et utilisant Corba. (définition GNOME).
GNU: Système d'exploitation proche d'Unix, dans le domaine public, développé par ses utilisateurs et comprenant de nombreux outils et applications. (définition GNU).
GNU/LINUX: Nom réel de Linux. Linux désigne le noyau du système programmé, géré et exploité principalement à l'aide des utilitaires et des applications GNU . (définition GNU/LINUX).
GNUE: Ensemble de logiciels libres sous licence GPL destiné aux entreprises. (définition GNUE).
GNUPG: Aussi GPG, logiciel de chiffrement de GNU. (définition GNUPG).
GNUSTEP: Implémentation libre de l'interface NexStep. (définition GNUSTEP).
GNUTELLA: Contraction de GNU et de Nutella, logiciel client et serveur permettant l'échange de données entre ses utilisateurs. (définition GNUTELLA).
GNUTELLANET: Réseau constitué de machines utilisant Gnutella. (définition GNUTELLANET).
GO: Abréviation de giga-octets. (définition GO).
GO/S: Gigaoctets par seconde, unité de mesure du débit d'une liaison. (définition GO/S).
GOB: "Group Of Blocks", groupe de blocs constituant une vidéo. (définition GOB).
GOD GAME: Jeu permettant au joueur d'incarner une divinité disponant de la destinée d'une population. (définition GOD GAME).
GODWIN: La loi de Â« Godwin " dit que : Â« Plus une discussion sur l'Usenet est longue, plus la probabilité d'y trouver une comparaison avec les nazis ou Hitler approche de un ". Il est de bon ton de clore immédiatement une discussion lorsqu'on rencontre une telle comparaison, qui tient de l'insulte : celui qui la fait n'a plus d'argument valide, il a perdu. Au passage, il a gagné un point Godwin. à?videmment, cette loi ne peut en aucun cas être invoquée dans une discussion, car cela reviendrait très précisément à faire la même chose que l'insulte qu'elle prétendrait dénoncer, en cherchant à jeter le discrédit sur l'interlocuteur. (définition GODWIN).
GOMME: Désigne certains claviers dont la consistance molle des touches rendait impossible toute frappe soutenue. (définition GOMME).
GOOD TIMES: Rumeur de virus censé se propager via email. (définition GOOD TIMES).
GOOGLE: Moteur de recherche utilisant le PageRanking pour noter les pages en fonction du nombre de liens pointant vers elles. (définition GOOGLE).
GOOGLEBOT: Moto du moteur de recherche Google. (définition GOOGLEBOT).
GOP: "Group Of Pictures", groupe d'images constituant une séquence MPEG. (définition GOP).
GOPHER: Utilitaire propriété de l'université du Minessota permettant la consultation d'informations sous forme d'arborescence fonctionnant en mode caractère. (définition GOPHER).
GOPHERESPACE: Zone de l'Internet consultable par le biais de l'utilitaire Gopher. (définition GOPHERESPACE).
GOSIP: Spécification de l?OSI pour les achats publics, utilisé en Europe et aux Etats-Unis (définition GOSIP).
GOT: "Global Offset Table". (définition GOT).
GOTO: Instruction de programmation. (définition GOTO).
GOURAUD: Technique de rendering permettant le plaquage de couleurs sur une surface en fonction de leur orientation vis-à -vis des sources de lumière. (définition GOURAUD).
GOURMAND: Algorithme ou processus consommant énormément de ressources. (définition GOURMAND).
GOUROU: Synonyme d'expert. (définition GOUROU).
GP: "Gestion de Production". (définition GP).
GP: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Guadeloupe. (définition GP).
GPC: "Gnu Privacy Guard", clone de PGP. (définition GPC).
GPF: "General Protection Fault", erreur de protection générale. "General Parallel File System", systeme de fichiers IBM destiné aux clusters de ses SAN. (définition GPF).
GPL: "General Public License", statut juridique des logiciels libres. (définition GPL).
GPNI: "Groupement Professionnel National de l'Informatique". (définition GPNI).
GPR: General Purpose Registers. Ce sont les zones de mémoires internes à un processeur, appelées registres. Ces registres sont temporaires et permettent au processeur d?effectuer ses opérations. Leur taille est définie par le processeur, 32 bits pour un processeur 32 bits et 64 bits pour les processeurs de la nouvelle génération. (définition GPR).
GPRS: "General Packet Radio Service", norme de téléphonie sans fil large bande, au débit de 150 Kbps. (définition GPRS).
GPS: "Global Positionning System", système de positionnement universel par satellite fonctionnant par triangulation grâce à 24 satellites. Synonyme de géolocalisation par satellite. "General Problem Solver", programme hypthétique capable de résoudre tout les problèmes. (définition GPS).
GPU: "Graphical Processing Unit", processeur spécialisé dans le traitement graphique. (définition GPU).
GQ: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Guinée. (définition GQ).
GR: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Grèce. (définition GR).
GRAIN: Rugosité que l?on peut observer sur la surface d?une feuille. (définition GRAIN).
GRAISSE: Epaisseur d?un caractère. Un caractère est être plus ou moins gras. (définition GRAISSE).
GRAMMAGE: Défini le poids d?une feuille pour une surface donné. Exprimé en gramme par mètre carré. (définition GRAMMAGE).
GRANULARITE: Taille minimale d'un élément pouvant être manipulé par un système. (définition GRANULARITE).
GRAPHEUR: Type de logiciel permettan de dessiner des graphes (courbes, histaogrammes). (définition GRAPHEUR).
GRAPHIQUE: Se dit d'un mode d'affichage permettant le controle de l'affichage à l'écran au pixel prêt. (définition GRAPHIQUE).
GRAPHISME: Ensemble des techniques de dessin. (définition GRAPHISME).
GRAPHITE: Synonyme de modérateur. (définition GRAPHITE).
GRAPPE: Ensemble des matériels et équipements qui partagent une voie de communication. (définition GRAPPE).
GRATICIEL: Synonyme de freeware. (définition GRATICIEL).
GRATTER: Se dit pour un disque dur, fait pour ce dernier de lire ou écrire des données par le déplacement du bras portant les têtes de lecture provoquant un son caractéristique. (définition GRATTER).
GRATUICIEL: Synonyme de freeware. (définition GRATUICIEL).
GRAVABLE: Que l'on peut graver. (définition GRAVABLE).
GRAVAGE: Action de graver un CD. (définition GRAVAGE).
GRAVER: Enregistrer des données sur un CD. (définition GRAVER).
GRAVEUR: Périphérique permettant d'inscrire des données sur un CD. (définition GRAVEUR).
GRAVURE: Technique permettant de créer un relief sur un support métallique en creusant avec un burin. (définition GRAVURE).
GREAT RENAMING: Renomination et redistribution des newsgroups Usenet aboutissant à la hiérarchie du Big 8. (définition GREAT RENAMING).
GREAT WORM: "Ver de l'internet" créé par Robert T. Morris en 1988, causant une perte estimée de 150 à 200 millions de dollars. (définition GREAT WORM).
GRECQUAGE: Entaille faite dans le dos d?un volume pour dissimuler la ficelle servant à la reliure. (définition GRECQUAGE).
GREEKLISH: Translittération des caractères grecs en caractères latins. (définition GREEKLISH).
GREEN PC: Label indiquant que les pièces d'un PC en étant doté sont recyclables. (définition GREEN PC).
GREETINGS: Utilisé en demo pour transmettre ses salutations. (définition GREETINGS).
GREETS: Abréviation de greetings. (définition GREETS).
GREFFON: Mot proposé pour remplacer le terme de plug. (définition GREFFON).
GREP: "Get Regular Expression Pattern", recherche de séquence à expression régulière, utilitaire Unix permettant la recherche de chaà®nes de caractère dans des fichiers. (définition GREP).
GRIB: "Grid In Binary", format d'image utilisé en météorologie. (définition GRIB).
GRILLE: Fonction permettant de forcer le déplacement d'un curseur de dessin pixel par pixel. Désigne aussi l'extension de systèmes P2P permettant la distribution de de donnés et de stockage sur des machines en réseau. (définition GRILLE).
GRILLER: Détruire un composant électronique en lui infligeant un courant électrique inadapé. (définition GRILLER).
GRISE: Aplat dont l?intensité est réduite en ajoutant une trame. (définition GRISE).
GRM: "Gestion de la Relation Client". (définition GRM).
GROK: Verbe anglais signifiant "analyser afin d'en découvrir le sens". (définition GROK).
GROOVE, ANDY: Cofondateur d'Intel. (définition GROOVE, ANDY).
GROS-BOUTIEN: Synonyme de gros-boutiste. (définition GROS-BOUTIEN).
GROS-BOUTISTE: Synonyme de big endian. (définition GROS-BOUTISTE).
GROUPAGE: Opération visan à réunir plusieurs flux en un seul. (définition GROUPAGE).
GROUPE DE DISCUSSION: Version française de newsgroup. (définition GROUPE DE DISCUSSION).
GROUPE: Ensemble d'utilisateurs d'un système partageant les mêmes droits sur certaines de ses ressources. Désigne aussi un ensemble de clusters à la surface d'un disque. (définition GROUPE).
GROUPES DE DISCUSSION: Groupes d?utilisateurs sur Internet qui échange des informations sur un thème donné par l?intermédiaire d?un serveur. (définition GROUPES DE DISCUSSION).
GROUPWARE: Logiciel informatique issu d?un travail collectif entre plusieurs programmeurs. (définition GROUPWARE).
GRUB: "Grand Unified Bootloader", chargeur de système d'expolitation de GNU. (définition GRUB).
GS: "Geprà¼fte Sicherheit", label allemand de normes de sécurité et d'ergonomie. "GhostScript", interpréteur de postscript libre. (définition GS).
GS: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Géorgie du Sud et dans les à®les Sandwich du Sud. (définition GS).
GSIT: Organisation qui gère le réseau SIT qui permet l?échange de documents bancaires entre les principales banques françaises. (définition GSIT).
GSL: "GNU Scientific Library", bibliothèque de fonctions scientifiques de GNU. (définition GSL ).
GSM DATA: Transfert de données via un téléphone GSM. (définition GSM DATA).
GSM: Global System for Mobile communications. Norme européenne dans le domaine de la téléphonie mobile. (définition GSM).
GSSAPI: "Generic Security Service Application Program Interface", API d'authentification sous SASL. (définition GSSAPI).
GT: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Guatemala. (définition GT).
GTG: "Got To Go", je dois y aller. (définition GTG).
GTK: "Gimp ToolKit", boà®te à outil utilisée par Gimp, puis étendue, sous licence LGPL. (définition GTK).
GTK+: Synonyme de GTK. (définition GTK+).
GTLD: "Generic Top Level Domain". (définition GTLD).
GTR: "Gestion du Temps de Rétablissement", gestion du temps nécessaire au rétablissement d'un lien de données. (définition GTR).
GTRM: "Going To Read my Mail", je vais lire mon courrier. (définition GTRM).
GU: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à Guam. (définition GU).
GUI: "Graphic User Interface", interface graphique. (définition GUI).
GUID: "Globally Unique Identifier". (définition GUID).
GUILTWARE: Logiciel rappelant la nécessité à son utilisateur de rémunérer son créateur. (définition GUILTWARE).
GUL: "Groupe d'Utilisateurs de Linux". (définition GUL).
GURPS: "Generic Universal Role Play System", jeu de role. (définition GURPS).
GURU EVENT: Variante de la guru meditation. (définition GURU EVENT).
GURU MEDITATION: Message affiché sous Amiga suite à son plantage. (définition GURU MEDITATION).
GURU: Gourou. (définition GURU).
GUS: Guide permettant de mettre en ?uvre les profils fonctionnels conseillés par le SPAG. (définition GUS).
GUTENBERG: Projet ayant pour but de diffuser sur le réseau un million de copies de livres sur le réseau tombés dans le domaine public, en langue anglaise avant l'an 2000. (définition GUTENBERG).
GW: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Guinée Bissau. (définition GW).
GWBASIC: Version de BASIC fournie avec MS-DOS jusqu'à sa version 5.0, remplacée ensuite par Qbasic. (définition GWBASIC).
GY: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Guyana. (définition GY).
GZ: Extension de nom de fichier correspondant à un fichier compressé avec gzip. (définition GZ).
GZIP: Format de fichier compressé faisant partie de GNU. (définition GZIP).
H: Extension indiquant qu'un fichier contient des déclarations destinées à un code source en C, à inclure lors de la compilation dans le code du programme. (définition H ).
H 261: Norme de codage vidéo développée par l'ITU-T pour la vidéoconférence. (définition H 261).
H 263: Norme de codage vidéo développée par l'ITU-T pour la vidéoconférence. (définition H 263).
H 26L: Norme de codage vidéo développée par l'ITU-T pour la vidéoconférence, concurente du MPEG-4. (définition H 26L).
H 323: Norme de vidéoconférence utilisant un débit de 768 kbps sur IP. (définition H 323).
H 324: Norme de vidéoconférence. (définition H 324).
H2H: "head to Head", tête à tête, discussion par modem interposé (définition H2H).
H4X0R: Graphie du terme hacker. (définition H4X0R).
HA: "High Avaibility", haute disponiblité. (définition HA).
HABILLAGE: Texte qui épouse le contour d?une illustration ou d?un autre élément inséré dans la page. (définition HABILLAGE).
HACCP: "Hazard Analysis Critical Control Point", analyse des dangers et points critiques eb vue de leur maà®trise. (définition HACCP).
HACHAGE: Méthode de division d'une liste de données en sous-listes, contenant les éléments de la premièreayan des points communs. (définition HACHAGE).
HACHAGE: Structure de donnée. (définition HACHAGE).
HACK: Bidouille ingénieuse. (définition HACK).
HACKAGE: Fait de pratiquer le hacking. (définition HACKAGE).
HACKER: Pirate de l?Internet. Ils utilisent les technologies de communications pour s?introduire dans des systèmes protégés dans un but malveillant. L?objectif primaire est la notoriété mais certains ont des desseins de destruction ou de récupération de données confidentielles. (définition HACKER).
HACKING: Fait de pratiquer le hack. (définition HACKING).
HACMP: "High Avaibility Cluster MultiProcessing", technique de clustering à base de RSCT utilisée par IBM. (définition HACMP).
HACTIVISTE: Hacker pratiquant son activité au service de ses convictions poltiques par le biais d'opérations technologiques coup de poing, piratage, détournement de serveurs, remplacement de homepages. (définition HACTIVISTE).
HAGN: "Have A Good Night", passe une bonne nuit. (définition HAGN).
HAL: "Hardware Abstraction Layer", l'une des couches officielle du noyau de Windows NT. (définition HAL).
HALF DUPLEX: Se dit d?une communication bidirectionnelle lorsqu?elle ne peut émettre et recevoir des données en même temps, mais pendant des plages de temps séparées. (définition HALF DUPLEX).
HALF-DUPLEX: Transmission à deux sens dans un même canal, ne s'effectuant que dans un sens à la fois. (définition HALF-DUPLEX).
HALF-LIFE: FPS ouvert à de nombreux mods. (définition HALF-LIFE).
HAM: Format d'image Amiga. (définition HAM ).
HAM: Terme désignant les messages dignes d'intérêt, par opposition aux messages à jeter. (définition HAM ).
HAMR: "Heat Assisted Magnetic Recording", technique consistant à chauffer la surface d'un disque à l'aide d'un laser de manière à faciliter sa magnétisation. (définition HAMR).
HAMSTER: Souris sans fil par liaison infrarouge. Désigne aussi une partie de programme efficace. (définition HAMSTER).
HAN: "Home Area Network", réseau local couvrant un domicile. (définition HAN).
HANDLE: Valeur numérique identifiant un objet et permettant sa manipulation. (définition HANDLE).
HANDLER: Sous programme gestionnaire prenant en charge ceraines opérations dans un système d'exploitation. (définition HANDLER).
HANDSHAKE: Poignée de main (définition HANDSHAKE).
HANDSHAKING: Début de l'établissement d'une communication entre deux machines. (définition HANDSHAKING).
HANDY: "A main", se dit de périphériques portables. (définition HANDY).
HANGAR: Site web servant unquement au stockage de données. (définition HANGAR).
HARD DISCOUNT: Désigne une documentation frustre et succinte. (définition HARD DISCOUNT).
HARD DISK: Version anglaise de disque dur. (définition HARD DISK).
HARD: Abréviation de hardware ou de hard disk. (définition HARD).
HARDCOPY: Capture d'écran destinée à l'impression. (définition HARDCOPY).
HARDCORE GAMER: Joueur de jeu vidéo dépendant de sa monomanie. (définition HARDCORE GAMER).
HARDLOCK: Synonyme de dongle. (définition HARDLOCK).
HARDSCROLL: Scrolling réalisé en hardware. (définition HARDSCROLL).
HARDWARE: Matériel informatique physique, par opposition au software, matériel logiciel. (définition HARDWARE).
HARVARD MARK II: Ordinateur électronique mis au point à Harvard en 1947 par Howard Aiken. (définition HARVARD MARK II).
HASKELL: Langage fonctionnel, polymorphe, portable et utilisable dans le monde réel. (définition HASKELL).
HAUT DEBIT: Carcatérise une liaison d'un réseau permettant de transmettre de grandes quantités de données comparativement aux liaisons moyennes. (définition HAUT DEBIT).
HAUTE DISPONIBLITE: Se dit d'un système dont la fiabilité en pourcentage est garantie par plusieurs décimales après la virgule. (définition HAUTE DISPONIBLITE).
HAUTS DEBITS: Terme générique de désignation des différentes techniques de connexion à haut débit. (définition HAUTS DEBITS).
HAXIE: Hack sous environnement Mac OS X améliorant ses performances. (définition HAXIE).
HAYES: Fabricant de modems. (définition HAYES).
HBL: "Horizontal Blank", signal produit à chaque bout de ligne par l'écran. (définition HBL).
HBV: "High Bit rate Video", vidéo ayant besoin d'un débit supérieur à 64 kbps pour être transmise via un réseau. (définition HBV ).
HC: "Help Compiler" compilateur de fichier d'aide pour Windows. (définition HC).
HCL: "Hardware Compatibility List", liste de compatibilité entre matériel et programmes, éditée par Microsoft pour Windows NT, via des HCT. (définition HCL).
HCT: "Hardware Compatibility Test", test de compatibilité matérielle. (définition HCT).
HD: "Hard Disk", disque dur."High Density", haute densité."Half Duplex". (définition HD).
HDBMS: "Hierarchical DataBase Management System", système de gestion de base de données hiérarchique. (définition HDBMS).
HDC: "Hard Disk Controler", controleur de disque dur. (définition HDC).
HDCD: "Hard Disk Creation Date". "High Definition Compatible Digital", format audio pour CD codant les sons en 20 bits au lieu de 16. (définition HDCD).
HDCP: High-Bandwidth Digital Content Protection. Système permettant la protection d?un copyright relatif à des films ou des émissions. Le HDCP permet le codage du signal en sortie d?un lecteur DVD pour éviter tout détournement. (définition HDCP).
HDD: Hard Disk Drive. Terme anglais pour disque dur, c?est un support magnétique intégré dans un ordinateur permettant le stockage de plusieurs Go de données. (définition HDD).
HDL: "Hardwar Description Language", classe de langage servant à la conception et la spécification de circuits intégrés. (définition HDL).
HDLB: Projet initié par France Telecom pour l?implantation d?un réseau à fibre optique. Les débits atteignables seront alors de 34 à 140 Mbits/s. (définition HDLB).
HDLC: High Level Data Link Control. Protocole de réseau orienté bits au niveau de la couche liaison du modèle OSI. (définition HDLC).
HDMI: High Definition Multimedia Interface. Standard de transport des signaux numériques audio et vidéo de haute qualité. Permet également des informations de commande. Tend à remplacer les connexions par prise péritel. (définition HDMI).
HDML: "Handed Device Markup Language", version allégée de HTML destinée à de petits appareils mobiles. (définition HDML).
HDSL: DSL symétrique sur deux paires torsadées dans laquelle la bande passante en émission est égale à la bande passante en réception. (définition HDSL).
HDTV: Format de diffusion haute définition pour la télévision. L?image obtenue est de très bonne qualité mais ce format est accessible seulement aux Etats-Unis et au Japon. (définition HDTV).
HDX: Abréviation de half duplex. (définition HDX).
HEAD-CRASH: Crash d'un disque dur dà» à la rencontre de sa tête de lecture et de son disque, le rayant. (définition HEAD-CRASH).
HEADER: Fichier situé en tête dans un code source ou C, d'extension "h". (définition HEADER).
HEADLESS: Litérallement sans tête, projet des futurs OS de Microsoft ne nécessitant ni écran, ni clavier ni souris, ni interface graphique. (définition HEADLESS).
HEAP: Bloc de mémoire utilisé par un système. (définition HEAP).
HEARTBEAT: Littéralement battement de cÅ?ur, synonyme de SQE. (définition HEARTBEAT).
HEBERGEMENT: Fait d'héberger un site web. (définition HEBERGEMENT ).
HEBERGER: Se dit du fait de stocker un site web sur un serveur. (définition HEBERGER).
HEBERGEUR: Personne physique ou morale fournissant des hébergements. (définition HEBERGEUR).
HEC: "Head Error Control", sous ATM, élément de controle des transmissions. (définition HEC).
HEISENBUG: Bug disparaà®ssant ou se modifiant sensiblement quand on essaye de le localiser selon le principe d'incertitude d'Heisenberg, en physique quantique. (définition HEISENBUG).
HELIOGRAVURE: Technique d?impression pour les gros tirages, utilisant des cylindres ou des plaques en cuivre gravé en creux. (définition HELIOGRAVURE).
HELLO WORLD!: Désigne quelque chose d'élémentaire faisant référence aux débutants en programmation faisant leurs premières armes avec un petit programme disant bonjour à tout le monde. (définition HELLO WORLD!).
HELO: Commande utilisée pour l'ouverture d'une session SMTP. (définition HELO).
HELP: "Au secours", touche permettant d'appeler une aide en ligne. (définition HELP).
HELPAC: Réseau grec à commutation de paquet. (définition HELPAC).
HELPDESK: Structure d'aide aux utilisateurs informatiques. (définition HELPDESK).
HELPWEB: Fait d'utiliser le web pour du helpdesk. (définition HELPWEB).
HELVETICA: Police de caractère sans empattement d'origine suisse choisie comme police par défaut par Apple pour ses Macs. (définition HELVETICA).
HERCULES: Fabricant de cartes graphiques et de cartes sons. (définition HERCULES).
HERITAGE: Principe selon lequel une classe "fille" a les mêmes caractéristiques que sa classe "mère". (définition HERITAGE ).
HERMAPHRODITE: Se dit de connecteurs à la fois mâles et femelles. (définition HERMAPHRODITE).
HERMES: Réseau européen d?EDI (Echange de Données Informatisée) utilisé dans le domaine des chemins de fer. (définition HERMES).
HERTZ: Unité de fréquence, elle exprime le nombre d?apparition d?un phénomène dans un intervalle d?une seconde. (définition HERTZ).
HERTZIEN: Se dit d?une transmission utilisant comme support les ondes électromagnétiques. (définition HERTZIEN).
HETEROGENE: Désigne un ensemble composé d'éléments d'origines diverses. (définition HETEROGENE).
HEURISTIQUE: Apprentissage par la prise en compte des activités antérieures, opposé à l'algorithmie, utilisé en intelligence artificielle et dans le développement d'antivirus. (définition HEURISTIQUE).
HEWLETT-PACKARD: Constructeur d'ordinateurs et d'imprimantes. (définition HEWLETT-PACKARD ).
HEXA: Abréviation d'hexadécimal. (définition HEXA).
HEXACHROME: Technique d'impression par les six couleurs de base. (définition HEXACHROME).
HEXADECIMAL: Caractéristique de la base seize, terme ayant remplacé au début des 60's Â«Sexadécimal " . (définition HEXADECIMAL).
HEXET: Ensemble de 6 bits. (définition HEXET ).
HF: "High Frequency", hautes fréquences de 3 à 30 MHz, terme de radio. (définition HF).
HFC: "Hybrid Fiber Coax". (définition HFC).
HFCI: "H 323 Firewall Control Interface". (définition HFCI).
HFM: "Heterodyne Filter Method", méthode de filtrage du sont permettant d'obtenir des harmoniques. (définition HFM).
HFS: "Hierarchical File System", système de gestion de fichiers utilisé par les Macintosh. (définition HFS).
HFS+: HFS étendu utilisé à partir de MacOS 8. (définition HFS+).
HGC: "Hercules Graphics Card",carte graphique monochrome historique du fabricant Hercules. (définition HGC).
HGL: "Hewlett-Packard Graphical Language". (définition HGL).
HHOJ: Ha HaÂ ! Only Joking. " Ha HaÂ ! Ce n'est qu'une blague". (définition HHOJ).
HHOK: Ha Ha ! Only Joking. Â« Ha Ha ! Ce n'est qu'une blague ". (définition HHOK).
HHOS: Ha Ha ! Only Serious. Â« Ha Ha ! Je suis sérieux ", par opposition à HHOK et HHOJ. (définition HHOS).
HIBERNATION: Etat de veille dans lequel bascule un ordinateur portable avant de s'éteindre après une sauvegarde de son environnement, de manière à économiser son énergie. (définition HIBERNATION).
HICOLOR: Se dit d'une image dont les couleurs sont codées sur 15 ou 16 bits. (définition HICOLOR).
HID: "Human Interface Device", périphérique d'interface homme machine. (définition HID).
HIERACHIQUE: Se dit d'un menu comprenant au moins niveau de sous-menu. (définition HIERACHIQUE).
HIERARCHIE: Ensemble de newsgroup prtant sur un thème commun sur l'Usenet. (définition HIERARCHIE).
HIGHLIGHTNING: Version anlaise de durbrillance. (définition HIGHLIGHTNING).
HINT: Littéralement "indice", ajouté dans la définition d'une police de caractères de façon à obtenirun meilleur rendu sur les périphériques de sortie à faible résolution. (définition HINT).
HINTNG: Fait d'utiliser des hins. (définition HINTNG).
HIPERLAN: Technologie de radio-communication dans la bande des 5 Ghz, permettant d'atteindre un débit de 54 Mbps, spécifié par l'ETSI. (définition HIPERLAN ).
HIPPI: "HIgh Performance Parallel Interface", bus à haut débit (entre 800 et 1600 Mbps) de connexion de périphérique ou de création de réseaux. (définition HIPPI).
HISTORIQUE: Enregitrement des dernières commandes entréesde manière à éviter d'avoir à les réentrer. Désigne aussi le souvenir des différentes versions et modifications d'un programme. (définition HISTORIQUE).
HISTORISER: Stocker des données en vue de leur utilisation à long terme. (définition HISTORISER).
HIT: Accès à une donnée réussi, servant d'unité de mesure sur le web, comptant le nombre d'accès à un document HTML. (définition HIT).
HITACHI: Société japonaise d'électronique et d'informatique. (définition HITACHI ).
HIT-COUNTER: Logiciel comptant le nombre de hits sur un document publié sur le web. (définition HIT-COUNTER).
HK: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à Hong-Kong. (définition HK).
HLLAPI: "High Level Language Application Programming Interface", interface de programmation utilisée pour la commnunication entre PC et mainframes. (définition HLLAPI).
HLP: Abréviation de "HeLP", fichier contenant une aide pour l'utilisateur. (définition HLP).
HLR: "Home Localistion Register". (définition HLR).
HLS: "Hue, Lightness, Saturation", synonyme de YUV. (définition HLS).
HM: à la fin d'une URL, signale que le site est basé aux iles Heard et Mac Douglas. (définition HM).
HMA: High Memory Area. Mémoire étendue comprise après les 1024 premiers ko de mémoire. (définition HMA).
HMAC: "keyed-Hashing Message AuthentiCation", méthode d'authentificatin de messages utilisant des hachages cryptographiques. (définition HMAC).
HMD: "Head Mounted Display", visiocasque. (définition HMD).
HMM: Modèle mathématique utile pour traiter les phonèmes. (définition HMM).
HMMO: Standard utilisé pour la description d?un réseau et des équipements qui le compose. (définition HMMO).
HMMP: "HyperMedia Management Protocol", protocole permettant l'encapsulation et la manipulatin d'objets CIM. (définition HMMP).
HMMP: Protocole qui permet d?accéder à des éléments qu?il est nécessaire d?administrer par l?intermédiaire de requête, ceci en utilisant divers outils. (définition HMMP).
HMMS: Architecture définissant un langage utilisé pour modéliser simplement des systèmes. (définition HMMS).
HMOM: Programme utilisé dans la gestion des postes et serveurs d?un réseau, les équipements sont vus comme des objets qui doivent être contrôlés par l?intermédiaire de différents protocoles. (définition HMOM).
HMOS: "High-density Metal Oxide Semiconductor", type de circuit intégré. (définition HMOS).
HN: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Hongrie. (définition HN).
HOLOGRAMME: A l?origine, technique permettant l?obtention d?une photographie en relief. Aujourd?hui, c?est une image 3D qui apparaît comme flottant dans l?air. (définition HOLOGRAMME).
HOLOGRAPHIE: Photographie sur papier métallisé qui provoque l?illusion de la 3D. (définition HOLOGRAPHIE).
HOME PAGE: Première page affichée lorsque l?on tape l?adresse d?un site Web, Equivalent de Page d?accueil. (définition HOME PAGE).
HOMOTHETIQUE: Qualifie un format qui est proportionnel dans ses dimensions à un autre. (définition HOMOTHETIQUE).
HORLOGE: Circuit électronique qui génère des impulsions électriques à une fréquence fixe. Permet de synchroniser divers éléments comme un processeur ou des n?uds de communication dans un réseau. (définition HORLOGE).
HOTJAVA: Navigateur Web développé par Sun dans leur langage de programmation : le Java. Ce logiciel est destiné à montrer les possibilités du langage Java. (définition HOTJAVA).
HPPI: Norme d?interconnexion surtout utilisé pour les calculateurs scientifiques. Utilise un mode de communication en parallèle sur 32 ou 64 bits permettant d?atteindre des débits jusqu?à 2.6 GBits/s. (définition HPPI).
HSDPA: High Speed Downlink Package Access. Technologie en développement qui permet de connecter les téléphones mobiles 3G au réseau Internet avec un débit maximal de 2Mbits/s. (définition HSDPA).
HTML: HyperText Markup Langage. Langage permettant de créer des pages Web, il utilise une structure formé avec des balises permettant la mise en forme du texte. Nécessite un navigateur web pour la visualisation. (définition HTML).
HTTP: HyperText Transmission Protocol. Protocole pour la transmission des pages Web depuis un serveur vers un navigateur client. (définition HTTP).
HUB: Equipement d?interconnexion d?un réseau. Il agit au niveau de la couche 1 du modèle OSI et permet de diffuser un signal d?entrée sur toutes ses sorties. (définition HUB).
HUMIDIMETRE: Appareil permettant de mesurer le taux d?absorption de l?humidité par un papier. (définition HUMIDIMETRE).
HYPERCANAL: Méthode d?interconnexion directe entre des ordinateurs, développé par Network System Corporation permettant d?atteindre des débits de 50 Mbits/s. (définition HYPERCANAL).
HYPERTEXTE: Texte « intelligent » qui peut interagir suivant l?action d?un utilisateur. Par exemple, le renvoi vers une autre page Web lors d?un clic sur celui-ci. (définition HYPERTEXTE).
I LINK S400: Connecteur pour la transmission d?un signal audio Dolby Digital, DTS, SACD ou DVD Vidéo. Il offre aussi des fonctionnalités de synchronisation entre le lecteur et l?amplificateur. (définition I LINK S400).
I LOVE YOU: Ce fut le premier ver à connaà®tre une propagation massive à travers Outlook Express en mai 2000. Il doit son nom au sujet du message porteur du virus : " I Love You".Un fichier Joint intituléÂ " LOVE-LETTER-FOR-YOU.TXT. Vbs" contaminaient tout le carnet d'adresse, quand on cliquait dessus, d'oà¹ sa propagation rapide. Il altérer les pages HTML, les images JPEG, les scripts et les fichiers MP3 de ceux qui ouvraient ce VBScript. (définition I LOVE YOU ).
I/O: Abréviation de " input/output". En français : E/S pour " Entrées/Sorties". Totalité des fonctons qui permettent à un système de communiquer avec l'extérieur. (définition I/O ).
IAB: Internet Architecture Board. Conseil qui prend les décisions quant à l?évolution des normes de communication relatif à l?Internet. (définition IAB).
IBERPAC: Réseau espagnol permettant la commutation de paquet. (définition IBERPAC).
ID3: Informations contenues dans les fichiers MP3 qui indique l?auteur, le titre, la durée et autres données concernant le fichier. (définition ID3).
IDA: Réseau britannique permettant la commutation de paquet, fourni par British Telecom. (définition IDA).
IDATE: Organisation réalisant des études dans le domaine de l?audiovisuel et des télécommunications. (définition IDATE).
IDE: Interface permettant la connexion de matériel interne aux ordinateurs, comme les disques durs ou les lecteurs/graveurs CD ou DVD. (définition IDE).
IDENTIFICATEUR GLOBAL UNIQUE: Identifiant unique d?un périphérique, d?un utilisateur ou d?une session. Il est formé au moment de l?utilisation de la ressource et prends en compte des paramètres comme le numéro d?un périphérique, la date et l?heure d?utilisation. (définition IDENTIFICATEUR GLOBAL UNIQUE).
IDL: Interface Description Language. Langage décrivant l?interface d?un logiciel afin de permettre à d?autres applications de communiquer avec lui. (définition IDL).
IEEE: Association américaine réunissant des ingénieurs en électronique et ayant un rôle prépondérant dans la normalisation des matériels utilisant de l?électronique. (définition IEEE).
IETF: Internet Engineering Task Force. Comité de réflexion concernant les normes à utilisé pour les échanges sur Internet. (définition IETF).
IFRB: Autorité qui gère la répartition des fréquences radioélectriques. (définition IFRB).
IIS: Internet Information Server. Désigne le serveur web de Microsoft. (définition IIS ).
IIT: Institut International de Télématique. (définition IIT).
IK: Inverse Kinematics, soit " cinématique inverse". (définition IK ).
IL: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Israà«l. (définition IL ).
ILAN: Industrial Local Area Network, désigne le Réseau local des zones industrielles. (définition ILAN ).
ILBM: InterLeaved BitMap, soitÂ Â«Format d'image bitmap". Ce format d'image est le plus souvent utilisé sur les Amiga. On peut rencontrer l'abréviation LBM. (définition ILBM).
ILINK: ilink est une appelation commerciale d'Apple pour le Firewire. Son nom technique est IEEE 1394. (définition ILINK ).
ILLIAC: ILLInois Automatic Computer. Un des tout premiers ordinateurs, issue de la machine IAS. (définition ILLIAC ).
ILLUSTRATOR: Logiciel de dessin vectoriel édité par Adobe. Actuellement, Adobe édite la dixième version. (définition ILLUSTRATOR).
IM: A la fin d'une URL, signale que le site est basé sur l'Ile de Man. (définition IM ).
IM: Instant Messaging, soit " Message Immédiat". Principe d'échange instantané des messages. (définition IM ).
IM4DTTV: Integrated Modem for Digital Terrestrial Television, soit â??Modem intégré pour la Television Digital Terrestreâ?. Projet européen mené entre 2001et 2003 en vue de la validation des spécifications du DVB-RCT . (définition IM4DTTV ).
IMA: International MIDI Association. Désigne l'Â Association internationale de normalisation MIDI. (définition IMA ).
IMAC: Machine d'Apple architecturée autour d'un processeur G3 à 233 Mhz et monobloc. Son design moderne (tout en plastique transparent) et sa simplicité d'utilisation l'ont rendu populaire dès sa mise en circulation. Il utilise l'USB pour tous ses périphériques, souris et claviers compris. (définition IMAC).
IMAGE: 1) Fichier contenant un dessin ou une photographie. Les formats de fichier qui servent à stoquer des images sont nombreuses. On rencontre le plus souvent des formats tel que : ILBM, JPEG, GIF, BMP...2) Copie d'un objet quelconque, tel qu'une partie de la mémoire d'un ordinateur, à un instant T. (définition IMAGE ).
IMAGE BLEUE: Image considerée en fil de fer depuis un objet en 3D. (définition IMAGE BLEUE).
IMAGE CLIQUABLE: Image map. (définition IMAGE CLIQUABLE ).
IMAGE DE SYNTHESE: Image mesurée informatiquement, contrairement aux dessins réalisés manuellement ou aux visuels photographiques. (définition IMAGE DE SYNTHESE ).
IMAGE DE SYNTHESE: Image créée uniquement à partir d?un ordinateur, sans aucune source photographique. (définition IMAGE DE SYNTHESE).
IMAGE MAP: Visuel détaillé en différentes parties cliquables. (définition IMAGE MAP ).
IMAGE NUMERIQUE: Image constituée de points appelés pixels et dont la couleur est défini par un nombre codé sur un certains nombres de bits. (définition IMAGE NUMERIQUE).
IMAGE-CLE: Keyframe en français. (définition IMAGE-CLE ).
IMAGERIE: Totalité des techniques permettant le traitement des images, spécialement les images photographiques. (définition IMAGERIE ).
IMAGERIE DE SYNTHESE: Totalité des techniques concernant le traitement des images de synthèse. (définition IMAGERIE DE SYNTHESE ).
IMAGETTE: Visuel miniaturisé. (définition IMAGETTE ).
IMAGEUR: Périphérique qui autorise le transfert d'image numériques sur pellicule photographique. (définition IMAGEUR ).
IMAGINA: Salon du visuel de synthèse, qui eu lieu chaque année à Monaco. (définition IMAGINA).
IMAP: Internet Messaging Api Protocol. Protocole de messagerie électronique permettant l?échange de messages entre utilisateurs sur Internet. (définition IMAP).
IMAP4: Protocole de messagerie électronique qui permet aux serveurs sans passer par Internet. (définition IMAP4).
IMBRICATION: Désigne des boucles emmelées les unes avec les autres. (définition IMBRICATION ).
IMDS: In Memory Database System. (définition IMDS ).
IME: In My Experience, c'est à dire â??A mon avisâ?. (définition IME ).
IMEI: International Mobile Equipment Identity, soit " Identifiant des équipements mobiles". (définition IMEI ).
IMG: Il s'agit d'un fichier renfermant une image. (définition IMG ).
IMHO: In My Humble Opinion, c'est à dire â??A mon humble avisâ?. (définition IMHO ).
IMIP: iCalendar Message-based Interoperability Protocol, soit " Protocole d'échanges de données au format iCalendar". (définition IMIP ).
IMMERSIF: Employé en parlant d'un périphérique qui permet d'accomplir une immersion. (définition IMMERSIF ).
IMMERSION: Désigne une immersion dans une réalité virtuelle. (définition IMMERSION).
IMMUABLE: Désigne un fichier qui ne peut plus être changer, mais seulement consulté. (définition IMMUABLE ).
IMNSHO: In My Not So Humble Opinion, soit " A mon avis pas si humble" (définition IMNSHO ).
IMO: In My Opinion, soit " A mon avis" (définition IMO ).
I-MODE: Similaire au WAP, mais au Japon. Réalisé par NTT Domoco. (définition I-MODE ).
IMOHO: In My Own Humble Opinion, soit " A mon humble avis à moi". (définition IMOHO ).
IMP: Interface Message Processor. (définition IMP ).
IMPLANTATION: Installer un programme. (définition IMPLANTATION).
IMPLEMENTATION: Une implémentation est toujours réalisé par un programeur en particulier sur une plate-forme particulière. (définition IMPLEMENTATION).
IMPLEMENTER: Action de programmer une fonction particulière, bien spécifiée. (définition IMPLEMENTER ).
IMPORTATION: C'est le fait d'ouvrir, avec une application, des données qui ont été enregistrées par un autre programme. (définition IMPORTATION ).
IMPORTER: 1) Réaliser une importation. 2) Télécharger des données depuis un ordinateur distant. (définition IMPORTER ).
IMPOSITION: Consiste à positionner sur une grande feuille les pages d?un document dans le but d?obtenir un cahier lors du pliage. (définition IMPOSITION).
IMPOV: In My Point Of View, soit " De mon point de vue...". (définition IMPOV ).
IMPRESSION: Reproduction d'un document à l'aide d'une imprimante. (définition IMPRESSION ).
IMPRIMABLE GUILLEMETTE: Traduction française non utilisée de Â«quoted printable". (définition IMPRIMABLE GUILLEMETTE ).
IMPRIMANTE MATRICIELLE: Désigne une imprimante munie d'une baterie d'aiguilles pour inscrire sur le papier, en martelant à travers un ruban. (définition IMPRIMANTE MATRICIELLE ).
IMPRIMANTE: Terminal permettant d?écrire sur un support papier les informations numériques qui lui sont transférées. (définition IMPRIMANTE).
IMPRIMATICIEN: Appelation désignant un imprimeur travaillant à partir de documents numériques. (définition IMPRIMATICIEN ).
IMR: 1) Interrupt Mask Register. Registre du PIC (controleur d'interruption sur un PC). 2) Internet Monthly Report, soit " rapport mensuel sur l'Internet" (définition IMR).
IMS: Instant Messaging System. (définition IMS).
IMTC: International Multimedia Teleconferencing Consortium. Consortium réunissant une cinquantaine d'industriels produisant du matériel de vidéoconférence. (définition IMTC ).
IN: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Inde. (définition IN ).
INACTINIQUE: Rayonnement qui n?affecte pas certaines émulsions, permet d?éclairer un laboratoire sans impressionner les surfaces sensibles. (définition INACTINIQUE).
INBOX: Dossier recevant les messages qui arrivent : boà®te de réception. (définition INBOX ).
INC: Fichier renfermant une bibliothèque en C. (définition INC).
INCAS: Intégration dans la Conception des Applications de la Sécurité. Désigne une méthode de caractérisation basée sur la sécurité. (définition INCAS ).
INCENDIER: Version française de " to flame". Incendier quelqu'un signifie l'injurier à travers des messages électroniques. (définition INCENDIER ).
INCH: Unité de mesure équivalente au pouce en français. (définition INCH).
INCLUDE: 1) Directive du préprocesseur en C demandant d'inclure un fichier particulier dans le texte d'origine. 2) " Fichier include" : fichier inclut dans la définition précédante. (définition INCLUDE ).
INCOMPATIBILITE: Désigne une situation entre deux systèmes incapables de communiquer entre eux. (définition INCOMPATIBILITE ).
INCOMPATIBLE: Désigne deux systèmes qui sont incapables de communiquer entre eux. (définition INCOMPATIBLE).
INCONSISTANT: Anglicisme désignant des données incohérentes, désorganisées ou contradictoires. (définition INCONSISTANT ).
INCONSISTANT: Désigne une valeur ajoutée. (définition INCONSISTANT ).
INCORPORATION: Insertion d?une photographie dans une autre par montage, généralement grâce à un logiciel de retouche photo. (définition INCORPORATION).
INCREMENTAL: Désigne une opération liés à un ensemble de données mais ne concernant que les données ajoutées depuis la dernière opération. (définition INCREMENTAL).
INCREMENTER: Désigne le fait d'ajouter une valeur ( habituellement la valeur est 1) à une variable. (définition INCREMENTER ).
INDENTER: C'est le fait d'agrandir la marge sur un paragraphe, pour mettre en valeur la structure d'un texte. (définition INDENTER ).
INDENTEUR: Version française de " Beautifier" quand on se contente de rendre plus cohérent l'indentation d'un code source. (définition INDENTEUR ).
INDEO: Algorithme pour compresser ou décompression des données avec une qualité égale à Cinepak. (définition INDEO).
INDEX: Une valeur est indexée quand on lui ajoute ou soustrait une autre valeur. L'index est souvent utilisé en assembleur pour atteindre la mémoire, afin de compléter une adresse au dernier instant. (définition INDEX ).
INDEXATION: Opération indexant les différents éléments d'une somme d'information. (définition INDEXATION ).
INDEXE: 1) Se dit d'un fichier pour lequel un index a été calculé à partir d'une clé, afin de le retrouver plus vite. 2) Un forum est indexé lorsqu'il est disponible à partir d'une hiérarchie de newsgroups qui n'est pas la sienne. (définition INDEXE ).
INDEXER: Réaliser un index sur une somme de donées. (définition INDEXER).
INDICATEUR: C'est un synonyme de flag, c'est à dire " drapeau". La valeur utilisée est la valeur booléene. (définition INDICATEUR).
INDICE: Dans un tableau, c'est le chiffre correspondant à un élément. La colonne des chiffres comprend le zéro. (définition INDICE).
INDICIAIRE: Désigne un élément indicé, qui contient un indice. Par exemple une notation indiciaire, contient des caractères placés en indice, c'est à dire sous la ligne de base des caractères. (définition INDICIAIRE).
INDY: C'est la station graphique de Silicon Graphics, utilisée plus particulièrement pour la réalisation des images de synthèses du film " Jurassic park". (définition INDY ).
INF: Fichier renfermant diverses informations, le plus souvent seulement textuelles. Par exemple, il est utilisé pour décrire les pilotes en vue de leur installation. (définition INF ).
INFECTE: Un fichié est infecté lorsqu'il renferme des informations inscritent sans le consentement de son propriétaire ou sans qu'il le sache. On nomme alors " virus" ces informations. (définition INFECTE).
INFECTION: C'est l'évenement subit par un fichier qui est infecté par un virus. (définition INFECTION ).
INFERENCE: Désigne l'utilisation d'une déduction logique produit par un système expert, pour semblé intelligent. (définition INFERENCE ).
INFERENCE DE TYPE: C'est la déduction du type des sorties d'une fonction par l'analyse du type des entrées et des transformations qu'on leur fait subir. (définition INFERENCE DE TYPE).
INFINI: Caractéristique de certaines boucles pour lesquelles on ne voit aucune limites. (définition INFINI).
INFIXE: Désigne la position d'un opérateur binaire, c'est-à-dire entre ses arguments. (définition INFIXE).
INFOBAHN: Mot-valise signifiant " autoroute de l'information". De autobahn (autoroute en allemand) et information. (définition INFOBAHN).
INFOCENTRE: Concept crée par IBM dans les années 70, qui ne s'imposa pas à l'époque. Il était réalisé pour les spécialistes des mainframes mais déstiné à des usagers non informaticiens. Il revient actuellement en force. (définition INFOCENTRE ).
INFOCOMMUNICATION: Désigne la communication qui se fait par le biais de l'informatique. (définition INFOCOMMUNICATION).
INFOGERANCE: Se dit d'une entreprise qui sous-traite à un spécialiste la gestion de son informatique. (définition INFOGERANCE).
INFOGLAUQUE: Désigne une personne qui a une conception mauvaise ou flou de l'informatique. (définition INFOGLAUQUE ).
INFOGRAPHE: Abréviation de infographiste. (définition INFOGRAPHE ).
INFOGRAPHIE: Terme regroupant toutes les technologie permettant le traitement électronique ou informatique des images. (définition INFOGRAPHIE).
INFOGRAPHIQUE: Ce qui est relatif à l'infographie. (définition INFOGRAPHIQUE ).
INFOGRAPHISTE: Mot-valise (informaticien et graphiste). Celui dont le métier est l'infographie. (définition INFOGRAPHISTE).
INFOLINE: Désigne un service de mise en ligne de l'information. (définition INFOLINE).
INFOLOGISTIQUE: Mot-valise (informatique et logistique). L'infologistique permet une gestion optimale des délais de livraison, des stocks, etc... (définition INFOLOGISTIQUE).
INFONAUTE: C'est un synonyme d'internaute. (définition INFONAUTE).
INFONET: Réseau international à commutation de paquet, développé par INFONET, qui est une filiale réunissant 15 sociétés de télécommunication comme France telecom. (définition INFONET).
INFONIE: C'est un ancien service en ligne lié à la société Infogrames. (définition INFONIE).
INFORMATICIEN: Personne dont le métier est l'informatique. (définition INFORMATICIEN ).
INFORMATICIENNE: Féminin de informaticien. (définition INFORMATICIENNE ).
INFORMATION: Désigne l'élément conceptuel qui permet le traitement, le stokage, et le transfert de connaissance. (définition INFORMATION ).
INFORMATIQUE: Mot-valise crée par P.Dreyfus en 1962 et reconnu par l'académie française en 1966 sous la définition suivante : " science du traitement rationnel, notamment par machines automatiques, de l'information considérée comme le support des connaissances humaines et des communication dans les domaines techniques, économiques et sociaux. (définition INFORMATIQUE ).
INFORMATIQUE QUANTIQUE: C'est une tentative d'application des phénomènes quantiques au niveau de l'électronique en vue d'obtenir des performances et des capacités gigantesques. (définition INFORMATIQUE QUANTIQUE ).
INFORMATISATION: C'est l'installation d'un système de traitement automatique de l'information. (définition INFORMATISATION ).
INFORMATISER: C'est la mise en oeuvre d'un plan d'informatisation. (définition INFORMATISER).
INFOROUTE: Désigne les grands réseaux informatique. (définition INFOROUTE).
INFOSWITCH: Réseau canadien à commutation de paquet. (définition INFOSWITCH).
INFOWARE: Désigne une catégorie de logiciels dont le but est de traiter globalement l'information au vue des quantités croissantes. Contrairement au logiciels habituels, l'infoware gère l'information selon des algorithmes simples et en faible quantités. Ex : navigateur web. (définition INFOWARE ).
INFRAROUGE: Se dit d?une technologie qui utilise les rayons infrarouges pour la transmission de données, comme par exemple les télécommande ou certains périphériques d?ordinateur. (définition INFRAROUGE).
INFRASTRUCTURE A CLE PUBLIQUE: Ensemble des normes et des logiciels qui manipule des clés privées ou publiques ou bien des certificat d?authentification. (définition INFRASTRUCTURE A CLE PUBLIQUE).
INGENIERIE INVERSE: Elle permet, par analyse, de déterminer l'utilité d'un objet nouveau. (définition INGENIERIE INVERSE ).
INGENIERIE LOGICIELLE: C'est une discipline qui a pour objectif de réaliser des logiciels spécifiques. (définition INGENIERIE LOGICIELLE ).
INGENIERIE SOCIALE: Le terme est utilisé à propos de la communication inter-processus. L'information est dirigée sans que l'utilisateur en soit informé. (définition INGENIERIE SOCIALE ).
INGRES: SGBDR populaire, introduit sur le marché par la société RTI en 1981 (définition INGRES ).
INGRESS: Vient du latin " ingressus" qui veut dire " entrer dans". Opposé à " egress". Désigne par ex l'arrivée des paquets sur une interface réseau. (définition INGRESS ).
INHERITANCE: Traduction anglaise de l'héritage en programmation objet. (définition INHERITANCE ).
INI: Fichier renfermant des ordres d'initialisation et divers paramètres pour un programme spécifique. (définition INI ).
INIT: Abréviation de INITialisation. C'est un programme chargé au démarrage d'un macintosh. Depuis le système 7, il s'agit d'extensions. (définition INIT).
INITIALISATION: C'est le fait d'initialiser. (définition INITIALISATION).
INITIALISER: C'est le fait de remettre une machine ou un programme dans état premier. Le plus souvent, cela concerne le contenu des variable et la mémoire. (définition INITIALISER).
INLINE: Désigne les informations intégrés au corps du programme, plutot que dans un fichier distinct. (définition INLINE).
INLINING: C'est l'insertion d'un élement dans un autre, par référence. (définition INLINING ).
INMARSAT: Organisme de dimension internationale qui gère un réseau de satellites utilisé dans les communications de données et de voie dans le domaine de la navigation. (définition INMARSAT).
INN: Inter-Network News (définition INN).
INNERCLASS: Insertion d'une classe dans une autre. Java utilise cette opération depuis sa version 1.1 afin de réduire le nombre des classes. (définition INNERCLASS).
INODE: Autre orthographe de " I-node" (définition INODE ).
I-NODE: Soit " index node". Partie du disque dur rassemblant les informations vitales d'un fichier et qui assure la liaison du fichier avec le reste du système. (définition I-NODE ).
INPI: Institut National de la Propriété Industrielle. (définition INPI ).
INPUT: Entrées et données entrant dans la machine. Désigne habituellement la commande ou l'instruction permettant de lire les entrées. (définition INPUT).
INRIA: Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique. Institut de recherche crée par l'IRIA en 1979. (définition INRIA).
INS: Réseau numérique au japon, à large bande passante. (définition INS).
INSERTION DIRECTE: Dans un lecteur de CD-ROM à insertion directe, on introduit le CD directement dans la machine contrairement à un lecteur à tiroir classique. (définition INSERTION DIRECTE ).
INSMOD: Mot-valise signifiant " INSert MODule" et désignant la commande qui permet d'introduire un module dans le noyau sous Linux. (définition INSMOD ).
INSOLATION: Exposition d?un support sensible à la lumière, au travers d?un film. (définition INSOLATION).
INSOLEUSE: Ce dispositif permet d'exposer à un rayonnement ultra-violet, des composants éléctroniques. (définition INSOLEUSE ).
INSTABILITE: Application ou système instable. (définition INSTABILITE).
INSTABLE: Un système instable, est un système dont le fonctionnement peut s'altérer à tout moment. (définition INSTABLE).
INSTALL PARTY: Rassemblement durant lequel, certaines personnes installent un système d'exploitation de façon bénévole sur l'ordinateur d'autres personnes. (définition INSTALL PARTY ).
INSTALLATION: C'est l'action qui consiste à intégrer une application à un système. (définition INSTALLATION).
INSTALLER: C'est le fait d'intégrer les fichiers d'un logiciel au système en les copiant sur le disque dur et de paramétrer le système de façon à permettre le fonctionnement de l'application. Souvent, un petit programme spécialisé pour ça, prend en charge cette manipulation : le setup. (définition INSTALLER).
INSTALLFEST: Version allemande de l'install party. (définition INSTALLFEST).
INSTANCE: Un exemple spécifique de la structure générale définie par une classe. (définition INSTANCE).
INSTANCIATION: C'est la création d'une instance d'un objet depuis sa classe. (définition INSTANCIATION).
INSTANCIER: Le fait de créer une instance d'une classe, donc un objet. (définition INSTANCIER ).
INSTAURER: Version française du verbe anglais " to set". (définition INSTAURER).
INSTRUCTION: Commande élémentaire lu et exécuté par un processeur. Cinq types existants : entrées/sorties, branchement, arithmétique, logique et transfert. On la confond souvent avec une ligne de code, pourtant la plupart des langages autorisent plusieurs instructions sur une même ligne. (définition INSTRUCTION ).
INT: Abréviation de " interruption". Abréviation d'Â " integer". (définition INT ).
INTA: INternational Trademark Association. Association à but non lucratif ayant pour objectif de favoriser l'usage des marques déposées. (définition INTA ).
INTARWEB: Mot-valise incluant et déformant les motsÂ " internet" et " web". Désigne une personne incapable de faire la différence entre les différents services disponibles sur le net. (définition INTARWEB ).
INTEGER: Nom de type qui désigne habituellement un entier signé et codé sur deux octets. L'entier défini de cette manière ne pourra se trouver que dans l'intervalle [-32768, 32767]. (définition INTEGER ).
INTEGRATEUR: Désigne un constructeur informatique qui peut faire fonctionner un groupe de sous-systèmes d'origines différentes. Circuit électronique dont la sortie est l'intégrale du signal d'entrée. (définition INTEGRATEUR).
INTEGRATION: C'est le fait d'inclure un élément dans un ensemble plus vaste. Exemple d'intégration au niveau matériel : faire marcher une carte réseau dans une machine sous windows. (définition INTEGRATION ).
INTEGRE: Groupe de logiciel qui peuvent communiquer entre eux, constituants une bureautique légère. (définition INTEGRE ).
INTEGRITE: Spécificité d'une information de confiance, entière et qui n'a pas pu être altérer. (définition INTEGRITE ).
INTEGRITE REFERENTIELLE: Garantie du respect des règles induites par les relations entre les tables d'une base de données. (définition INTEGRITE REFERENTIELLE ).
INTEGRITE: Propriété d?une information qui n?a subi aucune altération, pendant son utilisation ou pendant un transfert. (définition INTEGRITE).
INTEL: INTegrated Electronics. Entreprise fondée en 1968 par Gordon Moore, Andy Grove et Bob Noyce. Créateur et producteur de processeurs centraux, de chipsets, de coprocesseurs. (définition INTEL ).
INTELLIFONT: C'est un format vectoriel de polices de caractères. Crée par AFGA et surtout utilisé par les imprimantes PCL d'HP. (définition INTELLIFONT).
INTELLIGENCE ARTIFICIELLE: Désigne la simulation des mécanismes de la pensée par un ordinateur. AI : abréviation anglaise. (définition INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ).
INTELLIGENCE ECONOMIQUE: Espionnage industriel. Ici, " intelligence" est un anglicisme qui signifie " renseignements". (définition INTELLIGENCE ECONOMIQUE ).
INTELLIVISION: C'est le nom d'une console de jeu crée en 1980 par Mattel. (définition INTELLIVISION ).
INTELSAT: Groupement de satellites de télécommunication utilisé dans le monde entier par les opérateurs de télécommunication, géré par l?entreprise homonyme. (définition INTELSAT).
INTERACTIF: Désigne un système qui réagit immédiatement aux sollicitations de l'utilisateur. (définition INTERACTIF ).
INTERACTIVITE: Spécificité de ce qui est interactif. (définition INTERACTIVITE ).
INTERBLOCAGE: Version française de " deadlock". Bug du système lorsque deux processus dépendant s'attendent l'un l'autre. (définition INTERBLOCAGE ).
INTERCAL: Acronyme de " Langage Compilé Sans Acronyme Prononçable". Désigne un langage de programmation qui fut crée par par James Lyons et Don Woods en 1972. (définition INTERCAL ).
INTERCLASSEMENT: C'est la fusion de deux groupes séparés d'informations triées, qui n'en formera plus qu'un seul, trié également. (définition INTERCLASSEMENT ).
INTERCLASSER: C'est la réalisation d'un interclassement sur deux fichiers. (définition INTERCLASSER ).
INTERCOM: Système de téléphonie locale et réservé à un usage privé. La faible dimension du système permet une utilisation très simplifiée : un simple appui sur une touche permet l?établissement de la communication. (définition INTERCOM).
INTERCONNEXION: Lieu d'échange de messages entre différents réseaux. (définition INTERCONNEXION).
INTERFAçAGE: C'est le branchement de deux systèmes par le biais d'une interface. (définition INTERFAçAGE).
INTERFACE GRAPHIQUE: Les programmes qui permettent une utilisation plus intuitive d'un logiciel ou d'un système. (définition INTERFACE GRAPHIQUE).
INTERFACE HOMME-MACHINE: Interface gérant la relation entre l'utilisateur et la machine. (définition INTERFACE HOMME-MACHINE).
INTERFACE RESEAU: Synonyme d'adaptateur réseau. (définition INTERFACE RESEAU ).
INTERFACE UTILISATEUR: Autre appelation pour " Interface homme-machine". (définition INTERFACE UTILISATEUR ).
INTERFACE: C'est l'ensemble des programmes avec lesquelles l'utilisateur est en relation. (définition INTERFACE).
INTERFACER: Mise en relation par le biais d'une interface de plusieurs machines. (définition INTERFACER ).
INTERFEROMETRE: Appareil de mesure qui permet la détection d?interférence électromagnétique sur un câble transportant de l?information. (définition INTERFEROMETRE).
INTERFONCTIONNEMENT: Bon fonctionnement protocolaire des échanges de messages entre deux machines connectées en réseau. (définition INTERFONCTIONNEMENT).
INTERGICIEL: Version française de " middleware" (définition INTERGICIEL).
INTER-IMAGE: Spécificique aux formats de compression vidéo qui travaillent à partir des différences entre les images, plutot qu'en compressant les images elles-même. (définition INTER-IMAGE ).
INTERLATA: Communication entre deux LATA. (définition INTERLATA ).
INTERLEAVE: On l'utilise particulièrement sur les disques. Les fichiers sont emmagasinnés dans des zones non-contigues pour permettre au disque une rotation plus véloce. (définition INTERLEAVE).
INTERLETTRAGE: Espace existant entre deux lettres d?un mot. (définition INTERLETTRAGE).
INTERLIGNAGE: Espace entre deux lignes d?un texte, se mesure en points. (définition INTERLIGNAGE).
INTERLIGNE: C'est l'espace qui sépare deux lignes imprimées. (définition INTERLIGNE).
INTERMODULATION: Défaut produit sur un signal par un autre signal d?une certaine fréquence transporté par un câble à proximité, sur des câbles téléphoniques par exemple. (définition INTERMODULATION).
INTERNAUTE: Personne qui se déplace sur les réseaux d'information d'Internet. (définition INTERNAUTE).
INTERNE: Désigne un éléments qui fonctionne sans faire appel à une ressource externe. Ex : commande interne integrée au shell. (définition INTERNE ).
INTERNET (CHRONOLOGIE): * 1961. Premier papier sur la commutation de paquets. * 1962. Début du projet ARPA. * 1969. Création du réseau Arpanet, qui deviendra plus tard l'Internet. 4 machines sont connectées. * 1973. Connexion des premières machines hors USA. (définition INTERNET (CHRONOLOGIE)).
INTERNET 2: Version programmée d'Internet qui utilisera de plus hauts débits et un fonctionnement de priorité sur les paquets de données. (définition INTERNET 2 ).
INTERNET SOCIETY: Société qui s'intérresse au développement d'Internet. (définition INTERNET SOCIETY ).
INTERNET TIME: L'heure d'Internet. Elle est mesurée en " beats" et le temps est fractionné de façon décimale (1000 beats/jour). C'est idée fut lançée par la marque Swatch mais ne connut pas un grand succés. (définition INTERNET TIME ).
INTERNET: Réseau de communication international. Environ 6 millions d?ordinateurs y sont connectés en permanence. (définition INTERNET).
INTERNIC: Ensemble de serveurs regroupant des informations de statistiques sur Internet, mis à disposition des utilisateurs par la fondation américaine NSF. (définition INTERNIC).
INTERNIQUE: Déformation péjorative d'Internic. (définition INTERNIQUE ).
INTEROPERABILITE: Ensemble du matériel et des logiciels qui permettent à un système composés d?équipement hétérogènes de réaliser un travail commun. (définition INTEROPERABILITE).
INTEROPERABILITE: Le fait pour deux machines d'être interopérablent : capables de fonctionner en synergie. (définition INTEROPERABILITE).
INTEROPERABLE: Désigne deux systèmes qui peuvent communiquer entre eux. (définition INTEROPERABLE ).
INTERPAC: Filiale permettant de fournir à l?internationale des service de commutation de paquet depuis la France, elle utilise pour cela le réseau Infonet et est affiliée à Transpac. (définition INTERPAC).
INTERPEDIA: The Internet Encyclopedia. Projet d'encyclopédie en ligne qui n'a pas aboutit. (définition INTERPEDIA).
INTERPHONIE: Mécanisme de transmission qui permet une communication entre le combiné et la base d'un appareil sans fil. (définition INTERPHONIE ).
INTERPOLATION: Procédé qui permet d?augmenter la résolution d?une image numérisée, en ajoutant des pixels dont la couleur est déterminée par un algorithme mathématique. Ce procédé entraîne une dégradation de l?image. (définition INTERPOLATION).
INTERPRETE: Désigne un langage dont les instructions sont mises à exécution par ordre d'apparitions quand on ouvre un programme. (définition INTERPRETE ).
INTERPRETEUR DE COMMANDES: Programme qui exécute les commandes qu'on lui fournit les unes aprés les autres dans l'ordre oà¹ elles lui arrivent. (définition INTERPRETEUR DE COMMANDES ).
INTERPRETEUR: Langage qui exécute les lignes du code source dans l'ordre oà¹ elles apparaissent, sans faire de compilation. (définition INTERPRETEUR).
INTERPROCESSUS: Désigne un phénomène qui se produit entre deux processus. Par exempleÂ la communication interprocessus par tube. (définition INTERPROCESSUS ).
INTERRESEAU: C'est la traduction française d'Internet qui désigne de nombreux réseaux interconnectés formant un grand réseau. (définition INTERRESEAU).
INTERRESEAUTAGE: Se dit lorsqu'on utilise un interréseau dans un organisme. (définition INTERRESEAUTAGE ).
INTERROGATION: Traduction de " request". (définition INTERROGATION).
INTERROGER: Le fait de poser des questions à une base de données. (définition INTERROGER ).
INTERRUPTEUR: Traduction de " switch". (définition INTERRUPTEUR).
INTERRUPTION: Signal éléctronique qui permet de dérouter le fonctionnement d'un processeur vers une partie de code différente le temps le traiter. (définition INTERRUPTION).
INTERSECTION: Une intersection, entre deux ensembles, est un groupe d'éléments qui se trouvent dans les deux ensembles à la fois. (définition INTERSECTION).
INTERTIONNALISATION: Le fait de rendre un logiciel capable d'utiliser plusieurs langues. Autre appellation : " localisation". (définition INTERTIONNALISATION).
INTERZONAL: Une communication interzonal a lieu entre deux zones de tarifications. (définition INTERZONAL ).
INTIS: Système d?EDI (Echange de Données Informatisées) dans le domaine portuaire, initialement crée à Rotterdam. (définition INTIS).
INTRA-INTELLIGENT: Caractérise un réseau qui peut résoudre ses propres défaillances pour accomplir sa tache. (définition INTRA-INTELLIGENT).
INTRALATA: Communication se déroulant dans une seule LATA, aux Etats-Unis. (définition INTRALATA ).
INTRANAUTE: C'est une variante de l'Internaute ne pouvant naviguer que dans le réseau IP d'une organisation. (définition INTRANAUTE ).
INTRANET: Réseau semblable à celui de l?Internet mais utilisé de façon privée au sein d?une entreprise. (définition INTRANET).
INTRA-RAID: Désigne un petit RAID. (définition INTRA-RAID ).
INTRO: Petite démonstration annoncant un jeu piraté, réalisées par les crackers en guise de signature. (définition INTRO).
INTUG: Organisation internationale regroupant des utilisateurs de services de télécommunications. Organisme de conseil utilisé par le CCITT. (définition INTUG).
INVERSE-VIDEO: Inversion des couleurs de fond et de premier plan. (définition INVERSE-VIDEO).
INVERSION DE PRIORITE: Mesure prise par l'ordonnanceur, dans une situation d'interblocage entre un processus de haute priorité en attente d'un processus de faible priorité. (définition INVERSION DE PRIORITE).
INVISIBLE: Un fichier invisible est un fichier caché que le système ne dévoile qu'en cas de demande expicite. (définition INVISIBLE ).
INVITE: Série de caractères invitant l'utilisateur à taper sa demande. (définition INVITE ).
INVOCATION: C'est le fait d'appeler une procédure ou une fonction. (définition INVOCATION).
INVOQUER: Exécuter une fonction ou une procédure. (définition INVOQUER).
IO: Abréviation de " input/output". (définition IO).
IO: Nom du domaine de premier niveau des territoires britanniques de l'océan indien. (définition IO).
IOCCC: International Obfuscated C Code Contest. (définition IOCCC ).
IOCTL: I/O control, soit " controle des entrées/sorties". (définition IOCTL ).
IODEF: Incident Object Description and Exchange Format, soit " format d'échange des renseignements concernant les incidents de sécurité". (définition IODEF ).
IOI: International Olympiads in Informatics. Olympiades scientifiques et techniques pricipalement axées sur la programmation et les algorithmes. (définition IOI ).
ION-LITHIUM: Batteries pour ordinateur portable de très bonne qualité, beaucoup plus puissante que les bateries ordinaires. (définition ION-LITHIUM ).
IOP: Input Output Processor, soit " processeur d'entrées-sorties". (définition IOP).
IOS: Internetworking Operating System. (définition IOS ).
IOW: In Other Words, soit " Â En d'autres termes"Â . (définition IOW ).
IP MULTICAST: Protocole qui permet de grouper des informations avec des destinataires différents afin d?optimiser l?utilisation du réseau Internet. La séparation des informations est effectuée au plus tard. (définition IP MULTICAST).
IP SEC: Internet Protocol SECurity. Protocoles réalisés par IETF et ayant pour but les échanges sécurisés de paquets au niveau de la couche IP. (définition IP SEC ).
IP SPOOFING: Synonyme de Adresse spoofing. C'est le fait d'usurper l'identité de quelqu'un en se servant de son adresse IP pour tromper la méfiance des boà®tes de réceptions. (définition IP SPOOFING ).
IP: 1) Internet Protocol. Désigne le protocole de transmission de l'Internet. 2) Désigne également les adresses du réseau. 3) Intelligent Peripheral.4) Information Pollution. (définition IP).
IP: Instruction Pointer, soitÂ " pointeur d'instructions". Il est incrémenté dès que le processeur termine de traiter une instruction. (définition IP).
IP: Internet Protocole. Protocole utilisé sur Internet pour l?établissement des adresses des ordinateurs connectés. L?adresse est actuellement codé sur 4 octets pour l?IPv4 mais passera bientôt à 6 octets pour l?IPv6. (définition IP).
IPAH: Internet Protocol Authentication Header. En-tête d'authentification dans le protocole Internet. (définition IPAH ).
IPAO: Ingéniérie de Process Assistée par Ordinateur. (définition IPAO).
IPC: 1) Inter-Process Communication, soit " communication inter-processus". 2) Inter Personal Computer. (définition IPC).
IPHONE: " Internet phone". Communications téléphoniques par internet. (définition IPHONE ).
IPNG: IP New Generation. (définition IPNG ).
IPNS: Système permettant de signaler des autocommutateurs privés, développé par des constructeurs européens comme Alcatel et Siemens. (définition IPNS).
IPOAC: IP Over Avian Carrier. (définition IPOAC ).
IPP: Internet Printing Protocol, soitÂ " Protocole d'impression par Internet". (définition IPP ).
IPS: " Images Par Seconde". c'est la mesure de vitesse d'une animation (définition IPS ).
IPSS: Réseau britannique à commutation de paquet, accessible à l?international. (définition IPSS).
IPT: Informatique Pour Tous. (définition IPT).
IPTC: International Press Télécommunications Council. Organisme qui a participé à la définition des métadonnées qui sont inscrites dans lesÂ champs IPTC, et qui permettent de documenter certains fichiers. Spécialement les images qui peuvent être accompagnées du nom de leur auteur, du nom du propriétaire, du lieu de prise de vue, de la date de création, etc. (définition IPTC ).
IPTHML: Internally Parsed HTML. (définition IPTHML).
IPV4: Internet Protocol version 4. (définition IPV4 ).
IPV6: Internet Protocol version 6. Nouvelle version d'IP qui permettrrai de dépasser les 4 milliards d'adresses. (définition IPV6).
IPX: Protocole décrivant la transmission des données sur les réseaux Netware développé par Novell. (définition IPX).
IQ: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Irak. (définition IQ ).
IR: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en république islamique d'Iran. (définition IR ).
IR: Infra-Rouge. (définition IR ).
IRC: Internet Relay Chat. C'est un serveur qui permet de communiquer avec plusieurs personnes en direct. (définition IRC ).
IRCOP: " IRC Operator". (définition IRCOP ).
IRDA: InfraRed Device Association. Association crée en 1993 qui a pour but le développement des standard de communication en point à point basés sur l'IR (définition IRDA).
IREST: Institut de Recherches Economiques et Sociales sur les Télécommunications. Institut s?intéressant l?influence sur le plan économique et sociologique des télécommunications au niveau national et international. (définition IREST).
IRIA: Institut de Recherche en Informatique et en Automatique. Crée en 1967. (définition IRIA ).
IRIDIUM: Projet de communication à l'aide de 77 satellites. L'origine du nom fait référence à l'atome d'iridium, qui comprend 77 éléctrons. (définition IRIDIUM ).
IRINA: Virus transmis par email. (définition IRINA ).
IRIS: mainframes d'origine française. (définition IRIS).
IRIX: Version d'Unix utilisée chez Silicon Graphics, sur leurs machines. (définition IRIX ).
IRL: In Real Life, soit " dans la vie réelle". (définition IRL ).
IRLAP: InfraRed Link Access Protocol. Protocole de niveau 2 OSI qui définit l'établissement d'un échange par infrarouge. (définition IRLAP ).
IRLMP: InfraRed Link Management Protocol. Protocole de multiplexage de différentes communications infrarouges sur un transmetteur. (définition IRLMP ).
IRM: Information Resource Management. (définition IRM ).
IRP: I/O Request Packet. (définition IRP).
IRQ: Requête d?interruption permettant à un périphérique de fournir au processeur les informations qu?il possède, afin d?être exploitées par un logiciel. (définition IRQ).
IS: Instruction Set. International Standard. (définition IS ).
IS: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Islande. (définition IS).
IS-95: Interim Standard 95. C'est le nom officiel de la première version de la norme CDMA. (définition IS-95 ).
ISA: Industry Standard Architecture. (définition ISA ).
ISAM: Indexed Sequential Access Method. (définition ISAM ).
ISAPI: Api développé par Microsoft pour l?interfaçage entre une base de donnée et un serveur Internet. (définition ISAPI).
ISCSI: Méthode qui consiste à faire passer des commandes SCSI par une pile IP. (définition ISCSI ).
ISDN: Integrated Services Digital Network. Equivalent en anglais de RNIS pour Réseau Numérique à Intégration de Services. Liaison de communication s?appuyant sur le réseau de lignes téléphonique, débit jusqu?à 128 Ko/s. (définition ISDN).
ISIN: International Securities Identification Number. Identifiant international des titres financiers. (définition ISIN ).
IS-IS: Intermediate System to Intermediate System. C'est un protocole de routage de niveau 2 OSI des protocoles CLNP (définition IS-IS ).
ISM: Intermediate Service Module. (définition ISM).
ISO 10646: Cette norme qui contient tous les caractères de tous les jeux de caractères possibles, définit l'UCS depuis 1993. (définition ISO 10646 ).
ISO 10744: Définition de HyTime. (définition ISO 10744 ).
ISO 14443: C'est standard de communication radio qui utilise une carte à puce. (définition ISO 14443 ).
ISO 17799: C'est le nom du standard BS7799 depuis qu'il a été adopté par l'ISIO. (définition ISO 17799 ).
ISO 639: C'est une norme ISO qui définit les différents codes des langues du monde (définition ISO 639 ).
ISO 8859-X: Fait partit des normes de l'ISO, et définit des tables de 256 caractères, en reprenant les 128 premiers caractères de l'ASCII et en y ajoutant des caractères accentués (définition ISO 8859-X ).
ISO 8879: Standard de l'ISO qui définit le SGML. (définition ISO 8879 ).
ISO 9000: C'est une norme d'assurance qualité reconnue dans le monde entier. (AQ). (définition ISO 9000 ).
ISO 9001: Sous-groupe de la norme ISO 9000 qui porte sur l'activité d'une entreprise en général. (définition ISO 9001 ).
ISO 9002: Sous-groupe de la norme ISO 9000 qui porte sur la production d'une entreprise. (définition ISO 9002 ).
ISO 9003: Sous-groupe de la norme ISO 9000 qui porte sur la commercialisation des produits d'une entreprise. (définition ISO 9003 ).
ISO 9660: Standard développé par High Sierra en 1988 pour la gravure des CD. (définition ISO 9660).
ISO: International Standard Organisation. Organisme qui s?occupe de l?établissement de normes internationales. (définition ISO).
ISOC: Internet Society Organisation. Association dont le but est d?initier des travaux pour l?évolution des ressources d?Internet. (définition ISOC).
ISOCHRONE: Qualificatif d?une liaison établi entre deux équipements parfaitement synchrones. (définition ISOCHRONE).
ISP: Internet Service Provider. (définition ISP).
ISPF: Internet Service Providers' Forum. (définition ISPF ).
ISR: In-Service Register. Désigne un des registres du PIC. (définition ISR ).
IST: Irish Summer Time. Egal à UTC plus 1. (définition IST ).
ISTM: It Seems To Me, soit Â â??Il me semble que...â?. (définition ISTM ).
ISWIM: 1) If you See What I Mean, soitÂ " Si tu vois ce que je veux dire". 2) Langage de programmation. (définition ISWIM ).
IT: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Italie. (définition IT ).
IT: Information Technology. (définition IT ).
IT FORUM: Information Technology Forum. (définition IT FORUM ).
ITAA: Information Technology Association of America. (définition ITAA ).
ITALIQUE: Caractère dont les traits (jambage) sont inclinés d?un côté. (définition ITALIQUE).
ITANIUM: Processeur 64 bits crée par Intel et HP pour remplacer les processeurs x86 en restant comptible. (définition ITANIUM ).
ITANIUM II: Processeur 64 bits crée par Intel et HP. Deux fois plus performant que son prédecesseur. (définition ITANIUM II ).
ITAPAC: Réseau italien à commutation de paquet. (définition ITAPAC).
ITERATIF: Désigne ce qui est produit à plusieurs reprises. (définition ITERATIF ).
ITERATION: C'est une séquences d'instructions promise à de nombreuses éxécutions. (définition ITERATION ).
ITERATIVE: Une itérative désigne une boucle. (définition ITERATIVE).
ITINERANCE: Traduction française du terme " roaming". (définition ITINERANCE ).
ITINERIS: Ancienne dénomination du réseau de téléphonie mobile mis en place par France Telecom, utilisant la norme GSM. Aujourd?hui remplacé par Orange. (définition ITINERIS).
ITIP: iCalendar Transport-Independent Interoperability Protocol. Désigne un protocole de transport de données au format iCalendar. (définition ITIP ).
ITPC: Information Technology Policy Committee. (définition ITPC ).
ITRS: International Technology Roadmap for Semiconductors. Organisation ayant pour but le développement des semi-conducteurs. (définition ITRS ).
ITRW: In The Real World, soit â??dans le monde réelâ?. (définition ITRW ).
ITSEC: Critères pour l?évaluation de la sécurisation d?un système informatique, créé en 1991 par la commission des communautés européennes. (définition ITSEC).
ITTI: Interactive Terrestrial Television Integration. Projet de télévision intéractive crée en Europe entre 1997 et 1999. (définition ITTI ).
ITU: Organisation internationale chargée des questions concernant les télécommunications, en relation avec l?ONU. (définition ITU).
ITUNES: Application crée par Apple, permettant d'écouter et d'encoder des fichiers audio. (définition ITUNES ).
ITV: Interactive TeleVision. (définition ITV).
IVI: Indeo Video Interactive. Nouvelle version d'Indeo, améliorée au niveau de la qualité graphique. (définition IVI ).
IWGN: Interagency Working Group on Nanotechnology. Organisation de recherche sur les nanotechnologies basée aux Etats-Uni (définition IWGN).
IXC: Inter-eXchange Carrier. Désigne les opérateurs longue distance basés aux Etats-Unis. (définition IXC ).
IXI: International X.25 Infrastructure. Infrastructure internationale d'échange de messages via X25. (définition IXI ).
IYKWIM: If You Know What I Mean, soitÂ " Si tu vois ce que je veux dire". (définition IYKWIM).
J2EE: Java 2 Enterprise Edition. Version 2 de Java pour les professionels. (définition J2EE ).
J2ME: Java 2 Platform Micro Edition. Plateforme Java d'exécution grandement optimisée. (définition J2ME ).
J2SE: Java 2 Standard Edition. (définition J2SE ).
JABBER: Freeware (logiciel libre) de messagerie instantanée. (définition JABBER ).
JABBER: Incident qui peut survenir sur le réseau lorsqu'une carte défaillante émet de façon incohérente. Cela peut saturer un réseau. (définition JABBER ).
JACK: Prise constitué de deux ou trois connecteurs coaxiaux séparés par un isolant. Sert le plus souvent à véhiculer un signal audio. (définition JACK).
JACKINTOSH: C'est le surnom de l'Atari 520 ST, qui trouve son origine dans le nom de son créateur (JackTramiel). En concurrence avec le macintosh qui possède le même processeur. (définition JACKINTOSH ).
JAG: Abréviation de Jaguar. (définition JAG ).
JAGUAR: Nom de code utilsé de nombreuses fois par différentes sociétés. Ex : le MacOS X version 10.2 d'Apple qui est tacheté, (la société ayant de décider de communiquer sur ce nom). (définition JAGUAR ).
JAIR: Journal of AI Research. C'est le journal américain de la recherche en intelligence artificielle. (définition JAIR ).
JALON: Repère dans un programme servant à savoir par oà¹ le programme passe lors du traitement de tel donnée. Utile lors des débogages. (définition JALON ).
JALONNEMENT: Le fait de se servir de Jalons pour déboger un programme. (définition JALONNEMENT ).
JAM: Just A Minute,Â soit " Juste une minute". (définition JAM).
JANET: Joint Academic NETwork. Réseau britannique de recherche. (définition JANET ).
JAPANESE GIGABYTES: Au japon, les octets dans un gigaoctet sont calculés en puissance de 10. Ailleurs, ils sont calculés en puissance de 2. (définition JAPANESE GIGABYTES).
JAPH: Just Another Perl Hacker, soit Â " juste un autre hacker de Perlâ?. (définition JAPH ).
JAQUETTE: Chemise servant à la protection d?un livre relié ou broché. (définition JAQUETTE).
JAR: Extension de nom des fichiers qui renferment une JAR, soit une archive Java. (définition JAR ).
JAR: Java ARchive. Compression servant à archiver chaque classe Java utile au bon fonctionnement d'une applet. (définition JAR ).
JARA: Japanese Robot Association. (définition JARA ).
JARDINER: Utiliser la machine en cliquant au hasard, jusqu'à l'obtention du résultat souhaité. (définition JARDINER ).
JARGON WATCH: C'est la rubrique du magazine américain " wired" qui recense les expressions et les mots de la sphère hi-tech. (définition JARGON WATCH ).
JARRETIERE: Câble assez court permettant de connecter un équipement de réseau au tableau de brassage où sont réunis toutes les prises de connexions au réseau d?un site. (définition JARRETIERE).
JARRETIERE: Synonyme de " jumper" signifiant cavalier, fil volant. (définition JARRETIERE).
JAVA: C'est un langage de programmation réalisé par Sun et issue de Oak. Il est orienté réseau et objet, et sa syntaxe provient de celle du C++. Il est multi-plateforme (totalement transportable), et peut être inséré à l'intérieur d'un document HTML sous forme d'applet. (définition JAVA).
JAVA: Langage de programmation développé par Sun, et qui présente l?avantage d?être multi plateforme. Assez proche du C++ dans sa structure. (définition JAVA).
JAVABEAN: Le bean est un composant logiciel écrit en Java. (définition JAVABEAN ).
JAVASCRIPT: Langage de programmation développé par Netscape permettant d?améliorer les sites Web. S?exécute sur le poste client. (définition JAVASCRIPT).
JAXB: Java Architecture for XML Binding. API Java qui facilite le binding entre le code Java et XML. (définition JAXB ).
JAXM: Java API for XML Messaging. API Java qui permet de transporter des messages SOAP en mode one way essentiellement. (définition JAXM ).
JAXP: Java API for XML Processing. API Java pour la manipulation et le traitement des données XML (définition JAXP ).
JAXR: Java API for XML Registries. API Java conçue pour uniformiser l'accés aux annuaires de web services. (définition JAXR ).
JAXRPC: Java API for XML-based RPC. API Java permettant de transporter des messages SOAP en mode RPC. (définition JAXRPC).
JB: Java Bean. Composant logiciel en Java, destiné à tourner sur le client. (définition JB ).
JBIG: Joint Bi-level Image experts Group. C'est un groupe d'experts travaillant à la normalisation de la compression d'images bi-level. (définition JBIG ).
JBIG1: C'est la première version du format de compression d'image bi-level sans pertes produit par le groupe JBIG. (définition JBIG1 ).
JBIG2: C'est la deuxième version du format de compression d'image bi-level sans pertes produit par le groupe JBIG. (définition JBIG2 ).
JBOD: Just a Bunch Of Disks, soit â??juste un tas de disques dursâ? (contrairement aux disques placés dans une matrice RAID). (définition JBOD ).
JCA: J2EE Connector Architecture. Interface d'accés aux applications Java. (définition JCA ).
JDBC: Java DataBase Connectivity. Permet à un programme java d?accéder à une base de donnée compatible JDBC. (définition JDBC).
JDK: Java Development Kit. Logiciel édité par Sun pour le développement d?application en Java. (définition JDK).
JDR: C'est un jeu de role. (définition JDR).
JE: A la fin d'une URL, signale que le site est basé dans le Jersey. (définition JE ).
JED: Jam Echelon Day. En général le 21 octobre, chacun est invité à envoyer des messages renfermant des mot-clés comme " bombe" pour protester contre les écoutes anglo-saxonnes. (définition JED ).
JEDEC: Joint Electron Device Engineering Council. Société crée en 1960 pour la standardisation des semi-conducteurs. (définition JEDEC ).
JEDI: Organisme international en relation avec l?ONU pour l?établissement de normes concernant l?EDI, Echange de Données Informatisées. (définition JEDI).
JELLY BEAN: Minuscule puce éléctronique crée pour être placée n'importe oà¹. (définition JELLY BEAN ).
JELLYVECTOR: Objet 3D mesuré avec des vecteurs et qui se déforment comme de la gelée, d'oà¹ son nom. (définition JELLYVECTOR ).
JEPI: Joint Electronic Payment Initiative. (définition JEPI).
JES: Système d?IBM qui permet le contrôle du lancement et des sorties d?un script batch. (définition JES).
JESSI: Joint European Submicron SIlicon Program. Consortium basé en Europe et dont le but est le développement de l'industrie des semi-remorques. Crée en 1989, il a fonctionné jusqu'à la création du projet EUREKA. (définition JESSI).
JET D'ENCRE: Type d'impression qui fonctionne en projettant l'encre à travers une cinquantaine de buses. (définition JET D'ENCRE ).
JETABLE: Désigne une application programmée en RAD, par ex pour accomplir une migration et en général pour des actions ponctuelles. Comme son nom l'indique, une fois l'action terminée, on jette l'aplication dont on a plus besoin. (définition JETABLE ).
JETON: Trame particulière d?un réseau Token Bus ou Token Ring. Cette trame circule dans le réseau et doit être « attrapée » par un n?ud qui veut communiquer sur la liaison. (définition JETON).
JEU: Activité pratiquée couramment sur ordinateur. (définition JEU ).
JEU DE CARACTERES: Enumération des caractères qui sont codés et reconnaissables par un système d'exploitation et qui sont normalisés. (définition JEU DE CARACTERES ).
JEU DE PLATE-FORMES: Jeu dans lequel on manipule un personnage à travers plusieurs niveaux (plate-formes), en combattant des adversaires. (définition JEU DE PLATE-FORMES).
JEU DE ROLE: Les participants de ce jeu rentrent dans la peau d'un personnage immaginaire (un magicien, un guerrier, etc...). (définition JEU DE ROLE ).
JEU D'ESSAI: Groupe de données et de situations de fonctionnement appliqué à une application afin d'effectuer un test. (définition JEU D'ESSAI).
JEU D'INSTRUCTION: Ensemble des instructions qu'un processeur est capable d'effectuer. (définition JEU D'INSTRUCTION).
JEU VIDEO: Jeu pratiqué sur une console ou sur un ordinateur et visible sur un écran vidéo. (définition JEU VIDEO ).
JEUNE POUSSE: " Start up" en français. (définition JEUNE POUSSE ).
JFC: Java Foundation Classes. (définition JFC ).
JFIF: JPEG File Interchange Format. Fichier renfermant une image compressée au format JPEG. Il ajoute aux possibilités du JPEG, les champs JFIF. (définition JFIF).
JFS: Journaled File System, soit " système de fichiers journalisé". (définition JFS ).
JIC: Just In case, soit " Juste au cas oà¹". (définition JIC ).
JIF: Fichier renfermant une image compressée. (définition JIF).
JIS: Fichier renfermant une description de caractères japonais. (définition JIS).
JISC: Japanese Industrial Standards Committee, soit " comité de standardisations industrielles japonais". (définition JISC).
JIT: Just In Time, soit " Juste à Temps" Se dit d'une tâche effectuée au débotté au moment oà¹ il le faut. (définition JIT).
JITTER: Faible variation de la phase d?un signal pouvant provoquer des erreurs de transfert. (définition JITTER).
JK: Just Kidding, soit " Â Je blague". (définition JK).
JM: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Jamaique. (définition JM ).
JMAPI: Java Management API. Groupe d'outils d'administration du système fondés sur Java. (définition JMAPI).
JMHO: Just My Humble Opinion, soit " Juste mon humble opinion". (définition JMHO).
JMO: Just My Opinion, soitÂ " Juste mon opinion". (définition JMO ).
JMS: Java Message Service. (définition JMS).
JNDI: Java Naming and Directory Interface. Extension de Java qui permet aux programmes codés en langage Java d'atteindre les services d'annuaire habituels. (définition JNDI ).
JO: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Jordanie. (définition JO ).
JO: Journal officiel. (définition JO).
JOB: Désignait un programme dans les années 60. Le terme est encore usité quelquefois pour parler d'une impression (lorsque les imprimantes sont partagées). (définition JOB ).
JOBS, STEVE: Cofondateur d'Apple. (définition JOBS, STEVE ).
JOE: Editeur de texte populaire dans l'univers Unix. (définition JOE ).
JOINTURE: Réunion de champs de type identique qui se trouvent dans des tables identiques. (définition JOINTURE ).
JOKER: Caractère générique qui peut prendre toutes les valeurs. (définition JOKER).
JOLIET: Extension de la norme ISO 9660 pour CD-ROM, permettant d'y emmagasiner des fichiers dont le nom est composé de 64 caractères maximum. (définition JOLIET).
JOLIET: Format pour la gravure des CD, issu de la norme ISO 9660, mais qui permet de garder des noms fichiers supérieurs à 8 lettres. (définition JOLIET).
JONCTION PELTIER: Technique de refroidissement pour processeur. (définition JONCTION PELTIER ).
JOU: Fichier qui contient un journal des événements. (définition JOU).
JOUABILITE: Critères mesurant l'ergonomie et la maniabilité d'un jeu. (définition JOUABILITE).
JOUEB: Version française de " weblog" (contaction de journal et de web). (définition JOUEB ).
JOUET: Jouet technologique. (définition JOUET ).
JOURNAL DE BORD: Journal de bord tenu sur le web. (Blog). (définition JOURNAL DE BORD).
JOURNAL: Fichier renfermant un enregistrement de l'activité du système. (définition JOURNAL).
JOURNALISATION: Action de noter l'activité d'un système dans un journal. (définition JOURNALISATION ).
JOURNALISE: Se dit d'un système pour lequel est tenu un journal. (définition JOURNALISE ).
JOY, BILL: Cofondateur de Sun, qui a conçu l'Unix de Berkeley, et le microprocesseur SPARC. (définition JOY, BILL ).
JOYSTICK: Périphérique digital ou analogique qui permet de diriger des sprites dans un jeu vidéo. (définition JOYSTICK).
JP: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Japon. (définition JP).
JPEG: Algorithme de compression des images avec pertes. Suivant le taux de compression, l?image est plus ou moins floutée. (définition JPEG).
JPEG2000: Orme qui remplace et améliore le JPEG. (définition JPEG2000 ).
JPG: Extension de nom d'un fichier en format JPEG à 3 lettres. (définition JPG ).
JPG: Extension de nom d'un fichier en format JPEG à 3 lettres. (plus souvent rencontré en minuscules). (définition JPG ).
JPL: Java-Perl Lingo. Interface entre Perl et Java. (définition JPL ).
JRAD: Joint Rapid Application Development. (définition JRAD ).
JS: Extension du nom d'un fichier renfermant du code Javascript. (définition JS).
JSD: Jackson Software Development. Technique de développement des applications, basée sur une spécification fonctionnelle et sur l'implantation finale. (définition JSD ).
JSDK: Java Servlet Development Kit, soit " Kit de développement de servlet en Java". (définition JSDK).
JSP: Java Server Pages. Moteur de publication dynamique de documents web, réalisé par sun. (définition JSP ).
JST: Japan Standard Time. (définition JST ).
JSTL: JSP Standard Tag Library, soit " bibliothéque standard de balises JSP". (définition JSTL).
JTA: Java Transaction API. API transactionnelle Java incluse dans J2EE. (définition JTA ).
JTAPI: Java Telephony Application Programming Interface. API pour la réalisation de la téléphonie en Java. (définition JTAPI ).
JTC: Comité créé pour coordonner et harmoniser les travaux de l?ISO et de la CEI concernant les normes. (définition JTC).
JTM: Protocoles permettant la soumission de travaux à distance entre des ordinateurs, normalisés par l?ISO. (définition JTM).
JTS: Java Transaction Service. (définition JTS ).
JUC: Jeu Universel de Caractères. Connu sous le nom d'Unicode. (définition JUC).
JUG: Java Users Group, soit " Groupe d'utilisateurs de Java". (définition JUG ).
JUGHEAD: Outils de recherche qui permet une utilisation plus ergonomique de Gopher. (définition JUGHEAD).
JUKE BOX: Logiciel multi fonctions combinant un lecteur audio, un extracteur de fichiers audio, un organiseur et un encodeur. (définition JUKE BOX).
JUKEBOX: Le Jukebox permet de stocker des disques durs amovibles ou des CD-ROM. (définition JUKEBOX ).
JULIA, GASTON: Catégorie d'ensemble fractals portant le nom de son inventeur. (définition JULIA, GASTON ).
JUMBO PACKET: Désigne un ensemble de données dont la taille est supérieur à 1500 octets dans un réseau TCP/IP. (définition JUMBO PACKET ).
JUMBOGRAM: Désigne un ensemble de données caractérisés par sa grande taille. (définition JUMBOGRAM ).
JUMBOPATCH: Patch de très grande taille habituellement déstiné aux gros logiciels ou au système. (définition JUMBOPATCH ).
JUMP: Saut dans le déroulement d'un programme, vers une autre partie du code, cassant l'exécution linéaire. (définition JUMP ).
JUMPER: Element de petite taille qui permet de réaliser une connexion fixe mais amovible entre 2 points d'une carte éléctronique. Il sert habituellement à configurer le matériel. (définition JUMPER).
JUNET: Japan Unix NETwork. (définition JUNET ).
JUNK MAIL: Soit " Courrier poubelle". Courrier indésirable encombrant les boà®tes aux lettres éléctroniques. (définition JUNK MAIL ).
JUS: " Etre dans le jus" signifie avoir connaissance des dernières découvertes, réalisations d'un domaine particulier. (définition JUS ).
JUST IN TIME COMPILERS: Programme qui effectue la conversion d?un code java en code exécutable. (définition JUST IN TIME COMPILERS).
JUSTIFICATION: Action de rendre les lignes de même longueur dans un paragraphe, en créant des espaces entre les mots. (définition JUSTIFICATION).
JUSTIFICATION: Longueur totale d?une ligne de texte, indépendant du nombre de caractères. (définition JUSTIFICATION).
JUSTIFIER: Action permettant d'aligner un paragraphe à droite et à gauche. (définition JUSTIFIER).
JVM: Java Virtual Machine. Elément qui interprète le code Java permettant ainsi, l'exécution d'un programme sur un ordinateur en particulier. (définition JVM).
JVM: JavaVirtual Machine. Permet l?exécution d?un programme Java sans compilation. (définition JVM).
JWSDP: Java Web Services Developer Pack, soit " Pack de développement Java pour les services web". Un kit qui permet le développement, le test, et la compilation des services web. (définition JWSDP).
K: Abréviation de ko (kilo-octets), représentant 1024 octets. (définition K).
K7: C'est le nom d'un processeur crée par AMD, renfermant 22 millions de transistors et compatible avec les x86. (définition K7 ).
KAHN, ROBERT: Robert Kahn a conçu le protocole TCP/IP. (définition KAHN, ROBERT ).
KAN: Abréviation usité dans les conversations en ligne pour " quand". Les " qu" sont habituellement remplacés par des " k". (définition KAN ).
KANGA: Nom de code Apple des premiers PowerBooks, possédant un G3 à 350 MHz. (définition KANGA ).
KANGOUROU: Le code kangourou doit son nom au fait qu'il renferme beaucoup de sauts. (définition KANGOUROU ).
KAO: Du japonais " kao maaku" qui signifie littéralement " marque de visage". Le terme désigne les petits smileys vu de face. (définition KAO ).
KAR: Abréviation de KARaoké. Désigne un fichier MIDI contenant les paroles des chanson. (définition KAR ).
KARNAUGH: C'est une représentation visuelle d'une fonction boléenne (table de Karnaugh). (définition KARNAUGH ).
KATMAI: Nom de code du pentium 3 durant son développement. (définition KATMAI).
KAZAA: Application de P2P qui permet l'échange des fichiers de toutes sortes. (définition KAZAA ).
KB: Kilobits, soit 1Â 000 ou 1Â 024 bits. (définition KB ).
KB: Abréviation de KeyBoard (clavier), ou KiloBytes (1024 octets). (définition KB).
KBIT: Kilobit. (définition KBIT ).
KBPS: Kilobits par seconde, soit 1024 bps. (définition KBPS ).
KBS: Knowledge Base System. Système gérant les bases de connaissance. (définition KBS ).
KDD: Knowledge Discovery in Databases. Traduit littéralement parÂ " Découverte du savoir dans les bases de données". Syn de Datamining. (définition KDD ).
KDE: Desktop intégré qui fonctionne sous X, fondé sur la bibliothéque Qt, et qui copie l'interface de MS-Windows. (définition KDE ).
KDM: KDE display manager. Gestionnaire de session X du projet KDE, dont les fonctionnalités sont identiques à celles de xdm. (définition KDM).
KE: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Kenya. (définition KE ).
KERB: Abréviation de Kerberos (définition KERB ).
KERBEROS: Méthode d'authentification et de sécurité des utilisateurs réalisée par le projet Athena au MIT. (définition KERBEROS ).
KERMIT: Protocole utilisé dans le transfert des fichiers. (définition KERMIT).
KERNEL: Programme gérant les tâches de base du SE. (définition KERNEL ).
KERNEL PANIC: Panique du Kernel. (définition KERNEL PANIC ).
KERNIGHAN, BRIAN: Co-inventeur d'Unix et auteur d'ouvrages sur l'informatique. (définition KERNIGHAN, BRIAN ).
KERNING: Version britannique pour " Crénage". (définition KERNING ).
KEY: Clé. Peut désigner une touche du clavier selon les situations. (définition KEY ).
KEYB*: Groupe de fichiers qui décrivent les claviers de différents pays sous MS-DOS. (définition KEYB* ).
KEYBOARD: Clavier en français. (définition KEYBOARD ).
KEYFRAME: Caractérise la méthode d'animation qui fonctionne en mémorisant des positions fixes et qui calcule ensuite les emplacements intermédiaires. (définition KEYFRAME ).
KEYFRAMING: Méthode de calcul d'animation qui utilise les Keyframes (définition KEYFRAMING ).
KEYGEN: C'est un générateur de clés de déverrouillage qui permet de pirater un logiciel. (définition KEYGEN).
KEY-IN: Action d'écrire des données dans une machine à l'aide d'un clavier. (définition KEY-IN ).
KEYLOGGER: Programme qui permet l'enregistrement des séquences de frappe des touches du clavier dans un journal. (définition KEYLOGGER).
KEYPAD: Pavé numérique en français. (définition KEYPAD ).
KEYPAL: Désigne les amis " virtuels", qu'on ne connaà®t que par le biais d'un clavier et d'un écran. (définition KEYPAL).
KEYWORD: Mot-clé en français. (définition KEYWORD ).
KEYWORDS: Littéralement mot clé. Ce sont les termes que l?on tape dans un moteur de recherche pour trouver une page web. (définition KEYWORDS).
KG: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Kirghizistan. (définition KG).
KH: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Cambodge. (définition KH ).
KHZ: Kilo HertZ soit 1000 hertz. (définition KHZ ).
KI: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Kiribati. (définition KI).
KIBI-OCTET: Proposition de l'IEC pour remplacer le terme Kilo-octet. Le mot Kilo signifie mille et non pas deux puissance 10. (définition KIBI-OCTET ).
KIBO: C'est le pseudonyme sur Internet de James Parry. (définition KIBO ).
KICKER: Action d'exclure une personne d'un canal IRC. (définition KICKER).
KILL: Commande qui permet l'envoi d'un signal à un processus. (définition KILL ).
KILL FILE: Liste des personnes indésirables dont vous refusez les messages. (définition KILL FILE ).
KILLER: Syn de Kicker. (définition KILLER ).
KILLER APP: Nouvelle fonction essentielle d'une application causant le déplacement des utilisateurs d'une version vers une autre plus récente. (définition KILLER APP ).
KILLER POKE: Action de " planter" un ordinateur en plaçant une valeur erronée en mémoire à l'aide de l'instruction poke. (définition KILLER POKE ).
KILOBIT: Soit 1024 bits. (définition KILOBIT ).
KILOBYTE: Kilo-octet en français. (définition KILOBYTE ).
KILOMETRE: Se dit d'une frappe (" au kilomètre") qui se réalise de manière presque automatique sans correction, mise en forme, etc... (définition KILOMETRE ).
KILO-OCTET: Soit 1024 octets. (définition KILO-OCTET ).
KING'S QUEST: Jeu vidéo d'aventure crée par l'entreprise Sierra-On-Line. (définition KING'S QUEST).
KIOSQUE: Méthode centralisée de taxation horaire des communications, une part de la taxe étant reversée au serveur appellé. (définition KIOSQUE ).
KIP: Kiosque IP. Exploitation du kiosque pour la connexion à l'Internet. (définition KIP ).
KISS: Keep It Simple and Stupid, soit â??gardez-le simple et stupideâ?. Pour parler d'un client ou d'un produit. (définition KISS).
KIT: Groupe d'éléments à assembler soi-même. Ex : Kit multimédia, Kit d'installation, etc... (définition KIT ).
KJOB: Kill Job. Commande d'arrêt des tâches sur les systèmes de DEC. (définition KJOB ).
KLEZ: Ver sévissant sur Outlook en usurpant l'identité des utilisateurs. (définition KLEZ ).
K-LINE: Killer-Line, litt " ligne tueuse". Elle vous indique en peu de mots la raison pour laquelle la connexion au serveur IRC ne fonctionne pas. (définition K-LINE ).
KLOC: Kilo Line Of Code. Soit 1000 lignes de code. (définition KLOC ).
KLUGE: Petit portion d'un programme dont on ne connait pas l'utilité. (définition KLUGE).
KM: Knowledge Management. En français " Gestion des connaissances". (définition KM ).
KM: A la fin d'une URL, signale que le site est basé aux Comores. (définition KM).
KN: A la fin d'une URL, signale que le site est basé à Saint Kitt et Nevis. (définition KN ).
KNI: Katmai New Instructions. Instructions récentes rajouées à l'architecture x86 à l'intérieur des pentium 3, et destinées au traitement des données multimédia. (définition KNI ).
KNOPPIX: Distribution de Linux fondée sur la Debian et pensée pour tenir sur un seul CD bootable. (définition KNOPPIX).
KNOWBOT: Agent éléctronique que recherche de manière automatique des infos sur Internet. (définition KNOWBOT ).
KNUTH, DONALD: Auteur d'ouvrages sur l'informatique. (définition KNUTH, DONALD ).
KO: Kilo-Octet, soit 1024 octets. (définition KO).
KOLMOGOROV, ANDREâ?¢: Mathématicien russe qui a donné son nom à la complexité de Kolmogorov. (définition KOLMOGOROV, ANDREâ?¢ ).
KONQI: Dragon mascotte du projet KDE. (définition KONQI ).
KONQUEROR: Navigateur web du projet KDE. (définition KONQUEROR).
KP: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en république populaire démocratique de Corée. (définition KP ).
KP: Kernel Panic. (définition KP).
KR: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Corée du Sud. (définition KR ).
KRACKING: Autre version de Cracker. (définition KRACKING ).
KRAFT: Papier très résistant utilisé pour les emballages. (définition KRAFT).
KREMVAX: Pseudo serveur Usenet dont l'installation au Kremlin fut annoncée par Constantin Tchernienko le 1 avril 1984. (définition KREMVAX).
KSH: Nom d'un shell pour Unix, surensemble de shde, il dispose d'alias et d'un mécanisme d'historique. (définition KSH ).
KUDZU: C'est un outil qui détecte et configure du matériel. (définition KUDZU ).
KVM: Keyboard, Video, Mouse. Commutateur qui permet de partager un groupe souris, clavier, écran entre différents ordinateurs. (définition KVM ).
KW: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Koweit. (définition KW ).
KWIM: Know What I MindÂ ? SoitÂ " Tu vois ce que je veux direÂ ?â?. (définition KWIM ).
KWM: KDE Window Manager. Window manager du bureau KDE. (définition KWM ).
KY: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au à®les Caiman. (définition KY).
KYBD: Contraction de Keyboard (clavier). (définition KYBD ).
KZ: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Kazakhstan. (définition KZ ).
L10N: Contraction de localisation (L,10 lettres, N) (définition L10N ).
L2: Level 2. Abréviation qu'on utilise pour nommer les mémoires caches de second niveau par rapport aux processeurs. (définition L2 ).
L2F: Layer 2 Forwarding protocol. C'est un protocole propriétaire réalisé par Cisco et appartenant à IOS. (définition L2F).
L2TP: Layer 2 Tunneling Protocol. Norme de réseau privé virtuel crée par l'IETF. (définition L2TP ).
L4G: Langage de quatrième génération. (définition L4G).
L8R: Later, soit " plus tard". (définition L8R ).
LA: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en république populaire démocratique du Laos. (définition LA ).
LAAS: Laboratoire d'Analyse et d'Architecture des Systèmes. (définition LAAS ).
LABEL: " Etiquette" en français. Un label de volume est un mot de 11 caractères attribué aux disques durs et disquettes sous MS-DOS. (définition LABEL ).
LABEL D?APPROBATION TIERS: Label décerné à un site Web dont les déclarations quant à la confidentialité ont été vérifiées par un organisme indépendant. (définition LABEL D?APPROBATION TIERS).
LABRI: Laboratoire Bordelais de Recherche en Informatique. (définition LABRI ).
LABYRINTHIQUE: Désigne la première caractéristique de l'Internet. Tout est accessible sous forme de fichiers qui sont référencés par des documents web, eux-mêmes référencés par des sites de référencement, etc... (définition LABYRINTHIQUE).
LACET: Une imprimante travaille en " lacet" quand elle a la capacité d'imprimer de gauche à droite et de droite à gauche sans revenir à la ligne. (définition LACET ).
LâCHER LA RAMPE: Un ordinateur qui " lâche la rampe" affiche des messages incohérents. Il plante. (définition LâCHER LA RAMPE ).
LAD: Lecture Automatique de Document. (définition LAD ).
LADT: Local Access/Area Data Transport. (définition LADT ).
LAG: Synonyme de Netlag. (définition LAG ).
LAIZE: Largeur de la bande d?une bobine en papier. (définition LAIZE).
LAMBDA CALCUL: Désigne une branche de la logique crée par Alonzo Church. Il s'agit de l'étude des fonctions appliquées à leur arguments propres. (définition LAMBDA CALCUL ).
LAME: Un serveur Lame offre la possibilité d'organiser plusieurs serveurs dans un même chassis sur une carte PCI. (définition LAME ).
LAMER: Litt. " Boiteux". Désigne un " nul" en informatique. (définition LAMER).
LAMP: Linux Apache MySQL PHP. Label attribué aux serveurs web (l'OS, le serveur web, le SGBD et le générateur de pages webs dynamiques) qui utilisent ces composants dans leur configuration. (définition LAMP ).
LAN EMULATION SERVER: Serveur de LANE. (définition LAN EMULATION SERVER).
LAN MANAGER: NOS de Microsoft qui fit office de serveur sous OS/2 et qui fut remplacé par Windows NT Serveur. (définition LAN MANAGER ).
LAN PARTY: Fête entre particuliers qui créent un réseau local pour se fragger entre eux. (définition LAN PARTY ).
LAN: Local Area Network. Réseau local de petite taille reliant entre eux des ordinateurs d?une organisation commune. (définition LAN).
LANCE-FLAMMES: Instrument qui permet d'insulter les autres dans une liste de diffusion ou sur l'Usenet. (définition LANCE-FLAMMES ).
LANCER: Mettre en route, éxécuter un programme. (définition LANCER ).
LANCER DE RAYONS: Traduction française de " raytracing". (définition LANCER DE RAYONS ).
LANE: Protocole permettant l?utilisation du protocole ATM sans modifier la topologie du réseau déjà installée. (définition LANE).
LANGAGE: C'est la totalité des symboles, des caractères et des règles de syntaxe utilisés pour transmettre des instructions à une machine. (définition LANGAGE ).
LANGAGE (CHRONOLOGIE): Les dates entre crochets signalent une normalisation. * 1946 PlankalkÅ¸l. * 1954 Fortran. * 1956 Fortran I. * 1957 Fortran II. * 1957 COBOL.* 1958 ALGOL 58.* 1960 LISP (dï?s 1958 [f2s]). 1960 COBOL. 1962 APL (spécifications [f2s]). * 1962 Simula (seulement en 1967 [f2s]).* 1962 SNOBOL.* 1964 BASIC (dï?s 1963, Kemeny et Kurtz [f2s]).* 1964 PL/1 (1963-65 [f2s]).* 1966 ISWIM.* 1969 Pascal (1968-70 [f2s]).* 1970 Prolog (publié en 1972 [f2s]).* 1971 sh.* 1972 C (dès 1971 [f2s]).* 1972 PL/M.* 1972 SmallTalk 72 (autres versions en 1974 et 1976 [f2s]).* 1974 COBOL 74 ANSI.* 1975 Modula-2 (seulement en 1980 [f2s]).* 1975 Scheme.* 1977 OPS5.* 1978 C K&R.; * 1978 awk. * 1978 CSP. * 1978 FP. * 1979 REXX 1.00. * 1979 Ada (achevé et publié en 1983 [f2s]). * 1980 dBASE II. * 1982 PostScript. * 1983 SmallTalk 80. * 1983 Ada 83. * 1983 ML. * 1983 Parlog. * 1984 Standard ML (SML). * 1986 C++ (début des travaux en 1983 [f2s]). * 1986 Eiffel. * 1987 Oberon. * 1988 Perl 1.000 * 1988 Mathematica. * 1989 [1994] CLOS (début des travaux en 1978 à l'université d'Utah [f2s]). * 1990 Haskell. * 1991 Fortran 90 ISO. * 1991 Java. * 1991 Python (développement entamé vers no'l 1989). * 1992 ksh. * 1993 Ruby. * 1994 Perl 5.000. * 1995 Ada 95. * 1995 Delphi. * 1997 OO COBOL. * 1999 Tcl/Tk 8.1. (définition LANGAGE (CHRONOLOGIE) ).
LANGAGE A OBJETS: Langage dans lequel toutes les parties du programmes sont des objets. (définition LANGAGE A OBJETS ).
LANGAGE COMPILE: Langage dans lequel le code d'un programme est traduit en langage binaire pour une compréhension direct du processeur. (définition LANGAGE COMPILE ).
LANGAGE D'ASSEMBLAGE: Autre nom de l'assembleur. (définition LANGAGE D'ASSEMBLAGE ).
LANGAGE DE COMMANDE: Langage interprété qui permet l'utilisation de structures de données assez sophistiquées et l'écriture rapide de programmes complexes. (définition LANGAGE DE COMMANDE ).
LANGAGE DE MARQUAGE: Langage qui permet la spécification d'enrichissements divers dans un texte. (définition LANGAGE DE MARQUAGE ).
LANGAGE DE PROGRAMMATION: Langage qui permet d'écrire des programmes. (définition LANGAGE DE PROGRAMMATION ).
LANGAGE DE SCRIPT: Langage qui permet d'écrire rapidement de petits programmes interprétés. (définition LANGAGE DE SCRIPT).
LANGAGE DYNAMIQUE: Langage qui permet d'écrire des programmes qui font évoluer leur structure pendant l'exécution. (définition LANGAGE DYNAMIQUE ).
LANGAGE FONCTIONNEL: Langage qui permet l'écriture de programmes en utilsant que des fonctions, ces fonctions en appelant d'autres. (définition LANGAGE FONCTIONNEL ).
LANGAGE IMPERATIF: Langage de programmation le plus courant, dans lequel les instructions de modifications des données sont exécutées dans l'odre d'apparition. (définition LANGAGE IMPERATIF ).
LANGAGE INTERPRETE: Langage dans lequel le code n'est pas compilé, les programmes ainsi générés s'exécutent avec plus de lenteur. (définition LANGAGE INTERPRETE ).
LANGAGE JOUET: Langage utilisé à des fins ludiques ou récréatives. (définition LANGAGE JOUET ).
LANGAGE MACHINE: Langage binaire composé de uns et de zéros, compréhensible par un ordinateur. On le manipule en utilisant l'assembleur. (définition LANGAGE MACHINE ).
LANGAGE NATUREL: Langage humain. (définition LANGAGE NATUREL).
LANGAGE PROCEDURAL: Langage qui comprend des programmes principalement constitués de procédures. (définition LANGAGE PROCEDURAL).
LANGAGE SCRIPT: Langage dont l'utilisation principale est l'automatisation de certaines petites tâches et dont les fonctionnalités sont peu nombreuses. (définition LANGAGE SCRIPT).
LANGAGE SYSTEME: Langage qui pemet la codification des fonctions basiques d'un système d'exploitation. (définition LANGAGE SYSTEME).
LAO: 1) Langage A Objets. 2) Lecture Assistée par Ordinateur. (définition LAO ).
LAP: Ensemble de protocoles utilisé pour la gestion d?une transmission. (définition LAP).
LAP-B: Link Access Protocol B. Protocole qui gére le trafic sur un canal B. (définition LAP-B ).
LAP-D: Link Access Protocol D. Protocole qui gére le trafic sur un canal D. (définition LAP-D ).
LAP-M: Link Access Procedure for Modem. (définition LAP-M ).
LAPTOP: ordinateur portable. (définition LAPTOP ).
LAP-X: Link Access Procedure half-dupleX. (définition LAP-X ).
LARGE BANDE: Permet l'utilisation d'un gros débit à travers une large bande passante. (définition LARGE BANDE).
LARGE BANDE: Qualifie des équipements de communication qui autorise des débits supérieurs à 2 Mbits/s. (définition LARGE BANDE).
LARGEUR DE BUS: Egale à la quantité de données véhiculée par un bus en une seule fois. (définition LARGEUR DE BUS).
LASER: Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation. Faisceau de rayonnement cohérent temporellement et spatialement. (définition LASER ).
LASERWRITER: Imprimante laser mise sur le marché par Apple en 1985. (définition LASERWRITER ).
LASSO: Outil employé en retouche de visuel et qui permet de sélectionner à main levée un détail dans une image. (définition LASSO ).
LATA: Aux Etats-Unis. Zone géographique où un fournisseur local peut vendre des services d?accès à un réseau longue distance. (définition LATA).
LATA: Local Access and Transport Area. Au états-Unis, région allouée de manière légale à un ou plusieurs fournisseurs de services téléphoniques. (définition LATA).
LATENCE: Temps minimal de propagation d'un signal. (définition LATENCE ).
LATEX: Lamport TeX. (définition LATEX).
LATIN 1: Norme ISO qui correspond à une variété d'ASCII s'étendant sur 8 Bits et qui permet de coder presque tous les caractères accentués de l'alphabet latin. (définition LATIN 1 ).
LATIN 9: Extension de Latin 1 qui corrige certains oublis. (définition LATIN 9 ).
LAWN: Local-Area Wireless Network. Réseau local sans fil proche du LAN. (définition LAWN ).
LAYER: Calque en français. (définition LAYER ).
LAYERING: Elaboration d'un système logiciel grâce à des couches hiérarchisées qui s'appellent les unes et les autres. SMTP qui appelle TCP qui appelle IP qui appelle Ethernet. (définition LAYERING ).
LB: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Liban. (définition LB ).
LBA: Logical Block Adressing. Technique pour adresser des clusters sur un disque dur au format EIDE, et qui permet l'utilisation des plus gros d'entre eux. (définition LBA ).
LBM: interLeaved BitMap. Format d'image bitmap, utilisé principalement sur les Amigas. (définition LBM ).
LBX: Low-Bandwidth X. Extension d'un serveur X, qui permet de compresser rapidement le protocole X en utilisant un proxy exportant ainsi des Displays à travers des connexion à faible bande passante. (définition LBX).
LC: A la fin d'une URL, signale que le site est basé à Sainte Lucie . (définition LC ).
LC: Abréviation de langage de commande ou de ligne de commande. (définition LC ).
LCA: Linux Certified Administrator. (définition LCA ).
LCD: Liquid Cristal Display. Technologie d?affichage où l?image est produite par des cristaux liquides excités par un courant électrique. (définition LCD).
LCIE: Organisme chargé de la création de normes dans le domaine de la sécurité des équipements de télécommunication. (définition LCIE).
LCOS: Liquid Crystal On Silicon. Evolution de la technologie LCD utilisée dans les vidéos projecteurs. Permet d?obtenir une très bonne qualité d?affichage. (définition LCOS).
LCP: Link Control Protocol. Protocole qui permet d'activer une ligne de téléphone en négociant les options, en testant la ligne, et en la désactivant proprement en cas de résiliation. (définition LCP ).
LDA: Langage de Description d'Algorithme. (définition LDA).
LDAP: Lightweight Directory Access Protocol. Protocole qui permet d?accéder à des annuaires, dans le cadre de la norme x500. (définition LDAP).
LDAPV2: Deuxième version du protocole LDAP. (définition LDAPV2 ).
LDAPV3: Troisième version du protocole LDAP. (définition LDAPV3 ).
LDC: Ligne De Commande. (définition LDC ).
LDP: Langage de Description de Page. (définition LDP ).
LDPA: Lightweight Document Printing Application. Protocole visant à accomplir des impressions via un réseau en imposant une limite de taille au fichiers transférés. (définition LDPA ).
LDPS: Linux Development Platform Specification. Norme de développement pour les plate-formes Linux, afin d'unifier les différentes distributions en services pour simplifier les portages. (définition LDPS).
LDS: Langage de Description de Spécification. (définition LDS).
LDS: Lightning Data Transport. (définition LDS).
LE: Limited Edition. Version limitée d'une application accessible gratuitement, en général. (définition LE ).
LEAKY BUCKET: " Panier percé". (définition LEAKY BUCKET ).
LEAP: Light Extensible Authentification Protocol. (définition LEAP).
LEC: Postes client dans une LANE. (définition LEC).
LECAM: LEcteur de Carte A Mémoire. (définition LECAM ).
LECS: Lan Emulation Configuration Server. (définition LECS).
LECTEUR: Matériel utilisé pour lire des données sur une mémoire de masse amovible, tel un CD ou une disquette. (définition LECTEUR ).
LECTEUR AUDIO: Logiciel qui permet la lecture de fichiers audio numériques contenus dans un ordinateur, par l?intermédiaire d?une carte son. (définition LECTEUR AUDIO).
LECTEUR MULTIMEDIA: Application qui permet de décoder et lire des formats de fichiers vidéo et audio. (définition LECTEUR MULTIMEDIA).
LECTURE: Récupération et interprétation des données transmises par un périphérique d'entrée. (définition LECTURE ).
LECTURE DESTRUCTRICE: Type de lecture qui efface les informations stockées. (définition LECTURE DESTRUCTRICE).
LECTURE OPTIQUE: Système qui permet de retrouver un caractère depuis son dessin. (définition LECTURE OPTIQUE).
LECTURE SEULE: Caractéristique d'une lecture d'un fichier qui n'autorise ni la modification, ni l'effacement, ni l'écrasement. (définition LECTURE SEULE).
LED: Light-Emitting Diode. Diode utilisée pour notifier l'état d'une caractéristique ou d'une option. (définition LED).
LEECH: " Sangsue". (définition LEECH ).
LEECHER: Téléchager des informations sans jamais en donner en retour sur un réseau peer to peer. (définition LEECHER ).
LEET: Abrév. de eleeteÂ (déformation de élite). Terme péjoratif désignant une personne qui croit faire partie de l'élite des hackers. (définition LEET ).
LEGAL: Désigne une partie de code quand elle respecte toutes les règles de syntaxes du langage dans lequel elle fut écrite. (définition LEGAL ).
LEGAL: Format de papier américain, mesurant 35,56 cm sur 21,59. (définition LEGAL ).
LEGENDE URBAINE: Rumeur mythique qui se propage dans la population. (définition LEGENDE URBAINE ).
LEM: Language Extension Module. Module d'extension d'un langage. (définition LEM ).
LEMMING: Jeu très populaire au moment de sa sortie sur le marché. (définition LEMMING ).
LEMPEL-ZIV-WELCH: Technique de compression de données, implémentée par Terry Welch depuis LZ78. (définition LEMPEL-ZIV-WELCH ).
LEN: Loi sur l'Economie Numérique. Projet de juridiction d'exception pour l'Internet. (définition LEN ).
LEO: Low Earth Orbit. Orbite terrestre basse. (définition LEO ).
LER: Label Edge Router. routeur qui gère toutes les informationsqui entrent et sortent d'un réseau MPLS. (définition LER ).
LES: LAN Emulation Server. Serveur qui permet d'utiliser LANE. (définition LES ).
LETTER: Format de papier américain, utilisé de manière équivalente au format A4 européen. (définition LETTER ).
LETTRINE: Grosse lettre placée en début d?un paragraphe. (définition LETTRINE).
LEVER: Lever une exception signifie déclencher le processus associé à l'exception, permettant de traiter le cas exceptionnel. (définition LEVER).
LEXER: Analyseur lexical. (définition LEXER ).
LEZARD: Désigne Mozilla. (définition LEZARD ).
LEZARDE: Enchaînement vertical de plusieurs blancs entre les mots d?un texte, altérant la qualité visuelle. (définition LEZARDE).
LF: Line Feed. C'est un code qui provoque un saut de ligne. (définition LF ).
LFN: Long File Name, soit " nom de fichier long". (définition LFN ).
LFS: Linux From Scratch. (définition LFS ).
LG: Linux Gazette. (définition LG ).
LGPL: Lesser GPL. Variante de la GPL permettant à des logiciels non GPL d'être compilés avec du code libre. (définition LGPL).
LHA: Archive compressée avec l'utilitaire Lharc et qui utilise l'algorithme LZW. (définition LHA ).
LHARC: Utilitaire de compression crée par Haruhiko Okumura et qui exploite l'algorithme LZW. (définition LHARC ).
LI: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Liechtenstein. . (définition LI ).
LI: Lawful Interception. Interception légale d'une communication par un administrateur système ou réseau sur l'ordre et sous le controle des autorités. (définition LI ).
LI18NUX: Groupe de travail qui définit nombre de critères rassemblés dans un standard pour que les programmes crées sous Linux soient en mesure de fonctionner dans différents pays. (définition LI18NUX ).
LIB: Abréviation de Library. Fichier qui contient une bibliothèque de fonctions. (définition LIB ).
LIBC: Abrév.de Library C. Bibliothèque C. Elle renferme toutes les fonctions basiques d'un programme en C. (définition LIBC ).
LIBERTEL: Réseau à but non lucratif dont l'accession est moins onéreuse qu'un dial-up full-IP. (définition LIBERTEL ).
LIBRAIRIE: Faux-ami. Traduit parfois de " library". La traduction de librairie est " book shop". (définition LIBRAIRIE ).
LIBRARY: Bibliothèque. (définition LIBRARY ).
LIBRE: Un logiciel ou un système estÂ libreÂ lorsqu'il est fourni avec ses spécifications et/ou son code source. (définition LIBRE ).
LICENCE: Autorisation délivrée à l'utilisateur d'installer et de faire fonctionner un logiciel sur son ordinateur. (définition LICENCE ).
LICENCE ARTISTIQUE: Licence qui distribue par exemple, le langage Perl. En général, les logiciels dispensés par une licence artistique sont libres. (définition LICENCE ARTISTIQUE ).
LIDIC: Association pour l?EDI, Echange de Données Informatisée, regroupant des constructeurs de matériel électroniques et électriques. (définition LIDIC).
LIDIE: Proposition de Â© Matthieu Brunet pour " liste de diffusion". (définition LIDIE ).
LIDS: Linux Intrusion Detection System. Système de détection d'intrusion crée pour Linux. (définition LIDS ).
LIEN DE DONNEES: Terme générique qui désigne tout intermédiaire qui peut transmettre des données d'une machine à une autre. (définition LIEN DE DONNEES ).
LIEN MORT: Désigne un lien hypertexte qui pointe vers une ressource qui n'existe plus ou qui n'a jamais existée. (définition LIEN MORT ).
LIEN PROFOND: Désigne un lien hypertexte qui pointe vers une page située à l'intérieur d'un autre site web et sur laquelle on peut se rendre sans traverser la page d'accueil du site en question. (définition LIEN PROFOND ).
LIEN SYMBOLIQUE: Désigne un pseudo-fichier qui pointe vers un fichier réel, permettant de faire exister la source à plusieurs endroits différents dans l'arborescence. (définition LIEN SYMBOLIQUE ).
LIEN: Zone d?une page Web sur laquelle le fait de cliquer provoque l?ouverte d?une nouvelle page Web. Peut être représenté par n?importe quel objet de la page (Texte, image?), et souvent mis en relief par le style. (définition LIEN).
LIEUR: Version française pour linker. (définition LIEUR ).
LIFO: Last In First Out. Type de file d?attente dans laquelle le dernier arrivé et le premier servi. (définition LIFO).
LIGATURE: Dénomination de deux lettres imbriquées l?une dans l?autre, comme le o et le e. (définition LIGATURE).
LIGHT: Se dit d'un logiciel qui a été bridé, allégé. (définition LIGHT ).
LIGHTPEN: Crayon optique. (définition LIGHTPEN).
LIGNE DE CODE: Une ligne du texte source d'un programme. (définition LIGNE DE CODE).
LIGNE DE COMMANDE: Ligne inscrite à l'invite d'un SE en mode caractère et renfermant les noms des programmes à exécuter. (définition LIGNE DE COMMANDE).
LIGNE DEDIEE: Ligne de téléphone dont l'usage est réservé à une utilisation particulière. (définition LIGNE DEDIEE ).
LIGNE LOUEE: Terme désigne un lien de données d'un débit assez grand, loué en 24x7. Surtout en usage dans les petites entrprises. (définition LIGNE LOUEE ).
LIGNOMETRE: Réglette qui permet de compter le nombre de lignes dans un texte. (définition LIGNOMETRE).
LI-ION: Ions de Lithium. Composition des batteries pour ordinateurs portables. (définition LI-ION).
LILO: Last In Last Out, soit " dernier arrivé, dernier parti." Désigne une file d'attente. (définition LILO ).
LIM: Lotus Intel Microsoft. Trois entreprises qui ont défini la norme LIM-EMS. (définition LIM).
LIMULATEUR: Programme qui permet de changer de l'XMS en EMS. (définition LIMULATEUR ).
LINEATURE: Nombre de lignes contenues dans une distance de un pouce dans une trame d?impression. (définition LINEATURE).
LINK: Lien. (définition LINK).
LINKER: Programme qui a pour fonction d'éditer les liens dans un programme compilé. (définition LINKER).
LINKEUR: Angliscisme de " Linker". (définition LINKEUR).
LINKROT: " Pourrissement du lien" littéralement. Désigne un problème de validité des liens de site en site. En effet, avec le temps, les sites se renouvellent ou disparaissent, on change le noms des pages, etc... (définition LINKROT).
LINMODEM: Modem logiciel, fonctionnant normalement exclusivement sous Linux. (définition LINMODEM ).
LINOTYPE: Marque de machine de composition, qui sort des lignes de texte entière appelées lignes-blocs. (définition LINOTYPE).
LINUX: Système d?exploitation sous licence GPL GNU, exploite les travaux réalisés sous Unix. (définition LINUX).
LINUXDOC: Vieille DTD qui décrit la documentation de Linux. On lui préférera DocBook. (définition LINUXDOC ).
LINUXETTE: Désigne affectueusement un ordinateur fonctionnant sous Linux. (définition LINUXETTE ).
LINUXIEN: Utilisateur fervent du système d'exploitation Linux. (définition LINUXIEN ).
LINX: London InterNet eXchange. (définition LINX ).
LIPS: Logical Inference Per Second. Unité de mesure usité dans le domaine de l'intelligence artificielle et qui mesure le nombre d'inférences logiques effectuées par secondes. (définition LIPS).
LIQUID AUDIO: Format audio spécial qui permet d?effectue des téléchargements contre un paiement online. (définition LIQUID AUDIO).
LIR: Local Internet Registry. Registre Internet local. (définition LIR ).
LIRE: Transférer des informations de manière non destructrice : de façon à ce que les données originales ne soient pas détruites. (définition LIRE ).
LIS: Fichier renfermant du texte. (définition LIS ).
LISA: 1) Ordinateur d'Apple, Lisa était un des premier à offrir une interface graphique à des utilisateurs grand public. 2) Localisation Industry Standards Association. (définition LISA).
LISEUR ELECTRONIQUE: Ordinateur de poche conçu pour le déchifrage des documents numériques. (définition LISEUR ELECTRONIQUE ).
LISEZMOI: Version française de README. (définition LISEZMOI ).
LISP: Abréviation de LISt Processing. (définition LISP).
LISSAGE: Synonyme de " ombrage". (définition LISSAGE ).
LISTAGE: Sortie (output) d'une liste d'objets, pouvant être les fichiers d'un répertoire ou les lignes de code d'un programme. On reconnaà®t implicitement que les informations sortantes sont peu traitées dans le processus. (définition LISTAGE ).
LIST-BOX: Liste déroulante. (définition LIST-BOX ).
LISTE: Structure de données classiques composée d'une tête de liste et d'une queue de liste. Elle est dite " chainée" lorsqu'elle renferme des pointeurs vers d'autres listes. (définition LISTE ).
LISTE DE DIFFUSION: Technique de diffusion des informations. Liste d'adresses des personnes à qui sera envoyé un mailing. (définition LISTE DE DIFFUSION ).
LISTE DEROULANTE: Widget qui déroule une liste, permettant à l'utilisateur de choisir un objet parmi les autres. (définition LISTE DEROULANTE ).
LISTER: Présenter des données ou des instructions. (définition LISTER).
LISTING: Liste ou listage imprimé sur du papier ordinateur. (définition LISTING).
LISTSERV: Utilitaire qui gère de manière automatique les listes de diffusion sur l'Internet. (définition LISTSERV ).
LITHOGRAPHIE: Technique d?impression grâce à une pierre poreuse, utilisant le caractère aquaphobe de la graisse. (définition LITHOGRAPHIE).
LITTERAL: Valeur numérique ou valeur en toutes lettres. (définition LITTERAL).
LIVE-CD: CD bootable qui permet d'installer un système d'exploitation à la volée sans toucher au disque dur. (définition LIVE-CD).
LIVECONNECT: Processus qui permet la communication entre un programme javascript et un applet java. (définition LIVECONNECT).
LIVESCRIPT: Ancienne appellation de Javascript par Netscape. (définition LIVESCRIPT ).
LIVRE D'HOTE: Page particulière d'un site web qui permet aux utilisateurs de déposer un avis. (définition LIVRE D'HOTE ).
LIW: Long Instruction Word. (définition LIW ).
LJBF: Let's Just Be Friend, soit Â " Soyons juste amis". (définition LJBF).
LK: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Sri Lanka. (définition LK).
LKM: Loadable Kernel Module. Module du noyau chargeable et déchargeable à loisir, n'utilisant la mémoire qu'en cas de besoin. (définition LKM ).
LL: Logiciel Libre. (définition LL).
LLAMA BOOK: Livre intitulé " introduction à Perl"et édité par O'Reilly and Associates. (définition LLAMA BOOK).
LLC: Sous couche appartenant à la couche 2 du modèle OSI, elle permet l?échange de paquet dans les réseaux locaux. (définition LLC).
LLL: Low Level Language, soit " langage de bas niveau". (définition LLL ).
LLTA: Lots and Lots of Thunderous Applause, soit " des tas et des tas d'applaudissements de tonnerre". (définition LLTA).
LM/X: LAN Manager/Unix. Variante de LAN Manager portée sous Unix par Microsoft et HP. (définition LM/X ).
LMAO: Laughing My Ass Off, soit " J'en ris à m'en retrouver cul par-dessus tête". (définition LMAO ).
LMI: Local Management Interface. Groupe d'améliorations des spécifications du relais de trames. (définition LMI ).
LMS: Last Man Standing. Type de jeu oà¹ le dernier homme à rester debout est déclaré vainqueur. (définition LMS ).
LOAD: Enregistrer un fichier ou un programme en mémoire. (définition LOAD ).
LOAD BALANCER: Equilibreur de charge. (définition LOAD BALANCER ).
LOADER: Chargeur. Programme de petite taille dont la fonction est le lancement d'un autre programmeplus important. (définition LOADER ).
LOADLIN: Loader de Linux crée pour s'installer sur une partition DOS. (définition LOADLIN ).
LOBOS: Lots Of Boxes On Shelves. Désigne un réseau de plusieurs ordinateurs constituant un superordinateur. (définition LOBOS).
LOCAL: Caractérise la portée d'une variable, ici elle n'est disponible que dans une partie du programme. Ordinateur sur lequel on travaille, par opposition avec un ordinateur distant. Un réseau estÂ local quand il relie des ordinateurs peu distant les uns des autres. (définition LOCAL ).
LOCALISATEUR: Synonime de URL qui signifie Â " Universal Resource Locator". (définition LOCALISATEUR ).
LOCALISATEUR UNIVERSEL: Proposé pour remplacer URL. (définition LOCALISATEUR UNIVERSEL ).
LOCALISATION: Adaptation d'un logiciel, d'un programme au contexte linguistique et culturel local. (définition LOCALISATION).
LOCALTALK: Technique de câblage utilisé avec le protocole AppleTalk développé par Apple. (définition LOCALTALK).
LOCATE: Nom de commande permettant de retrouver un fichier avec son nom sous Unix. (définition LOCATE ).
LOD: Legion Of Doom. Bande de hackers américains connus pour leurs démélés avec la justice dans les années 80 et pour la part qu'il jouèrent dans le " crackdown" de 1990. (définition LOD ).
LOF: Length Of File. Nom d'une variable qui indique la longueur d'un fichier. (définition LOF).
LOG: Fichier sorti d'un datalogger (journal relatant les évenements sur un système). (définition LOG ).
LOG: Journal ou fichier journal. (définition LOG ).
LOG OFF: Synonyme de Log out. (définition LOG OFF ).
LOG OUT: Syn.de log off. (définition LOG OUT ).
LOGEMENT: Version française officielle de slot. (définition LOGEMENT ).
LOGER: Ouvrir une session de travail sous Unix. (définition LOGER ).
LOGFILE: Fichier journal qui enregistre les événements se produisant dans un système. (définition LOGFILE ).
LOGGEUR DE TOUCHES: Petit programme qui enregistre les frappes au clavier. (définition LOGGEUR DE TOUCHES ).
LOGICIE-BANANE: Logiciel mis en vente " vert", et dont les bugs sont corrigés par la suite. (définition LOGICIE-BANANE).
LOGICIEL: Synonyme de programme. (définition LOGICIEL ).
LOGICIEL A CONTRIBUTION VOLONTAIRE: Version française pour sharewareÂ (ou logiciel contributif ou partagiciel.). (définition LOGICIEL A CONTRIBUTION VOLONTAIRE ).
LOGICIEL AUTEUR: Logiciel permettant de créer des documents artistiques. (définition LOGICIEL AUTEUR ).
LOGICIEL D'INTERMEDIATION: Proposition pour middleware. (définition LOGICIEL D'INTERMEDIATION).
LOGICIEL LIBRE: Un logiciel libre réunit les applications fournis avec leurs sources, ce qui permet de les modifier selon ses besoins. (définition LOGICIEL LIBRE ).
LOGICIEL MEDIATEUR: Proposition officielle pour middleware. (définition LOGICIEL MEDIATEUR ).
LOGICIEL PROPRIETAIRE: Logiciel que l'utilisateur ne peut faire fonctionner qu'en respectant des règles souvent limitatives. (définition LOGICIEL PROPRIETAIRE ).
LOGIGRAMME: Synonyme d'organigramme. (définition LOGIGRAMME ).
LOGIN: Nom de connexion. Procédure pour se connecter sur un système, un hote, souvent protégé par un mot de passe. (définition LOGIN ).
LOGIN LOGON: Commande qui permet à un utilisateur particulier de s?identifier et d?ouvrir une session de communication. (définition LOGIN LOGON).
LOGIQUE: Qui respecte les règles de la logique. (définition LOGIQUE ).
LOGIQUE FLOUE: Logique dans laquelle la véracité d'une proposition est un nombre réel de l'intervalle [0,1]. Le faux booléen est à un bout (0), le vrai booléen à l'autre (1). (définition LOGIQUE FLOUE ).
LOGITECH: Entreprise Suisse, leader dans le domaine du pointage (souris et apparentés). (définition LOGITECH ).
LOGO: Langage qui permet d'apprendre la programmation. (définition LOGO ).
LOGOFF: Autre orthographe pour " Log off". Quitter un système ou un hote. (définition LOGOFF ).
LOGOFF LOGOUT: Commande qui permet la fermeture d?une session d?un utilisateur. (définition LOGOFF LOGOUT).
LOGON: Syn.de login. (définition LOGON ).
LOGOTYPE: Image utilisée comme emblème par une société. (définition LOGOTYPE).
LOGOUT: Autre orthographe de " log out". (définition LOGOUT ).
LOGUER: Se connecter sur un système, un hote. (définition LOGUER ).
LOI DE FITTS: " Le temps mis pour atteindre une cible est proportionnel à sa distance et inversement proportionnelÂ à sa taille". (définition LOI DE FITTS).
LOI DE GROSH: " Plus un ordinateur est gros, moins l'information coà»te cher". (définition LOI DE GROSH ).
LOI INFORMATIQUE ET LIBERTES: Loi NÂ°78-17 de janvier 1978 ayant pour but la protection des libertés individuelles par rapport à des excès possibles de l'utilisation de l'informatique. Elle indique dans son article 26 que " Toute personne physique a le droit de s'opposer, pour des raisons légitimes, à ce que des informations nominatives la concernant fassent l'objet d'un traitement". Par ailleurs, la loi française du 6 janvier 1994 indique que toute personne à un droit de regard sur les informations la concernant. La CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés) est son organe éxécutif. (définition LOI INFORMATIQUE ET LIBERTES ).
LOL: Laughing Out Loud. Version anglaise de " MDR" (" mort de rire"). (définition LOL ).
LOM: Lights-Out management. (définition LOM ).
LON: Local Outed Network. Réseau local distant. (définition LON ).
LONG: Valeur entière codée sur 32 bits, dans les processeurs de chez Motorola. (définition LONG ).
LONGINT: Type de données classique stoquant un nombre entier relatif sur 32 bits. (définition LONGINT ).
LOO: Langage Orienté Objet. (définition LOO).
LOOK AND FEEL: Spécifications de l'interface d'un produit. (définition LOOK AND FEEL ).
LOOKUP: Le nslookup, permet de voir dans la base de données de noms de serveur Nsn, l'adresse IP qui correspond à un nom d'ordinateur. (définition LOOKUP).
LOOP: C'est un mot-clé qui indique une fin de boucle itérative. (définition LOOP ).
LOOPBACK: Technique qui permet de se connecter sur un ordinateur local comme s'il s'agissait d'une machine distante. L'adresse IP correspondante est 127.0.0.1. (définition LOOPBACK ).
LOOPS: Lisp Object Oriented Programming System. (définition LOOPS ).
LOOSER: Autre terme pour loser. (définition LOOSER ).
LOREM IPSUM: Utilisation d'une phrase incompréhensible, afin de démontrer une police, pour concentrer l'attention du lecteur sur la forme plutot que sur le sens de la phrase. (définition LOREM IPSUM ).
LOSER: Programmeur crédule et incompétent. Autrement appelé looser, luser. Caractérise plus généralement quiconque se démarque par sa nullité. (définition LOSER ).
LOSSY: Se dit d'un logiciel de compression qui provoque des pertes de données pour parvenir à un résultat satisfaisant. (définition LOSSY ).
LOST+FOUND: Désigne un répertoire spéciale d'un système de fichiers Unix à l'intérieur duquel OS stoque les fichiers trouvés ou endommagés. (définition LOST+FOUND ).
LOTUS: Société américaine fondée par M. Kapor qui conçue les premiers tableurs pour les premières machines d'Apple. Aujourd'hui, c'est une filiale d'IBM. (définition LOTUS).
LOURD: Se dit d'un système ou d'un gros logiciel laborieux à installer et dont les résultats ne sont pas certains. (définition LOURD ).
LOVELACE, AUGUSTA ADA: (10/12/1815 - 27/11/1852). Comtesse reconnu comme la première programmeuse, elle prêta son nom au langage Ada en 1979. (définition LOVELACE, AUGUSTA ADA ).
LP: Logiciel Propriétaire. (définition LP ).
LPC: Local Procedure Call. Appel de procédure local, dans le cadre d'une CIP. (définition LPC).
LPD: Line printer daemon. Expression humoristique : le démon qui gère les imprimantes dans un système Unix. (définition LPD ).
LPF: League for Programming Freedom. Organisation qui se bat contre les brevets et copyrigths dans le secteur du logiciel. (définition LPF ).
LPI: Line Per Inch. Mesure la résolution d'une imprimante, c'est à dire sa qualité d'impression. (définition LPI).
LPR: Commande qui permet de transférer un fichier vers une imprimante via un lpd. (définition LPR ).
LPR: Line PRinter, soit " imprimante en ligne". (définition LPR ).
LPT: Line PRinter, soit " imprimante en ligne". (définition LPT).
LPT1: Nom donné au premier port parallèle de communication sur un ordinateur. (définition LPT1).
LQ: Letter Quality. Terme employé pour décrire le type d'impression d'une imprimante maticielle. (définition LQ ).
LQP: Letter Quality Printer. Terme désignant les imprimantes ayant une résolution suffisante pour imprimer des courriers de qualité. (définition LQP ).
LR: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Libéria. (définition LR ).
LRC: Contrôle de redondance longitudinale, utilisé pour la détection d?erreur lors d?un transfert. (définition LRC).
LRP: Laboratoire de Robotique de Paris. (définition LRP ).
LRT: Loi de Régulation des Télécoms. (définition LRT ).
LRU: Least Recently Used. Algorithme qui efface les pages les moins fréquentées dans une mémoir paginée. (définition LRU ).
LS: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Lesotho. (définition LS).
LS: Ligne spéciale dédiée à un utilisateur particulier sur un bout de réseau public, établie de façon permanente. (définition LS).
LSAP: Link Service Access Point. (définition LSAP ).
LSB: Least Significant Bit. (définition LSB).
LSE: Langage Symbolique d'Enseignement. Crée en 1970 pour l'enseignement en France. (définition LSE ).
LSHIFT: Left Shift. Touche majuscule à gauche du clavier. (définition LSHIFT ).
LSI: Large Scale Integration. Circuit à haute intégration renfermant, au centimètre carré, plusieurs centaines de transistors. (définition LSI ).
LSM: Linux Software Map. Fichier au format texte qui indique les caractéristiques essentielles d'un projet, d'une application ou d'un pack crée pour Linux. (définition LSM).
LSMOD: LiSt MODules. Commande qui permet de connaà®tre, sous Linux, les modules qui ont été chargés dans le noyau. (définition LSMOD).
LT: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Lituanie. (définition LT ).
LTO: Linear Tape Open. Technique permettant de stoquer sur bande 100 Go avec un taux de transfert compris entre 20 et 40 Mo/s. (définition LTO ).
LTR: Left-To-Right. Qualité d'une imprimante ou d'un tableur capable d'écrire de gauche à droite. (définition LTR ).
LU: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Luxembourg. (définition LU ).
LU: Logical Unit. (définition LU).
LUDICIEL: Terme officiel désignant un logiciel de jeu. (définition LUDICIEL ).
LUDO-EDUCATIF: Qualité des logiciels qui autorisent le jeu dans un contexte éducatif. (définition LUDO-EDUCATIF ).
LUDOTHEQUE: Bibliothèque de jeux, notamment de jeux informatiques ou vidéos. (définition LUDOTHEQUE).
LUG: Linux Users Group, soitÂ " groupe d'utilisateurs de Linux". (définition LUG).
LULAB: Love You Like A Brother, soitÂ " je t'aime comme un frère". (définition LULAB ).
LULAS: Love You Like A Sister, soitÂ " je t'aime comme une soeur".Â (définition LULAS ).
LUMINANCE: Valeur numérique qui définit la luminosité ou brillance d?un pixel dans un signal vidéo. (définition LUMINANCE).
LUSER: Autre version de " loser". (définition LUSER).
LUTIN: Version française peu usité de " sprite". (définition LUTIN ).
LV: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Lettonie. (définition LV ).
LVALUE: Expression insérée en membre gauche et adjoind à un objet unique. (définition LVALUE ).
LVD: Low Voltage Differential. (définition LVD ).
LVDS: Low Voltage Differential Signaling. Standard qui autorise le transfert de grosses quantités d'informations sur des câbles assez longs pouvant atteindre 12 mètres. (définition LVDS ).
LVG: Linux Vendor Group. Groupe de compagnies commerciales qui vendent du matériel pour Linux. (définition LVG).
LVM: Logical Volume Manager. Méthode d'IBM qui consiste à changer la taille des partitions sur les disques sans pour autant reformater. (définition LVM).
LWP: Library for WWW in Perl. Bibliothèque de fonctions Perl qui permettent d'exploiter aisément les services les plus courant du web avec ce langage. (définition LWP ).
LX: Linux. (définition LX ).
LY: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Lybie. (définition LY ).
LYCOS: Moteur de recherche américain. (définition LYCOS ).
LYNX: Système de consultation d'informations sur le réseau des réseaux, prédécesseur du web. (définition LYNX ).
LYX: Texteur qui produit du LaTeX. (définition LYX ).
LZ77: Algorithme de compression par substitution, publiée en 1977. L'idée est de garder en mémoire les données, et de supprimer les phrases déjà rencontrées pour ne conserver que la position de leur première occurrence. (définition LZ77 ).
LZ78: Algorithme de compression fondé sur la référence au dictionnaire. Lorsqu'une phrase du dictionnaire est rencontrée, on la remplace dans le fichier compressé par son index dans le dictionnaire. (définition LZ78 ).
LZH: Archive compressée par l'application Lharc, et employant l'algorithme LZW (définition LZH ).
LZS: Archive compressée par l'application Lharc, et employant l'algorithme LZW (définition LZS ).
LZW: Initiales du nom des auteurs (Lempel Ziv Welch) d'un algorithme de compression non destructeur. (définition LZW ).
LZW: Algorithme de compression sans perte de données. (définition LZW).
LZX: Archive compressée par l'application Lharc, et employant l'algorithme LZW (définition LZX ).
M COMMERCE: Commerce électronique utilisé par les téléphones mobiles utilisant le protocole GSM. (définition M COMMERCE).
M JPEG: Motion JPEG. Format de compression vidéo qui utilise l?algorithme JPEG Pour compresser l?ensemble des images constituant la vidéo. (définition M JPEG).
M: Abrév.de Méga. (définition M).
M: ZA la fin d'une URL, signale que le site est basé au Mozambique. (définition M).
M$: Sigle péjoratif désignant Microsoft. (définition M$ ).
M1A: MPEG 1 Audio. (définition M1A ).
M1V: MPEG 1 Video. (définition M1V ).
M2V: MPEG 2 Video. (définition M2V ).
M3U: Extension du nom d'un fichier comprenant une playlist de MP3. (définition M3U).
M44: Extension du nom d'un fichier comprenant de l'audio compressé au format AAC sans être protégé. (définition M44 ).
M4IF: MPEG-4 Industry Forum. (définition M4IF ).
M4P: Extension du nom d'un fichier protégé, comprenant de l'audio compressé au format AAC . (définition M4P).
M68K: Processeur 68000 de Motorola. (définition M68K ).
MA: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Maroc. (définition MA ).
MA: Modulation d'Amplitude (définition MA ).
MA BELL: Surnom de AT&T.; (définition MA BELL ).
MAA®TRE: Qualité d'un système qui dirige un autre système de façon unidirectionnelle. (définition MAA®TRE ).
MAA®TRE DE POSTE: Postmaster en français. Peu employé. (définition MAA®TRE DE POSTE ).
MAA®TRE D'OEUVRE: Personne physique ou morale qui à la charge d'une âche confiée par un client. (définition MAA®TRE D'OEUVRE ).
MAA®TRE D'OUVRAGE: Personne physique ou morale s'adjoignant les services d'un maà®tre d'oeuvre. (définition MAA®TRE D'OUVRAGE ).
MAC: Abrév.de Macintosh. (définition MAC ).
MAC: Medium Access Control. Abrév.de Macintosh. (définition MAC ).
MAC II: Deuxième génération du Macintosh. (définition MAC II ).
MAC MINI: Ordinateur compact, dont les dimensions (16x16x5 centimètres) en font pratiquement un ordinateur de poche, avec un G4 à 1,25 GHz (définition MAC MINI ).
MAC-48: Adresse qui identifie un objet actif sur un réseau (au niveau 2 OSI), et formé de l'OUI de la société qui l'a produit, et d'un nombre à 24 bits donné par la société en question. (définition MAC-48 ).
MACE: Middleware Architecture Committee for Education. (définition MACE ).
MACH: Nom du Noyau de la version d'Unix employé dans le système NextStep et réalisé par l'université de Carnegie-Mellon. (définition MACH ).
MACHINE DE TURING: Machine abstraite formée d'une tête de lecture qui parcourt un ruban infini. La tête de lecture peut se trouver dans un nombre fini d'états. (définition MACHINE DE TURING).
MACHINE PARALLELE .: Machine comprenant de nombreux processeurs qui traitent les informations de manière simultanée. (définition MACHINE PARALLELE .).
MACHINE VIRTUELLE: Ordinateur abstrait simulé à l 'intérieur d'un ordinateur réel et employé comme environnement d'exécution d'un langage portable de haut niveau. (définition MACHINE VIRTUELLE ).
MACHINE: Syn.de ordinateur. (définition MACHINE).
MACHINETOQUE: Terme péjoratif pour Macintosh. (définition MACHINETOQUE ).
MACINTOSHEUR: Désigne l'utilisateur du Macintosh. (définition MACINTOSHEUR ).
MACINTOSHIEN: Terme employé par les utilisateurs de Macintosh pour se nommer eux-mêmes. (définition MACINTOSHIEN ).
MACINTOY: Surnom péjoratif du Macintosh. (définition MACINTOY).
MACINTRASH: Surnom péjoratif du Macintosh. (définition MACINTRASH ).
MACKINLEY: Processeur crée par HP et destiné à remplacer l'Itanium d'Intel. Mis sur le marché en juillet 2002 sous le nom d'Itanium II. (définition MACKINLEY ).
MACMANIAQUE: Surnom donné à un adepte des Macintosh. (définition MACMANIAQUE ).
MACOS: Système d'exploitation des macintosh. (définition MACOS ).
MACOS 8: Version de MacOS. (définition MACOS 8 ).
MACOS 9: Version de MacOS. (définition MACOS 9 ).
MACOS X: Mac (OS) Open Step eXtended. Dernier SE pour Macintosh. (définition MACOS X ).
MACOS X SERVEUR: Version de MacOS X agrémenté de plusieurs logiciels serveurs et d'outils d'administration visant aussi bien le serveur que les clients (définition MACOS X SERVEUR ).
MACRO: Abrév. courante de macrocommande. (définition MACRO ).
MACROBLOCK: Bloc de 16 x 16 pixels dans un visuel (frame) d'une vidéo au format MPEG. (définition MACROBLOCK ).
MACROCOMMANDE: Commande constituée par une succession d'autres commandes répétitives. (définition MACROCOMMANDE ).
MACRO-INSTRUCTION: Synonyme de macrocommande. (définition MACRO-INSTRUCTION ).
MACRO-ORDINATEUR: Traduction française de mainframe. Rarement employé. (définition MACRO-ORDINATEUR).
MACTCP: Pilote indispensable pour obtenir une connexion à l'Internet, sous certaines versions de MacOS. (définition MACTCP ).
MACULAGE: Tâches engendrées par des feuilles venant d?être imprimées. (définition MACULAGE).
MACULE: Feuille de passe permettant de caler la machine. (définition MACULE).
MACWORLD EXPO: Salon consacré à l'univers du Macintosh. (définition MACWORLD EXPO ).
MAE: Metropolitan Area Exchange. (définition MAE).
MAGENTA: Couleur primaire entre le rouge et le violet. (définition MAGENTA).
MAGIC: Fichier renfermant des liens associatifs entre des types de fichiers et des nombresÂ " magiques". (définition MAGIC ).
MAGICCOOKIE: Fichier stoquant les cookies sur un Mac. (définition MAGICCOOKIE ).
MAGIQUE: Caractéristique de nombres dont le sens et l'origine sont inconnus mais permettant d'effectuer certaines tâches. (définition MAGIQUE ).
MAGNAVOX: Concepteur de la première console de jeu (l'Odyssey, sortie en 1972). (définition MAGNAVOX).
MAGNETORESISTIVITE: Têtes de lecture dont la résistance ohmique varie en fonction du champ magnétique. (définition MAGNETORESISTIVITE).
MAI: fichier renfermant un mail. (définition MAI ).
MAILBOMB: Envoi massif de mails, ce qui a pour conséquence de saturer la boà®te de messagerie des destinataires ainsi que le Net. (définition MAILBOMB ).
MAIL-BOMBER: Envoi massif sur la boà®te de messagerie d'une même personne afin de la saturer. (définition MAIL-BOMBER ).
MAIL-BOMBING: Action de saturer la boà®te de messagerie d'une personne avec des mails insignifiants. (définition MAIL-BOMBING ).
MAILBOT: Type de programmes qui gèrent le courrier E-mail de façon automatisée. (définition MAILBOT ).
MAILBOX: Boà®te aux lettres éléctronique. (définition MAILBOX).
MAILER: Type de logiciels qui permettent à l'utilisateur de gèrer son courrier électronique. (définition MAILER ).
MAILFLOOD: Syn.de mailbomb. (définition MAILFLOOD ).
MAILING: Envoi d'un document adressé à plusieurs personnes. (définition MAILING ).
MAILING LIST: Liste d?e-mail permettant la diffusion d?information, accessible le plus souvent par abonnement. (définition MAILING LIST).
MAILING-LIST: Liste de diffusion. (définition MAILING-LIST ).
MAILLAGE: Topologie particulière de réseau, dans laquelle tous les n?uds sont reliés de façon directe ou indirecte, sans règles particulière. Il peut alors exister plusieurs routes entre deux n?uds. (définition MAILLAGE).
MAILLE: Se dit de certains réseaux en raison de leur topologie. (définition MAILLE).
MAILLIST: Abrév.de Mailing-list. (définition MAILLIST ).
MAILTO: Mot-clé permettant de désigner une adresse électronique dans un document en HTML. (définition MAILTO ).
MAIL-VIRUS: Virus dont la propagation se fait par l'envoi d'E-mails. (Le virus est en fait contenu dans un fichier attaché qu'il faut exécuter pour être infecté). (définition MAIL-VIRUS ).
MAIN: Rapport entre le grammage d?un papier et son épaisseur. (définition MAIN).
MAINFRAME: Imposant ordinateur central auquel on relie des terminaux de faible capacité. (définition MAINFRAME ).
MAINTENABLE: Qualité d'un systéme matériel ou logiciel dont la maintenance est assez simple. (définition MAINTENABLE ).
MAINTENANCE: Totalité des tâches visant à entretenir un système et à favoriser son adaptation aux changements de son environnement. (définition MAINTENANCE).
MAINTENANCEUR: Technicien chargé de la maintenance. (définition MAINTENANCEUR ).
MAINTENANCIEN: Synonyme de maintenanceur. (définition MAINTENANCIEN ).
MAINTENIR: Action d'effectuer une maintenance. (définition MAINTENIR ).
MAJ: Mise A Jour. (définition MAJ ).
MAJORDOMO: Utilitaire permettant de gèrer des mailing-lists sur l'Internet à la fin des années 1990. Logiciel libre totalement développé en Perl. (définition MAJORDOMO ).
MALFOUTOSE: Désigne un élément " mal foutu". (définition MALFOUTOSE ).
MALLOC: Contraction de Memory Allocation. Appellation de la fonction de la bibliothèque C permettant d'allouer une partie de la mémoire à un processus. (définition MALLOC ).
MALWARE: Types de programmes néfastes (virus, vers, spywares, etc...). (définition MALWARE).
MAME: Multiple Arcade Machine Emulator. Emulateur de jeu vidéo. (définition MAME ).
MAN: 1) Metropolitan Area Network. 2) Fichier constituant l'aide en ligne. 3) Maintenance et gestion du système. (définition MAN ).
MANAGER: Element du SE d'un Macintosh, gèrant un domaine en particulier. (définition MANAGER ).
MANCHE A BALAI: Joystick. (définition MANCHE A BALAI).
MANCHESTER: Technique pour coder un signal numérique. Chaque bit est représenté par une transitionÂ : pour coder un 0 on passe de l'état Â " haut" à l'état Â " bas", et inversement pour coder un 1. Le code de Manchester est dit Différentiel quand on observe un changement de polarité pour coder un 0 et pas de changement pour coder un 1. (définition MANCHESTER).
MANDATAIRE: Traduction de " proxy". (définition MANDATAIRE).
MANDELBROT, BENOA®T: Mathématicien français qui a fait la découvetre des fractales. L'Ensemble de Mandelbrot est l'ensemble des nombres complexes pour lesquels la suite z -> z2^+c avec z0=0 ne converge pas vers l'infini (définition MANDELBROT, BENOA®T).
MANDRAKE: Distribution large public, anciennement distribution de Linux (sa qualité principale était l'intégration de KDE). (définition MANDRAKE ).
MANETTE DE JEU: Traduction de joystick. (définition MANETTE DE JEU ).
MANPAGE: Page de manuel en anglais, en particulier page de l'aide en ligne disponible sous Unix. (définition MANPAGE).
MANUEL: Caractérise ce qui est réalisé Â«à la main". (définition MANUEL ).
MAO: Musique Assistée par Ordinateur. (définition MAO ).
MAP: 1) Manufacturing Automation Protocol. Système élémentaire qui permet d'obtenir du temps réel sur des réseaux locaux industriels. 2) Mobile Application Part. (définition MAP ).
MAP: Carte descriptive d'un niveau dans un jeu. (définition MAP ).
MAPI: Messaging Application Programming Interface. Interface de messagerie développée par Microsoft. (définition MAPI).
MAPPAGE: Action de mapper. (définition MAPPAGE ).
MAPPE: Table de correspondance entre deux éléments mappés. (définition MAPPE).
MAPPER: Eriger un lien de correspondance entre deux objets de nature identique mais pas de forme différente. (définition MAPPER).
MAPPING: Technique employée en imagerie de synthèse et qui permet d'imprimer une image sur un volume, lui donnant ainsi une texture. (définition MAPPING ).
MAPS: Mail Abuse Protection System. (définition MAPS ).
MAQUETTAGE: Fabrication de la maquette d'un système, soit d'un modèle réduit opérationnel qui permet de tester la valeur de l'option envisagée. (définition MAQUETTAGE ).
MAQUEUX: Terme péjoratif désignant un utilisateur de Mac. (définition MAQUEUX ).
MAQUISTE: Désigne un utilisateur de Mac. (définition MAQUISTE).
MARCHER DEDANS: Expression utilisée lorsqu'on fait le jeu d'un " troll" s'en en avoir conscience. (définition MARCHER DEDANS ).
MARGUERITE: Vieille méthode d'impression, utilisant un disque tenant des rayons à l'éxtrémité desquels se trouvaient les caractères en relief. Les rayons frappaient la page à travers un ruban encreur, permettant d'imprimer les caractères. (définition MARGUERITE ).
MARIO: Personnage très populaire d'un jeu Nintendo, représentant un plombier à moustache. (définition MARIO ).
MARK 1: Précurseur des calculateurs numériques électromécaniques conçu en amérique par Howard h. Aiken en 1944. Mesurant 10,60 m de long, 2,60 m de large, pesant 5 tonnes, comprenant 800.000 éléments,et nécessitant plusieurs tonnes de glace par jour pour le refroidissement. Il multipliait 2 nombres de 23 chiffres en 3 secondes. (définition MARK 1 ).
MARKETPLACE: Littéralement place de marché. Lieu où les vendeurs et les acheteurs se rencontrent. (définition MARKETPLACE).
MARKETPLACE: Place du marché. (définition MARKETPLACE).
MARKETROIDE: Objet inventé par des professionnels du marketing. (définition MARKETROIDE ).
MARQUAGE: Le terme est dans les listes officielles. (définition MARQUAGE ).
MARQUE: Etiquette. (définition MARQUE).
MARQUE-PAGE: Bookmark en français. Signet. (définition MARQUE-PAGE).
MARQUEUR: Caractère particulier employé pour inscrire dans un ensemble de données, des informations relatives à la structure de ces données. (définition MARQUEUR ).
MARSHALLING: Action de transformer un élément pour le rendre inscriptible sur disque dur ou transmettable sur un réseau. (définition MARSHALLING ).
MARVEL: Nom du projet de service en ligne développé par Microsoft, plus connu sous le nom de MSN ou Microsoft-Network. (définition MARVEL).
MASQUABLE: Que l'on peut masquer. (définition MASQUABLE).
MASQUAGE: Action de masquer. (définition MASQUAGE).
MASQUE: Valeur spéciale qui permet d'oter un bit ou plusieurs d'une autre valeur sans qu'il(s) soi(en)t modifié(s), et en effaçant tous les autres bits. 1101x101 & 1000 = x. Plus généralement, désigne un ensemble de ces valeurs. (définition MASQUE ).
MASQUE D'ADRESSE: Masque employé pour cloisonner les différents éléments d'une adresse IP. (définition MASQUE D'ADRESSE ).
MASQUER: Action d'employer un masque sur des informations. (définition MASQUER ).
MASSICOT: Machine permettant la découpe du papier. (définition MASSICOT).
MASSIVEMENT PARALLELE: Utilisé à propos des systèmes employant le parallélisme à grande échelle, en connectant de très nombreuses unités logiques de calcul. (définition MASSIVEMENT PARALLELE ).
MASTER: Enregistrement original. (définition MASTER ).
MASTERISATION: Action de réaliser un master. (définition MASTERISATION ).
MASTEURISATION: Variante de mastérisation. (définition MASTEURISATION ).
MATCHPRINT: Epreuve pour le contrôle des couleurs d?un film. (définition MATCHPRINT).
MATERIEL: Désigne les éléments physique du marériel informatique, en opposition au matériel logiciel. (définition MATERIEL ).
MATHML: Mathematical Markup Language. Langage dérivé du XML développé par W3C pour les formules mathématiques. (définition MATHML).
MATOS: Abrév.de matériel. (définition MATOS ).
MATRIçAGE: Réalisation d'un master, disque qui permettra de réaliser un pressage de CD en grand nombre. (définition MATRIçAGE ).
MATRICE: Désigne un tableau à deux dimensions. (définition MATRICE ).
MATRICE ACTIVE: Ecran LCD à l'intérieur duquel chaque pixel est dirigé par son propre transistor. (définition MATRICE ACTIVE ).
MATRICE PASSIVE: Ecran LCD à l'intérieur duquel chaque pixel est dirigé par des fils horizontaux et verticauxÂ (définition MATRICE PASSIVE ).
MATRICE RAID: Groupe de disques dirigés par la norme RAID. (définition MATRICE RAID ).
MATROSKA: Conteneur de vidéo ou d'audio. Extensions associéesÂ : mka ou mkv. (définition MATROSKA ).
MAU: Equipement central dans un réseau de type Token Ring. Il permet d?assurer la pérennité de la boucle même en cas de déconnexion d?un n?ud du réseau. (définition MAU).
MAUCHLY, JOHN: Physicien qui créa le calculateur ENIAC. (définition MAUCHLY, JOHN ).
MAXIMISER: Action d'agrandir un widget afin qu'il occupe tout l'espace disponible. Ex : maximiser une fenêtre pour qu'elle occupe tout l'écran. (définition MAXIMISER ).
MB: MegaBytes. Mouse Button. MailBox. (définition MB ).
MBIT: Méga Bits. Représente un million de bits. Unité employée pour quantifier les capacités des puces de mémoire. (définition MBIT ).
MBIT/S: Méga bits par seconde. (définition MBIT/S ).
MBONE: Dorsale multicast de l'Internet en amérique qui ne profite qu'à d'importantes sociétés. (définition MBONE ).
MBP: Master Boot Program. Principal Logiciel de boot situé dans le MBR, exécuté initialement au lancement de la machine (définition MBP ).
MBPS: Unité de débit de transfert. (définition MBPS).
MBR: Master Boot Record. (définition MBR ).
M-BUSINESS: Affaires commerciales conduites à l'aide d'appareils mobiles (portables, assistants numériques, etc...). (définition M-BUSINESS ).
MBX: MailBoX. (définition MBX ).
MC: A la fin d'une URL, signale que le site est basé à Monaco. (définition MC ).
MC: Mémoire Centrale. (définition MC ).
MCA: Bus développé par IBM en 1986 utilisant 16 ou 32 bits, très peu utilisé. (définition MCA).
MCB: Memory Control Bloc. (définition MCB ).
MCC: Modèle Conceptuel de la Communication. (définition MCC ).
MCD: Modèle Conceptuel de Données. (définition MCD ).
MCDI: Multimedia Content Description Interface. (définition MCDI).
MCGA: Multi-Color Graphics Array. Carte graphique conçue pour fonctionner avec les PS/2 d'IBM. (définition MCGA).
MCI: Media Control Interface. (définition MCI).
MCI: Programme de communication développé sous Windows pour améliorer la programmation de logiciels utilisant des périphériques de multimédia. (définition MCI).
MCIF: Marketing Consumer Information File. Format de base de données crée pour emmagasinner des des données relatives aux clients d'une entreprise. (définition MCIF).
MCM: Multi-Chip Module. Module " multipuces". (définition MCM ).
M-COMMERCE: Affaires commerciales électroniques conduites par le biais d'un téléphone ou d'un ordinateur portable. (définition M-COMMERCE ).
MCR: Magnetic Card Reader. Lecteur de carte magnétique. (définition MCR ).
MCT: Modèle Conceptuel des Traitements. Image abstraite des traitements accomplis sur les informations par rapport à des événements éventuels. (définition MCT ).
MD: 1) Multiple Device. 2) Major Delivery. Mise à jour importante. 3) Make Directory. Commande utilisée pour créer un nouveau répertoire. (définition MD ).
MD: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Moldavie. (définition MD ).
MD5: Message Digest 5. Fonction produisant un hachage unidirectionnel de façon à identifier un message. (définition MD5 ).
MDA: Mail Delivery Agent. Logiciel qui transmet les messages du serveur au MUA du destinataire. (définition MDA ).
MDAC: Microsoft Data Access Components. (définition MDAC ).
MDC: Mobile Daughter Card. (définition MDC ).
MDFAT: Microsoft DoubleSpace FAT. (définition MDFAT ).
MDI: Multiple-Document Interface. Interface permettant d'ouvrir plusieurs documents à l'intérieur de fenêtres " filles" contenues elles mêmes dans une fenêtre " mère". (définition MDI).
MDLP: minidisc long play. Procédé de compression utilisant l?algorithme Atrac3 qui permet de multiplier la capacité d?un minidisc par 4. (définition MDLP).
MDP: Mot De Passe. (définition MDP ).
MDR: 1) Moteur De Recherche. 2) " Mort De Rire". (définition MDR ).
MDRAM: Multibank DRAM. Mémoire vive pour carte vidéo découpée en " banques" de 32 ko qui peuvent être attribuées indépendamment. (définition MDRAM ).
MDREPT: " Mort De Rire Ecroulé Par Terre". (définition MDREPT).
ME: Extension de fichier qui suit en général le motÂ READ. (définition ME ).
MEATWARE: Expression désignant un programme crée pour " gagner son bifteck". (définition MEATWARE).
MEBI-OCTET: Proposition de l'IEC pour remplacer méga-octet. Un méga représentant un million, et non pas 2 puissance 20. (définition MEBI-OCTET ).
MECANIQUE: La mécanique désigne l'élément vitale d'un objet matériel. (définition MECANIQUE ).
MECATRONIQUE: Discipline qui combine l'automatique, l'informatique, l'électronique et la mécanique. (définition MECATRONIQUE ).
MECH: Abréviation deÂ mechanical. Désigne un ennemi robotisé dans un jeu vidéo. (définition MECH ).
MEDEA: Microelectronic developments for european applications. Projet succédant au projet JESSI en europe, développant les outils de la technologie. (définition MEDEA ).
MEDIA: Support de données (CD-Rom, disquettes, etc...). (définition MEDIA).
MEDIALAB: Laboratoire du MIT qui développe les technologies de pointe. (définition MEDIALAB ).
MEDIALESS: Qualifie un ordinateur qui ne possède pas de moyens de sauvegarde, tel qu'un disque dur ou un lecteur de disquette. (définition MEDIALESS ).
MEGA DRIVE: Console de jeu développée par SEGA. (définition MEGA DRIVE ).
MEGABASE: Base de données gigantesque. (définition MEGABASE ).
MEGADEMO: Une mégadémo regroupe plusieurs démos accessible par l'intermédiaire d'un menu principal. (définition MEGADEMO ).
MEGAFLOPS: Un million d'instructions en virgule flottante par seconde. (définition MEGAFLOPS ).
MEGAOCTET: Unité de quantité de donnée, représentant un million d?octet. (définition MEGAOCTET).
MEGA-OCTETS: Un million d'octets (en réalité, un peu plus). (définition MEGA-OCTETS).
MEGAPIXEL: Unité de mesure servant à mesurer la définition des capteurs CCD, sur une caméra numérique par exemple. (définition MEGAPIXEL ).
MEHARI: Méthode utilisée pour analyser des risques. (définition MEHARI ).
MEL.: Messagerie automatique. (définition MEL. ).
MELISA: Méthode utilisée pour analyser des risques. (définition MELISA ).
MEM: Mémoire morte. Synonyme de ROM. (définition MEM ).
MEMOIRE: Composant électronique qui permet d'emmagasinner des données sans traitement, de manière temporaire ou non. (définition MEMOIRE ).
MEMOIRE CACHE: Mémoire intégrée dans le processeur. Permet un stockage de données temporaires utiles au processeur, qui évite ainsi de communications avec la mémoire vive, plus lente. (définition MEMOIRE CACHE).
MEMOIRE CENTRALE: Bloc principal de mémoire vive d'une machine à l'intérieur duquel tous les logiciels d'application se chargent et s'éxécutent. (définition MEMOIRE CENTRALE).
MEMOIRE CONVENTIONNELLE: Désigne une quantité de mémoire (640 ko) d'un PC grâce à laquelle MS-DOS peut faire tourner un logiciel. (définition MEMOIRE CONVENTIONNELLE).
MEMOIRE DE CHARGE: Mémoire du dernier niveau de charge sur une batterie NiCd, ce qui a pour conséquence de diminuer la capacité d'une batterie si on ne la recharge pas entièrement. (définition MEMOIRE DE CHARGE ).
MEMOIRE DE MASSE: Totalité des supports de stockage autonomes et statiques, possédant une interface pouvant sauvegarder les informations sans aucun apport d'énergie. (définition MEMOIRE DE MASSE ).
MEMOIRE ETENDUE: Qui dépasse 1Mo. (définition MEMOIRE ETENDUE ).
MEMOIRE FLASH: Elle a une fonction identique à la mémoire vive, mais elle conserve les données quand l'ordinateur est hors tension. (définition MEMOIRE FLASH).
MEMOIRE FLASH: Mémoire à semi conducteurs couramment utilisé dans les appareils photos, lecteurs mp3 et PDA. (définition MEMOIRE FLASH).
MEMOIRE MORTE: Elle stoque de manière permanente les différentes fragments d'un système d'exploitation ou d'un BIOS. (définition MEMOIRE MORTE ).
MEMOIRE MORTE: Ou ROM pour Read-Only Memory. Type de mémoire qui ne peut que être lu et jamais écrite. Les données sont conservées en cas de coupure de l?alimentation. (définition MEMOIRE MORTE).
MEMOIRE STATIQUE: Mémoire qui fonctionne sans être rafraà®chie, ce qui lui permet d'augmenter sa vitesse et sa disponibilité. (définition MEMOIRE STATIQUE).
MEMOIRE TAMPON: Synonyme de tampon, transposer pour une mémoire. (définition MEMOIRE TAMPON ).
MEMOIRE TAMPON: Mémoire associé à un périphérique tel qu?un disque dur ou un graveur. Elle permet de synchroniser deux processus fonctionnant à des fréquences différentes en stockant temporairement des données, comme entre un processeur et un disque dur. (définition MEMOIRE TAMPON).
MEMOIRE VIDEO: Mémoire dédiée à l'affichage. Une mémoire vidéo optimise les capacités d'un ordinateur, car un écran vidéo utilise beaucoup de bande passante (il doit être rafraà®chi entre 50 et 100 fois par seconde). (définition MEMOIRE VIDEO).
MEMOIRE VIRTUELLE: Mémoire employé par le CPU comme de la mémoire vive,mais dont les informations sont stockées sur le disque dur. (définition MEMOIRE VIRTUELLE ).
MEMOIRE VIRTUELLE: Espace de mémoire réservée sur un disque dur pour augmenter la taille de la mémoire vive, plus lente d?accès. (définition MEMOIRE VIRTUELLE).
MEMOIRE VIVE DYNAMIQUE: RAM devant subir un rafraà®chissement périodique pour conserver les données stockées. (définition MEMOIRE VIVE DYNAMIQUE).
MEMOIRE VIVE: Mémoire temporaire et véloce, qui utilise et conserve les informations, le code ou les données. (définition MEMOIRE VIVE).
MEMOIRE VIVE: Ou RAM pour Random Access Memory. Permet le stockage de données temporaire d?un processus en exécution pour être traitées par le processeur. (définition MEMOIRE VIVE).
META MOTEUR: Récupère le résultat de plusieurs moteurs de recherche pour améliorer la qualité des réponses. (définition META MOTEUR).
META TAG: Balises HMTL spéciales qui contiennent des mots clés caractérisant la page web, dans le but du référencement par un moteur de recherche. (définition META TAG).
METTRE A JOUR: Consiste à installer une version plus récente d?un programme ou autre système. (définition METTRE A JOUR).
MHS: Message Handling System. Système de messagerie normalisé qui se trouve dans la couche 7 (Application) du modèle OSI. (définition MHS).
MIC: Procédé de numérisation d?un signal analogique en signal numérique de débit 64 kbits/s. (définition MIC).
MICROSOFT NET PASSPORT: Service d?authentification sur Internet nécessaire pour utiliser les services en ligne de Microsoft. (définition MICROSOFT NET PASSPORT).
MICROSOFT PRIVACY WIZARD: Outils de Microsoft pour permettre aux sociétés de gérer une politique de confidentialité. (définition MICROSOFT PRIVACY WIZARD).
MIDDLEWARE: Logiciel permettant à deux ou plusieurs applications réparties dans un réseau de communiquer entre eux. (définition MIDDLEWARE).
MIDI: Musical Instrument Digital Interface. Protocole pour la communication entre instruments de musique électronique et ordinateurs. Ils sont de très petite taille car ne contiennent que des commandes pour savoir si une note est jouée ou non. (définition MIDI).
MIME: Protocole permettant de sélectionner un format pour les messages sur Internet. (définition MIME).
MISE A JOUR CORRECTIVE: Type particulier de mise à jour qui modifie certains fichiers parfaitement ciblés. (définition MISE A JOUR CORRECTIVE).
MISE A JOUR: Terme qui désigne l?ensemble des moyens pour mettre à jour un programme déjà installé. Elle peut être sous la forme de petites applications, pack, correctifs et contiennent des modifications ou des fonctionnalités supplémentaires à ajouter. (définition MISE A JOUR).
MISE EN MEMOIRE TAMPON: Procédé utilisé lors du streaming qui permet d?enregistrer une partie des données un peu avant le début de la lecture, afin d?éviter l?interruption lors de la lecture. (définition MISE EN MEMOIRE TAMPON).
MMS: Multimedia Message Service. Amélioration du service SMS, il permet de recevoir des messages textuels implémentés d?images et de son. (définition MMS).
MNP: Microcom Network Protocol. Protocole qui permet d?améliorer l?échange de données par modem grâce à la compression. (définition MNP).
MO / S: Méga octet par seconde : mesure la vitesse d'une communication. (définition MO / S).
MO: ZC'est le surnom de Mozilla. (définition MO).
MODELE PULL: Modèle utilisé pour consulter un site Web. Les requêtes sont générés par le clic sur un des liens de la page, et retourne de nouvelles informations. (définition MODELE PULL).
MODELE PUSH: Dans ce modèle, l?utilisateur n?a plus à envoyer des requêtes, mais les informations sont envoyées automatiquement si l?utilisateur est abonné. (définition MODELE PUSH).
MODEM: Modulateur Démodulateur. Périphérique d?ordinateur qui permet de transformer un signal numérique en un signal transportable sur une ligne téléphonique (modulation), et également l?inverse (démodulation), afin d?échanger des données sur un réseau. (définition MODEM).
MODERATEUR: Personne bénéficiant de droits spéciaux sur un forum pour modifier ou supprimer des messages d?autres utilisateurs. (définition MODERATEUR).
MODULA-3: Désigne une évolution orientée objet, basée sur le Pascal et conçu par DEC et Olivetti. (définition MODULA-3).
MODULAIRE: Qualifie un ensemble (hardware ou software) découpable en sous-ensembles, des modules. Désigne également un élément dont le fonctionnement se fait grâce à des modules. (définition MODULAIRE).
MODULATION: Désigne la traduction d'une information digitale en information analogique. (définition MODULATION).
MODULE VST: Module de traitement numérique qui permet d?ajouter des effets à un signal audio. (définition MODULE VST).
MODULE: C'est le nom générique de tout élément d'un système. Dans l'expression « module soundtrack », c'est une piste de musique en standard MOD. (définition MODULE).
MOF: C'est l'acronyme de Meta Object Facility : une interface CORBA utilisée pour la description des modèles UML. (définition MOF).
MOF: Langage qui permet de modéliser l?ensemble d?un réseau. (définition MOF).
MOH: Modem On Hold, soit « modem en attente ». Désigne un procédé par lequel on peut recevoir et émettre des appels sur une ligne sur laquelle un modem est branché. (définition MOH).
MOIRAGE: Anomalie qui apparaît lors de la superposition de 2 films tramés mal orientés. (définition MOIRAGE).
MOLETTE: Désigne le cylindre mu par la boule dans une souris. Désigne également le troisième bouton d'une souris, qui permet de faire défiler un document. (définition MOLETTE).
MOM: C'est l'acronyme de Message Oriented Middleware : un procédé qui rend possible l'échange entre deux logiciels ou ordinateurs. En effet, cet échange étant asynchrone, le système poursuit son fonctionnement normal même si le réseau plante. (définition MOM).
MOMA: Message Oriented Middleware Association : cette association fournit la plupart des applications MOM. (définition MOMA).
MOMENT D'UN CODE: Le moment quantifie le nombre de bits qui sert au codage d'un signe. En ASCII par exemple, le moment est de 7, car le codage d'un signe se fait sur 7 bits. (définition MOMENT D'UN CODE).
MONDE REEL: Désigne l'univers auquel on a retranché les ordinateurs (définition MONDE REEL).
MONGUEUR: C'est l'équivalent français imaginé pour traduire un mot anglais voulant dire ferronnier, qui renvoie à un programmeur en Perl, et plus généralement, à toute personne spécialisée dans ce langage. (définition MONGUEUR).
MONITEUR: Désigne l'écran relié à un ordinateur. Il est similaire à une télévision (car il fonctionne grâce à un tube cathodique) mais n'a ni antenne ni tuner. Désigne également une application qui en pilote d'autres. Par exemple, on trouve parfois un logiciel moniteur qui sert à débugger un programme. Un moniteur désigne aussi le surveillant d'un système. Enfin, il désigne un ensemble de procédés chargés de synchroniser deux processus. (définition MONITEUR).
MONITORING: C'est l'opération qui consiste à suivre méticuleusement le fonctionnement d'un système, d'un processus en temps réel. (définition MONITORING).
MONO: Désigne le plan qui consiste à introduire la plateforme .Net comme système libre. (définition MONO).
MONOBLOC: Qualifie une machine qui réunit tous ses éléments dans un même contenant, ce qui bloque parfois les possibilités évolutives de la machine. Qualifie également une machine composée d'une unique carte. (définition MONOBLOC).
MONOCHROMATIQUE: Qualifie un élément monochrome. (définition MONOCHROMATIQUE).
MONOCHROME: Qualifie un visuel ne disposant que d'une couleur. C'est équivalent du noir et blanc, le plus souvent. (définition MONOCHROME).
MONOLITHIQUE: Qualifie un OS dans lequel n'importe quelle procédure peut convoquer n'importe quelle autre. Qualifie aussi un circuit intégré composé d'une unique pièce de silicum, et non d'un assemblage. (définition MONOLITHIQUE).
MONOMODE: Qualifie une classe de fibre optique. (définition MONOMODE).
MONOPASSE: Qualifie un procédé immédiat, comme celui d'un compilateur qui analyse un code en une fois seulement ou d'un scanner qui n'a besoin que d'une lecture pour digitaliser un document. (définition MONOPASSE).
MONOPROCESSEUR: Qualifie un système dont le fonctionnement est basé sur un processeur unique. (définition MONOPROCESSEUR).
MONOPROGRAMMATION: Désigne l'utilisation d'un ordinateur quand une seule tâche peut fonctionner à la fois. (définition MONOPROGRAMMATION).
MONOPROGRAMMER: C'est le fait de programmer en réservant la totalité des ressources d'une machine à l'exécution de ce programme. (définition MONOPROGRAMMER).
MONOSPACED: Qualifie une police non proportionnelle. (définition MONOSPACED).
MONOTâCHE: Qualifie une plateforme qui ne peut utiliser qu'un seul programme à un moment donné. (définition MONOTâCHE).
MONTAGE: Désigne le fait d'exécuter la commande mount sur un disque. (définition MONTAGE).
MONTAGE: Positionnement définitif des textes dans un document. (définition MONTAGE).
MONTER: Monter une archive signifie la transférer de son ordinateur vers le serveur (définition MONTER).
MOO: Mud Orienté Objet, ou Modèle Orienté Objet. (définition MOO).
MOOF: C'est le son émis par le chien-vache. (définition MOOF).
MOORE: Gordon Moore est l'un des pères du groupe Intel. Il est l'auteur, dans les années 60, de la loi de Moore qui veut que la quantité de transistors utilisés dans une puce soit multipliée par deux tous les deux ans. (définition MOORE).
MOORE, GORDON: C'est l'un des créateurs d'Intel, à la fin des années 60. (définition MOORE, GORDON).
MOP: C'est l'acronyme de Money Oriented Programming, soit Programmation Orientée Argent : désigne une programmation inintéressante, mais qui permet de remplir le frigo. (définition MOP).
MOPI: Mosix Parallel I / O. Désigne un paquetage entrées-sorties dédié à Mosix. (définition MOPI).
MOPS: C'est l'acronyme de Méga Octet Par Seconde, l'unité qui quantifie la vitesse d'un réseau ou d'un bus. MOPS est souvent raccourci en Mo/s. C'est également l'acronyme de Million of Operations Per Second. (définition MOPS).
MOPT: Acronyme de Modèle OPérationnel des Traitements. (définition MOPT).
MORF: Acronyme de « Male OR Female », utilisé sur une messagerie ou un forum. (définition MORF).
MORIA: C'est un jeu vidéo tombé dans le domaine public. Il s'inspire des Mines de Moria de la trilogie de Tolkien. (définition MORIA).
MORPHAGE: C'est l'équivalent français et très rare de morphing. (définition MORPHAGE).
MORPHING: Désigne un procédé par lequel une image synthétique se fond et devient une autre image. (définition MORPHING).
MORRIS, ROBERT T: C'est le nom du créateur du premier ver de l'internet. (définition MORRIS, ROBERT T).
MORT: Qualifie tout élément matériel hors service. (définition MORT).
MORTALITE INFANTILE: Désigne la panne qui survient dans tout OS lors ses premières semaines de fonctionnement. (définition MORTALITE INFANTILE).
MOS: C'est l'acronyme de Metal Oxyde Semi-conductor, qui désigne une classe de circuits intégrés. (définition MOS).
MOSAïC: C'est l'acronyme de Multi-user On-line System for Automated Information COmmunication. Désigne le premier navigateur facile d'utilisation. Il est mis au point en 93 à l'Université de l'Illinois par une équipe dirigée par M. Andreesen (qui fondera Par la suite le groupe Netscape). (définition MOSAïC).
MOSAïQUER: Désigne le fait de cacher une zone d'image par un zoom extrême opéré sur cette zone. Ce procédé est employé à la télévision lorsqu'il s'agit de cacher le visage d'une personne. Un équivalent est pixeliser. (définition MOSAïQUER).
MOSFET: Acronyme de Metal-Oxyd Semiconductor Field Effect Transistor, soit un transistor à effet de champ employé par les puces MOS. (définition MOSFET).
MOSIX: Désigne un procédé qui gère les clusters. Il partage la responsabilité entre tous les n½uds. (définition MOSIX).
MOSPF: C'est l'acronyme de Multicast Open Shortest Path First, qui est une évolution multicast de l'OSPF. (définition MOSPF).
MOSS: Mime Object Security Service. Désigne aussi le MacOS Startup, le visuel de démarrage sous MacOS 9. (définition MOSS).
MOT DE PASSE: Désigne une séquence de signes utilisée par un usager pour valider son accès à des ressources personnelles. Plus la séquence est aléatoire, plus le mot de passe est sûr. (définition MOT DE PASSE).
MOT: Désigne la séquence composée de deux octets, qui est considérée comme un entier. L'équivalent anglais est Word. (définition MOT).
MOT: Modèle Organisationnel des Traitements. (définition MOT).
MOTAS: C'est l'acronyme de Member Of The Appropriate Sex. (définition MOTAS).
MOT-CLE: Désigne un signe ou une séquence de signes considérés comme signifiant du point de vue d'un langage de programmation, par exemple une commande, une ponctuation. L'équivalent anglais est keyword. (définition MOT-CLE).
MOTD: Motto of the day, soit « la devise du jour », sur un serveur. (définition MOTD).
MOTEUR DE RECHERCHE: Site Web particulier qui permet de donner une liste de pages Internet liés à des mots clés que l?on choisi. (définition MOTEUR DE RECHERCHE).
MOTEUR D'EXECUTION: Désigne la sous-partie d'un programme qui commande les applications de ce programme. L'équivalent anglais est runtime. (définition MOTEUR D'EXECUTION).
MOTEUR D'INFERENCE: Désigne un logiciel qui opère les calculs de logique d'un système en reliant des faits à des règles. (définition MOTEUR D'INFERENCE).
MOTEUR: Désigne un noyau dont le fonctionnement réclame un frontal. Comme sa caractéristique principale doit être la vitesse, il ne se préoccupe pas d'affichage. Dans l'expression « moteur de jeu », désigne l'élément qui gère et assemble les différents ensembles qui constituent le jeu : intelligence artificielle, calcul des déplacements etc? (définition MOTEUR).
MOTHERBOARD: C'est l'équivalent anglais de motherboard. Un synonyme est mobo. (définition MOTHERBOARD).
MOTIF: Désigne le visuel de petite taille qui, répété, peut construire un arrière-fond. Désigne également une séquence de signes qui décrivent un ensemble recherché. L'équivalent anglais est pattern. Désigne enfin une documentation rassemblant des styles pour Unix. (définition MOTIF).
MOTION BLUR: Désigne un effet visuel de flou, comme dans un mouvement (motion signifie mouvement). (définition MOTION BLUR).
MOTION CAPTURE: C'est un procédé qui capture des mouvements authentiques et les convertit en images synthétiques. (définition MOTION CAPTURE).
MOTIS: C'est l'acronyme de Messagerie Oriented Text Interchange Standard. (définition MOTIS).
MOTORNET: Service d?EDI (Echange de Données Informatisées) développé par la société anglaise INS dans le secteur automobile. (définition MOTORNET).
MOTOROLA: C'est le nom d'un fabricant de processeurs. Parmi les réalisations de Motorola, on trouve entre autres les 68000, les PowerPC. Ils confectionnent également de l'électronique comme des téléphones portables. (définition MOTOROLA).
MOTOS: Member Of The Opposite Sex, sur une messagerie ou un forum. (définition MOTOS).
MOTSS: Member Of The Same Sex, soit membre du même sexe. (définition MOTSS).
MOUCHARD: Désigne un fichier employé pour lire les essais de modifications d'un système. C'est également le synonyme de témoin de connexion. (définition MOUCHARD).
MOUILLAGE: Permet de ne pas reproduire certaines parties de l?offset en recouvrant ces zones par l?humidité en utilisant le principe de répulsion. (définition MOUILLAGE).
MOULE: Désigne celui qui ne bouge pas de sa place : un habitué d'un forum par exemple. (définition MOULE).
MOULINER: Un ordinateur mouline quand il procède à une multitude de calculs à la fois. Un programmeur mouline quand il produit du code en quantité. (définition MOULINER).
MOULINETTE: Désigne une application qui mouline. (définition MOULINETTE).
MOUNT: Désigne l'instruction sous Unix qui configure un nouveau disque en l'inscrivant auprès d'un système. (définition MOUNT).
MOUSE: C'est l'équivalent anglais d'une souris. (définition MOUSE).
MOUTURE: Désigne une variante nouvelle d'un logiciel. (définition MOUTURE).
MOV: Désigne un type de fichiers vidéos au standard Quicktime. (définition MOV).
MOYEN-TOUR: Désigne un boîtier dont la taille est entre une tour et une mini-tour. (définition MOYEN-TOUR).
MOZILLA: C'est le nom du dinosaure qui incarne les navigateurs de Netscape. Il existe un site du même nom qui rassemble les évolutions du source du navigateur, devenu libre en 98. (définition MOZILLA).
MP @ML: Main Profile at Main Level. C'est un standard MPEG-2 fréquent dans un DVD. (définition MP @ML).
MP: A la fin, d'une URL, signale que le site est basé aux îles Marianne du nord. (définition MP).
MP: Multiprocesseur. Egalement MegaPixel, soit un million de pixel. Enfin, MP désigne Media Player. (définition MP).
MP3: Format audio qui utilise la compression avec perte. Le fichier obtenu est beaucoup plus léger et permet des échanges par Internet. (définition MP3).
MP4: C'est l'extension des fichiers vidéos au standard MPEG-4. (définition MP4).
MPA: C'est la contraction de MPEG Audio, c'est-à-dire la piste audio d'une vidéo MPEG. (définition MPA).
MPC: C'est l'acronyme de Multimédia Personnal Computer, une famille de standards qui régulent la qualité de la configuration multimédia sous Windows. (définition MPC).
MPC7400: C'est le c½ur du G4 de Motorola. (définition MPC7400).
MPD: C'est l'acronyme de Modèle Physique des Données. Désigne l'implantation d'un MCD en Merise. (définition MPD).
MPEG 2: Format vidéo utilisé dans l?encodage des DVD Vidéo. (définition MPEG 2).
MPEG 4: Amélioration du format MPEG 2 utilisé dans le DVD Vidéo, il permet l?encodage de vidéo haute définition sans prendre trop de place. (définition MPEG 4).
MPEG: Moving Pictures Experts Group. Format de fichier audio et vidéo utilisant la compression avec perte. Utilisé pour le streaming, il permet d?obtenir des fichiers légers en ne gardant que les parties d?images qui changent entre 2 images. (définition MPEG).
MPEG-1: C'est l'acronyme de Motion Picture Expert Group 1. (définition MPEG-1).
MPEG-2: Motion Picture Expert Group 2 : un format de compactage vidéo, normalisé par l'ISO / IEC en 95. (définition MPEG-2).
MPEG-4: C'est un autre format de MPEG, normalisé sous l'ISO / IEC 14496. (définition MPEG-4).
MPEG-7: C'est un standard ISO /IEC (définition MPEG-7).
MPEGIF: MPEG Industry Forum. C'est l'organisme professionnel de promotion des multiples normes MPEG. (définition MPEGIF).
MPG: C'est le nom d'extension des fichiers MPG. Un équivalent est MP3. (définition MPG).
MPI: C'est l'acronyme de Multi Protocol Interface. C'est aussi une Message Passing Interface. (définition MPI).
MPIV6: Désigne une Mobile IPv6, la technologie IPv6 transférée vers les mobiles. (définition MPIV6).
MPLS: C'est l'acronyme de Multi Protocol Label Switching qui est un procédé grâce auquel des données de niveau 2 OSI sont transférées dans la couche 3. Mis au point par l'IETF, ce procédé est en fait une technique de gestion des ressources d'un réseau. (définition MPLS).
MPM: C'est l'acronyme de Multi Processing Module. (définition MPM).
MPNG: Désigne des Multiple Portable Networks Graphics. C'est une évolution de PNG, qui permet de stocker une multitude de visuels dans un fichier unique. L'extension associée est MNG. (définition MPNG).
MPOA: Service disponible sur ATM pour effectuer un routage virtuel. (définition MPOA).
MPP: C'est l'acronyme de Massively Parallel Processing, soit « Traitement Massivement Parallèle ». Il s'agit d'un système où plusieurs processeurs fonctionnent simultanément sur un même logiciel mais dans différentes mémoires. On évite ainsi la congestion de la mémoire. (définition MPP).
MPPE: C'est l'acronyme de Microsoft Point to Point Encryption : un protocole de cryptage sur un lien PPP. Le protocole est fondé sur l'algorithme RSA RC4. (définition MPPE).
MPPS: Million de Paquets Par Seconde. Le Mpps quantifie la vitesse d'un réseau à commutation de paquets. (définition MPPS).
MPR 2: C'est un standard (émis par le SWEDAC - Swedish Board for Technical Accreditation) qui valide les ondes produites par un moniteur. C'est un équivalent du TCO'92. (définition MPR 2).
MPT: Désigne un Modèle Physique des Traitements. (définition MPT).
MPU: C'est l'acronyme de MicroProcessor Unit, un équivalent de CPU. (définition MPU).
MPV: Désigne le MPEG Video, l'extension d'un fichier vidéo MPEG. (définition MPV).
MQ: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Martinique. (définition MQ).
MQI: Environnement de programmation développé par MQSeries. (définition MQI).
MQSERIES: Service de messagerie développé par IBM, utilise des files d?attente et permet la communication entre différentes applications. (définition MQSERIES).
MR: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Mauritanie. (définition MR).
MR: Magnéto-Résistive. Qualifie une tête de lecture d'un disque dur, conçue par IBM. Désigne aussi Modem Ready, qui signale qu'un modem est prêt. (définition MR).
MR2KM: More to Come, soit « à suivre ». (définition MR2KM).
MRAM: C'est l'acronyme de Magnetic Random Access Memory, c'est-à-dire une RAM magnétique. Elle consomme moins d'énergie qu'une RAM traditionnelle. (définition MRAM).
MRCI: Microsoft Real Time Compression Interface. Elle permet de faire fonctionner un serveur dédié au compactage - décompactage en temps réel de données. (définition MRCI).
MRJ: Macintosh Runtime for Java, un interpréteur Java pour Mac. (définition MRJ).
MRO: C'est l'acronyme de Maintenance and Repair Operation. (définition MRO).
MRP: Material Requirement Planning. Désigne un procédé de GPAO. (définition MRP).
MRT: Acronyme de Multiplexage à Répartition dans le Temps. (définition MRT).
MS: A la fin d'une URL, signale que le site est basé à Monserrat. (définition MS).
MS: C'est un raccourci pour Microsoft. C'est également l'acronyme de Most Significant, qui désigne l'octet le plus significatif, c'est-à-dire celui placé le plus à gauche. (définition MS).
MSB: Most Significant Bit. (définition MSB).
MSC: Acronyme de Message Sequence Chart, qui désigne un procédé de modélisation de fonctions. (définition MSC).
MSD: Moscow Summer Time, l'heure d'été à Moscou (UTC + 4h). (définition MSD).
MSDN: Désigne le Microsoft Developer Network, le réseau des développeurs Microsoft qui émet des données techniques. Ces informations sont payantes. (définition MSDN).
MS-DOS: Désigne une famille d'OS conçus par Microsoft. Ils se sont fait remarquer par une interface archaïque, un SGF chroniquement faible et l'absence de protection des informations. MS-DOS est encore présent sous les Windows les plus récents. (définition MS-DOS).
MSEB: Service de messagerie développé par le CFONB dans le domaine bancaire, il permet des communications sécurisées entre des banques et des trésoriers d?entreprises. (définition MSEB).
MSF: Désigne l'acronyme de Mail Summary File, qui est l'extension des fichiers renfermant un index de BAL sous Mozilla. Désigne également un Multiple Sequence File, qu'on rencontre dans certaines applications du milieu médical. (définition MSF).
MSG: C'est le raccourci de message, ou bien l'extension d'un fichier stockant un message. Un équivalent rare est MAI. (définition MSG).
MSK: Moscow Time. (définition MSK).
MSL: Acronyme de Magick Scripting Language. Désigne un langage de scripts intégré à la suite ImageMagick (logiciels de traitement d'images). (définition MSL).
MSP: Marketplace Service Provider, un fournisseur de services pour les marchés boursiers. (définition MSP).
MSS: C'est l'acronyme de Maximum Segment Size. (définition MSS).
MSX: Désigne un standard de machines produites par une réunion de Philips, Microsoft et Sony dans les années 80. L'objectif (non atteint) était de s'imposer comme le micro familial. L'évolution MSX2 n'a pas eu plus de succès. (définition MSX).
MT: A la fin d'une URL, signale que le site est basé à Malte. (définition MT).
MT: Magnetic Tape, soit bande magnétique. Egalement Machine Translation, la traduction assistée par ordinateur. (définition MT).
MTA: Mail Transfer Agent. Serveur qui permet de transférer les messages électroniques vers un autre serveur. (définition MTA).
MTBB: Acronyme de Mean Time Between Breakdowns, soit la moyenne du temps écoulés entre deux pannes. (définition MTBB).
MTBE: Mean Time Between Errors, la durée moyenne entre deux erreurs. (définition MTBE).
MTBF: Mean Time Between Failure. Taux moyen entre deux arrêts consécutifs d?une application. (définition MTBF).
MTBF: Mean Time Between Failures, la durée moyenne entre deux pannes qui inclut le temps passé à réparer. (définition MTBF).
MTC: MIDI Time Code, qui autorise la synchronisation des instruments en MIDI. (définition MTC).
MTEXEL: Mégatexel par seconde. C'est l'unité qui détermine la puissance d'un adaptateur graphique (un texel étant un pixel texturé). (définition MTEXEL).
MTF: C'est l'acronyme de More To Follow, soit « à suivre ». (définition MTF).
MTFTP: Désigne le Multicast Trivial FTP, un TFTP qui gère le multicast. (définition MTFTP).
MTM: MultiTracker Module. Désigne un fichier qui stocke un module son. Le standard est aujourd'hui dépassé. (définition MTM).
MTOWTDI: More Than One Way To Do It, soit littéralement « plus d'une façon de le faire ». C'est l'adage des programmeurs en Perl. (définition MTOWTDI).
MTRR: Acronyme de Memory Type Range Register. (définition MTRR).
MTTF: Mean Time To Failure, soit la durée moyenne entre la sortie d'usine d'un système et sa première panne. Le MTTF est une bonne indication de la fiabilité d'un système. (définition MTTF).
MTTR: Mean Time To Repair, c'est le calcul de la durée nécessaire à la réparation d'une panne. (définition MTTR).
MTU: Désigne une Magnetic Tape Unit. Désigne aussi une Maximum Transmission Unit, qui est la grandeur maximale d'une frame sur un réseau. La MTU sur Ethernet est égale à 1500 par exemple. Désigne enfin une Master Terminal Unit. (définition MTU).
MU: A la fin d'une URL, signale que le site est basé à l'île Maurice. (définition MU).
MUA: Acronyme de Mail User Agent. Désigne le programme qui fonctionne lorsqu'on lit son courrier. (définition MUA).
MUD: Multi-User Dialog / Dimension / Domain / Dungeon. Désigne un jeu de rôle multi joueur conçu par l'Université d'Essex (Angleterre), qui a l'originalité d'être seulement textuel : pas d'image, pas de son, seulement des messages textuels. Il fonctionne en temps réel, et existe en des centaines de versions différentes. (définition MUD).
MUG: Désigne un Multi User Game, un jeu vidéo qui offre la possibilité de se jouer à plusieurs, en réseau. (définition MUG).
MULE: C'est le raccourci d'eMule, le logiciel de téléchargement en P2P. (définition MULE).
MULE: Désigne l'un des ancêtres du god game, commercialisé en 83. Il s'agissait de piloter un monde, avec une orientation économique. (définition MULE).
MULOT: Désigne un équivalent de la souris. Le terme a été popularisé par Jacques Chirac en 96. (définition MULOT).
MULTI: En latin, multi signifie nombreux. (définition MULTI).
MULTIBOOT: Qualifie un système qu'on peut démarrer sur différents OS, ce qui peut être utile pour débugger. (définition MULTIBOOT).
MULTICAST: Désigne le fait d'émettre un message vers plusieurs destinataires simultanément. L'équivalent français est multidiffusion. (définition MULTICAST).
MULTICHIP: C'est l'équivalent anglais de multiprocesseur. Désigne également un processeur qui est composé de différents circuits intégrés dans un même conditionnement. (définition MULTICHIP).
MULTICOMBINE: Qualifie un téléphone sans fil qui peut admettre différents combinés simultanément. (définition MULTICOMBINE).
MULTICORE: Qualifie un chip composé de plusieurs noyaux. (définition MULTICORE).
MULTICS: Désigne un MULTIplexed Information and Computing System. Il s'agit d'un OS archaïque des années 60. Conçu par General Electric, le MIT et Bell Labs, il est un des pères d'Unix. (définition MULTICS).
MULTIDIFFUSION: C'est l'équivalent français de Multicast. (définition MULTIDIFFUSION).
MULTIDIMENSIONNALITE: Désigne le caractère multidimensionnel d'un graphique. (définition MULTIDIMENSIONNALITE).
MULTIDIMENSIONNEL: Caractérise une multidimensionnalité. (définition MULTIDIMENSIONNEL).
MULTIDOCUMENT: Désigne un élement gérant plusieurs documents simultanément. (définition MULTIDOCUMENT).
MULTIFENêTRAGE: Désigne la possibilité qu'a une interface d'offrir plusieurs fenêtres. C'est la norme aujourd'hui. (définition MULTIFENêTRAGE).
MULTIFEUILLE: Qualifie un tableur gérant plusieurs feuilles de calculs sur un fichier unique. Là encore, c'est la norme des tableurs d'aujourd'hui. (définition MULTIFEUILLE).
MULTIFREQUENCE: Qualifie un moniteur prenant en charge différentes fréquences d'affichage. C'est aussi une capacité normale des moniteurs contemporains. (définition MULTIFREQUENCE).
MULTIMAîTRE: Désigne un management de ressources, qui est ouvert à tous les usagers. (définition MULTIMAîTRE).
MULTIMEDIA: Désgine des applications qui peuvent manipuler plusieurs médias en même temps : musique, vidéo, son, image? (définition MULTIMEDIA).
MULTIMEDIA: Désigne le fait de gérer en même temps du son, de l'image et des données. Qualifie une machine qui prend en compte des animations et des données sonores, du plus petit micro à la machine professionnelle. Le terme est donc très large dans sa portée. Multimédia désigne donc d'une part l'équipement et les procédés de management sonores, visuels etc?, et d'autre part la caractéristique d'une machine composée de ces éléments. (définition MULTIMEDIA).
MULTIMERDIA: Désigne le multimédia lorsqu'il est mal conçu. (définition MULTIMERDIA).
MULTIMODAL: Qualifie un élément utilisable de différentes façons. Une interface multimodale, par exemple, prend en charge un clavier ou une voix. (définition MULTIMODAL ).
MULTIMODE: Qualifie certaines fibres optiques. (définition MULTIMODE).
MULTINIVEAU: Qualifie un logiciel qui fonctionne en même temps sur différents serveurs et sur un client. (définition MULTINIVEAU).
MULTIPLAN: Désigne un tableur conçu par Microsoft au début de années 80. Il a été remplacé par Excel. (définition MULTIPLAN).
MULTIPLATE-FORME: Qualifie une application qui a été développée pour et qui peut tourner sur différentes plate-formes. (définition MULTIPLATE-FORME).
MULTIPLEX: Liaison qui utilise le multiplexage. (définition MULTIPLEX).
MULTIPLEXAGE: Procédé permettant d?utiliser une seule voie de communication pour plusieurs liaisons. (définition MULTIPLEXAGE).
MULTIPROCESSEUR: Qualifie une machine articulée autour de plusieurs puces principales. (définition MULTIPROCESSEUR).
MULTIPROCESSING: Désigne le type de traitement effectué par un ordinateur multiprocesseur. Désigne également le fait d'effectuer une procédure complexe avec plusieurs puces de la machine simultanément. (définition MULTIPROCESSING).
MULTIPROGRAMMATION: C'est l'ancêtre du multitâche : on peut lancer une application alors qu'une autre apllication est en attente. (définition MULTIPROGRAMMATION).
MULTIPROGRAMME: Désigne un système capable d'une multiprogrammation. Le terme est aujourd'hui peu fréquent puisque le multitâche est la norme sur les systèmes contemporains. (définition MULTIPROGRAMME).
MULTIPROGRAMMER: Désigne le fait de programmer en vue d'un usage en multiprogrammation. (définition MULTIPROGRAMMER).
MULTISESSION: Qualifie un CD sur lequel on peut opérer plusieurs sessions d'enregistrement. C'est le cas des Photo CD de Kodak, par exemple. (définition MULTISESSION).
MULTISYNC: Qualifie un moniteur qui peut fonctionner sous plusieurs fréquences, celles-ci étant cependant en nombre déterminé. . (définition MULTISYNC).
MULTITâCHE: Qualifie un OS qui peut utiliser plusieurs logiciels simultanément. C'est le cas d'Unix, ou de l'Amiga DOS, mais pas celui de MS-DOS. (définition MULTITâCHE).
MULTITHREAD: C'est la possibilité d'effectuer plusieurs opérations avec un seul programme (un thread est un processus court et simple). C'est une alternative facile au multitâche. (définition MULTITHREAD).
MULTI-THREADING: C'est un synonyme de multithreading. (définition MULTI-THREADING).
MULTITHREADING: Désigne le fait de faire fonctionner la possibilité de multithread. (définition MULTITHREADING).
MULTITRAITEMENT: C'est l'équivalent français de multiprocessing, c'est-à-dire la possibilité d'opérer différentes tâches sur différents processeurs. (définition MULTITRAITEMENT).
MULTIUTILISATEUR: Qualifie un système qui accepte plusieurs usagers. Simultanément. (définition MULTIUTILISATEUR).
MULTIZONE: C'est la caractéristique d'un lecteur de DVD qui peut lire des DVD de plusieurs zones. Cette caractéristique est normalement interdite par les constructeurs. (définition MULTIZONE).
MUMPS: C'est l'acronyme de Massachusetts General Hospital Utility Multiprogramming System, qui est un langage de la fin des années 60. Il est devenu une norme ANSI en 77. (définition MUMPS).
MURPHY: Edward Murphy était ingénieur à l'US Air Force quand il a énoncé la fameuse loi qui veut que le pire soit certain. Il y a différentes façons d'exprimer cette loi, l'une d'entre elles est « si faire une certaine chose peut conduire à la catastrophe, on peut être sûr que quelqu'un fera cette chose». (définition MURPHY).
MUSCLE: Qualifie un système ou une machine exceptionnellement performants, ce qui ne dure jamais longtemps en informatique. (définition MUSCLE).
MUSE: C'est l'acronyme de Multi-User Simulation Environment. Désigne un type de jeu de rôle basé sur l'idée des MUDs et qui accepte le multi-joueur. MUSEcode est le langage utilisé dans ces jeux. C'est également l'acronyme de Metrics Used in Software Engineering, un projet ESPRIT. (définition MUSE).
MUSH: Mushes désigne le Mail User Shell. (définition MUSH).
MUTABLE: Qualifie en programmation un mot-clé qui confère un caractère variable à un objet normalement constant. (définition MUTABLE).
MUTANT: Désigne une légère variante d'une application. On trouve aussi virus mutant, qui est soit une évolution d'un virus précédent, soit un virus auquel on a donné la capacité de se transformer. (définition MUTANT).
MUTEX: C'est une famille de macros TeX conçues par A. Schofer et A. Steinbach. Ces macros sont particulièrement employés pour la mise en page de partitions de musique. (définition MUTEX).
MUX: Abréviation de multiplexeur. (définition MUX).
MUZAK: C'est un équivalent de musique. (définition MUZAK).
MV: A la fin d'une URL, signale que le site est basé aux Maldives. (définition MV).
MV: Désigne un raccourci de mémoire virtuelle. (définition MV).
MVA: C'est l'acronyme de Multi domain Vertical Alignement, qui est un procédé LCD conçu par la firme Fujitsu. Le MVA bénéficie d'un temps de réponse diminué et d'une luminosité plus importante. (définition MVA).
MVNO: C'est l'acronyme de Mobile Virtual Network Operator, soit « Opérateur de Réseau Virtuel pour Mobiles ». (définition MVNO).
MVS: Acronyme de Multiple Virtual Storage. Désigne un OS d'IBM, spécialement développé pour la prise en charge des mainframes. Il est le plus utilisé de cette classe d'OS. (définition MVS).
MW: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Malawi. (définition MW).
MWM: Acronyme de Motif Window Manager, soit un manager de fenêtres de motifs inclut dans la version payante de l'OSF. (définition MWM).
MX RECORD: Mail eXchange Record, qui désigne un stockage dans la banque de données d'un DNS. Cet enregistrement permet aux applications d'envois de mail de reconnaître les ordinateurs en direction desquels le routage de messages est possible. (définition MX RECORD).
MX: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Mexique. (définition MX).
MXS: C'est un raccourci pour MacOS X. (définition MXS).
MY: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Malaisie. (définition MY).
MYD: Désigne l'extension d'un fichier qui renferme un tableau au format MySQL. (définition MYD).
MYERS: C'est le nom d'une loi qui veut qu'on perde 50% de son temps à refaire des choses qu'on n'a pas bien faites la première fois. (définition MYERS).
MYGALE: Désigne un important (20 % de l'internet français) site français d'hébergement de sites de particuliers créé en 96. Il a dans un premier temps été fermé par l'administration avant d'être récupéré par Havas On Line, puis d'être abandonné en 98. Mygale est alors devenu multimania. (définition MYGALE).
MYGALIEN: Désigne celui qui était accueilli par Mygale. (définition MYGALIEN).
MYGALOU: Désigne un mygalien du sud de la France. (définition MYGALOU).
MYI: Désigne l'extension d'un fichier d'index au standard MySQL. (définition MYI).
MYSQL: SGBD (Système de Gestion de Base de Données) multi plateforme. (définition MYSQL).
MYSTIFICATION: Technique qui permet de cacher l?auteur réel d?une action. (définition MYSTIFICATION).
N: ZA la fin d'une URL, signale que le site est basé en Nouvelle-Zélande. (définition N).
N½UD D'INTERCONNEXION: Désigne l'endroit d'un méta-réseau ou les réseaux secondaires sont en rapport les uns aux autres. (définition N½UD D'INTERCONNEXION).
N½UD: Désigne le croisement des éléments d'un arbre ou un carrefour de connexions dans un réseau. (définition N½UD).
N64: C'est un raccourci pour Nintendo 64, une console de jeu. (définition N64).
NA: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Namibie. (définition NA).
NA: C'est l'acronyme de Network Adaptor, un adaptateur réseau comme une carte Ethernet. Désigne également l'expression Not Available, c'est-à-dire non disponible. (définition NA).
NA: ZDésigne un pirate peu doué et souvent méprisé. Un synonyme est wannbee. (définition NA).
NAG: C'est l'acronyme de Network Architecture Group. (définition NAG).
NAGWARE: Désigne une famille d'applications qu'on peut obtenir gratuitement, mais qu'il faut payer pour éviter de constants rappels, sous la forme de fenêtres, les nags. (définition NAGWARE).
NAïF: Qualifie celui qui n'est pas informé du caractère pervers de certaines applications ou bien celui qui préfère se fier à l'intuition. (définition NAïF).
NAK: Not AcKnowledged ou alors Negative AcKnowledgment. Désigne le signale émis par un outil de communication lorsque les informations reçues sont incomplètes (définition NAK).
NAN: C'est un acronyme de Not a Number, le code d'une erreur qui survient lorsque la séquence d'octets ne compose pas un nombre. L'équivalent français est l'acronyme NoNo. (définition NAN).
NANARD: C'est un synonyme affectueux de tacot, c'est-à-dire un vieil ordinateur un peu dépassé. (définition NANARD).
NAND: C'est un raccourci de Not And, qui désigne une porte logique à sortie nulle dans le cas où les deux entrées vaudraient 1. En français, on aura « porte non-et ». (définition NAND).
NANO: Signifie le milliardième d'un élément, soit une multiplication par 10 -9. (définition NANO).
NANOBUCK: Désigne une infime somme d'argent. C'est le prix de la consultation d'une page dans certains sites web. Le problème est que le passage par une banque pour régler ce nanobuck coûte infiniment plus. (définition NANOBUCK).
NANOG: C'est l'acronyme de North American Network Operators'Group, soit l'Association des opérateurs de réseaux en Amérique du nord. (définition NANOG).
NANOSECONDE: Le milliardième d'une seconde, soit l'unité de mesure fréquente lorsqu'on parle des opérations d'une puce. On trouve l'abréviation ns. (définition NANOSECONDE).
NAP: Acronyme de Network Access Point, c'est-à-dire un point d'accès au réseau. (définition NAP).
NAPLPS: La North American Presentation-Level-Protocol Syntax. Il s'agit d'un standard pour l'envoi de visuels et textes sous ASCII. Employé par le Vidéotex, ce format est développé pour le bas débit. (définition NAPLPS).
NAPPE: Désigne un câble qui est composé de plusieurs fils en parallèle. Désigne également un instrument de musique virtuelle qui fonctionne par la modulation d'une note unique. (définition NAPPE).
NAPSTER: Désigne une application de P2P pour les fichiers MP3. L'application est devenue une firme commerciale puis est tombée à cause de différents procès perdus. (définition NAPSTER).
NARROWCAST: Production d?émissions diffusées sur Internet. (définition NARROWCAST).
NAS: Network Attached Storage. Désigne un procédé d'archivage sur un réseau, ou bien un serveur dédié au stockage. (définition NAS).
NASI: C'est l'acronyme de Netware Asynchronous Service Interface. Désigne une interface de Novell utilisée pour la connexion à des modems sur un serveur. Fondé sur le dispositif NCSI, il emploie des procédés plus évolués que l'interruption 14 (la simple activation d'un port série). NASI désigne aussi la National Association of Systems Integrators : une association créée en 91 qui regroupe 10000 membres et qui est active dans le domaine de l'échange d'informations en produits et services. (définition NASI).
NASODIGITAL: Littéralement « les doigts dans le nez » (définition NASODIGITAL).
NAT: Acronyme de Network Address Translation, qui est un procédé de conversion d'IP non routables en IP routable. On peut alors connecter plusieurs ordinateurs avec peu d'adresses. NAT est également l'acronyme de Non Atomic Term. (définition NAT).
NATIF: Un code natif est un code qui utile des instructions spécifiques à un processeur particulier, par opposition à l?émulation. (définition NATIF).
NATPR: Naming Authority Pointer Records. (définition NATPR).
NATSTAR: Désigne un AGL composé d'un Graphical Builder (pour IHM), un Information Modeling (pour objet et SGBDR) et un Process Modeling (pour les processus). (définition NATSTAR).
NAU: Dans l?architecture SNA de IBM, entité pouvant être adressée. (définition NAU).
NAUTILUS: Désigne un manager graphique pour Gnome. (définition NAUTILUS).
NAV: Désigne l'extension d'un fichier de sauvegarde de Norton Antivirus. (définition NAV).
NAVIGATEUR OFF LINE: Navigateur particulier qui télécharge les pages Web en amont afin d?obtenir un affichage plus rapide. (définition NAVIGATEUR OFF LINE).
NAVIGATEUR: Logiciel permettant d?afficher des Pages Web. (définition NAVIGATEUR).
NAVIGATION: Désigne le fait de circuler dans un système, sur l'internet, dans une banque de données. (définition NAVIGATION).
NAVIGATIONNEL: Qualifie un système autorisant la navigation. (définition NAVIGATIONNEL).
NAVIGATOR: C'est le nom du logiciel qui a fait de l'internet ce qu'il est aujourd'hui. Lancé en 95, Navigator a longtemps tenu la première place du classement des navigateurs. (définition NAVIGATOR).
NAVIGUER: Circuler à travers des données, en suivant des liens. (définition NAVIGUER).
NAXOR: Désigne une évolution péjorative de hacker. (définition NAXOR).
NAZIFIER: C'est le fait d'utiliser de façon incorrecte des machines ou des systèmes, ce qui a pour effet de les rendre « naze ». (définition NAZIFIER).
NBNS: C'est l'acronyme de NetBios Name Server, c'est-à-dire l'appellation du WINS. (définition NBNS).
NBS: Ancienne organisation de normalisation aux Etats-Unis, remplacée aujourd?hui par le NIST, National Institute of Standards and Technology, affiliée à l?ISO. (définition NBS).
NC: A la fin d'une URL, signale que le site est basée en Nouvelle-Calédonie. (définition NC).
NC: Network Computer. Désigne une machine développée pour une utilisation exclusive en réseau. Une telle machine n'a donc pas de disque dur, et est apparenté à un client léger. Le groupe Sun a produit des NCs, afin de concurrencer l'alliance Windows-Intel. NC est également l'acronyme de Numerical Control, soit une commande numérique. (définition NC).
NCCS: C'est l'acronyme de National Computer Crime Squad. (définition NCCS).
NCF: Acronyme de Netware Command File, c'est-à-dire un fichier de commande Netware. (définition NCF).
NCI: C'est l'acronyme de Native Call Interface (définition NCI).
NCITS: C'est le National Committee for Information Technology Standard, un comité de standardisation américain. (définition NCITS).
NCP: Un acronyme de Network Control Protocol. Désigne un dispositif antérieur à TCP / IP. (définition NCP).
NCR: Acronyme de No Carbon Required. Désigne un type de papier à impression automatique. NCR désigne aussi le National Cash Register, qui est un fabricant américains de machines, avalé par AT& (définition NCR).
NCS: Network Computing System. Système qui permet d?utiliser différentes ressources présentes dans un réseau pour effectuer des tâches de calculs. (définition NCS).
NCSA: National Center for Supercomputing Applications. C'est le concepteur de Mosaïc et d'autres applications du domaine public. NCSA désignait aussi la National Computer Security Association avant qu'elle ne devienne la ICSA. (définition NCSA).
NCSI: C'est l'acronyme de Network Communications Services Interface, un dispositif de prise en charge réseau par port série. Un logiciel NCSI n'a pas de rapport direct avec le port COM, et peut donc émettre les données vers un serveur de communications. (définition NCSI).
ND: Neighbourhood Discovery, soit « la découverte du voisinage », un procédé de détection sur un réseau via broadcasts. (définition ND).
NDIS: Acronyme de Network Device Interface Specification. (définition NDIS).
NDRO: C'est l'acronyme de Non Destructive Read Out, c'est-à-dire une lecture de mémoire qui ne détruit aucune donnée. (définition NDRO).
NDS: Network Display Station. Désigne un terminal, souvent le terminal X. C'est aussi le Netware Directory Service, un annuaire de Netware. (définition NDS).
NDX: Désigne un fichier index. (définition NDX).
NE: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Niger. (définition NE).
NE: C'est l'acronyme de Non Entrelacé. Qualifie un affichage dans lequel toutes les lignes sont rafraîchies. C'est un procédé qui évite que l'écran ne scintille. (définition NE).
NE2000: C'est une norme de carte Ethernet, éditée par Novell. Il en existe des milliers de copies. (définition NE2000).
NEAR: Qualifie un pointeur qui agit dans la zone de mémoire courante. Le contraire en est far. (définition NEAR).
NEC: Désigne la Nippon Electronic Corporation, qui est active dans les CI et les superordinateurs. (définition NEC).
NEGATIF: Images dont les couleurs sont inversées par rapport à l?image d?origine. (définition NEGATIF).
NEGOCIATION: Désigne tous les rapports nécessaires à la mise en ½uvre d'une communication. (définition NEGOCIATION).
NEMATIQUE: Désigne un type fréquent de cristaux liquides (définition NEMATIQUE).
NEO: Désigne un fichier qui renferme un graphique au standard Neochrome (Atari ST), donc en 320 x 200 et 16 couleurs. C'est aussi un environnement de conception client-serveur de Sun, pris en charge par Openstep, COM / OLE et Corba. (définition NEO).
NEO-LUDDISME: Désigne un courant qui souhaite revenir à plus de nature, en lieu et place des technologies contemporaines qui sont considérées comme dangereuse. L'inspiration du courant est N. Ludd qui avait instigué un mouvement comparable à la fin du XIXe siècle. (définition NEO-LUDDISME).
NERD: Désigne celui qui occupe le plus clair de son temps devant son écran. Un synonyme est geek. Nerd est péjoratif. (définition NERD).
NERDISME: Désigne la conduite du nerd. (définition NERDISME).
NES: C'est l'appellation de la console de Nintendo, le Nintendo Entertainement System. Lui ont succédé la SNES et la N64. (définition NES).
NESSUS: Désigne un scanner de contrôle de la sécurité d'un groupe d'ordinateurs. C'est un projet libre. (définition NESSUS).
NET D @ YS: Désigne le projet de développement de l'internet par des journées d'informations en Europe, en 97. Aux Etats-Unis, le premier netday ou net d @ y s'est tenu en octobre 96. On trouve aussi netdays. (définition NET D @ YS).
NET HEAVIES: Désigne les sites d'institutions aux Etats-Unis, qui bénéficient d'une importante influence. Net heavies signifie « les lourds de l'internet ». (définition NET HEAVIES).
NET: Abréviation d?Internet. (définition NET).
NETB: C'est un raccourci de NetBSD. (définition NETB).
NETBEUI: Désigne la NETwork Basic Input-Output System Extended User Interface. C'est un dispositif réseau de NetBIOS employé par les petits LAN. Très facile d'emploi, on ne peut cependant pas s'en servir sur un réseau important. (définition NETBEUI).
NETBIOS: Interface qui permet d?établir des sessions entre différents ordinateurs d?un réseau. (définition NETBIOS).
NETBIOS: NETwork Basic Input-Output System. Désigne un BIOS associé aux réseaux IBM dans les années 80. (définition NETBIOS).
NETBLT: Network BLock Transfer. Il a été conçu par le MIT. (définition NETBLT).
NETBSD: Désigne une variante libre d'Unix prise en charge par différentes plate-formes : Atari, DECstation, PC, Mac etc?Développée à partir de la version 4.4 lite de BSD et de 386 BSD. (définition NETBSD).
NETCAM: C'est un synonyme rare de webcam. (définition NETCAM).
NETCDF: Acronyme de Network Common Data Format, qui est un type de fichiers d'archivage d'informations scientifiques. (définition NETCDF).
NETECONOMIE: C'est l'appellation donnée, aux début des années 90, à l'économie spécialisée dans l'internet. La netéconomie est morte une dizaine d'années plus tard. (définition NETECONOMIE).
NET-ETHIQUE: Désigne l'ensemble des règles de conduites sur l'internet. (définition NET-ETHIQUE).
NETETIQUETTE: C'est un synonyme rare de netiquette. (définition NETETIQUETTE).
NETHACK: C'est le nom d'un jeu vidéo freeware semblable à Rogue. (définition NETHACK).
NETIQUETTE: Contraction de Net et Etiquette. Regroupe un ensemble de règles non officielles de bonne conduite sur Internet. (définition NETIQUETTE).
NETIZEN: Désigne un citoyen du net. (définition NETIZEN).
NETLAG: Construit sur le modèle de « jetlag », netlag renvoie aux différences d'horaires sur l'internet. Celles-ci surviennent soit du simple phénomène des fuseaux horaires, soit à cause d'une congestion du réseau, par laquelle toutes les communications sont ralenties. On trouve parfois net-lag. (définition NETLAG).
NETNEWS: C'est un synonyme quelque peu archaïque de l'Usenet, notamment des logiciels grâce auxquels l'Usenet existe. (définition NETNEWS).
NETPC: Désigne une machine de Microsoft, conçue pour concurrencer le NC. C'est un PC léger qui n'a jamais rencontré de succès commercial. (définition NETPC).
NETRUNNER: Désigne celui qui occupe tout son temps sur l'internet. Littéralement, c'est un coureur d'internet. (définition NETRUNNER).
NETSCAPE: C'est le nom d'une firme conceptrice d'un navigateur basé sur l'hypertexte, Navigator. L'entreprise a connu un succès fulgurant puisqu'après un an d'existence, elle valait plus de 2,5 milliards de dollars en bourse. AOL Time Warner a racheté Netscape, puis l'a laissée mourir. (définition NETSCAPE).
NETSPEAK: Désigne le langage des réseaux, de l'internet notamment. (définition NETSPEAK).
NETSTATION: Désigne un client lourd qui doit télécharger son OS auprès du réseau à chaque mis en service. (définition NETSTATION).
NETSURF: C'est un synonyme de netsurfing. (définition NETSURF).
NETSURFER: Désigne celui qui surfe sur le net. On dira netsurfeur en français. (définition NETSURFER).
NETSURFING: Désigne l'activité du netsurfer. (définition NETSURFING).
NETTEUX: Désigne un habitué de l'internet. Le terme se distingue de nerd : un netteux est plus raisonnalbe dans son utilisation de réseau. (définition NETTEUX).
NETTOYER: S'il s'agit d'un disque, nettoyer signifie inspecter ce disque à la recherche de fichiers sans objet afin de les supprimer, ou de fichiers mal placés afin de les remettre à la bonne place. (définition NETTOYER).
NETWARE: C'est un OS de réseau conçu par Novell, fréquemment employé sur les LAN de PC. Il a d'abord fonctionné avec les IPX et SPX, puis en full-IP. (définition NETWARE).
NETWARE: Système d?exploitation de réseau, développé par Novell. (définition NETWARE).
NETWORK: C'est l'équivalent anglais de réseau. (définition NETWORK ).
NETWORK SOLUTIONS: Désigne une compagnie de management de TLD via la banque de données Whois, qui remplace l'Internic. (définition NETWORK SOLUTIONS).
NEUNEU TECHNOLOGIE: C'est un surnom de Windows NT. (définition NEUNEU TECHNOLOGIE).
NEUNEU: Désigne celui qui est attiré par la multiplication des animations en couleurs sur l'internet, et qui essaie à son tour de produire de telles animations. (définition NEUNEU).
NEUROMANCER: Dans le livre de Gibson, c'est le nom original du personnage. Le français dit neuromancien. (définition NEUROMANCER).
NEUROMANCIEN: C'est le titre du livre de W. Gibson, bible du courant cyberpunk. Un neuromancien est un sorcier (mancien) s'activant autour du système nerveux (neuro). (définition NEUROMANCIEN).
NEUROMIMETIQUE: Désigne un synonyme rare de neuronal. (définition NEUROMIMETIQUE).
NEURONAL: Qualifie un système dont le fonctionnement adopte pour modèle la marche d'un cerveau. C'est un type d'intelligence artificielle, donc. Un équivalent est réseau de neurones. (définition NEURONAL).
NEURONE: Dans un cerveau, un neurone analyse des signaux électriques. (définition NEURONE).
NEUROPUCE: Désigne une puce qui renferme un système neuronal. (définition NEUROPUCE).
NEUTRINO: Désigne un RTOS équipé d'un micronoyau, conçu par QNX. (définition NEUTRINO).
NEWBIE: C'est un raccourci de « new in business », c'est-à-dire un nouveau dans les affaires. Un newbie multiplie les erreurs et les questions idiotes. Un équivalent est newcomer. (définition NEWBIE).
NEWFIE: Désigne un habitant du « New Found Land », c'est-à-dire Terre-Neuve. Il est aux Canadiens ce que le Belge est aux Français. (définition NEWFIE).
NEWLINE: Désigne un signe ASCII 10. Il commande un passage à la ligne suivante, mais pas un retour à la ligne. On dit aussi LF. (définition NEWLINE).
NEWS: Désigne l'ensemble des contributions postées sur l'Usenet, ou, plus généralement, l'ensemble des informations nouvelles qui descendent, sur un réseau, du serveur aux utilisateurs. (définition NEWS).
NEWSADMIN: Désigne celui qui gère un newsgroup. Un synonyme est alors modérateur. Désigne également celui qui administre la diffusion des news sur un site. (définition NEWSADMIN).
NEWSBONE: Désigne un réseau spécialement conçu pour l'envoi et la réception de News. (définition NEWSBONE).
NEWSER: Désigne le fait de consulter des news. Désigne aussi l'application utilisée pour lire. (définition NEWSER).
NEWSGOD: C'est un synonyme quelque peu péjoratif de newsadmin. (définition NEWSGOD).
NEWSGROUP (NOMS ABREGES): Les noms des newsgroup sont souvent longs, d'où la nécessité de les abréger en réalisant des acronymes : fcola renvoie à fr.comp.os.linux.annonces (le groupe français des annonces liées à l'OS Linux), scf renvoie à soc.culture.french (le groupe des discussions sociales et culturelles françaises. (définition NEWSGROUP (NOMS ABREGES)).
NEWSGROUP: Désigne un groupe de contributions articulées autour d'un sujet, sur l'Usenet. Les noms débutent souvent par : sci - scientific, soc - social, rec - recreative etc?On a alors des groupes comme alt.amazon-women.admirers. (définition NEWSGROUP).
NEWSGROUPS: Groupes de discussion sur un thème donnée où des utilisateurs peuvent échanger des informations. (définition NEWSGROUPS).
NEWSLETTER: Lettre d?information envoyée régulièrement par e-mail aux abonnés. (définition NEWSLETTER).
NEWSRC: Désigne les News Run Commands. C'est le fichier Unix qui garde les paramètres d'utilisation des news. (définition NEWSRC).
NEWSREADER: Désigne l'application employée pour consulter des news. C'est aussi un PDA mis au point par Apple, sans succès. (définition NEWSREADER).
NEWTON, ISAAC: Le fameux physicien est l'inspirateur du tout premier emblème d'Apple, un homme sous un arbre. Apple ne conservera finalement que la pomme. C'est aussi l'inspirateur d'un PDA, le Newton, toujours d'Apple. (définition NEWTON, ISAAC).
NEXT: C'est l'appellation d'une machine de S. Jobs (mais pas d'Apple) qui fut un fiasco commercial. La machine était destinée aux étudiants et renfermait l'½uvre complète de Shakespeare ainsi que des dictionnaires. (définition NEXT).
NEXT: C'est le mot-clé sur lequel s'achève un bloc de boucle for sous certains langages comme le BASIC. (définition NEXT).
NEXTSTEP: C'est l'appellation de l'OS implanté dans les machines NeXT, plus largement distribué après l'échec des NeXTs. L'OS est articulé autour de Display PostScript level 2 pour le visuel. (définition NEXTSTEP).
NF: A la fin d'une URL, signale que le site est basé dans l'île de Norfolk. (définition NF).
NFO: Désigne un fichier qui renferme des iNFOrmations. (définition NFO).
NFS: Network File System. Protocole qui permet l?accès à des fichiers présents sur les ordinateurs d?un réseau exactement comme s?ils étaient sur votre disque dur. (définition NFS).
NFT: Acronyme de Network File Transfer, soit un transfert de fichier par réseau. (définition NFT).
NFU: C'est l'acronyme de Not Frequently Used, qui est un algorithme de substitution de page dans une mémoire paginée. L'algorithme supprime la page qui est la moins fréquemment consultée. (définition NFU).
NG: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Nigéria. (définition NG).
NG: C'est un raccourci de Newsgroup, ou de New Generation. (définition NG).
NGI: Désigne le Next Generation Internet : plus grande vitesse, vidéo partout. (définition NGI).
NGLAYOUT: C'est un raccourci pour New Generation Layout qui est un moteur visuel web. Il est mis au point en association avec Mozilla. (définition NGLAYOUT).
NGN: Next Generation Network. (définition NGN).
NGPT: Acronyme de Next Generation POSIX Thread. (définition NGPT).
NGSCB: C'est l'acronyme de Next Generation Secure Computing Base, qui est un équivalent de Palladium. (définition NGSCB).
NHF: Newbieized Help File. Désigne un « fichier d'aide newbiisé », c'est-à-dire une documentation à l'usage des nouveaux. (définition NHF).
NHOH: Never Heard Of Him (ou Her) : jamais entendu parler de lui (ou d'elle). (définition NHOH).
NI: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Nicaragua. C'est aussi le cri de certains chevaliers dans le « Holy Graal » des Monthy Pythons. (définition NI).
NIBBLE: Désigne un ensemble de 4 bits, c'est-à-dire un demi octet, qui représentent la partie de poids faible ou de poids fort. (définition NIBBLE).
NIC: Acronyme de Network Information Center, un centre d'information sur les réseaux. Désigne aussi une Network Interface Card, l'équivalent anglais d'adaptateur réseau. (définition NIC).
NICAM: Désigne un objet sonore d'une qualité presque équivalente à un CD, et utilisé à la télévision. (définition NICAM).
NICD: C'est un raccourci de Nickel-Cadmium, qui compose les batteries de portables. (définition NICD).
NICE: Signifie agréable (pour une personne) en anglais. Désigne une instruction qui réduit le degré de priorité d'un processus, pour être « agréable » avec les autres usagers. (définition NICE).
NICKNAME: Signifie un surnom, en anglais. (définition NICKNAME).
NIDS: Acronyme de Network Intrusion Detection System. (définition NIDS).
NIGERIAN SCAM: Désigne une pratique de spammeur : on reçoit un e-mail expliquant qu'une grosse quantité d'argent est à l'abri dans une banque d'un pays d'Afrique, et que seule une petite somme est nécessaire pour débloquer ces fonds, en échange d'un large pourcentage sur l'argent en banque. On vous demande alors d'apporter cette somme, et vous vous faites dépouillé dès votre arrivée dans le pays. (définition NIGERIAN SCAM).
NIHS: C'est l'acronyme de Not Ivented Here Syndroma, soit « le syndrome du pas inventé ici ». Désigne la répulsion éprouvée par celui qui se trouve en face d'un objet qu'il n'a pas produit lui-même. Fréquent chez les programmeurs. (définition NIHS).
NIL: Qualifie, en LISP ou Pascal, un paramètre variable invalide, par exemple un pointeur nil. En C, l'équivalent est null. (définition NIL).
NILADIQUE: Qualifie une fonction comme la fonction pi(), où la valeur retour est indépendante de tout paramètre. (définition NILADIQUE).
NIMH: Désigne les Nickel-Metal Hydrures, qui sont employés dans certaines batteries de portables. (définition NIMH).
NIMQ: Acronyme de Not In My Queue, soit « pas dans ma file d'attente ». On l'utilise pour signifier qu'une chose n'entre pas dans les priorités de l'instant. (définition NIMQ).
NINTENDO 64: Désigne une console de jeu de Nintendo. Elle est équipée de trois puces et bénéficie de 4,5 Mo de RAM. (définition NINTENDO 64).
NINTENDO: Désigne un fabricant japonais de consoles de jeu comme la NES ou la N64. Nintendo veut dire « laissez la chance au ciel », ce qui leur réussit puisque le chiffre d'affaire de la firme dépasse celui de la réunion de tous les producteurs de films d'Hollywood. (définition NINTENDO).
NIP: Acronyme de Numéro Identifiant Personnel, c'est-à-dire l'équivalent français du PIN. (définition NIP).
NIQAO: N'Importe Quoi Assisté par Ordinateur. Désigne le fait que toute activité est désormais assistée par ordinateur, dès l'instant qu'il faut opérer sur des informations. (définition NIQAO).
NIR: Désigne le Numéro Identifiant au Répertoire, comme le numéro de sécurité sociale. (définition NIR).
NIS: Acronyme de Network Information Service, le service par lequel on peut obtenir des adresses IP, Ethernet etc?On parle aussi de Yellow Pages. (définition NIS).
NIST: Acronyme de National Institute of Standards and Technology. Désigne un Institut de l'administration américaine qui détermine les standards employés par cette même administration. L'ancien nom est NBS, National Bureau of Standards. (définition NIST).
NIST: Organisme américain en charge de la normalisation, membre de l?ISO. (définition NIST).
NITEL: C'est un surnom du Minitel. (définition NITEL).
NIVEAUX DE GRIS: Désigne le dégradé qui code un visuel en noir et blanc, en 16 ou 256 nuances. (définition NIVEAUX DE GRIS).
NL: A la fin d'une URL, signale que le site est basé aux Pays-Bas. (définition NL).
NL: C'est l'acronyme de New Line, une instruction de saut à la ligne suivante sans retour à la ligne. (définition NL).
NLA: Next Level Aggregation. (définition NLA).
NLM: Netware Loadable Module. C'est un procédé similaire aux DLL, mais sous le NOS Netware. C'est également une extension de fichier. (définition NLM).
NLP: Acronyme de Natural Language Processing, soit traitement en langage naturel. C'est également un acronyme de Neuro-Linguistic Programming. (définition NLP).
NLSP: C'est l'acronyme de Network Layer Security Protocol. (définition NLSP).
NMI: Acronyme de Non Maskable Interrupt. (définition NMI).
NMOS: Negative Metal Oxide Semi-conductor, qui désigne une classe de processeurs. (définition NMOS).
NMS: Acronyme de Network Management Station, c'est-à-dire une machine de management d'un réseau. (définition NMS).
NN: Neural Network. Egalement Net News, une application de management de news. Enfin, NN est l'acronyme de Netscape Navigator. (définition NN).
NNI: Acronyme de Network Node Interface, soit une « interface de n½ud de réseau ». (définition NNI).
NNTP: C'est l'acronyme de Network News Transfer Protocol, qui est normé par l'ISOC dans la RFC 977. (définition NNTP).
NNTP: Protocole pour l?accès aux forums et aux newsgroups. (définition NNTP).
NO: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Norvège. (définition NO).
NOBODY: Désigne l'usager qui n'est pas identifié sous NFS. (définition NOBODY).
NOC: Network Operation Center. (définition NOC).
NOIR AU BLANC: Inversion des couleurs d?un texte ou d?une image. (définition NOIR AU BLANC).
NOM DE CODE: Désigne l'appellation de développement d'un élément, avant sa commercialisation sous son nom définitif. Pendant son développement, Windows 95 était désigné par le nom de code Cairo. (définition NOM DE CODE).
NOM DE CONNEXION: C'est l'équivalent français de login. (définition NOM DE CONNEXION).
NOM DE DOMAINE: Nom donné à un serveur ou à un groupe d?ordinateur sur Internet, afin de le localiser géographiquement pour le transfert des données. On accède à un site web grâce à son nom de domaine suivi de 2 ou 3 lettres comme .com, .net ou .fr par exemple. (définition NOM DE DOMAINE).
NOM D'HôTE: Désigne l'appellation d'une machine lorsqu'elle est liée à l'internet. (définition NOM D'HôTE).
NOM D'UTILISATEUR: C'est un autre équivalent du login. (définition NOM D'UTILISATEUR).
NOM LONG: Désigne un nom de fichier dont le nombre de caractère est supérieur au standard windows de 8 : 3. (définition NOM LONG).
NOM RESEAU: C'est un synonyme de nom d'hôte. (définition NOM RESEAU).
NOMADE: Qualifie un système portable. Désigne parfois le système lui-même. Enfin, nomade désigne un équivalent français de Google, moins performant cependant. (définition NOMADE).
NOMINATIF: Qualifie une ressource qui est composée de noms et adresses de personnes réelles. L'utilisation d'un tel fichier est soumis à l'autorisation de la CNIL. (définition NOMINATIF).
NOMMAGE: Désigne l'opération par laquelle un objet est identifié et spécifié par rapport aux autres éléments similaires. (définition NOMMAGE).
NOM-VERBE: Désigne une rationalité de gestion des tâches : déterminer un élément (nom), lui assigner une tâche (verbe). Il existe la méthode inverse, verbe-nom, mais elle est moins intuitive, donc plus complexe. (définition NOM-VERBE).
NON DOCUMENTE: Qualifie un code à l'intérieur duquel il n'y a pas de commentaires. (définition NON DOCUMENTE).
NON INTERACTIF: Qualifie une opération dont le lancement est indépendant de toute action de l'usager. Un équivalent est batch. (définition NON INTERACTIF).
NON MODAL: Désigne ce qui n'est pas modal dans le fonctionnement. (définition NON MODAL).
NON REPUDIATION: Désigne la certification qu'un message a été émis et reçu. (définition NON REPUDIATION).
NON VOLATILE: Désigne un élément qui n'est pas volatile. (définition NON VOLATILE).
NON-ASCII: Qualifie des informations non textuelles. (définition NON-ASCII).
NON-ET: Désigne un procédé logique qui pose une négation sur un et. C'est aussi l'appellation de la porte logique qui lance ce procédé. (définition NON-ET).
NONO: C'est le raccourci, en français, de « non nombre ». (définition NONO).
NON-OU: Désigne le procédé logique qui pose une négation sur un ou, ainsi que la porte logique qui lance cette opération. Si A et B sont vrais, alors Non-ou (A,B) est faux. L'anglais dit « not or », raccourci en NOR. (définition NON-OU).
NOOB: C'est une évolution de newbie. (définition NOOB).
NOOBIE: Une autre évolution du même terme. (définition NOOBIE).
NOOSPHERE: Noos désigne l'esprit en grec ancien. La noosphère est la sphère de l'esprit, en opposition à la sphère des choses. (définition NOOSPHERE).
NOP: Désigne un raccourci de No operation. C'est une commande assembleur qui explique à la puce qu'elle doit se mettre en standbye. (définition NOP).
NOPPER: Désigne le fait d'effacer une commande par la substitution d'une séquence de nop. (définition NOPPER).
NOR: C'est un raccourci de Not OR, qui est un procédé logique de négation d'un ou, en même temps que l'appellation de la porte logique qui lance ce procédé. (définition NOR).
NORMALISATION: Désigne le procédé de standardisation d'un système. (définition NORMALISATION).
NORMALISER: Déterminer les standards que respectera un système. (définition NORMALISER).
NORMALISER: Etape qui consiste à niveler le volume sonore d?un fichier audio pour le rendre homogène. (définition NORMALISER).
NORME: La nécessité de compatibilité des systèmes conduit à la création de standards auxquels se plieront tous ces systèmes. C'est pourquoi l'informatique est un grand créateur de normes. C'est pourquoi aussi les offices de normalisation sont légion : AFNOR, ANSI, ISO, W3C, ECMA, ISOC CCITT etc?Souvent, une norme est créée de fait, par la réussite commerciale d'une société. (définition NORME).
NORTHBRIDGE: Désigne l'élément qui relie le processeur aux bus (AGP et PCI) et mémoires, en passant par le FSB. (définition NORTHBRIDGE).
NOS: C'est le raccourci de Network Operating System, un OS réseau équipé des outils de management nécessaires. Windows NT 3.5 en est un exemple. Le NOS est à l'origine l'OS des machines CDC. (définition NOS).
NOT: C'est l'équivalent anglais de non. (définition NOT).
NOTEBOOK: C'est l'appellation d'un petit portable d'une taille proche d'une feuille A4. C'est en train de devenir la taille normale d'un portable. (définition NOTEBOOK).
NOTEPAD: Désigne une machine à écran tactile. Désigne aussi un éditeur textuel de Windows. (définition NOTEPAD).
NOTHWOOD: Désigne le nom de code du Pentium 4 (seconde évolution) d'Intel. (définition NOTHWOOD).
NOUVEAU TESTAMENT: Désigne la seconde édition de l'ouvrage de Brian, Kernighan et Ritchie. L'ouvrage porte sur le langage C, et son titre est « the C Programming language ». (définition NOUVEAU TESTAMENT).
NOUVELLE ECONOMIE: Désigne l'application et l'adaptation des règles de l'économie classique aux échanges autour des technologies de l'information. (définition NOUVELLE ECONOMIE).
NOUVELLES: C'est l'équivalent français de news. On l'utilise rarement. (définition NOUVELLES).
NOVELL: Désigne une firme de développement de réseaux locaux. Ils ont conçu Netware et LAN Manager. (définition NOVELL).
NOVLANGUE: Dans « 1984 », la novlangue est la langue par laquelle les multitudes sont contrôlées. Elle a une visée exclusivement utilitaire, « miniver » désignant par exemple le ministère de la vérité. Une novlangue spécifique à l'internet est en cours de développement. (définition NOVLANGUE).
NOYAU: Désigne le programme qui effectue toutes les procédures basiques de l'OS, comme la planification des tâches. Un synonyme est kernel. (définition NOYAU).
NP: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Népal. (définition NP).
NP: C'est l'acronyme de No Problem. Plus rarement, il signifie Now Playing, qui est utilisé pour indiquer la musique en train de passer. (définition NP).
NPC: Dans un jeu vidéo, désigne un Non Player Character, soit un personnage qui n'est pas l'avatar d'un joueur. (définition NPC).
NPDN: Réseau fonctionnant à commutation de circuit pour la transmission de données, utilisé dans les pays de scandinavie. (définition NPDN).
NPI: C'est l'acronyme de Notation Polonaise Inversée. En NPI, on écrira « a b + » au lieu de « a+b ». (définition NPI).
NPTL: Acronyme de Native Posix Thread Library, la bibliothèque POSIX native qui prend en charge les threads. (définition NPTL).
NR: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Nauru. (définition NR).
NR: ZAcronyme de Non Return to Zero. (définition NR).
NRAM: Acronyme de Nanoscale Random Access Memory. Désigne une RAM composé de nano-cylindres en carbone. (définition NRAM).
NREN: Désigne le National Research and Education Network. C'est l'homologue américain de Renater. (définition NREN).
NRN: No Respons Necessary, par lequel on spécifie qu'aucune réponse n'est attendue. (définition NRN).
NROFF: C'est un raccourci de new roff. (définition NROFF).
NRU: C'est l'acronyme de Not Recently Used. Désigne un algorithme de substitution de page. Il élimine d'une mémoire les pages qui n'ont pas récemment été consultées. (définition NRU).
NRZ: Non Return to Zero. Méthode de codage d?un signal pour la transmission. (définition NRZ).
NRZI: Non Return to Zero Inverted, ou NRZ inversé. (définition NRZI).
NS: C'est une nanoseconde, soit la milliardième partie d'une seconde. C'est l'unité à l'½uvre pour quantifier la vitesse des processus dans un élément électronique aujourd'hui. (définition NS).
NSA: Acronyme de National Security Agency. Désigne l'une des branches des services de renseignements américains. La NSA a conçu les programmes NSA Line Eaters qui émettent une alerte dès lors qu'un terme suspect (terrorisme, bombe, etc..) est repéré dans un e-mail. (définition NSA).
NSAPI: Acronyme de Netscape Server Application Programming Interface. Désigne une famille d'outils qui permettent d'éviter tout recours à des scripts CGI. (définition NSAPI).
NSAPI: Api développé par Netscape pour l?interfaçage d?un serveur Web et d?une base de donnée. (définition NSAPI).
NS-DK: Désigne un langage de programmation de quatrième génération. (définition NS-DK).
NSF: Agence américaine qui a créé en 1980 le réseau NSFNET initialement utilisé dans le domaine de la recherche. (définition NSF).
NSF: National Science Foundation. C'est un bureau américain responsable pendant un certain temps de la maintenance de la dorsale américaine de l'internet. (définition NSF).
NSFNET: Acronyme de National Science Foundation NETwork, le réseau américain de la recherche en sciences. On lui a substitué le NREN. (définition NSFNET).
NSI: C'est l'acronyme de Network Solutions Inc, un groupe commercial américain qui s'occuper de la distribution de noms de domaines. (définition NSI).
NSLOOKUP: C'est le Name Server Lookup. (définition NSLOOKUP).
NSP: Acronyme de Native Signal Processing, soit Traitement du Signal Natif. Désigne un procédé proche de DSP implanté dans une puce. Désigne aussi le National Service Provider, un fournisseur d'accès dans le monde anglo-saxon. (définition NSP).
NTFS: Désigne le NT File Sytem, c'est-à-dire le SGF natif de Windows NET. Il est basé sur une FAT classique mais propose plusieurs évolutions intéressantes en matière de sécurité, de codage etc? (définition NTFS).
NTI: Système qui permet d?interfacer le réseau a commutation de paquet Transpac avec l?extérieur. (définition NTI).
NTIC: Acronyme de Nouvelles Technologies de l'Informatique et de la Communication. (définition NTIC).
NTK: C'est un raccourci pour netiquette, fréquemment employé dans le groupe fr.usenet.divers. (définition NTK).
NTP: Acronyme de Network Time Protocol, grâce auquel on est à l'heure en consultant un NTS. (définition NTP).
NTS: Désigne un Network Time Server, une horloge numérique. (définition NTS).
NTSC: Natioanl Television Standard Commitee. Désigne le standard américain de vidéo. (définition NTSC).
NTSC: National Television System Commitee. Norme américaine et japonaise utilisé pour la diffusion des vidéos, elle transmet 30 images par secondes au lieu de 25 en Europe. (définition NTSC).
NU: A la fin d'une URL, signale que le site est basé dans l'île de Niue (proche de la Nouvelle-Zélande). (définition NU).
NUA: Acronyme de Network User Address. Désigne une adresse réseau au standard X121. (définition NUA).
NUANCIER: Désigne un répertoire de nuances et de couleurs standardisées. (définition NUANCIER).
NUB: Désigne le procédé qui, dans un périphérique, reçoit et transmet les commandes émanant du système. (définition NUB).
NUBUS: Désigne un bus d'extension 32 bits conçu par Texas Instrument et le MIT, dont s'est servi Apple jusqu'en 95. (définition NUBUS).
NUI: C'est l'acronyme de Numéro d'Utilisateur International. Désigne le numéro qui identifie un usager de Transpac vers l'international. Désigne également une Network User Interface, un nom savant pour un navigateur internet. (définition NUI).
NUKER: Désigne le fait de crasher un ordinateur à distance. (définition NUKER).
NULIX: C'est un surnom peu affectueux de Linux. (définition NULIX).
NULL MODEM: Désigne un câble pouvant relier deux machines directement, sans l'intermédiaire d'un modem ou d'un adaptateur. On peut aussi dire câble inverseur ou modem 0. (définition NULL MODEM).
NULL: C'est l'appellation du signe 0, qui signale par exemple le terme d'une séquence. (définition NULL).
NULTILISATEUR: Désigne un utilisateur peu compétent. (définition NULTILISATEUR).
NUMA: C'est l'acronyme de Non Uniform Memory Access. Désigne une typologie de serveur multiprocesseur qui ne connaît pas les obstacles de SMP. Chaque puce dispose d'une zone de mémoire dédiée mais bénéficie d'une possibilité d'accès à la zone des autres. (définition NUMA).
NUMEDIA: Désigne l'alliance multimédia - numérique. (définition NUMEDIA).
NUMERIQUE: Qualifie un élément constitué de nombres. Un synonyme est digital. (définition NUMERIQUE).
NUMERIS: Dénomination commerciale du réseau RNIS français. (définition NUMERIS).
NUMERIS: Désigne le réseau Numérique à Intégration de Services, chez France Télécom. (définition NUMERIS).
NUMERISATION PAR BALAYAGE: Procédé de numérisation d?une image, utilisé dans les scanners. L?image est parcourue par un faisceau lumineux qui renvoie une information qui est ensuite numérisée. (définition NUMERISATION PAR BALAYAGE).
NUMERISATION PAR POINTAGE: Utilise contrairement à la numérisation par balayage un dispositif de pointage tel qu?un stylet pour effectuer la numérisation de l?image. (définition NUMERISATION PAR POINTAGE).
NUMERISATION: Désigne l'opération par laquelle on numérise un objet. (définition NUMERISATION).
NUMERISER: Désigne le fait de convertir de l'analogique en numérique afin de rendre un objet traitable par un ordinateur. Un équivalent est digitaliser ou échantillonner. (définition NUMERISER).
NUMERISEUR: Désigne tout dispositif technique pouvant effectuer une numérisation. Par exemple, un numériseur optique est un scanner. (définition NUMERISEUR).
NUMERISEUR: Matériel permettant d?obtenir une image numérique à partir d?une image papier. Il existe deux type de numériseurs : les numériseurs rotatifs et les numériseurs à plat. Les premiers sont de meilleures qualités et utilisés par les professionnels tandis que les seconds sont utilisés par le grand public et ont de bons rapport qualité prix. (définition NUMERISEUR).
NUMERO D?IDENTIFICATION PERSONNEL: Code d?accès à chiffre personnel utilisé pour l?identification d?un utilisateur. (définition NUMERO D?IDENTIFICATION PERSONNEL).
NUMERO D'ACCES: Avec un modem dial-up, il s'agit du numéro composé pour se connecter à l'internet. (définition NUMERO D'ACCES).
NUMERO IP: C'est un équivalent d'adresse IP. (définition NUMERO IP).
NUMEROTATION ABREGEE: Désigne un raccourci créé pour remplacer le numéro complet, à des fins de gain de temps. (définition NUMEROTATION ABREGEE).
NUMEROTATION: Désigne la composition d'un numéro. Elle peut être automatique, avec un modem, ou manuelle. (définition NUMEROTATION).
NUMEROTEUR: Machine permettant de folioter les pages d?un cahier. (définition NUMEROTEUR).
NUMLOCK: C'est l'équivalent anglais de verrnum. (définition NUMLOCK).
NUNUSQUE: Désigne un surnom assez affectueux de Linux. (définition NUNUSQUE).
NUNUX: C'est un autre surnom de Linux, tout aussi affectueux que nunusque. (définition NUNUX).
NUNUXIEN: Désigne celui qui apprécie particulièrement Linux. Un synonyme est linuxien. (définition NUNUXIEN).
NURBS: C'est l'acronyme de Non-Uniform Rational B-Spline. Désigne une fonction plane qui est décrite par des n½uds. On peut grâce à cette fonction obtenir une modélisation 3D d'éléments complexes. (définition NURBS).
NUXI: Désigne un problème qui peut survenir lors d'un échange d'informations entre un gros système et un plus petit. Unix deviendra Nuxi si ce problème survient. (définition NUXI).
NVIDIA: C'est le nom d'un groupe commercial qui conçoit des adaptateurs graphiques 3D, par exemple la GeForce. (définition NVIDIA).
NVM: Acronyme de Non Volatile Memory, une mémoire qui conserve tous ses éléments si l'alimentation du système est coupée. C'est un équivalent de mémoire flash ou de NVRAM. (définition NVM).
NVP: Acronyme de Nominal Velocity of Propagation. C'est la rapidité à laquelle un électron circule dans un fil. On qualifie cette vitesse par rapport à la vitesse de la lumière. (définition NVP).
NVRAM: C'est l'acronyme de Non Volatile Random Access Memory. Un équivalent est NVM. (définition NVRAM).
NVSIMM: Non Volatile Single Inline Memory Module. Désigne une mémoire SIMM équipée de sa propre alimentation afin qu'elle conserve toutes ses données. (définition NVSIMM).
NWFS: Acronyme de Netware File System. (définition NWFS).
NWS: Désigne un fichier qui renferme des NeWS. (définition NWS).
NX: Utilisé pour exprimer la rapidité d'un lecteur CD (définition NX).
NYNEX: Acronyme de New York New England eXchange, qui est l'une des sociétés nées de l'éclatement de Bell. (définition NYNEX).
NYQUIST: C'est le nom associé au théroème par lequel on calcule la performance d'un circuit de communication. L étant la quantité de niveaux de signal et W, la fréquence, le théorème est : performance = 2Wlog2(L). Nyquist est l'ingénieur qui a adapté ce théorème aux communications. (définition NYQUIST).
O: Signifie Over dans une messagerie instantanée ou un message textuel. Par over, on indique que l'on a fini de parler, et que l'autre personne a la parole. On a aussi OO, qui signifie Over and Out pour la fin d'un échange. O désigne aussi un fichier objet qui renferme un état inachevé d'une compilation. Enfin, O signifie Other qui signifie toutes les personnes qui ne sont pas l'auteur (définition O).
O2: C'est une machine conçue par SGI, développée pour les opérations graphiques. Ses caractéristiques : 64 bits, une RAM de plus d'un Go et une puce MIPS R12000. (définition O2).
OAK: Désigne un langage mis au point par Sun en 90. Il a rencontré l'échec lors de sa première distribution, puis a été remanié et rebaptisé Java. Il est depuis devenu incontournable. (définition OAK).
OAM: Acronyme de Operations and Maintenance. C'est la marche journalière d'une machine. (définition OAM).
OAS: Open AdStream. Logiciel pour l?implémentation de publicités sur Internet, par ciblage. (définition OAS).
OASIS: C'est l'acronyme de Organization for the Advancement of Structured Information Standards. Cette organisation mondiale vise le développement de standards indépendants des plate-formes : HTML, CGM ou XML. (définition OASIS).
OBB: C'est l'acronyme de Oriented Bounding Box : une bounding box considérée du point de vue de son objet. (définition OBB).
OBERON: Désigne le fils de Modula-2, conçu par N. Wirth en 88. Les boucles for sont supprimées et des records extensible ajoutés. Lui succèdera Oberon-2. (définition OBERON).
OBERON-2: C'est une conception de H. Moessenboeck en 91. Les boucles for sont réintroduites, et une orientation objet est donnée au langage. (définition OBERON-2).
OBESICIEL: C'est l'équivalent français de bloatware : un logiciel devenu obèse en raison des trops nombreux ajouts. (définition OBESICIEL).
OBFUSCATED C CODE CONTEST: Désigne une compétition annuelle de programmation en C ayant lieu sur l'Usenet. L'objectif est la production du programme le plus étrange et le plus focntionnel. (définition OBFUSCATED C CODE CONTEST).
OBJ: Désigne un fichier objet qui stocke un état inachevé d'une compilation. (définition OBJ).
OBJECT-CHILL: Désigne la variante orientée objet du langage CHILL. (définition OBJECT-CHILL).
OBJECTIVE C: Désigne l'évolution orientée objet du C ANSI, qui s'inspire de SmallTalk. Il est le langage qu'utilise le système NeXT. (définition OBJECTIVE C).
OBJECTIVE CAML: Désigne la variante orientée objet de Caml. C'est le seul langage encore développé de la famille Caml. (définition OBJECTIVE CAML).
OBJET: C'est l'élément employé dans la programmation par objet. Désigne aussi le code médiant entre le source et l'exécutable. (définition OBJET).
OBJET-METIER: Désigne une classe d'objets mis au point en vue de la représentation des savoirs et savoirs-faire d'une profession. (définition OBJET-METIER).
OBSCURITE: C'est un état courant dans lequel se trouve un usager informatique. (définition OBSCURITE ).
OBSCUROGRAPHIE: Désigne un type archaïque de codage (définition OBSCUROGRAPHIE).
OBTW: Acronyme de « Oh, by the way? », soit « oh, à propos? ». (définition OBTW).
OC: C'est l'acronyme de OverClocking ou overclocker. C'est aussi celui de Opérateur de Certification : dans une PKI, c'est l'instance de management des clés et certifications. C'est enfin l'acronyme de Optical Carrier. (définition OC).
OC-12: Optical Carrier 12, qui désigne une fibre optique d'un débit de 622.08 Mbps. (définition OC-12).
OCCAM: Désigne un langage de programmation parallèle employé sur les machines à Transputers. Le langage est fondé sur le principe du rasoir d'Occam, un principe développé par Guillaume d'Occam (Xve siècle), qui veut que la complexité ne doive pas être multipliée sans besoin. (définition OCCAM).
OCKHAM: C'est une autre orthographe pour Occam. (définition OCKHAM).
OCL: Acronyme de Object Constraint Language, ou de Optical Carrier Level. (définition OCL).
OCR: Optical Carrier Recognition, soit reconnaissance par fibre optique. Désigne une technique par laquelle des caractères d'un document digitalisé, considérés comme des images donc, sont récupérés comme caractères. On rencontre souvent le terme lorsqu'il est question de scanners. (définition OCR).
OCRISER: C'est le fait d'appliquer un programme OCR à un document digitalisé pour en récupérer les caractères. (définition OCRISER).
OCSP: Acronyme de Online Certificate Status Protocol, qui est un protocole PKI par lequel un certificat est validé en ligne. Le protocole est normé par la RFC 2560. (définition OCSP).
OCTAL: Qualifie tout élément inséré dans un système à base 8. La base 8 est fréquente dans la mesure où un chiffre en base 8 en vaut 3 en binaire. On retrouve cette base sous Unix pour la détermination des autorisations associées à un fichier. (définition OCTAL).
OCTET: Groupe de 8 bits, pouvant prendre 256 valeurs différentes. (définition OCTET).
OCX: Désigne une famille d'ajouts à Visual Basic, à compter de la version 4. Comme les OCX sont des éléments COM insérés dans des DLL, on peut s'en servir sous différents langages, pas seulement en Visual Basic. (définition OCX).
ODA: C'est l'acronyme d'Office Document Architecture. Désigne un standard de GED par lequel on communique des documents complexes (son, imges, textes) sans se soucier des plates-formes d'origine et de destination. L'ODA est en concurrence avec le SGML ou l'HTML. ODA est aussi l'acronyme de Object Definition Alliance, un groupe de 17 sociétés qui veut concevoir les technologies objet du multimédia. (définition ODA).
ODBC: Interface permettant l?accès aux bases de données Microsoft. (définition ODBC).
ODEBI: Désigne un rassemblement d'associations d'usagers du haut-débit. (définition ODEBI).
ODIF: Format pour l?échange de données ODA. (définition ODIF).
ODMTG: Acronyme de Object Database Management Group. Désigne un office de détermination des banques de données orientées objet. L'ODMTG a normalisé l'OQL. Il a mis fin à ses activités en 2001. (définition ODMTG).
ODP: C'est l'acronyme de Open Distributed Processing, qui désigne un groupe de standards ISO, ayant pour objet le traitement, la technologie, l'information, l'ingénierie et l'entreprise. (définition ODP).
ODS: Acronyme de Operational Data Store. Désigne un élément médian de stockage de données avant leur insertion dans un datawarehouse. Ce procédé permet d'étanchéifier les zones opérationnelle (d'où viennent les données) et décisionnelle. (définition ODS).
ODV: Acronyme d'Occasion De Voir, qui quantifie la fréquentation d'un site internet. (définition ODV).
ODYSSEY: Désigne une idée en développement de communication satellite. (définition ODYSSEY).
OEB: Acronyme d'Open EBook. (définition OEB).
OEBF: Open EBook Forum, qui regroupe plusieurs dizaines de sociétés autour du projet de standardisation des fichiers des applications de lectures électronique. (définition OEBF).
OEL: Acronyme de Organic ElectroLuminescent. Désigne une matrice pour écran plat. Mise au point par Sony, l'OEL dispense un écran du rétro éclairage. (définition OEL).
OEM: Original Equipment Manufacturer. Vendeur de matériel pour les constructeurs dans l?industrie électronique et informatique. (définition OEM).
OFDM: Désigne l'Orthogonal Frequency Division Multiplexing, un procédé de multiplexage employé dans les échanges wireless à large bande. (définition OFDM).
OFF LINE: Signifie Hors Ligne. Qualifie un programme qui n?a pas besoin de connexion Internet pour fonctionner. (définition OFF LINE).
OFFICE: Désigne la famille des applications de bureau mises au point par Microsoft. Office est composé de Word, Powerpoint, Access et Excel. (définition OFFICE).
OFFLINE: C'est l'équivalent anglais de hors-ligne. (définition OFFLINE).
OFFSET: Terme d?informatique qui désigne une adresse relative à une autre adresse. (définition OFFSET).
OFFSHORE: Littéralement, « hors des côtes ». Qualifie une opération effectuée hors de l'environnement normal. (définition OFFSHORE).
OFTEL: Organisation anglaise qui règlemente les télécommunications. (définition OFTEL).
OGG VORBIS: Format de compression audio open source. (définition OGG VORBIS).
OGG: Désigne une norme de compactage son. Elle occupe un tiers de place en moins que le MP3, pour la même qualité que celui-ci. (définition OGG).
OH: Acronyme de « Off Hook », qui signale qu'un modem est en attente d'un appel. (définition OH).
OI: C'est l'acronyme en français d'Ordinateur Individuel. (définition OI).
OIC: Signifie « Oh, I see? », soit « Oh, je vois? » au sens de « je comprend ». (définition OIC).
OIM: Acronyme de Open Information Model, qui désigne un modèle d'échange d'informations entre datawarehouse. Microsoft a mis au point ce format pour concurrence CWMI. (définition OIM).
OJI: Acronyme de Open JavaVM Interface. Désigne une interface par laquelle on échange avec un système virtuel fonctionnant sous Java. L'OJI est par exemple à l'½uvre dans NGLayout qui est le moteur de Mozilla 5. (définition OJI).
OKT: C'est un raccourci pour Oktalyser Tracker. C'est un fichier renfermant un module, sous Amiga. (définition OKT ).
OLAP: Désigne l'On-Line Analytical Processing, un traitement de simulations, qui est intermédiaire entre le système d'information et l'usager. (définition OLAP).
OLD: Désigne un fichier qui renferme une sauvegarde d'un autre fichier. (définition OLD).
OLDERWARE: Désigne une famille d'applications gratuites mais dépassées. On peut avoir la dernière version à condition de payer. (définition OLDERWARE).
OLE: Acronyme de Object Linking and Embedding. Désigne un procédé qui permet d'insérer un document dans un fichier d'une autre application, tout en conservant un lien vers le logiciel natif. Le procédé a été mis au point par Microsoft. On trouve aussi un OLE for DM, employé pour la modélisation et la conception. (définition OLE).
OLE: Object Linking and Embedding. Technologie développée par Microsoft qui permet à des applications de partager des informations. (définition OLE).
OLED: Organic Light Emitting Diode. Procédé développé par Kodak qui permet à n?importe quel système avec écran embarqué d?émettre de la lumière lorsque l?on applique un courant. (définition OLED).
OLF: C'est l'Office pour la Langue Française, au Québec. (définition OLF).
OLR: Désigne un Off-line reader, une application de consultation de news qui fonctionne hors-ligne. (définition OLR).
OLSEN, KENNETH: C'est le créateur du PDP-1 qui est le premier ordinateur d'une classe de machines de chez DEC, largement employé par les pirates dans les universités américaines. (définition OLSEN, KENNETH).
OLT: Acronyme de Optical Line Termination, soit « terminaison de ligne optique ». (définition OLT).
OLTP: On-Line Transaction Processing. (définition OLTP).
OM: A la fin d'une URL, signale que le site est basé dans le sultanat d'Oman. (définition OM).
OMA: Acronyme de Object Management Architecture. Désigne une structure de management d'objets. Elle est spécifiée par l'OMG. (définition OMA).
OMBRAGE DE LAMBERT: Désigne un type d'ombrage dans lequel un plan est teinté selon la couleur d'un point du polygone. On dit aussi « ombrage plat ». (définition OMBRAGE DE LAMBERT).
OMBRAGE: Désigne un procédé qui colorie un plan selon la lumière environnante. (définition OMBRAGE).
OMG: Acronyme de Object Management Group. Désigne un groupe de sociétés dont les productions sont orientées objet. L'OMG a entre autres normalisé les ORB et Corba. C'est également le raccourci de « oh my god », soit « oh mon dieu ». (définition OMG).
OMNINET: Réseau local développé par Corvus. (définition OMNINET).
OMPI: Désigne l'Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle. Cette organisation sert d'intermédiaire lorsque sont conclus des accords transnationaux de protection de marques. Elle est inactive depuis 20 ans, en raison des différents groupes de pression qui gravitent autour de ces questions. (définition OMPI).
OMS: Acronyme d'Open Music System, qui gère les séquences MIDI. (définition OMS).
OMT: Object Modeling Technique. Désigne un procédé de détermination mis au point par J. Rumbaugh, qui utilise la modélisation des besoins. (définition OMT).
ON LINE: Littéralement en ligne. Qualifie un programme qui nécessite une connexion Internet. (définition ON LINE).
ON THE FLY: C'est l'équivalent anglais de « à la volée ». (définition ON THE FLY).
ONDELETTE: Une compression par ondelettes sélectionne, dans une image, les zones fortement contrastées, les conserve en l'état puis compresse les autres zones. La perte est donc moins importantes qu'avec le JPEG classique. Cette compression est celle employée par le standard JPEG2000. (définition ONDELETTE).
ONDELETTES: Algorithme de compression, entraînant une perte d?information, associé au fichier d?extension .wi (définition ONDELETTES).
ONDULEUR: Désigne un appareil qui uniformise la quantité de courant envoyé vers l'alimentation d'une machine. (définition ONDULEUR).
ONE TO ONE: Désigne un procédé d'envoi de données selon le destinataire. L'information est donc individualisée. (définition ONE TO ONE).
ONE-LINER: Désigne un programme basé sur un code d'une ligne unique. C'est fréquent sous Perl. (définition ONE-LINER).
ONGLET: Désigne un objet présentant une option, dans une fenêtre interactive. Une seule fenêtre peut ainsi utiliser une centaine d'onglets et rester lisible. Un onglet désigne aussi le dispositif qui, sur une disquette, permet de protéger le contenu en enlevant la possibilité d'écriture. (définition ONGLET).
ONLINE: Qualifie une information ou une ressource qui nécessitent une connexion à un réseau pour être consultable ou utilisable. Le français dira en ligne. Désigne aussi la situation d'un périphérique lorsqu'il est alimenté. (définition ONLINE).
ONO SENDAï: Désigne un portable, dans le « Neuromancien » de Gibson. (définition ONO SENDAï).
ONP: Ensemble des règles pour accéder aux réseaux publics, afin d?obtenir un accès garanti pour tous. (définition ONP).
ONU: Acronyme de Optical Network Units. (définition ONU).
OO: Acronyme de Over and Out. OO est également l'acronyme de Object Oriented, soit « orienté objet ». On trouve aussi « à objets », par exemple dans l'expression « langage à objets ». (définition OO).
OOA: Acronyme de Object Oriented Analysis, qui désigne un type d'analyse mis au point par S. Schlaer et S. Mellor, qui est employée par l'industrie. (définition OOA).
OODL: Object Oriented Dynamic Language. (définition OODL).
OOL: Object Oriented Language. L'équivalent français est LOO. (définition OOL).
OOM: Acronyme de Out Of Memory, qui signale une mémoire pleine. (définition OOM).
OOO: C'est l'acronyme d'Out Of Order, soit « dans le désordre ». C'est une instruction qui demande à la puce d'effectuer des opérations sans tenir compte des priorités afin de gagner du temps. OOO est aussi le raccourci de OpenOffice.Org. (définition OOO).
OOP: Acronyme de Object Oriented Programming. L'équivalent français est POO, Programmation Orientée Objet. (définition OOP).
OOPS: Désigne une erreur déclenchée lorsque se lance un noyau Linux, et provoquée par par une RAM de qualité moyenne. Le noyau égaré peut cependant poursuivre son fonctionnement. Une erreur Oops est d'une gravité moindre qu'une erreur Panic. (définition OOPS).
OOS: Occupational Overuse Syndrom. Désigne une pathologie de la circulation du sang, causée par une sur-utilisation de ceux-ci, sur un clavier par exemple. Un synonyme est RSI. Désigne aussi un Object Oriented System. (définition OOS).
OOSE: Acronyme de Object Oriented Software Engineering, soit « ingénierie logicielle orientée objet ». (définition OOSE).
OOTB: C'est l'acronyme de Out Of The Box, « tout droit sorti du carton ». Qualifie un appareil qui n'a besoin que d'une alimentation pour se mettre en route. (définition OOTB).
OP: C'est un raccourci pour Opérateur. Désigne celui qui détient une responsabilité, sur un IRC notamment. Parmi leurs pouvoirs, on peut noter la possibilité de bannir ou killer un usager, mais plus souvent surveiller les conversations. (définition OP).
OPAC: Acronyme de Online Public Access Catalogues, qui désigne le répertoire en ligne du contenu d'une bibliothèque dont l'accès est public. (définition OPAC).
OPC: C'est un acronyme de Optical Power Calibration, soit calibrage de puissance optique. Egalement Optical Photo Conductor, qui désigne le côté impressionable du tambour d'un périphérique d'impression laser. Enfin, OPC est l'acronyme d'Optical Product Code, soit un code produit à lecture optique. (définition OPC).
OPCODE: Désigne un code d'Opération, c'est-à-dire la séquence de chiffres qui spécifie une activité dans une bibliothèque ou une commande dans le trousseau de commande d'une puce. (définition OPCODE).
OPEN EBOOK: Raccourci d'Open Electronic Book, qui est une norme, spécifiée par l'OEBF, des documents pris en charge par les applications de lecture électronique. On trouve parfois l'abréviation OEB. (définition OPEN EBOOK).
OPEN GL: C'est la raccourci de Open Graphic Library qui désigne un ensemble de fonctions de traitement visuels 2D ET 3D. (définition OPEN GL).
OPEN GROUP: Désigne l'union de l'X / Open et de l'OSF, qui veut promouvoir les systèmes ouverts. (définition OPEN GROUP).
OPEN SOURCE SOFTWARE: Désigne une application libre, spécifiée en 9 points : la divulgation du source, l'ouverture des possibles évolutions du source, la non-discrimination des personnes, la non-limitation des utilisations, le maintien de l'intégrité du source d'origine, la redistribution libre de l'application, la non-contamination des éventuels conceptions des autres, la redistribution de la licence et enfin l'interdiction de spécification à un autre produit de cette licence. (définition OPEN SOURCE SOFTWARE).
OPEN SOURCE: Licence de logiciel qui autorise la modification et la redistribution gratuite. (définition OPEN SOURCE).
OPEN TRANSPORT: Désigne dans une application la couche sur laquelle on peut implanter et paramétrer la couche réseau sous MacOS 9. MacOS X se sert des sockets BSD. (définition OPEN TRANSPORT).
OPENB: C'est un raccourci de OpenBSD. (définition OPENB).
OPENBSD: C'est une version alternative née d'une scission dans l'équipe de conception de NetBSD. Son trait principal est la sécurité : la rumeur veut qu'on ne puisse pas pirater OpenBSD. (définition OPENBSD).
OPENDIVX: Désigne la seconde évolution de DivX qui est ouverte. Elle s'appuie sur MPEG-4. (définition OPENDIVX).
OPENDML: C'est un raccourci pour Open Digital Media Language. Désigne une famille d'ajouts au standard AVI, conçus en 96. (définition OPENDML).
OPENDOC: Désigne un standard de documents, mis en avant sans succès par Apple et IBM. C'est le XML qui a pris le dessus. (définition OPENDOC).
OPENGIS: Désigne une réunion d'industriels qui veulent normaliser les applications géomatiques. (définition OPENGIS).
OPENLINUX: Désigne une version de Linux conçue par Caldera, qui prend en charge KDE, des outils d'administration Netware. OpenLinux a été avalé par SCO. (définition OPENLINUX).
OPENML: Désigne une norme de management et production multimédia, sous la forme d'un environnement global de conception. (définition OPENML).
OPENOFFICE: Désigne une distribution libre de StarOffice. (définition OPENOFFICE).
OPENSTEP: Désigne la dernière évolution de NextStep, sur lequel Apple a développé MacOS X après le rachat de NeXT par Steve Jobs. (définition OPENSTEP).
OPENVIEW: Système développé par HP permettant d?administrer un réseau décentralisé. (définition OPENVIEW).
OPENVMS: Désigne le VMS chez HP. (définition OPENVMS).
OPERANDE: Désigne le paramètre (variable ou constante) qui fait l'objet d'une opération. (définition OPERANDE).
OPERATEUR BOOLEEN: Désigne un type d'opérateurs qui réalisent des calculs logiques sur des nombres binaires : non, et, ou, xor. (définition OPERATEUR BOOLEEN).
OPERATEUR: Désigne toute société en charge d'un réseau. France Télécom ou AT& (définition OPERATEUR).
OPL: Puce électronique présente sur la plupart des cartes sons standard et qui permet la lecture des fichiers MIDI. (définition OPL).
OPR: C'est le raccourci de OPéRateur. (définition OPR).
OPS: C'est l'acronyme de Opération Par Seconde. Dans un contexte anglo-saxon, on trouve également OPS comme raccourci d'opérations. (définition OPS).
OPTERON: Désigne une puce 64 bits, conçue par AMD. Elle est compatible avec des logiciels développés pour Intel grâce à son trousseau de commandes x86. (définition OPTERON).
OPTIMALISER: C'est un synonyme laudatif d'optimiser. (définition OPTIMALISER).
OPTIMISATION: C'est le fait d'optimiser, c'est-à-dire transformer un source afin de maximiser la rapidité de fonctionnement du programme et minimiser les ressources nécessaires au fonctionnement. Une optimisation locale se penchera sur les détails, une optimisation structurelle repartira du début. (définition OPTIMISATION).
OPTIMISER: Désigne le fait de réaliser une optimisation d'un code source. (définition OPTIMISER).
OPTIMISTE: Désigne celui qui écrit un code avec un stylo ou qui achète du matériel en faisant confiance au constructeur. (définition OPTIMISTE).
OPTION: Désigne un choix portant sur la valeur d'un paramètre dans un logiciel ou une instruction. Un synonyme est switch. (définition OPTION).
OPTIQUE: Qualifie une technologie basé sur la lumière : une fibre optique, une souris optique, par exemple. (définition OPTIQUE).
OPTOELECTRONIQUE: Désigne l'union des techniques électroniques et optiques. L'objectif final de cette technologie est la conception de circuits optiques comme substitut au silicium. (définition OPTOELECTRONIQUE).
OQL: Acronyme de Object Query Language. Proche de SQL, l'OQL est utilisé dans les banques de données orientées objet. L'OQL est normé par l'ODMG. (définition OQL).
OR: C'est l'équivalent anglais de l'opérateur logique « ou ». (définition OR).
ORA:CLE: C'est le nom d'un roman de SF de K. O'Donnel dans lequel le monde réel est sous la coupe d'un réseau universel du type de l'internet. (définition ORA:CLE).
ORACLE: Désigne un type très fréquent de banque de données. C'est aussi l'appellation de l'entreprise qui a développé cet outil. (définition ORACLE).
ORANGE BOOK: Désigne l'ensemble des spécifications de sécurité auxquelles doivent se soumettre les milieux centralisés, du niveau D, sécurité minimale jusqu'à A. L'appellation exacte est TCSEC. (définition ORANGE BOOK).
ORB: Acronyme de Object Request Broker. (définition ORB).
ORBS: C'est l'acronyme de Open Relay Behavior-modification System, qui désigne une liste des serveurs de mails trop peu contrôlés. (définition ORBS).
ORDBMS: Acronyme de Object Relational Database Mangement System. C'est l'équivalent anglais de SGBDRO. (définition ORDBMS).
ORDI: C'est un raccourci familier pour ordinateur. (définition ORDI).
ORDINATEUR DE BUREAU: Désigne une machine placée sur un bureau et développée pour les activités de ce bureau. Le contraire d'un ordinateur de bureau est un portable. (définition ORDINATEUR DE BUREAU).
ORDINATEUR DE POCHE: C'est un équivalent d'organiseur. (définition ORDINATEUR DE POCHE ).
ORDINATEUR PARALLELE: Désigne un ordinateur articulé autour de plusieurs puces centrales. (définition ORDINATEUR PARALLELE).
ORDINATEUR PERSONNEL: Désigne une machine développée en vue de son utilisation par un usager précis. Un contraire est un serveur. L'équivalent anglais est PC. (définition ORDINATEUR PERSONNEL).
ORDINATEUR: Désigne le nom soumis en 55 pour se substituer à calculateur, devenu trop étroit pour qualifier des machines capables de beaucoup plus que de simples calculs. Un ordinateur est un appareil qui ordonne des informations. La structure d'un ordinateur contemporain est la même que celle créée il y 40 ans par J. von Neumann : mémoire et dispositifs d'entrée-sortie s'articulent autour d'un processeur central. On classe les ordinateurs selon leur milieu d'utilisation (serveur, station ou terminal) ou leur OS. (définition ORDINATEUR).
ORDINO: C'est un raccourci d'ordinateur, guère employé à cause d'un malentendu possible avec un raccourci d'ordinogramme. (définition ORDINO).
ORDINOGRAMME: C'est un équivalent d'organigramme. (définition ORDINOGRAMME).
ORDINOPHOBE: Désigne celui qui éprouve une peur panique des ordinateurs. (définition ORDINOPHOBE).
ORDINOSAURE: Désigne un ordinateur archaïque, c'est-à-dire tout équipement fabriqué depuis plus de 10 ans. Un forum de l'Usenet est dédié à ces machines : fr.comp.ordinosaures. (définition ORDINOSAURE).
ORDO: C'est un raccourci d'ordinateur. (définition ORDO).
ORDONNANCEMENT: Désigne le procédé par lequel des priorités successives sont données à des tâches différentes. C'est l'ordonnanceur qui est en charge de cette activité. (définition ORDONNANCEMENT).
ORDONNANCER: C'est le fait de donner des priorités à des tâches. (définition ORDONNANCER).
ORDONNANCEUR: Désigne l'instance prenant en charge les opérations d'ordonnancement et allouant les ressources aux différents processus. On trouve comme synonyme séquenceur ou dispatcheur. (définition ORDONNANCEUR).
OREILLE: Désigne sur un souris l'une ou l'autre des touches. (définition OREILLE).
ORG: Désigne un nom de domaine en théorie donné aux sites des structures non-commerciales. (définition ORG).
ORGANIGRAMME: Désigne le diagramme d'une séquence d'actions d'une application. Un synonyme est ordinogramme (définition ORGANIGRAMME ).
ORGANISEUR: Désigne la machine facilement transportable qui gère agenda et répertoire téléphonique. (définition ORGANISEUR).
ORIC: Désigne une machine conçue en 80 par un fabricant anglais. Elle a connu un petit succès commercial en France. (définition ORIC).
ORIENTE OBJET: Qualifie un langage qui peut man½uvrer des objets sans avoir été développé dans ce but. (définition ORIENTE OBJET).
O-ROM: Acronyme de Optical Read Only Memory, qui désigne un CD-ROM de 3,5 pouces. (définition O-ROM).
ORPHELIN: Caractérise un fichier qui ne retrouve pas son application native, comme parfois les DLL sous Windows. (définition ORPHELIN).
ORPHELINE: Désigne l'ultime ligne d'un paragraphe lorsqu'elle se trouve sur la page qui suit celle sur laquelle se trouve le reste du paragraphe. Un bon traitement de texte doit pouvoir empêcher ce phénomène. (définition ORPHELINE).
OS / 2: Désigne un OS conçu par IBM, au départ en alliance avec Microsoft. OS / 2 n'a jamais rencontré de succès et IBM s'est depuis orienté vers Linux. (définition OS / 2).
OS / 360: Désigne l'OS relativement lourd tournant sur les IBM 360, à la fin des années 60. Il est cependant le premier OS à avoir utilisé les octets de 8 bits. (définition OS / 360).
OS / 390: Désigne un OS pour mainframe. Conçu par IBM, OS / 390 est basé sur MVS. Il est destiné aux serveurs S / 390. (définition OS / 390).
OS / 400: Désigne un OS développé par IBM pour les machines AS / 400. (définition OS / 400).
OS / 9: C'est un OS multitâche développé par Microwave. (définition OS / 9 ).
OS X: C'est un autre raccourci pour le MacOS X. (définition OS X).
OS: C'est l'acronyme d'Operating System, soit système d'exploitation. En français, on trouve parfois SE. L'acronyme est présent dans certains noms d'OS : OS / 2, OS 9. Le pluriel est OSes. OS désigne également un One-Shot qui désigne, dans un jeu vidéo, un tir unique qui supprime un personnage ennemi. (définition OS).
OSCILLOSCOPE: Désigne l'ancêtre des jeux vidéos : W. Higinbotham parvient à représenter un terrain de tennis sur son oscilloscope. Désigne également une application de suivi des threads d'une autre application. (définition OSCILLOSCOPE).
OSD: On Screen Display. Affichage produit à l?écran pour le réglage d?un équipement tel qu?un lecteur de DVD ou d?un amplificateur. (définition OSD).
OSDL: Acronyme d'Open Source Development Lab. Désigne une structure qui veut promouvoir le logiciel libre. Cette structure est née de l'alliance, en 2000, d'Intel, IBM, HP et NEC. Linus Torvavalds travaille pour l'OSDL depuis 2003. (définition OSDL).
OSES: C'est le pluriel en anglais d'OS. (définition OSES).
OSF: Open Software Foundation. Regroupement et constructeurs et d?utilisateurs pour la définition de normes pour l?implantation d?applications dans un environnement hétérogène. (définition OSF).
OSI: Modèle normalisé pour l?interconnexion de systèmes ouverts, développé par l?ISO. (définition OSI).
OSINET: Association ayant pour but de montrer auprès des constructeurs l?efficacité du modèle OSI. (définition OSINET).
OSITOP: Acronyme d'Open System Interconnection Technical and Office Protocols. (définition OSITOP).
OSM: Désigne un Operating System Module : dans une structure I2O, désigne un module pilote placé sur l'ISM qui lui-même s'appuie sur le HDM. (définition OSM).
OSPF: Open Shortest Path First. C'est une application d'opérations mathématiques sur les tables de routages. (définition OSPF).
OSTA: Acronyme d'Optical Storage Technology Association, soit l'association des technologies de stockage optique. (définition OSTA).
OSX: C'est un raccourci pour désigne MacOS X. (définition OSX).
OT: Acronyme de Off Topic, soit hors-sujet (définition OT).
OTAKU: Au Japon, désigne péjorativement un nerd, fan de manga et de nouvelles technologies. (définition OTAKU).
OTOH: On The Other Hand, soit « d'un autre côté? ». (définition OTOH).
OTS: Désigne une interface qui rend les éléments Corba susceptibles d'effectuer des transactions. (définition OTS).
OU: Désigne un opérateur logique. Attention à ne pas le confondre avec un autre opérateur, xor. Dans un choix, xor signifie que les deux options sont exclusives l'une de l'autre, alors que ou signifie qu'on peut effectuer les deux options en même temps. (définition OU).
OUAVE: Désigne un surnom du standard de fichier Wav. (définition OUAVE).
OUEBE: Désigne un surnom phonétique du web. (définition OUEBE).
OUI: Acronyme de Organizationally Unique Identifier. Dans une adresse au format MAC, le OUI est un nombre de 24 bits qui sert à identifier une organisation. (définition OUI).
OUTBOX: Désigne, dans une application d'e-mail, le dossier qui contient les éléments à émettre ou déjà émis. Le contraire en est Inbox. (définition OUTBOX).
OUTIL: Désigne une famille d'applications qui effectuent des tâches non complexes mais nécessaires. L'anglais dira tool. (définition OUTIL).
OUTLOOK: Désigne l'application e-mail de Microsoft. Outlook peut exécuter un code situé dans un mail et donc déclencher directement un virus sans intervention de l'utilisateur. (définition OUTLOOK).
OUT-OF-CORE: Signifie « en dehors du noyau ». C'est ce qui survient lorsqu'un élément est trop large pour être tout entier implanté dans la mémoire. (définition OUT-OF-CORE).
OUTPUT: Désigne une sortie ou bien une information telle qu'elle sort de l'ordinateur, c'est-à-dire une fois traitée. (définition OUTPUT).
OUTSOURCEUR: Désigne celui qui effectue de l'outsourcing. (définition OUTSOURCEUR).
OUTSOURCING: Désigne pour une entreprise le fait de délocaliser une fraction de son système informatique. On trouve parfois le synonyme externalisation. (définition OUTSOURCING).
OUTSOURCING: Opération qui consiste pour une entreprise à sous traiter certaines tâches pour se focaliser sur sa vocation première. (définition OUTSOURCING).
OUVERT: Qualifie un ordinateur ou un OS compatible avec d'autres standards. (définition OUVERT).
OUVRIR: Ouvrir un fichier signifie le rendre apte à supporter une écriture ou une lecture. (définition OUVRIR).
OVERBURNING: Désigne le fait d'employer un graveur d'une manière telle qu'il ne s'arrête pas à la taille théorique du CD qu'il grave. On peut avec ce procédé stocker 700 Mo d'informations sur un CD d'un capacité théorique de 640 Mo. (définition OVERBURNING).
OVERCLOCKER: Désigne le fait d'effectuer un overclocking. Désigne également celui qui réalise cette opération. En français, on peut tenter le terme surcadencer ou surcadenceur. (définition OVERCLOCKER).
OVERCLOCKING: Désigne l'opération par laquelle un processeur est placé sur une carte mère disposant d'une fréquence supérieure à celle prévue pour le CPU. Le résultat n'est pas garanti : le processeur peut très bien ne pas supporter l'opération et brûler. (définition OVERCLOCKING).
OVERDRIVE: Désigne le procédé par lequel une puce Intel est modifiée en vue d'un gain de puissance. Seuls les premiers Pentium accepte cette opération. (définition OVERDRIVE).
OVERFLOW: Désigne une erreur qui survient lorsque les capacités sont dépassées. Quand, lors d'un calcul, le stockage est insuffisant pour contenir tous les chiffres, il arrive que des éléments significatifs disparaissent. (définition OVERFLOW).
OVERHEAD: Désigne le temps passé par un système à ne rien faire d'autre que se gérer. (définition OVERHEAD).
OVERLAY: Désigne des données enregistrées et lues sur une mémoire de masse pour alléger une RAM. Désigne également un procédé d'intégration de documents XUL (définition OVERLAY).
OVERLOADING: C'est l'équivalent anglais de surcharge. (définition OVERLOADING).
OVERSAMPLING: Désigne une numérisation trop précise pour compenser les pertes liées au processus. Par exemple, un scanner peut fonctionner en 32 bits pour produire des images 24 bits. (définition OVERSAMPLING).
OVERSCAN: Désigne le procédé par lequel on peut présenter des informations visuelles dans les marges d'un moniteur. (définition OVERSCAN).
OVERWRITE: Désigne le fait d'écrire par dessus des informations, de les écraser donc. (définition OVERWRITE).
OWF: Acronyme de One Way Function, qui désigne une activité à sens unique. Par exemple, la fonction d'encodage d'un mot de passe est une OWF : le mot de passe est codé puis enregistré (définition OWF).
OWL: Acronyme de Object Windows Library. (définition OWL).
OXFORD: C'est le nom de code utilisé pour désigner les ponts IDE-Firewire lors de leur développements. (définition OXFORD).
OZALID: Epreuve photosensible positive permettant un dernier contrôle juste avant l?édition du bon à tirer. (définition OZALID).
P2P: Abréviation de Peer To Peer. Mode de connexion d?égal à égal entre deux ordinateurs. Ce type de connexion permet l?échange de fichiers à des millions d?utilisateurs. (définition P2P).
P2PISTE: Désigne l'utilisateur qui échange des documents par une application de P2P. (définition P2PISTE).
P3P: Acronyme de Platform for Privacy Preferencess Project qui désigne un standard W3C spécifiant les données recueillies par un site au sujet des personnes qui consultent ce site. (définition P3P).
P4: C'est un raccourci pour désigner les Pentium 4. (définition P4).
P5P: Acronyme de Perl 5 Porters. C'est une structure qui rassemble des concepteurs de programmes en Perl. C'est aussi le raccourci du nom de leur forum. (définition P5P).
P6: Désigne le noyau des puces Pentium 3 et Celeron. (définition P6).
PA: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Panama. (définition PA).
PA: Acronyme de Point d'Accès. (définition PA).
PABX: C'est l'acronyme de Private Automatic Branch eXchange : un central privé de téléphone. (définition PABX).
PABXI: Désigne également un central privé de téléphone. (définition PABXI).
PAC: Signifie Proxy Autoconfiguration File. C'est le fichier par lequel les paramètres de connexions à un proxy sont configurés. Il est notamment utilisé par les évolutions de Netscape. (définition PAC).
PACK: C'est un équivalent du français paquetage. (définition PACK).
PACKAGER: Désigne celui qui effectue des paquetages. (définition PACKAGER).
PACKET: C'est l'équivalent anglais du paquet français. (définition PACKET).
PAC-MAN: Il s'agit d'un jeu vidéo mythique. Un personnage de forme ronde doit avaler des pastilles et éviter des fantômes. Le jeu a été commercialisé en 80. (définition PAC-MAN).
PAD: Equipement qui permet d?accéder aux réseaux à commutation de paquet en adaptant les terminaux. (définition PAD).
PADDING: Désigne l'incorporation de signes aléatoires à un message afin de rendre son déchiffrement plus difficile. Désigne également toute addition de signes a des fin de cadrage. On peut utiliser cadrage, voire formatage, comme équivalent. (définition PADDING).
PADEPAMOPHOBE: Fondé sur « pas développé par moi », padépamophobe désigne celui qui envisage tout produit dont il n'est pas le concepteur comme suspect. (définition PADEPAMOPHOBE).
PADI: Désigne la PPPoE Active Discovery Initiation, qui est un paquet émis celui qui veut établir une connexion par PPPoE. (définition PADI).
PADO: Signifie PPPoE Active Discovery Offer. Il s'agit de la réponse d'un serveur à une PADI. (définition PADO).
PADR: PPPoE Active Discovery Request. C'est la réponse du client à une PADO. (définition PADR).
PADS: PPPoe Active Discovery Session-confirmation : la réponse à une PADR. (définition PADS).
PADT: Désigne le paquet qui signale une fin de connexion : PPPoe Active Discovery Terminate. (définition PADT).
PAE: C'est l'acronyme de Prêt A Emettre. (définition PAE).
PAG: Acronyme de Process Authentification Group. (définition PAG).
PAGE ACTIVE: Caractérise une page présentant des scripts, qui indique à un navigateur qu'il doit exécuter du code. (définition PAGE ACTIVE).
PAGE D?ACCUEIL: Première page d?un site web, contient des liens vers l?ensemble des sous parties du site. (définition PAGE D?ACCUEIL).
PAGE D'ACCUEIL: C'est la porte d'entrée à un site internet. L'équivalent anglais est homepage. (définition PAGE D'ACCUEIL).
PAGE DYNAMIQUE: Désigne une page produite selon les besoins par un serveur. Elle emploie un script sous PHP ou ASP et transite par une interface CGI. (définition PAGE DYNAMIQUE).
PAGE SATELLITE: Page qui sert uniquement à obtenir un bon classement dans les moteurs de recherche, et qui renvoi ensuite vers le site en question. (définition PAGE SATELLITE).
PAGE WEB: Page faisant partie d?un site Internet, visible dans la fenêtre d?un navigateur. (définition PAGE WEB).
PAGE: Côté d?une feuille. (définition PAGE).
PAGE-ECRAN: Terme archaïque, puisqu'il renvoie au temps des interfaces en mode caractères, qui désigne le contenu d'un moniteur à un instant t. (définition PAGE-ECRAN).
PAGEJACKING: Méthode illicite qui vise à récupérer les méta-tags d?une page bien classée dans un moteur de rechercher pour les incorporer à son site. (définition PAGEJACKING).
PAGER: Désigne le petit appareil qui signale que quelqu'un souhaite vous joindre. Un équivalent est messageur. Désigne aussi une application par laquelle on peut circuler entre plusieurs bureau virtuel. (définition PAGER).
PAGER: Terminal avec un écran LCD permettant de recevoir des messages courts. (définition PAGER).
PAGEUR: C'est une version francisée du pager. (définition PAGEUR).
PAGINATION: Consiste à numéroter les pages. (définition PAGINATION).
PAGINE: Caractérise une mémoire partitionnée en plusieurs segments de dimensions qu'on pourra adresser en un coup. (définition PAGINE).
PAGING: Système de radio-messagerie utilisant le support hertzien. (définition PAGING).
PAGSI: Acronyme de Programme d'Action Gouvernemental pour la Société de l'Information. (définition PAGSI).
PAIEMENT SECURISE: Transaction d?argent sur Internet utilisant des technologies de cryptage tel que le SSL. (définition PAIEMENT SECURISE).
PAIR: Désigne une instance située au même niveau protocolaire qu'une autre. Une connexion pair-à-pair (peer-to-peer ou P2P) est donc établie entre deux éléments placés au même niveau. (définition PAIR).
PAIRE TORSADEE: C'est une classe de câbles où les fils sont tressés par deux. L'intérêt est de diminuer l'effet des éléments extérieurs venant par exemple des câbles voisins. L'anglais dit twisted pair. (définition PAIRE TORSADEE).
PAK: Désigne un fichier compacté avec l'application Pak. (définition PAK).
PAL: Norme européenne pour la diffusion vidéo. (définition PAL).
PALETTE D'ICôNES: Désigne une famille d'icônes, qui peut flotter, c'est-à-dire dont on peut modifier la position. On trouve aussi palette flottante. (définition PALETTE D'ICôNES).
PALETTE FLOTTANTE: Désigne, sur un écran, ce qui peut être déplacé. Un synonyme est palette d'icônes. (définition PALETTE FLOTTANTE).
PALETTE: Socle en bois qui reçoit le papier pour l?impression. (définition PALETTE).
PALLADIUM: Il s'agit d'un projet commun d'Intel, AMD et Microsoft, qui vise à implanter une puce dans les PC afin de valider ou d'empêcher les activités de l'usager. (définition PALLADIUM).
PALM OS: C'est l'OS des Palms. Développé en C, il n'est pas équipé d'un système de fichiers mais d'un système de banques de données. (définition PALM OS).
PALM: Marque pionnière dans le domaine des PDA (assistants personnels), aujourd?hui renommé Palmone. (définition PALM).
PALMEUR: Désigne celui qui utilise un Palm, conçu par 3COM. (définition PALMEUR).
PALMTOP: Il s'agit du projet de machine pouvant tenir dans la paume de la main. (définition PALMTOP).
PALOMINO: C'est le nom de développement du noyau de certaines des puces AMD. (définition PALOMINO).
PALOURDE: C'est un surnom des iBook de Mac. (définition PALOURDE).
PAM: Acronyme de Pluggable Authentification Modules, ou de Point d'Accès Métropolitain. (définition PAM).
PAN: C'est l'acronyme de Personnal Area Network, qui désigne un petit réseau d'une portée de plusieurs mètres. (définition PAN).
PANCHROMATIQUE: De pan et chromatique qui signifient en grec ancien tout et couleur. Panchromatique signifie donc « de toutes les couleurs ». (définition PANCHROMATIQUE).
PANIC KEY: Désigne la touche par laquelle on recouvre d'une fenêtre sérieuse la fenêtre du jeu sur lequel on vient de passer plusieurs heures. Un synonyme est boss key. (définition PANIC KEY).
PANIC: Désigne l'état d'un noyau perdu dans les erreurs, ainsi que le message qui signale cet état à l'usager. On rencontre aussi « double panic ». (définition PANIC).
PANIER PERCE: Il s'agit d'un dispositif de validation d'accès qui ne prend pas en compte les requêtes en cas de fort traffic. L'équivalent anglais est leaky bucket. (définition PANIER PERCE).
PANNEAU DE CONFIGURATION: Désigne, chez Microsoft notamment, la famille d'utilitaires de gestion du système. L'anglais dit control panel. (définition PANNEAU DE CONFIGURATION).
PANOSE: Désigne un groupe de données portant sur une police True Type : serif ou pas, italique, grasse?sont les informations contenues. (définition PANOSE).
PANTHER: C'est le nom de développement de MacOS 10.3, commercialisé en 2003. (définition PANTHER).
PANTONE: Système qui regroupe une gamme complète de 747 couleurs et qui sont normalisées, obtenues par combinaison entre 9 encres de bases. (définition PANTONE).
PAO: Publication Assistée par Ordinateur. Regroupe tous les techniques informatiques destinées à créer des documents d?impression. (définition PAO).
PAOïSTE: C'est un équivalent de PAOiste. (définition PAOïSTE ).
PAOISTE: Désigne celui dont l'acrivité est la PAO. (définition PAOISTE).
PAP: Pages vues Avec Publicités. Indique le nombre de pages vues par des utilisateurs d?un site web sur lequel se trouve des publicités. La rémunération d?un webmaster est alors fonction de cet indicateur. (définition PAP).
PAPER: Qualifie un affichage noir et blanc dont la définition est celle d'un journal. (définition PAPER).
PAPIER-PEINT: Désigne le visuel décoratif qui occupe l'écran du bureau. L'équivalent anglais est wallpaper. (définition PAPIER-PEINT).
PAQUET DE NOUILLES: Désigne un ensemble de fils profondément emmêlés, qui se trouve derrière tout ordinateur. (définition PAQUET DE NOUILLES).
PAQUET: Désigne une famille de bits, utilisée par les réseaux dont l'architecture est celle dite « à commutation de paquets. Il est en effet plus simple de faire circuler des gros fichiers en les partitionnant en plusieurs paquets. C'est un procédé largement utilisé par l'internet, par exemple les paquets IP. Un synonyme est datagramme. (définition PAQUET).
PAQUETAGE: Action de former des paquets à partir des imprimés avant livraison. (définition PAQUETAGE).
PAR DEFAUT: Qualifie l'état initial d'une variable, avant son éventuelle modification par l'usager. (définition PAR DEFAUT).
PARADIAPHONIE: Mesure la diaphonie existante entre deux câbles. (définition PARADIAPHONIE).
PARADIGME: Désigne une modélisation qualitative des choses. Un synonyme est modèle. (définition PARADIGME).
PARAGRAPHEUR: C'est un terme proposé comme équivalent de beautifier, en incluant une nuance : c'est la totalité d'un paragraphe qui est transformée. (définition PARAGRAPHEUR).
PARALLELE: Caractérise un système qui peut suivre simultanément plusieurs chaînes de calculs de même nature. Qualifie également des procédures appliquées simultanément. Enfin, lorsqu'il s'agit d'un port parallèle, il est question d'un port qui peut émettre ou recevoir plusieurs bits en même temps (définition PARALLELE).
PARALLELISATION: Désigne le fait de modifier un code afin de le rendre exécutable sur un ordinateur fonctionnant en parallèle, c'est-à-dire équipé de plusieurs puces. (définition PARALLELISATION).
PARALLELISME: Désigne le fait, pour un système, d'être capable d'effectuer plusieurs instruction en parallèle. (définition PARALLELISME).
PARAM: C'est un raccourci de paramètre. On trouve parfois parm. (définition PARAM).
PARAMETRAGE: C'est le réglage des variables dans une machine. Désigne également le fait de spécifier les options offertes par un logiciel. (définition PARAMETRAGE).
PARAMETRE: Désigne, dans une application, une option de procédé ou de traitement. (définition PARAMETRE).
PARAMETRER: Désigne le fait de configurer les paramètres d'un programme, par exemple dans le menu setup, ou préférences. (définition PARAMETRER).
PARC: Désigne un groupe de machines d'une société ou d'une structure quelconque. (définition PARC).
PARCAGE: Action de mettre en attente une communication pour attendre que le récepteur soit prêt. (définition PARCAGE).
PARE FEU: Equipement logiciel ou matériel qui permet de filtrer les communications passant à travers lui. Permet de protéger ainsi un réseau local d?attaque provenant d?Internet. (définition PARE FEU).
PARE-FEU: C'est l'équivalent français de firewall et un synonyme de coupe-feu. (définition PARE-FEU).
PARENT: Désigne un objet de niveau supérieur. Un processus parent d'un autre, par exemple, est celui qui peut commander l'exécution de cet autre processus. (définition PARENT).
PARI: C'est l'acronyme de Point d'Accès Régional à l'Internet. (définition PARI).
PARITE: Bit ajouté à des données pour détecter une erreur. Le bit indique si la somme des bits du message est paire ou impaire. (définition PARITE).
PARQUAGE: Désigne un parcage, mais mal orthographié. (définition PARQUAGE ).
PARQUER: Désigne l'opération par laquelle une tête de lecture se retire pour ne pas abîmer le disque. C'est une opération automatique. (définition PARQUER).
PARROT: Désigne le runtime de Perl v.6. (définition PARROT).
PARSER: Algorithme qui permet d?analyser un texte et d?en déterminer sa structure syntaxique afin d?effectuer divers traitement, comme par exemple une compilation. (définition PARSER).
PARTAGE DE TEMPS: C'est un synonyme de temps partagé. (définition PARTAGE DE TEMPS).
PARTAGEABLE: Caractérise une ressource utilisable par plusieurs usagers (personnes ou machines) simultanément. (définition PARTAGEABLE).
PARTAGICIEL: C'est l'équivalent rare de l'anglais shareware. Un synonyme est distributiel. (définition PARTAGICIEL).
PARTIR AUX FRAISES: C'est ce que fait une machine lorsqu'elle dévie de son fonctionnement normal. (définition PARTIR AUX FRAISES).
PARTITION: Désigne une fraction d'un disque dur, considérée comme un disque à part entière. Désigne également le diagramme des fractions d'un disque dur. Enfin, une partition peut désigner l'ensemble des fractions d'un disque. (définition PARTITION).
PARTITION: Zone d?un disque dur séparé virtuellement de l?autre partie, afin d?obtenir deux disques durs indépendant. (définition PARTITION).
PARTITIONNEMENT: C'est le portrait des fractions partitionnées sur un disque. (définition PARTITIONNEMENT).
PARTITIONNER: Créer des zones différentes et hermétiques les unes aux autres sur un disque. C'est parfois nécessaires pour assurer une bonne gestion d'un disque à haute capacité, surtout si l'OS est limité. (définition PARTITIONNER).
PAS A PAS: Qualifie une exécution commande par commande, dans laquelle l'usager récupère la main après chaque instruction. Caractérise également un moteur qui peut réaliser de très petits mouvements égaux les uns aux autres. (définition PAS A PAS).
PAS DE MASQUE: Désigne un équivalent de pitch. (définition PAS DE MASQUE).
PAS: Acronyme de Printer Accounting Server, qui désigne un serveur qui gère les comptes d'impression. (définition PAS).
PAS: Désigne un fichier renfermant un source en Pascal. Pas Désigne aussi le raccourci de « pas de masque. Quand il est question d'internet, un pas est un synonyme de hop. (définition PAS).
PASCAL: C'est un langage de programmation développé par N. Wirth en 68. Il est surtout employé dans l'enseignement, mais n'est pas normé par l'OSI. Son représentant le plus utilisé est le Turbo Pascal de Borland. (définition PASCAL).
PASCAL, BLAISE: C'est un esprit fort et touche-à-tout du XVIIe siècle (définition PASCAL, BLAISE).
PASCALINE: C'est l'une des inventions de Pascal. (définition PASCALINE).
PASSE: Nombre de feuille de papier nécessaire pour caler une machine pour une bonne impression. (définition PASSE).
PASSWD: Sous Unix, passwd est le nom de l'instruction grâce à laquelle on peut modifier son mot de passe. (définition PASSWD).
PASSWORD: C'est l'équivalent anglais de mot de passe. (définition PASSWORD).
PASTE: En anglais, signifie coller. (définition PASTE).
PAT: C'est l'acronyme de Peripheral Allocation Table, soit Table d'Allocation des Périphériques. C'est également l'acronyme de Port Address Translation : un procédé de translation d'une IP non routable en une IP certifiée. Ce procédé est celui employé par les pares-feu et les routeurs. (définition PAT).
PATATOR: Qualifie affectueusement une puce puissante, qui « a de la patate ». (définition PATATOR).
PATCH: Désigne l'adjonction faite à un code, afin de fixer un bug. On a ici colmatage ou rustine comme équivalent. S'il est question d'image de synthèse, un patch est une primitive simple qui, ajouté à d'autres primitives simples, peut produire un élément complexe. Un patch est enfin un objet sonore émis par un synthé. (définition PATCH).
PATCHER: Désigne le fait d'appliquer un patch à un logiciel ou à un code. (définition PATCHER).
PâTE THERMIQUE: Désigne une crème grasse composée des silicones qui a la capacité de conduire la chaleur produite par un processeur vers le radiateur de celui-ci. (définition PâTE THERMIQUE ).
PATH: Désigne le circuit vers un fichier. Dans l'Usenet, un path est l'en-tête d'une contribution. (définition PATH).
PATTE: Désigne l'élément de métal par lequel une carte et un circuit intégré se touchent. Les pattes se compte en centaines dans les puces contemporaines. Désigne également un adaptateur réseau. (définition PATTE).
PATTERN MATCHING: C'est l'équivalent anglais de filtrage. (définition PATTERN MATCHING).
PATTERN: En anglais, pattern signifie motif dans une application graphique (définition PATTERN).
PATX: Acronyme de Private Automatic Telex eXchange. (définition PATX).
PAULA: Désigne un circuit intégré équipant les Amiga. Il est surtout associé aux sons. (définition PAULA).
PAV: C'est l'acronyme de Point d'Accès Vidéotex. Il rassemble des données Minitel pour les installer dans Transpac. Un synonyme de PAV est PAD. (définition PAV).
PAVE NUMERIQUE: Désigne le groupe des touches placées à l'extrême droite d'un clavier. Le pavé numérique est composé des quatre opérations de base, des chiffres et de la virgule. Y figure également la touche entrée. (définition PAVE NUMERIQUE).
PAVE: Bloc de ligne de texte délimité par des blancs, paragraphe. (définition PAVE).
PAVI: Acronyme de Point d'Accès Vidéotex Intermédiaire. C'est l'ancienne version des PAV. (définition PAVI).
PAVI: Assembleur Désassembleur de paquet issu des autocommutateurs publics pour diriger le trafic des Minitel vers le réseau Transpac. (définition PAVI).
PAX: Acronyme de Private Automatic eXchange, ou de Portable Archive eXchange qui est un standard peu utilisé de stockage et compactage sous Unix. (définition PAX).
PAYLOAD: Partie contenant les informations utiles dans un message, par opposition aux informations de contrôle du message. (définition PAYLOAD).
PAYSAGE: Désigne une option de positionnement d'une page : la page est présentée dans la largeur. On peut dire « à l'italienne ». (définition PAYSAGE).
PAYWARE: Désigne un logiciel à licence payante. (définition PAYWARE).
PB: C'est un raccourci signifiant problème. C'est aussi un acronyme de PowerBook ou de Petabyte, une unité de 2 50 octets. (définition PB).
PBA: Signifie « Pas de Balle en Argent », soit « No Silver Bullet » en vo. Désigne une idée de F. Brooks. Une balle en argent est dite capable de tuer les loups-garous ou les vampires, c'est-à-dire possède une signification magique. Selon Brooks, un tel objet n'existe pas en matière de développement logiciel, c'est-à-dire qu'il n'existe pas de concept pouvant significativement réduire le temps passé à concevoir un logiciel. (définition PBA).
PBD: C'est l'acronyme de Programming By Demonstration. L'idée est de pouvoir exposer un procédé à une machine et la laisser réaliser ce procédé sur d'autres objets. (définition PBD).
PBE: Programming By Exemple. C'est un synonyme de PBD. (définition PBE).
PBM: Désigne un fichier qui renferme une image. (définition PBM).
PBX: Acronyme de Private Branch eXchange. Désigne, dans le parc d'une entreprise, le dispositif d'échange interne de données et de liaison avec le réseau téléphonique. On a comme synonyme PAX et PABX. (définition PBX).
PC CARD: Désigne la réunion du JEIDA (Japan Electronic Industry Developement Association) et de PCMIA, mise en place pour substituer un nouveau standard au PCMIA. Désigne également le standard PCMIA 3. (définition PC CARD).
PC: C'est l'acronyme de Personnal Computer, soit un ordinateur personnel : désigne une typologie très courante de machines. IBM en est à l'origine. PC est aussi l'acronyme de Printed Circuit, un circuit imprimé, de Power Controller ou de Process Controller. Enfin, PC signifie program Counter : un dispositif qui signale l'emplacement de la commande suivante. (définition PC).
PC: Personal Computer. Nom des premiers ordinateurs développés par IBM en 1981 à destination du public, désigne aujourd?hui les ordinateurs ayant la même architecture. (définition PC).
PC100: C'est l'appellation des SDRAM développées pour être accueillies sur un bus 100 MHz. (définition PC100).
PC133: Désigne une SDRAM conçue pour un bus 133 MHz. (définition PC133).
PC1600: C'est la nouvelle appellation des PC200, une barrette mise au point pour un bus à 100Mhz. (définition PC1600).
PC200: PC200 désigne à l'origine les barrettes DDR-SDRAM mises au point pour les bus 100 MHz. Elles ont été rebaptisées PC1600. (définition PC200).
PC2100: Désigne la nouvelle appellation d'une PC266. La vitesse maximale en est 2,1 Go/s. (définition PC2100).
PC2600: Désigne une DDR-SDRAM qui accueillie par un bus à 166 MHz mais qui est modifiée pour aller jusqu'à 333 MHz. Son débit est de 2,6 Go/s. (définition PC2600).
PC266: Désigne une DDR-SDRAM pour un bus 133 MHz. Le nouveau nom est PC2100. (définition PC266).
PC2700: Une DDR-SDRAM à 333 MHz. (définition PC2700).
PC3200: Désigne une DDR-SDRAM à 400 MHz. (définition PC3200).
PC3500: C'est une DDR-SDRAM à 433 MHz. (définition PC3500).
PC3700: Une DDR-SDRAM à 466 MHz. (définition PC3700).
PC600: Désigne une RDRAM qui tourne à 266 MHz. Sa vitesse maximale est 1,066 Go/s. (définition PC600).
PC700: C'est une RDRAM sous 356 MHz, qui a une vitesse de 1,4 Go/s. (définition PC700).
PC800: Désigne une RDRAM qui tourne à 400 MHz et possède un débit de 1,6 Go/s. (définition PC800).
PCB: C'est l'acronyme de Printed Circuit Board, soit un circuit imprimé. (définition PCB).
PCBX: Acronyme de Private Computerized Branch eXchange. Désigne une évolution plus légère et plus rare de PABX. (définition PCBX).
PCC: Signifie Prepaid Calling Card, soit une carte de téléphone pré-payée. (définition PCC).
PCCA: Portable Computer and Communications Association. (définition PCCA).
PC-CILLIN: C'est un logiciel anti-virus conçu par Trendmicro. (définition PC-CILLIN).
PCD: Désigne un fichier qui renferme différentes qualités d'une image identique. C'est un format de Photo CD. Désigne aussi l'acronyme de Personnal Communication Device, le nom générique des instruments portable de communication, PDA ou téléphone. (définition PCD).
PCDATA: Signifie Parsed Character DATA. C'est la fraction d'un document qui est capable de stocker du texte et des balises. (définition PCDATA).
PC-DOS: Désigne le DOS d'IBM. Il est en partie compatible avec le MS-DOS de Microsoft. (définition PC-DOS).
PCDU: Signifie Pauvre Con D'Utilisateur, pour mettre en avant le peu de considération qu'a un développeur pour l'usager. (définition PCDU).
PCI EXPRESS: Amélioration du port PCI voué à remplacer les ports PCI et AGP, il permet des débits jusqu?à 10 Go/s. (définition PCI EXPRESS).
PCI: Acronyme de Peripheral Component Interconnect. Désigne un bus d'une taille de 32 bits, sous 33 MHz avec une vitesse de 132 Mo/s. Il est pris en charge par les puces PowerPC ou Alpha en plus de celles équipant les PC. (définition PCI).
PCI: Peripheral Component Interconnect. Bus d?extension standard pour ajouter des périphériques internes à un ordinateur. Ce bus permet des débits jusqu?à 266 Mo/s. (définition PCI).
PCIE: Passeport de Compétences Informatiques Européen. Désigne la certification, délivrée par le CEPIS, de compétences au niveau européen. (définition PCIE).
PCISTE: Désigne l'usager d'un PC. (définition PCISTE).
PCI-X: Désigne un Peripheral Component Interconnect eXtended, soit l'ajout à un bus PCI d'un bus secondaire qui autorise une circulation des données en 64 bits et à 133 MHz. Il est commercialisé par HP, Compaq et IBM depuis 98. (définition PCI-X).
PCL: Acronyme de Printer Control Language, qui désigne un langage de détermination de page. Il est développé principalement pour les imprimantes jet d'encre et les imprimantes laser. Conçu par HP, il est aujourd'hui un standard de fait. PCL est également l'acronyme de Portable Common Lisp. (définition PCL).
PCM: Acronyme de Pulse Code Modulation. C'est un standard d'échantillonnage sonore non compacté. Conçu par Sony, il est employé par les CD audio et par les DAT. (définition PCM).
PCM: Pulse Code Modulation. Procédé d?encodage du son, utilisé sur les CD et DVD Audio. (définition PCM).
PCMIA: C'est l'acronyme de Personnal Computer Memory Card International Association. Désigne un format d'adaptateur spécialement conçu pour les ordinateurs portables. Il a comme caractéristique ses dimensions réduites. (définition PCMIA).
P-CODE: C'est un raccourci de pseudo-code ou de Pascal-code. (définition P-CODE).
PCP: Acronyme d'un Parler Politiquement Correct, mais aussi le nom d'une drogue dure. (définition PCP).
PCRE: Acronyme de Perl Compatible Regular Expression, soit une expression régulière compatible avec le Perl. (définition PCRE).
PCRM: C'est un acronyme de Predictive Consumer Relationship Management. Désigne une évolution de la CRM. (définition PCRM).
PCT: C'est l'acronyme de Privacy Communication Technology. Désigne un format d'encodage développé par Microsoft comme substitut au SSL v.2. Il n'a jamais été utilisé. (définition PCT).
PCWG: Signifie Personnal Conferencing Workgroup, soit une réunion de travail en téléconférence. Intel a lancé ce projet, puis l'a remplacé par IMTC. (définition PCWG).
PDA: Personal Digital Assistant. Véritable ordinateurs de poche cumulant de nombreuses fonctions. (définition PDA).
PDF: Portable Document Format. Ce format est portable sur tous les systèmes en garantissant un aspect identique partout, développé par Adobe. (définition PDF).
PDH: Technologie de multiplexage utilisé dans les réseaux de télécommunications. (définition PDH).
PDM: Acronyme de Product Data Management. (définition PDM).
PDN: Réseau public servant à transmettre des informations. (définition PDN).
PDP-X: Désigne un Programmed Data Processor-x, où x est un nombre entre 1 et 11. C'est une classe de machines conçues par Digital dans les années 60-70. Le PDP-1 a rencontré un gros succès, avec ses 9 Ko de RAM. (définition PDP-X).
PDRC: C'est l'acronyme de Peak Detection Read Channel. Désigne un procédé de lecture sur un disque dur, qui repère les pics sur celui-ci. (définition PDRC).
PDS: Système de câblage utilisant de la paire torsadée, développé par AT&T.; (définition PDS).
PDT: Acronyme de Pacific Daylight-savings Time, qui est l'heure d'été de l'extrême ouest des Etats-Unis (UTC-7heures). (définition PDT).
PDU: Unité d?échange manipulé par une certaine couche dans le modèle OSI. (définition PDU).
PE: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Pérou. (définition PE).
PE: Acronyme de Portable Executable. Désigne, sous Windows, les fichiers EXE, soit un standard d'exécutables 32 bits. Le standard est une évolution du COFF sous Unix. (définition PE).
PECE: Equivalent de PC, fondé sur le même principe que cédérom. (définition PECE).
PECESOUDOS: Désigne péjorativement un PC équipé de MS-DOS. (définition PECESOUDOS).
PEDALER: Désigne le fait, pour une machine, d'effectuer des opérations en grand nombre et simultanément. La conséquence : un temps d'attente pour l'utilisateur. (définition PEDALER).
PEEK: Désigne la commande BASIC par laquelle on peut retrouver l'adresse d'une mémoire. Sur une machine 8 bits, cette commande est la seule possibilité de savoir quel est la situation du système car la mémoire de telles machines est insuffisante pour stocker des informations sur cette situation. (définition PEEK).
PEER: C'est l'équivalent anglais de pair. (définition PEER).
PEERING: Désigne la mise en commun entre des instances (par exemple des fournisseurs d'accès internet) des infrastructures de routages afin de construire un carrefour qui améliorera le traffic. (définition PEERING).
PEL: C'est un raccourci qui désigne un Picture ELement. C'est l'équivalent d'un pixel, souvent employé chez IBM. (définition PEL).
PELLICULAGE: Positionnement d?une pellicule en cellulose sur une feuille d?impression. (définition PELLICULAGE).
PELUCHAGE: Décollement de particules du papier suite à un arrachage. (définition PELUCHAGE).
PEM: Acronyme de Privacy Enhanced Mail. C'est un standard (depuis les RFC 1421 à 1424) d'e-mail sécurisé. (définition PEM).
PENGUINISTA: Désigne un utilisateur convaincu de Linux dont l'emblème est le pingouin Tux. Le terme Penguinista met en avant l'aspect révolutionnaire et libre de Linux par une référence aux activistes sud-américains des années 50. (définition PENGUINISTA).
PEN-OS: Désigne le Pen Operating System, qui est un OS manoeuvrable avec un stylo en lieu et place du clavier. (définition PEN-OS).
PENTIUM 4: Désigne une évolution de la puce d'Intel, commercialisée en 2000. Les ajouts sont essentiellement des babioles, la différence de performance entre Pentium 4 et Pentium III est quasi-inexistante. Elle est cadencée entre 1 et 2 GHz (définition PENTIUM 4).
PENTIUM 5: Désigne une évolution du Pentium 4, commercialisée en 2003. (définition PENTIUM 5).
PENTIUM II: C'est l'évolution du Pentium Pro. (définition PENTIUM II).
PENTIUM III: Son appellation de développement est Katmai. Doté d'une vitesse de 450 MHz à 1.1 GHz, d'un bus de 100 à 133 MHz, le processeur est équipé d'un PSN et d'un jeu de commandes afin de prendre en charge du multimédia. (définition PENTIUM III).
PENTIUM M: Désigne l'évolution ciblée portable des processeurs d'Intel. Il est composé de 77 millions de transistors, d'un cadencement allant de 900 MHz à 1.6 GHz et d'un bus à 400 MHz. (définition PENTIUM M).
PENTIUM PRO: Commercialisée en 95, cette évolution intégre un cache de niveau 2 (256 ou 512 ko) et est composée de 5 millions de transistors. Le cadencement, lui, allait de 150 à 266 MHz. (définition PENTIUM PRO).
PENTIUM: Désigne une puce produite par Intel. Composée de plus de 3 millions de transistors, sous 32 bits (64 pour le bus de données), elle a bénéficié d'un cadencement entre 60 MHz et 200 MHz. Sa réputation est très mauvaise, en raison d'erreurs dans les calculs. Un acronyme de Pentium est par exemple Produces Erroneous Numbers Through Incorrect Understanding of Mathématics (c'est-à-dire « produit des nombres erronés en raison d'un incompréhension des mathématiques). (définition PENTIUM).
PER: Acronyme de Point d'Echange Régional. (définition PER).
PERFORAGE: Opération consistant à faire des trous de petite taille le long d?une ligne sur une feuille, afin de faciliter un détachement ultérieur. (définition PERFORAGE).
PERFORATEUR: Désigne l'outil utilisé pour perforer les cartes à trous qui servaient à stocker l'information sur les calculateurs d'autrefois. (définition PERFORATEUR).
PERFORMANCE: Désigne le groupe des signaux qualifiant la puissance d'une machine : rapidité des opérations, vitesse d'échange et de circulation des informations etc? (définition PERFORMANCE).
PERIPHERIQUE DE SORTIE: C'est un périphérique par lequel l'ordinateur émet des données vers l'extérieur. (définition PERIPHERIQUE DE SORTIE).
PERIPHERIQUE D'ENTREE: Désigne un périphérique par lequel on émet des données vers un ordinateur. (définition PERIPHERIQUE D'ENTREE).
PERIPHERIQUE: Désigne tout équipement attaché à un ordinateur : clavier, souris, imprimante etc? (définition PERIPHERIQUE).
PERITEL: C'est le raccourci de PériTélévision. Désigne la prise par laquelle on peut connecter des périphériques à sa télévision (lecteur DVD, magnétoscope etc?). La prise péritel pouvait autrefois faire de la télévision le moniteur d'un ordinateur. (définition PERITEL).
PERITEL: Prise permettant du cumuler plusieurs signaux vidéo (Composite, S-Vidéo ou RVB), un signal audio et des ordres de télécommandes. Présente l?avantage d?être bidirectionnel. (définition PERITEL).
PERL: Langage de programmation utile pour les programmes CGI grâce à ses qualités de parser. (définition PERL).
PERLIEN: Caractérise un élément touchant au langage Perl. Désigne également les usagers de ce langage. Un équivalent est alors Perl Mongers. (définition PERLIEN).
PERLOS: C'est le nom d'une idée visant à développer un OS entièrement en Perl. (définition PERLOS).
PERLUETE: C'est l'appellation du caractère & (définition PERLUETE).
PERLUETTE: C'est une orthographe alternative. (définition PERLUETTE).
PERMALINK: Désigne un lien hypertexte mis au point sans limitation de temps. Il permet donc d'éviter les erreurs 404. (définition PERMALINK).
PERMISSION MARKETING: Désigne une évolution à peine plus polie du spam, où l'on fait semblant de demander le droit d'envoyer des publicités. (définition PERMISSION MARKETING).
PERMISSIONS: C'est un synonyme de droit d'accès, sous-entendu à un fichier. Une permission donne le droit d'écrire, de consulter ou d'effectuer un programme. (définition PERMISSIONS ).
PERMUTATION: C'est l'équivalent français de swap. (définition PERMUTATION).
PERSISTANT: Caractérise une information qui demeure même en cas de mise hors tension de la machine. Une telle donnée est le plus souvent enregistrée dans un fichier. Le contraire de persistant est volatile. (définition PERSISTANT).
PERT: C'est l'acronyme de Program Evaluation and Review Technic. Désigne un procédé qui permet de planifier une mise à jour des applications et programmes. La PERT a été conçue pour l'US Navy. (définition PERT).
PESIT: Protocole d'Echanges pour Système Interbancaire de Télécompensation. (définition PESIT).
PETABIT: Un pétabit vaut 2 50 bits. (définition PETABIT).
PETALE: Acronyme de Présenté A l'Ecran Tel qu'A L'Ecrit. Un équivalent est tête-2. (définition PETALE).
PETAOCTET: 2 50 octets, soit 1 125 899 906 842 624 octets. (définition PETAOCTET).
PETIT-BOUTIEN: C'est un synonyme de petit-boutiste. (définition PETIT-BOUTIEN).
PETIT-BOUTISTE: C'est l'équivalent de l'anglais little endian. (définition PETIT-BOUTISTE).
PETITE NUIT: Renvoie à la faible quantité de repos prise après avoir fait l'acquisition d'un nouveau matériel. (définition PETITE NUIT).
PETOUILLE: Désigne une petite irrégularité dans une image. (définition PETOUILLE).
PETRI (RESEAU DE): Un réseau de Pétri désigne une technologie par laquelle on peut analyser des systèmes complexes. Conçus dans les années 60 par C. Pétri et le MIT, ils sont toujours en activité et servent à étudier les dépendances inter-processus dans les systèmes d'information. (définition PETRI (RESEAU DE)).
PEUPLE: Qualifie un adaptateur quelconque sur lequel on connecte d'autres adaptateurs. (définition PEUPLE).
PF: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Polynésie Française. (définition PF).
PF: C'est l'acronyme de Personnal Firewall, un anti-virus pour ordinateur personnel. (définition PF).
PFI: Acronyme de Pay For Inclusion : il faut acheter son inscription à une banque de données. (définition PFI).
PG: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Papouasie-Nouvelle-Guinée. (définition PG).
PGA: C'est l'acronyme de Programmable Gate Array, ou de Professionnal Graphics Adapter qui désigne un vieux standard d'adaptateur vidéo capable d'une qualité de 640 x 480 sous 256 couleurs. C'est aussi l'acronyme de Pin Grid Array, qui désigne la pièce de céramique qui soutient un processeur. Cette pièce peut avoir plusieurs centaines de pattes. On trouve aussi les PPGA qui sont composés de plastique. (définition PGA).
PGDN: Désigne la touche par laquelle on peut progresser d'une page-écran vers le bas. Pgup avance vers le haut. (définition PGDN).
PGI: Acronyme de Progiciel de Gestion Intégrée. L'équivalent anglais est ERP. (définition PGI).
PGM: C'est un raccourci qui désigne un programmeur ou un programme. (définition PGM).
PGP: C'est l'acronyme de Pretty Good Privacy. Désigne une intégration du RSA (un procédé de chiffrement) dans l'internet. C'est un procédé de haut niveau, utilisé par l'armée américaine. (définition PGP).
PGUP: C'est la touche par laquelle on peut revenir d'un page-écran en arrière. (définition PGUP).
PH: A la fin d'une URL, signale que le site est basé aux Philippines. (définition PH).
PHIGS: Acronyme de Programmer's Hierarchical Interactive Graphics System. Désigne un procédé par lequel on peut représenter sous la forme d'un diagramme des visuels 2D ou 3D. (définition PHIGS).
PHILE: Désigne un fichier stockant des données sensibles provenant le plus souvent de piraterie téléphonique. Comme téléphone se dit Phone, le « ph » est intégré au mot anglais désignant un fichier, file. On obtient ainsi phile. (définition PHILE).
PHILOSOPHE: Renvoie au problème des cinq philosophes qui, assis autour d'une table de forme ronde, doivent manger et penser. Ce problème, énoncé et résolu par E. Dijkstra en 65, modélise la difficulté de synchroniser des processus. (définition PHILOSOPHE).
PHISHING: Désigne une méthode d'escroquerie qui consiste à émettre un e-mail en se faisant passer aux yeux du destinataire pour une instance importante (une banque, le plus souvent). On demande alors une confirmation des coordonnées bancaires à ce destinataire, puis on va pêcher sur son compte. (définition PHISHING).
PHONECAM: Désigne les téléphones mobiles équipés d'un appareil photo, parfois d'une caméra. (définition PHONECAM).
PHONG: Désigne un procédé de calcul graphique qui ne prend pas en ligne de compte la lumière telle qu'elle se reflète dans les éléments de l'image de synthèse. (définition PHONG).
PHOTO CD: Désigne un CD-ROM développé par Kodak pour accueillir des diapos. (définition PHOTO CD).
PHOTO NUMERIQUE: Des senseurs électroniques fixent la lumière en un ensemble de données digitales,au lieu des cristaux d'argent de la photo argentique. (définition PHOTO NUMERIQUE).
PHOTOBLOG: Désigne un blog qui se concentre sur la diffusion de photos et non pas d'écrits. (définition PHOTOBLOG).
PHOTOCOMPOSEUSE: Désigne l'appareil utilisé pour produire des impressions à haute résolution (1200 à 3600 PPP). Une photocomposeuse emploie des films électrophotographiques. (définition PHOTOCOMPOSEUSE).
PHOTOCOPIEUR: Désigne la machine avec laquelle on peut dupliquer des documents de papier. (définition PHOTOCOPIEUR).
PHOTOCOPIEUSE: C'est l'équivalent du photocopieur. (définition PHOTOCOPIEUSE).
PHOTODIODE: Désigne une diode sensible à la lumière. (définition PHOTODIODE).
PHOTOELECTRIQUE: Qualifie un élément qui fonctionne par l'électricité extraite de la lumière. (définition PHOTOELECTRIQUE).
PHOTOGRAVURE: Désigne la copie de photo effectuée par l'intermédiaire de trames qui traduisent les couleurs en point de tailles différentes. (définition PHOTOGRAVURE).
PHOTOGRAVURE: Ensemble des techniques et procédé qui permettent de créer des éléments imprimants : planches gravées et typons. (définition PHOTOGRAVURE).
PHOTONIQUE: Désigne l'étude de la possibilité d'employer des photons à la place des électrons, moins rapides, pour composer des équipements électroniques. (définition PHOTONIQUE).
PHOTOPHONE: Désigne un téléphone mobile équipé d'un appareil phot numérique. (définition PHOTOPHONE).
PHOTOPHORE: Désigne, dans un moniteur, l'élément s'éclairant lorsqu'il est atteint par les électrons. C'est la pièce principale d'un tube cathodique. (définition PHOTOPHORE).
PHOTOREALISME: Désigne le fait qu'un visuel soit presque identique, dans sa résolution, à une image réelle. C'est donc la visée d'un technicien en images synthétiques. (définition PHOTOREALISME).
PHOTOREALISTE: Qualifie un visuel d'une résolution équivalente à une photographie. (définition PHOTOREALISTE).
PHOTOSCOPE: Désigne, entre autres, un appareil de photo numérique pouvant réaliser de courtes animations vidéos. (définition PHOTOSCOPE).
PHOTOSENSIBLE: Qualifie un élément sensible à la quantité de lumière. (définition PHOTOSENSIBLE).
PHOTOSHOP: C'est le nom de l'application ultra célèbre de traitement d'images conçue par Adobe. (définition PHOTOSHOP).
PHOTOSTYLE: C'est synonyme peu fréquent de crayon optique. (définition PHOTOSTYLE).
PHP: Langage de programmation contenu dans des pages Web et exécuté sur les serveurs, ils renvoient directement le résultat vers le client qui ne peut jamais voir la source. Permet de créer des pages Web dynamique. (définition PHP).
PHP3: Désigne un script en PHP version 3. On dira plutôt php, tout simplement. (définition PHP3).
PHPNUKE: Désigne un type de portails internet, développé en PHP. Le phpnuke est très utilisé aujourd'hui, il est capable d'intégrer des thèmes. (définition PHPNUKE).
PHPS: Désigne un fichier renfermant du source en PHP. (définition PHPS).
PHRACK: Désigne un fanzine internet fameux, spécialisé dans le phreaking et la vie souterraine de l'informatique. La première édition date de novembre 85. (définition PHRACK).
PHREAKER: Freak signifie en anglais monstre. En intégrant le « ph » de phone, on obtient un monstre du téléphone. Désigne un hacker pour qui les réseaux téléphoniques sont la cible privilégiée. (définition PHREAKER).
PHREAKING: Désigne le groupe des procédés de hacking des réseaux téléphoniques. Ces pratiques ont eu leur bible : le fanzine TAP, lancé en 71 par A. Hoffman. (définition PHREAKING).
PHTML: Désigne l'extension des fichiers PHP. (définition PHTML).
PHYLACTERE: Désigne un équivalent rare d'infobulle. (définition PHYLACTERE).
PI: Acronyme de Processing Instruction (définition PI).
PIA: C'est l'acronyme de Peripheral Interface Adapter, qui désigne un processeur conçu par Motorola et dédié aux ports séries. (définition PIA).
PIANOTER: C'est le fait d'utiliser un ordinateur via son clavier afin de faire un essai rapide de cette machine. (définition PIANOTER).
PIAO: Acronyme de Photo-Interprétation Assistée par Ordinateur. Désigne un procédé d'étude des informations recueillies par un satellite. (définition PIAO).
PIC: C'est l'acronyme de Programmable Interrupt Controller, soit un Contrôleur d'Interruption Programmable. Le 8259A d'Intel en est un exemple. PIC désigne également fréquemment une image, PICture, en anglais. (définition PIC).
PICA: C'est une mesure employée en typographie. 1 pica est égal à 12 points, c'est-à-dire 0,5cm. (définition PICA).
PICK: Désigne un OS structuré autour d'une banque de données. Il est aujourd'hui toujours en service, bien qu'archaïque. (définition PICK).
PICO BTX: C'est un standard de carte mère de 20,3cm x 26,6cm. (définition PICO BTX).
PICO: Multiplie par 10 -12 un élément, soit une division par un millier de milliards. (définition PICO).
PICOLITRE: C'est le volume d'encre composant une goutte utilisée par un périphérique d'impression à jet d'encre. Cela correspond au millième de milliardième d'un litre. (définition PICOLITRE).
PICONET: Désigne un réseau composé par des appareils se servant d'un canal Bluetooth unique. (définition PICONET).
PICS: Acronyme de Platform for Internet Content Selection. Désigne un standard caractérisant le contenu d'un site internet. (définition PICS).
PICTO: C'est un raccourci de pictogramme. (définition PICTO).
PICTOBLOG: Désigne un blog composé uniquement de documents visuels. (définition PICTOBLOG).
PICTOGRAMME: Désigne un visuel de petite taille. Attention à ne pas le confondre avec une icône, celle-ci jouant un rôle dans le fonctionnement interne d'un ordinateur. (définition PICTOGRAMME).
PID: Désigne un Process Identifier. Il s'agit d'une valeur numéraire qui spécifie quels processus sont en cours simultanément dans un ordinateur multitâche. (définition PID).
PIDFILE: Désigne le fichier qui archive l'identification d'un processus. Une application peut grâce au pidfile savoir si elle est actuellement exécutée. (définition PIDFILE).
PIED-DE-MOUCHE: C'est le nom du caractère ¶. Il est parfois le signal d'un nouveau paragraphe dans les traitements texte. Il signalait auparavant (jusqu'au XVIIIe siècle) les feuillets à collationner lors de la confection d'un livre. (définition PIED-DE-MOUCHE).
PIEGEABLE: Caractérise un comportement erroné dans l'exécution d'une application qu'il est possible de contourner et de corriger. C'est donc le contraire d'une erreur fatale. (définition PIEGEABLE).
PIEGEAGE: Désigne la possibilité de pièger une erreur dans une application. (définition PIEGEAGE).
PIEGER: C'est le fait d'éviter des erreurs en les contournant et de les corriger. (définition PIEGER).
PIF: Acronyme de Program Information File. Désigne un fichier qui stocke des données concernant une application DOS qu'on veut utiliser sous Windows. C'est également l'Acronyme de Paysage Informatique Français. (définition PIF).
PIGE: Observation des publicités faites par ses concurrents. (définition PIGE).
PIGGYBACK: Opération qui consiste à renvoyer l?acquittement d?un message avec le message suivant. (définition PIGGYBACK).
PIGUI: Acronyme de Platform Independant Graphical User Interface, soit une interface graphique indépendante de la plate-forme utilisée. C'est le cas de X11, par exemple. (définition PIGUI).
PILE: Désigne une architecture fréquente d'informations, dans laquelle les informations les plus récentes sont les premières à sortir. (définition PILE).
PILOTAGE: Désigne la suite d'instructions qu'on transmet à un périphérique grâce à un pilote. (définition PILOTAGE).
PILOTE: Traduction française de driver. Programme qui sert d?intermédiaire entre un logiciel et un matériel. Il contient des fonctions permettant l?exploitation du matériel, et permet l?abstraction de la couche matérielle. (définition PILOTE).
PILOTER: C'est le fait de commander un périphérique. (définition PILOTER).
PIM: C'est l'acronyme de Personnal Information Manager, qui désigne une application ou une machine (de type PDA) de gestion d'informations. (définition PIM).
PIMF: Acronyme de Pairs In Metal Foil. Désigne une sorte de câble où chaque paire de fils est insérée dans un tube métallique. (définition PIMF).
PIN: Acronyme de Personnal Identification Number. C'est grâce à lui que l'on s'identifie auprès d'un système ou d'un réseau. L'équivalent français est NIP. (définition PIN ).
PINE: C'est un acronyme qui désigne un Program for Internet News and Email, c'est-à-dire une application de management d'emails (en caractères uniquement). (définition PINE).
PING OF DEATH: Littéralement le « Ping de la Mort ». Désigne un paquet ICMP dont la taille excède les capacités de la machine. Une erreur sérieuse peut donc survenir. (définition PING OF DEATH).
PING: Commande qui permet de tester la présence d?une machine sur un réseau, grâce à un paquet de donnée qui fait un aller retour dans un temps qui dépend de la qualité de la ligne. (définition PING).
PINGOUIN: Un pingouin est l'animal fétiche de Linux. (définition PINGOUIN).
PINK: Le rose est la couleur historique du spam. Pink peut donc qualifier quelque chose qui a rapport au spam. (définition PINK).
PINOCHE: Désigne une broche. (définition PINOCHE).
PINSWARE: Désigne un logiciel dont la licence s'acquiert en échange de pin's (des badges). (définition PINSWARE).
PIO: Acronyme de Programmed Input Output. Désigne le protocole selon lequel une machine et son disque dur sont en rapport. Il est à noter que le PIO utilise la puce, ce qui rend l'ordinateur indisponible. (définition PIO).
PIPE NOMME: Caractérise un cylindre si les données transportées le sont sous la forme d'un fichier. (définition PIPE NOMME).
PIPE: Désigne le caractère représenté par une barre en hauteur : ? . On l'appelle pipe car c'est par lui qu'il est possible d'effectuer du pipeline sous Unix. Pipe est également l'équivalent anglais de tube. (définition PIPE).
PIPELINE: Désigne la méthode par laquelle on peut isoler les unes des autres les différentes étapes de la réalisation d'un processus. Désigne également la possibilité d'orienter la sortie d'une instruction vers l'entrée d'une autre commande. (définition PIPELINE).
PIPELINING: Désigne le fait de se servir du procédé de pipeline. (définition PIPELINING).
PIQURE: Opération qui consiste à agrafer des pages entre elles. (définition PIQURE).
PIRATAGE: Désigne le fait de pirater, c'est-à-dire créer un accès dans un système, le consulter, le transformer?sans permission. (définition PIRATAGE).
PIRATE: Désigne celui qui se livre au piratage. (définition PIRATE).
PIRATER: Désigne l'action de s'introduire dans un système afin d'en extraire ou d'en modifier les informations, sans autorisation. (définition PIRATER).
PIRATERIE: L'activité d'un pirate. (définition PIRATERIE).
PIRATEUR: C'est un équivalent de pirate. (définition PIRATEUR).
PIRE: Acronyme de Puissance Isotrope Rayonnée Equivalente. (définition PIRE).
PISMO: C'est l'appellation d'une des familles de Powerbook. (définition PISMO).
PISS: C'est l'acronyme de Passive Intentional Silence Strike. Désigne le fait, sur l'Usenet, de snober quelqu'un et les contributions de ce quelqu'un. (définition PISS).
PISSER DU CODE: Désigne péjorativement le fait de produire du source en grande quantité et sur une longue durée. (définition PISSER DU CODE).
PISTE: Sur un support (CD, disque dur ?), désigne une partition rationnelle. (définition PISTE).
PIT: C'est un fichier compacté avec l'application Packit. (définition PIT).
PITA: Acronyme de Pain In The Ass. (définition PITA).
PITCH: Distance entre deux pixels voisins sur un écran. (définition PITCH).
PIX: Acronyme de Paris Internet eXchange. C'est le carrefour parisien d'interconnexion internet, par lequel les réseaux émettent et recoivent des données. (définition PIX).
PIXEL GRAPHIC: Désigne un visuel simple comme en faisait l'informatique des années 80. (définition PIXEL GRAPHIC).
PIXEL INVISIBLE: Désigne un visuel minuscule, de la taille d'un pixel. (définition PIXEL INVISIBLE).
PIXEL MORT: Caractérise un pixel qui, sur un moniteur LCD, perd sa teinte et sa forme et apparaît comme un point noir. (définition PIXEL MORT).
PIXEL: C'est le raccourci de Picture Cell, soit une « cellule d'image » : un point d'une image. On trouve chez IBM l'équivalent PEL. (définition PIXEL).
PIXELISATION: Désigne la traduction en bitmap d'une image vectorielle. Désigne également le procédé par lequel les visages sont rendus inidentifiable à la télévision, lorsqu'on veut protégé l'anonymat de quelqu'un. Enfin, la pixelisation désigne la perte inévitable de qualité d'une image dès lors qu'un zoom est réalisé sur elle. (définition PIXELISATION).
PIXELISER: C'est un équivalent de mosaïquer. Pixeliser désigne aussi le fait, pour un pixel, d'apparaître dans une image, alors qu'il devrait rester invisible. (définition PIXELISER).
PIXELLIEN: Désigne ce qui a rapport aux pixels. On parle ainsi d'art pixellien. (définition PIXELLIEN).
PIXELS: Contraction de Picture et Element. Il s?agit d?un point de couleur unie de taille minime et qui est l?élément de base d?une image. L?image est constitué d?un ensemble de pixels. (définition PIXELS).
PIXLET: Désigne un codec vidéo conçu par Apple. (définition PIXLET).
PIXMAP: Désigne la représentation d'une image sous la forme d'un tableau à trois dimensions : une dimension indiquant la profondeur des pixels, deux indiquant la taille totale de l'image. (définition PIXMAP).
PJ: Acronyme de Private Joke, c'est-à-dire une blague d'initiés, qui reste hermétique au commun. (définition PJ).
PJPEG: Désigne une Progressive JPEG, soit un visuel JPEG qui apparaît de plus en plus nette au fur et à mesure de son téléchargement. On peut ainsi mettre fin à l'enregistrement si l'image ne correspond pas à ce que l'on attendait. (définition PJPEG).
PK: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Pakistan. (définition PK).
PKA: Acronyme de Public Key Authentification, soit une authentification qui s'effectue par une clé publique. (définition PKA).
PKCS: Public Key Crypto System. Désigne un système de codage à clé publique. Désigne aussi les Public Key Cryptography Standards, soit les normes de codage à clé publique. (définition PKCS).
PKI: Acronyme de Public Key Infrastructure, soit le groupe des procédés et instances qui normalisent l'intégration et l'usage des certifications fondées sur l'utilisation de codages à clé publique. (définition PKI).
PKT: C'est un raccourci pour l'anglais packet. (définition PKT).
PKZIP: Désigne l'application de compactage au format Zip. (définition PKZIP).
PL / 1: C'est un raccouric pour signifier Programmation Language 1, l'un des langages initiales il est conçu à la même époque que COBOL. (définition PL / 1).
PL: Désigne l'extension d'un fichier qui renferme un exécutable en Perl. A la fin d'une URL, Pl signale aussi que le site est basé en Pologne. (définition PL).
PLA: Acronyme de Programmable Logic Array, soit un processeur logique programmable. (définition PLA).
PLACARD: Epreuve d?un texte pour la relecture. (définition PLACARD).
PLACE DE MARCHE: Désigne un site internet Business to Business qui sert d'intermédiaire entre un fournisseur et un client. On dit aussi place de marché électronique. (définition PLACE DE MARCHE).
PLAN 9: Désigne un OS conçu par les Bell Labs, extensible et en mode distribué. Il est en fait une variante d'Unix. L'appellation plan 9 renvoie à " Plan 9 from outer space", un film de science fiction. (définition PLAN 9).
PLAN CALCUL: Désigne un projet public français de 67, conçu après que le gouvernement américain a refusé de vendre un mainframe Control Data aux militaires français. Il était question de produire nationalement des calculateurs. (définition PLAN CALCUL).
PLAN DE BIT: Désigne le mode d'archivage des couleurs de chaque pixel plusieurs bits servant à définir la couleur d'un pixel, un plan de bit est composé de plusieurs groupes de bits oà¹ un groupe stocke les premiers bits, un autre stocke les deuxièmes bits etcâ?¦ (définition PLAN DE BIT).
PLAN DE SURVIE: Désigne un mode opératoire développé en vue d'une éventuelle catastrophe. (définition PLAN DE SURVIE).
PLAN INFORMATIQUE POUR TOUS: Désigne un projet public français des années 80 consistant à répandre l'usage de l'informatique. Il n'a servi qu'à assurer le succès des machines de Thomson comme le TO7, en raison notamment de la formation insuffisante des professeurs. On trouve aussi les acronymes PIPT ou IPT. (définition PLAN INFORMATIQUE POUR TOUS).
PLAN: C'est l'appellation d'un fichier émis par l'instruction finger. Le véritable nom d'un tel fichier est .plan, c'est-à-dire que ce fichier est caché. (définition PLAN).
PLANIFICATEUR: C'est le nom générique du groupe d'applications qui gèrent un emploi du temps. (définition PLANIFICATEUR).
PLANKALKA¼L: Désigne le premier langage qui date de 45. (définition PLANKALKA¼L).
PLANTABLE: Caractérise une machine qu'on peut faire planter. Un synonyme est instable, et un bon exemple est Windows. (définition PLANTABLE).
PLANTAGE: Désigne, pour un système, le fait de planter. (définition PLANTAGE).
PLANTE: Qualifie la situation normale de la machine d'un bidouilleur. (définition PLANTE).
PLANTER: Désigne ce que fait une machine quand elle n'avance plus et ne répond plus aux sollicitations de l'utilisateur. (définition PLANTER).
PLANTIN: Désigne l'accident d'une machine qui vient de planter. (définition PLANTIN ).
PLANTOGENE: Désigne une action susceptible faire planter une machine. (définition PLANTOGENE).
PLANTON: C'est un synonyme de plantin. (définition PLANTON).
PLANTOUILLARD: Qualifie une machine qui plante régulièrement. (définition PLANTOUILLARD).
PLASMA: Technologie utilisée pour les écrans plats. (définition PLASMA).
PLATEFORME: Une plateforme est l?ensemble formé par un équipement tel qu?un pc et d?un système d?exploitation. Chaque plateforme a des spécificités qui les rendent parfois incompatibles entre elles. (définition PLATEFORME).
PLAY 2: C'est une appellation courante de la console de jeu de Sony, la Playstation 2. (définition PLAY 2).
PLAYER: C'est le nom générique des applications de lecture vidéo ou audio. (définition PLAYER).
PLAYLIST: Désigne la liste de documents audio lus par un player à la suite les uns des autres. (définition PLAYLIST).
PLAYLIST: Liste de lecture de fichier audio. Peut être lu de manière séquentielle ou aléatoire. (définition PLAYLIST).
PLAYSTATION 2: Désigne la console suivante, toujours conçue par Sony. Ses caractéristiquesÂ : une puce 128 bits à 300 MHz, 32 Mo de RDRAM, elle lit les DVD et dispose d'une puissance de calcul de 66 millions de polygones à la seconde. (définition PLAYSTATION 2).
PLAYSTATION: Désigne une console de jeu de Sony commercialisée en 95. Ses caractéristiquesÂ : 32 bits, 3,5 Mo de RAM, une puce MIPS à 33MHz. Elle fonctionne avec des CD. Elle a connu un gros succès commercial. (définition PLAYSTATION).
PLD: C'est l'acronyme de Programmable Logic Device, qui est un circuit intégré offrant des portes logiques et et ou. On peut le programmer. (définition PLD).
PLDA: Acronyme de Private Loop Direct Attach. (définition PLDA).
PLEIN ECRAN: Désigne, sur un écran, un affichage sans espace libre sur les cotés, au-dessus ou en dessus de la fenêtre. L'équivalent anglais est fullscreen. (définition PLEIN ECRAN).
PLESIOCHRONE: Qualifie deux signaux dont les fréquences sont proches et maintenues à l'intérieur de spécifications. (définition PLESIOCHRONE).
PLEUGUE-ET-JOUEUR: Désigne péjorativement l'usager fan de Microsoft. (définition PLEUGUE-ET-JOUEUR).
PLI ACCORDEON: Ensemble de plis successifs dans un sens puis dans l?autre. (définition PLI ACCORDEON).
PLIER: Désigne un équivalent rare de compacter. (définition PLIER).
PLMN: Acronyme de Public Land Mobile Network, qui est une expression utilisée comme équivalent à réseau de téléphonie mobile. (définition PLMN).
PLOKTA: Acronyme de Press a Lot Of Keys To Abort, soit littéralement " appuyez sur tous les boutons pour quitter". C'est la technique souvent utilisée pour quitter une application mal maà®trisée. (définition PLOKTA).
PLOMBER: Désigne le fait d'appliquer un dispositif anti-piratage sur une application. (définition PLOMBER).
PLOMBERIE: Désigne l'ensemble des tubes, cylindres et pipelines qui entrent en compte dans une programmation sous un shell. (définition PLOMBERIE).
PLONK: C'est le son émis par celui qui se retrouve dans un kill file. (définition PLONK).
PLONKAGE: C'est le substantif associé au verbe plonker. (définition PLONKAGE).
PLONKER: Désigne le fait d'inscrire une personne dans un kill file. (définition PLONKER).
PLONKEUR: Désigne celui effectuant un plonk. (définition PLONKEUR).
PLOTTER: C'est l'équivalent anglais de traceur graphique. (définition PLOTTER).
PLP: Acronyme de Packet Level Protocol, qui est un dispositif réseau inséré dans la pile X25. Désigne aussi l'acronyme de Psion Link Protocole. (définition PLP).
PLS: C'est un raccourci de Play List, ou de please. (définition PLS).
PLT: Acronyme de Procedure Linkage Table. (définition PLT).
PLUG AND DISPLAY: Désigne un standard VESA d'affichage digital sur écran plat. Ce standard est basé sur TMDS. (définition PLUG AND DISPLAY).
PLUG AND PLAY: « Brancher et Jouer ». Qualifie un périphérique qui peut être utilisé dès son raccordement à l?ordinateur, sans besoin supplémentaire. (définition PLUG AND PLAY).
PLUG IN: Module additionnel d?un logiciel qui permet d?ajouter des fonctionnalités. (définition PLUG IN).
PLUG-AND-PLAY: Caractérise un élément qu'il suffit de connecter pour la faire fonctionner, c'est-à-dire que le système intègre automatiquement ce nouvel élément. Le plug-and-play est un standard MicrosoftÂ / Intel, né en 91. (définition PLUG-AND-PLAY).
PLUGGUER: Désigne le fait de se connecter à un réseau. (définition PLUGGUER).
PLUG-IN: Désigne un ajout à un logiciel, totalement pris en charge par ce logiciel. On trouve parfois l'équivalent français greffon, mais très rarement. (définition PLUG-IN).
PLUGIN: Désigne une orthographe alternative de plug-in. (définition PLUGIN).
PLV: Publicité sur Lieu de Vente. (définition PLV).
PLZ: C'est un raccourci signifiant please. (définition PLZ).
PM: Désigne l'extension d'un fichier renfermant un module Perl. A la fin d'une URL, Pm signale aussi que le site est basé à Saint Pierre et Miquelon. (définition PM).
PM: PM est un raccourci pour Perl Mongueur (Perl Monger en anglais), de Power Mac, ou de Private Message qui est un message envoyé à un seul utilisateur sur un IRC. (définition PM).
PMAD: Acronyme de Prise en Main A Distance. Désigne un procédé par lequel on peut, via un réseau, utiliser un ordinateur physiquement éloigné. (définition PMAD).
PMB: C'est l'acronyme de Plan Multilingue de Base. Désigne un plan de classification des caractères au standard Unicode. (définition PMB).
PMBX: Acronyme de Private Manual Branch eXchange. C'est un commutateur de téléphone. (définition PMBX).
PMC: C'est l'acronyme de Perceptron Multi-Couches. Désigne une sorte de réseau neuronal organisé en couchesÂ : entrée et sortie notamment. (définition PMC).
PME: Acronyme de Petites et Moyennes Entreprises ou de Porte-Monnaie Electronique. (définition PME).
PMFJI: Acronyme de Pardon Me For Jumping In, soit " excusez moi de m'en mêler". On l'utilise quand on s'insère dans une discussion. (définition PMFJI).
PMMA: C'est le raccourci de Polymethylmethacrylate. C'est un polycarbonate employé dans la composition des DVD et CD. (définition PMMA).
PMML: Acronyme de Predictive Model Markup Language. Désigne un langage de marquage qui s'appuie sur XML et vise à rendre compatible les différents systèmes de datatiming. (définition PMML).
PMMU: C'est l'acronyme de Paged Memory Management Unit, soit une " unité de gestion de mémoire paginée". (définition PMMU).
PMOS: Acronyme de Positive Channel Metal Oxide Semiconductor. (définition PMOS).
PMS: C'est l'acronyme de Pantone Matching System, qui est une palette de 747 nuances précises. (définition PMS).
PMT: Photo Multiplier Tube. C'est un cylindre qui traduit une lumière en électricité et amplifie cette électricité. C'est un senseur sensible à la lumière qui est employé dans les scanners haute-performance. (définition PMT).
PN: A la fin d'une URL, signale que le site est basé dans l'à®le de Pitcairn. (définition PN).
PNAP: Désigne un Private Network Access Point. (définition PNAP).
PNG: Portable Network Graphic. Format d?image optimisé pour le Web, sans dégradation d?image. La profondeur d?un pixel est de 16 bits et peut être transparent. (définition PNG).
PNG-24: C'est une autre sous-classe de PNG l'encodage est en 16 millions de couleurs et 24 bits. (définition PNG-24).
PNG-8: Désigne une sous-classe du standard PNG qui encode les éléments graphiques en 256 couleurs et 8 bits. (définition PNG-8).
PNJ: Dans un jeu vidéo, désigne un personnage qui n'est pas joué, c'est-à-dire que c'est l'intelligence artificielle du jeu qui le dirige. (définition PNJ).
PNNI: Désigne une Private Network Node Interface ou Private Network-Network Interface. C'est un dispositif de routage inter-switchs. (définition PNNI).
PNP: C'est un autre raccourci pour plug-and-play. (définition PNP).
PNP: C'est un raccourci de plug-and-play. (définition PNP).
POA: Programmation Orientée Aspect. Désigne un procédé de développement par lequel on peut enfermer les objets dans des capsules puis composer virtuellement ces objets. (définition POA).
POC: Acronyme de Policy Oversight Commmitee, qui est une structure fondée par l'IAHC, qui distribue les noms de domaines via le CORE. (définition POC).
POCKETPC: Système d?exploitation pour les PDA, développé par Microsoft, rebaptisé aujourd?hui Windows Mobile. (définition POCKETPC).
POD: Acronyme de Plain Old Documentation, soit littéralement " une bonne vieille documentation" qui désigne un type de documentation incluse dans le source, notamment en Perl. POD est aussi l'acronyme de Ping Of Death. (définition POD).
PODCASTING: Abréviation de Ipod et Broadcasting. Diffusion d?information audio traitant de sujets divers accessibles par des flux RSS. Peut être lu grâce à un ordinateur ou un Ipod. (définition PODCASTING).
POE: Acronyme de Power Over Ethernet. (définition POE).
POH: Désigne les Power-On Hours, soit les heures passées en service. C'est une quantification de la fiablité d'un appareil qui fonctionne par courant électrique. (définition POH).
POIDS FAIBLE: Caractérise le bit situé à l'extrême droite, c'est-à-dire le moins significatif d'une série. (définition POIDS FAIBLE).
POIDS FORT: Caractérise le bit situé à l'extrême gauche, c'est â??à -dire le plus significatif d'un nombre. (définition POIDS FORT).
POIDS LOURD: Désigne une application extrêmement lourde. (définition POIDS LOURD).
POIGNEE DE REDIMENSIONNEMENT: Désigne un objet visuel situé en bas à droite d'une fenêtre on l'utiliser pour changer les dimensions de cette fenêtre. (définition POIGNEE DE REDIMENSIONNEMENT).
POINT: Désigne un pixel, ou bien l'unité qui quantifie les dimensions d'un caractère. 25 points valent 1 cm. Un point désigne aussi un emplacement quelconque dans un programme. (définition POINT ).
POINT A POINT: Qualifie une communication qui est faite vers un seul point. Le contraire est communication multipoint. (définition POINT A POINT).
POINT A POINT: Topologie de réseau dans lequel il n?y a que deux équipements en connexion directe. (définition POINT A POINT).
POINT BLANC: Désigne la région la plus claire d'un visuel. Cette région est utilisée comme référence pour la spécification des nuances des autres zones du visuel. (définition POINT BLANC).
POINT D'ARRêT: C'est l'emplacement de la fin d'un programme. Ces points d'arrêt peuvent être multiples. (définition POINT D'ARRêT).
POINT DE MONTAGE: Désigne l'endroit oà¹ un élément périphérique est connecté. (définition POINT DE MONTAGE).
POINT DE REPRISE: C'est l'endroit oà¹ un programme reprend après une interruption impromptue. (définition POINT DE REPRISE).
POINT DE TRAME: Elément de base d?une image produite par similigravure. (définition POINT DE TRAME).
POINT DIDOT: Unité de mesure en typographie, égale à 0.3759 mm. (définition POINT DIDOT).
POINT D'INSERTION: Désigne l'élément graphique vertical et clignotant qui signale oà¹ un caractère va être inséré, dans un traitement de texte par exemple. (définition POINT D'INSERTION).
POINT NOIR: Par opposition à point blanc, le point noir désigne la région la plus obscure d'un visuel. (définition POINT NOIR).
POINTAGE: C'est le fait de désigne un emplacement sur un écran. (définition POINTAGE).
POINTER: L'expression " pointer sur" est équivalente à " stocker la valeur de l'adresse de". L'équivalent français est pointeur. (définition POINTER).
POINTEUR: Désigne la réprésentation à l'écran de la souris. Désigne aussi une valeur qui signale une adresse de la RAM. Enfin, le pointeur est l'objet qui, sur un portable, fait office de souris. (définition POINTEUR).
POKA-YOKE: En japonais, signifie " anti-erreur". L'équivalent français est détrompeur. (définition POKA-YOKE).
POKE: C'est la commande BASIC par laquelle une adresse est indexée sous la forme d'une valeur. (définition POKE).
POKER: C'est l'action d'inscrire des données sur la mémoire de façon directe, par la commande poke. On parle aussi d'une personne pokéeÂ comme d'une personne quelque peu farfelue. (définition POKER).
POLICE D'AFFICHAGE: Désigne une police de caractères utilisée exclusivement pour l'affichage de données, et non pour la version imprimée de ces données. Un synonyme est police écran. (définition POLICE D'AFFICHAGE).
POLICE DE CARACTERES: Désigne un groupe de caractères partageant un même style. On a comme synonyme fonte. (définition POLICE DE CARACTERES).
POLICE D'IMPRIMANTE: Désigne une police de caractères réservée à l'impression. (définition POLICE D'IMPRIMANTE).
POLICE ECRAN: C'est un synonyme de police d'affichage. (définition POLICE ECRAN).
POLICE VECTORIELLE: C'est une police oà¹ les caractères sont spécifiés par des vecteurs. On peut donc modifier leurs tailles sans changer leur qualité. (définition POLICE VECTORIELLE).
POLICE: Ensemble de tous les caractères d?une même famille. (définition POLICE).
POLITIQUE DE CONFIDENTIALITE: Politique adopté par une organisation quant à ses dispositifs de sécurité et de confidentialité. (définition POLITIQUE DE CONFIDENTIALITE).
POLLING: En anglais, polling signifie sondage. Polling désigne l'activité d'une application quand elle essaie les différents événements possibles. C'est également l'activité d'un réseau oà¹ la station de gestion du réseau interroge les différentes stations en vue d'un éventuel message. (définition POLLING).
POLLUPOSTAGE: C'est l'activité du polluposteur. (définition POLLUPOSTAGE).
POLLURIEL: C'est un synonyme de pourriel qui contracte pourri et courriel. (définition POLLURIEL).
POLLUSPOSTEUR: C'est un équivalent rare de spammeur. (définition POLLUSPOSTEUR).
POLYCHROMIE: Procédé d?impression utilisant plusieurs couleurs. (définition POLYCHROMIE).
POLYGONE: Désigne la figure géométrique que l'imagerie synthétique emploie afin de créer ses formes. La définition d'une image augmente à mesure qu'augmente le nombre de polygones. Un maillage est un ensemble de polygone. (définition POLYGONE).
POLYMORPHE: Désigne un virus qui peut se transformer afin de rester dissimulé. Un tel virus est don potentiellement plus nuisible. (définition POLYMORPHE).
POLYMORPHISME: Désigne le procédé par lequel un message unique est émis à destination d'objets de natures différentes. (définition POLYMORPHISME ).
POMME: C'est l'emblème du groupe Apple. C'est aussi le terme qui désigne un menu spécifique sous MacOS, regroupant les outils les plus souvent employés. Enfin, c'est une touche de commutation spécifique aux ordinateurs Apple. (définition POMME).
POMPAGE: Désigne le procédé par lequel les données renfermées sont émises vers le système central, après une coupure de la communication. Désigne aussi l'action de récupérer des données et les réutiliser. (définition POMPAGE).
POMPER: Un écran qui est pompé désigne un moniteur trop longtemps utilisé ou mal paramétré, ce qui produit un affichage flou. Pomper désigne aussi le fait de récupérer massivement des données, notamment sur un FTP. (définition POMPER).
POMPEUR: Désigne celui qui enregistre des informations sans retour. (définition POMPEUR).
PON: Acronyme de Passive Optical Network. C'est un réseau optique qui connecte à différents ONU un OLT. Il s'appuie sur ATM. (définition PON).
PONG: Désigne le premier jeu vidéo à avoir rencontré un certain succès commercial, en 72. C'est une simplification du tennisÂ : deux barres blanches se renvoient un point blanc. (définition PONG).
PONT: Désigne une technologie de transfert d'informations inter-réseau, qui emploie donc différents protocoles. L'équivalent anglais est bridge. (définition PONT).
PONT-ROUTEUR: Désigne le dispositif qui concentre la technologie d'un pont et celle d'un routeur. Un synonyme est brouteur. (définition PONT-ROUTEUR).
POO: C'est l'acronyme de Programmation Orientée Objet. On peut préférer l'expression Programmation A Objets. L'équivalent anglais est OOP. (définition POO).
POP UP: Désigne une fenêtre de publicité qui s?ouvre lors de la navigation sur un site Web, en apparaissant au premier plan, contrairement au pop under qui apparaît derrière la fenêtre. (définition POP UP).
POP: Post Office Protocol. Protocole qui permet de récupérer des e-mails stockés sur un serveur, souvent mis à disposition par les FAI. (définition POP).
POP3: Evolution du protocole POP qui permet de récupérer les messages électroniques sur un serveur. (définition POP3).
POPULOUS: Il s'agit de l'ancêtre des god games en réseau, commercialisé en 89. Le but du jeuÂ ? Faire triompher son peuple, en imposant aux autres joueurs des calamités comme inondation ou tremblement de terre. (définition POPULOUS).
POP-UNDER: Désigne, sur internet, une fenêtre qui s'ouvre automatiquement sous la fenêtre actuellement utilisée. (définition POP-UNDER).
POP-UP KILLER: Désigne une famille de logiciels qui peuvent éliminer les pop-up de certains sites web. (définition POP-UP KILLER).
POP-UP: C'est un sous-menu qui peut apparaà®tre partout sur l'écran. Le français dira " menu surgissant". Désigne également, sur internet, une fenêtre automatique qui s'ouvre lorsqu'on consulte une page. (définition POP-UP).
POPUP: C'est une orthographe alternative de pop-up. (définition POPUP).
PORT PARALLELE: Caractérise un port qui accepte l'émission simultanée de plusieurs bits. (définition PORT PARALLELE).
PORT SERIE: C'est un port oà¹ les informations sont émises bit par bit. (définition PORT SERIE).
PORT: Désigne la prise grâce à laquelle on peut relier un élément quelconque à un ordinateur. On distingue les ports série et les ports parallèles. (définition PORT).
PORTABILITE: C'est la qualification d'une commande ou d'un programme exécutable sans trop de modifications sur différents systèmes. (définition PORTABILITE).
PORTABLE: C'est le raccourci très fréquent d'ordinateur portatif. Désigne aussi un logiciel qu'il est possible d'utiliser sur une plate-forme autre que celle de sa conception. Enfin, portable désigne un téléphone portable. (définition PORTABLE).
PORTAGE: Désigne le fait de transporter une application d'une plate-forme à une autre. (définition PORTAGE).
PORTAIL: Désigne un site internet qui sert de porte d'entrée aux utilisateurs. Il propose souvent un moteur de recherche intégré, des news etcâ?¦ (définition PORTAIL).
PORTAL: C'est l'équivalent anglais du portail. (définition PORTAL).
PORTATIF: Qualifie une machine légère qui ne se distingue d'un ordinateur de bureau que par sa dimension et son prix. Un équivalent est porable. (définition PORTATIF).
PORTE LOGIQUE: Désigne un circuit qui effectue une opération booléenne. (définition PORTE LOGIQUE).
PORTE: Désigne l'OS Windows de Microsoft, à la suite d'une association d'idées floueÂ : window signifie fenêtre, d'oà¹ porte-fenêtre d'oà¹ porte. (définition PORTE).
PORTE-DOCUMENT: C'est l'outil qui rend possible l'idée de groupe de travail, en rendant accessible l'envoi-réception de documents. (définition PORTE-DOCUMENT).
PORTEE: Désigne la zone dans laquelle une valeur est utilisable dans un programme elle peut être spécifiée dans tout le programme ou dans une partie seulement. (définition PORTEE).
PORTE-FENêTRE: C'est un surnom de l'OSWindows. (définition PORTE-FENêTRE).
PORTE-MONNAIE ELECTRONIQUE: C'est une technologie grâce à laquelle on peut " digitaliser" de l'argent et l'utiliser. (définition PORTE-MONNAIE ELECTRONIQUE).
PORTE-PORTABLE: Désigne l'objet qui permet de transporter son ordinateur portable. (définition PORTE-PORTABLE).
PORTER: C'est l'action par laquelle on adapte un logiciel à un système différent de celui de sa conception originelle. (définition PORTER).
PORTEUSE: Désigne un signal ininterrompu sur lequel se fondent les échanges d'informations. Un exempleÂ : les 2600 Hz du télephone. (définition PORTEUSE).
PORTLET: C'est un objet qui s'affiche un bloc sur une page internet. Il est souvent émis par des applets. (définition PORTLET).
POS: Acronyme de Point of Sale, soit point de vente. (définition POS).
POSE: Impression simultanée de plusieurs exemplaires sur une même page. (définition POSE).
POSI: Mouvement japonais pour la promotion de l?implantation du modèle OSI dans les systèmes. (définition POSI).
POSITIF: Bromure ou film ayant des couleurs identiques à l?original. (définition POSITIF).
POSITION SQUATTING: Désigne un type de cybersquatting,Â par lequel on prend la place d'un concurrent sur un moteur de recherche. (définition POSITION SQUATTING).
POSIX: C'est l'acronyme de Portable Operating System for Computer Environment. C'est une série de standards IEEE pour Unix, qui en normalisent le cÅ?ur. Très cher, ces standards tendent à ralentir le développement de versions libres d'Unix. (définition POSIX).
POST: C'est l'acronyme de Power-On Self Test, soit auto-test d'allumage. C'est la suite de tests réalisés par le système au lancement d'un PC. Ces tests concernent le processeur, les mémoires etcâ?¦ (définition POST).
POSTCARDWARE: Désigne la famille d'applications pour lesquelles l'envoi d'un carte postale suffit à acquérir la licence. (définition POSTCARDWARE).
POSTCONDITION: Désigne un énoncé situé dans le source de façon à être pesé avant une sortie de fonction. (définition POSTCONDITION).
POSTE DE TRAVAIL: C'est l'icone par laquelle on accède, sous Windows, aux différentes ressources de la machine. (définition POSTE DE TRAVAIL).
POSTEL, JONATHAN: Postel (1943-1998) est l'un des créateurs de l'internet. Il a commencé dans la conception de l'Arpanet, puis s'est penché sur les procédés réseaux (le DNS ou le FTP, entre autres) avant de se consacrer à l'édition des RFC. (définition POSTEL, JONATHAN).
POSTER: Désigne le fait d'émettre un message vers un newsgroup de l'Usenet. Un tel message est donc public. Poster désigne donc le fait d'afficher un document. En anglais, désigne aussi la personne qui émet l'article. (définition POSTER).
POSTEUR: C'est l'équivalent français du poster anglais, selon le deuxième sens. (définition POSTEUR ).
POSTFIXE: Détermine l'emplacement d'un opérateur binaire. (définition POSTFIXE).
POSTIER: C'est l'équivalent français de postmaster. On l'emploie rarement dans la mesure oà¹ le terme désigne aussi la boite à lettres du gestionnaire d'un serveur de mail. (définition POSTIER).
POSTINCREMENT: Désigne l'action augmenter un compteur après une commande. On emploie le mot en assembleur. (définition POSTINCREMENT).
POSTING: Désigne l'émission d'un article sur un newsgroup. L'équivalent français est contribution. (définition POSTING).
POST-IT: Désigne un petit document textuel apparaissant sur le bureau de la machine. (définition POST-IT).
POSTMASTER: Désigne celui qui gère les messages, les usagers et les problèmes sur un serveur d'e-mails. (définition POSTMASTER).
POSTMORTEM: Qualifie l'analyse menée après le plantage d'un système. (définition POSTMORTEM).
POSTPROCESSEUR: C'est le programme développé à des fins de post-traitement. (définition POSTPROCESSEUR).
POST-RISC: Désigne un type de structure interne de processeur. Une structure post-RISC peut être le développement d'un CISC ou l'extension d'un RISC. (définition POST-RISC).
POSTSCRIPT: Langage qui permet la description des éléments d?un document prêt à être imprimé, indépendamment du périphérique d?impression. (définition POSTSCRIPT).
POST-TRAITEMENT: Désigne les opérations effectuées sur les informations secondaires. (définition POST-TRAITEMENT).
POT DE MIEL: C'est l'équivalent de l'anglais honeypot, qui désigne un procédé de sécurité grâce auquel des intrus viennent se coller sur un élément conçu à cette fin. (définition POT DE MIEL ).
POT DE YAOURT: Désigne une machine qui concentre écran, unité centrale et clavier en un seul bloc. (définition POT DE YAOURT).
POTATO: C'est l'appellation de développement de la version 2.2 de Debian Linux. (définition POTATO).
POTS: Plain Old Telephone Service. Service de téléphonie analogique de base. (définition POTS).
POUBELLE: C'est un synonyme de corbeille. (définition POUBELLE).
POUBELLISER: Désigne le fait d'expédier un élément vers la corbeille. (définition POUBELLISER).
POUCE: Désigne une unité anglo-saxonne. On l'emploie en PAO. Elle vaut environ 2,5 cm. Le terme anglais est inch. (définition POUCE).
POUDRE D'ENCRE: Désigne la poudre utilisée par les imprimantes laser ou les photocopieuses. (définition POUDRE D'ENCRE).
POUND DESIGN: Désigne le caractère # aux Etats-Unis, soit en français un fagot. En Angleterre, pound designe renvoie au signe Â£. (définition POUND DESIGN).
POURRIEL: Contracte les termes " pourri" et " courriel" pour désigner le spam. Selon certaines sources, il s'agit plutot de la contraction de " poubelle" et " courriel". L'anglais dira junk mail. (définition POURRIEL ).
POUSSE-CARTONS: C'est un synonyme de pousseur de cartons. (définition POUSSE-CARTONS).
POUSSEUR DE CARTONS: Désigne un technicien peu qualifié, ou bien un assembleur qui se contente de connecter quelques éléments pour construire un PC. (définition POUSSEUR DE CARTONS).
POV: Acronyme de Persistence Of Vision. Désigne une application freeware de raytracing de haut niveau. Il est dommage que l'absence de convivialité et l'obscurité des commandes limitent l'intérêt de ses performances impressionnantes. (définition POV).
POWER OVER LAN: C'est un synonyme de Power over Ethernet. (définition POWER OVER LAN).
POWERBOOK: Désigne une machine portable d'Apple. (définition POWERBOOK).
POWERBUILDER: C'est un langage 4e génération développé pour l'architecture client-serveur sous Windows, par Powersoft. (définition POWERBUILDER).
POWERMAC: Désigne la famille des machines Apple articulées autour de la puce PowerPC. (définition POWERMAC).
POWERMAC: Famille d?ordinateur Macintosh basé sur les processeurs m68k de Motorola. (définition POWERMAC).
POWERPC: Architecture de processeur développée par Motorola, Apple et IBM. (définition POWERPC).
POWERPOINT: Désigne une application de préAO présentation assistée par ordinateur, intégrée à l'Office de Microsoft. Concurrent de OpenOffice Presentation (définition POWERPOINT).
POWERSVILLE: Désigne l'appellation de développement de la plate-forme PC d'Intel. (définition POWERSVILLE).
POWER-USER: Désigne un " usager puissant", c'est-à-dire celui qui connaà®t sa machine sur le bout des doigts et peut en régler tous les problèmes. (définition POWER-USER).
PPC 970: C'est un raccourci du PowerPC 970 qui est lui-même un équivalent du G5. (définition PPC 970).
PPC: C'est un raccourci de PowerPC. (définition PPC).
PPCM: Abréviation de pixel par centimètre. (définition PPCM).
PPD: Acronyme de Postscript Printer Description. C'est un PostScript composé au format ASCII il détermine les spécifications d'une imprimante. C'est aussi l'acronyme de Parallel Presence Detect, un procédé de détection des mémoires SIMM. (définition PPD).
PPEM: C'est l'abréviation de pixel par EM. On l'emploie pour déterminer la dimension en fonction de la définition du tableau qui contient les éléments d'une police. (définition PPEM).
PPGA: Acronyme de Plastic Pin Grid Array. C'est le synonyme de Socket 370, développé par Intel comme un Slot 1 moins cher. (définition PPGA).
PPI: C'est l'acronyme de PreProcessing Instruction, soit " instruction de pré-Traitement". (définition PPI ).
PPI: Pixel per inch. (définition PPI).
PPM: Unité de mesure de la vitesse d?impression d?une imprimante, exprimé en pages par minutes. (définition PPM).
PPN: Project / Program Number. C'est le nombre associé au projet ou au programme sur un système DEC. (définition PPN).
PPP: Pixels Par Pouce. Indicateur permettant de définir la définition d?une image. (définition PPP).
PPPOA: Désigne le PPP Over ATM. (définition PPPOA).
PPPOE: PPP over Ethernet. C'est l'application du PPP à l'Ethernet, par encapsulation des paquets. Il est l'objet d'une description dans la RFC 2516, mais n'est pas encore un standard. (définition PPPOE).
PPS: Acronyme de PowerPoint Slide Show, soit un exposé au standard Powerpoint. (définition PPS).
PPS: Paquet par secondeÂ : qui quantifie la vitesse d'un réseau. (définition PPS).
PPT: C'est l'extension d'un fichier au standard Powerpoint. (définition PPT).
PPTP: Acronyme de Point to Point Tunneling Protocol. C'est un procédé de sécurisation des échanges en PPP sur internet. Il est spécifié entre autres par 3Com et Microsoft. (définition PPTP).
PQA: C'est l'acronyme de Plam Query Application. C'est un applet par lequel un Palm peut enregistrer des données venant de l'internet, en faisant le tri parmi celles-ci. (définition PQA).
PR: A la fin d'une URL, signale que le site est basé à Puerto Rico. (définition PR).
PR: Acronyme de Problem Report. On peut dire bug report. (définition PR).
PR0N: C'est un équivalent de porno. (définition PR0N).
PREAO: Présentation Assistée par Ordinateur. Le représentant le plus connu de cette famille est Powerpoint. (définition PREAO).
PREBINDING: Désigne un type de compilation de bibliothèque. Les signes y sont associés à une adresse au lieu d'être indéfinis, ce qui permettra une utilisation plus rapide de ceux-ci. (définition PREBINDING).
PREBOOT: Désigne la suite des opérations effectuées par un système à son lancement. C'est par exemple le role du BIOS. (définition PREBOOT).
PRECALCUL: Désigne le fait de précalculer. (définition PRECALCUL ).
PRECALCULER: Réaliser des opérations à l'avance, ce qui permet de gagner du temps lors de l'exécution. (définition PRECALCULER).
PRECOMPILATEUR: C'est un synonyme peu fréquent de préprocesseur. (définition PRECOMPILATEUR).
PRECOMPILATION: Désigne une étape intermédiaire d'une compilation, ou bien le résultat de l'activité du précompilateur. (définition PRECOMPILATION).
PRECONDITION: Désigne une condition intégrée au source afin d'être évaluée avant une fonction. (définition PRECONDITION).
PRED: Désigne une commande qui émet l'élément précédent d'un ensemble rationnel. (définition PRED).
PREDECREMENT: C'est l'action qui consiste à diminuer d'une certaine valeur un compteur avant le traitement d'une commande. (définition PREDECREMENT).
PREDECREMENTER: Désigne le fait d'effectuer un prédécrément, la diminution d'un compteur avant l'exécution d'une commande. (définition PREDECREMENTER).
PREDICAT: Désigne un énoncé dont le sens logique peut être faux ou vrai en fonction de la valeur des arguments. (définition PREDICAT).
PREEMPTIF: Caractérise un OS à tâches multiples quand il stoppe l'exécution d'un programme pour donner la priorité à un autre programme. Cela permet notamment de ne pas attendre des heures qu'un programme planté cède la priorité. (définition PREEMPTIF).
PREFIXAGE: En programmation par objets, le préfixage désigne (désignait, car le terme est quelque peu archaique) l'héritage de classe. (définition PREFIXAGE).
PREFIXE: C'est l'élément qui signale l'emplacement d'un opérateur binaire. (définition PREFIXE).
PREMIER PLAN: Qualifie, dans une plate-forme multitâche, un processus prioritaire au niveau des entrées comme des sorties. (définition PREMIER PLAN).
PREOS: Désigne un OS secondaire et de taille réduite qui se lance avant l'OS véritable. Le préos peut s'occuper des mises à jour de l'OS principal par exemple. (définition PREOS).
PREP: C'est l'acronyme de PowerPC Reference Platform. Désigne l'ensemble des déterminations d'un ordinateur structuré autour d'un PowerPC chez IBM et AIM. (définition PREP).
PREPAIEMENT: C'est un procédé d'achat de service dans lequel le paiement se fait avant de pouvoir bénéficier du service. Un exemple est la carte téléphonique. (définition PREPAIEMENT ).
PREPARATION DE COPIE: Opération qui consiste à vérifier différentes valeurs avant le calibrage. (définition PREPARATION DE COPIE).
PREPRESSE: Désigne l'opération menée sur un document en vue de l'impression de celui-ci. (définition PREPRESSE).
PREPROCESSEUR: Désigne une famille d'applications installées dans les compilateurs. Un préprocesseur va agir sur le source pour faciliter le travail du compilateurÂ en étendant les macros ou en incluant les fichiers par exemple. (définition PREPROCESSEUR).
PRERELEASE: C'est un équivalent de préversion. On peut aussi dire version bêta. (définition PRERELEASE).
PRESCAN: Désigne la digitalisation effectuée avant le scan proprement dit, afin d'assurer un bon cadrage du document source. (définition PRESCAN).
PRESCOTT: C'est le nom de développement du Pentium 5 d'Intel, commercialisé fin 2003. (définition PRESCOTT).
PRESENT ANTERIEUR: Désigne une série de symptomes dont sont atteint les sites web qui offrent des informations périmées depuis au moins 2 ans ou des liens morts. La maintenance d'un site demande en effet un peu de travail. (définition PRESENT ANTERIEUR).
PRESET: Désigne un paramètre qui est spécifié. (définition PRESET).
PRESSE-PAPIER: Désigne l'outil de mémoire qui peut assurer une correspondance entre différents logiciels en stockant les éléments coupés avant que ceux-ci ne soient collés. L'anglais dira clipboard. (définition PRESSE-PAPIER).
PRESSEUR: Désigne le groupe qui produit des CD ou DVD qui sont les copies d'un master. (définition PRESSEUR ).
PRESTEL: Système anglosaxon de vidéotex. (définition PRESTEL).
PRêT: C'est la situation d'un processus qui n'attend qu'un peu de ressources pour s'exécuter. (définition PRêT).
PRETIRAGE: Tirage d?une certaine quantité d?exemplaire avant un tirage définitif. (définition PRETIRAGE).
PRETRAITEMENT: Désigne les opérations secondaires effectuées sur des informations avant le traitement principal. Sur un source, un prétraitement réunit les fichiers et les bibliothèques, ou déplie les macros. (définition PRETRAITEMENT).
PREVERSION: Désigne une version non finalisée d'une application. C'est un équivalent de version bêta ou même alpha. (définition PREVERSION).
PREVISU: C'est le raccourci de prévisualisation. (définition PREVISU).
PREVISUALISATION: C'est un équivalent de l'aperçu avant impression. (définition PREVISUALISATION).
PREVISUALISER: C'est le fait de visualiser un document sous la forme qu'il aura une fois imprimé. (définition PREVISUALISER).
PRG: Un fichier renfermant un PRoGramme qu'on peut exécuter. On trouve ce standard sous Atari ST notamment. (définition PRG).
PRI: Acronyme de Primary Rate Interface. C'est une interface RNIS dotée de 30 canaux B (ou seulement 23 aux Etats-Unis). (définition PRI).
PRIMARY KEY: C'est l'équivalent anglais de clé primaire. (définition PRIMARY KEY).
PRIMITIVE: Désigne une commande basique dans un langage. C'est aussi un objet graphique de base, point, plan ou droite, qui entre dans la composition d'éléments complexes. (définition PRIMITIVE).
PRINTER: C'est l'équivalent anglais de notre imprimante. (définition PRINTER).
PRINTF: C'est la commande par laquelle, en C, on obtient des sorties écrites formatées. (définition PRINTF).
PRIO: C'est un raccourci pour priorité. (définition PRIO).
PRIORITE: Un niveau de priorité désigne l'étendue du role d'un processusÂ : un niveau de priorité élevé signale donc un processus essentiel qui pourra obtenir plus de ressources pour son exécution. La priorité des opérateurs désigne, elle, le classement selon lequel les opérations vont s'effectuer sur les éléments à traiter la multiplication est par exemple prioritaire sur l'addition. (définition PRIORITE).
PRISE DE CHOU: C'est l'équivalent d'une prise de tête. (définition PRISE DE CHOU).
PRISE DE CONTROLE A DISTANCE: C'est le procédé par lequel on peut se relier à une machine éloignée pour y opérer des opérations de maintenance ou de petites réparations. (définition PRISE DE CONTROLE A DISTANCE).
PRISE DE PINCES: Zone sur la feuille de papier saisie pendant l?impression par des pinces, et où l?on ne peut donc pas imprimer. (définition PRISE DE PINCES).
PRISE DE TêTE: Désigne l'état mental de celui qui se trouve en face d'un problème complexe. (définition PRISE DE TêTE).
PRISE VAMPIRE: C'est la prise par laquelle on se lie à un coaxial. (définition PRISE VAMPIRE).
PRISE: Désigne l'élément qui diffuse l'électricité. (définition PRISE).
PRIVACY ACT: Aux Etats-Unis, le Privacy Act est un texte de loi qui doit mettre chacun à l'abri des abus informatique en matière de vie privée. L'équivalent français se trouve dans la loi du 6 janvier 78 instituant la CNIL. (définition PRIVACY ACT).
PRIX ALAN M. TURING: C'est l'équivalent du prix Nobel en informatique. (définition PRIX ALAN M. TURING).
PRJ: C'est un raccourci de PRoJet, qui désigne un fichier décrivant un projet. (définition PRJ).
PRMD: Ensemble d?utilisateurs d?une messagerie qui dispose de moyens de gestion et de récupération des messages, dans le cadre de la norme x400. (définition PRMD).
PRML: Acronyme de Partial Response Maximum Likehood. C'est un type de tête de lecture de disque dur. (définition PRML).
PRMP: Acronyme de Programme de Reconstruction de Mot de Passe. Désigne un programme censé se protéger contre les oublis de mot de passe. C'est en fait très employé par les pirates. (définition PRMP).
PRN: C'est un raccourci pour printer, l'imprimante. C'est aussi l'acronyme de Pseudo Random Noise, soit un bruit pseudo-aléatoire. (définition PRN).
PROC: C'est un raccourci de processeur, et non de processus. Dans l'expression " fichier virtuel /proc, désigne les fichiers renfermant des données de fonctionnement du système. (définition PROC).
PROCEDURE: C'est une fonction qui ne donne pas de résultat. (définition PROCEDURE).
PROCESS ID: Désigne l'identification d'un processus. (définition PROCESS ID).
PROCESSEUR: Circuit intégré composé de millions de transistors et capable d?effectuer des millions d?opérations mathématiques à la seconde. C?est en quelque sorte le cerveau d?un ordinateur. (définition PROCESSEUR).
PROCESSEUR: Désigne la pièce de silicium autour de laquelle est articulé un ordinateur. Il effectue les calculs, gère les circuits de données, entre autres tâches. Il est composé de plusieurs millions de transistors. (définition PROCESSEUR).
PROCESSUS: Désigne une programme quand il est en cours de fonctionnement. (définition PROCESSUS).
PROCO: Désigne un équivalent plutot rare de processeur. (définition PROCO).
PRODIGY: C'est un réseau propriétaire conçu par IBM. Il est très cher. (définition PRODIGY).
PRODOS: Désigne un OS installé sur les Apple II. (définition PRODOS).
PRODUCTION: Un matériel en production effectue des opérations liées au Monde Réel, c'est-à-dire qu'il est sorti des essais. (définition PRODUCTION).
PRODUCTIQUE: Désigne la famille des logiciels consacrés à la production dans le milieu industriel. C'est une marque de Philips. (définition PRODUCTIQUE).
PROFIBUS: Désigne le PROcess FIeld BUS, qui est un bus de terrain. (définition PROFIBUS).
PROFIL: Désigne le groupe des spécifications liées à un usager précis. (définition PROFIL).
PROFS: Suite de logiciels de bureautique développés par IBM. (définition PROFS).
PROGICIEL: C'est un logiciel réservé à une utilisation dans un cadre professionnel. Le terme a été crée par contraction de logiciel et produit par J. Forge au début des années 80. (définition PROGICIEL).
PROGRAM MANAGER: Désigne le gestionnaire de programmes sous Windows 3. (définition PROGRAM MANAGER).
PROGRAMMATEUR: C'est l'outil par lequel on peut programmer l'exécution de tâches. (définition PROGRAMMATEUR).
PROGRAMMATION FONCTIONNELLE: Désigne une programmation de fonctions. (définition PROGRAMMATION FONCTIONNELLE).
PROGRAMMATION ORIENTEE OBJET: C'est un équivalent de programmation à objets. (définition PROGRAMMATION ORIENTEE OBJET).
PROGRAMMATION STRUCTUREE: Dans cette programmation, on emploie des instances de controle normalisées grâce auxquelles le code est simplifié. (définition PROGRAMMATION STRUCTUREE).
PROGRAMMATION VISUELLE: Désigne un type de programmation qui se fait en choisissant des options représentées par des icones. (définition PROGRAMMATION VISUELLE).
PROGRAMMATION: Désigne l'action de composer des programmes. On peut distinguer la programmation orientée objet et la programmation structurée. (définition PROGRAMMATION).
PROGRAMME: Désigne une séquence de commandes, composée en vue d'effectuer une action, de traiter des données. C'est la représentation d'un algorithme dans un langage précis, en vue de l'utilisation sur une machine précise. (définition PROGRAMME).
PROGRAMMER: C'est le fait de composer un programme. (définition PROGRAMMER).
PROGRAMMEUR DU DIMANCHE: Désigne le programmeur peu doué. (définition PROGRAMMEUR DU DIMANCHE).
PROGRAMMEUR: Désigne celui qui compose des programmes. (définition PROGRAMMEUR).
PROGRESSIF SCAN: Processus qui permet d?améliorer la définition d?une image projetée ou affichée sur écran plat, le plus souvent il est directement intégré à l?équipement d?affichage ou au lecteur DVD. (définition PROGRESSIF SCAN).
PROGZ: Désigne une application piratée. La mauvaise orthographe est voulue. L'équivalent anglais est warez. (définition PROGZ).
PROJECTEUR: Désigne le dispositif qui expédie les informations d'une application vers une autre. C'est souvent un plug-in. (définition PROJECTEUR).
PROJET: Désigne le groupe des fichiers qui compose un logiciel pendant son développement. (définition PROJET).
PROLOG: C'est le raccourci de PROgrammation en LOGique. Il s'agit d'un langage de traitement symbolique des informations. Conçu en 71 par le Groupe d'Intelligence Artificielle de Luminy., il est employé par les systèmes experts. (définition PROLOG).
PROM: Programmable Read-Only Memory. Désigne une mémoire morte susceptible d'être programmée. (définition PROM).
PROMISCUOUS: Pour un adaptateur, un mode promiscuous signifie un traitement de l'ensemble du trafic. (définition PROMISCUOUS).
PROMMER: Désigne un brà»leur d'EPROMÂ : un périphérique qui grave de façon permanente des informations sur une PROM. (définition PROMMER).
PROMPT: C'est l'équivalent anglais d'invite. (définition PROMPT).
PROPORTIONNEL: Caractérise une police dont les signes sont de tailles différentes. (définition PROPORTIONNEL).
PROPRIETAIRE: Qualifie un système appartenant à une instance. Un tel système est incompatible avec d'autres plate-formes. Le contraire est un système libre. (définition PROPRIETAIRE).
PROSS: C'est un raccourci de processeur ou de processus. (définition PROSS).
PROTECTION: Désigne le groupe de procédés par lesquels on peut se protéger de certains événements. Désigne aussi les dispositifs qui, sur certains supports, interdisent la copie de ceux-ci. (définition PROTECTION).
PROTEGE EN ECRITURE: Qualifie un support qui ne peut pas être modifié. (définition PROTEGE EN ECRITURE).
PROTEGE: Caractérise un type de management de mémoire qui associe différentes zones de la mémoire à différentes tâches. (définition PROTEGE).
PROTEGER: Désigne le fait d'entourer un système de certaines protections, contre les intrusions ou même contre certains programmes. (définition PROTEGER).
PROTO: C'est un raccourci pour protocole ou prototype. (définition PROTO).
PROTOCOLE SECURISE SSL: Protocole permettant d?établir une connexion sécurisée sur Internet, afin d?empêcher toute tentative de fraude. (définition PROTOCOLE SECURISE SSL).
PROTOCOLE: Désigne la détermination d'une communication en terme de rapidité, de codage et de signaux de début et de fin. On trouve par exemple TCP / IP, CSLIP, RTP, FTP, HTTP, PPP etcâ?¦ (définition PROTOCOLE).
PROTOTYPAGE: Désigne l'action de conception d'un prototype. (définition PROTOTYPAGE).
PROTOTYPE: Désigne la version réduite d'un système. Un prototype est lent, mais il doit pouvoir fonctionner afin de présenter le projet à d'éventuels clients. Désigne aussi, pour une fonction, l'indication des informations qu'elle envoie et qu'elle accepte. (définition PROTOTYPE).
PROVIDER: C'est l'équivalent anglais du fournisseur d'accès. (définition PROVIDER).
PROXIES: C'est le pluriel de proxy. (définition PROXIES).
PROXY SERVER: Serveur implanté entre un réseau local et Internet, et qui sauvegarde les résultats des requêtes envoyés à l?extérieur afin de les afficher plus rapidement la seconde fois. (définition PROXY SERVER).
PROXY: Désigne un serveur intermédiaire. Il accepte des demandes et les réexpédie au bon serveur. L'équivalent français est mandataire, mais il est rare. (définition PROXY).
PS / 2: Désigne un famille de machines personnelles conçues sans succès par IBM. (définition PS / 2).
PS: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Palestine. (définition PS).
PS: Acronyme de Print Sorted. C'est une instruction qui présente visuellement l'état des processus en cours d'exécution. C'est aussi un fichier qui stocke des instructions PostScript. PS est également l'acronyme de Power Supply, soit une alimentation électrique, de Playstation ou de PhotoShop. Enfin, PS est l'acronyme de Proposed Standard, soit l'ultime stade avant l'officialisation d'une norme. (définition PS).
PSD: Désigne un document au standard Photoshop. C'est donc une image de haute qualité. (définition PSD).
PSDN: Réseau à commutation de paquet. (définition PSDN).
PSE: Acronyme de Page Size Extension. (définition PSE).
PSEUDO: C'est un raccourci de pseudonyme. (définition PSEUDO).
PSEUDO-ALEATOIRE: Toute machine informatique étant déterministe, les valeurs aléatoires fournies par un ordinateur ne peuvent être que pseudo-aléatoires. (définition PSEUDO-ALEATOIRE).
PSEUDO-CODE: Désigne le code qui est une étape entre le langage naturel et l'informatique, ou une étape entre le langage de programmation et le machine. On trouve aussi l'abréviation P-code. (définition PSEUDO-CODE).
PSEUDO-INSTRUCTION: Désigne une commande assembleur qui est extérieure au langage exécutable mais qui est employée pour produire le code exécutable pendant la compilation. (définition PSEUDO-INSTRUCTION).
PSEUDO-NAVIGATEUR: Désigne un navigateur réduit à une interface qui se sert des ressources d'un autre navigateur. (définition PSEUDO-NAVIGATEUR).
PSEUDONYME: On l'emploie rarement, lui préférant pseudo. (définition PSEUDONYME).
PSEUDOPARALLELISME: Désigne un type artificiel de parallélisme, c'est-à-dire une illusion de multitâche. La machine circule en fait très rapidement entre les applications. (définition PSEUDOPARALLELISME).
PSI: Acronyme de Prestataire de Service Internet. (définition PSI).
PSN: C'est l'acronyme de Packet Switched Network, qui est un réseau fonctionnant par commutation de paquets. Désigne aussi le Processor Serial Number, soit le numéro de série du processeur chez Intel. C'est un dispositif de controle puisque ce numéro est accessible par logiciel. (définition PSN).
PSN: Réseau public à commutation. (définition PSN).
PSO: Acronyme de Protocol Supporting Organisation. Il s'agit d'une structure de l'ICANN qui controle les protocoles. (définition PSO).
PSP: Acronyme de Program Segment Prefix. C'est une séquence d'informations sur 256 octets, située avant le programme en mémoire à un moment donné. PSP est aussi le raccourci de Paint Shop Pro, une application de traitement de photo numérique. (définition PSP).
PSS: C'est un Packet Switch Stream, qui est un réseau X25. (définition PSS).
PSSI: Acronyme de différents élémentsÂ : Plan de Sécurité des Systèmes d'Informations, Planification Stratégique des Systèmes d'Information ou Politique de Sécurité des Systèmes d'Information. (définition PSSI).
PSSP: C'est l'acronyme de Print Server Security Protocol. Ce protocole de controle de la sécurité des serveurs d'impression fonctionne sous AppleShare IP. (définition PSSP).
PST: C'est la Pacific Standard Time, sur la cote ouest des Etats-Unis. Elle vaut UTC â?? 8 heures. (définition PST).
PSTN: Public Switched Telephone Network. Réseau téléphonique public commuté (RTC). (définition PSTN).
PSX: Désigne un surnom de la Playstation de Sony. (définition PSX).
PSX2: C'est un surnom de la Playstation 2. (définition PSX2).
PT: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Portugal. (définition PT).
PTDR: Signifie " Pété de rire", sur un IRC. (définition PTDR).
PTERM: Physical TERMinal. (définition PTERM).
PTF: Program Temporary Fix. (définition PTF).
PTMM: Signifie " Please, Tell Me More", soit " Dis-m'en un peu plus, s'il te plaà®t". (définition PTMM).
PTSN: Acronyme de Public Telephone Switched Network, soit un Réseau Téléphonique Public Commuté. (définition PTSN).
PTT: Signifie Postes Télégraphes et Télecommunications. Le sigle est valable également dans un contexte anglo-saxon. Signifie aussi Push To Talk, soit " pressez pour parler", qui renvoie aux technologies du type talkie-walkie. (définition PTT).
PU: Acronyme de Physical Unit. C'est la machine dont se sert un LU dans une structure SNA. (définition PU).
PUB: C'est, sous Unix, l'appellation du répertoire public. (définition PUB).
PUBLICATION-SOUSCRIPTION: Désigne un procédé de mise à disposition de ressources par lequel des logiciels diffusent leurs informations et en reçoivent, via un middleware. (définition PUBLICATION-SOUSCRIPTION).
PUBLIPHONE: Désigne un téléphone public. Il peut être à carte, ou à pièce. (définition PUBLIPHONE).
PUBLIPOSTAGE: Désigne un envoi massif de messages non publicitaires. (définition PUBLIPOSTAGE).
PUBLIPOSTAGE: Traduction française de mailing. Consiste à réaliser un envoi massif d?e-mails personnalisés grâce à une liste. (définition PUBLIPOSTAGE).
PUBSTRO: Désigne un serveur puissant lorsqu'il est piraté. Le pirate y intègre un serveur FTP diffusant des données illégales. (définition PUBSTRO).
PUCE: Désigne un circuit intégré doté de capacité de connexions avec d'autres éléments. Une puce est aussi un signe qu'on utilise pour dresser une liste et distinguer les entrées de cette listeÂ : ï?½. (définition PUCE).
PUCK: Désigne les souris conçues par Apple et fournies avec la première série d'iMacs. Désigne également la souris dont on se sert avec une palette graphique. (définition PUCK).
PUID: Acronyme de Pairwise Unique IDentifier. Désigne le procédé par lequel on peut identifier un usager qui vient et revient sur un site. (définition PUID).
PULL: Désigne le procédé par lequel l'usager peut consulter des informations à conditions d'aller les chercher. C'est le cas du web, par exemple. (définition PULL).
PUMA: C'est le nom de développement de MacOS X dans ses versions 10.1 à 10.2.8. (définition PUMA).
PUMPKING: Désigne le gestionnaire principal du projet de conception de Perl. (définition PUMPKING).
PUNCH: Désigne un minuscule programme dont le code tient en 20 lignes et est rédigé en GFA. (définition PUNCH).
PUNYCODE: Désigne la grammaire par laquelle on peut coder les signes Unicode en ASCII. Cette syntaxe est spécifiée par la RFC 3492. (définition PUNYCODE).
PURGE: Désigne l'action de purger un support, souvent un disque. (définition PURGE).
PURGER: Signifie créer de la place sur un disque par la destruction aléatoire de fichiers. C'est donc un nettoyage aveugle. (définition PURGER).
PURPLE FRINGING: Désigne une incohérence de couleur des photos numériques notamment. Elle se signale par une ligne violette délimitant les zones à fort contraste, et est causée par une trop grande lumière. (définition PURPLE FRINGING).
PUSH TO TALK: Système de communication similaire aux talkie walkie, où un utilisateur doit appuyer sur un bouton avant de parler. (définition PUSH TO TALK).
PUSH: Désigne un procédé par lequel on peut consulter des ressources sans aller les chercher. C'est le serveur qui les fait descendre. C'est également le nom d'une instruction par laquelle on installe un objet en haut d'une pile de données. (définition PUSH).
PVAO: Acronyme de Présentation Visuelle Assistée par Ordinateur. Un équivalent est préAO. (définition PVAO).
PVC: Dans un réseau à commutation de paquet, il s?agit d?un circuit permanent virtuel. (définition PVC).
PVFS: C'est l'acronyme de Parallel Virtual File System. Désigne le projet, conçu et étudié par la NASA et l'Université de Clemson, d'analyse du développement, de l'intégration et de l'usage des systèmes d'entrées et sorties parallèles. (définition PVFS).
PVI: C'est l'équivalent français de FYI. Cela signifie " Pour Votre Information". (définition PVI).
PVM: Acronyme de Parallel Virtual Machine. Il s'agit d'un API qui peut gérer les échanges entre les différents nÅ?uds dans un cluster de machines. (définition PVM).
PVN: Ensemble de ressources publics de communications mise à disposition d?un client de telle sorte qu?elles apparaissent comme appartenant à son réseau privé. (définition PVN).
PVP: Signifie Player versus Player. Dans un jeu vidéo, désigne le mode dans lequel un joueur agit contre un joueur, et non contre la machine. (définition PVP).
PW: AL fin d'une URL, signale que le site est basée à Palau. (définition PW).
PW: C'est un raccourci de password, mot de passe. (définition PW).
PWB: C'est un raccourci fréquent de PowerBook. (définition PWB).
PWD: Acronyme de Print Working Directory, qui signale, sous Unix, le répertoire en activité. (définition PWD).
PWD: Pulse Width Modulation, c'est-à-dire la Modulation d'Impulsion en Durée. (définition PWD).
PWL: Signifie PassWord List. C'est un fichier renfermant le catalogue des mots de passe utilisés sur un système. Cette liste est notamment utilisée par Windows. (définition PWL).
PX: Private eXchange. Désigne un commutateur privé. (définition PX).
PXE: Acronyme de Preboot eXecution Environment. Désigne le milieu préalable au boot, grâce auquel on peut installer l'OS sur une machine à chaque démarrage. (définition PXE).
PY: A la fin d'un URL, signale que le site est basé au Paraguay. C'est aussi l'extension d'un fichier renfermant un code en Python. (définition PY).
PYTHON: Désigne un langage de script libre. Il est orienté objet et s'inspire largement de Perl. Sa conception a commencé en 90, et la dernière version en date est la 2.3. (définition PYTHON).
Q SIG: Q Signaling. Standard de signalisation développé par l?EECMA. (définition Q SIG).
Q&R;: Signifie Query & Report. C'est un programme par lequel on réalise des requêtes dans un banque de données, dont on traduit les résultats sous forme de rapport. (définition Q&R;).
QA: A la fin d'un URL, signale que le site est basé au Quatar. (définition QA ).
QBE: Querry By Example. Langage d?interrogation de base de données qui concurrence SQL. (définition QBE).
QCELP: Acronyme de Qualcom Code Excited Linear Predictive. Il s'agit d'un codec de compactage du son. Il est mployé par CDMA. (définition QCELP).
QDOS: Quick and Dirty DOS. C'est un OS16 bits développé en 4 mois (quick) par T. Patterson pour sa machine personnelle structurée autour d'un 8086. (définition QDOS).
QE: C'est un raccourci pour Quartz Extreme. (définition QE).
QEMM: Acronyme de Quarterdeck Expanded Memory Manager. Désigne une application de gestion de mémoire. L'application n'est plus utilisée aujourd'hui. (définition QEMM).
QFP: Désigne une puce dont les pattes sont horizontales sur tous les cotés. (définition QFP).
QIC: Acronyme de Quarter Inch Cartridge. Désigne un support ayant la forme d'une cartouche d'une taille d'un quart de pouce. C'est aussi l'extension d'un fichier renfermant une copie de sauvegarde sur une QIC. (définition QIC).
QL: Désigne une machine conçue par Sinclair. Ses caractéristiquesÂ : 128 ko de RAM, un stockage sur microcassette et une puce 68000 ou 68008. (définition QL).
QLLC: Acronyme de Qualified Logical Control. C'est le groupe de processus rendant possible le SDLC. (définition QLLC).
QNX: Désigne un OS temps réel dessiné pour l'industrie. QNX est également l'appellation du concepteur de cet OS. (définition QNX).
QOS: Acronyme de Quality Of Service. C'est un groupe de variables qui sont émises et reçues en même temps que des données lors d'une communication. Ces variables assurent une bonne circulation des données. (définition QOS).
QOS: C'est une variante orthographique de QOS. (définition QOS).
QP: Acronyme de Quoted Printable. (définition QP ).
QQOQCP: Acronyme de Qui, Quoi, Oà¹, Quand, Comment, PourquoiÂ ? Soit la séquence des questions que se posent les développeurs. (définition QQOQCP).
QR: Signifie Queue Ranking, soit la place dans une file d'attente. QR est notamment employé par eMule. (définition QR).
QSXGA: Quad SXGA. Il s'agit d'une norme d'affichage de 2560 x 2048 pixels. (définition QSXGA).
QT: C'est un raccourci de QuickTime. (définition QT).
QT: Désigne un catalogue de widgets conçus par Troll Tech. (définition QT).
QTSS: Acronyme de QuickTime Streaming Server. (définition QTSS).
QUADBIT: Désigne un groupe de 4 bits. (définition QUADBIT).
QUADRI: C'est un raccourci de quadriprocesseur ou de quadrichromie. (définition QUADRI).
QUADRICHROMIE: Technique de reproduction photographique à partir de 4 couleurs de bases. (définition QUADRICHROMIE).
QUADRIPROCESSEUR: Qualifie une machine articulée autour de quatre processeurs principaux. (définition QUADRIPROCESSEUR).
QUADWORD: Désigne un mot de 8 octets. (définition QUADWORD).
QUAKE: Désigne un jeu vidéo qui reprend le système de Doom. (définition QUAKE).
QUALIMETRIE: C'est une mesure de qualité. (définition QUALIMETRIE ).
QUALITE DE SERVICE: Désigne la certification d'une vitesse minimum spécifiée à l'avance sur un lien. L'équivalent anglais est QOS. (définition QUALITE DE SERVICE).
QUALITE PHOTO: Caractérise une impression dont les points constitutifs ont un diamètre de 40 microns. (définition QUALITE PHOTO).
QUALITE: On dispose des normes suivantes pour mesurer une qualité en service informatiqueÂ : ISO 9000, 9001, 9002, 9003 et 9126. (définition QUALITE).
QUALITE-CD: Mesure une qualité sonore d'un document si celle-ci est équivalente à un CD, soit un échantillonnage en 44 kHz, 16 bits stéréo. (définition QUALITE-CD).
QUALITICIEN.: Désigne celui qui est en charge du respect de la qualité d'un service ou d'une production. (définition QUALITICIEN. ).
QUANTIFIER: Aligner le rythme d?une musique midi sur un tempo spécifié. (définition QUANTIFIER).
QUANTIFIER: Désigne en anglais le préfixe qui correspond à la multiplication d'un élément. Kilo, giga ou yotta sont des quantifiers qui correspondent respectivement à une multiplication par 1000, 1000 000 et 100 000 000 000. (définition QUANTIFIER).
QUANTIZATION: C'est l'action par laquelle on traduit les 16 millions de couleurs d'un visuel en 256. Cette opération est par exemple à l'Å?uvre lors de la conversion d'un JPG en GIF. (définition QUANTIZATION).
QUANTUM: Désigne une durée pendant laquelle un processus se réalise sans interruption. Un équivalent est time slice. (définition QUANTUM).
QUARTE: Désigne la réunion de deux paires de fils. (définition QUARTE).
QUARTET: C'est la réunion de quatre bits, c'est-à-dire la moitié d'un octet. (définition QUARTET).
QUARTZ EXTREME: C'est l'évolution de Quartz à partir de MacOS 10.2. (définition QUARTZ EXTREME).
QUARTZ: Il s'agit d'un système graphique en deux dimensions, fondé sur PDF, dont se sert MacOS X pour faire de l'anti-aliasing sur des polices de caractères ou produire de l'ombrage autour des fenêtres. (définition QUARTZ).
QUERY: C'est l'équivalent anglais de requête. (définition QUERY).
QUEUE: Signifie une file d'attente. (définition QUEUE).
QUICKCAM: C'est l'équivalent d'une webcam. (définition QUICKCAM).
QUICKDRAW: Désigne les tâches graphiques répétitives sous MacOS jusqu'à la version 9. (définition QUICKDRAW).
QUICKSORT: Signifie " tri par segmentation". C'est le nom d'un algorithme très rapide de tri. (définition QUICKSORT).
QUICKTIME: Désigne un ensemble d'éléments allant du standard de lecture au kit de conception. Conçu par Apple mais compatible avec les PC, QuickTime est surtout utilisé pour lire de la vidéo. Une interface extrêmement obscure n'empêche pas son succès. On trouve comme raccourci QT, ou QTW sous Windows. (définition QUICKTIME).
QUICKTIME: Format de fichier vidéo très implanté sur les Macintosh. (définition QUICKTIME).
QUITTER: Désigne le fait de mettre fin à l'activité d'un programme. (définition QUITTER).
QUOTED PRINTABLE: Désigne un procédé de traduction des signes 8 bits en ASCII 7 bits. L'idée est de substituer au signe la valeur de son rang dans la table ASCII. Ce procédé permet par exemple de faire circuler un texte avec des accents, en étant sà»r que ceux-ci seront conservés même par la plus américaine des applications. (définition QUOTED PRINTABLE).
QUOTED TEXT: Désigne un " texte cité", qu'on signale souvent par les signes < (définition QUOTED TEXT).
QUXGA: Désigne un Quad UXGA, soit une norme d'affichage de 3200 x 2400 pixels. (définition QUXGA).
QWERTY: Désigne le clavier utilisé dans les pays anglo-saxons, en référence à la séquence de touches de la seconde ligne. (définition QWERTY).
QWERTZ: C'est un autre type de clavier. (définition QWERTZ).
QWORD: Désigne un quadruple word, soit un mot quadruple dont la valeur est encodée sur 64 bits. (définition QWORD).
QXGA: Quad XGAÂ : une norme d'affichage de 2048 x 1536 pixels. (définition QXGA).
R / O: Signifie Read / Only, qui qualifie des informations susceptibles d'être lues mais non modifiables. (définition R / O ).
R&D;: Raccourci de Recherche et Développement. (définition R&D;).
R&D;&D;: Raccourci de Recherche et Développement et Design. (définition R&D;&D;).
R3B3L: C'est une évolution à partir de rebelle. (définition R3B3L).
RA: Acronyme de Real Audio, c'est-à-dire un fichier renfermant un document sonore au standard Real Audio. (définition RA).
RAB: Acronyme de Raid Advisory Board. C'est l'office de standardisation des systèmes RAID, mis en place en 92. (définition RAB).
RACCOURCI CLAVIER: C'est un synonyme de raccourci. (définition RACCOURCI CLAVIER).
RACCOURCI: C'est la version courte de raccourci clavier. Désigne la combinaison de touches qui peut déclencher une fonction sans passer par la souris et l'interface graphique. (définition RACCOURCI).
RACE CONDITION: Désigne la faille de sécurité provoquée par une protection des informations inadaptée de la part du logiciel. Un autre logiciel peut donc venir se servir de ces données, condition d'aller assez vite, d'oà¹ le nom race condition, qui signifie littéralement " situation de course". (définition RACE CONDITION).
RACINE: Désigne le nÅ?ud du niveau inférieur dans une représentation en arborescence. Désigne également la portion d'un processus qui demeure en mémoire lorsque ce processus est à l'origine d'un fils. (définition RACINE).
RACK: Signifie rayon, en anglais. Désigne un type d'architecture de machine, oà¹ les composants sont placés dans des rayons, donc facilement retirables. (définition RACK).
RACKABLE: Désigne un élément qui peut se placer dans une architecture en rack. (définition RACKABLE).
RAD: Acronyme de Rapid Application Developpement. Désigne un type de conception rapide, notamment grâce aux L4G. (définition RAD).
RAD: C'est un raccourci de radiateur. (définition RAD).
RADEON: C'est une famille de processeurs vidéos, conçus par ATI. Le Radeon 9700 est composé de 110 millions de transistors. (définition RADEON).
RADIATEUR: C'est une traduction de radiator qu'on devrait plutot traduire par " dissipateur thermique". (définition RADIATEUR).
RADIO: Qualifie un groupe de boutons dans lequel on ne peut sélectionner qu'un seul élément. (définition RADIO).
RADIOCOM 2000: Equipement de radiotéléphonie fonctionnant en mode analogique vendu par France Telecom. (définition RADIOCOM 2000).
RADIOMESSAGERIE: Désigne la technologie par laquelle on peut émettre des messages en direction d'un pager. C'est donc une technologie obsolète depuis l'arrivée des téléphones portables. (définition RADIOMESSAGERIE).
RADIOTELEPHONE: Désigne un appareil téléphonique qui se sert des ondes hertziennes pour émettre et recevoir. (définition RADIOTELEPHONE).
RADIOTELEPHONIE: Désigne la technologie associée au radiotéléphone. (définition RADIOTELEPHONIE).
RADSL: Acronyme de Rate-Adaptive Digital Subscriber Line. Désigne un ADSL dont le débit est spécifié et adapté sans cesse par logiciel. (définition RADSL).
RAF: Acronyme de " Rien A Foutre". (définition RAF).
RAFFINAGE: Désigne le procédé par lequel on traduit une caractérisation théorique en installation réelle. (définition RAFFINAGE).
RAFFINEMENT: C'est un synonyme de raffinage. (définition RAFFINEMENT).
RAFFINERIE: C'est un synonyme d'usine à gaz. (définition RAFFINERIE).
RAFRAA®CHIR: C'est un synonyme de redessiner. (définition RAFRAA®CHIR).
RAFRAA®CHISSEMENT: Désigne le procédé par lequel on redessine l'écran via un logiciel. Désigne également le fait d'introduire un courant dans une RAM pour qu'elle conserve les données. (définition RAFRAA®CHISSEMENT).
RAIC: Acronyme de Redundant Array of Inexpensive Computers. Désigne un procédé voisin du RAID, qui consiste à multiplier les machines ordinaires pour composer un système puissant plutot que de tout investir dans une seule " grosse" machine. (définition RAIC).
RAID: C'est l'acronyme de Redundant Array of Inexpensive Disks. Désigne une architecture d'enregistrement de données à grande échelle. C'est également l'acronyme de Recent Advances in Intrusion Detection. C'est le nom d'une réunion annuelle étudiant les avancées en termes de repérage des intrusions. (définition RAID).
RAIN: Acronyme de Regional Alliance for Information Networking. Désigne en France le réseau IP. (définition RAIN).
RAINAGE: Rainure faite sur un papier pour en faciliter le pliage. (définition RAINAGE).
RAINBOW BOOKS: Désigne la famille d'ouvrages rassemblant de multiples standards. Ils sont spécifiés par leur couleur. (définition RAINBOW BOOKS).
RAINBOW DISC: Désigne un type de compact disc conçu par Philips. (définition RAINBOW DISC).
RAISONNEMENT A BASE DE CAS.: Désigne le type de réflexion dans lequel ont utiliser des exemples déjà traités pour résoudre des problèmes jugés similaires. (définition RAISONNEMENT A BASE DE CAS. ).
RAM: Random Access Memory. Désigne une mémoire vive. Egalement Real Audio Metafile. (définition RAM).
RAM: Random Access Memory. Egalement appelée mémoire vive, ce type de mémoire permet de stocker les données des programmes en cours d?exécution sur un ordinateur. Elle est vendue sous forme de barrette contenant jusqu?à 1Go de donnée voire plus. (définition RAM).
RAMAC: Random Access Method of Accounting and Control. Désigne un tube composé de 50 disques, qui est utilisé comme disque dur. Il a été conçu en 56 par IBM et dipose d'une capacité de 5 Mo. (définition RAMAC).
RAMASSE-MIETTES: C'est l'équivalent français de garbage collector. (définition RAMASSE-MIETTES).
RAMBUS: C'est la firme qui a conçu la RDRAM. (définition RAMBUS).
RAMDAC: Acronyme de Random Access Memory Digital to Analogic Converter. Désigne un circuit dans un adaptateur graphique, qui est chargé de traduire les données numériques en informations digitales en vue de leur utilisation par l'écran. (définition RAMDAC).
RAM-DISK: C'est l'équivalent anglais de RAM-disque. (définition RAM-DISK).
RAM-DISQUE: Désigne le procédé de simulation d'un lecteur-disquette dans une RAM. (définition RAM-DISQUE).
RAME: Acronyme du Réseau d'Aire Métropolitaine, qui est la version française de MAN. (définition RAME).
RAME: Paquet de 500 feuilles de papier d?un format identique. (définition RAME).
RAMER: Désigne, pour un machine ou une personne, le fait de travailler particulièrement lentement. (définition RAMER).
RAMETTE: Paquet de 500 feuilles de papier d?un format standard, obtenu par massicotage. (définition RAMETTE).
RANDOM: Signifie aléatoire. C'est le nom de l'instruction par laquelle sont produits les nombres pseudo-aléatoire. (définition RANDOM).
RAPATRIEMENT: Désigne l'action par laquelle on récupère des informations depuis une machine éloignée jusque dans sa propre machine. (définition RAPATRIEMENT).
RAPATRIER: Un équivalent est downloader. (définition RAPATRIER).
RAPPORT DE BUG: Désigne le rapport par lequel un programme signale un bug. Ce rapport explique le bug en même temps que l'environnement de son occurrence. (définition RAPPORT DE BUG).
RAPPORT SIGNAL BRUIT: Rapport entre la puissance d?un signal et de la puissance des bruits parasites. Plus le rapport est élevé, plus la qualité de la ligne est bonne. (définition RAPPORT SIGNAL BRUIT).
RAPPORT SIGNALÂ / BRUIT: Désigne le terme par lequel on qualifie l'intérêt d'un forum. Le signal représente les données dignes d'intérêt, le bruit désignant le contraire. (définition RAPPORT SIGNALÂ / BRUIT).
RAPPORT: C'est un synonyme d'état. (définition RAPPORT).
RAR: Désigne un standard de compactage. (définition RAR).
RARE: Acronyme de Réseaux Associés pour la Recherche Européenne. . (définition RARE).
RARP: Acronyme de Reverse Address Resolution Protocol. (définition RARP).
RAS: Acronyme de Remote Access Service, qui est un accès à distance utilisant Windows NT. Désigne aussi le Row Address Strobe, qui indique à une DRAM que l'adresse qui suit est l'adresse d'une rangée. (définition RAS).
RASTER: Format qui décrit un document comme un ensemble de points juxtaposés, le Bitmap par exemple. (définition RASTER).
RATP: C'est l'acronyme de Reliable Asynchronous Transfer Protocol. (définition RATP).
RAW: Désigne un groupe non rationalisé d'informations. Raw signifie cru en anglais. (définition RAW).
RAYONS COSMIQUES: Désigne l'excuse par laquelle on essaie d'expliquer un plantage autrement inexplicable. (définition RAYONS COSMIQUES).
RAYTRACING: Désigne un procédé de rendering par lequel on détermine le mouvement de la lumière sur une scène en 3 D. (définition RAYTRACING).
RAZ: Acronyme de remise à zéro. C'est l'équivalent français de reset. (définition RAZ).
RBL: Acronyme de Realtime Blackhole List. Désigne la liste des machines ou serveurs qu'on définit comme indésirables. (définition RBL).
RBOC: Acronyme de Regional Bell Operating Company. C'est l'une des Baby Bell. (définition RBOC).
RC: C'est le raccourci de Run Commands, qui est le fichier qui renferme des instructions à réaliser. On trouve souvent Rc comme à la fin du nom d'un fichier de configuration de logiciel. Rc désigne aussi un shell associé au Plan 9. (définition RC).
RC4: C'est l'acronyme de Rivest Cypher 4, qui est l'algorithme par lequel on peut chiffrer en utilisant des clés symétriques et fonctionnant en continu. C'est l'algorithme dont se sert SSL. (définition RC4).
RC5: Désigne un algorithme à clé secrète. (définition RC5).
RCS: Acronyme de Revision Control System. Dans un projet, c'est le système de controle qui assure la gestion des identifiants des fichiers composant le projet. (définition RCS).
RCT: Acronyme de Return Channel Terrestrial, soit " Canal de Retour Terrestre". (définition RCT).
RCTT: C'est l'acronyme de Return Channel Terrestrial Terminal. (définition RCTT).
RD: Acronyme de Recherche et Développement, de Remove Directory (qui est l'instruction par laquelle on efface un répertoire en DOS) ou de Receiving Data (qui est l'indice qu'un modem est en cours de réception d'informations). (définition RD).
RDA: C'est l'acronyme de Remote Data Access. Désigne le standard ISO d'accès distant aux banques de données. (définition RDA).
RDB: Acronyme de Relationnal Database. C'est un gestionnaire relationnel de banques de données. Désigne également un Rgid Data Block, qui est, sur un disque dur FFS d'Amiga, la zone qui referme ses informations. (définition RDB).
RDBMS: Acronyme de Relationnal Database Management System. (définition RDBMS).
RDF: Resource Description Framework. C'est une norme W3C pour décrire des syntaxes. (définition RDF).
RDP: Désigne un réseau de Pétri. Désigne également un Remote Desktop Protocol, par lequel on peut, sous Windows, déporter un affichage. (définition RDP).
RDR: Raw Data Reading. Désigne la lecture d'informations " crues". (définition RDR).
RDRAM: Acronyme de Rambus Dynamic RAM. Désigne une RAM dédiée à la vidéo. (définition RDRAM).
RDS: Acronyme de Random Dots Stereogram. C'est un stéréogramme produit par un nuage de points aléatoires. Désigne également un Radio Data System, c'est-à-dire l'émission d'informations par radio. (définition RDS).
RE BOOTER: Redémarrer un ordinateur. (définition RE BOOTER).
RE ENGINEERING: Opération consistant à revoir totalement le mode de fonctionnement d?une entreprise et ses processus. (définition RE ENGINEERING).
RE: A la fin d'une URL, signale que le site est basé sur l'à®le de la Réunion. C'est aussi le raccourci de Référence ou Réponse. C'est le terme dont on se sert pour signaler que l'article est une réponse à un article précédent. (définition RE).
REACTIVATION: Désigne l'action de remettre en route un programme. (définition REACTIVATION).
REACTIVER: Remettre en route un processus ou un programme. (définition REACTIVER).
READER OFFLINE: Désigne une application grâce à laquelle on peut rédiger et lire des messages sans être à ce moment connecter au réseau. (définition READER OFFLINE).
README: C'est l'appellation du fichier renfermant un mode d'emploi raccourci ou des informations, qui accompagne un logiciel. README signifie " lisez-moi". (définition README).
REAL AUDIO: Désigne un standard d'encodage sonore qui permet le streaming. (définition REAL AUDIO).
REAL LIFE: C'est l'équivalent anglais de vraie vie. (définition REAL LIFE).
REAL NAMES: Mot clé particulier acheté par un site Web et qui pointe uniquement vers ce site dans un moteur de recherche. (définition REAL NAMES).
REALAUDIO: Fichier audio pouvant être lu en streaming, c'est-à-dire qui permette l?écoute du son pendant le téléchargement de celui-ci. (définition REALAUDIO).
REALITE AUGMENTE: Désigne l'union de la réalité virtuelle et du réel. (définition REALITE AUGMENTE).
REALITE VIRTUELLE: Désigne un environnement produit par une machine à l'intérieur duquel un avatar peut se mouvoir et interagir en temps réel. (définition REALITE VIRTUELLE).
REALPLAYER: Logiciel officiel pour la lecture des fichiers streaming développé par Real.com tel que le RealAudio. (définition REALPLAYER).
REALVIDEO: Fichier vidéo pouvant être lu en streaming, c'est-à-dire qui permette le visionnage de l?image pendant le téléchargement de celui-ci. (définition REALVIDEO).
REAMORçAGE: C'est l'équivalent de reboot. (définition REAMORçAGE).
REAMORCER: C'est l'équivalent de rebooter. (définition REAMORCER).
REBELZ: Désigne une variante du rebelle. Le terme est péjoratif. (définition REBELZ).
REBIDOUILLER: C'est l'action par laquelle on essaie de réparer un bidouillage. (définition REBIDOUILLER).
REBOL: Acronyme de Relative Expression-Based Object Language. Conçu par C. Sassenrath en 97, ce langage de conception d'applications distribuées est multi plate-forme. (définition REBOL).
REBOOT: Désigne le fait de rebooter une machine. (définition REBOOT).
REBOOTER: Désigne l'action de redémarrer un système après un crash. Des synonymes sont réamorcer ou redémarrer, mais ils sont rares. (définition REBOOTER).
REBOUCLAGE: Désigne le procédé par lequel un système conrole lui-même son fonctionnement. (définition REBOUCLAGE ).
REC: Désigne sur l'Usenet le groupe des forums traitant de thèmes récréatifs. (définition REC).
REC: Désigne, sous Windows, l'extension des fichiers renfermant une macro. (définition REC).
RECALIBRATION THERMIQUE: Désigne la cause du bruit parfois émis par un disque dur inactif. La recalibration est la reconfiguration effectuée pour tenir compte de la dilatation d'un disque qui chauffe. (définition RECALIBRATION THERMIQUE).
RECETTAGE: Réaliser le calcul d'une recette d'un système. (définition RECETTAGE).
RECETTE: Désigne le controle d'un produit, qui vérifie que les spécifications offertes sont bien celles théoriques. (définition RECETTE).
RECETTER: Effectuer la recette d'un produit. (définition RECETTER).
RECHERCHE INDIVIDUELLE: C'est l'équivalent français de pull. (définition RECHERCHE INDIVIDUELLE).
RECIF: Acronyme de Recherche Etude Criminalité Informatique Française. (définition RECIF).
RECLONER: C'est le fait de réinstaller un OS en suivant le procédé de clonage. (définition RECLONER).
RECODAGE: Désigne le fait de recoder un programme. L'anglais dit code reengineering. (définition RECODAGE).
RECODER: C'est l'action qui consiste à transporter un logiciel conçu dans un certain lagage vers un autre langage. (définition RECODER).
RECODEUR: Désigne la personne qui effectue un recodage. (définition RECODEUR).
RECOMPILATION: C'est le fait de recompiler. (définition RECOMPILATION).
RECOMPILER: Désigne l'action qui consiste à effectuer une nouvelle compilation d'un code. (définition RECOMPILER).
RECONFIGURATION: Désigne la transformation des paramètres d'un système. (définition RECONFIGURATION).
RECONNAISSANCE DE CARACTERES: Désigne l'étude d'un visuel dans le but d'en déterminer les caractères constitutifs. Un synonyme est OCR. (définition RECONNAISSANCE DE CARACTERES).
RECONNAISSANCE DE FORME: C'est l'étude d'un groupe d'informations visuelles afin d'en déterminer les formes constitutives. (définition RECONNAISSANCE DE FORME).
RECONNAISSANCE DE LA PAROLE: Désigne l'étude d'un document sonore visant à spécifier les phonèmes qui le composent. (définition RECONNAISSANCE DE LA PAROLE).
RECONNAISSANCE OPTIQUE DES CARACTERES: Logiciel qui permet de retrouver les caractères inscrits sur une feuille papier lors de la numérisation. On peut ainsi éditer à nouveau le texte dans un traitement de texte. (définition RECONNAISSANCE OPTIQUE DES CARACTERES).
RECOPIE VIDEO: Désigne la présentation d'une image identique sur plusieurs écrans. (définition RECOPIE VIDEO).
RECORD: Désigne une architecture d'informations. C'est un groupe rationnel constitué en vue d'un traitement. On utilise le terme notamment en Pascal. (définition RECORD).
RECTO: Côté de la feuille imprimée en premier. (définition RECTO).
RECUIT SIMULE: C'est l'appellation d'un algorithme grâce auquel on produit rapidement une approximation du résultat d'un problème NP-complet. (définition RECUIT SIMULE).
RECUPERATION DE DONNEES: C'est l'action par laquelle on tente de récupérer des informations disparues à la suite d'un bug, ou d'un plantage d'application. (définition RECUPERATION DE DONNEES).
RECURRENCE: C'est un synonyme de récursivité. (définition RECURRENCE).
RECURSIF: Désigne un élément intégrant la récursivité. (définition RECURSIF).
RECURSION: Désigne la réalisation d'une récursivité. (définition RECURSION).
RECURSIVITE: Désigne pour un programme le fait de s'auto-désigner, ou de s'auto-convoquer. (définition RECURSIVITE).
RECYCLE BIN: Désigne un équivalent de la corbeille. (définition RECYCLE BIN).
RECYCLEUR: C'est un autre synonyme de corbeille. (définition RECYCLEUR).
RED BOOK: Désigne l'ouvrage, édité en 80, contenant les caractéristiques du CD mis au point par Philips et Sony. Le nom original du support est CD-DA. (définition RED BOOK).
RED HAT: Désigne un version de Linux surtout employée par les serveurs. (définition RED HAT).
REDEMARRAGE: Désigne l'action de rebooter un système. (définition REDEMARRAGE).
REDEMARRER: C'est un synonyme de rebooter. (définition REDEMARRER).
REDESSINER: Désigne le fait de reprendre le dessin de ce que contient une fenêtre. L'anglais dira redraw. (définition REDESSINER).
REDEVELOPPER: Reprendre un développement, à cause de la perte des sources. (définition REDEVELOPPER).
REDHAT: C'est une variante orthographique de Red Hat. (définition REDHAT).
REDIMENSIONNEMENT: Désigne l'action par laquelle on reconfigure les dimensions d'une fenêtre. (définition REDIMENSIONNEMENT).
REDIMENSIONNER: Reconfigurer la taille d'une fenêtre ou de tout élément de dimensions variables. (définition REDIMENSIONNER).
REDIRECTION DE PORT: C'est le procédé par lequel on réexpédie des paquets vers un port différent de celui de la première arrivée. L'anglais dira IP forwarding. (définition REDIRECTION DE PORT).
REDIRECTION: Désigne l'action par laquelle on impose un détour aux E / S standards, notamment sous Unix. (définition REDIRECTION).
REDIRIGER: Réaliser une redirection. (définition REDIRIGER).
REDONDANCE: Désigne l'occurrence multiple d'une donnée. (définition REDONDANCE).
REDRAW: C'est l'équivalent anglais de redessiner. (définition REDRAW).
REECHANTILLONAGE: Désigne le fait de modifier la résolution d'un visuel. (définition REECHANTILLONAGE).
REECRITURE D'URL: Désigne, dans un serveur web, la fonction par laquelle une adresse est transformée selon des schémas spécifiés. (définition REECRITURE D'URL).
REENTRANCE: Désigne pour un système la capacité d'offrir son code à plusieurs programmes ou processus simultanément. (définition REENTRANCE).
REENTRANT: Qualifie une réentrance. (définition REENTRANT).
REEXPEDITEUR ANONYME: C'est un synonyme de remailer anonyme. (définition REEXPEDITEUR ANONYME ).
REFACTORISATION: Désigne l'action par laquelle on assure la maintenance d'un code. Le code n'est pas amélioré, mais rendu plus lisible. (définition REFACTORISATION).
REFACTORISER: Réaliser la refactorisation d'un source. (définition REFACTORISER).
REFENTE: Séparation entre différents éléments d?impression sur une page. (définition REFENTE).
REFERENCEMENT: Désigne l'action par laquelle on distribue une identification à une variable de la mémoire. On peut alors l'utiliser plus facilement. Désigne également l'action par laquelle on inscrit un site auprès d'un moteur de recherche. (définition REFERENCEMENT).
REFERENCEMENT: Travail qui consiste à améliorer le classement d?un site Web dans les moteurs de recherche par rapport à des mots-clés, dans le but d?augmenter le nombre de visiteurs. (définition REFERENCEMENT).
REFERENCER: Désigne le fait d'inscrire des documents dans une banque de données. (définition REFERENCER).
REFERENTIEL: Désigne un ensemble rationalisé des données dont se sert une application. (définition REFERENTIEL).
REFERER: Url de la page vue précédemment par un visiteur, autrement dit page qui contient le lien vers la page visitée. (définition REFERER).
REFLECTEUR: Désigne le serveur dont on se sert comme d'un intermédiaire. C'est par exemple le cas des serveurs d'IRC. (définition REFLECTEUR).
REFROIDISSEUR: Désigne la technologie utilisée pour dissiper la chaleur émise par un élément électronique. (définition REFROIDISSEUR).
REG: Désigne un fichier qui décrit une archive d'une base de registres. (définition REG).
REGEX: C'est le raccourci de regular expression. (définition REGEX).
REGEXP: C'est un synonyme de regex. (définition REGEXP).
REGIE PUBLICITAIRE: Société qui s?occupe de la gestion de la publicité sur des sites Web. (définition REGIE PUBLICITAIRE).
REGISTRANT: C'est celui qui possède un nom de domaine inscrit auprès d'un registrar. (définition REGISTRANT).
REGISTRAR: Désigne l'office qui reçoit les inscriptions des noms de domaines. (définition REGISTRAR).
REGISTRE: C'est la zone de la mémoire de la puce qui reçoit les informations faisant l'objet d'une opération ainsi que le résultat de ces traitements. Un registre conserve également les adresses courantes. Une base de registres est, sous Windows, la banque de données refermant les données de paramétrage du système. (définition REGISTRE).
REGLAGE DE FLUX: Désigne la spécification des vitesses d'envoi et réception sur un canal. (définition REGLAGE DE FLUX).
REGURGITATION: Désigne le fait d'expédier un message unique plusieurs fois sur un newsgroup, souvent à cause d'une mauvaise programmation de l'application de news. L'anglais dira spew. (définition REGURGITATION).
REHI: Signifie re-salut. (définition REHI).
REINITIALISATION: Désigne l'action de réinitialiser. (définition REINITIALISATION).
REINITIALISER: C'est un synonyme de reset ou de reboot. (définition REINITIALISER).
REINSCIPTIBLE: Qualifie un support qu'on peut graver, puis formater, puis réenregistrer, etcâ?¦ (définition REINSCIPTIBLE).
REISERFS: Désigne un système de fichiers capable de journalisation. (définition REISERFS).
RELAIS DE TRAME: Désigne une commutation de trame dans laquelle on se passe de la plupart des dispositifs de controle, d'oà¹ une plus grande vitesse. Elle est fondée sur un multiplexage de niveau 2 OSI. L'anglais dit frame relay. (définition RELAIS DE TRAME).
RELAIS OUVERT: Désigne un serveur d'e-mails qui accepte les messages émis par tous les serveurs. Ils sont donc ouverts au spam. (définition RELAIS OUVERT).
RELAIS: C'est un switch manipulable à distance. (définition RELAIS).
RELATION: Désigne un rapport de plusieurs champs à tables multiples. (définition RELATION).
RELATIONNEL: Qualifie le pouvoir d'intégrer des relations dans une banque de données. (définition RELATIONNEL).
RELAYAGE DE TRAME: C'est un équivalent de relais de trame. (définition RELAYAGE DE TRAME ).
RELEASE: Désigne une version distribuée d'une application. Un synonyme est donc " mise sur le marché". (définition RELEASE).
RELOCATEUR: Désigne une famille d'applications qui réinstalle un programme en mémoire. (définition RELOCATEUR).
RELOCATION: C'est l'opération réalisée par un relocateur. (définition RELOCATION).
RELOGEABLE: Qualifie un programme que l'on peut reloger. (définition RELOGEABLE).
RELOGEMENT: C'est un synonyme de relocation. (définition RELOGEMENT).
RELOGER: Lors de la compilation d'un code, on ignore quelle adresse va recevoir l'exécution de ce code. Reloger le code signifie changer les adresses présentes dans le code afin qu'elles soient identiques à celles qui vont effectivement recevoir l'exécution du code. Un synonyme est translater. (définition RELOGER).
REM: Désigne un raccourci de remark, dans de nombreux langages. (définition REM).
REMAILER ANONYME: Désigne le serveur par lequel on peut envoyer anonymement des e-mails. Il reçoit les messages puis les réexpédie comme s'il en était la source. (définition REMAILER ANONYME).
REMANENCE: Désigne la durée nécessaire à un écran pour s'éteindre complètement. (définition REMANENCE).
REMONTEE D'ALERTE: Désigne le procédé administratif par lequel tous les signaux d'alerte émis par différents serveurs sont reçus sur une seule machine. (définition REMONTEE D'ALERTE).
REMONTER: Désigne le fait de restaurer les données d'une sauvegarde. C'est aussi le fait de copier un document présent dans son ordinateur sur un réseau. (définition REMONTER).
RENATER 2: Désigne l'évolution du Renater, qui fonctionne en haut débit. (définition RENATER 2).
RENATER: Désigne le Réseau National de Télécommunications pour la Technologie, l'Enseignement et la Recherche. C'est le réseau des Universités françaises, qui assure la gestion du GIX français. (définition RENATER).
RENDEMENT: Permet de mesurer l?efficacité d?une enceinte, cet indicateur correspond au niveau sonore produit par l?enceinte à un mètre de distance lorsqu?on lui applique un signal électrique de 1 watt. (définition RENDEMENT).
RENDERFARM: Littéralement une ferme de rendu. Désigne un large ensemble de machines produisant de l'imagerie synthétique. (définition RENDERFARM).
RENDERING: Désigne le produit final dans l'imagerie de synthèse. Le français a comme synonyme rendu. (définition RENDERING).
RENDEZVOUS: C'est l'appellation du protocole Zeroconf chez Apple. (définition RENDEZVOUS).
RENDEZ-VOUS: Désigne un échange de messages entre des programmes. (définition RENDEZ-VOUS).
RENDU: C'est l'équivalent français du rendering, soit le produit final dans la production d'image de synthèse. (définition RENDU).
RENIFLER: C'est l'activité d'un renifleur. (définition RENIFLER).
RENIFLEUR: Désigne un robot envoyé sur un réseau afin de parcourir celui-ci et éventuellement trouver des données intéressantes (mots de passes notamment). L'anglais dit sniffer. (définition RENIFLEUR).
RENOMMER: Changer le nom d'un fichier. (définition RENOMMER).
RENOMMEUR: Désigne la famille de programmes qui peuvent changer le nom des fichiers. Ils sont souvent capables d'opérer sur des listes entières. (définition RENOMMEUR).
RENTRANT: C'est un équivalent de ré-entrant. (définition RENTRANT).
REPARTI: C'est un synonyme de distribué. (définition REPARTI).
REPARTITEUR: Armoire placée dans un local et qui concentre les câble d?un réseau, et contient des équipements d?interconnexion. (définition REPARTITEUR).
REPARTITEUR: Désigne le matériel ou le programme qui alloue du temps de calcul aux différents éléments qui en réclament. Un synonyme est distributeur. Le terme est aussi employé en matières de lignes de téléphone. (définition REPARTITEUR).
REPARTITION DE CHARGE: C'est le procédé par lequel on partage une tâche entre plusieurs ordinateurs. (définition REPARTITION DE CHARGE).
REPEAT: C'est le mot-clé qui, dans un langage à programmation structurée, signale le commencement d'une boucle. (définition REPEAT).
REPEATER: L'équivalent français est répéteur. (définition REPEATER).
REPERAGE: Etape d?une impression qui consiste à aligner correctement les couleurs. (définition REPERAGE).
REPERTOIRE DE TRAVAIL: Désigne le répertoire qui contient les fichiers dont se sert une application lorsque celle-ci ne spécifie aucun path précis. (définition REPERTOIRE DE TRAVAIL).
REPERTOIRE PRINCIPAL: C'est le répertoire dans lequel commence l'arborescence associée à une application. Un synonyme est répertoire racine. (définition REPERTOIRE PRINCIPAL).
REPERTOIRE: Dans une représentation arborescente, désigne un nÅ?ud. L'équivalent anglais est directory. (définition REPERTOIRE).
REPETEUR: Désigne la technologie par laquelle on peut accroà®tre les capacités d'un média précis par l'augmentation du signal qu'il fait circuler. (définition REPETEUR).
REPETEUR: Equipement de réseau agissant à la couche physique et qui sert à régénérer un signal affaibli pendant le transport. (définition REPETEUR).
REPIQUAGE: Impression supplémentaire d?un document. (définition REPIQUAGE).
REPLICATION: Désigne le procédé par lequel on produit une copie d'une banque de données dans une autre banque de données. (définition REPLICATION).
REPLIQUER: Désigne le fait de rendre plus proche des informations en procédant à des réplications. (définition REPLIQUER).
REPRISE: C'est le fait de reprendre l'exécution d'un processus. (définition REPRISE).
REPROM: C'est le raccourci de REProgrammable Read Only Memory. C'est une ROM susceptible d'être reprogrammée. (définition REPROM).
REQUESTER: L'équivalent français est requêteur. (définition REQUESTER).
REQUêTE: Désigne une interrogation d'une banque de données, portant sur les éléments qu'elle contient. L'anglais dira query. (définition REQUêTE).
REQUETE: Ordre envoyé à un SGBD pour récupérer des données d?une base de données. (définition REQUETE).
REQUêTEUR: Désigne une famille d'applications qui réalisent des requêtes. (définition REQUêTEUR).
REQUISITION: Désigne l'action par laquelle un processus est interrompu afin de donner les ressources qu'il utilisait à un autre processus. (définition REQUISITION).
RES: Acronyme de Robot Exclusion Standard. Désigne la norme qui empêche les robots d'indexation de télécharger sans réfléchir. (définition RES).
RESAL: C'est le singulier rare et farfelu de réseau. (définition RESAL).
RESEAU A VALEUR AJOUTEE: Désigne un réseau privé qu'on peut utiliser moyennant finance. (définition RESEAU A VALEUR AJOUTEE).
RESEAU CELLULAIRE: Désigne le réseau hertzien qui fractionne la zone en cellules. Il utilise donc très peu de fréquences car des usagers situés dans différentes cellules peuvent utiliser une fréquence identique. (définition RESEAU CELLULAIRE).
RESEAU DE DONNEES: Désigne un réseau développé pour faire circuler des informations numériques. (définition RESEAU DE DONNEES).
RESEAU DE NEURONES: C'est un synonyme de réseau neuronal. (définition RESEAU DE NEURONES).
RESEAU DES RESEAUX: C'est un autre nom de l'internet. Ce terme renvoie au fait que l'internet a commencé son existence comme un réseau d'unification de réseaux préexistants. (définition RESEAU DES RESEAUX).
RESEAU INFORMATIQUE: Désigne l'ensemble des technologies utilisées pour rendre effective une connexion entre machines de toutes sortes. (définition RESEAU INFORMATIQUE).
RESEAU LOCAL: Désigne un réseau actif sur un rayon de plusieurs centaines de mètres seulement. Un équivalent est LAN. (définition RESEAU LOCAL).
RESEAU NEUROMIMETIQUE: C'est un groupe de machines reliées entre elles qui veulent modéliser le mouvement des neurones, le cerveau étant le réseau lui-même. Un équivalent est réseau neuronal. (définition RESEAU NEUROMIMETIQUE).
RESEAU NEURONAL: C'est un équivalent de réseau neuromimétique. (définition RESEAU NEURONAL).
RESEAU PRIVE VIRTUEL: Réseau privé qui exploite les ressources d?un réseau public, en sécurisant ses transferts. (définition RESEAU PRIVE VIRTUEL).
RESEAU: Désigne un groupe de machines connectées par des circuits de communications. On spécifie un réseau par la quantité de machines qu'il relie, sa vitesse et sa structure. On peut citer comme exemple de réseau l'Arpanet, l'internet. (définition RESEAU).
RESEAU: Regroupement d?un ensemble d?ordinateur relié entre eux par des liaisons physiques dans le but d?échanger des informations entre eux. (définition RESEAU).
RESEAUTIQUE: Désigne les technologies dédiées au fonctionnement des réseaux. (définition RESEAUTIQUE).
RESERVE DE CONNEXIONS: C'est un groupe de connexions qu'un serveur conserve actives et ouvertes pour faire face à une éventuelle demande de clients. L'équivalent anglais est connection pool. (définition RESERVE DE CONNEXIONS).
RESERVE: Qualifie un mot-clé dont l'utilisation est cadrée par un sens particulier et des obligations syntaxiques. (définition RESERVE).
RESET: Redémarrage brutal d?un ordinateur. (définition RESET).
RESIDENT: Qualifie un logiciel demeurant en mémoire pendant toute une session, mais laissant la possibilité à d'autres programmes de venir s'installer dans cette même mémoire. (définition RESIDENT).
RESINTER: Désigne au Québec l'internet. (définition RESINTER).
RESISTANCE: Désigne une pièce électronique qui se contente de controler le courant qui circule. Une résistance peut aussi évacuer la chaleur produite par ce courant. (définition RESISTANCE ).
RESISTOR: C'est un synonyme de résistance. (définition RESISTOR).
RESLT: C'est un raccourci pour " re-salut". (définition RESLT).
RESOLUTION D'ADRESSE: Désigne la traduction d'une IP en adresse Ethernet physique en utilisant le protocole ARP. (définition RESOLUTION D'ADRESSE).
RESOLUTION: Désigne la quantité de pixels, exprimée en largeur par hauteur, disponible sur un moniteur, par exemple 1024 x 768. Un standard correspond à chaque résolutionÂ : EGA, VGA, UXGA etcâ?¦Cette quantité peut aussi se représenter en densité de points par pouce (dpi). Un synonyme est définition. (définition RESOLUTION).
RESOLUTION: Finesse de l?affichage d?une image, liée à la taille des pixels. (définition RESOLUTION).
RESOLVANT: C'est une famille de programmes de résolution d'équations. (définition RESOLVANT).
RESOLVER: Désigne une application qui peut produire l'IP associée à un nom de domaine. (définition RESOLVER).
RESOURCE FORK: C'est la zone d'un fichier, dans un système HFS, qui renferme les informations nécessaires au système pour savoir comment utiliser ce fichier. Les données réelles sont placées dans la data fork. (définition RESOURCE FORK).
RESPAWN: C'est la capacité de certains logiciels de pouvoir se rebooter de façon automatique. Un bon exemple est un jeu vidéo, qui redémarre après que vous avez été éliminés du jeu. (définition RESPAWN).
RESSAISIE: Désigne le fait de procéder à une autre saisie d'un document. (définition RESSAISIE).
RESSOURCE: Désigne l'ensemble puissance de calculÂ / mémoire dans une machine quelconque (ordinateur, scanner etc..). (définition RESSOURCE).
RESTAURER: C'est le fait de retrouver un accès vers des données détruites, via un backup ou une ressaisie par exemple. (définition RESTAURER).
RET: C'est l'acronyme de Resolution Enhancememnt Technology. Désigne un dispositif par lequel la définition d'une impression est rendue meilleure par le tramage des zones blanches. Ce dispositif est conçu par Hewlett-Packard. (définition RET).
RETD: Réseau à commutation de paquet public en Espagne. (définition RETD).
RETICULAIRE: Qualifie un élément qui renvoie à un réseau. (définition RETICULAIRE).
RETICULE: Désigne le pointeur de la souris lorsque celui-ci prend l'aspect de deux lignes, l'une verticale et l'autre horizontale, qui se croisent en formant un angle de 90Â°. Un réticule permet une localisation très précise. (définition RETICULE).
RETIF: Réseau privé utilisé par la SNCF pour ses transmissions de données. (définition RETIF).
RETIRATION: Impression recto verso. (définition RETIRATION).
RETOUCHE D'IMAGE: Le simple terme de retouche est plus utilisé. (définition RETOUCHE D'IMAGE).
RETOUCHE: Désigne toutes les méthodes par lesquelles on peut agir sur une image. (définition RETOUCHE).
RETOUCHER: Appliquer les techniques de retouche sur un visuel. (définition RETOUCHER).
RETOUCHEUR: Désigne celui dont l'activité est de faire de la retouche. (définition RETOUCHEUR).
RETOUR: Un retour de force (ou un retour de poids) désigne la famille de méthodes utilisées pour modéliser des inerties, des poids etcâ?¦en cybernétique. Un retour chariot désigne la touche qui, une fois pressée, va faire passer le traitement de texte à la ligne. L'anglais dit carriage return. (définition RETOUR).
RETRAITABLE: Qualifie un document numérique qui est susceptible de faire l'objet d'une nouvelle opération de la part de la machine. Un e-mail est retraitable, mais pas une lettre qui est partie par la Poste. (définition RETRAITABLE).
RETROECLAIRAGE: Désigne le procédé par lequel on installe une source d'éclairage derrière des cristaux liquides pour en augmenter la capacité lumineuse. (définition RETROECLAIRAGE).
RETRO-GAMING: Désigne l'activité de jouer à des jeux vidéos du passé. (définition RETRO-GAMING).
RETRO-INGENIERIE: Un synonyme est ingénierie inverse. (définition RETRO-INGENIERIE).
RETROLIEN: C'est un lien hypertexte qui fonctionne à l'envers. L'anglais dira backlink. (définition RETROLIEN).
RETROMODERATION: Désigne le procédé par lequel on modère un forum en effaçant certaines contributions après qu'elles ont été postées. (définition RETROMODERATION).
RETROTECHNIQUE: Désigne le fait de décompiler un code, c'est-à-dire de rendre un code machine lisible par un humain. (définition RETROTECHNIQUE).
RETROVIRUS: C'est un virus qui peut mettre hors-service des anti-virus. (définition RETROVIRUS).
RETURN: C'est l'appellation anglaise de la touche entrée. (définition RETURN).
REUSABILITY: L'équivalent français est réutilisabilité. (définition REUSABILITY).
REUTILISABILITE: Capacité de ce qu'on peut réutiliser. (définition REUTILISABILITE).
REUTILISABLE: Qualifie un élément que l'on peut réutiliser. (définition REUTILISABLE).
REUTILISATION: Désigne l'action de réutiliser un élement. (définition REUTILISATION).
REUTILISER: C'est le fait de se resservir d'une pièce dans un environnement différent de celui de sa première utilisation. (définition REUTILISER).
REVAMPER: Désigne l'action de procéder à de petites retouches sur un programme, souvent d'ordre esthétique. (définition REVAMPER).
REVAMPING: C'est une ou plusieurs petites modifications apportées à un logiciel. (définition REVAMPING).
REVERSE ENGINEERING: L'équivalent français est ingénierie inverse. (définition REVERSE ENGINEERING).
REVERSE LOOKUP: Désigne le fait de produire le nom d'une machine en partant d'une IP. Le français dira résolution inverse. (définition REVERSE LOOKUP).
REVERSIBILITE: C'est la capacité d'un FM dont on peut réimplanter l'informatique une fois que le contrat est arrivé à terme. (définition REVERSIBILITE).
REVISABLE: Qualifie un standard de texte auquel on peut apporter des modifications via un traitement de texte. (définition REVISABLE).
REXX: Acronyme de REstructured eXtended eXecutor language. C'est le nom d'un langage d'instructions pour OS / 2. Fondé sur un shell Unix, REXX est une déclinaison du langage mainframes d'IBM. (définition REXX).
RFC: Acronyme de Request For Comment. Il s'agit d'un texte sur internet qui peut présenter une documentation, la spécification d'une norme ou d'un protocole etcâ?¦Ces documents ne sont publiés qu'après avoir reçu des critiques ou commentaires et y avoir répondu. A titre d'exemple, la RFC 894 décrit le protocole IP pour Ethernet, la RFC 1180 est un mode d'emploi du protocole TCP / IP, la RFC 1866 spécifie le standard HTML. On peut les consulter sur ftp://ftp.enst.fr/ ou ftp://ftp.inria.fr. (définition RFC).
RFD: Acronyme de Request For Discussion, soit un Appel à la Discussion, sur l'Usenet. (définition RFD ).
RFI: C'est l'acronyme de Radio Frequency Interference. C'est l'intrusion causée par les champs électromagnétiques. (définition RFI).
RFID: C'est l'acronyme de Radio Frequency Interference IDentification. Désigne un procédé de reconnaissance fonctionnant par l'intégration de puces d'identification dans les éléments. (définition RFID).
RFS: Acronyme de Remote File System, soit un système de fichiers distant. (définition RFS).
RFT: C'est l'acronyme de Revisable-Form Text, soit un document en DCA qui peut faire l'objet de transformations. (définition RFT).
RFTDCA: Acronyme de Revisable-Form Text DCA. (définition RFTDCA).
RG-58: Désigne un coaxial employé par l'Ethernet fin. Son impédance est de 50 ohms. (définition RG-58).
RGB: Red Green Blue. Mode de description des couleurs comme mélange de trois composantes de bases, le rouge, le vert et le bleu. (définition RGB).
RGBA: Acronyme de Red Green Blue Alpha, c'est-à-dire RGB plus un canal alpha de transparence. (définition RGBA).
RGBE: Red Green Blue Emerald. Désigne les teintes de base reçues par un senseur CCD chez Sony. L'ajout de l'émeraude correspond à la sensibilité supérieure de l'Å?il humain pour le vert. (définition RGBE).
RH: C'est un raccourci pour Red Hat. (définition RH).
RHAPSODY: Désigne un OS d'Apple. Il se fonde sur le cÅ?ur Mach mis au point par NeXT. Il est à l'origine de MacOS X. (définition RHAPSODY).
RIBBON CABLE: Désigne l'équivalent anglais de nappe. (définition RIBBON CABLE).
RICH MEDIA: Désigne le multimédia sur internet, c'est-à-dire augmenté de multiples éléments qui l'alourdissent. (définition RICH MEDIA).
RIDE: Désigne une séquence vidéo composée d'un plan-séquence unique. Il est souvent employé en imagerie synthétique. (définition RIDE).
RIF: C'est l'extension des fichiers renfermant du RIFF. (définition RIF).
RIFF: Acronyme de Resource File Interchange Format, qui est un standard de fichiers, développés par Microsoft pour le multimédia. (définition RIFF).
RIJNDAEL: C'est le nom d'un algorithme de codage par bloc de longueur variable. Mis au point par V. Rijmen, on le connaà®t mieux sous le terme d'AES. (définition RIJNDAEL).
RIM: C'est l'acronyme de Resource Interface Module. (définition RIM).
RIMM: Désigne une mémoire Rambus équipée de pattes de modèle différent des originales DIMM. (définition RIMM).
RINET: Service d?EDI (Echange de Données Informatisées) dans le domaine des assurances. (définition RINET).
RINGBACK: C'est l'appellation du numéro qui, une fois composé, rappelle automatiquement le poste qui l'a appelé. (définition RINGBACK).
RIO: C'est l'acronyme du Réseau Intertropical d'Ordinateurs. C'est aussi le nom du premier lecteur MP3 portable. (définition RIO).
RIP: Routing Information Protocol. Protocole de routage qui s?appuie sur un algorithme de type Vector/Distance, c'est-à-dire que chaque routeur échange des informations avec ses voisins pour connaître le plus court chemin pour une destination. (définition RIP).
RIPE NCC: Désigne le RIPE Network Coordination Center. (définition RIPE NCC).
RIPE: Désigne les Réseaux d'IP européens. (définition RIPE).
RISC: Processeur avec un jeu d?instruction minimal. (définition RISC).
RISETTE: C'est un équivalent du reset. (définition RISETTE).
RISQ: Acronyme du Réseau d'Informations Scientifiques Québécois. Il s'agit du réseau universitaire au Québec. (définition RISQ).
RITA: C'est l'acronyme de Reliable Internetwork Troubleshooting Agent, qui est spécifié dans la RFC 2321. (définition RITA).
RITCHIE, DENNIS: C'est l'un des co-concepteurs d'Unix, avec K. Thompson et du C. (définition RITCHIE, DENNIS).
RJ11Â / RJ12: Signifie Registered Jack 11/12, soit le standard de la pièce qui connecte un fil de téléphone. (définition RJ11Â / RJ12).
RJ45: Registered Jack 45. C'est le standard des éléments de connexion des câbles réseaux. (définition RJ45).
RL: Acronyme de Réseau Local. (définition RL).
RLAN: Signifie Radio LAN, c'est-à-dire un réseau local wifi. (définition RLAN).
RLBI: Désigne un Réseau à Large Bande Intégré. (définition RLBI).
RLE: Acronyme de Run-Length Encoded. Qualifie des informations encodées grâce à un algorithme qui ne considère pas la totalité des données. Elles sont donc encodées une par une. RLE désigne aussi un Réseau Local d'Entreprise. (définition RLE).
RLE: Algorithme de compression sans perte, utilisé dans les format Targa et Photoshop. (définition RLE).
RLI: Réseau Local Industriel. (définition RLI).
RLL: Run length Limited. Désigne une méthode d'encodage sur disque. (définition RLL).
RLOGIN: Désigne un Remote Login. On peut par cette méthode se connecter à un ordinateur distant. (définition RLOGIN).
RLOGON: C'est un synonyme de Rlogin. (définition RLOGON).
RLOGUER: Se connecter à distance. (définition RLOGUER).
RLP: Acronyme de Radio Linked Protocol. Désigne un procédé de management de réseau GSM. (définition RLP).
RM: C'est un raccourci de ReMove, qui est une instruction Unix par laquelle on fait disparaà®tre des fichiers. Désigne aussi un Record Management, soit la gestion des enregistrements. Enfin, RM peut désigner le Rights Management, soit la gestion des droits d'auteur. (définition RM).
RMA: Acronyme de Return Material Authorization. Désigne la permission de réexpédier du matériel pour réparation. C'est aussi l'acronyme de Rate Monotonic Analysis, qui est un procédé de traitement en temps réel d'un système. (définition RMA).
RMC: C'est l'acronyme de Reduced Multimedia Command Set. Désigne un sous-ensemble d'instructions SCSI. C'est aussi l'acronyme de Resource Monitoring and Control, qui est l'élément en charge du controle des ressources d'un cluster, dans un RSCT. (définition RMC).
RMI: Interface pour permettre à des machines java virtuelle de communiquer entre elles. (définition RMI).
RML: Langage de description des règles pour utiliser un cryptolope donné. (définition RML).
RMMOD: ReMove MODule. Désigne une instruction Linux par laquelle on peut enlever un module du cÅ?ur. (définition RMMOD).
RMOA: C'est l'acronyme de Realtime Multimedia Over ATM. (définition RMOA).
RMON: Raccourci de Remote MONitoring. Désigne le groupe de capteurs qui évaluent la circulation sur un réseau via des MIB et le protocole SNMP. C'est une norme de l'IETF. On peut consulter à ce sujet les RFC 1557 ET 1513. (définition RMON).
RN: Acronyme de Réseau de Neurones. (définition RN).
RNA: Acronyme de Remote Network Access, qui est un procédé pour se connecter sous RTC. Désigne également le Raccordement Numérique Asymétrique, l'équivalent français et rare d'ADSL. (définition RNA).
RNCA: Désigne le Registrant Name Change Agreement. (définition RNCA).
RNI: C'est le Réseau National d'Interconnexion, qui est un équivalent de dorsale. (définition RNI).
RNIS: Réseau Numérique à Intégration de Service. Réseau utilisant les lignes téléphoniques pour transporter des informations hétérogènes (voix, images, données?). (définition RNIS).
RO: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Roumanie. (définition RO).
ROAMING: Itinérance en français. Service proposé par les opérateurs de téléphonie mobile pour permettre l?accès à leurs services depuis l?étranger. (définition ROAMING).
ROBOML: C'est le raccourci pour Robotics Markup Language, qui est un programme associant XML à la programmation de robots. (définition ROBOML).
ROBOT BIBLIOTHECAIRE: C'est l'équivalent français de knowbot. (définition ROBOT BIBLIOTHECAIRE).
ROBOT D'INDEXATION: Désigne un programme dédié au traitement de documents web en vue de leur intégration dans un moteur de recherche. (définition ROBOT D'INDEXATION).
ROBOT: Désigne une technologie pouvant réaliser des activités en suivant une programmation basée sur l'intelligence artificielle. Le terme robot dérive du tchèque robota qui désigne une corvée. (définition ROBOT).
ROBOTICIEN: Désigne l'ingénieur s'occupant de la programmation de robot. (définition ROBOTICIEN).
ROBOTIQUE: Désigne la science des robots. Elle s'articule autour de trois règles. La première stipule qu'un robot ne doit jamais blesser ou laisser blesser un homme. La deuxième indique qu'un robot est soumis aux ordres humains. La troisième explique qu'un robot se doit de se protéger. (définition ROBOTIQUE).
ROBOTISATION: Désigne le fait de robotiser une tâche. (définition ROBOTISATION).
ROBOTISER: C'est le fait de mettre des robots en service en vue de l'accomplissement d'une tâche. (définition ROBOTISER).
ROBOTS.TXT: Désigne le fichier intégré aux sites internet qui les rend utilisables par des moteurs de recherches. (définition ROBOTS.TXT).
ROBUSTE: Qualifie un logiciel d'une solidité éprouvée. (définition ROBUSTE).
ROBUSTESSE: C'est la capacité d'un programme à bien fonctionner. (définition ROBUSTESSE).
ROC: C'est l'acronyme de Reconnaissance Optique de Caractères. L'anglais dira OCR. (définition ROC).
ROCK: La loi de Rock stipule que la multiplication des investissements est la condition du progrès informatique. (définition ROCK).
ROCKET SCIENCE: C'est l'équivalent anglais de la physique nucléaire, c'est-à-dire que quelque chose qui n'est pas de la rocket science n'est pas si difficile, que donc n'importe qui devrait pouvoir y arriver. (définition ROCKET SCIENCE).
ROCKRIDGE: Désigne l'extension grâce à laquelle on peut se servir d'un nom plus long que la normale sur un CD. (définition ROCKRIDGE).
RODAGE: Désigne le procédé par lequel on amène une puce jusqu'à sa pleine puissance en la faisant tourner à fréquence maximale. Ce faisant, la puce est nettoyée et prête à être utiliser à plein. (définition RODAGE).
ROFF: C'est la contraction de run off. Roff est ses dérivés (troff, nroffâ?¦) désigne des applications basiques sous Unix, grâce auxquelles on peut composer rapidement du texte. (définition ROFF).
ROFL: Acronyme de Rolling On the Floor Laughing, soit " un rire à se rouler par terre". (définition ROFL).
ROFLOL: Acronyme de Rolling On the Floor Laughing Out Loud. c'est une évolution du ROFL. (définition ROFLOL).
ROGNER: C'est le fait de supprimer une partie d'un visuel. L'anglais dit " to crop". (définition ROGNER).
ROGNER: Mettre définitivement en forme un ensemble de feuille par massicotage. (définition ROGNER).
ROGUE: C'est un jeu de role en réseau, composé en BSD. Désigne aussi un fournisseur d'accès internet lorsqu'il se livre au spam. (définition ROGUE).
ROLAP: C'est l'acronyme de Relational On-Line Analytical Processing. (définition ROLAP).
ROLISTE: Désigne l'adepte du jeu de role. (définition ROLISTE).
ROLLBACK: Retour à l?état d?origine d?une base de donnée. (définition ROLLBACK).
ROM: Read Only Memory, aussi appelée mémoire morte. C?est un type de mémoire qui ne peut être écrite qu?une seule fois, parfois en usine, parfois par un utilisateur comme pour un CD-R. (définition ROM).
ROMAIN: Caractère dont les jambages sont parfaitement verticaux, à la différence de l?italique. (définition ROMAIN).
RONA: Service d?EDI (Echange de Données Informatisées) utilisé pour les ordres boursiers et autres transactions financières. (définition RONA).
ROOM: Acronyme de Real Time Object Oriented Modeling. (définition ROOM).
ROOT: C'est l'appellation du compte de l'administrateur d'un système Unix. (définition ROOT).
ROOTARD: C'est la contraction de root et de routard. Elle désigne un usager qui n'hésite pas à aller voir ce qui se passe dans les profondeurs du système. (définition ROOTARD).
ROOTEUR: C'est une variante orthographique de routeur (définition ROOTEUR).
ROOTKIT: Désigne le groupe d'outils nécessaire à l'intrusion dans un root. (définition ROOTKIT).
RORO: Signifie Read-Only Read-Only. (définition RORO).
ROSE: Acronyme de Remote Operations Service Element. (définition ROSE).
ROT13: Raccourci de ROTation 13. C'est un procédé de codage dans lequel un signe est remplacé par un autre situé 13 signes plus loin dans la table. (définition ROT13).
ROTATIVE ZOOMER: Désigne un zoom effectué sur un visuel en cours de rotation. (définition ROTATIVE ZOOMER).
ROTATIVE: Presse utilisée pour des impressions ininterrompues, en noir ou en couleur, alimentée par des bobines de papier. (définition ROTATIVE).
ROTAXANE: C'est une molécule qui a l'aspect d'un haltère. On l'emploie pour pièger un cyle. (définition ROTAXANE).
ROTF: Acronyme de Rolling On the Floor, soit " à se rouler par terre". (définition ROTF).
ROTFL: Rolling On The Floor Laughing. (définition ROTFL).
ROTFLMAOWPIMP: Acronyme de Rolling On The Floor Laughing My Ass Off While Peeing In My Pants, soit littéralementÂ : Riant à se rouler par terre cul par dessus tête et pisser dans son froc. (définition ROTFLMAOWPIMP).
ROTOSCOPIE: Désigne l'intégration d'une séquence animée dans une vidéo extraite de la vraie vie. (définition ROTOSCOPIE).
ROUE DE COULEURS: Désigne un widget par lequel on peut choisir une nuance parmi les palettes disponibles. (définition ROUE DE COULEURS ).
ROUGH: Maquette de la mise en page d?un document réalisé à la main, afin d?obtenir un aperçu grossier de l?aspect final. (définition ROUGH).
ROULER: Opération consistant à tourner la machine lorsque une feuille est bien réglée. (définition ROULER).
ROULETTE: C'est une page web qui vous envoie aléatoirement vers une autre. Désigne aussi la molette d'une souris. (définition ROULETTE).
ROUND ROBIN: C'est l'équivalent anglais de tourniquet. (définition ROUND ROBIN).
ROUTABLE: Qualifie ce que l'on peut router, comme un protocole. (définition ROUTABLE).
ROUTAGE: Opération qui consiste à déterminer un chemin entre deux n?uds dans un réseau. (définition ROUTAGE).
ROUTER: Désigne le fait de réaliser un routage, c'est-à-dire spécifier le circuit qu'un communication doit emprunter pour parvenir au destinataire. (définition ROUTER).
ROUTEUR BASTION: Qualifie un routeur si celui-ci peut être paramètré pour faire office de filtre. (définition ROUTEUR BASTION).
ROUTEUR: Désigne le matériel grâce auquel on peut spécifier des circuits de communication dans un réseau. L'anglais dira router. (définition ROUTEUR).
ROUTEUR: Equipement d?interconnexion dans un réseau. Matériel « intelligent » qui détermine une route à suivre pour l?acheminement des données, agit au niveau de la couche 3. (définition ROUTEUR).
ROUTINE: Désigne une partie d'un programme. (définition ROUTINE).
ROXER: C'est un verbe qu'on utilise pour dire qu'on apprécie réellement un objet. Il vient de l'anglais to rock. Dire que ce logiciel roxe signifie que ce logiciel " déchire". (définition ROXER).
ROXOR: Désigne un pirate ou une technologie très appréciés. (définition ROXOR).
RPC: Remote Procedure Call. Protocole permettant à un programme d?appeler des procédures se trouvant sur une machine distante, en interrogeant un serveur d?application. (définition RPC).
RPG: Acronyme de Report Program Generator. C'est le langage classique des AS / 400 chez IBM. Signifie également Role Playing Game, soit un jeu de role. (définition RPG).
RPIS: Réseau qui permet de mettre en commun des ressources en télécommunications d?une entreprise, afin de transporter des données hétérogènes (images, données, voix?). Il peut ainsi s?apparenter à un réseau RNIS privé. (définition RPIS).
RPM: C'est l'appellation du logiciel par lequel on peut manipuler les paquets RPM de Red Hat. C'est aussi l'extension des fichiers qui décrivent ces paquets. (définition RPM).
RPM: Rotation Par Minute. C'est l'unité avec laquelle on quantifie la rapidité d'un disque dur. C'est aussi l'acronyme de Red Hat Package Manager, qui est un système de management des paquets sous Red Hat. (définition RPM).
RPV: Acronyme d'un Réseau Privé Virtuel. (définition RPV).
RS / 6000: C'est le raccourci du RISC System 6000, une puce IBM commercialisée en 89. (définition RS / 6000).
RS232: Port série disponible sur la plupart des ordinateurs. (définition RS232).
RS-232C: Les RS (recommended Standard) sont une famille de normes éditées par l'EIA, concernant les interfaces de ports série de communication qui accueillaient avant l'USB imprimantes, souris ou modems. (définition RS-232C).
RS-422: C'est la norme d'une interface de port série si celle-ci est multipoint. (définition RS-422).
RS-423: Cette interface est point à point. (définition RS-423).
RS-485: C'est une évolution de la RS-422. (définition RS-485).
RSA: Algorithme de cryptage asymétrique, passé dans le domaine public en 2000. (définition RSA).
RSCT: Acronyme de Reliable Scalable Cluster Technology. Désigne une application grâce à laquelle des clusters HACMP ou GPFS sont assemblés en une seule pièce. (définition RSCT).
RSH: Désigne un Remote Shell, soit une application qui peut lancer un shell distant par le protocole TCP / IP. (définition RSH).
RSHIFT: Raccourci de Right Shift. C'est la touche placée à droite sur un clavier, qu'on utilise pour obtenir une majuscule. (définition RSHIFT).
RSI: Acronyme de Repetitive Strain Injury. (définition RSI).
RSN: Acronyme de Real Soon Now, soit " vraiment très bientot". (définition RSN).
RSS: Rich Site Summary. Version standardisée du langage XML, adapté pour la diffusion d?informations sur Internet. Les informations sont indépendantes d?une mise en forme particulière qui est laissé à l?appréciation du lecteur de fils RSS choisi par l?utilisateur. (définition RSS).
RSSI: Désigne le Responsable de la Sécurité des Systèmes d'Information. (définition RSSI).
RSVA: C'est un réseau de Services à Valeur Ajoutée. (définition RSVA).
RSVP: Protocole qui permet à un utilisateur de réserver une bande passante pour ses communications. (définition RSVP).
RTBM: C'est l'acronyme de Read The Bloody Manual, soit lisez ce bon sang de manuel ! (définition RTBM).
RTC: Réseau Téléphonique Commuté. Désigne le réseau téléphonique actuellement en place, utilisant des autocommutateurs pendant l?établissement des communications. (définition RTC).
RTF: Rich Text Format. Format de fichier textuel développé par Microsoft, non compressé et qui est compatible avec la plupart des logiciels manipulant du texte. (définition RTF).
RTFA: Signifie Read The Fucking Archive, soit lisez la putain d'archive. (définition RTFA).
RTFAQ: Signifie Read The FAQ, soit lisez la FAQ. (définition RTFAQ).
RTFF: Read The Fucking Faq, lisez la putain de faq. (définition RTFF).
RTFM: Read The Fucking Manual, lisez le putain de manuel. (définition RTFM).
RTL: Acronyme de Resistor Transistor Logic, qui est un circuit intégré composé de transistors et résistances. C'est un dispositif archaique. (définition RTL).
RTM: Read The Manual, lisez le manuel. (définition RTM).
RTOS: C'est l'acronyme de Real Time Operating System, qui désigne un OS fonctionnant en temps réel. (définition RTOS).
RTP: Acronyme de Real Time Transport Protocol, qui est un procédé de portage en temps réel. (définition RTP).
RTPC: Acronyme de Réseau Téléphonique Public Commuté. Il s'agit du réseau de téléphonie fixe que nous utilisons. (définition RTPC).
RTS: C'est l'acronyme de Request To Send. Désigne la trame grâce à laquelle un émetteur annonce au réseau qu'il a une requête à formuler. C'est aussi l'acronyme de Real Time System ou de Real Time Strategy. (définition RTS).
RTTI: Acronyme de Run-Time Type Information. Désigne un groupe de données qui sont intégrées au code par le compilateur utilisé pour les langages de niveau élevé, C++ par exemple. Ces données sont celles par lesquelles on controle le typage pendant l'exécution. (définition RTTI).
RTTY: Radio TeleTYpe. C'est un système de communication non numérique, aujourd'hui délaissé par les pays industrialisés. (définition RTTY).
RU: Al fin d'une URL, signale que le site est basé en Russie. (définition RU).
RUBAN BLEU: En référence au ruban rouge de la lutte contre le SIDA, le ruban bleu entend fédérer ceux qui souhaitent s'opposer au CDA, un procédé de censure développé par le sénateur américain Exxon. (définition RUBAN BLEU).
RUBAN ENCREUR: C'est la bande qui sert de support à l'encre distribuée par les aiguilles d'une imprimante. (définition RUBAN ENCREUR).
RUBY: Désigne un langage à objets. Développé en 93 par Y. Matsumoto, l'éventail de ses possibilités est assez large. (définition RUBY).
RUMORAZZI: C'est la contraction de rumor et de paparazzi. Désigne celui qui s'intéresse aux multiples rumeurs qui circulent sur le réseau. (définition RUMORAZZI).
RUNLEVEL: Désigne, dans un système, une variable qui spécifie les tâches à lancer au démarrage. On peut ainsi obtenir facilement plusieurs paramétrages différents. (définition RUNLEVEL).
RUN-ONLY: Qualifie la variante d'un langage lorsque celle-ci n'autorise que l'exécution du code, et pas sa rédaction. (définition RUN-ONLY).
RUNTIME ERROR: Désigne une erreur survenant pendant une exécution. Elle se distingue d'un bug en ceci que le bug rend impossible le démarrage d'un logiciel. (définition RUNTIME ERROR).
RUNTIME: Qualifie la variante d'un langage qui ne peut exécuter que les codes rédigés avec ce langage. (définition RUNTIME).
RUSTINE: C'est un équivalent péjoratif de patch. (définition RUSTINE).
RUSTINER: C'est un équivalent rare et péjoratif de patcher. (définition RUSTINER).
R-UTILITIES: Désigne un ensemble d'outils de communication. Ces outils s'appuient sur le TCP / IP mais ne sont guère fiable du point de vue de la sécurité, ayant été développés il y a quelques années déjà . (définition R-UTILITIES).
RV: C'est l'acronyme de Reconnaissance Vocale, de Rendez-Vous ou de Réalité Virtuelle. (définition RV).
RVA: Réseau à Valeur Ajoutée. Réseau public implémenté de services supplémentaires ou de qualité supérieure, fournie à des tiers qui accèdent ainsi à des applications personnelles. (définition RVA).
RVALUE: Désigne le membre droit dans un énoncé. Dans l'énoncé x=2, 2 est la rvalue et x la lvalue. (définition RVALUE).
RVB: Rouge Vert Bleu, traduction française pour RGB. (définition RVB).
RVBA: Signifie Rouge Vert Bleu Alpha, oà¹ l'alpha spécifie les transparences. (définition RVBA).
RW: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Rwanda. (définition RW).
RWM: Acronyme de Read Write Memory. C'est la spécification de toute mémoire qui accepte la lecture et l'enregistrement. (définition RWM).
RWU: Remote Wake-Up. C'est un procédé par lequel on peut lancer le démarrage d'une machine distante. (définition RWU).
RWX: Read Write eXecute, soit lire, écrire, exécuter. RWX désigne les autorisations basiques associées aux fichiers sous Unix. (définition RWX).
RX: C'est un raccourci de Receive, c'est-à-dire reçu ou recevoir. (définition RX).
S PDIF: Sony Philips Digital Interface. Format utilisé pour le transfert de données audio numériques entre deux appareils, à travers un câble RCA ou un câble optique. (définition S PDIF).
S VIDEO: Format standard utilisé pour le transfert de données vidéo, d?assez bonne qualité. (définition S VIDEO).
S: Désigne un langage de haut niveau mis au point par AT&T.; On s'en sert dans beaucoup de milieux différents, des sciences expérimentales à la Statistique. (définition S).
S+: C'est une évolution de S développée par StatSci Inc. Il offre beaucoup de nouvelles fonctionnalités. (définition S+).
S2ML: Acronyme de Security Services Markup Language. C'est un langage d'échanges fondé sur XML. D'orientation commerciale, il offre une grande sécurité. (définition S2ML).
S3: Désigne un groupe qui produit des adaptateurs graphiques. Créé en 89, S3 a conçu les premiers accélérateurs vidéo dès 91, puis les accélérateurs 3D en 95. (définition S3).
S3M: C'est un équivalent phonétique de scream, qui désigne un fichier-son au standard screamTracker. (définition S3M).
SA: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Arabie Saoudite. (définition SA).
SA: Acronyme de System Administration, ou de System Administrator. C'est aussi celui de Server Admin qui désigne un programme Apple par lequel on peut gérer un serveur sous OS X. (définition SA).
SAA: Règles concernant l?architecture développé par IBM afin d?obtenir l?indépendance entre le matériel et les réseaux. (définition SAA).
SAAJ: Désigne une SOAP with Attachments API for Java, c'est-à-dire une API Java grâce à laquelle on produit et lit des messages en SOAP. (définition SAAJ).
SABLIER: Désigne le pointeur de la souris lorsqu'il indique l'indisponibilité du système. (définition SABLIER).
SABRE: C'est le tout premier réseau commercial, dans les années 60 aux Etats-Unis. (définition SABRE).
SACD: Super Audio CD. Amélioration des CD Audio, ils permettent de stocker plus d?informations et d?obtenir une qualité de son supérieure. (définition SACD).
SADE: Acronyme de Symbolic Application Debugging Environment. (définition SADE).
SADT: Structure Analysis and Design Technique. Désigne un procédé de développement vidéo. (définition SADT).
SAFARI: Désigne un navigateur d'Apple pour MacOS X. Il est fondé sur le moteur de KDE. Safari est aussi l'acronyme de Système Automatisé pour les Fichiers Administratifs et le Répertoire des Individus qui est la première tentative gouvernementale en France de cataloguer tout un chacun. (définition SAFARI).
SAFE SEX: Désigne le groupe des procédés par lesquels on fait circuler des programmes sans risquer d'être atteint par un code malicieux. (définition SAFE SEX).
SAG: C'est un SQL Access Group, qui est une réunion de développeurs de banques de données, de fabricants de machines et de concepteurs de logiciels. (définition SAG).
SAGE: C'est le premier réseau militaire digne de ce nom, aux Etats-Unis. Il commandait une série de radars sur tout le territoire dans les années 50-60. Désigne aussi la System Administrators Guild, une réunion d'Usenix qui étudie et partage des procédés d'administration. (définition SAGE).
SAI: Acronyme de Système Automatisé d'Information. (définition SAI).
SAIL: Stanford Artificial Intelligence Lab. C'est un laboratoire de recherche de l'Université de Stanford. C'est aussi le Stanford Artificial Intelligence Language qui est un une évolution d'ALGOL 60. (définition SAIL).
SAINT: Acronyme de Security Administrator's Integrated Network Tool. Désigne l'utilitaire réseau qui étudie la sécurité de celui-ci. C'est une évolution de SATAN. (définition SAINT).
SAISIE: C'est le fait de numériser un document via un clavier. (définition SAISIE).
SAISIR: Réaliser une saisie. (définition SAISIR).
SALLE BLANCHE: Désigne une pièce vidée de la quasi-totalité des particules qui l'occupaient. C'est une nécessité en matière de fabrication de circuits intégrés. (définition SALLE BLANCHE).
SALLE MACHINE: Désigne la pièce souvent froide qui accueille des serveurs. (définition SALLE MACHINE).
SALLE PROPRE: C'est un synonyme de salle blanche. (définition SALLE PROPRE).
SAM: Acronyme de Security Account Manager. C'est un système de management sous Windows NT, qui est en fait une banque de données enregistrant mots de passe et comptes. SAM est aussi l'acronyme de SCSI-3 Architecture Model. (définition SAM).
SAMBA: Désigne l'implémentation de SMB sous Unix. C'est une application grâce à laquelle n'importe quelle machine peut controler un domaine NT. (définition SAMBA).
SAMBAFS: C'est un système de fichiers Samba. (définition SAMBAFS).
SAMI: C'est l'acronyme de Synchronized Accessible Media Interchange c'est un fichier qui renferme la détermination de l'horaire d'événements dans une séquence multimédia. (définition SAMI).
SAMPLE: Désigne un court document son, ou un son digitalisé. (définition SAMPLE).
SAMPLER: C'est le fait de digitaliser du son. C'est aussi l'instrument qui lit et produit des samples. En français, on peut dire échantillonneur. (définition SAMPLER).
SAMPLEUR: C'est l'équivalent français d'un sampler. (définition SAMPLEUR).
SAN: Acronyme de Storage Area Network qui désigne une sous-partie d'un réseau. Elle connecte des serveurs d'archivage de grande capacité et laisse ainsi d'autres serveurs se concentrer sur le traitement des informations. (définition SAN).
SANDBOX: Désigne la partie d'une mémoire qui accueille l'exécution d'un programme, notamment pour les programmes Java. Sandbox signifie bac à sable. (définition SANDBOX).
SANS DISQUE: Qualifie une machine qui n'est pas équipée de disque dur ni de lecteur d'aucune sorte. L'anglais dira diskless. (définition SANS DISQUE).
SANS FIL: Qualifie une communication qui fonctionne par ondes hertziennes. (définition SANS FIL).
SAO: Acronyme de Single Association Object, ou de Spécification Assistée par Ordinateur. (définition SAO).
SAP: Acronyme de Secure Audio Path, un procédé de controle des périphériques sonores des ordinateurs équipés par Microsoft. C'est également l'acronyme de Service Advertising Protocol, qui, sur IPX, donne aux stations la possibilité de connaà®tre les services disponibles. SAP signifie aussi Système Automatisé de Production ou Service Access Point. Enfin, SAP est le nom d'une firme allemande qui a conçu le progiciel SAP R/3. (définition SAP).
SAQUER: Signifie supprimer des fichiers. (définition SAQUER).
SAR: Specific Absorption Rate. Indicateur qui mesure l?énergie absorbée par le corps humain lors de l?utilisation d?un téléphone portable. Il se mesure en Watt Kilogramme. (définition SAR).
SASFEPU: Qualifie un élément archaique. (définition SASFEPU).
SASL: Acronyme de Simple Authentification and Security Layer. C'est un procédé d'identification, spécifié par les RFC 2222, 2245 et 2444. Il est employé par les protocoles sous mode connecté. (définition SASL).
SATA: Acronyme de Serial Advanced Technology Attachment. (définition SATA).
S-ATA: C'est le raccourci de Serial ATA. (définition S-ATA).
SATAN: Logiciel gratuit qui teste la sécurité des systèmes Unix présents dans un réseau. (définition SATAN).
SATURATION: Atteinte d?un niveau maximal d?intensité. (définition SATURATION).
SATURE: Qualifie tout élément qui ne peut plus faire face à la demande, un réseau ou une mémoire peuvent être saturé. (définition SATURE).
SATURN: C'est une console de jeu 32 bits, développée par Sega. (définition SATURN).
SAUT DE LIGNE: Désigne le code qui permet de passer à la ligne suivante. L'anglais dira newline. (définition SAUT DE LIGNE).
SAUT: Désigne une exécution de programme qui interrompt à un endroit son activité linéaire et reprend ailleurs. Un synonyme est branchement. (définition SAUT).
SAUVEGARDE: Désigne l'opération par laquelle des données sont désignées comme devant être conservées, sous la forme d'un fichier. (définition SAUVEGARDE).
SAUVEGARDER: C'est le fait de réaliser une sauvegarde de données, sur un support extérieur ou sur le disque dur. On peut sauvegarder un fichier ou tout le contenu d'une machine. (définition SAUVEGARDER).
SAV: Acronyme de Service Après Vente. (définition SAV).
SAWFISH: Désigne un gestionnaire de fenêtre fondé sur un langage de script proche de LISP. L'ancien nom de sawfish est sawmill. (définition SAWFISH).
SAWG: Acronyme de Serial ATA Working Group. C'est un groupe de pression pour la spécification d'un standard ATA. (définition SAWG).
SAWMILL: C'est l'ancienne appellation de sawfish. (définition SAWMILL).
SAWTOOTH: C'est l'appellation de développement d'une famille de puces G4 d'Apple. (définition SAWTOOTH).
SAX: Signifie Simple API for XML. Désigne une API Java par laquelle on peut utiliser des informations au standard XML. (définition SAX).
SB: A la fin d'une URL, signale que le site est basé aux à®les Salomon. (définition SB).
SB: C'est le raccourci fréquent de SoundBlaster. (définition SB).
SB16: Désigne la Soundblaster 16, la variante 16 bits de la série des adaptateurs son. (définition SB16).
SBIN: C'est la contraction de Superuser binairies, qui est l'appellation des répertoires stockant les exécutables que seuls peuvent utiliser les superutilisateurs. (définition SBIN).
SBR: Acronyme de Spectral Band Replication. (définition SBR).
SBS: Acronyme de Smart Battery System. (définition SBS).
SC: A la fin d'une URL, signale que le site est basé aux Seychelles. (définition SC).
SCALABILITY: C'est l'équivalent anglais d'extensibilité. (définition SCALABILITY).
SCALAIRE: Désigne une information basique qui représente une valeur unique. (définition SCALAIRE).
SCANCODE: Désigne le code émis par un clavier, qui signale la touche venant d'être pressée, sous la forme de sa localisation physique sur le clavier. (définition SCANCODE).
SCANF: C'est la fonction, sous C, par laquelle on interroge des entrées puis on les archive sous forme de paramètre. (définition SCANF).
SCANNER: Appareil permettant de numériser une image sur support papier, le plus souvent par balayage de l?image. (définition SCANNER).
SCANNER: Désigne l'analyse d'un groupe d'informations en vue de leur faire subir une opération. (définition SCANNER).
SCANNERISER: Désigne un équivalent du verbe scanner. (définition SCANNERISER).
SCANNEUR: C'est l'équivalent du scanner, l'appareil par lequel on peut digitaliser des fichiers papiers ou photos. Désigne également l'application parcourant un support à la recherche de virus. (définition SCANNEUR).
SCANNING: Désigne le fait d'interroger une large liste de numéros téléphoniques à la recherche de quelque chose d'intéressant. (définition SCANNING).
SCAR: Acronyme du Syndicat des Constructeurs d'Appareils Radioélectriques et de Télévision. Il est à l'origine de la spécification du standard Péritel. (définition SCAR).
SCC: Acronyme du syndrome du canal carpien, une pathologie du poignet dont sont les victimes ceux qui passent du temps sur un clavier. (définition SCC).
SCCS: C'est l'acronyme de Source Code Control System, qui est une famille d'outils grâce auxquels on peut administrer les différentes variantes d'un code source. On peut ainsi reproduire tous les états successifs d'un source. C'est aussi l'acronyme de Switching Control Center System. (définition SCCS).
SCELLER: Signifie assurer la sécurité d'un groupe d'informations par l'ajout d'un certificat numérique. (définition SCELLER).
SCHEDULER: C'est l'équivalent anglais d'ordonnanceur. (définition SCHEDULER).
SCHEDULING: Signifie ordonnancement, en anglais. (définition SCHEDULING).
SCHEME: Désigne la variante light de Common LISP. Elle est standardisée par l'IEEE et surtout employée à des fins d'enseignement. (définition SCHEME).
SCHTROUMPF: C'est un surnom des PowerMac G3, en référence à leur couleur bleue. (définition SCHTROUMPF).
SCI: Acronyme de Scalable Coherent Interface, qui est un dispositif de connection articulée autour d'une bande deÂ 800 Mo/s en théorie. (définition SCI).
SCI: Désigne, sur l'Usenet, le groupe des forums créés autour des sciences de toutes sortes. (définition SCI).
SCINTILLEMENT: C'est l'effet d'un mauvais affichage, dà» à une faible fréquence de balayage. (définition SCINTILLEMENT).
SCM: Acronyme de Supply Chain Management. Désigne un dispositif de management logistique. Il s'appuie sur une application qui prend en compte la totalité des échanges physiques ayant lieu dans une entreprise. (définition SCM).
SCO: Désigne la Santa Cruz Operation, qui est une firme conceptrice d'une version d'Unix. Elle s'est fait connaà®tre en réclamant la propriété d'Unix. (définition SCO).
SCOOTER: C'est ainsi qu'on appelle le robot qui parcours le web et qui est intégré au moteur Alta Vista. (définition SCOOTER).
SCOS: Acronyme de Spacecraft Control Operating System. (définition SCOS).
SCP: Equipement de contrôle dans un réseau à intégration de services RNIS. (définition SCP).
SCR: C'est un raccourci pour désigner un script, ou un écran (screen). (définition SCR).
SCRATCHER: C'est une évolution de crasher. Scratcher s'applique surtout à un élément matériel. (définition SCRATCHER).
SCREENER: Désigne la version piratée d'un film, réalisée à partir de la capture, dans une salle de cinéma, du film par une caméra. La qualité est donc souvent effroyable. (définition SCREENER).
SCREENSHOT: C'est un équivalent de snapshot le français préfèrera capture d'écran. (définition SCREENSHOT).
SCREXX: C'est la contraction de scrolling text, un texte qui défile. (définition SCREXX).
SCRIPLET: Désigne un type d'applet dans lequel on a substitué un script en Javascript au Java d'origine. (définition SCRIPLET).
SCRIPT KIDDIES: C'est le pluriel de script kiddy. (définition SCRIPT KIDDIES).
SCRIPT KIDDY: Désigne celui, souvent jeune, maà®trisant à peine quelques scripts mais prétendant être un authentique pirate. (définition SCRIPT KIDDY).
SCRIPT: Liste de commandes écrites dans un certain langage destinée à être interprétée pour effectuer une certaine tâche. (définition SCRIPT).
SCRIPTABLE: Désigne une activité qui peut être lancée via un script. (définition SCRIPTABLE).
SCROLLING FIGHTER: Désigne, dans un jeu vidéo, le fait que l'environnement évolue en 3D isométrique avec les déplacements des personnages. (définition SCROLLING FIGHTER).
SCROLLING: Désigne un texte qui parcours l'écran. Cet effet est aujourd'hui devenu banal. (définition SCROLLING).
SCROLLTEXT: C'est un synonyme de scrolling. (définition SCROLLTEXT).
SCRUTATION: Attente d?une émission ou d?une réception pendant une communication par réseau. (définition SCRUTATION).
SCSI: Connecteur universel pour connecter tous les types de périphériques. (définition SCSI).
SCSI-2: C'est l'évolution, surtout en termes de vitesse, du standard SCSI. (définition SCSI-2).
SCSI-3: Cette nouvelle évolution est quatre fois plus rapide que la SCSI-2. (définition SCSI-3).
SCSSI: Services Centraux de la Sécurité des Systèmes d'Informations, créés en 1987. (définition SCSSI).
SCVP: Acronyme de Simple Certificate Validation Protocol. C'est le protocole par lequel un client peut sous-traiter et centraliser le controle des certificats. (définition SCVP).
SD: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Soudan. (définition SD).
SD: Acronyme de Security Descriptor, de Super Deformed (qui qualifie l'aspect visuel de certains personnages de jeux vidéo) et de Sending Data, par lequel un modem indique qu'il est en cours d'émission. (définition SD).
SDA: Equipement installé sur des commutateurs automatiques d?entreprises afin de joindre directement une personne extérieure. (définition SDA).
SDAI: C'est l'acronyme de Standard Data Access Interface. (définition SDAI).
SDDI: Acronyme de Serial Digital Data Interface. (définition SDDI).
SDH: Synchronous Digital Hierarchy. Norme européenne pour l?architecture des transmissions par fibre optique. (définition SDH).
SDK: C'est l'acronyme de Software Developement Kit, l'ensemble des outils de développement de logiciels, surtout chez Microsoft. (définition SDK).
SDLC: Synchronous Data Link Control. Protocole de communication orienté bit, fonctionne en mode synchrone et duplex et dispose d?un système de contrôle CRC. (définition SDLC).
SDLT: Acronyme de Super Digital Line Tape, qui est une évolution de la DLT. (définition SDLT).
SDMI: C'est l'acronyme de Secure Digital Music Initiative. C'est la réunion de firmes, qui veut standardiser le compactage du son de façon privée et mettre fin au monopole du MP3. (définition SDMI).
SDNP: Acronyme de Sustainable Development Networking Programme. Désigne un plan de développement des réseaux dans les pays en voie de développement. Il a été lancé en 92 par les Nations Unies. (définition SDNP).
SDP: Désigne un Session description Protocol. Il est spécifié dans la RFC 2327 et veut décrire les séances multimédia en termes de référence d'auteur, de standard utilisé et de durée. (définition SDP).
SDR: C'est un raccourci de SDRAM. (définition SDR).
SDRAM II: Désigne une évolution de la SDRAM. On trouve plutot l'équivalent DDR-SDRAM. (définition SDRAM II).
SDRAM: Désigne une Synchronous Dynamic Random Access Memory. Elle peut s'intégrer seule, au contraire d'autres sortes de barrettes qui doivent aller par deux, mais surtout va envrion 5 fois plus vite qu'une DRAM. (définition SDRAM).
SDSL: Acronyme de Symetric Digital Subscriber Line. Désigne un HDSL qui n'utilise qu'une paire de fils torsadés. Au contraire de l'ADSL, la vitesse montante et la vitesse descendante sont équivalentes. (définition SDSL).
SDTV: Acronyme de Standard Definition Television. C'est un appareil de télévision en 4Â : 3 et 700 x 480. C'est donc un modèle ultra-courant. (définition SDTV).
SDU: Service rendu par une couche du modèle OSI à une couche adjacente, agit sur le PDU qui lui est fourni pour en former un nouveau grâce au SDU. (définition SDU).
SDW: Acronyme de Star Office Writer. Désigne l'extension d'un fichier de StarOffice. (définition SDW ).
SDXF: Acronyme de Structured Data eXchange Format. Il s'agit d'un standard inter plate-forme. Il est spécifiée dans la RFC 3072. (définition SDXF).
SE: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Suède. (définition SE).
SE: C'est l'acronyme de Système d'Exploitation, de Système Expert, ou de Second Edition (dans Windows 98). (définition SE).
SEA: Acronyme de Self-Extracting Archive, qui est un standard Mac. Une telle archive se décompacte seule. (définition SEA).
SEAL: C'est l'acronyme de Software-optimized Encryption Algorithm. Il s'agit d'un algorithme de codage mis au point par Coppersmith et Rogaway en 93. Il utilise un chiffrement par flux au lieu d'un codage de blocs et travaille donc très rapidement. (définition SEAL).
SEAMONKEY: C'est l'appellation de développement de Mozilla. (définition SEAMONKEY).
SEARCH ENGINE: C'est l'équivalent anglais d'un moteur de recherche. (définition SEARCH ENGINE).
SEC: Acronyme de Single Edge Contact. (définition SEC).
SECAM: Norme française pour la diffusion d?image de télévision. Elle comporte 625 lignes colorées avec une fréquence de 25 Hz. (définition SECAM).
SECTEUR DE DEMARRAGE: Désigne le secteur disque qui contient le bootstrap par lequel on peut mettre en route l'exécution d'un programme, souvent l'OS. (définition SECTEUR DE DEMARRAGE).
SECTEUR: Désigne sur un disque, une partie de 512 ou 1024 octets. (définition SECTEUR).
SECURITE INFORMATIQUE: Ensemble des techniques qui vise la préservation de la confidentialité des données ainsi que leur intégrité. (définition SECURITE INFORMATIQUE).
SECURITE: On distingue quatre secteurs de sécuritéÂ : la politique de securité, les problèmes de compatibilité des systèmes de sécurité, la sécurité proprement dite du matériel, et celle du logiciel. Un système est en fait sécurisé quand il est éteint, enfermé dans une chape de béton, et protégé par des gens en arme. (définition SECURITE).
SED: Technologie d?affichage, regroupant les avantages d?un écran plat et d?un tube cathodique. Chaque pixel est éclairé par un mini canon à électron ce qui permet d?obtenir un faible encombrement tout en obtenant une bonne qualité d?image. (définition SED).
SEEPROM: Désigne une serial EEPROM. (définition SEEPROM).
SEFTI: Acronyme du Service d'Enquête sur les Fraudes aux Technologies de l'Information. C'est l'appellation originale du BEFTI, qui est rattaché à la police judiciaire. (définition SEFTI).
SEGA: Désigne un ancien fabricant de console de jeu. Ils ont abandonné ce secteur pour se concentrer sur l'édition de jeux. (définition SEGA).
SEGMENT: Désigne un morceau de mémoire, d'une taille de 64 ko sur un PC. Désigne également une portion de programme. (définition SEGMENT).
SEGMENTATION: C'est le découpage d'un groupe de données, notamment en paquets. C'est également un procédé d'administration de la mémoire . (définition SEGMENTATION).
SEGMENTEUR: C'est l'application grâce à laquelle on peut partitionner un fichier en plusieurs entités. (définition SEGMENTEUR).
SEL SYNTAXIQUE: Dans un système formel, c'est une détermination qu'on ajoute pour attirer l'attention des usagers. (définition SEL SYNTAXIQUE).
SEL: Acronyme de Service En Ligne. (définition SEL).
SELECTION: Signifie choisir un groupe de données qui fera l'objet d'un traitement à suivre. (définition SELECTION).
SELECTIONNER: Choisir via la souris ou un raccourci clavier un groupe d'informations. (définition SELECTIONNER).
SEMAPHORE: Norme de signalisation employée dans la téléphonie publique, se propageant dans le canal D de la ligne téléphonique. (définition SEMAPHORE).
SEMI DUPLEX: Caractérise une voie de communication bidirectionnelle dans laquelle la transmission n?est pas simultanée dans les deux sens, mais décalée dans le temps. (définition SEMI DUPLEX).
SEMICONDUCTEUR: Qualifie un élément à l'intérieur duquel le courant électrique peut circuler, mais imparfaitement. Les puces sont un exemple de semiconducteur. (définition SEMICONDUCTEUR).
SENDMAIL: C'est l'instruction grâce à laquelle on lance, sous Unix, le MTA Sendmail. C'est aussi le nom de l'application Unix d'envoi et réception d'e-mails. (définition SENDMAIL).
SENSOR: L'équivalent français est capteur. (définition SENSOR).
SEO: Acronyme de Search Engine Optimizer. Désigne l'idée selon laquelle on pourrait faire apparaà®tre un site en tête des résultats de toute recherche via un moteur de recherche. (définition SEO).
SEPARATEUR: C'est le signe qui signale la séparation entre des données. (définition SEPARATEUR).
SEQUEL: Signifie Structured English QUery Language. C'est l'ancêtre de SQL. Il s'appuie sur les théories de E. Codd sur les banques de données relationnelles. (définition SEQUEL).
SEQUELLE: C'est un surnom de SQL. (définition SEQUELLE).
SEQUENCE DE BOOT: Désigne les instructions données à un BIOS afin qu'il sache quel support utiliser pour le démarrage. (définition SEQUENCE DE BOOT).
SEQUENCEUR: C'est un synonyme d'ordonnanceur. C'est aussi une application qui va transformer un ordinateur en enregistreur de musique. (définition SEQUENCEUR).
SEQUENTIEL: Qualifie tout élément qui doit être considéré comme faisant partie d'un ordre précis et établi. (définition SEQUENTIEL).
SERIAL ATA II: C'est une évolution de Serial ATA, doté d'une vitesse proche de 300 Mo/s. (définition SERIAL ATA II).
SERIAL ATA III: La vitesse passe à 600 Mo/s. (définition SERIAL ATA III).
SERIAL ATA: Désigne un Serial Advanced Technology Attachment. C'est une évolution d'ATA, en fait son adaptation série, car le fait de synchroniser les signaux est difficile à gérer dans un système en parallèle. Sa vitesse est de 150 Mo/s. (définition SERIAL ATA).
SERIAL ATA: Interface pour la connexion de périphériques internes aux ordinateurs. Le mode de transmission est en série et le débit devrait bientôt atteindre les 600Mo/s. (définition SERIAL ATA).
SERIALISATION: Désigne l'action par laquelle on traduit une séquence parallèle en une suite de bits en série. (définition SERIALISATION).
SERIALISATION: Procédé qui créé un signal avec des données en série à partir de plusieurs signaux où les données sont transmises de façon parallèle. (définition SERIALISATION).
SERIGRAPHIE: Technique d?impression réalisée à partir d?un écran de soie. (définition SERIGRAPHIE).
SERVER PUSH: Désigne le procédé par lequel on offre des données à un client, sans demande de celui-ci. (définition SERVER PUSH).
SERVEUR APPLICATIF: C'est un serveur utilisé pour une activité unique. (définition SERVEUR APPLICATIF).
SERVEUR CACHE: Désigne le serveur qui met en rapport des usagers et l'internet. (définition SERVEUR CACHE).
SERVEUR D'APPLICATION: Désigne un serveur qui, en plus d'offrir des informations, lance de programmes. (définition SERVEUR D'APPLICATION).
SERVEUR DE FICHIERS: Ce serveur n'offre que des fichiers, et non des ressources de calcul ou de communication. (définition SERVEUR DE FICHIERS).
SERVEUR DE NEWS: Désigne un serveur qui utilise le protocole NNTP. (définition SERVEUR DE NEWS).
SERVEUR DEDIE: Serveur qui héberge un seul et unique site Web. (définition SERVEUR DEDIE).
SERVEUR MANDATAIRE: C'est un synonyme de proxy. On trouve aussi serveur mandaté. (définition SERVEUR MANDATAIRE).
SERVEUR PROXY: Equipement placé à l?interface de deux réseaux, pour filtrer le réseau et pour sauvegarder des requêtes pour une réponse plus rapide. (définition SERVEUR PROXY).
SERVEUR VIRTUEL: Désigne un serveur créé par la partition d'un serveur plus grand. (définition SERVEUR VIRTUEL).
SERVEUR WEB: Désigne un serveur qui utilise le protocole HTTP. (définition SERVEUR WEB).
SERVEUR X: Désigne l'application grâce à laquelle un ordinateur peut utiliser X11. L'anglais dira Xserver. (définition SERVEUR X).
SERVEUR: Equipement informatique dédié à certaines tâches sur un réseau, comme le traitement des requêtes des ordres ordinateurs. (définition SERVEUR).
SERVICE APRES-VENTE: Désigne la partie d'une entreprise commerciale qui s'occupe de vous après l'achat. Comme ce service ne génère pas directement d'argent, il est souvent délaissé par les entreprises. (définition SERVICE APRES-VENTE).
SERVICE DE FICHIERS: Désigne le groupe des activités répétitives qui gère les rapports entre des clients et un SGF. (définition SERVICE DE FICHIERS).
SERVICE EN LIGNE: Désigne un service qu'on peut consulter ou interroger en temps réel. (définition SERVICE EN LIGNE).
SERVICE LAYER: Couche résidant dans la mémoire du système située entre la MI (Management Interface) et la CI (component Interface). (définition SERVICE LAYER).
SERVICE PACK: Module venant se greffer sur un logiciel déjà installé pour lui apporter des modifications et des correctifs majeurs. (définition SERVICE PACK).
SERVICE RELEASE: Module venant se greffer sur un logiciel déjà installé et qui ajoute de nouvelles fonctionnalités en plus de correctifs. (définition SERVICE RELEASE).
SERVICE WEB: Désigne un service présent sur internet, auquel on accède via HTTP, POP, etcâ?¦ (définition SERVICE WEB).
SERVLET: Dénomination des composants Java qui établissent des communications par l?intermédiaire de RMI. (définition SERVLET).
SESSION: Désigne la durée écoulée entre la mise en route d'un ordinateur et son arrêt. Entre les deux figure éventuellement un activité travaillée. (définition SESSION).
SET: Acronyme de Secure Electronics Transactions. Signifie également Single Electron Transistor. (définition SET).
SETI @ HOME: Désigne le projet mondial qui veut étudier les résultats du téléscope Arecibo pour y déceler des traces de vie extra-terrestre. (définition SETI @ HOME).
SETI: Acronyme de la Semaine Européenne des Technologies de l'Information. (définition SETI).
SETISEUR: Désigne les usagers français du projet SETI @ Home. (définition SETISEUR).
SETUP: Programme permettant l?installation et l?initialisation d?un composant matériel ou logiciel sur un ordinateur. (définition SETUP).
SEX: Désigne le Software eXchange, soit l'échange de programme. (définition SEX).
SF2: Désigne l'extension d'un fichier qui renferme un son au standard SoundFont 2. (définition SF2).
SFC: Désigne la Super Famicon, qui est l'équivalent japonais de la console SNES. (définition SFC).
SFD: Acronyme de Start Frame Delimiter, soit un délimiteur de commencement de trame. C'est l'octet qui désigne le début d'une trame. (définition SFD).
SFDD: Simple Face, Double Densité. Qualifie les possibilités d'enregistrement d'une disquette. (définition SFDD).
SFS: Acronyme de Secure File System. (définition SFS).
SFSD: Acronyme de System Fault Tolerance. (définition SFSD).
SFTP: Acronyme de Simple File Transfer Protocol. C'est une version simplifiée du FTP. Elle est spécifiée dans la RFC 913. (définition SFTP).
SFX: Self eXtracting. Qualifie une archive qui peut se décompacter seule. (définition SFX).
SG: A la fin d'une URL, signale que le site est basé à Singapour. (définition SG).
SGBD: Acronyme de Système de Gestion de Base de Données. (définition SGBD).
SGBDH: Acronyme de Système de Gestion de Base de Données Hiérarchiques. (définition SGBDH).
SGBDO: Système de Gestion de Base de Données à Objets. (définition SGBDO).
SGBDR: Système de Gestion de Base de Données Relationnel. (définition SGBDR).
SGF: C'est un système de Gestion de Fichiers. Il spécifie l'architecture de la représentation des fichiers, les standards utilisés, etcâ?¦ (définition SGF).
SGI: Désigne les Silicon Graphics Industries. C'est un fabricant de machines de haut niveau utilisées pour la recherche scientifique. Ces machines tournent sous une évolution d'Unix qui s'appelle Irix. (définition SGI).
SGIU: Système de Gestion d'Interface Utilisateur. (définition SGIU).
SGML OPEN: Organisation internationale pour la promotion du SGML. (définition SGML OPEN).
SGML: Standard Generalized Markup Language. Langage formé de balises qui décrivent la structure d?un document. (définition SGML).
SGRAM: Acronyme de Synchronous Graphics Random Access Memory. C'est une SDRAM dédiée aux tâches visuelles. (définition SGRAM).
SH: A la fin d'une URL, signale que le site est basé sur l'à®le Sainte-Hélène. Sh est aussi la première évolution du shell Unix. (définition SH).
SHADING: Désigne l'opération par laquelle, en imagerie synthétique, on détermine la teinte d'une surface par rapport à la lumière. Shading signifie littéralement ombrage. (définition SHADING).
SHADOW KEY: Désigne une touche " dans l'ombre", c'est-à-dire un signe qui ne figure pas sur le clavier mais qu'on peut obtenir par une commutation de touche. (définition SHADOW KEY).
SHADOW MAN: C'est l'emblème de Red Hat, un homme équipé d'un chapeau rouge. (définition SHADOW MAN).
SHADOW RAM: C'est une RAM dans l'ombreÂ : elle recueille les infos d'une ROM, afin de gagner de la vitesse. (définition SHADOW RAM).
SHANNON, CLAUDE: C'est le mathématicien auteur de " la théorie mathématique de l'information", en 48, ouvrage sur lequel sont fondées les théories modernes en matières de communication. (définition SHANNON, CLAUDE).
SHAR: C'est le raccourci pour une shell archive, qui désigne le fichier qui renferme une instruction de composition d'une archive ou bien l'archive elle-même. (définition SHAR).
SHAREWARE: Logiciel diffusé sur Internet mais qui n?est disponible dans sa version complète que par rémunération du développeur, contrairement au Freeware qui est gratuit. (définition SHAREWARE).
SHEBANG: Désigne la séquence " #Â !" par laquelle on initie un source. La séquence signale le programme chargé de l'exécution de ce source. (définition SHEBANG).
SHELL: C'est, dans un OS, l'application d'interprétation d'instructions, qui constitue l'interface. (définition SHELL).
SHIFT: C'est la touche qui sert à commuter, c'est-à-dire à par laquelle on peut obtenir des signes autres que ceux indiquer en gras sur la touche. Elle est désignée par une flèche dirigée vers le haut. (définition SHIFT).
SHOCKWAVE: Format de fichier multimédia développé par Macromédia, adapté à la diffusion sur Internet. (définition SHOCKWAVE).
SHOOT THEM UP: Désigne une famille de jeux vidéo. Shoot them up peut se traduire par " tirez sur tout ce qui bouge". Doom est l'exemple classique. (définition SHOOT THEM UP).
SHRIKE: C'est l'appellation de développement de Red Hat v9. (définition SHRIKE).
SHTML: Désigne un document web analysé avant émission par le serveur. (définition SHTML).
SHTTP: Signifie Secure http, soit l'évolution de http spécifiée par l'IETF. (définition SHTTP).
SHUTDOWN: Désigne l'instruction par laquelle on met un terme à tous les processus en cours et nettoie toutes les mémoires. On peut alors éteindre la machine. (définition SHUTDOWN).
SI: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Slovénie. (définition SI).
SIA: Acronyme de Semiconductor Industry Association. (définition SIA).
SIAD: Désigne un Système Informatique d'Aide à la Décision. (définition SIAD).
SIC: C'est un Système d'Information et de Communication. (définition SIC).
SICCOMETRE: Dispositif permettant la mesure de temps de séchage d?une encre. (définition SICCOMETRE).
SID: Raccourci de Security Identifier, dont on se sert pour déterminer des ressources ou utilisateurs sur un réseau de Microsoft. (définition SID).
SIG*(ACM): SIG est l'acronyme de Special Interest Group. Désigne la réunion de groupes de pression concentrés sur les NTIC. On peut citer le SIGARCH, dédié à l'architecture via ordinateur, le SIGMICRO, associé au microcomputingâ?¦ (définition SIG*(ACM)).
SIGD: Acronyme de Système Intégré de Gestion de Documents. (définition SIGD).
SIGLE: Ensemble de lettre formant un mot facile à retenir pour désigner une entité. (définition SIGLE).
SIGNAL: Désigne une donnée en train d'être émise. C'est également ce qui sert à indiquer à un processus de l'occurrence d'un fait. (définition SIGNAL).
SIGNATURE ELECTRONIQUE: Combinaison chiffrée qui permet d?authentifier l?émetteur d?un message, souvent grâce à une clé privée et une clé publique. (définition SIGNATURE ELECTRONIQUE).
SIGNATURE: Texte bref ajouté automatiquement à la fin des e-mails et composé par l?utilisateur. (définition SIGNATURE).
SIGNE: Unité permettant de quantifier le nombre de caractère d?un texte, y compris les blancs. (définition SIGNE).
SIGNET: Url d?une page web sauvegardé par un utilisateur en vue d?une consultation ultérieure. (définition SIGNET).
SILICIUM: Désigne le matériau utilisé pour composer les processeurs. C'est un type de sable semi-conducteur. (définition SILICIUM).
SILICON ALLEY: C'est l'équivalent de la Silicon Valley mais à New-York. (définition SILICON ALLEY).
SILICON GRAPHICS: C'est le nom d'une firme qui est le leader mondial dans le domain des images de synthèse. (définition SILICON GRAPHICS).
SILICON VALLEY: En Californie, c'est le lieu de naissance ou d'installation de la plupart des grandes groupes liés aux nouvelles technologies. (définition SILICON VALLEY).
SIM: Subscriber Identity Module. Carte à puce que l?on place dans un téléphone mobile et qui contient de nombreuses informations, tel que le numéro de téléphone de l?abonné. (définition SIM).
SIMM: Désigne un Single Inline Memory Module, qui supporte les RAM. (définition SIMM).
SIMPLEX: C'est un synonyme d'unidirectionnel. (définition SIMPLEX).
SIMPROFRANCE: Organisation française pour la promotion de l?EDI (Echange de Données Informatisées) dans les commerces. (définition SIMPROFRANCE).
SIMULA: C'est le raccourci de SIMULAtion language, un fils d'ALGOL 60. C'est le premier langage se servant d'objet. Il est né en 67. (définition SIMULA).
SIMULATEUR: Désigne le dispositif qui reproduit le fonctionnement d'un autre dispositif. (définition SIMULATEUR).
SINCLAIR: C'est un groupe qui a notamment conçu les machines ZX Spectrum, dans les années 80. (définition SINCLAIR).
SIP: Acronyme de Single In-line Package, un élément électronique. Désigne également un Simple Internet Protocol. (définition SIP).
SISD: Acronyme de Single Instruction Single Data, soit une commande unique qui lance une donnée unique. (définition SISD).
SIT: Sous MacOS, c'est une extension pour un fichier compacté par Stuffit. (définition SIT).
SITE WEB: Désigne un groupe rationnel de document sur internet, notamment relié par une même racine d'adresse. (définition SITE WEB).
SITE: Regroupe un ensemble de page Web reliées entre elles et situées sur un même serveur. (définition SITE).
SK: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Slovaquie. (définition SK).
SK: Acronyme de Script Kiddy. (définition SK).
SKETCHER: C'est une famille d'applications grâce auxquelles on peut produire des croquis. (définition SKETCHER).
SKIN: C'est l'ensemble des spécifications qui détermine le visuel d'un logiciel. (définition SKIN).
SKT: Signifie Seek Table, soit une table de recherche. Grâce à cette table, on peut circuler facilement dans un fichier son au format SHN. (définition SKT).
SL: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Sierra Leone. (définition SL).
SLA: Acronyme de Service Level Agreement, soit l'accord qui intervient entre un FAI et un client au sujet des services fournis. (définition SLA).
SLACKWARE: Désigne la version la plus distribuée de Linux. (définition SLACKWARE).
SLASH: C'est l'appellation du signeÂ /. (définition SLASH).
SLB: Acronyme de Server Load Balancing, un serveur qui équilibre les poids. (définition SLB).
SLDRAM: Signifie Synchronous Link Dynamic RAM, soit une DRAM qui fait circuler les émissions sur une ligne unique et en série. Il n'est alors pas besoin de synchronisation. Le format est ouvert, contrairement aux DRAM. (définition SLDRAM).
SLI: Acronyme de Scan-Line Interleaving. (définition SLI).
SLIP: C'est l'acronyme de Serial Line Internet Protocol, par lequel des IP sont intégrées pour émettre via modem. (définition SLIP).
SLOT: Désigne un port, c'est-à-dire l'endroit oà¹ un appareil ou un élément va être relié à la partie centrale de la machine. On peut, en français, dire connecteur. (définition SLOT).
SM: A la fin d'une URL, signale que le site est basé a San Marin. (définition SM).
SMALLTALK: Désigne un langage à objets développé par A. Ray en 72. (définition SMALLTALK).
SMART: Acronyme de Self Monitoring And Reporting Technology. C'est le dispositif qui va repérer et résoudre les problèmes d'un disque dur. (définition SMART).
SMARTPHONE: Téléphone portable évolué qui offre des fonctionnalités d?assistant personnel. (définition SMARTPHONE).
SMB: Server Message Block. Protocole utilisé dans les réseaux Windows pour le partage des ressources. (définition SMB).
SMDS: Service utilisé dans les MAN pour transmettre des données en mode non connecté. (définition SMDS).
SMIL: Synchronized Multimedia Integration Language. Langage permettant de synchroniser divers éléments multimédia sur une page Web. (définition SMIL).
SMILEY: Suite de quelques caractères représentant une tête humaine, pouvant prendre diverses expressions et traduisant l?état émotionnel de l?auteur. (définition SMILEY).
SMILIES: C'est le pluriel de Smiley. (définition SMILIES).
SMP: Symmetric MultiProcessing. Architecture matérielle permettant de combiner les puissances de traitement de plusieurs processeurs simultanément, et de leur faire partager une mémoire commune. (définition SMP).
SMS: Short Message Service. Court message textuel pouvant être émis et reçu depuis un téléphone portable. (définition SMS).
SMT: Acronyme de Surface Mounted Technology, soit la technologie des éléments installés en surface. (définition SMT).
SMTP: Simple Mail Transfer Protocol. Protocole utilisé pour l?envoi d?e-mails. (définition SMTP).
SN: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Sénégal. (définition SN).
SNA: Systems Network Architecture. Architecture développé par IBM pour ses réseaux informatiques dans les années 70, décomposée en 7 couches et aujourd?hui remplacée par le modèle OSI. (définition SNA).
SNAPI: API servant à sécuriser les applications IP de Netscape. (définition SNAPI).
SNAPSHOT: C'est la photographie, à un moment précis, de l'état d'une base de données. C'est aussi l'équivalent anglais de capture d'écran. (définition SNAPSHOT).
SNES: Signifie Super Nintendo Entertainment System, soit la console 16 bits de Nintendo. (définition SNES).
SNI: C'est le raccourci qui désigne Siemens Nixdorf. (définition SNI).
SNMP: Protocole utilisé pour l?administration d?un réseau. (définition SNMP).
SNO: Acronyme de System Node Opérator, soit l'opérateur qui vérifie les nÅ?uds sur un réseau. (définition SNO).
SNOBOL: C'est le String Oriented Symbolic Language. Il s'agit d'un langage employé pour construire des banques de données par enchaà®nement de signes. Conçu par les Bell Labs en 60, il a inspiré Unix à ses débuts. (définition SNOBOL).
SNR: Acronyme de Signal to Noise Ratio. (définition SNR).
SO: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Somalie. (définition SO).
SOAP: Simple Object Access Protocol. Désigne une modification par laquelle on peut traduire du DOM en XML. (définition SOAP).
SOC: Sur l'Usenet, c'est l'ensemble des newsgroups dédiés aux discussions de société. (définition SOC).
SOCKET: C'est un standard de fait qui spécifie les communications réseau. Développé à Berkeley, le standard rend possible l'échange entre un programme et un protocole. (définition SOCKET).
SOCKET: Interface permettant la communication entre un système unique et un réseau utilisant le protocole TCP/IP. (définition SOCKET).
SODIMM: Acronyme de Small Outline Dual Inline Memory Module. (définition SODIMM).
SOFT: C'est le raccourci fréquent pour software. (définition SOFT).
SOFTWARE: Par opposition à hardware, matériel, un software est un logiciel. (définition SOFTWARE).
SOJ: Small Outlined J-lead package. C'est le conditionnement des processeurs de mémoire. (définition SOJ).
SOLARIS: Désigne une variante d'Unix, conçue par Sun. (définition SOLARIS).
SOM: Désigne un System Object Model, soit une structure d'objet de chez IBM. (définition SOM).
SOMMAIRE: Liste des titres d?un document avec la numérotation associée. (définition SOMMAIRE).
SON: Désigne le groupe de dispositifs de traitement d'informations sonores. (définition SON).
SONY: C'est le très important groupe japonais d'électronique. (définition SONY).
SORIMM: Acronyme de Small outline Rambus inline memory module. Désigne un RIMM enfermé dans un conditionnement réduit. (définition SORIMM ).
SORT: C'est le nom de l'instruction par laquelle on peut classer des données. (définition SORT).
SORTIE: Qualifie les appareils recevant les résultats de traitements numériques. (définition SORTIE).
SOUND BLASTER: Marque de carte son. (définition SOUND BLASTER).
SOUNDBLASTER: C'est la classe d'adaptateur sonore produits par Creative Labs, devenus une norme de fait. (définition SOUNDBLASTER).
SOUNDCHIP: Désigne un processeur dédié au traitement du son. (définition SOUNDCHIP).
SOURCE ROUTING: Désigne un type de routage dans lequel l'usager doit déterminer lui-même le circuit vers le destinataire. (définition SOURCE ROUTING).
SOURIS: Désigne le périphérique par lequel on peut pointer un emplacement à l'écran. On distingue les souris mécaniques et les souris optiques. (définition SOURIS).
SOUSCRIRE: Souscrire à un newsgroup signifie s'y abonner. (définition SOUSCRIRE).
SOW: Acronyme de Statement of Work, soit cahier des charges, en français. (définition SOW).
SP @ ML: C'est le raccourci de Simple Profile at Main Level. C'est le standard le plus fréquent de MPEG-2. (définition SP @ ML).
SP: Acronyme de Single Player. Qualifie un jeu qui n'accepte qu'un joueur à la fois. (définition SP).
SPACE INVADERS: C'est le jeu mythique des années 80, dans lequel un petit vaisseau doit détruire des aliens. (définition SPACE INVADERS).
SPAG: Association européenne dont le but est de mettre en ?uvre les normes internationales. (définition SPAG).
SPAM: E-mails non sollicités à but publicitaire dans la plupart des cas, envoyés en masse par le biais d?Internet. (définition SPAM).
SPAMDEXING: Opération consistant à référencer un site Web par l?emploi de méthodes interdites, telle que l?emploi abusif de mot-clés. (définition SPAMDEXING).
SPAMMER: C'est l'équivalent anglais d'un spammeur. C'est aussi l'action d'émettre du spam. (définition SPAMMER).
SPAMMEUR: Désigne celui qui se livre au spam. (définition SPAMMEUR).
SPAMMING: Action de spammer, c?est-à-dire envoyer en masse des e-mails publicitaires non sollicités. (définition SPAMMING).
SPANNING-TREE: Désigne une représentation graphique sous la forme d'un arbre. (définition SPANNING-TREE).
SPARC: Acronyme de Scalar Processor ARChitecture. C'est la puce autour de laquelle était organisée les machines Sun. (définition SPARC).
SPDIF: Acronyme de Sony / Philips Digital Interface Format. C'est un standard d'échange d'informations audio. Il est à l'Å?uvre dans les DAT par exemple. (définition SPDIF).
SPEC 1170: Désigne les déterminations d'un groupe de 1170 éléments d'API, c'est-à-dire les éléments qui permettent d'identifier un standard Unix. (définition SPEC 1170).
SPI: Acronyme de Service Provider Interface. (définition SPI).
SPIDER: Logiciel utilisé par les moteurs de recherche pour indexer tous les mots-clés contenus sur les sites Web. (définition SPIDER).
SPITBOL: C'est une variante compilée de SNOBOL. SPITBOL signifie Speedy Implementation of SNOBOL. (définition SPITBOL).
SPYWARE: Mot constitué de Spy (espion) et Software (logiciel). Ce type de logiciel récupère des données confidentielles à l?insu de l?utilisateur pour les transmettre à des personnes tiers. (définition SPYWARE).
SQE: Acronyme de Signal Quality Error. (définition SQE).
SQL: Structured query language. Langage servant à effectuer des requêtes sur une base de données pour en extraire des informations. (définition SQL).
SR: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Surinam. (définition SR).
SRAM: Désigne une RAM statique, c'est-à-dire qui peut se passer de rafraà®chissement. (définition SRAM).
SRS: Sound Retrieval System. Traitement effectué sur un signal sonore pour l?améliorer, ou intensifier les basses. (définition SRS).
SRV: Désigne couramment un serveur. (définition SRV).
SSDI: Acronyme de Société de Service et de Distribution Informatique. (définition SSDI).
SSH: Désigne le Site Security Handbook, soit le document IETF expliquant les mesures de sécurité internet. (définition SSH).
SSH: Désigne un secure shell, c'est-à-dire un shell utilisé pour des communications sécurisées vers un ordinateur à distance. (définition SSH).
SSI: Server Side Include. Code inséré dans une page Web et interprété par le serveur avant d?envoyer le résultat au client. (définition SSI).
SSII: Désigne une Société de Services et d'Ingénierie Informatique. (définition SSII).
SSL: Acronyme de Secure Socket Layer. Désigne une socket sécurisée de Netscape. Le format a évolué et est maintenant accepté par l'ISOC. (définition SSL).
SSL: Secure Socket Layer. Protocole qui permet de chiffrer les données envoyées par un navigateur, développé par Netscape. (définition SSL).
ST: A la fin d'une URL, signale que le site est basé à Sao Tome et Principe. (définition ST).
ST: Raccourci de Sixteen Thirty Two, soit 16Â / 32. Qualifie le bus et les registres d'une puce dans une machine des années 80. (définition ST).
STA: Désigne un Spanning-Tree Algorithme. (définition STA).
STALLMAN, RICHARD: Il a conçu les Emacs et est à l'origine du GNU. (définition STALLMAN, RICHARD).
STANDARD: Signifie norme, en anglais. Désigne un format qu'on applique parce qu'une instance l'a reconnu, ou parce que la majorité des utilisateurs l'utilise. Un standard permet la compatibilité des systèmes et des dispositifs. (définition STANDARD).
STARLAN: Standard de réseau local défini dans la norme IEEE 802.3 ou Ethernet, fonctionnant avec une topologie étoile et des câbles en paire torsadée. (définition STARLAN).
STAROFFICE: C'est la famille d'applications bureautiques éditée par Sun. (définition STAROFFICE).
STATION: Désigne une machine fixe. (définition STATION).
STDIN: C'est le raccourci pour " entrée standard" qui désigne le clavier. (définition STDIN).
STFU: Signifie Shut The Fuck Up, soit " ta gueuleÂ !". (définition STFU).
STI: Acronyme de Service du Traitement de l'Information, ou Standard Tape Interface. (définition STI).
STIC: Acronyme des Sciences et Technologies de l'Information et de la communication. (définition STIC).
STM: Acronyme de Synchronous Transfer Module. (définition STM).
STOCKAGE: Désigne l'archivage d'informations, sur une longue durée. On stocke sur un disque dur ou un autre support, mais pas sur une RAM. (définition STOCKAGE).
STP: Shielded Twisted Pair. Câble en paire torsadée bénéficiant d?un blindage. (définition STP).
STREAMING: Transfert de données multimédia en continu sur Internet, et qui permet donc la lecture du média avant la fin du téléchargement. (définition STREAMING).
STREET FIGHTER: C'est un jeu de combat tellement mythique qu'il a été adapté sur grand écran. (définition STREET FIGHTER).
STRONGARM: Désigne une puce RISC qu'on peut associer à ARM. Elle a été conçue par DEC, puis reprise par Intel. (définition STRONGARM).
STROUSTRUP, BJARNE: C'est le développeur de C++. Il est aujourd'hui chef d'un Bell Labs. (définition STROUSTRUP, BJARNE).
STRUCTURE DE CONTROLE: Désigne les dispositifs ayant la forme de mots-clé, qui, dans un langage, spécifient des blocs et le mode d'exécution. (définition STRUCTURE DE CONTROLE).
STUFFIT: Désigne une classe d'applications de compactage basées sur l'algorithme LZW. Ils sont disponibles sous MacOS. (définition STUFFIT).
STUR: Règles techniques à respecter pour qu?un terminal puisse se connecter à un réseau. (définition STUR).
STUTEL: Norme développée par France Telecom pour le transfert de fichiers, adapté aux équipements de petite capacité. (définition STUTEL).
STYLET: Désigne un appareil de pointage optique. (définition STYLET).
SUCRE SYNTAXIQUE: Désigne les éléments qui rendent un code lisible par l'homme. (définition SUCRE SYNTAXIQUE).
SUN: Acronyme de Stanford University Network, à la base de la firme Sun. Ce groupe est aujourd'hui connu sous le nom de Sun Microsystems Computers Corp. (définition SUN).
SUNOS: C'est une variante d'Unix, conçue par Sun. (définition SUNOS).
SUPER FAMICOM: C'est l'appellation japonaise de la SNES. (définition SUPER FAMICOM).
SUPERDRIVE: Désigne un lecteur / graveur de CD, DVD ou CD-RW. (définition SUPERDRIVE).
SUPPORT: Désigne toute technologie portable destinée à enregistrer des données. (définition SUPPORT).
SURFER: Terme désigne le fait de naviguer sur Internet, sans but particulier. (définition SURFER).
SV: A la fin d'une URL, signale que le site est basé au Salvador. (définition SV).
SVCD: Accronyme de Super Video CD. C'est une évolution du VCD à l'origine destinée à concurrencer le DVD.Â (définition SVCD).
SXD: C'est l'extension d'un fichier du tableur de StarOffice ou d'OpenOffice. (définition SXD).
SXW: C'est l'extension d'un fichier qui contient un texte, sous StarOffice ou OpenOffice. (définition SXW).
SY: A la fin d'une URL, signale que le site est basé en Syrie. (définition SY).
SYMBIAN: Système d?exploitation destinés aux smartphones, qui sont des téléphones portables offrant des service d?assistant personnels. (définition SYMBIAN).
SYN FLOOD: C'est un type d'attaque par laquelle on noie un site via des demandes de SYN. (définition SYN FLOOD).
SYN: C'est le signal dont on se sert pour synchroniser un échange asynchrone. (définition SYN).
SYNCHRONE: Se dit d?une communication lorsque l?émetteur et le récepteur fonctionnent au rythme d?une horloge commune, réglée au début de la communication. (définition SYNCHRONE).
SYNCHRONISATION: Opération pendant laquelle des équipements d?un réseau synchronise leurs horloges. (définition SYNCHRONISATION).
SYNTAXE: Désigne l'ensemble des spécifications qui s'appliquent à un système formel. (définition SYNTAXE ).
SYS: C'est un raccourci de Système. SYS désigne aussi un exécutable sous DOS. (définition SYS).
SYSTEME 7: C'est un OS des machines Apple. (définition SYSTEME 7).
SYSTEME D?EXPLOITATION: Logiciel spécial permettant d?exploiter les ressources matérielles d?un équipement électronique (ordinateur, téléphone, terminal?), nécessaire pour l?utilisation de celui-ci. (définition SYSTEME D?EXPLOITATION).
SYSTEME DE FICHIERS: C'est l'architecture des fichiers, par laquelle leur traitement et leur utilisation est rendue possible. (définition SYSTEME DE FICHIERS ).
SYSTEME D'EXPLOITATION: Désigne l'ensemble des opérations basiques qui rendent possible le fonctionnement d'une machine. Linux ou MacOS en sont des exemples. (définition SYSTEME D'EXPLOITATION).
SYSTEME: Désigne tout dispositif matériel ou logiciel. Un système d'exploitation par exemple rend possible le fonctionnement d'une machineÂ : au contraire, un système matériel désigne la machine elle-même. (définition SYSTEME).
T&A;: Abréviation pour Trucs et Astuces. (définition T&A;).
T&T;: Abréviation pour Tunnels and Trolls. Il s'agit de jeux de role qui se passent dans les tunnels envahis de trolls. (définition T&T; ).
T/TCP: Acronyme pour Transaction Transmission Control Protocol. Il s'agit d'un protocole TCP permettant de gérer les transactions. (définition T/TCP).
T0: Il s'agit d'un standard de lignes de transfert relatives aux données numériques, offrant un débit de 128 kbps, d'après les directives européennes. (définition T0).
T1: Il s'agit d'un standard de lignes de transfert relatives aux données numériques, offrant un débit de 1,544 Mbit/s d'après les standards américains. (définition T1 ).
T2: Il s'agit d'un standard de lignes de transfert relatives aux données numériques, offrant un débit de 2 Mbit/s, d'après les directives européennes. (définition T2).
T3: Il s'agit d'un standard de lignes de transfert relatives aux données numériques, offrant un débit de 44,7 Mbit/s selon les standards américains. (définition T3 ).
TA: Abréviation pour Terminal Adaptator, c'est-à-dire un adaptateur terminal. (définition TA).
TAAH: Acronyme pour Traduction Automatique Assistée par l'Homme. Il s'agit d'un logiciel de traduction. (définition TAAH ).
TAB: Contraction pour tabulation. C'est la touche correspondant aux deux flèches en sens contraire à la gauche d'un clavier, (définition TAB).
TABLE DE ROUTAGE: Il s'agit d'un relevé énumérant des adresses à l'intérieur d'un réseau qui vont orienter les messages et paquets. (définition TABLE DE ROUTAGE ).
TABLE: Il s'agit d'une énumération d'enregistrements, qui correspondent à des champs. On appelle table de caractères, la table qui permet le codage de l'alphabet ainsi que des signes généralement employés. On appelle table de bits, la table dont le contenu est relatif aux drapeaux décrivant l'état des objets ayant le même type. On appelle table traçante, la table qui contient un procédé d'impression offrant une possibilité de tracer des images géométriques sur un support. On appelle table des partitions, la table stockant des données essentielles permettant de gérer les partitions du disque dur. (définition TABLE).
TABLEAU: Il s'agit d'une suite d'informations ayant un type semblable avec un nombre déterminé à l'avance qui forme une structure de données. L'accès à ces données peut se faire de deux manières: soit linéaire soit d'après plusieurs dimensions. (définition TABLEAU ).
TABLEAU DE BORD: Il s'agit d'un outil relatif aux interfaces graphiques dont le but est le réglage de divers éléments de l'ordinateur tels que la langue, le fuseau horaire et la date. (définition TABLEAU DE BORD ).
TABLET PC: Il s'agit d'une petite machine, conçue au début des années 70, par A. Kay, informaticien chez Xerox, dont la dimension ne dépasse pas le A4. Ses caractéristiques: absence de clavier, possibilité d'écran tactile sans quoi l'utilisation du stylet est nécessaire. (définition TABLET PC).
TABLETTE GRAPHIQUE: Il s'agit d'un périphérique d'entrée qu'il est possible d'utiliser avec un stylet. (définition TABLETTE GRAPHIQUE).
TABLEUR: Il s'agit d'un logiciel dont le but est de calculer de manière répétitive. Il s'agit également d'une programmation qualifiée d'intuitive. (définition TABLEUR).
TABLOID: Format de journal répandu en Angleterre, caractérisé par sa petite taille. (définition TABLOID).
TABULATION: Il s'agit de caractères qui vont remplacer des espaces. (définition TABULATION ).
TAC: Acronyme pour Terminal Access Controller. Acronyme pour Type Approval Code. Il s'agit du numéro de l'identifiant des équipements mobiles, qui débute par le chiffre correspondant au code de l'à?tat de production. (définition TAC ).
TâCHE DE FOND: Il s'agit du lancement ainsi que de l'exécution d'une tâche qui s'exécute sans qu'un utilisateur n'intervienne, offrant la possibilité que d'autres programmes fonctionnent en même temps. (définition TâCHE DE FOND ).
TâCHE LEGERE: Traduction française pour thread. (définition TâCHE LEGERE).
TâCHE: Il s'agit d'une suite cohérente d'opérations afin d'exécuter un programme. (définition TâCHE).
TACOT: Ordinateur assez ancien qui se révèle être inutile mais qui peut être bricolé afin d'être un peu plus performant. (définition TACOT ).
TACTILE: Adjectif qualifiant un écran possédant l'interface permettant la sélection de tâches par simple touche de cet écran avec les doigts. (définition TACTILE ).
TAG RAM: Il s'agit de la zone du cache appartenant au second niveau qui précise les informations de la mémoire principale qui se retrouvent dans ce même cache. (définition TAG RAM).
TAG: Version anglo-saxonne pour balise. (définition TAG).
TAGGED COMMAND QUEUEING: Il s'agit du 4e niveau relatif à l'adressage sur un disque SCSI. (définition TAGGED COMMAND QUEUEING).
TAI: Abréviation pour Traitement Automatique de l'Information. (définition TAI).
TAIGA: Acronyme pour Traitement Automatique de l'Information Géopolitique d'Actualité. Il s'agit d'un software utilisé par la direction générale des services de l'à?tat. (définition TAIGA ).
TAILLE DOUCE: Ensemble des techniques manuelles pour la gravure sur métal en creux encrés. (définition TAILLE DOUCE).
TAI-TAI: Adjectif qualifiant une machine d'origine taiwanaise bon marché mais peu performante. (définition TAI-TAI ).
TALK MODE: On parle également de chat. Il correspond au fait de rédiger de manière brève des messages sur le réseau en utilisant des abréviations anglo-saxonnes. (définition TALK MODE).
TALK: Correspond à une hiérarchie du Big 8, permettant de discuter. (définition TALK).
TAM: Abréviation pour Toile d'Araignée Mondiale, signifiant web. (définition TAM).
TAMAGOTCHI: Il s'agit d'un être virtuel, qui ressemble à un Å?uf. Chaque jour, l'utilisateur doit en prendre soin. (définition TAMAGOTCHI).
TAMBOUR: Il s'agit d'un rouleau utilisé pendant l'impression qu'il s'agisse d'une imprimante laser ou d'une photocopieuse. (définition TAMBOUR).
TAMPON: Désigne l'aire de stockage intermédiaire qui est associée aux entrées/sorties, dont le fonctionnement est semblable à celui de la file d'attente et dont la fonction est celle d'un amortisseur entre deux éléments d'un ordinateur ne fonctionnant pas à la même vitesse. (définition TAMPON).
TAO: Acronyme pour Traduction Assistée par Ordinateur. Sorte d'encyclopédie développant les différents sens qu'un mot peut prendre. Acronyme pour TCP Accelerated Open. (définition TAO ).
TAOCP: Il s'agit d'une compilation d'ouvrages, intitulée The art of computer programming, rédigés par Donald Knuth, relatifs à l'enseignement de la programmation. (définition TAOCP).
TAPE DRIVE: Traduction anglo-saxonne pour streamer. (définition TAPE DRIVE).
TAPER: Fait de frapper sur les touches du clavier. (définition TAPER ).
TAPI: Abréviation pour Telephony Application Programming Interface. Il s'agit d'une conception mise en place par Microsoft et Intel ayant pour but le rattachement de fonctionnalités de CTI sous Windows. (définition TAPI ).
TAPIS DE SOURIS: Son but est de permettre à la souris de rouler de manière plus facile. (définition TAPIS DE SOURIS ).
TAR: Sigle pour Tape Archive. Désigne le format d'archive sous Unix, qui n'a subi aucune compression. (définition TAR ).
TARBALL: Il s'agit de l'archive sous format tar dont les fichiers sont liés ensemble. (définition TARBALL).
TAS: Désigne la zone de mémoire, qu'utilise le système et les différents programmes. (définition TAS ).
TASI: Multiplexage temporel utilisé pour les lignes internationales à coût élevé (satellites, câble sous marins), utilisant les statistiques. (définition TASI).
TASK-SWITCHING: Version française pour commutation de tâches. (définition TASK-SWITCHING ).
TAUX DE COMPRESSION: Désigne le taux dépendant d'une part de la taille des donnés qui ne sont pas compressées et d'autre part celle des données qui l'ont été par la suite. (définition TAUX DE COMPRESSION ).
TAUX DE TRANSFERT: Permet de mesurer le débit de la mémoire. (définition TAUX DE TRANSFERT).
TAXE A L'OCTET: Il s'agit d'une proposition ayant pour but d'instaurer une taxe sur des paquets qui vont passer au sein des réseaux. Elle a été remplacée par un type de TVA appelé modex tax. (définition TAXE A L'OCTET ).
TAXI: Acronyme pour Transparent Asynchronous Transmitter/Receiver Interface. (définition TAXI).
TAXINOMIE DE FLYNN: Permet de classer les architectures informatiques. La réalisation de cette classification est faite à partir du nombre de flux d'instructions ainsi que des données. (définition TAXINOMIE DE FLYNN).
TAZ: Acronyme pour tar archive dont la compression est faite par zip. (définition TAZ).
TB: Abréviation pour Tera bits, soit mille milliards de bits (définition TB ).
TB: Abréviation anglaise pour Tera-Bytes (téra-octet), c'est-à-dire environ 1000 milliards d'octets. (définition TB).
TBIT: Abréviation pour Tera Bits. Il s'agit d'une unité employée pour le chiffrage de puces de mémoire. (définition TBIT).
TBIT/S: Abréviation pour Tera bits par seconde. (définition TBIT/S).
TBPS: Abréviation pour Tera bits par seconde, c'est-à-dire un débit de mille milliards de bits par seconde. (définition TBPS).
TBR: Abréviation pour Technical Basis for Regulation. Il s'agit d'instructions obligatoires données par l'ETSI pour l'utilisation des instruments liés à la communication sur le réseau public Français. (définition TBR).
TC: à la fin d'une URL, signale que le site est basé aux à®les Turques et Caiques. (définition TC ).
TCFS: Acronyme pour Transparent Cryptographic File System. Il s'agit d'un système de fichier crypté transparent. Il est accessible sur la majorité des systèmes d'exploitation d'Unix. Seul inconvénient: sa consommation de ressources. (définition TCFS).
TCL: Abréviation pour Tool Command Language. (définition TCL).
TCL: Acronyme pour Terminal Control Language. (définition TCL).
TCL/TK: Il s'agit du langage Tcl qui a été combiné avec l'interface graphique Tk. (définition TCL/TK).
TCO: Acronyme pour Total Cost of Ownership. Le Gartner Group va développer la théorie du coà»t total d'un système, comprenant le coà»t à l'achat et les coà»ts annexes tels que les frais relatifs à l'entretien, à la mise à jour. Le sigle désigne également l'union des syndicats suédois qui a formulé des recommandations relatives aux outils électroniques afin d'accéder à une certaine qualité environnementale. (définition TCO).
TCO'01: Il s'agit de la marque TCO, relative à l'union des syndicats suédois, visant la téléphonie mobile. (définition TCO'01).
TCO'03: Marque TCO appliquée cette fois-ci aux écrans. (définition TCO'03).
TCO'92: Règle stricte formulée par l'union des syndicats suédois dans le but d'accéder à une certaine qualité environnementale. (définition TCO'92).
TCO'95: Il s'agit du renforcement de la prescription TCO'92. (définition TCO'95 ).
TCO'99: Nouveau développement de la prescription TCO'95 qui apparaà®t de plus en plus stricte. encore plus sévère. (définition TCO'99).
TCP IP: Ensemble de deux protocoles qui permettent la gestion des flux d?informations sur Internet. (définition TCP IP).
TCP: Acronyme pour Transmission Control Protocol. Acronyme pour Tape Carrier Package. Il s'agit d'un procédé créé par Hitachi et NEC permettant l'empilement des puces de mémoire sur des barrettes. (définition TCP).
TCP/IP: Acronyme pour Transmission Control Protocol / Internet Protocol. Il s'agit des procédés de communication formant qui forment les bases d'Internet, définis dans la RFC 793. (définition TCP/IP).
TCPA: Acronyme pour Trusted Computing Platform Architecture. Il s'agit d'un procédé élaboré par Intel, exprimant le souhait, sous un pseudo motif de copyright, d'espionner les comportements des utilisateurs sur leur ordinateur. (définition TCPA).
TCSEC: Acronyme pour Trusted Computer Systems Evaluation Criteria. Il correspond à l'Orange Book. (définition TCSEC).
TCSH: Il s'agit de l'amélioration de la version du C-shell de chez Berkeley permettant une compatibilité totale avec les différents gadgets que possède le shell. (définition TCSH ).
TCU: Transmission Control Unit. Equipement permettant de gérer physiquement les lignes de transmission. (définition TCU).
TD: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Tchad. (définition TD).
TDD: Acronyme pour Telephone Device for the Deaf. (téléphone pour les malentendants). Acronyme pour Time Division Duplexing. (définition TDD ).
TDLC: Acronyme pour Twinaxial Data Link Control. (définition TDLC).
TDMA: Acronyme pour Time Division Multiple Access. Il s'agit de la traduction anglo-saxonne pour AMRT. (définition TDMA).
TDR: Acronyme pour Time Domain Reflectometry. Permet de rechercher les éventuelles anomalies des câbles et fibres optiques. (définition TDR).
TDSM: Acronyme pour Transparent Distributed Shared Memory. Consiste en le partage de la mémoire par quelques machines par le biais du réseau. (définition TDSM).
TDT: Sigle pour désigner le traitement de texte. (définition TDT).
TECHNOCOP: Il s'agit de policiers chargés de constater les délits relatifs aux technologies modernes. (définition TECHNOCOP ).
TECHNOCRETIN: Qualifie un individu, complètement inculte, qui utilise son ordinateur. (définition TECHNOCRETIN).
TECHNOCRETINISME: Troubles dont sont affectés les technocrétins. (définition TECHNOCRETINISME).
TECHNOJOUJOU: Il s'agit d'un jouet technologique. (définition TECHNOJOUJOU).
TECHNOPATHOLOGIE: Pathologies dont souffrent les personnes trop absorbées par l'informatique: troubles liés au sommeil, à la vueâ?¦ (définition TECHNOPATHOLOGIE).
TECHNOPHOBE: Adjectif qualifiant un individu qui souffre de technophobie. (définition TECHNOPHOBE ).
TECHNOPHOBIE: Se dit d'une personne qui a peur des nouvelles technologies en raison d'un manque de compréhension. (définition TECHNOPHOBIE ).
TECHNOPOLE: Zone dans laquelle on retrouve des compagnies dont la principale activité est relative aux technologies modernes, qui reçoivent des subventions afin de leur permettre un meilleur développement. (définition TECHNOPOLE ).
TECHNOTOY: Traduction anglaise pour jouet technologique. (définition TECHNOTOY ).
TECHOS: Synonyme pour technicien. (définition TECHOS).
TEDIS: Programme lancé par les pays de l?UE pour l?harmonisation des projets d?EDI (Echange de Données Informatisées). (définition TEDIS).
TEE: Il s'agit d'un ordre donné par l'utilisateur relativement aux shells d'Unix permettant aux sorties du processus d'être guidées vers deux autres entrées. (définition TEE).
TEF: Abréviation pour Transfert à?lectronique de Fonds. (définition TEF ).
TEI: Abréviation pour Total Economic Impact, c'est-à-dire impact économique total. Il s'agit d'un système permettant d'estimer le coà»t de l'informatique au sein d'une société. (définition TEI ).
TEL ECRAN-TEL ECRIT: Traduction française de l'acronyme WYSIWYG. (définition TEL ECRAN-TEL ECRIT).
TELCO: Diminutif de Telecom Companies, désignant les entreprises de téléphones. (définition TELCO).
TELEACTEUR: Personne dont le travail consiste à appeler des clients potentiels afin de leur vendre ses produits. (définition TELEACTEUR ).
TELECARTE: Il s'agit d'une carte de téléphone prépayée et munie d'une puce, permettant de passer des communications dans des cabines téléphoniques. (définition TELECARTE).
TELECENTRE: Il s'agit d'un centre de travail que se partagent des compagnies. Les personnes travaillant pour ces entreprises ont à leur disposition de multiples moyens de communication, tout en étant loin de leurs employeurs. (définition TELECENTRE ).
TELECHARGEMENT: Fait de télécharger. (définition TELECHARGEMENT ).
TELECHARGER: Fait de prendre (download) ou d'expédier (upload) un dossier vers un serveur. (définition TELECHARGER).
TELECOMPENSATION: Opération qui vise à mettre à jour les comptes bancaires après des virements ou prélèvement sur un compte. S?effectue grâce à un réseau dédié, le SIT en France, Système Interbancaire de Télécompensation. (définition TELECOMPENSATION).
TELECOMS: Contraction pour télécommunications, rassemblant d'une part l'ensemble des communications et d'autre part l'activité s'y rattachant. (définition TELECOMS).
TELECONFERENCE: Conférence effectuée à distance par l?intermédiaire d?un système vidéo. (définition TELECONFERENCE).
TELECOPIEUR: Il s'agit d'un outil qui permet d'effectuer des télécopies. (définition TELECOPIEUR).
TELECRAN: Désigne le premier jeu vidéo (micro créé en France) sorti dans les années 50. (définition TELECRAN ).
TELEDISTRIBUTION: Permet de procéder à une mise à jour de l'application ou de l'application elle-même vers des ordinateurs à partir du poste principal. (définition TELEDISTRIBUTION).
TELEINFORMATIQUE: Il s'agit d'exploiter de manière automatisée des systèmes informatiques qui vont utiliser les réseaux liés aux télécommunications. (définition TELEINFORMATIQUE).
TELEMATIQUE: Désigne la fourniture de prestations relatives à l'informatique grâce aux réseaux de télécommunications. (définition TELEMATIQUE).
TELEMATIQUE: Terme qui regroupe les applications associant informatique et télécommunications. (définition TELEMATIQUE).
TELEMETRIE: Permet de mesurer des unités à distance. (définition TELEMETRIE ).
TELENET: Réseau américain à commutation de paquet, développé par l?entreprise homonyme. (définition TELENET).
TELEPHONE: Appareil permettant de parler à une personne à distance. (définition TELEPHONE).
TELEPHONIE IP: Mode de téléphonie dans lequel la voie est numérisée puis acheminée par le protocole TCP/IP sous forme de paquet de données. Intéressant financièrement pour les communications longues distance. (définition TELEPHONIE IP).
TELEPHONIE: Procédés permettant de parler à distance. (définition TELEPHONIE).
TELEPHONIQUE: Adjectif se rapportant à l'univers de la téléphonie. (définition TELEPHONIQUE ).
TELEPORT: Il s'agit du lieu dans lequel des liaisons haut débit vont être utilisées collectivement par des sociétés. . (définition TELEPORT).
TELEPORT: Installation qui regroupe en un lieu géographique divers moyens de communication. (définition TELEPORT).
TELESCRIPTEUR: Instrument, doté d'un clavier et d'une imprimante, permettant d'expédier des messages par le biais de la ligne téléphonique. Ainsi, le fait de presser une touche par une personne qui émet va entraà®ner chez la personne qui reçoit l'impression. (définition TELESCRIPTEUR).
TELESURVEILLANCE: Procédé permettant en principe de s'estimer en sà»reté par le biais d'un controle à distance. (définition TELESURVEILLANCE).
TELETEX: Correspond au télex qui a été retouché offrant ainsi une transmission qui se rapproche du courrier postal. (définition TELETEX ).
TELETEX: Amélioration du Telex permettant d?atteindre une vitesse de modulation de 2400 bauds. (définition TELETEX).
TELETEXTE: Désigne un vidéotex diffusé par les réseaux de télévision. (définition TELETEXTE).
TELETRAITEMENT: Permet de traiter des informations à distance. (définition TELETRAITEMENT).
TELETRAVAIL: Fait de travailler à distance en ayant à sa disposition tous les outils modernes liés à la communication. (définition TELETRAVAIL ).
TELETRAVAILLER: Fait de pratiquer le télétravail. (définition TELETRAVAILLER).
TELETRAVAILLEUR: Individu qui télétravaille. (définition TELETRAVAILLEUR ).
TELETYPE: Caractérise l'affichage de caractères par le biais d'un terminal. (définition TELETYPE ).
TELEVERSEMENT: Traduction française pour upload: fait d'envoyer un fichier sur un serveur. (définition TELEVERSEMENT).
TELEVERSER: Fait d'effectuer un téléversement. (définition TELEVERSER).
TELEWORK: Traduction anglo-saxonne pour télétravail. (définition TELEWORK).
TELEX: Acronyme pour TELeprinter and EXchange. Il s'agissait à l'origine d'un réseau télégraphique, puis une fonction avant d'être délaissé parce qu'un peu démodé. (définition TELEX ).
TELEX: Réseau bas débit public à commutation permettant la transmission de données textuelles. (définition TELEX).
TELNET: Désigne un protocole et une application qui permet de travailler sur un ordinateur à distance. (définition TELNET).
TELNETTER: Fait de se servir de telnet afin de lancer une connexion vers un système à distance. (définition TELNETTER).
TEL-TEL: Contraction pour tel écran-tel écrit. (définition TEL-TEL).
TEMOIN DE CONNEXION: Traduction française pour cookie. (définition TEMOIN DE CONNEXION).
TEMOIN: Il s'agit d'une expression dont l'évolution doit être surveillée lorsque s'exécute un programme. (définition TEMOIN).
TEMP: Contraction pour temporary (temporaire). Adjectif désignant un fichier qui sera en principe supprimé dès qu'il ne sera plus nécessaire à l'utilisateur. Quelques systèmes le conservent. (définition TEMP).
TEMPEST: Acronyme qui peut revêtir différentes acceptations: Transient ElectroMagnetic PulsE Surveillance Technology, voire ou Transient Electro-Magnetic Pulse & Emissions Suppression Testing. Il s'agit dans tous les cas d'une méthode permettant de procéder à des écoutes relatives aux troubles d'ordre électromagnétiques liés aux outils électroniques. Il s'agit également du logiciel permettant de surveiller la technologie par l'administration américaine. (définition TEMPEST ).
TEMPLATE: Il s'agit d'une suite de caractères permettant le formatage soit d'une entrée soit d'une sortie. (définition TEMPLATE).
TEMPORAIRE: Adjectif se rapportant aux fichiers dont l'existence est courte contrairement à celle du système. (définition TEMPORAIRE ).
TEMPORISATION: Permet d'observer si un logiciel s'exécute de manière brève ou non, mais également la vitesse à laquelle va s'établir une connexion, en effectuant des ralentissements visant à synchroniser. (définition TEMPORISATION ).
TEMPORISER: Fait d'effectuer une temporisation. (définition TEMPORISER ).
TEMPS D'ACCES: S'il est traduit en nanosecondes, il désigne le délai correspondant à l'accès par le processeur à une donnée en mémoire. S'il est traduit en millisecondes, il correspond au délai permettant d'accéder à une donnée se trouvant sur le disque dur. (définition TEMPS D'ACCES).
TEMPS DE REPONSE: Temps écoulé entre l'instruction donnée par l'utilisateur et la réalisation de cet ordre. (définition TEMPS DE REPONSE).
TEMPS DE RETENTION: Désigne le temps de conservation d'une sauvegarde avant sa suppression. (définition TEMPS DE RETENTION ).
TEMPS PARTAGE: Procédé permettant le partage de temps relatif aux calculs d'un ordinateur par différents utilisateurs, travaillant à partir de terminal idiot. (définition TEMPS PARTAGE ).
TEMPS REEL: Désigne le système répondant aux demandes liées à son environnement physique selon des temps définis. Il s'agit également de la simulation du système par rapport au fonctionnement d'un système autre, avec la même rapidité que lui. Il peut être qualifié de mou lorsque le délai de réponse est proche de 0,5 secondes, ou dur en cas de temps de réponse plus court. (définition TEMPS REEL ).
TENEX: Il s'agit de l'O/S des DEC-10 dont les principales difficultés s'articulent autour d'un manque de sécurité. (définition TENEX).
TEOTWAWKI: Acronyme pour The End Of The World As We Know It (la fin du monde tel que nous le connaissons). Il s'agit d'une formule qui a tout d'abord été employée par les personnes convaincues que la fin du monde était imminente, puis reprise dans le langage informatique pour signifier que les personnes ne seraient pas assez bien organisées pour le bug de 2000. (définition TEOTWAWKI).
TEP: Acronyme pour Titre à?lectronique de Paiement. (définition TEP).
TERAFLOP CLUB: Constitue un club de hackers ayant comme passion l'image de synthèse et ayant comme particularité de consommer des téraflop par seconde. (définition TERAFLOP CLUB).
TERAFLOP: Correspond à environ 1000 milliards d'opérations en virgule flottante. (définition TERAFLOP).
TERAMACHINE: Désigne un ordinateur qui pourrait réaliser mille milliards d'opérations par seconde, qui posséderait une mémoire de 1000 milliards d'octets. (définition TERAMACHINE).
TERAOCTET: Correspond à 2 puissance 40 octets. (définition TERAOCTET).
TERAOCTET: Quantité d?information, correspond à 1000 milliards d?octet. (définition TERAOCTET).
TERMINAL IDIOT: Version anglaise pour dumb terminal. Il s'agit d'un ordinateur qui n'existe pas en l'absence de sa connexion à un réseau. (définition TERMINAL IDIOT ).
TERMINAL X: Il s'agit d'un terminal tournant sous X11. (définition TERMINAL X).
TERMINAL: Il s'agit d'une machine qui utilise une serveur et dont l'existence est nulle sans une liaison au réseau. (définition TERMINAL).
TERMINALISTE: Se dit d'un individu qui Å?uvre sur un terminal. (définition TERMINALISTE).
TERMINATEUR: Il s'agit d'une part de la ligne qui permet de dissocier le jour de la nuit sur une planète. D'autre part, il s'agit du bouchon de terminaison qui se trouve à la fin du fil et au milieu du réseau local. (définition TERMINATEUR ).
TEST: Stade pendant lequel un programme ou un logiciel va être testé. (définition TEST ).
TEST DE L'ASCENSEUR: Test qui consiste à persuader son patron que le projet qu'on expose vaut le coup pendant le temps que dure le voyage en ascenseur. (définition TEST DE L'ASCENSEUR ).
TEST DE TURING: Inventé par Alan Mathison Turing dans le but de savoir si la machine raisonne. C'est le cas, lorsque que la personne qui teste l'ordinateur se trompe en ne le distinguant pas de l'homme. (définition TEST DE TURING).
TEST DU TELEPHONE: Méthode employée par Kernighan permettant de tester un code par téléphone. Ainsi, sa rédaction est mauvaise lorsque les opérations, transmises par téléphone, permettant de répondre à une question ne sont pas comprises et ne peuvent donc pas être retranscrites par l'interlocuteur. (définition TEST DU TELEPHONE).
TESTER: Il s'agit d'évaluer les dysfonctionnements éventuels qu'on peut retrouver dans un programme, établir les raisons qui pourraient pousser les utilisateurs à acquérir le logiciel, et enfin énumérer les arguments menant à la gratuité de la licence d'un software pourtant utilisé chaque jour par l'utilisateur. (définition TESTER).
TESTEUR: Individu qui effectue des tests sur des systèmes et programmes. (définition TESTEUR).
TêTE: Diminutif pour désigner la tête de lecture ou la tête de lecture/écriture. Il s'agit d'un procédé électronique permettant l'interprétation en 0 et 1 des variations relatives au champ magnétique se trouvant à proximité du disque. (définition TêTE ).
TêTE D'IMPRESSION: Permet de transférer l'encre d'une imprimante sur le papier. (définition TêTE D'IMPRESSION ).
TETEX: T. Esser a adapté TeX afin qu'il puisse être utilisé avec le système d'exploitation d'Unix. (définition TETEX ).
TETIERE: Eléments de graphisme placés dans l?entête d?une page Web. (définition TETIERE).
TETRIS: Jeu créé en 85. Le but est de former des lignes à l'aide de pièces (carré, barre, Lâ?¦) qu'on peut faire tourner. à chaque ligne formée, on marque des points. (définition TETRIS).
TEX: Il s'agit d'un format de composition relatif au texte, appelé DVI et conçu par Knuth, dont l'utilisation sert pour des documents scientifiques. (définition TEX).
TEX-78: Nom donné à la publication de la première version de TeX. (définition TEX-78).
TEX-82: Il s'agit de la version de TeX qui est expliquée dans le TeXbook rédigé par D. Knuth. (définition TEX-82).
TEXEL: Il s'agit de la texture d'un pixel. (définition TEXEL).
TEXNICIEN: Personne qui utilise TeX. (définition TEXNICIEN).
TEXTODROME: Nom donné au software de traitement de texte sous Unix. (définition TEXTODROME).
TEXTURE: Il s'agit d'une surface représentée par le biais d'une image qui permet sa simulation lorsqu'elle est fixée sur l'objet tridimensionnel. (définition TEXTURE).
TF: à la fin d'une URL, signale que le site est basé dans les Territoires Australs et Antarctiques Français. (définition TF).
TF: Acronyme pour Thin Film. (définition TF).
TF-CSIRT: Acronyme pour Task Force - Computer Security Incident Response Teams. Désigne les équipes responsables de la sécurité et de la résolution des problèmes sur le net. (définition TF-CSIRT).
TFLOPS: Contraction pour téraflops. (définition TFLOPS).
TFR: Acronyme pour Transformée de Fourier Rapide. (définition TFR).
TFS: Acronyme pour Translucent File System. Acronyme pour Toy File System Acronyme pour Tiny File System. (définition TFS).
TFT: Acronyme pour Thin Film Transistor. (définition TFT).
TFTP: Acronyme pour Trivial File Transfer Protocol. (définition TFTP).
TG: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Togo. (définition TG).
TGA: Acronyme pour TrueVision TarGA file. Fichier comportant des images truecolor qui n'a pas été compressé. (définition TGA).
TGAO: Acronyme pour Technologie/Technique de Groupe Assistée par Ordinateur. (définition TGAO ).
TGZ: à la fin d'un nom du fichier, signifie qu'il s'agit d'une archive tar dont la compression a été faite avec gz. (définition TGZ).
TH: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Thailande. (définition TH).
THAO: Acronyme pour Traduction Humaine Assistée par Ordinateur. (définition THAO).
THEIERE: Objet qui est délicat à conceptualiser en image de synthèse. (définition THEIERE).
THEME: Il s'agit de tous les éléments qui vont définir l'apparence de l'O/S, d'un programme ou autre. (définition THEME).
THEN: Traduction anglaise pour alors. à?lément de la boucle alternative :if-then-else. (définition THEN).
THEORA: Désigne le codec vidéo OGG. (définition THEORA).
THERMOGRAVURE: Technique de typographie pour l?impression qui imite une gravure taille douce grâce à une encre spéciale et un séchage particulier. (définition THERMOGRAVURE).
THIN ETHERNET: Traduction pour ethernet fin. (définition THIN ETHERNET).
THINNET: Contraction pour ethernet fin. (définition THINNET).
THML: Acronyme pour Theological Makerup Language. Il s'agit d'un langage de marquage utilisé pour les documents relatifs à la théologie. (définition THML).
THOMPSON, KEN: Co-fondateur d'Unix en 1969. Il a créé le langage de programmation B. (définition THOMPSON, KEN).
THREAD: Traduction anglaise pour tâche légère. Il s'agit d'un processus léger qui va permettre à un programme court d'être exécuté. Il s'agit également de l'enchaà®nement de messages qui renvoient aux autres messages. (définition THREAD).
THREADING: Désigne l'action d'employer des threads. (définition THREADING).
THROBBER: Il s'agit de la petite image ressemblant à un drapeau (en haut à droite de l'écran en général) qui bouge lorsqu'elle effectue une recherche (accès à un site par exemple). Ce système, dénommé Navigator, a été produit par Netscape. (définition THROBBER).
THUMBNAIL: Format d'une image qui a été diminuée pour avoir la dimension de l'ongle du pouce (thumbnail). (définition THUMBNAIL ).
THUMBSCREW: Version française pour vis à main. (définition THUMBSCREW).
THUNDERBIRD: Il s'agit du nom de code donné à des processeurs Athlon d'AMD qui sont gravés en 0.18 Âµm. (définition THUNDERBIRD).
THUNKING: Procédé qui permet la conversion d'adresses 16 bits en 32 bits permettant ainsi l'exécution de leurs programmes sous Windows 95. (définition THUNKING).
TI: Contraction désignant le Titanium. (définition TI ).
TI: Sigle désignant la société Texas Instruments. Acronyme pour Technologies de l'Information. : (définition TI).
TIA: Acronyme pour Thanks In Advance (merci par avance). Sigle pour Telecommunications Industry Association. : (définition TIA).
TIBOOK: Abréviation désignant les Titanium iBook d'Apple. (définition TIBOOK).
TIC: Acronyme pour Technologies de l'Information et de la Communication. (définition TIC).
TICE: Acronyme pour Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Enseignement. il s'agit de mettre en avant les technologies modernes afin de les inclure dans l'enseignement. (définition TICE).
TICK: Permet de mesurer le temps. (définition TICK).
TIERCE: Epreuve machine réussie et qui servira de référence pour la suite du roulage. (définition TIERCE).
TIERS DE CONFIANCE: Qualifie la personne qui détient les clés de chiffrement d'une autre personne. Elle a un role d'arbitre lors de transactions monétaires. (définition TIERS DE CONFIANCE).
TIFF: Acronyme pour Tagged Image File Format. Il s'agit d'un format de fichier contenant une image dont la compression peut être possible mais pas obligatoire par le biais de l'algorithme LZW. (définition TIFF).
TIGA: Acronyme pour Texas Instruments Graphics Architecture. Il s'agit d'un standard concernant la carte vidéo, désormais démodée. (définition TIGA ).
TIGER TEAM: Désigne un groupement de crackers qui a pour mission d'évaluer la sécurité des sites en les forçant, en étant rémunéré. (définition TIGER TEAM).
TIGER: Il s'agit du nom de code donné à la version 10.4 de MacOS X chez Apple. (définition TIGER).
TIL: Abréviation pour Technical Information Library. Il s'agit de la base de connaissances d'Apple. (définition TIL).
TILLAMOOK: Il correspond à un genre de Pentium MMX qui a été gravé en 0.25 micron et élaboré pour des portables. (définition TILLAMOOK).
TIMBRAGE: Gravure par taille douce dans un acier, avec un effet de relief. (définition TIMBRAGE).
TIME ATTACK: Dans un jeu vidéo, désigne un contre la montre. (définition TIME ATTACK).
TIME BOMB: Il s'agit d'une bombe dont l'explosion aura lieu d'après la valeur(qui a été précisée) de l'horloge d'un ordinateur. Leur utilisation est fréquente pour faire exploser des versions de démo de softwares. (définition TIME BOMB).
TIME OUT: Il s'agit d'un incident caractérisé par le fait que la réponse du lecteur (disque ou cd-rom) n'a pas été effectuée dans un temps accordé. (définition TIME OUT).
TIME SLICE: Il s'agit de l'intervalle de temps correspondant à l'exécution d'une tâche dans un environnement dans lequel plusieurs programmes fonctionnent en même temps. (définition TIME SLICE).
TIME TO MARKET: Traduction anglo-saxonne pour temps de mise sur le marché. (définition TIME TO MARKET).
TIME ZONE: Traduction anglaise désignant le fuseau horaire. (définition TIME ZONE).
TIMER: Mécanisme permettant de fractionner le temps en tick (tranche en français), fonctionnant au millième de seconde. (définition TIMER).
TIME-SHARING: Traduction anglo-saxonne pour temps partagé. : (définition TIME-SHARING ).
TIMTOWTDI: Acronyme pour There Is More Than One Way To Do It. (définition TIMTOWTDI).
TINY: Désigne les virus créés afin d'être réduits au maximum. leurs caractéristiques: longueur variant entre 100 et 200 octets. (définition TINY).
TINYSCHEME: Il s'agit de l'installation du langage Scheme entraà®nant une certaine simplicité et légèreté. (définition TINYSCHEME).
TIPS: Désigne les " tuyaux" permettant d'évoluer plus facilement dans un jeu vidéo. acronyme pour Téra Instructions Par Seconde. (définition TIPS).
TIRAGE A PART: Impression d?une partie d?un document après le tirage complet. (définition TIRAGE A PART).
TIRAGE PAPIER: Bromure photographique. (définition TIRAGE PAPIER).
TIRAGE: Opération d?impression en multiples exemplaires. (définition TIRAGE).
TIREUSE: Machine permettant de copier un négatif pour l?obtention d?un positif. (définition TIREUSE).
TIT: Abréviation pour Technologies de l'Information et des Télécommunications. (définition TIT).
TITANE: Nom abrégé donné aux Titaniums d'Apple. (définition TITANE).
TITANIUM: Nom donné aux portables conçus par Apple. Leurs particularités: écran de 17 pouces, clavier assez haut, éraflures certaines en raison de la peinture, faible autonomie concernant la batterie. (définition TITANIUM).
TJ: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Tadjikistan. (définition TJ).
TK: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à Tokelau. (définition TK).
TK: Abréviation pour ToolKit. (définition TK).
TKIP: Acronyme pour Temporal Key Integrity Protocol. (définition TKIP).
TLA: Abréviation pour Three Letters Acronym, c'est-à-dire un acronyme de trois lettres. Il peut également s'agir d'une abréviation pour Top Level Aggregation. (définition TLA).
TLD: Acronyme pour Top Level Domain. c'est-à-dire domaine de premier niveau. (définition TLD).
TLDP: Acronyme pour The Linux Documentation Project. (définition TLDP).
TLI: Acronyme pour Transport Library Interface. Il s'agit de l'interface de transport relatif au System V. (définition TLI).
TLP: Acronyme pour Thread-Level Parallelism, c'est-à-dire un parallélisme dont l'implantation se fait au niveau de threads. (définition TLP).
TLS: Acronyme pour Transport Layer Security. (définition TLS).
TLSP: Acronyme pour Transport Layer Security Protocol. Il s'agit du protocole de sécurisation concernant la couche de transport. (définition TLSP).
TM: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Turkménistan. (définition TM).
TMA: Service donné par le développeur d?une application pour son installation et l?évolution de celui-ci. (définition TMA).
TMM: Acronyme pour Temps de Mise sur le Marché. Il correspond à l'intervalle de temps passé entre l'instant oà¹ le projet de production ou de la prestation de service est né et celui à partir duquel la possibilité d'acquisition par des clients sera effective. (définition TMM).
TMN: Acronyme pour Telecommunication Management Network. (définition TMN ).
TMP: Dernière partie du nom du fichier qui ici correspond à un fichier temporaire. (définition TMP ).
TMP: Désigne le répertoire dans lequel se retrouve tous les fichiers temporaires (définition TMP ).
TMPC: Il s'agit de l'unité permettant de mesurer la vitesse des bases de données. (définition TMPC).
TMS: Acronyme pour Time Multiplexed Switching. (définition TMS).
TMTOWTDI: Acronyme pour There's More Than One Way To Do It (il y a plus d'une manière de le faire). Maxime des utilisateurs du langage Perl, qui autorise le concepteur d'effectuer ce qu'il désire. (définition TMTOWTDI ).
TMU: Abréviation pour Texture Management Unit. (définition TMU).
TN: à la fin d'une URL, signifie que le site est basé en Tunisie. (définition TN).
TN: Abréviation pour Twisted Nematics. (définition TN).
TNC: Abréviation pour Terminal Node Controller. (définition TNC).
TNG: Acronyme pour The New Generation. (définition TNG).
TNR: Acronyme pour Terminal Numérique de réseau. (définition TNR ).
TNR: Boîtier qui permet de relier une ligne interne d?un abonné avec le réseau de France Telecom RNIS. (définition TNR).
TNT: Acronyme pour Télévision Numérique Terrestre (définition TNT ).
TNX: Abréviation pour Thanks (merci). (définition TNX).
TO: à la fin d'une URL, signale que le site est basé aux à®les Tonga. (définition TO).
TO: Signifie Téra-octet, correspondant à mille milliards d'octets. (définition TO).
TO7: Machine créée par Thomson, dont l'inconvénient majeur provenait du clavier. Célèbre en France pour avoir été sélectionné pour le PIT. (définition TO7).
TOAST: Fonction de gravage de CD sous Mac. (définition TOAST).
TOF: Acronyme pour Top Of File (début d'un fichier). (définition TOF).
TOGGLE: Version anglaise pour interrupteur. Vient de l'expression toggle switch qui corresponde à un bouton à levier ou interrupteur à bascule. (définition TOGGLE).
TOILE: Synonyme pour web. (définition TOILE).
TOKEN PASSING: Expression anglaise pour passage de jetons. (définition TOKEN PASSING).
TOKEN RING: Topologie particulière de réseau dans laquelle les n?uds sont reliés entre eux en formant un anneau. Un jeton, appelé Token, circule sur l?anneau et doit être « saisi » si une station souhaite émettre. (définition TOKEN RING).
TOKEN: Trame particulière qui doit être « saisie » par un équipement s?il souhaite émettre sur le réseau, pour les topologies Token Ring et Token Bus. (définition TOKEN).
TOLERANCE AUX PANNES: Caractérise la capacité d'une machine, qui continue à tourner malgré ses possibles faiblesses. (définition TOLERANCE AUX PANNES).
TOLERANT AUX PANNES: Désigne une machine qui permet une tolérance aux pannes. (définition TOLERANT AUX PANNES).
TOMB RAIDER: Jeu vidéo d'aventure/action dans lequel on voit évoluer Lara Croft. (définition TOMB RAIDER).
TOMBER: Verbe signifiant que le serveur arrête d'accomplir les tâches qui lui sont confiées. (définition TOMBER).
TONER: Version anglaise pour poudre d'encre. il s'agit de l'encre réduite en poudre qui permet d'imprimer ou de photocopier un document. (définition TONER).
TOOL: Traduction anglaise pour désigner un outil. (définition TOOL).
TOOLBAR: Traduction anglaise pour barre d'outils. (définition TOOLBAR).
TOOLBOX: Dans les Macs, il s'agit des outils de gestion relative à leur interface graphique. (définition TOOLBOX).
TOOLTIP: Traduction anglaise pour bulle d'aide. (définition TOOLTIP).
TOP LEVEL DOMAIN: Traduction anglaise pour domaine de premier niveau qui se retrouve dans l'adresse du site Internet. (définition TOP LEVEL DOMAIN).
TOPAZ: Nom secret donné à la version 6 du langage Perl. (définition TOPAZ).
TOPIC: Software développé par la CIA, capable d'effectuer une veille technologique grâce à une recherche de mots-clés. (définition TOPIC).
TOPOLOGIE: Décrit le câblage d'un réseau. (définition TOPOLOGIE).
TOPS: Acronyme pour The OPerating Système for PDP. Acronyme pour Transparent Operating System. (définition TOPS).
TOPVAL: Système de diffusion d?informations boursières par voie hertzienne ou satellitaire. (définition TOPVAL).
TOR: Acronyme pour Tout Ou Rien, relatif à l'univers du binaire. (définition TOR).
TORE DE FERRITE: Il s'agit du nom d'un vieux genre de mémoire qui est cependant encore employé dans certaines situations. (définition TORE DE FERRITE).
TORRENT: Caractérise un fichier dont le contenu décrit une ressource dont lé téléchargement est possible en appliquant le P2P Bit torrent. (définition TORRENT).
TORTUE: Désigne une triangle qu'on peut déplacer en donnant des ordres permettant de dessiner. (définition TORTUE).
TORVALDS, LINUS: Développeur de Linux, commercialisé en 1991. (définition TORVALDS, LINUS).
TOS: Acronyme pour The Operating System. O/S des Atari qui sont sortis en 85. Acronyme pour Terms Of Service (les termes d'un service). Acronyme pour Tape Operating System. Désigne l'O/S des systems 360 d'IBM. (définition TOS).
TOSHOP: Contraction pour Photoshop. (définition TOSHOP).
TOSLINK: Standard pour le transport de flux sonores provenant d?un lecteur DVD et utilisant la fibre optique. (définition TOSLINK).
TOTO: Désigne un terme général pour remplacer un peu ce qu'on veut dans un exemple. (définition TOTO).
TOUBONNAIS: Jargon issu de nombreuses lois visant à remplacer des termes étrangers en termes français. Cependant, l'adaptation de certaines expressions ne permet pas une bonne compréhension. (définition TOUBONNAIS ).
TOUCH TONE: Appellation commerciale désignant le DTMF. (définition TOUCH TONE).
TOUCH: Permet d'effectuer la mise à jour de la date de valeur du fichier que ce soit la date oà¹ il a été créé ou modifié. (définition TOUCH).
TOUCHE: Bouton composant le clavier d'une ordinateur. L'appui sur les touches entraà®ne diverses actions sur l'ordinateur. (définition TOUCHE ).
TOUCHE CHAUDE: Traduction française pour hot key qui désigne un raccourci clavier. (définition TOUCHE CHAUDE).
TOUCHE DE COMMUTATION: Version française pour Meta-Key. Il s'agit de boutons sur le clavier qui permettent d'accéder à un caractère ou à une fonction autre que celui ou celle qui est apposé sur le bouton. (définition TOUCHE DE COMMUTATION).
TOUCHE DE DIRECTION: Caractérise les boutons (flèches directionnelles) dont l'appui provoque le déplacement du curseur. (définition TOUCHE DE DIRECTION).
TOUCHE DE FONCTION: Il s'agit d'un bouton dont l'appui provoque la réalisation d'une fonction. C'est le cas des touches Fâ?¦ (définition TOUCHE DE FONCTION).
TOUCHE MORTE: Caractérise le bouton qui n'entraà®ne en apparence aucune action. Cependant, grâce à ce type de touche il est possible de mettre sur les voyelles des accents " ê" ou " e" par exemple. (définition TOUCHE MORTE).
TOUCHE REMANENTE: Il s'agit d'un bouton de commutation qui permet à l'action qu'il enclenche de perdurer alors même qu'on n'appuie plus sur la touche. (définition TOUCHE REMANENTE).
TOUR: Il s'agit d'un type de boà®tier d'une machine destiné en principe à un petit serveur. (définition TOUR).
TOURNER: Verbe qualifiant l'exécution du programme ou son fonctionnement. (définition TOURNER).
TP: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Timor Oriental. (définition TP).
TP: Acronyme pour Transaction/Transactional Processing. Acronyme pour TeleProcessing, on parle en français de télétraitement. Acronyme pour Twisted Pair, paire torsadée en français. (définition TP).
TPC: Acronyme pour tierce partie de confiance. (définition TPC ).
TPC: Acronyme pour Transaction Processing Council. Acronyme pour Tierce Partie de Confiance. Acronyme pour The Perl Conference. (définition TPC).
TPDDI: Acronyme pour Twisted Pair Data Distribution Interface. Il s'agit du réseau local appelé FDDI qui va se servir non pas de fibres optiques mais de paires torsadées afin d'assurer l'acheminement d'une information. (définition TPDDI).
TPDU: Acronyme pour Transport Protocol Data Unit. (définition TPDU ).
TPE: Acronyme pour Terminal de Paiement à?lectronique. (définition TPE ).
TPI: Acronyme pour Track per Inch. Correspond au nombre de pistes par pouce qui équivaut en général à 135. (définition TPI ).
TPM: Acronyme pour Transaction Par Minute. Acronyme pour Technical Protection Measures. Dispositions visant à préserver les profits des compagnies en gênant les utilisateurs lorsqu'ils se servent de leur ordinateur. Elles peuvent se rattacher à la gestion numérique des droits d'auteurs. (définition TPM ).
TPMS: Acronyme pour Transaction Processing Monitor System. Il s'agit d'un système mettant en place un moniteur transactionnel. (définition TPMS).
TPS: Acronyme pour Transaction Par Seconde. Permet de calculer la rapidité du système relatif aux transactions. (définition TPS ).
TPV: Abréviation pour terminal Point de Vente. (définition TPV).
TQM: Abréviation pour Total Quality Management. Il s'agit d'un procédé de gestion intéressant la qualité totale d'un produit. (définition TQM).
TR: à la fin d'une URL, signifie que le site est basé en Turquie. Contraction pour tranpose. Instruction donnée à l'utilisateur sous Unix afin de modifier des caractères. (définition TR).
TR: Acronyme pour temps réel. Acronyme pour Terminal Ready, signalant la connexion du modem en attente d'informations reçues. Acronyme pour Token Ring. (définition TR).
TRAçABILITE: Désigne un procédé permettant l'observation de la trace d'un programme qui s'exécute. (définition TRAçABILITE).
TRACE: Il s'agit d'une suite d'états relatifs à l'environnement du programme qui est train de s'exécuter. Cependant, seule une infime part de la trace sera étudiée en raison de sa complexité. (définition TRACE).
TRACER: Désigne le fait de procéder à l'exécution du programme petit à petit tout en procédant à la récupération de l'environnement. (définition TRACER).
TRACEROUTE: Il s'agit d'un utilitaire qui va indiquer quel chemin a pris les paquets IP sur le web, d'un hote à l'autre. (définition TRACEROUTE).
TRACERT: Il s'agit d'un logiciel, développé sous Windows, capable d'effectuer un traceroute. (définition TRACERT).
TRACEUR: Il s'agit d'un périphérique de sortie qui, grâce à des stylos fixés sur la machine, va lancer une impression sur papier format A1 maximum. (définition TRACEUR).
TRACK: Traduction anglo-saxonne pour piste (expression relative à un disque). (définition TRACK).
TRACKBALL: Les trackpads lui ont succédé. Il s'agissait de retourner la souris afin de déplacer le curseur en appuyant sur la boule lorsqu'il n'y a pas de surface plane. (définition TRACKBALL).
TRACKER: Abréviation pour soundtracker. Il s'agit d'une méthode qui, combinée avec un visiocasque, va permettre la synchronisation d'images qui s'affichent à l'intérieur du casque avec les déplacements de la tête. Désigne également un serveur qui va centraliser les pointeurs vers des données qui sont éparpillées. (définition TRACKER).
TRACKERING: Fait de composer de la musique à l'aide d'un tracker. (définition TRACKERING).
TRACKING: Procédé permettant de relever et de scruter les mouvements des personnes. Utilisé par les pros du marketing mais également par d'autres personnes moins scrupuleuse indélicate. (définition TRACKING).
TRACKPAD: Mécanisme intégré dans les portables qui s'est substitué à la souris. (définition TRACKPAD).
TRACKPOINT: Il s'agit du bouton rouge qui se trouve sur le clavier du portable en général au milieu. Il a été inséré dans les Thinkpad de la compagnie IBM en 1992. (définition TRACKPOINT).
TRADANET: Réseau anglosaxon réalisant de l?EDI (Echange de Données Informatisées) dans le domaine commercial. (définition TRADANET).
TRAFFIC SHAPING: Permet de controler l'utilisation de la bande passante (définition TRAFFIC SHAPING).
TRAINER: Entraà®nement en français. Il s'agit d'un logiciel qui offre diverses possibilités dans le jeu telles que des vies infinies par exemple. (définition TRAINER).
TRAITEMENT DE TEXTE: Software d'éditeur de texte. (définition TRAITEMENT DE TEXTE).
TRAITEMENT: Il s'agit de la réalisation d'une opération faite sur les données. (définition TRAITEMENT).
TRAMAGE: Méthode procédant à la simulation de diverses couleurs utilisées grâce à la superposition de trames à partir des couleurs primaires. (définition TRAMAGE ).
TRAME DIRECTE: Mode de photographique qui utilise la sélection des couleurs en films tramés directement. (définition TRAME DIRECTE).
TRAME: Unité d?information transportée sur un réseau, constituée d?une série de bits de taille variable. (définition TRAME).
TRANSACTIONNEL: Qualifie le système dont le fonctionnement se fait par le biais de transactions, qui vont être controlées avec un moniteur. (définition TRANSACTIONNEL).
TRANSCEIVER: Traduction anglo-saxonne pour transcepteur. (définition TRANSCEIVER ).
TRANSCEIVER: Matériel permettant la diffusion d?un signal d?entrée vers plusieurs sorties. (définition TRANSCEIVER).
TRANSCEPTEUR: Correspond à l'interface qui va raccorder les câbles AUI/FO et AUI/BNC. (définition TRANSCEPTEUR).
TRANSCLUSION: Projet lancé par T. Nelson qui permettrait à un document d'être inséré dans un document autre par un lien hypertexte un document. (définition TRANSCLUSION).
TRANSCODAGE: Fait de changer de système de cryptage, de conversion de données. (définition TRANSCODAGE).
TRANSCODER: Fait d'effectuer un transcodage. Traduction anglo-saxonne pour transcodeur. (définition TRANSCODER).
TRANSCODEUR: Il s'agit d'un outil ou d'un programme qui réalise le transcodage. (définition TRANSCODEUR).
TRANSCOM: Service de réseau numérique à commutation fourni par France Telecom qui permet l?établissement de liaison point à point en duplex, avec un débit de 64 Kbps. (définition TRANSCOM).
TRANSDUCTEUR: Logiciel permettant de traduire un document. Procédure qui permet de changer le type d'énergie. (définition TRANSDUCTEUR).
TRANSDUCTION: Désigne la traduction d'un texte. Ainsi, on peut traduire un texte codé en source pour qu'il soit codé en objet. (définition TRANSDUCTION).
TRANSDYN: Service de réseau numérique qui utilise une commutation dynamique basé sur le principe de la réservation de ressources. (définition TRANSDYN).
TRANSFERER: Effectuer un transfert. Lorsqu'on transfère des informations par le biais d'un ordinateur, elles sont supprimées contrairement à un transfert par le biais du réseau. (définition TRANSFERER).
TRANSFERT DE FICHIERS: Fait de transférer des fichiers par le biais du réseau à partir d'un ordinateur sur un autre. Les fichiers ne seront pas supprimés. (définition TRANSFERT DE FICHIERS ).
TRANSFERT: Fait pour des informations se trouvant dans une mémoire de les déplacer dans une autre. (définition TRANSFERT).
TRANSFIX: Service de réseau numérique fourni par France Telecom et établi de façon permanente pour un abonné. (définition TRANSFIX).
TRANSISTOR: Contraction pour TRANSconductance reSISTOR. (définition TRANSISTOR).
TRANSLATEUR: Correspond à la barre de défilement qui permet un déplacement horizontal. Désigne soit le programme soit une partie qui a pour mission le relogement du code en mémoire. (définition TRANSLATEUR ).
TRANSLATING BIOS: BIOS qui permet l'accès à des disques durs d'au moins 500 Mo, à partir des vieux ordinateurs. (définition TRANSLATING BIOS).
TRANSLATION D'ADRESSE: Procédé permettant de reloger du code en mémoire. (définition TRANSLATION D'ADRESSE).
TRANSMILLENARITE: Désigne le système capable de s'adapter au changement de millénaire. (définition TRANSMILLENARITE).
TRANSMISSIF: Qualifie des cristaux liquides dont l'opacité montre qu'ils sont au repos et la transparence quand une tension électrique va les soumettre. (définition TRANSMISSIF).
TRANSMISSION: Terme caractérisant le fait de transporter des données. (définition TRANSMISSION).
TRANSPAC: Réseau appartenant à France Telecom et utilisé pour transférer des informations entre des entreprises. (définition TRANSPAC).
TRANSPARENCE: Ensemble de règles qui permettent de définir clairement le traitement effectué aux informations personnelles. (définition TRANSPARENCE).
TRANSPOTEL: Service d?EDI international spécialisé dans le domaine des transports. (définition TRANSPOTEL).
TRANSREL: Service d?interconnexion de réseaux Ethernet ou Token Ring fourni par France Telecom. (définition TRANSREL).
TRANSVEIL: Service fourni par France Telecom pour transmettre des messages par l?intermédiaire du réseau Transpac. (définition TRANSVEIL).
TRAPPABLE: Désigne une erreur qu'il est possible de réparer dans la mesure oà¹ le programme est bloqué mais il est possible d'assurer sa terminaison. (définition TRAPPABLE).
TREC: Abréviation pour Text REtrieval Conference. Désigne les colloques dans lesquels les techniques relatives à la recherche de documents sont comparées et mesurées. (définition TREC).
TREE: Ordre donné par l'utilisateur afin d'afficher l'arborescence soit du disque soit de répertoires se cachant dans un autre répertoire. (définition TREE).
TREFLE: Nom donné à la touche pomme d'un clavier d'un Mac qui s'apparente à un trèfle. (définition TREFLE).
TREILLIS: Traduction française pour mesh. (définition TREILLIS).
TRI BULLES: Désigne un procédé relativement inefficace par lequel les paires de valeurs adjacentes vont être triées. Elles font l'objet de comparaisons et d'échanges dans les cas oà¹ elles ne sont correctement rangées. (définition TRI BULLES).
TRIADE: Désigne la réunion de 3 pixels (vert, rouge, bleu) sur l'écran. (définition TRIADE).
TRIANGLE DE COULEURS: Synonyme pour roue de couleurs. (définition TRIANGLE DE COULEURS).
TRICHROMIE: Technique qui permet d?obtenir n?importe quelle couleur à partir de 3 composantes de base. (définition TRICHROMIE).
TRIDIMENSIONNEL: Qualifie la 3e dimension et est relatif à la visualisation d'un élément graphique dans l'espace. (définition TRIDIMENSIONNEL).
TRIGRAPHE: Désigne trois caractères qui sont regroupés ayant pour but de remplacer un autre caractère qui ne se trouve pas sur le clavier. Ce remplacement sera effectué préalablement à la compilation. (définition TRIGRAPHE).
TRILLIAN: Nom donné au projet qui vise à installer Linux sur l'Itanium. (définition TRILLIAN ).
TRIMEGAPIXEL: Qualifie le capteur des appareils photos numériques qui permet à chaque photo prise de capter 3 millions de pixels. (définition TRIMEGAPIXEL).
TRINITRON: Il s'agit d'un procédé conçu par Sony qui rend le masque inutile dans un tube cathodique, entraà®nant ainsi une amélioration du contraste et de la luminosité. (définition TRINITRON).
TRIPLE-CLIC: Fait d'effectuer trois clics de manière très rapide. (définition TRIPLE-CLIC).
TRIPROCESSEUR: Caractéristique d'une machine qui possède trois processeurs. (définition TRIPROCESSEUR).
TRITON: Nom donné aux circuits intégrés d'Intel, remplacés depuis. (définition TRITON).
TRK: Abréviation pour track (piste). (définition TRK).
TROFF: Contraction pour typesetter new roff. (définition TROFF).
TROIS TIERS: Désigne ce qui constitue un trio. (définition TROIS TIERS).
TROJAN: Contraction anglo-saxonne pour désigner un cheval de Troie. (définition TROJAN).
TROLL: Sorte de petit monstre capable de répandre le chaos et de provoquer des troubles. Son interprétation a été étendue pour qualifier une discussion qui peut agacer. (définition TROLL).
TROLLEUR: Se dit d'un individu qui use du troll. (définition TROLLEUR).
TROLLODROME: Désigne en général les forums oà¹ il y a peu de modérateurs et oà¹ les individus peuvent pratiquer le troll. (définition TROLLODROME).
TROLLOMETRE: Outil permettant de mesurer la violence du troll. (définition TROLLOMETRE).
TRON: Ordre donné par l'utilisateur pour que l'ordinateur effectue une traçabilité. Désigne une série de puces venant du Japon permettant de faire fonctionner les machines appartenant à la 5e génération. (définition TRON).
TRONC: Désigne les idées de développements sur lesquelles vont venir se rajouter des fonctionnalités. (définition TRONC).
TROU NOIR: Caractérise le lieu dans lequel un mail s'est égaré et ne parvient donc pas au destinataire sans que l'expéditeur ne soit prévenu. Il s'agit également du nom équivalent à la corbeille sous NextStep. (définition TROU NOIR).
TROUBLESHOOTING: Solutions qui se retrouvent dans les guides d'utilisations pour éviter ou corriger certains petits problèmes. (définition TROUBLESHOOTING).
TROYEN: Traduction française pour trojan. (définition TROYEN).
TRS-80: Abréviation pour Tandy Radio Shack 80. Il s'agit d'un des premiers micros conçu en 77. Ses attributs: construit autour du Z80, mode caractères, mode graphique de 128x48. (définition TRS-80).
TRU64: Désigne la version Unix de Compaq fonctionnant sur la plate-forme Alpha. (définition TRU64).
TRUE COLOR: Désigne un procédé de restitution affichant des couleurs que l'Å?il humain ne peut différencier des vraies couleurs. (définition TRUE COLOR ).
TRUE TYPE: Désigne des polices de caractères définis par le biais de vecteurs mathématiques, dont Windows va se servir. (définition TRUE TYPE).
TRUE: Forme avec faux les deux états issus de la logique booléenne. (définition TRUE).
TRUE: Traduction anglaise pour vrai. Il s'agit d'une expression relative à la logique qui est très employée en raison de l'utilisation de l'anglais par les langages de programmation. (définition TRUE).
TRUNKING: Traduction anglaise pour agrégation de liens. (définition TRUNKING).
TRUONG, ANDRE: Inventeur du micro, appelé Micral, en 1973 avec Gernelle. (définition TRUONG, ANDRE).
TRUSTE: Organisme délivrant à des sites Web des certificats de sécurisation des données confidentielles. (définition TRUSTE).
TRUSTED HOST: Traduction désignant un hote certifié, dont l'honnêteté ne peut être mise en cause. (définition TRUSTED HOST).
TS: Acronyme pour Technical Spécification (spécification technique). Acronyme pour Technical Support (assistance technique). (définition TS).
TSAPI: Acronyme pour Telephony Services Application Programming Interface. Norme dont le développement a été réalisé par Novell et AT&T;, et ayant pour but de le rattachement de fonctionnalités de CTI sous Netware. (définition TSAPI).
TSC: Abréviation pour Time Stamp Counter. (définition TSC).
TSL: Acronyme pour Teinte, Saturation et Luminosité. Il s'agit d'un procédé permettant de coder de manière colorimétrique la vidéo. Ainsi, la saturation correspond à l'ajout ou soustraction du noir, la luminosité au blanc et la teinte correspond à une couleur. (définition TSL).
TSOP: Acronyme pour Thin Small Outline Package. (définition TSOP).
TSP: Acronyme pour Technical Service Provider, c'est-à-dire fournisseur de services techniques par le biais d'Internet. Acronyme pour Traveling Salesman Problem. (définition TSP).
TSR: Acronyme pour Terminate and Stay Resident. Acronyme pour Telephone-based Speech Recognition. (définition TSR).
TSS: Acronyme pour Task State Segment. (définition TSS ).
TT: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à Trinidad et Tobago. (définition TT).
TTA: Acronyme pour Technologie/Transmission Temporelle Asynchrone. Il s'agit de l'ATM française. Elle a été conçue par Coudreuse dans les années 80. (définition TTA).
TTF: Acronyme pour True Type Font, c'est-à-dire un fichier de police true type. (définition TTF).
TTL: Acronyme pour Transistor Transistor Logic. Acronyme pour Time To Live (période pendant laquelle va vivre le paquet dans un réseau). (définition TTL).
TTLS: Acronyme pour Tunneled Transport Layer Security. (définition TTLS).
TTM: Acronyme pour Time To Market. (temps de mise sur le marché). (définition TTM).
TTP: Acronyme pour Trusted Third Party. (définition TTP).
TTS: Acronyme pour Text To Speech. Il s'agit d'une méthode par laquelle l'ordinateur va parler par le biais de la synthèse de sons issus d'un texte. (définition TTS ).
TTS: Text-To-Speech. Procédé qui permet d?obtenir une voie à partir d?un texte écrit. (définition TTS).
TTY: Abréviation pour TéléTYpe. Il s'agit du terminal qui est en mode caractère, sous environnement Unix. (définition TTY).
TTYL: Abréviation pour Talk To You Later, c'est-à-dire on se reparle plus tard. (définition TTYL).
TUBE CATHODIQUE: Il s'agit d'un canon à électron, sous vide, qui va être employé par les écrans à rayonnement, permettant l'affichage d'images en mouvement. (définition TUBE CATHODIQUE).
TUBE NOMME: Traduction française pour named pipe. Il s'agit de l'utilisation d'un fichier par un tube afin de transférer des informations. (définition TUBE NOMME).
TUBE: Il s'agit d'un procédé permettant de rediriger des informations entre plusieurs processus. (définition TUBE).
TUER: Fait de supprimer le processus planté afin de procéder à son lancement à nouveau. Cependant, cette action peut ne pas être réalisable surtout en cas de mise à jour. (définition TUER).
TUID: Acronyme pour Temporary Unique IDentifier. Il désigne l'identifiant d'une session temporaire. Permet l'identification d'une personne pendant la durée d'une session. à son retour, elle aura la possibilité de s'identifier à nouveau par le biais d'une nouvelle identité. (définition TUID).
TUNER: Permet à une machine de marcher à la façon d'une radio ou télé. (définition TUNER).
TUNING: Fait de paramétrer une application. (définition TUNING).
TUNNELING: Fait de connaà®tre oà¹ a eu lieu le détournement de l'interruption et l'auteur de ce détournement. Action pour le réseau de se servir des connexions d'un réseau différent. (définition TUNNELING).
TUPLE: Il s'agit d'un objet relatif au résultat cartésien. (définition TUPLE).
TURBO: Nom donné à quelques langages conçus par Borland. Désigne également la fonction, qui n'est plus utilisée, entraà®nant le ralentissement de l'ordinateur afin que les utilisateurs de softwares de jeu puissent jouer de manière plus facile. (définition TURBO).
TURING, ALAN MATHISON: Programmeur anglais. A été l'un des inventeurs de l'informatique moderne. A permis aux alliés de décoder Enigma lors de la seconde guerre mondiale. (définition TURING, ALAN MATHISON).
TUTORIAL: Traduction anglo-saxonne pour tutoriel. (définition TUTORIAL).
TUTORIEL: Il s'agit d'un programme permettant de connaà®tre et de comprendre comment marche l'application. (définition TUTORIEL).
TUX: Nom donné à la mascotte de Linux. (définition TUX).
TUXEDO: Il s'agit d'un moniteur transactionnel diffusé par Bea Systems. (définition TUXEDO).
TUYAU: Traduction française, peu utilisée, pour pipeline. Il peut s'agir du réseau qui conduit à un ordinateur. Désigne également les astuces. (définition TUYAU).
TV: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à Tuvalu. (définition TV).
TVHD: Acronyme pour TéléVision Haute Définition. Normalement, elle permet une résolution plus importante. Cependant, il n'y a pas d'unification de la normeâ?¦ (définition TVHD).
TVM: Acronyme pour Thank You Very Much (merci très beaucoup) . (définition TVM).
TVR: Contraction pour Télétel à Vitesse Rapide. Sorte de minitel dont la vitesse est de 9,6 kbps. (définition TVR).
TW: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à Taiwan. (définition TW).
TWAIN: Norme informatique utilisée pour la communication avec des équipements d?acquisition d?image tel que le scanner. (définition TWAIN).
TWEEN: Permet de calculer les images se trouvant entre 2 positions. Calcul très employé pour les rotations et les translations. (définition TWEEN).
TWEETER: Haut parleur de faible dimension pour produire des sons aigus. (définition TWEETER).
TWG: Acronyme pour Technical Working Group (groupe de travail technique). (définition TWG).
TWIN: Il s'agit de l'architecture GECOS qui va utiliser les processeurs de chez Intel et intégrer des éléments de chez Unix. (définition TWIN).
TWIP: Contraction pour twentieth of a point. Permet de mesurer la longueur. C'est une unité employée en PAO. à?quivaut à 1/20ème de point soit 1/1440ème de pouce. (définition TWIP).
TWISTER: Il s'agit d'un programme qui offre une possibilité de chargement de différents softwares simultanément et ce dans l'environnement monotâche. (définition TWISTER).
TWM: Acronyme pour Tab Window Manager. Il s'agit du gestionnaire de fenêtres classique pour X 11. (définition TWM).
TWOFISH: Qualifie un algorithme de chiffrement symétrique par bloc créé par Schneier entre autres. Ainsi, on va utiliser une clé pour le chiffrage et le déchiffrage. (définition TWOFISH).
TX: Abréviation anglaise pour thanks (merci). (définition TX).
TXD: Abréviation pour Transmit Data. (définition TXD).
TXT: Acronyme caractérisant un fichier qui contient un document texte avec une absence de mise en forme. (définition TXT).
TYMNET: Réseau anglais à commutation de paquet développé par Mac Donnell aujourd?hui repris par British Telecom. (définition TYMNET).
TYPAGE: Action visant à attribuer à la donnée un type. Ainsi, cette attribution appelée typage va être qualifié soit de fort soit faible. Cela dépend de l'obligation ou non de la respecter scrupuleusement. (définition TYPAGE).
TYPE ENUMERE: Qualifie le type de données formé par des valeurs qui sont données en extension. (définition TYPE ENUMERE ).
TYPE MIME: Détermine le type du document qui est envoyé sous MIME. (définition TYPE MIME ).
TYPE SCALAIRE: Désigne un type de données qui va représenter une variable. (définition TYPE SCALAIRE).
TYPE: Désigne un langage qui emploie le concept de type permettant de structurer et de gérer les informations par les logiciels. (définition TYPE).
TYPE: On appelle type de variable le type qui va indiquer toutes les valeurs que peut prendre la variable ou l'organisation de ces variables. La notion de type indique les propriétés qu'ont en commun ou pas les différents outils afin de les classer. (définition TYPE).
TYPOGRAPHIE: Technique d?imprimerie permettant de reproduire un texte à partir de caractères mobiles. (définition TYPOGRAPHIE).
TYPON: Pellicule photographique permettant de reproduire des images ou du texte. (définition TYPON).
TYVM: Acronyme pour Thank You Very Much (merci beaucoup). (définition TYVM ).
TZ: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Tanzanie. (définition TZ).
TZ: Acronyme pour Time Zone. (définition TZ).
U: Abréviation pour unit. Il s'agit de l'unité de longueur mesurant 44.54 mm. Permet la mesure des dimensions telles que l'épaisseur de boà®tiers rackables (valeurs courantes : 1U, 2U, 4U) mais également la taille des baies renfermant les boà®tiers (valeurs courantes : 42U, 45U). (définition U).
U/L: Contraction pour upload. (définition U/L).
U3: Standard utilisé sur les clés usb qui leur permet d?agir comme des bureaux virtuels. Des applications compatibles U3 peuvent être exécutées depuis la clé sans laisser de traces sur l?ordinateur. (définition U3).
UA: Désigne une messagerie privée sur laquelle sont stockés des messages. (définition UA).
UADSL: Abréviation pour Universal Asymmetrical Digital Subscriber Line. Il s'agit d'une variante pour l'ADSL. (définition UADSL).
UART: Universal Asynchronous Receiver Transmitter. Composant matériel qui gère les transmissions via un port série. (définition UART).
UAWG: Abréviation pour Universal ADSL Working Group. Il s'agit d'un groupe de normalisation de l'UADSL. (définition UAWG).
UBE: Abréviation pour Unsolicited Bulk Email. Il s'agit d'un courrier non sollicité, expédié en masse. (définition UBE).
UBR: Acronyme pour Unspecified Bit Rate. (définition UBR).
UC: Acronyme pour unité centrale. Comprend l'ordinateur sans les périphériques. (définition UC ).
UCAID: Abréviation pour University Corporation for Advanced Internet Development. Il s'agit d'un corps chargé du développement de l'Internet à haut débit. (définition UCAID ).
UCE: Abréviation pour Unsolicited Commercial Email, c'est-à-dire un courrier commercial non sollicité. (définition UCE).
UCITA: Abréviation pour Uniform Computer Information Transaction Act. Il s'agit d'un projet de loi américaine visant à développer l'e-commerce. (définition UCITA).
UCK: Acronyme pour Universal Correlation Key. Il s'agit d'une clé qu'emploie le protocole DSTP, exprimée sous une configuration de tags XML détaillant la description des fichiers et des bases de données. (définition UCK).
UCS: Acronyme pour Universal Character Set, c'est-à-dire un jeu de caractères universels, décrit par le standard ISO 10646, également appelée Unicode. Trois niveaux de complexité graduelle existent dans la mesure oà¹ certains systèmes n'ont pas la faculté de prendre en charge l'ensemble des caractères définis. (définition UCS).
UCS-2: Acronyme pour Universal Character Set. Il s'agit de caractères, définis d'après le standard ISO 10646, cryptés sur deux octets. (définition UCS-2).
UCS-4: Acronyme pour Universal Character Set. Il s'agit de caractères Unicode cryptés sur quatre octets. (définition UCS-4).
UCT: Entité d?un réseau de télécommunication chargée de gérer les communications au niveau physique. (définition UCT).
UDB: Abréviation pour Universal Database. (définition UDB).
UDDI: Acronyme pour Universal Description Discovery and Integration. Il s'agit d'une règle établie sur XML, à l'initiative d'entreprises, dont le but est la définition et l'utilisation des services sur Internet de manière plus aisée, le but premier, étant essentiellement, la publication légale ,sur Internet, de catalogues en tout genre. (définition UDDI).
UDE: Acronyme pour Unix Desktop Environment. Il s'agit d'un gestionnaire de fenêtres qui a vocation à se transformer en véritable interface graphique mais dépourvu d'une base de bibliothèque spécifique. (définition UDE).
UDF: Acronyme pour Universal Disk Format. Il s'agit d'un format employé pour les DVD. Doit se substituer à l'ISO 9660. (définition UDF).
UDMA: Acronyme pour Ultra Direct Memory Access. (définition UDMA).
UDP: Acronyme pour User Datagram Protocol. Acronyme pour Usenet Death Penalty. Il s'agit de mettre en place des manÅ?uvres visant à empêcher l'accès de l'Usenet à des sites et des fournisseurs qui s'adonnent au spam dans des newsgroups. On parle d'UDP passif en cas de simple refus des messages et d'UDP actif en cas d'émission de cancels. (définition UDP).
UDWA: Acronyme pour Unified Domain-Wide Account. Permet aux compagnies de regrouper leurs adresses sur un compte chez le même fournisseur d'accès. (définition UDWA).
UFS: Acronyme pour Unix File System. Il s'agit d'un système de fichiers que Nextstep emploie, et qui a été réutilisé dans le système d'exploitation des PowerMac d'Apple. (définition UFS ).
UFTD: Acronyme pour User File Descriptor Table, c'est-à-dire une table de descripteurs des fichiers propres à l'utilisateur. (définition UFTD).
UG: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Ouganda. (définition UG ).
UGW: Abréviation signifiant User, Group, World qui correspond aux niveaux basiques des autorisations permettant l'accès aux fichiers sous Unix. (définition UGW).
UI: Abréviation pour User Interface, c'est-à-dire l'interface utilisateur. (définition UI).
UIC: Abréviation pour User Identification Code. Il s'agit du code d'identification de l'utilisateur. (définition UIC ).
UID: Abréviation pour User IDentifier. Il s'agit d'un nombre qui identifie l'utilisateur dans le système multiutilisateur. (définition UID).
UIL: Acronyme pour User Interface Language. (définition UIL ).
UIMS: Acronyme pour User Interface Management System (système de gestion de l'interface de l'utilisateur). (définition UIMS).
UIT: Abréviation pour Union Internationale des Télécommunications. (définition UIT).
UIT-T: Abréviation pour Union Internationale des Télécommunications - normalisation des Télécommunications. il s'agit du successeur du CCITT, dépendant de l'ONU. (définition UIT-T).
UK: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Royaume-Uni. (définition UK ).
ULSI: Acronyme pour Ultra-Large Scale Integration. Lorsque dans la même puce il y a plus de 100 000 transistors. (définition ULSI).
ULTIMA: Il s'agit d'une suite de softwares de jeux de roles qui ont connu une grande réussite non pas grâce au fait d'une éventuelle innovation mais grâce aux aventures qui relèvent d'une certaine moralité. . (définition ULTIMA ).
ULTRA DMA: Acronyme pour Ultra Direct Memory Access. Il s'agit d'une méthode permettant de transférer des données d'après le disque dur et la mémoire, offrant un débit de 33 Mo/s. (définition ULTRA DMA).
ULTRA-ATA: Acronyme pour Ultra Advanced Technology Attachment. (définition ULTRA-ATA).
ULTRAPORTABLE: Correspond à un micro portable dont la principale caractéristique est sa légèreté. (définition ULTRAPORTABLE).
ULTRIUM: Caractérise l'utilisation par une bande LTO de 96 pistes. (définition ULTRIUM).
UM: à la fin d'une URL, signale que le site est basé dans les à®les mineures éloignées des à?tats-Unis qui correspondent à des territoires inhabités. (définition UM).
UM: Acronyme pour Unified Messaging (messagerie unifiée). Acronyme pour Unité de Mesure. (définition UM).
UMA: Acronyme pour Upper Memory Area. (définition UMA).
UMB: Upper Memory Block. Bloc de mémoire haute, compris entre 640 et 1024 Ko. (définition UMB).
UML: Acronyme pour Unified Modeling Language. Il s'agit d'un langage de modélisation de 3e génération. L'OMG a rendu effective sa normalisation à la fin des années 90. (définition UML).
UMS: Acronyme pour USB Mass Storage (stockage de masse par le biais de l'USB). (définition UMS).
UMSDOS: Système de fichiers qui permet la gestion de noms étendus sous le système d'exploitation DOS. (définition UMSDOS).
UMTS: Universal Mobile Telecommunications System. Système de téléphonie mobile de troisième génération (3G). Elle permet des débits numériques jusqu?à 2 Mbps. (définition UMTS).
UN*X: Terme se rapportant aux diverses versions du système d'exploitation. * est un caractère générique permettant de prendre n'importe quelle valeur. (définition UN*X).
UNABOMBER: Nom donné à Theodore Kaczynski, tueur en série. Il s'en prenait aux personnes des facultés et à celles qui utilisaient Internet entre autres. Poursuivi par le FBI depuis 1978, il a tué onze personnes avant d'être emprisonné. (définition UNABOMBER).
UNAIRE: Désigne l'opérateur qui ne va prendre qu'un opérande. (définition UNAIRE).
UNAMAILER: Nom donné à l'individu qui s'inspire des procédés de Kaczynski sur Internet en utilisant des mailbombs. (définition UNAMAILER).
UNAME: Il s'agit d'une commande éditant de nombreux renseignements concernant le système. (définition UNAME).
UNDECLOCKER: Opération inverse d'overclocker. (définition UNDECLOCKER).
UNDERFLOW: Caractérise le fait qu'il est impossible de stocker un chiffre dans un type de données dans la mesure oà¹ il est trop petit. (définition UNDERFLOW).
UNDERNET: Il s'agit de l'un des plus importants réseaux de serveurs IRC. (définition UNDERNET).
UNDERSCORE: Correspond à la touche _ . (définition UNDERSCORE).
UNDI: Acronyme pour Universal Network Driver Interface. (définition UNDI).
UNDO: Traduction anglo-saxonne désignant l'annulation de l'opération. (définition UNDO).
UNI: Acronyme pour User Network Interface (interface utilisateur/réseau). (définition UNI).
UNIBUS: Idée de chez DEC implantée sur les PDP-11 : par le biais d'un seul bus les éléments d'un ordinateur pourront être connectés. (définition UNIBUS).
UNICAST: Caractérise une communication se déroulant sur le réseau avec un émetteur et un récepteur. Il s'agit d'un mode par défaut sur le web. (définition UNICAST).
UNICODE: Permet de coder les différents caractères sur 16 bits. Va se substituer aux tables ASCII ou ANSI. (définition UNICODE).
UNICS: Acronyme pour UNiplexed Information and Computing System, système qui a vu le jour en 1969. (définition UNICS).
UNIDIRECTIONNEL: Adjectif pour qualifier ce qui va se produire dans un unique sens. (définition UNIDIRECTIONNEL).
UNILIGNE: Version française pour one-liner. (définition UNILIGNE).
UNIMODEM: Il s'agit d'un pilote de modem universel développé par Microsoft. (définition UNIMODEM).
UNION: Correspond aux éléments se trouvant au minimum dans l'un des deux ensembles. (définition UNION).
UNISYS: Compagnie qui a vu le jour en 86. Possède le brevet relatif à l'algorithme de compression LZW. (définition UNISYS).
UNIT: Variante angle-saxonne pour unité. (définition UNIT).
UNITE CENTRALE: Boà®tier métallique intégrant les composants d'une machine et à partir duquel on effectue le branchement des périphériques. (définition UNITE CENTRALE).
UNITE CENTRALE: Elément principal d?un ordinateur et qui contient tous les composants matériels vitaux. Il se présente sous la forme d?un boîtier de taille variable. (définition UNITE CENTRALE).
UNITE DE DISQUE: Désigne le périphérique se rapportant à l'exploitation de disques. (définition UNITE DE DISQUE).
UNITE DE FIXATION: Procédé par lequel l'encre de l'imprimante va adhérer au papier. (définition UNITE DE FIXATION).
UNITE: Lorsqu'on parle d'unité en pascal, il s'agit d'une bibliothèque comprenant des fonctions, qui ressemble à des fichiers qui sont inclus en C. (définition UNITE).
UNIVAC I: Acronyme pour UNIVersal Automatic Computer. Nom de la machine créée par Eckert et Mauchly en 51, qui aborde pour la première fois les nombres et le texte. Sa principale innovation est le traitement non seulement de nombres mais également de texte. (définition UNIVAC I).
UNIVERS: Terme qui désigne l'ensemble de ce qui est relatif à une compagnie ou un ordinateur. (définition UNIVERS ).
UNIVESA: Contraction pour VESA universel. (définition UNIVESA).
UNIX 03: Il s'agit d'une version dont la standardisation avec Unix a été faite par l'Open Group. (définition UNIX 03).
UNIX 98: Il s'agit d'une version qui a été par l'Open Group. (définition UNIX 98).
UNIX: Système d'exploitation de AT&T; développé par Thompson en 1969. Ses caractéristiques: multitâche, basé sur le langage de programmation C depuis le début des années 70. (définition UNIX).
UNIXIEN: Adjectif se rapportant à Unix.Désigne également l'utilisateur d'Unix. (définition UNIXIEN).
UNIX-LIKE: Désigne un O/S qui se veut être comme Unix. (définition UNIX-LIKE).
UNLOSSY: Procédé permettant de compresser des données sans les détruire. (définition UNLOSSY).
UNMARSHALLING: Opération inverse du marshalling. (définition UNMARSHALLING).
UNMOUNT: Opération consistant dans le démontage du disque. Il s'agit de l'opération contraire au mount. (définition UNMOUNT).
UNR: Acronyme pour Unreal Map File. Caractérise le fichier dans lequel est contenu une carte d'Unreal (le jeu). (définition UNR).
UNSUBSCRIBE: Fait de se désabonner d'un service. (définition UNSUBSCRIBE).
UNTIL: Il s'agit d'un mot-clé usuel caractérisant la fin de boucle répétitive. (définition UNTIL).
UPC: Acronyme pour Universal Product Code. Il s'agit du code d'un produit universel dont l'utilisation est effective aux USA. En Europe, on parle d'EAN. (définition UPC).
UPDATE: Traduction anglo-saxonne pour mise à jour. (définition UPDATE).
UPDATING: Traduction anglo-saxonne mise à jour. (définition UPDATING).
UPGRADABLE: Fait de mettre à jour. (définition UPGRADABLE).
UPGRADE: Traduction anglo-saxonne pour mise à niveau. (définition UPGRADE).
UPGRADER: Correspond à la mise à jour du système. (définition UPGRADER).
UPGRADING: Traduction anglo-saxonne pour mise à niveau. (définition UPGRADING).
UPLOAD: Correspond au transfert de fichiers à partir de l'ordinateur local vers le serveur. (définition UPLOAD).
UPLOADER: Fait d'effectuer un téléchargement d'un ordinateur local vers le serveur. (définition UPLOADER).
UPNP: Acronyme pour Universal Plus and Play. (définition UPNP).
UPP: Abréviation pour Universal Payment Preamble. (définition UPP).
UPPER: Fait de télécharger un fichier vers le serveur. (définition UPPER).
UPPERWARE: Il s'agit d'un software des couches hautes. (définition UPPERWARE ).
UPS: Acronyme pour Uninterruptable Power System/Supply. Lorsqu'il y a une coupure de courant, l'UPS va de manière temporaire fournir une alimentation. (définition UPS).
UPSIZING: Opération inverse du downsizing. (définition UPSIZING).
UPTIME: à?coulement du délai depuis la fois oà¹ l'ordinateur a re-démarré. Ordre donné par l'utilisateur dans le but d'avoir cette information. (définition UPTIME).
URI: Acronyme pour Universal Resource Identifier. (définition URI ).
URL: Uniform Resource Locator. Adresse unique d?une page Web sur Internet. (définition URL).
URN: Sigle pour Universal Resource Name. (définition URN).
US: à la fin d'une URL, signale que le site est basé aux à?tats-Unis. (définition US ).
USB: Universal Serial Bus. Norme de bus fonctionnant en mode série, et permettant la connexion de périphérique externe, compatible plug-and-play. La version 2.0 permet des débits jusqu?à 480 Mbps. (définition USB).
USENAUTE: Désigne un utilisateur de l'Usenet. Terme peu employé. (définition USENAUTE).
USENET: Constitue l'un des systèmes les plus importants relatifs à l'information. Fonctionne sous Unix en général. De nombreux articles sont édités dans des forumsâ?¦ (définition USENET ).
USENET: Protocole pour l?accès aux newsgroups. (définition USENET).
USENETIEN: Désigne d'une part les utilisateurs de l'Usenet et d'autre part tout ce qui se rapporte à Usenet. (définition USENETIEN).
USENIX: Il s'agit d'un corps regroupant des scientifiques, des ingénieurs (â?¦) qui se réunissent depuis 75 afin de traiter de différents sujets relatifs à l'informatique. (définition USENIX).
USER FRIENDLY: Se dit du système qui prone la convivialité pour ses utilisateurs. (définition USER FRIENDLY).
USERID: Traduction pour désigner l'identificateur d'utilisateur. (définition USERID).
USERLAND: Caractérise l'univers des utilisateurs ainsi que leur consommation de ressources. (définition USERLAND).
USER-SPACE: Désigne l'accès aux ressources par les utilisateurs, plus réduit que celui des administrateurs. (définition USER-SPACE).
USF: Acronyme désignant les Utilisateurs SAP Francophones. (définition USF).
USINE A GAZ: Caractérisait autrefois, les machines qui prenaient beaucoup de place. Il s'agit aujourd'hui, d'un software qui renferme de multiples fonctions, toutes n'étant pas nécessairement indispensables et classées de manière correcte. (définition USINE A GAZ).
USR: Contraction pour user (utilisateur). (définition USR).
USRT: Acronyme pour Universal Synchronous Receiver Transmitter. Il s'agit d'un émetteur/récepteur synchrone universel. (définition USRT ).
USSS: Acronyme pour United States Secret Service. Ce service a été conçu par Lincoln pour, dans un premier temps, renforcer la lutte contre les faux monayeurs et la protection des présidents américains. Mais il s'agit également d'un service chargé de combattre le piratage informatique. (définition USSS ).
USURPATION: Technique consistant à s?approprier l?identité d?une personne pour envoyer un message qui apparaîtra comme sécurisé. (définition USURPATION).
UTAH TEAPOT: Lorsque le concept de la théière a été inventé par Martin Newell, il était alors en fonction dans l'université de l'Utah. Renvoie au nom donné à une lettre d'information émanant de la chaà®ne d'informatique de cette faculté. (définition UTAH TEAPOT).
UTC: Acronyme pour Universal Time Coordinated. Il correspond au temps universel, égal à l'heure GMT. l'intervalle entre GMT et CST est de six heures. (définition UTC).
UTF: Acronyme pour UCS Transformation Format. Il s'agit du cryptage de l'UCS, dont la définition entraà®ne la possibilité qu'il soit utilisé sur le réseau. (définition UTF).
UTF-7: Acronyme pour UCS Transformation Format. Va utiliser 7 bits pour crypter des caractères. (définition UTF-7).
UTF-8: Acronyme pour UCS Transformation Format. Va utiliser 8 bits pour crypter des caractères. (définition UTF-8).
UTILISATEUR: Désigne un individu travaillant sur une machine. Désigne également tout système, entendu dans un sens très large, pouvant effectuer du traitement d'informations. (définition UTILISATEUR).
UTILITAIRE: Permet d'effectuer quelques tâches sur un système sans pouvoir qualifier de software en raison de son peu de fonction. (définition UTILITAIRE).
UTIPAC: Correspond à un groupement réunissant les utilisateurs de Transpac. (définition UTIPAC ).
UTP: Acronyme pour Unshielded Twisted Pair. Il s'agit d'un câble composé d'une paire torsadée qui n'est pas protégée par un blindage. (définition UTP).
UTSL: Acronyme désignant le fait que le fonctionnement de Unix peut être aisément compréhensible avec le code source du O/S. (définition UTSL ).
UU: Acronyme pour Unix to Unix. Il s'agit de fichiers dont le contenu est relatif à des informations cryptées avec uuencode. : (définition UU ).
UUCA: Acronyme pour Useless Use of Cat Award. Récompense décernée par Schwartz, pour révéler l'inutilité relative de la commande cat, alors que certains utilisateurs ont tendance à s'en servir trop souvent. (définition UUCA).
UUCP: Acronyme pour Unix to Unix Copy Program. Il s'agit du programme permettant de copier des fichiers à partir d'un ordinateur fonctionnant sous Unix vers un autre ordinateur Unix. Acronyme pour Unix to Unix communication Protocol, protocole de communication. (définition UUCP).
UUE: Acronyme pour Unix to Unix Encoded. Il s'agit de fichiers dont le contenu est relatif à des informations cryptées avec uuencode. (définition UUE ).
UUENCODE: Il s'agit d'un programme qui permet de transformer un fichier binaire en ASCII. (définition UUENCODE ).
UUNET: Système d?archive de logiciel pour Unix, disponible sur Internet. (définition UUNET).
UVV: Acronyme pour Usenet Volunteers Votetakers. Il s'agit d'un groupement dont les membres sont volontaires, leur activité consiste en une gestion des votes prenant place sur l'Usenet dont l'intérêt est la gestion des groupes relative à la création ou à la modification de la hiérarchie. (définition UVV).
UVV-FR: Acronyme pour Usenet Volunteers Votetakers. La notion " fr" précise qu'il s'agit d'un groupement francophone qui veille à la hiérarchie fr. (définition UVV-FR ).
UW-SCSI: Abréviation pour UltraWide SCSI. Standard qui offre un débit de 40 Mbps pour un bus de 16 bits. (définition UW-SCSI).
UXGA: Abréviation pour Ultra XGA. Il s'agit d'une norme d'affichage fondée sur XGA qui offre une résolution 1600x1200. (définition UXGA).
UY: à la fin d'une URL, signale que les site est basé en Uruguay. (définition UY).
UZ: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Ouzbékistan. (définition UZ).
V: Sigle habituel désignant la version. (définition V).
V90: Il s'agit du modem dont les normes K56flex et X2 ont fusionné. Ainsi, les données sont reçues à 56 kbps et sont renvoyées à 33.6 kbps. (définition V90 ).
V92: Il s'agit d'une version avancée du V90, réalisée par l'union nationale des télécommunications en 2001. Trois améliorations: Réduction du délai lié à la connexion, envoi des données à 48 kbps maximum, possibilité d'appeler et de répondre au téléphone si le modem utilise la ligne téléphonique. (définition V92).
VA: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Vatican. (définition VA).
VA: Acronyme pour vie artificielle. (définition VA).
VAC: Acronyme pour Volt Alternative Current (courant alternatif). (définition VAC).
VA-ET-VIENT: Traduction française pour swapping. (définition VA-ET-VIENT ).
VAFC: Acronyme pour VESA Advanced Features Communication. Ses caractéristiques: bus PCI, et affichage fluide de la FMV. (définition VAFC ).
VAISSEAU SPATIAL: Nom donné à l'opérateur ( <=>) qui donne la définition de la règle de comparaison que la fonction sort utilise. (définition VAISSEAU SPATIAL ).
VALENCE: Désigne le nombre d'états que peut prendre le signal. (définition VALENCE).
VALEUR: Désigne un élément appartenant à un ensemble, qui contient des objets d'informations, déterminé. La valeur correspondra à l'association de cet élément et un autre de langage. (définition VALEUR ).
VALEUR DE RETOUR: Résultat, correspondant à une valeur, donné soit par une fonction soit par une procédure. (définition VALEUR DE RETOUR).
VALHALLA: Nom donné à la version 7.3 correspondant à la distribution Red Hat de chez Linux. (définition VALHALLA).
VALIDATION: Fait de vérifier ou de confirmer des données, un systèmeâ?¦ (définition VALIDATION).
VALIDER: Fait de procéder à une validation. (définition VALIDER).
VALUER: Permet l'attribution à la variable d'une valeur. (définition VALUER).
VAN: Acronyme pour Vehicle Area Network, désignant un bus de terrain. Acronyme pour Value-Added Network, désignant un réseau à valeur ajoutée. (définition VAN ).
VANILLA: Mot employé pour désigner un procédé réputé classique et standard. (définition VANILLA).
VAO: Acronyme pour Vente Assistée par Ordinateur. Acronyme pour Vision Assistée par Ordinateur. (définition VAO).
VAPORWARE: Il s'agit d'un programme qui en général ne voit jamais le jour malgré les effets d'annonces par les compagnies informatiques. (définition VAPORWARE).
VAR: Contraction courante pour variable. (définition VAR ).
VAR: Acronyme pour Value-Added Reseller, il s'agit d'un revendeur à valeur ajoutée. (définition VAR).
VARIABILITE DIMENSIONNELLE: Traduction française pour scalability. (définition VARIABILITE DIMENSIONNELLE ).
VARIABLE D'ENVIRONNEMENT: Il s'agit d'une variable qui stocke des paramètres du shell et qui définit le contexte dans lequel les commandes et programmes vont s'exécuter. (définition VARIABLE D'ENVIRONNEMENT).
VARIABLE: Il s'agit de l'emplacement en mémoire qui va stocker des données qui peuvent se modifier lorsque le programme s'exécute. (définition VARIABLE).
VAUCANSON, JACQUES DE: A développé l'automatique. (définition VAUCANSON, JACQUES DE).
VAX: Acronyme pour Virtual Address eXtension. Il s'agit de l'appellation donnée au mini-ordinateur commercialisé en 1978 par DEC. Il a été prisé en 1982, date à laquelle la version 4.2 de l'Unix BSD a été lancée. Il a quasiment disparu en 1986, en raison de la présence de killer micros. (définition VAX).
VB: Acronyme pour Visual Basic. (définition VB ).
VBA: Acronyme pour Visual Basic for Applications. Il s'agit de la version de VB permettant l'automatisation de tâches pour les applications telles que Word. (définition VBA).
VBI: Acronyme pour Vertical Blank Interval. Il s'agit d'un laps de temps pendant lequel le faisceau d'électrons effectue une remontée vers le haut de l'écran entraà®nant une absence de signal. (définition VBI ).
VBL: Acronyme pour Vertical BLank. Il s'agit d'un signal annonçant l'arrivée du faisceau d'électrons en bas et qui va regagner le haut de l'écran. (définition VBL).
VBNS: Acronyme pour very high-speed Backbone Network Service. Il s'agit d'une colonne dont le débit varie entre 622 Mbps et 2.5 Gbps. (définition VBNS ).
VBR: Variable Bitrate. Méthode d'encodage d'un signal audio ou vidéo, qui peut avoir une fréquence d'échantillonnage variable. (définition VBR).
VBRUN: Acronyme pour Visual Basic Runtime. Il s'agit du début du nom d'un fichier dans lequel se trouvent des fonctions essentielles permettant au programme en VB de fonctionner correctement. (définition VBRUN).
VBS: Acronyme pour Visual Basic Script. En français, il s'agit d'un script en Visual Basic. C'est une technique pour répandre les virus. (définition VBS ).
VBSCRIPT: Contraction pour Visual Basic Script qui a été allégé. (définition VBSCRIPT).
VBX: Acronyme pour Visual Basic eXtension. Désigne un composant software dérivé de VB qu'il est possible d'utiliser à nouveau. (définition VBX).
VC: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à Saint Vincent et Grenadine. (définition VC).
VC: Acronyme pour Virtual Community (communauté virtuelle).Acronyme pour Virtual Card (carte de visite virtuelle). (définition VC).
VCALENDAR: Il s'agit d'un procédé et d'un format de transport afin d'échanger les calendriers et les emplois du temps. (définition VCALENDAR).
VCARD: Contraction pour Virtual Card (carte de visite vituelle). Il s'agit également d'une extension standardisée. (définition VCARD).
VCD: Contraction pour Video CD. Il s'agit d'un disque qui peut contenir 74 minutes de vidéo au format MPEG 1. Très utilisé en Asie. (définition VCD).
VCF: Acronyme pour Virtual Card File. à la fin du nom du fichier, signifie qu'une carte de visite virtuelle est contenue dans le fichier. (définition VCF).
VCL: Acronyme pour Virus Creation Laboratory. Acronyme pour Visual Component Library. (définition VCL).
VCPI: Spécification permettant à différents programmes de partager une mémoire paginée. (définition VCPI).
VDD: Acronyme pour Virtual Device Driver. Il s'agit de gestionnaires de périphériques virtuels. (définition VDD).
VDI: Acronyme pour Virtual Device Interface. Désigne les interfaces de périphériques virtuels. (définition VDI ).
VDM: Acronyme pour Virtual Dos Machine. Il s'agit d'un ordinateur virtuel s'exécutant sous l'environnement DOS, se trouvant dans un système différent ( principalement sous Windows NT). En cas de plantage de la VDM, elle est détruite mais l'ordinateur n'est pas planté et continue de fonctionner. Acronyme pour Vienna Development Method. (définition VDM ).
VDMA: Acronyme pour Virtual DMA. (définition VDMA ).
VDU: Désigne un équipement d'affichage comme un écran d'ordinateur ou autre terminal. (définition VDU).
VE: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Vénézuela. (définition VE).
VECTEUR: Un vecteur AB va correspondre à tous les bipoints qui sont équivalents au bipoint (A,B). Désigne également un tableau n'ayant qu'une dimension. (définition VECTEUR).
VECTORIEL: Format d'image représentée non pas par un ensemble de pixels mais comme un ensemble de formes paramétrées par leur taille, angle, couleur... (définition VECTORIEL).
VECTREX: Il s'agit d'une console de jeu de 1982 qui va utiliser un affichage vectoriel. (définition VECTREX).
VEDI: Acronyme pour désigner le virement bancaire réalisé par à?DI. (définition VEDI).
VEILLE: La veille est dite technologique lorsqu'elle a pour but de ne pas se laisser devancer en conservant toujours un Å?il sur le travail des autres. Elle permet également de rallumer de manière rapide un ordinateur. (définition VEILLE).
VELIN: Sorte de parchemin fabriqué avec de la peau d'animal jeune. (définition VELIN).
VELOCITY ENGINE: Nom donné à l'AltiVec par Apple. (définition VELOCITY ENGINE).
VEMMI: Acronyme pour Enhanced Man-Machine Interface for Videotex and Multimedia/Hypermedia Retrieval Service. (définition VEMMI).
VENN: Nom donné au diagramme qui désigne un ensemble de patates qui va symboliser des ensembles. (définition VENN).
VENTILATEUR: Outil intégré dans la machine permettant de la débarrasser de la chaleur liée à son utilisation. (définition VENTILATEUR).
VENTILO: Contraction courante désignant le ventilateur. (définition VENTILO).
VENTIRAD: Abréviation pour désigner le ventilateur et le radiateur, permettant d'éviter une surchauffe de l'ordinateur. (définition VENTIRAD).
VENUS: Usager qui va utiliser le système des fichiers Coda dont l'exécution est faite sous forme de démon. (définition VENUS).
VER: Programme indésirable qui se reproduit en autonomie en utilisant les réseau, et qui occupe de la place mémoire en quantité. (définition VER).
VERBE-NOM: Méthode visant à organiser le travail au sein de l'interface. (définition VERBE-NOM).
VERBOSE: Traduction anglaise pour bavard. Permet de savoir ce que le programme exécute ou tente d'exécuter. (définition VERBOSE).
VERGE: Feuille dont le filigrane contient des vergeures. (définition VERGE).
VERGEURES: Fines lignes horizontales et parallèles inscrites dans le filigrane d'une feuille de papier. (définition VERGEURES).
VERNISSAGE: Opération consistant à recouvrir une impression d'une couche de vernis pour la rendre brillant ou mat. (définition VERNISSAGE).
VEROLE: Adjectif qualifiant le contenu d'un système en raison soit de la présence de virus soit de son mauvais fonctionnement. (définition VEROLE).
VERONICA: Acronyme pour Very Easy Rodent Oriented Netwide Index to Computerized Archives. Désigne la base de données associée aux serveurs Gopher. (définition VERONICA).
VERRMAJ: Il s'agit d'un bouton de commutation sur lequel on appuie lorsqu'on veut écrire en majuscules. Pour revenir aux minuscules, il faut appuyer soit sur ce bouton soit sur shift. (définition VERRMAJ).
VERRNUM: Bouton de commutation va entraà®ner le basculement du pavé numérique vers celui de boutons de curseur et vice versa. (définition VERRNUM).
VERROU: Désigne une variable partagée grâce à laquelle le processus sait s'il est possible pour lui d'accéder à sa portion de code dans laquelle il lui peut effectuer la manipulation de sources partagées. (définition VERROU).
VERROUILLER: Fait d'empêcher d'accéder à un fichier, à l'écran, un clavierâ?¦ (définition VERROUILLER).
VERRUE: Correspond au fait d'ajouter un code à l'intérieur d'un programme afin de procéder à la suppression d'un bug. (définition VERRUE).
VERSION BETA: Version d'un logiciel qui est en phase de test avant sa finalisation, distribuée en quantité limitée pour corriger les derniers bugs. (définition VERSION BETA).
VERSION: Désigne le programme qui a été implanté visant la résolution de difficultés. (définition VERSION).
VERSIONING: Permet d'observer toutes les versions par lesquelles les programmes, les concepts vont passer. (définition VERSIONING).
VERSO: Côté d'une feuille qui est imprimée en second. (définition VERSO).
VERTEX: Traduction anglaise pour nÅ?ud (dans le graphe). Il désigne le point oà¹ les arêtes vont se joindre. (définition VERTEX).
VERTICAL: Qualifie un programme relatif à un domaine ou un métier spécifique. (définition VERTICAL).
VERTICES: Correspond aux sommets d'un polygone. Son utilisation sert dans le domaine de la modélisation, afin de procéder au calcul d'images de synthèse en 3D. (définition VERTICES).
VESA: Association qui crée des normes de fabrication de cartes graphiques, principalement constituée de constructeurs. (définition VESA).
VFS: Acronyme pour Virtual File System, c'est-à-dire système de fichiers virtuels . (définition VFS).
VG: à la fin d'une URL, signale que le site est basé aux à®les Vierges britanniques. (définition VG).
VGA: Video Graphics Array. Norme d'affichage souvent utilisé pour les ordinateurs. Consiste en un mappage de l'écran en mémoire. (définition VGA).
VHDL: Contraction entre VHSIC et HDL. Désigne le langage numérique développé par le DoD afin de concevoir des circuits intégrés. (définition VHDL).
VHSDSL: Acronyme pour Very High-Speed Digital Subscriber Line. (définition VHSDSL).
VHSIC: Acronyme pour Very High Speed Integrated Circuit. (définition VHSIC).
VI: Acronyme pour Visual Interface. Traitement de texte du pléistocène qui a la particularité d'être exécuté peu importe l'état du système. à la fin d'une URL, signifie que le site est basé dans les à®les Vierges américaines. (définition VI ).
VIDANGER: Fait d'effectuer un transfert de données qui sont assez importantes d'un point vers un autre. (définition VIDANGER).
VIDCAP: Abréviation pour VIDdeo CAPture. (définition VIDCAP).
VIDEO COMPOSITE: Périphérique de sortie vidéo qui ne dissocient pas les signaux contenant d'une part les informations de couleur et d'autre part l'intensité lumineuse. Ainsi ils sont regroupés dans un câble unique entraà®nant une qualité moindre que celle du YC. (définition VIDEO COMPOSITE).
VIDEO: Désigne d'une part les téléviseurs et magnétoscopes, et d'autre part, ce qui est relatif aux affichages par le biais de canons à électrons. (définition VIDEO).
VIDEOCHAT: Désigne un chat, sur le web, dont la principale caractéristique est de pouvoir voir en temps réel ses interlocuteurs. (définition VIDEOCHAT).
VIDEOCONFERENCE: Caractérise un rassemblement de personnes qui ne se trouvent pas dans le même lieu lors de la conférence mais qui peuvent voir et entendre les participants grâce à la vidéo. France télécom utilise l'expression de visioconférence. (définition VIDEOCONFERENCE).
VIDEODISQUE: Il s'agissait d'un disque optique numérique qui permet le stock de vidéo. (définition VIDEODISQUE).
VIDEOGRAPHIE: Méthode de télécommunication qui offre la possibilité de visualiser des images par le biais d'un Minitel. (définition VIDEOGRAPHIE).
VIDEOLUDIQUE: Adjectif lié à l'univers du jeu vidéo. (définition VIDEOLUDIQUE).
VIDEOPAD: Equipement qui permet aux informations provenant de vidéotex d'être transportées par un réseau à commutation de paquet x25. (définition VIDEOPAD).
VIDEOTEX: Service de communication transportant des images à travers le réseau téléphonique d'un pays. (définition VIDEOTEX).
VIE ARTIFICIELLE: Il s'agit d'une conception proche de celle de l'intelligence artificielle. Son but est d'élaborer principalement des corps qui pourront vivre sans nécessairement suivre les instructions de leurs créateurs. (définition VIE ARTIFICIELLE).
VIE: Au sens du jeu de la vie, il s'agit d'un jeu basé sur l'automate cellulaire conçu par Conway. Quant à l'expression nombre de vies, il s'agit dans un jeu du nombre de vies qu'on possède pour finir le jeu. (définition VIE).
VIEILLISSEMENT DE DONNEES: Procédé entraà®nant l'évolution de dates relative à des données, le temps ne fonctionnant pas comme dans la vie réelle. (définition VIEILLISSEMENT DE DONNEES).
VIES INFINIES: Permet d'aller au bout d'un jeu sans recommencer du début et ce alors qu'on a été tué des millions de fois dans le jeu. (définition VIES INFINIES).
VIEWER: Programme rendant possible la visualisation de l'image sur un écran. (définition VIEWER).
VIGIK: Nom donné au projet de La Poste qui a pour but de substituer au passe T (qui permet aux facteurs d'accéder à l'intérieur des immeubles) une carte à puce qu'il est possible de recharger. (définition VIGIK).
VIISTE: Caractérise une personne qui utilise l'éditeur de texte vi de manière frénétique. (définition VIISTE).
VIM: Interface de messagerie développé par Lotus. (définition VIM).
VIMISTE: Se dit d'une personne admirative de VIM qui l'utilise. (définition VIMISTE).
VINES: Acronyme pour VIrtual NEtworking System. (définition VINES).
VIOL DE L'ALTERNANCE: Qualifie l'erreur de transmission résultant du non respect d'une alternance. (définition VIOL DE L'ALTERNANCE).
VIRAL: Définit les incidents déclenchés par des virus. (définition VIRAL).
VIRGULE FLOTTANTE: Procédé permettant de coder et de stocker les nombres réels afin d'accéder à une manipulation plus rapide des nombres par les machines. (définition VIRGULE FLOTTANTE).
VIROLOGIE: Il s'agit de l'examen des virus. (définition VIROLOGIE).
VIRTUAL HOSTING: Permet d'héberger plusieurs hotes qui vont être désignés par leur nom réseau et qui auront un unique numéro IP. (définition VIRTUAL HOSTING).
VIRTUAL MACHINE: Terme anglais pour machine virtuelle. (définition VIRTUAL MACHINE).
VIRTUAL MEMORY: Terme anglais pour mémoire virtuelle. (définition VIRTUAL MEMORY).
VIRTUEL: Qualifie la création par la machine de quelque chose d'artificiel en vue du perfectionnement des performances d'un système. Désigne les procédés relatifs au monde virtuel de son élaboration à son résultat. (définition VIRTUEL).
VIRUS DE BOOT: Désigne le virus qui se niche à l'intérieur du secteur de démarrage des disques qui va être infecté. (définition VIRUS DE BOOT).
VIRUS: Programme indésirable se propageant par les réseaux et pouvant provoquer toute sortes de troubles, comme l'apparition de messages ou même la destruction de fichiers. (définition VIRUS).
VISIBILITE: Caractérise la disponibilité d'une variable. (définition VISIBILITE).
VISIBLE: Qualifie la disponibilité d'une variable. (définition VISIBLE ).
VISICALC: Il s'agit du tout premier tableur qui a vu le jour en 1979 sur l'Apple II. Il a été distribué par Frankston, Flystra, et Bricklin. (définition VISICALC).
VISIOCASQUE: Casque qui recouvre la tête afin d'évoluer de manière totale dans le monde virtuel. (définition VISIOCASQUE).
VISION: Permet de savoir comment fonctionne l'Å?il humain afin de simuler. Désigne l'Å?il électronique dans le domaine de l'industrie. (définition VISION ).
VISIONNEUR: Traduction française pour viewer. programme qui a pour but de visualiser des documents tout en n'ayant pas le programme ayant permis de les éditer. (définition VISIONNEUR).
VISIOPHONE: Instrument relatif à l'utilisation de la visiophonie. : (définition VISIOPHONE).
VISIOPHONIE: Procédé permettant la diffusion de l'image et du son dans le même temps. (définition VISIOPHONIE ).
VISITE: Désigne l'action de consulter un site Internet. (définition VISITE).
VISITEUR UNIQUE: Caractérise un individu ou un programme qui a visité un site Internet, pendant un temps précis. (définition VISITEUR UNIQUE).
VISU: Contraction pour visualisation. (définition VISU).
VISUAL BASIC: Nom donné au langage de programmation qui a un code fondé sur le BASIC. (définition VISUAL BASIC).
VISUAL FOX PRO: Traduction anglaise pour version visuelle de Fox Pro, qui constitue désormais l'environnement développant des bases de données. (définition VISUAL FOX PRO).
VISUALISATEUR: Programme offrant la possibilité de visualiser des images et animations sur l'écran. (définition VISUALISATEUR).
VISUALISATION: Module d'un lecteur audio qui affiche un image qui semble bouger avec la musique. (définition VISUALISATION).
VISUALISER: Il s'agit de voir les images à l'écran grâce à un programme appelé visualisateur. (définition VISUALISER).
VISUALISEUR: Programme offrant la possibilité de visualiser des images et animations sur l'écran. (définition VISUALISEUR).
VITESSE DE CLAVIER: Désigne à quelle rapidité le clavier peut répéter les caractères mais aussi l'intervalle qui s'écoule entre deux caractères. (définition VITESSE DE CLAVIER).
VITESSE D'HORLOGE: Caractérise la fréquence à laquelle bat une horloge d'ordinateur. (définition VITESSE D'HORLOGE).
VITRINE: Désigne le site Internet, sans réelle utilité, d'une entreprise qui souhaite exister sur le web. (définition VITRINE).
VITROPHANIE: Adhésif permettant de coller une publicité sur une vitre. (définition VITROPHANIE).
VIV: Contraction désignant une vidéo sous format Vivo. (définition VIV).
VIVO: Il s'agit d'un format de vidéo propriétaire. ses caractéristiques: Compression des images entraà®nant une qualité d'image assez médiocre. (définition VIVO).
VLAN: Acronyme pour Virtual Local Area Network, c'est-à-dire le réseau local virtuel. (définition VLAN).
VLB: Acronyme pour Vesa Local Bus. (définition VLB).
VLBV: Acronyme pour Very Low Bit-rate Video. Il s'agit de la transmission d'une vidéo vers un lien de données avec un débit maximum de 46 kbps. (définition VLBV).
VLDB: Acronyme pour Very Large Data Base. Il s'agit d'une base de données contenant de très nombreux enregistrements. (définition VLDB).
VLF: Abréviation pour Very Low Frequency, c'est-à-dire très basse fréquence. (définition VLF).
VLIW: Acronyme pour Very Long Instruction Word. Il s'agit d'un procédé, permettant d'émettre plusieurs ordres à la fois. (définition VLIW).
VLM: Acronyme pour Very Large Memory. Désigne des applications qui demandent une très grosse mémoire. (définition VLM).
VLOG: Contraction pour Video blog. Il s'agit d'un blog comprenant de la vidéo. (définition VLOG).
VLSI: Acronyme pour Very Large Scale Integration (circuits intégrés de très haute intégration). (définition VLSI).
VLSM: Acronyme pour Variable Length Subnetwork Mask. Il s'agit d'un masque de sous-réseau dont la longueur est variable. (définition VLSM).
VM: Acronyme pour Virtual Machine. (définition VM).
VME: Désigne un type de bus de chez Motorola. (définition VME).
VMM: Acronyme pour Virtual Memory Manager, c'est-à-dire un gestionnaire de mémoire virtuelle. (définition VMM).
VMS: Acronyme pour Virtual Memory System. O/S de DEC peu utilisé et désormais désuet. (définition VMS).
VMTP: Acronyme pour Versatil Message Transaction Protocol. Il s'agit d'un protocole visant la gestion de transactions. (définition VMTP).
VN: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Viet-Nam. (définition VN).
V-NODE: Désigne l'i-node, que NFS emploie, qui va accompagner l'identifiant d'un ordinateur. (définition V-NODE).
VOB: Acronyme pour Video OBject file. Il s'agit des fichiers contenus dans les DVD. (définition VOB).
VOC: Il s'agit d'un format de fichier de son qui permet aux échantillons d'être stockés peu importe leur fréquence. (définition VOC).
VOCODEUR: Equipement électronique qui numérise un son en ne gardant que les composantes de base. (définition VOCODEUR).
VOCODEUR: Il s'agit d'un synthétiseur qui permet la génération de sons s'apparentant aux voix d'un individu. (définition VOCODEUR).
VOICEXML: Désigne une interface de programmation d'applications relative à la communication utilisant des périphériques liés à la synthèse vocale et téléphonie. (définition VOICEXML).
VOID: Il s'agit d'un pseudo-nom de type utilisé avec C permettant de signaler la fonction ne saisissant aucun paramètre ou ne renvoyant aucune valeur. (définition VOID).
VOIE CENTRALE: Voie qui se trouve directement à l'avant d'un spectateur, proche de l'écran. Elle reproduit les 2/3 des sons dans un film. (définition VOIE CENTRALE).
VOIES SURROUND: Enceintes qui se trouve en position latérale et à l'arrière du spectateurs. Ce sont elles qui permettent de créer des effets de son. (définition VOIES SURROUND).
VOIP: Acronyme pour Voice Over IP. Il s'agit d'un procédé qui permet de téléphoner par le biais d'Internet. (définition VOIP).
VOISINAGE DE CONWAY: Désigne les huit cases se trouvant autour de la case centrale au sein d'une grille comprenant deux dimensions. (définition VOISINAGE DE CONWAY).
VOLATILE: Adjectif qualifiant des données dont la perte sera effective lorsque le système va s'éteindre. (définition VOLATILE).
VOLATILITE: Renvoie à tout ce qui peut être qualifié de volatile. (définition VOLATILITE).
VOLET: Indique le nombre de pages pliées dans un dépliant. (définition VOLET).
VOLUME LABEL: Version anglaise pour nom de volume qui revêt onze caractères qu'il est possible de donner sous environnement MS-DOS pour les disquettes et disque durs. (définition VOLUME LABEL).
VOLUME: Plusieurs volumes peuvent être contenus dans un disque dur démembré ou dans une unité de disquette. (définition VOLUME).
VON NEUMANN, JOHN: Avec Turing, il a développé l'informatique moderne. A également défini comment étaient structurées de manière générale les machines. Il a enfin collaboré au développement de certaines machines. (définition VON NEUMANN, JOHN).
VON: Acronyme pour Video (ou Voice) Over the Net. (définition VON).
VOODOO: Liste de chipsets relatifs à l'accélération graphique créés par 3Dfx. (définition VOODOO).
VOP: Acronyme pour Velocity Of Propagation (vitesse de propagation). Ainsi, une VOP de 1 corresponds à 300 000 km par seconde. (définition VOP).
VORBIS: Compagnie qui a conçu et développé de nombreux codecs audio et vidéo libres. (définition VORBIS).
VOXEL: Méthode de voyage en TR se déroulant dans un monde en 3D. Désigne le pixel en 3D. (définition VOXEL).
VOXML: Acronyme pour Voice Markup Language. Il s'agit du langage de marquage relatif aux applications vocales fondé sur XML. (définition VOXML).
VOYAGEUR DE COMMERCE: Désigne un problème relatif à la multiplication de possibilités et de solutions qui conduit à rechercher des approximations. (définition VOYAGEUR DE COMMERCE).
VPC: Abréviation pour Vente Par Correspondance. (définition VPC).
VPL: Abréviation pour Virtuel (ou Visual) Programming Language, c'est-à-dire langage de programmation visuelle. (définition VPL).
VPN: Virtual Private Network. Réseau privé virtuel composé d'ordinateurs qui ne constituent pas un seul et même réseau à la base, mais qui peuvent être distants géographiquement. (définition VPN).
VPTR: Acronyme pour Virtual Pointer (pointeur virtuel). (définition VPTR).
VQF: Algorithme de compression audio avec perte, s'apparente de près au format MP3. (définition VQF).
VR: Acronyme pour Virtual Reality pour réalité virtuelle. (définition VR).
VRAF: Acronyme pour Vraiment Rien à Foutre. (définition VRAF).
VRAIE VIE: Désigne la vie réelle et ses difficultés dont la résolution ne se trouve pas dans les termes binaires. (définition VRAIE VIE).
VRAM: Video Random Access Memory. Mémoire vive spécialisée pour le stockage de vidéo. (définition VRAM).
VRC: Contrôle de redondance verticale. (définition VRC).
VRML: Acronyme pour Virtual Reality Modeling/Markup Language. (définition VRML).
VRRP: Acronyme pour Virtual Router Redundancy Protocol. (définition VRRP).
VS2002: Abréviation pour Visual Studio 2002. (définition VS2002).
VSA: Acronyme pour Very Small Application. Il s'agit d'une toute petite application, qui n'a pas demandé énormément d'efforts à la personne qui l'a mis en place. (définition VSA).
VSAM: Acronyme pour Virtual Storage Access Method. Il s'agit d'une méthode permettant de gérer les fichiers, développée par IBM. (définition VSAM).
VSAT: Equipement de télécommunication par satellite permettant de raccorder les réseaux terrestres. (définition VSAT).
VT: Acronyme pour Virtual Terminal. On parle de terminal virtuel en français. (définition VT).
VT100: Acronyme pour Virtual Terminal 100. (définition VT100).
VTAM: Permet aux applications d'un IBM PC d'utiliser des ressources de télécommunications dans une architecture SNA. (définition VTAM).
VTFF: Traduction française du FOAD anglais. (définition VTFF).
VTFFC: Acronyme pour Va Te Faire Foutre Connardâ?¦ (définition VTFFC).
VTOA: Service qui permet de transporter de la voie sur ATM. (définition VTOA).
VTP: Protocole de Terminal Virtuel. Protocole normalisé de la couche 7 du modèle OSI qui permet de faire fonctionner les applications indépendamment du terminal choisi. (définition VTP).
VTX: Acronyme pour VidéoTeX. (définition VTX).
VU: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Vanuatu. (définition VU).
VUE: Réponse à une demande. Elle peut être de deux sortes d'après quelques personnes: soit il est seulement possible de consulter les résultats sans les modifier, soit au contraire elle permet d'accéder aux résultats qu'il est possible non seulement de lire mais également de modifier. (définition VUE).
VUP: Acronyme pour VAX Unit Performance. Il s'agit également d'une unité qui permettait de mesurer la puissance de calcul des Virtual Adress eXtension de DEC, semblable à environ un million d'opérations par seconde. (définition VUP).
VX: Le x renvoie un chiffre qui correspond aux instructions de l'ITU relatives à la standardisation des différentes liaisons effectuées par le biais d'un modem. Exemples: V17 correspond au fax, V23 au Minitel. (définition VX).
VXD: Acronyme pour Virtual Device Driver. Il s'agit de gestionnaires de périphériques (définition VXD).
W CDMA: Wideband Code Division Multiple Access. Technologie de multiplexage utilisée pour la 3G en téléphonie mobile. (définition W CDMA).
W: Le W désigne un programme qui s'exécute sous l'O/S de Windows. Le w est un ordre donné par l'utilisateur sous Unix afin de controler les personnes connectées sur l'ordinateur. (définition W).
W3: Sigle pour world wide web désignant le web. (définition W3).
W3C: Acronyme pour World Wide Web Consortium. Il s'agit d'un consortium, fondé en 94, chargé de promouvoir le net par le biais de l'adoption de normes. Sa gestion est confiée au MIT, à l'INRIA ainsi qu'à l'université japonaise Keio. (définition W3C).
WABI: Acronyme pour Windows Application Binary Interface. (définition WABI).
WAD: Désigne des fichiers qui contiennent des patchs au jeu Doom. (définition WAD).
WADP: Acronyme pour Web Auto-Discovery Protocol. (définition WADP ).
WADSL: Abréviation pour Wireless Asymmetrical Digital Subscriber Line. Correspond à l'ADSL sans fil. (définition WADSL).
WAE: Acronyme pour Wireless Application Environment. (définition WAE).
WAEF: Acronyme pour When All Else Fail (quand tout a échoué). (définition WAEF).
WAFER: Il s'agit d'un morceau assez fin composé de silicium monocristallin, permettant de graver des transistors. Des circuits intégrés sont ainsi produits grâce au découpage de ce morceau. (définition WAFER).
WAI: Acronyme pour Web Accessibility Initiative. Initiative prise par le W3C afin de faciliter l'accès et l'utilisation d'Internet aux personnes déficientes. (définition WAI).
WAIS: Acronyme pour Wide Area Information Services (services qui permettent l'accès à des informations). Les moteurs de recherche lui ont succédé. (définition WAIS).
WALDO: Il s'agit d'une technique utilisant des capteurs afin de procéder à l'enregistrement des déplacements du corps. (définition WALDO).
WALL, LARRY: Concepteur du langage de programmation PERL. (définition WALL, LARRY).
WALLPAPER: Terme anglais pour papier-peint. (définition WALLPAPER).
WAN: Acronyme pour Wide Area Network. Il s'agit d'un réseau de taille élevée. (définition WAN).
WANADOO: Nom donné au service de France Télécom permettant d'accéder au web. (définition WANADOO).
WAP: Wireless Application Protocol. Protocole normalisé permettant l'accès à l'Internet à partir d'un téléphone portable. (définition WAP).
WAR: à la fin d'un nom de fichier, signifie qu'il contient une WAR. (définition WAR).
WAR: Acronyme pour Web Application Archive. (définition WAR).
WARDIALER: Méthode qui va procéder au rappel automatique d'un numéro de téléphone. (définition WARDIALER).
WAR-DIALING: Utilisation du wardialer. (définition WAR-DIALING).
WAR-DRIVING: Correspond à l'action de rechercher des réseaux sans fil en conduisant sa voiture. (définition WAR-DRIVING).
WARE: Terminaison indiquant une classe de logiciel. Par exemple: freeware. (définition WARE).
WAREZ: Désigne les softwares qui ont été piratés. (définition WAREZ).
WAREZER: Individu piratant des programmes. (définition WAREZER).
WARLORD: Expression désignant soit des pros de l'informatiques soit des wannabees. (définition WARLORD).
WARNING: Terme anglais pour alarme. Peut être utilisé pour indiquer que le programme pas très puissant s'exécute par exemple. (définition WARNING).
WARP: Désigne la 3e version de l'OS/2 qui correspond au système d'exploitation d'IBM. (définition WARP).
WARPING: Procédé qui permet la modification progressive par l'étirement d'une image. Ce procédé s'emploie généralement dans le domaine des images de synthèse. (définition WARPING).
WATCHDOG: Terme anglais signifiant chien de garde en français. (définition WATCHDOG).
WATERMARK: Terme anglais pour filigrane. (définition WATERMARK).
WATERMARKING FINGERPRINTING: Système qui permet de marquer les fichiers soumis à un copyright. (définition WATERMARKING FINGERPRINTING).
WATS: Abréviation pour Wide Area Telecommunication Service. Il s'agit du service de télécommunications à longue distance. (définition WATS).
WATTC: Conférence internationale des opérateurs de télécommunications. (définition WATTC).
WAV: Format audio développé par Windows sans compression, d'où leur taille importante. (définition WAV).
WAVE: Format de fichier audio développé par Windows sans compression. (définition WAVE).
WAVELET: Terme anglais pour ondelette. (définition WAVELET).
WAVETABLE: Caractérise la table qui contient au sein de la carte son des échantillons sonores numériques. (définition WAVETABLE).
WB: Abréviation pour Welcome Back. (définition WB).
WBEM: Abréviation pour Web Based Enterprise Management (gestion d'une entreprise basée sur Internet). (définition WBEM).
WBS: Acronyme pour Write-Back Synchrone. Il s'agit d'une variété de cache. Acronyme pour Work Breakdown Structure. Procédé permettant de gérer des projets avec des organigrammes. (définition WBS).
WBT: Acronyme pour Windows Based Terminal. Acronyme pour Web Based Training. Il s'agit de faire de la formation par le biais du web. (définition WBT).
WC: Acronyme pour Word Count. Fonction qui permet sous Unix de calculer le nombre de mots, paragraphes (â?¦) dans un document texte. Acronyme pour Wire Center. (définition WC).
WCAG: Acronyme pour Web Content Accessibility Guidelines. Il s'agit d'un guide afin de créer des sites Internet dont l'accès sera plus aisé pour les personnes déficientes. (définition WCAG).
WCCP: Acronyme pour Web Cache Control Protocol. (définition WCCP).
WCDMA: Acronyme pour Wideband Code Division Multiple Access. (définition WCDMA).
WCIT: Acronyme pour World Conference/Congress on International Telecommunication. Il s'agit d'un colloque international, relatif aux technologies de l'information, ayant lieu tous les deux ans. (définition WCIT).
WCMS: Acronyme pour Web Content Management System, c'est-à-dire un système de gestion de ce que contient un site Internet. (définition WCMS).
WDDX: Acronyme pour Web Distributed Data Exchange. (définition WDDX).
WDM: Acronyme pour Wave-length Division Multiplexing. (définition WDM).
WEB AGENCY: Société dont l'activité principale est la conception de sites web. (définition WEB AGENCY).
WEB BADGE: Permet de connaà®tre les différents outils qui ont permis la réalisation d'un site. (définition WEB BADGE).
WEB BUG: Désigne un mouchard se trouvant sur la page internet, en général il s'agit d'une image qu'il est difficile à voir en raison de sa taille. (définition WEB BUG).
WEB CRAWLER: Désigne un moteur de recherche qui permet de rechercher des informations sur Internet. (définition WEB CRAWLER).
WEB SPOOFING: A pour but de substituer à un site web une version qui a été piratée. (définition WEB SPOOFING).
WEB: Littéralement toile. Désigne le réseau maillé formé par Internet et le contenu multimédia qu'il comporte. (définition WEB).
WEBCAM: Il s'agit d'une caméra qu'on relie au web, grâce à laquelle il est possible de suivre le monde. (définition WEBCAM).
WEBCAMER: Caractérise l'individu qui utilise de manière soutenue les webcams. (définition WEBCAMER).
WEBCAST: Emission vidéo diffusée sur Internet. (définition WEBCAST).
WEBCASTING: Le principe de ce gadget permettait de faire des choses sur les ordinateurs des clients sans leur accord. (définition WEBCASTING).
WEBCENTRIQUE: Qualifie la vue, par exemple, qui va permettre le fonctionnement d'une application ou d'un système essentiellement sur le web. (définition WEBCENTRIQUE).
WEBCHAT: Désigne le chat sur le web, oà¹ les discussions sont éditées à partir d'une page web qu'on met à jour de manière fréquente. (définition WEBCHAT).
WEBDAV: Acronyme pour Web Distributed Authoring and Versioning. (définition WEBDAV).
WEBDESIGNER: Personne qui crée l'apparence graphique d'un site Web. (définition WEBDESIGNER).
WEBFARM: Version anglaise pour désigner une ferme dans laquelle on trouve des serveurs Internet. (définition WEBFARM).
WEBGROUP: Abréviation pour Web Groupware. (définition WEBGROUP).
WEBMAIL: Il s'agit d'une interface qui offre la possibilité de lire son courrier électronique. (définition WEBMAIL).
WEBMASTER: Le Webmaster est la personne responsable d'un site Web et du contenu qu'il présente. (définition WEBMASTER).
WEBMASTERING: Regroupe les activités de création et maintenance d'un site Web, réalisée le plus souvent par le Webmaster. (définition WEBMASTERING).
WEBMESTRE: Traduction française désignant le western. On emploi également le terme d'administrateur de sites Web. (définition WEBMESTRE).
WEBNFS: Il s'agit de l'extension de NFS de chez Sun, qui va être utilisée à partir du web. (définition WEBNFS).
WEBSPHERE: Nom donnée à la plate-forme logicielle de chez IBM. (définition WEBSPHERE).
WEBZINE: Revue éditée uniquement sur internet. (définition WEBZINE).
WEENIE: Individu qui injurie, de manière continue, les utilisateurs sur le réseau. (définition WEENIE).
WEIZENBAUM, JOSEPH: Assez critique envers l'informatique, il constitue l'un des créateurs de l'intelligence artificielle. (définition WEIZENBAUM, JOSEPH).
WELCOM: Acronyme pour World ELectronic COMmunity. Désigne la communauté électronique mondiale. (définition WELCOM).
WELL: Acronyme pour Whole Earth 'Lectronic Link. (définition WELL).
WEND: Il s'agit d'un mot-clé assez courant pour déterminer une boucle itérative finie. (définition WEND).
WEP: Acronyme pour Wired Equivalent Privacy. (définition WEP).
WEST: Sigle pour Western European Summer Time. Est équivalente à l'heure UTC + 1. (définition WEST).
WET: Abréviation pour Western European Time. Est équivalente à l'heure UTC. (définition WET).
WETWARE: Traduction anglaise pour désigner les personnes qui ont la mission de coder. (définition WETWARE).
WF: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à Wallis et Futuna. (définition WF).
WGM: Acronyme pour Work Group Manager. (définition WGM).
WHARF: Il s'agit d'une palette d'icones qui sont placées au niveau du bord de l'écran permettant d'accéder aux applications importantes du système. (définition WHARF).
WHETSTONE: Nom donné au benchmark synthétique qui a permis d'évaluer les performances relatives aux calculs en virgule flottante. imaginaire. (définition WHETSTONE).
WHILE: Il s'agit d'un mot-clé assez courant qui va déterminer le commencement de la boucle. (définition WHILE).
WHIRLWIND: Machine créée par Olsen et Forester à l'institut des technologies du Massachusetts entre 1951 et 1959. Elle constitue une innovation majeure dans la mesure oà¹ il s'agit de la première temps réel. Ses caractéristiques: mémoire de 2 ko, consommation de 150 kilowatts, faculté d'exécuter 20 000 ordres par seconde. Il prenait 300 mètres carrées de place... (définition WHIRLWIND ).
WHITE BOX: Caractérise une machine peu onéreuse dans laquelle ont été intégré des composants peu modernes mais satisfaisant pour les tâches bureautiques simples. (définition WHITE BOX).
WHOAMI: Permet de se souvenir du nom d'utilisateur sous lequel on travaille. (définition WHOAMI).
WHOIS: Désigne la base de données gérée par Network Solutions qui permet de stocker de nombreuses données. (définition WHOIS).
WHSXGA: Acronyme pour Wide Hex Super XGA. Il s'agit d'une norme d'affichage convenant à un SXGA de 6400x4096. (définition WHSXGA).
WHUXGA: Acronyme pour Wide Hex Ultra XGA. Il s'agit d'une norme d'affichage convenant à un UXGA de 7680x4800 pixels, c'est-à-dire 36 864 000 points. (définition WHUXGA).
WI FI: Wireless Fidelity. Désigne une technologie de communication sans fil permettant l'établissement de réseaux locaux. Il existe plusieurs normes de WIFI dont les plus connus sont IEEE 802.11b, IEEE 802.11g et CSMA. La portée est d'environ 50m indoor. (définition WI FI).
WIDE-SCSI: Amélioration de la version de SCSI qui tend à la connexion de tous les périphériques possibles. (définition WIDE-SCSI).
WIDGET: Elément graphique utilisé pour l'interface homme machine, comme par exemple un bouton ou une liste déroulante. (définition WIDGET).
WIDGET: Il s'agit d'un élément qu'on retrouve dans l'interface graphique. (définition WIDGET).
WIENER, NORBERT: Est l'un des pionniers américains de l'informatique moderne. Fondateur de la cybernétique. (définition WIENER, NORBERT).
WI-FI ALLIANCE: Alliance fondée en 99 ayant pour but d'authentifier des produits sous la norme IEEE 802.11. (définition WI-FI ALLIANCE).
WIFI: Abréviation pour WIreless Fidelity. (définition WIFI).
WI-FI: Contraction pour Wireless Fidelity. (définition WI-FI).
WIFISTE: Fervent utilisateur du wifi. (définition WIFISTE).
WIKI: Abréviation pour WikiWikiWeb. Il s'agit d'un site Internet qui offre aux utilisateurs la possibilité de procéder à l'édition des pages du site. (définition WIKI).
WIKIPEDIA: Il s'agit du développement d'un dictionnaire suivant la forme de wiki. (définition WIKIPEDIA).
WIKIWIKIWEB: Le principe est le repérage par le système de mots qui comportent des majuscules afin de les utiliser pareillement à des liens. Ainsi, la création de tels liens entre les différentes pages se révèle assez aisée entraà®nant cependant une mauvaise lisibilité. (définition WIKIWIKIWEB).
WIKIWORD: Formation du titre d'une page par des mots qui s'enchaà®nent avec la capitalisation de l'initiale de chacun. La reconnaissance de ce motif va permettre la création automatique d'hyperliens par le moteur du wiki. (définition WIKIWORD).
WILBER: Nom donné à la mascotte de chez Gimp. (définition WILBER).
WILDCARD: Version française pour caractère générique qui va se substituer à un voire plusieurs caractères. (définition WILDCARD).
WILDCOMPO: Désigne des concours relatifs aux démos libres permettant l'utilisation des différentes techniques et ressources. (définition WILDCOMPO).
WILLAMETTE: Il s'agit du processeur Intel 32 bits succédant au Pentium III sous l'appellation Pentium 4. (définition WILLAMETTE).
WIMAX: Technologie de communication sans fil longue portée (jusqu?à 20 km), qui permettra dans le futur l'établissement de réseaux MAN. Les normes sont l'IEEE 802.16a d et e et permet un débit de 10 Mbits/s. (définition WIMAX).
WIMP: Désigne les fenêtres, icones, menus et souris. (définition WIMP).
WINAMP: Permet de lire des fichiers MP3 sous Windows (définition WINAMP).
WINCHESTER: Nom donné au disque dur, créé par IBM au début des années 70. Ses caractéristiques: un procédé permettant de maintenir la tête de lecture / écriture à un demi micron de la surface du disque . (définition WINCHESTER).
WINDOW MANAGER: Version anglaise pour gestion de fenêtres permettant d'être affichées sous X Windows System. (définition WINDOW MANAGER).
WINDOWMAKER: Désigne la gestion de fenêtres qui tourne sous Linux. (définition WINDOWMAKER).
WINDOWS NT SERVEUR: Son objectif est le controle des imprimantes et le service de fichiers. Principal inconvénient: un plantage plutot courant. (définition WINDOWS NT SERVEUR).
WINDOWS NT: Abréviation pour Windows New Technology. Il s'agit d'un O/S de Microsoft regroupant la version appelée Windows NT Workstation et la version Windows NT Serveur. (définition WINDOWS NT).
WINDOWS UPDATE: Logiciel développé par Microsoft pour la mise à jour en ligne des produits Microsoft. (définition WINDOWS UPDATE).
WINDOWS: Système d'exploitation développé par Microsoft. (définition WINDOWS).
WINE: Acronyme pour Wine Is Not an Emulator, désignant l'émulateur Windows sous l'environnement Unix. Il s'agit d'un software libre. (définition WINE).
WING: Il s'agit d'un catalogue de fonctions vidéo relatif à Windows 95. (définition WING).
WINMARK: Il s'agit de l'indice relatif à la performance des cartes graphiques ne mesurant seulement que les 2D. (définition WINMARK).
WINMODEM: Désigne un modem dont le software et non le matériel va permettre l'exécution de fonctions. (définition WINMODEM).
WIN-OS/2: Il s'agit de la version de Windows 3 qui permet l'utilisation de plusieurs programmes pour les personnes utilisant le système d'exploitation 2. (définition WIN-OS/2).
WINS: Acronyme pour Windows Internet Naming Service. Il s'agit d'un service de Windows qui transforme les adresses IP en noms NetBIOS et vice versa. (définition WINS).
WIP: Acronyme pour Work In Progress. Il s'agit d'un travail pas encore achevé. (définition WIP).
WIPO: Acronyme pour World Intellectual Property Organization. (définition WIPO ).
WIRED: Magazine américain publié chaque mois qui a connu un énorme essor lors de l'apogée de la Bulle Internet. (définition WIRED).
WIREHEAD: Traduction anglaise pour tête câblée. (définition WIREHEAD).
WIRTH, NIKLAUS: Créateur des langages de programmation Pascal et Modula-2 entre autres. (définition WIRTH, NIKLAUS).
WISP: Acronyme pour Wireless Internet Service Provider. Il s'agit d'un fournisseur d'accès expert essentiellement dans les connexions sans fil. (définition WISP).
WITNESS: Acronyme pour Wireless Interactive Terrestrial Network System and Service. Pendant 2 ans, l'Europe a travaillé afin de mettre en Å?uvre le DVB-RCT. (définition WITNESS).
WIZARD: Désigne un individu à qui on permet d'effectuer des opérations normalement prohibées pour un utilisateur quelconque. Il s'agit également d'un logiciel permettant d'aider à réaliser diverses tâches nécessitant simplement une automatisation. Version française pour assistant. (définition WIZARD).
WLAN: Acronyme pour Wireless Local Area Network. Il s'agit du réseau local sans fil. (définition WLAN).
WLL: Acronyme pour Wireless Local Loop, c'est-à-dire une boucle locale usant de la technologie sans fil. (définition WLL).
WM: Acronyme pour Windows Management/Manager.. Acronyme peu usité pour WebMaster. (définition WM).
WMA: Windows Media Audio. Format de fichier audio avec perte développé par Microsoft, qui permet d'obtenir des fichiers plus légers que les MP3 avec une qualité égale. (définition WMA).
WMAN: Acronyme pour Wireless Metropolitan Area Network (MAN sans fil). (définition WMAN).
WMC: Acronyme pour Workflow Management Coalition. Alliance, collaborant avec l'OMC, qui regroupe des éditeurs de softwares relatifs à la gestion de flux, leur but étant de présenter différents standards d'interface. (définition WMC).
WMD: Acronyme pour Windows Media Download. Il s'agit d'archives comprenant des fichiers média. (définition WMD ).
WMF: Acronyme pour Windows Meta File. (définition WMF).
WML: Acronyme pour Wireless Mark-up Language. Il correspond au langage XML réalisé dans le but d'afficher des données sur un écran de mobile. (définition WML).
WMLSCRIPT: Langage apparenté au javascript pouvant être intégré aux pages WAP. (définition WMLSCRIPT).
WOL: Acronyme pour Wake On LAN. Procédé permettant de mettre en route, à distance, l'ordinateur par le biais d'un réseau local, grâce à l'installation de cette fonction dans les cartes réseau et carte mère. (définition WOL).
WOLFENSTEIN 3D: Il s'agit d'un jeu vidéo qui a vu le jour en 1992, édité par Apogee Software, utilisant la 3D subjective. Il a connu une belle réussite. (définition WOLFENSTEIN 3D).
WOODY: Nom donné à la distribution Debian GNU de chez Linux 3.0. (définition WOODY).
WORA: Acronyme pour Write Once, Run Anywhere. Signifie qu'un programme peut être porté sur tous les ordinateurs. (définition WORA).
WORD PROCESSOR: Traduction anglo-saxonne pour traitement de texte. : (définition WORD PROCESSOR).
WORD SPOTTING: Il s'agit d'un procédé consistant à reconnaà®tre automatiquement la parole par le biais de la machine qui va reconnaà®tre des mots afin de déchiffrer la phrase. (définition WORD SPOTTING ).
WORD SPOTTING: Système de reconnaissance des mots dans un fichier son. (définition WORD SPOTTING).
WORD: Il s'agit d'un entier dont le codage est fait sur 2 octets. Désigne aussi une paire d'octets c'est-à-dire 16 bits. Il s'agit également du nom donné par Microsoft à son traitement de texte. (définition WORD).
WORDPERFECT: Logiciel de traitement de texte édité par la compagnie Corel. (définition WORDPERFECT).
WORDSTAR: Logiciel de traitement de texte publié en 79, à l'intention du grand public. (définition WORDSTAR).
WORDWRAP: Propriété d'un programme d'édition de texte permettant de passer de manière automatique sans avoir à appuyer sur entrée à la deuxième ligne suivante dès lors qu'on se trouve à la fin de la première ligne. (définition WORDWRAP).
WORKFLOW: Traduction française pour gestion de flux. Il s'agit d'étudier les flux d'informations au sein de compagnie. (définition WORKFLOW).
WORKGROUP: Traduction anglaise pour travail de groupe. (définition WORKGROUP).
WORKSTATION: Traduction anglo-saxonne pour station de travail. (définition WORKSTATION).
WORLD DOMINATION: Constitue le but ultime de Linux et des adeptes de Linux. (définition WORLD DOMINATION ).
WORLD WIDE WEB: Traduction anglaise désignant la toile d'araignée mondiale des sites. (définition WORLD WIDE WEB).
WORM: Acronyme pour Write Once Read Many. Fait d'écrire une seule fois sur un support mais qu'on peut lire encore et encore. (définition WORM).
WORM: Traduction anglo-saxonne pour ver. Il s'agit d'une idée de Shoch. à l'origine, ils avaient pour but de permettre l'exploration des réseaux. (définition WORM).
WOS: Acronyme pour Web Operating System. (définition WOS).
WOZ: Diminutif donné à Stephen Wozniac. (définition WOZ).
WOZNIAC, STEPHEN: A créé avec Steve Jobs la compagnie Apple en 1976, avant de concevoir l'Apple II. En 1985, il est démis de ses fonctions et a depuis fondé une nouvelle société. (définition WOZNIAC, STEPHEN).
WP: Acronyme pour Word Processor. Traduction française pour traitement de texte. Acronyme pour Word Perfect. texteur conçu par Corel, édité en version Linux. Acronyme pour Write Protected, c'est-à-dire protégé en écriture. Acronyme pour Wall Paper. Traduction française pour papier-peint. (définition WP).
WPA: Acronyme pour Wifi Protected Access. Il s'agit d'une norme de sécurité définie par la Wi-Fi Alliance. (définition WPA).
WPAN: Acronyme pour Wireless Personal Area Network (réseau local sans fil). En principe, un seul individu peut s'en servir. Sa portée est d'environ dix mètres. (définition WPAN).
WPG: Acronyme pour WordPerfect Graphic. (définition WPG).
WPM: Acronyme pour Word Per Minute. Il s'agit de l'unité permettant de mesurer la rapidité relative au fait de transmettre. Cependant on préfère le bps. (définition WPM).
WPS: Acronyme pour Windows Printing System. Il s'agit du système d'impression de Windows. (définition WPS).
WQUXGA: Acronyme pour Wide QUXGA. Il s'agit d'une norme d'affichage covenant à un QUXGA large, c'est-à-dire une résolution de 3840x2400. (définition WQUXGA ).
WRAM: Acronyme pour Windows Read-Only Memory. Permet de transférer à des taux assez élevés des opérations principales. (définition WRAM).
WRAPPER: Il s'agit d'un programme qui va envelopper la réalisation d'un programme différent permettant son aménagement dans un environnement spécifique. (définition WRAPPER).
WRAPPING: Désigne un procédé qui va consister en l'enroulement et non la soudure du fil électrique. Désigne l'application qui sera enveloppée dans une autre interface afin qu'elle fonctionne dans un autre contexte. . (définition WRAPPING).
WRI: Désigne un fichier dont le contenu comporte un document au format Write. (définition WRI).
WRITE-BACK: Désigne le cache ne permettant pas à la mise à jour de la mémoire principale par le gestionnaire d'être effectuée. (définition WRITE-BACK ).
WRITE-THRU: Contraire de write-back. Ainsi, il désigne le cache permettant d'écrire sur la mémoire principale sans aucune restriction. (définition WRITE-THRU).
WRL: Il s'agit d'un script d'un monde dont la description est faite en langage VRML. (définition WRL).
WRT: Acronyme correspondant soit à With Respect To soit à With Regard To. (définition WRT).
WRZ: Il s'agit d'un script d'un monde dont la description est faite en langage VRML et la compression en gzip. (définition WRZ).
WS: à la fin d'une URL, signale que le site est basé aux Samoa Occidentales. (définition WS).
WS: Abréviation pour Work Station, c'est-à-dire la station de travail. (définition WS).
WS95: Contraction pour Windows 95. (définition WS95).
WS98: Contraction pour Windows 98 (définition WS98).
WSDL: Acronyme pour Web Services Definition Language. Il s'agit du langage permettant de définir les services proposés par le web. (définition WSDL).
WSSO: Acronyme pour Web Single Sign-On (identification unique sur le web). (définition WSSO).
WSXGA+: Acronyme pour Wide SXGA+. Il s'agit de la norme d'affichage répondant au SXGA étendu, c'est-à-dire 1680 x 1050. (définition WSXGA+).
WSZ: Acronyme pour Winamp Skin Zipped. (définition WSZ).
WTAC: Abréviation pour World Telecommunication Advisory Council. (définition WTAC).
WTDC: Abréviation pour World Telecommunication Development Conference. (définition WTDC).
WTF: Acronyme pour What The Fuck. (définition WTF).
WTH: Acronyme pour What The Hell! (définition WTH).
WTLS: Acronyme pour Wireless Transport Layer Security. Il s'agit d'un procédé permettant de chiffrer les transferts d'informations entre instruments sans fil. (définition WTLS).
WUI: Abréviation pour Web User Interface, c'est-à-dire l'interface utilisateur sur le net. (définition WUI).
WUXGA: Acronyme pour Wide UXGA. Il s'agit d'une norme d'affichage convenant à un UXGA large, c'est-à-dire 1920 pixels sur 1200. (définition WUXGA).
WVGA: Acronyme pour Wide VGA. Il s'agit d'une norme d'affichage convenant à un VGA large, c'est-à-dire une résolution de 852x480 voire 858x484. (définition WVGA).
WVX: Acronyme pour Windows Media redirector. (définition WVX).
WWAN: Acronyme pour Wireless Wide Area Network (WAN sans fil). (définition WWAN).
WWDC: Acronyme pour World Wide Developer Conference. Il s'agit du congrès d'Apple réservé essentiellement aux concepteurs, lors duquel la compagnie a pris l'habitude d'effectuer des déclaration mirobolantes. (définition WWDC).
WWW: World Wide Web. Désigne le réseau géant support de l'Internet. (définition WWW).
WWWAIT: Acronyme pour World Wide Wait. Expression utilisée pour caractériser des délais de réponse assez lents. (définition WWWAIT).
WXGA: Abréviation pour Wide XGA. Il s'agit d'une norme d'affichage répondant au XGA étendu, c'est-à-dire 1366x768. (définition WXGA).
WYSBIGY: Acronyme pour What You See Before You Get It. Traduction pour ce que vous voyez avant que vous l'ayez. (définition WYSBIGY).
WYSIMOLWYG: Acronyme pour What You See Is More Or Less What You Get (ce que vous voyez est à peu près ce que vous obtiendrez). (définition WYSIMOLWYG).
WYSIWYG: Acronyme pour What You See Is What You Get, c'est-à-dire que ce que vous voyez est ce que vous obtiendrez. Version anglaise pour tel écran-tel écrit. Ainsi, le document affiché à l'écran est censé correspondre au document une fois imprimé. (définition WYSIWYG).
WYSIWYM: Acronyme pour pour What You See Is What You Mean, ce que vous voyez est ce que vous pensez. Relatif aux softwares qui raisonnent sur le fond. (définition WYSIWYM).
WYSIWYP: Acronyme pour What You See Is What You Print. Traduction pour ce que vous voyez est ce que vous imprimez. (définition WYSIWYP).
WYSYNG: Acronyme pour What You See You'll Never Get. Traduction pour " ce que vous voyez vous ne l'aurez jamais". (définition WYSYNG).
WYSYWOG: Acronyme pour What You See You WOn't Get (ce que vous voyez, vous ne l'obtiendrez pas). (définition WYSYWOG).
X WINDOW SYSTEM: Correspond à l'interface graphique d'Unix, développé par le MIT. fondé sur le protocole X, va exporter des display sur des ordinateurs distants. Principal inconvénient: une certaine lenteur. (définition X WINDOW SYSTEM).
X WINDOW: Contraction pour X Window System. (définition X WINDOW).
X: Lettre correspondant à eXtended. Signifie que le système a été étendu au niveau de ses possibilités afin de récupérer un maximum d'utilisateurs. Correspond à une variable. (définition X).
X/OPEN: Groupe rassemblant des sociétés, dont l'activité principale est relative à l'informatique, dont le but relève de la promotion de systèmes ouverts. (définition X/OPEN).
X11: Nom donnée à la version de X Window System. Le nombre renvoie au protocole. (définition X11).
X2: Grâce à ce procédé, le nombre d'informations passant par le biais d'une ligne de téléphone grâce au modem allant jusqu'à 56 kbps est multiplié par deux. (définition X2).
X86: Appellation donnée aux processeurs Intel, remplacée par Pentium. (définition X86).
XA: Constitue le développement de la norme ISO 9660 pour les CD-ROM. Ainsi, ceux qui répondent à cette norme ont un contenu comportant des images mais également du son qui sont réunies dans une piste. (définition XA).
XAO: Caractérise les programmes, les techniques (â?¦) qui nécessitent l'assistance par ordinateur. (définition XAO).
XAR: Acronyme pour eXtended Attribute Records (caractéristiques de fichiers étendus). (définition XAR ).
XARGS: Combinaison d'arguments permettant de constituer une ligne de commande. (définition XARGS ).
XBASE: Il s'agit du langage permettant la compatibilité relative dBase. (définition XBASE).
XBM: Abréviation pour X BitMap. Il s'agit d'un format, caractéristique à X Window, dont les images sont en noir et blanc. (définition XBM).
XBML: Abréviation pour eXtended Business Modeling Languagen relatif à la description d'une entreprise. (définition XBML).
XBOX: Nom donné à la console de jeu lancée par Microsoft. (définition XBOX).
XCARD: Il s'agit de la version XML des Virtual Cards. (définition XCARD).
XDARWIN: Il s'agit de la version de X Window affectée à Darwin. (définition XDARWIN).
XDCC: Acronyme pour eXtended DCC (extension DCC). (définition XDCC).
XDM: Acronyme pour x display manager. Il s'agit d'un software qui va gérer les displays X11 par le biais du XDMCP. (définition XDM).
XDMCP: Acronyme pour X Display Manager Control Protocol (protocole de controle de xdm). (définition XDMCP).
XDR: Acronyme pour EXternal Data Representation. (définition XDR).
XDSL: Acronyme pour x Digital Subscriber Line. Le x peut revêtir différents caractères (par exemple x=A: ADSL). (définition XDSL).
XEMACS: Application permettant d'éditer du texte. Ressemble à Emacs avec quelques améliorations. (définition XEMACS).
XENIX: Nom donné à la version d'Unix qui a été développée, au départ, pour Intel et ses plate formes. (définition XENIX).
XEON: Nom donné au Pentium 2 de chez Intel lancé en 98. Utilisation du Slot 2 avec une fréquence supérieure à 400 MHz. (définition XEON ).
XEROGRAPHIE: Technique d'impression à sec qui exploite la propriété de certains corps qui deviennent sensibles à la lumière lorsqu'ils sont électrisés. (définition XEROGRAPHIE).
XEROX PARC: Sigle pour Palo Alto Research Camp. Il s'agit du camp de recherches de Xerox basé à Palo Alto, servant de lieu d'inventions à la compagnie. (définition XEROX PARC).
XEROX: Société dont l'activité principale est la création de systèmes d'impressions. (définition XEROX).
XEYES: Il s'agit du nom d'un programme complètement bête mais très amusant installé sur de très nombreux ordinateurs: des yeux sur l'écran bougent lorsqu'on déplace le curseur. (définition XEYES).
X-FACE: Caractérise un champ à l'intérieur d'un en-tête de News, qui contient une image perso représentant la personne qui rédige le message. (définition X-FACE ).
XFCE: Acronyme pour X Forms Cool Environment. Il s'agit d'une série de logiciels regroupés dans un environnement de bureau fonctionnant sous X. Ses avantages: efficace et maniement simple. (définition XFCE).
XFER: Traduction anglaise désignant un transfert, utilisé dans le langage de la communication. (définition XFER).
XFORMS: Permet de créer sur Internet des formulaires, découpés en 3: interface, données d'instance et modèle XForms. (définition XFORMS).
XFREE86: Désigne le serveur X qu'il est possible d'adapter librement. (définition XFREE86).
XFS: Il s'agit d'un système développé par Silicon Grpahics permettant de gérer des fichiers. Ses principales caractéristiques: système 64 bits, gestion de fichiers très important. X Font Server. Serveur de polices pour X Window. (définition XFS).
XFWM: Acronyme pour X Forms Window Manager. Il s'agit d'un logiciel sous XFCE chargé de la gestion des fenêtres. (définition XFWM).
XG: Désigne au format qui a fait l'objet d'une définition par Yamaha. Va établir des règles qui vont indiquer comment le générateur de tons doit répondre aux données MIDI. (définition XG).
XGA: Abréviation pour eXtended Graphics Array, désignant une norme d'affichage de 1024x768 en 256 couleurs. (définition XGA).
XHTML: Acronyme pour eXtensible HyperText Markup Language. (définition XHTML).
XID: Acronyme pour eXchange IDentification. (définition XID).
XIF: Acronyme pour Xerox Image File. (définition XIF).
XINERAMA: Développement de X11 qui permet le traitement de nombreux écrans qui ne vont former qu'un bureau. (définition XINERAMA).
XM: Il s'agit d'un fichier qui va contenir un élément soundtrack sous le format du software Fasttracker 2. (définition XM).
XMF: Acronyme pour eXtensible Music Format. Il s'agit d'un format rassemblant des éléments essentiels pour faire de la musique en MIDI. (définition XMF).
XMIT: Acronyme pour Transmit. (définition XMIT).
XML SCHEMA: Procédé remplaçant les DTD qui décrit les documents XML. Va fournir des types de données plus aboutis et va procéder à la validation du code XML grâce à l'utilisation des espaces de nommage. (définition XML SCHEMA).
XML: Acronyme pour eXtensible Markup Language. Il s'agit de la simplification de la version SGML. (définition XML).
XML: eXtended Markup Language. Langage de description des documents qui utilise des balises, permet l'utilisation de balises personnalisées et permet l'échange des données. (définition XML).
XMLIEN: Adjectif se rapportant à XML. (définition XMLIEN).
XMLISATION: Procédé permettant le transcodage de tout document pour qu'il devienne un document XML. (définition XMLISATION).
XMMS: Sigle pour X MultiMedia System. Semblable à Winamp mais sous l'environnement X Window. (définition XMMS).
XMPP: Acronyme pour eXtensible Messaging and Presence Protocol. (définition XMPP).
XMS: Abréviation pour eXtended Memory Specification, c'est-à-dire une mémoire étendue. (définition XMS).
XMT: Désigne le signal Transmit dont l'utilisation se fait lorsqu'on effectue une communication série. (définition XMT).
X-NO-ARCHIVE: Correspond à un champ d'en-tête qui est ajouté au message sur Usenet lorsqu'on ne veut pas conserver l'archivage du message. (définition X-NO-ARCHIVE).
XNS: Abréviation pour Xerox Network System. Il s'agit d'un système de gestion de réseaux répondant aux normes de la compagnie Xerox. (définition XNS).
XOFF: Correspond au signal qui annonce l'arrêt obligatoire de l'émission. (définition XOFF ).
XON: Correspond au signal qui annonce qu'il est possible de procéder au commencement de l'émission ou à sa reprise. (définition XON).
XON-XOFF: Nom donné au procédé de transmission dont XON et XOFF sont les signaux. (définition XON-XOFF).
XOR: Contraction pour eXclusive OR. Ainsi, D xor E désigne soit l'un soit l'autre mais jamais les deux en même temps. (définition XOR).
XOUVERT: Désigne le serveur X adapté sur Xfree86. (définition XOUVERT).
XOX: Terme anglais, apposé en général à la fin d'un message, signifiant bisous suivis d'une étreinte. (définition XOX).
XPG: Acronyme pour X/Open Portability Guide. Il s'agit de l'édition d'une norme tendant à la définition du standard relatif à Unix. (définition XPG).
XPG2: Abréviation pour X/Open Portability Guide Release 2. Il s'agit de la seconde version de XPG. (définition XPG2).
XPM: Acronyme pour X Window PixMap. Il s'agit de la taille d'une image sous X11, utile pour les icones.Ses caractéristiques: possibilité de modification des images par le biais de l'éditeur texte. Absence d'efficacité du format. (définition XPM).
XRP: Acronyme pour eXtended entreprise Resources Planning. Il s'agit d'un logiciel qui incorpore de nombreuses fonctionnalités afin de combler toutes les demandes de la société en matière d'ERP. (définition XRP).
XSD: Abréviation pour XML Schema Definition. Il s'agit d'une extension du nom d'un fichier qui comporte une définition XML Schema. (définition XSD).
XSERVE: Désigne un Mac qui tient dans un rack d'épaisseur 1U et qui possède un système serveur appelé MacOS X Serveur. (définition XSERVE).
XSL: Acronyme pour Extensible Stylesheet Language. Il s'agit de décisions prises par le W3C dont le but est de créer des documents au format HTML ou au format XML qui permettent de différencier fond et forme dans un souci de lisibilité. (définition XSL).
XSLFO: Abréviation pour eXtensible Stylesheet Language Formatting Object. (définition XSLFO).
XSLT: Abréviation pour eXtensible Style Language Tranformation. (définition XSLT).
XSS: Abréviation pour Cross Site Scripting. (définition XSS).
XSSI: Abréviation pour eXtended Server Side Include. (définition XSSI).
XT: Abréviation pour X Toolkit, désignant un éventail de fonctions offrant une possibilité de construction des widgets sous X11. (définition XT).
XT: Il s'agit d'une norme de PC, qui a vu le jour en mars 1983, structuré autour du processeur Intel 8088. (définition XT).
XTP: Acronyme pour eXpress Transport Protocol. Il s'agit d'un protocole assez complexe permettant la réalisation de multimédia par le biais du réseau. (définition XTP).
XUL: Acronyme pour XML-based User Interface Language. (définition XUL).
XUP: Acronyme pour eXtensible User interface Protocol. Procédé fondé sur SOAP, offrant une possibilité de transfert d'événements reliés à l'interface utilisateur sur Internet. (définition XUP).
XVID: Abréviation désignant le codec vidéo rival du DivX 5.02. (définition XVID).
XWD: Abréviation pour X Window Dump. utilitaire affilié à X Window offrant une possibilité d'enregistrement de l'image d'une fenêtre dans un fichier, effectuant une capture d'écran. (définition XWD).
XX: Il s'agit de règles qu'il faut utiliser concernant les réseaux de données. Le x renvoie à un chiffre. Exemples: X10 va permettre d'accéder aux réseaux de données. X54 concerne les liaisons à 64 Kbps. (définition XX).
XYZ-MODEM: Il s'agit de protocoles permettant de transférer des fichiers dont la conception remonte à la fin des années 70. (définition XYZ-MODEM).
XYZZY: Expression issue du jeu Advent et intégrée désormais dans le langage informatique anglais. Au cours du jeu, l'utilisateur pourra jouer comme il l'entend dès l'instant oà¹ il aura la possibilité d'utiliser ce mot. (définition XYZZY).
Y: Le câble Y appelé également câble en Y correspond au câble d'alimentation permettant le dédoublement d'une prise, et donc le branchement d'un périphérique supplémentaire dans un ordinateur. (définition Y).
Y2K: Abréviation anglaise pour Year 2000 (année 2000). (définition Y2K).
YABA: Abréviation pour Yet Another Bloody Acronym, c'est-à-dire un autre acronyme. (définition YABA).
YACC: Acronyme pour Yet Another Compiler-Compiler (encore un autre compilateur de compilateur). (définition YACC).
YACJ: Acronyme pour Yet Another Clueless Journalist (encore un journaliste paumé). (définition YACJ).
YAHOO: Abréviation pour Yet Another Hierarchically Officious Oracle. Il s'agit d'un système de recherche sur le Net, recherches faites par des hommes qui sélectionnent les documents HTML, à l'inverse de la concurrence. (définition YAHOO).
YAMSI: Abréviation pour Yet Another Microsoft Security Issue, c'est-à-dire encore un autre problème lié à la sécurité Microsoft. (définition YAMSI).
YASL: Acronyme pour Yet Another Scripting Language, c'est-à-dire encore un autre langage de script. (définition YASL).
YC: Périphérique de sortie vidéo dissociant, par le biais de deux câbles, d'un part le signal contenant des informations de couleur et d'autre part le signal relatif à l'intensité lumineuse, entraà®nant dès lors une qualité supérieure par rapport à la vidéo composite. (définition YC).
YE: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Yémen. (définition YE).
YELLOW BOOK: Registre spécifique aux procédés généraux relatifs à l'archivage des données sur CD. Permet de corriger les erreurs de manière plus précise que le Red Book. (définition YELLOW BOOK).
YELLOW PAGES: Il s'agissait d'un procédé basé sous Unix permettant de gérer les bases de données. NIS lui a succédé.. . (définition YELLOW PAGES).
YENC: Il s'agit d'un type permettant de coder des informations binaires servant principalement sur l'Usenet et le courrier électronique, ayant vu le jour en 2002. Le concept repose sur le remplacement de base64 et uuencode n'employant que les caractères sur 7 bits. Cependant, de nos jours, les serveurs sont capables de manipuler du 8 bits, la dimension des messages yenc est réduite de 30 %. (définition YENC).
YENCODER: Fait de crypter des données binaires sous le format yenc, habituellement pour les expédier sur l'Usenet. (définition YENCODER).
YESCARD: Il s'agit d'une carte bancaire dont la principale caractéristique est d'accepter toute opération bancaire. Cependant sa fabrication et son maniement sont punissables. (définition YESCARD).
YKYBHTLW: Acronyme anglais pour You Know You've Been Hacking Too Long When.â?¦ cette expression veut dire vous savez que vous avez bricolé trop longtemps quand... (définition YKYBHTLW).
YMCK: Acronyme pour Yellow Magenta Cyan blacK/Khol. (définition YMCK).
YMMV: Expression utilisée pour prévenir qu'un logiciel peut ne pas marcher en dépit des précautions prises. (définition YMMV).
YOS: Contraction pour Yosemite. (définition YOS).
YOSEMITE: Désigne les G3 300, 350 et 400 d'Apple, prenant également le nom de glacières. (définition YOSEMITE).
YOTTAOCTET: Correspond à 2 puissance 80 octets, c'est-à-dire 1 024 zettaoctets. (définition YOTTAOCTET).
YOURDON, ED: Célèbre pour avoir conçu dans les années 1970 des procédés permettant de favoriser le déploiement de grands systèmes, alors délicats à mettre en place, en Fortran et en COBOL. (définition YOURDON, ED).
YO-YO: Expression utilisée pour désigner d'une part, un système variable et d'autre part, les câbles d'alimentation de plusieurs portables Apple dont certains Titaniums . (définition YO-YO).
YP: Désigne les pages jaunes anglaises (Yellow Pages), marque déposée par British Telecom. (définition YP).
YT: à la fin d'une URL, signale que le site est basé à Mayotte. (définition YT).
YU: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Yougoslavie. (définition YU).
YUV: Interface vidéo fonctionnant en mode analogique et qui propage le signal sur trois conducteurs: la luminance, la chrominance et la saturation. (définition YUV).
Z: Il s'agit d'un langage de spécification formelle qui se fonde sur la règle des ensembles. A été remplacé par B. Format permettant de compresser des fichiers sous Unix. Nom donné à la première machine, créé à la fin des années 30 par Kuse.Nom qu'emploie Apple pour l'Anglais International. (définition Z).
Z/OS: OS pour mainframes d'IBM. (définition Z/OS).
Z3: Conçu par Zuse en 1941. Il s'agit du premier calculateur universel controlé par un logiciel en binaire. (définition Z3).
Z39.50: Procédé de communication permettant de consulter la base de données bibliographiques en ligne. Standardisé par l'ANSI. (définition Z39.50).
Z80: Conçu par Zilog en 1976. Ses caractéristiques: 8 bits. Le ZX 81 a été doté de ce microprocesseur. (définition Z80).
Z80A: Il s'agit d'une variante du Z80, très réputée au début des années 80, disposant d'une mesure de vitesse de 4 Mégahertz. (définition Z80A).
ZA: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Afrique du Sud. (définition ZA).
ZAXXON: Jeu de poche créé par Sega, inaugurant la 3D. (définition ZAXXON).
Z-BUFFER: Il s'agit d'un tampon (buffer) qui va stocker les coordonnées relatives aux sommets des polygones dans l'axe des z correspondant à l'axe de la profondeur. (définition Z-BUFFER).
Z-BUFFERING: Fait d'utiliser le Z-buffer pour dénombrer les images de synthèse. (définition Z-BUFFERING).
ZDS: Abréviation pour Zenith Data Systems. (définition ZDS).
ZEN: Philosophie bouddhiste très prisée chez les hackers. Il s'agit également d'une vertu essentielle que doit avoir tout bon informaticien. (définition ZEN).
ZEND: Société éditant des outils dédiés au langage PHP. (définition ZEND).
ZENITH: Fabricant de PC. (définition ZENITH).
ZERO NON SIGNIFICATIF: Il s'agit du zéro dont le placement (à gauche ou derrière les derniers chiffres placés après la virgule) n'influence pas la valeur du nombre. (définition ZERO NON SIGNIFICATIF).
ZERO PAPIER: Pensée pronant l'absence totale de papier dans la gestion des affaires humaines. (définition ZERO PAPIER).
ZEROCONF: Désigne un protocole qui doit procéder, selon le ZWG, à l'attribution d'adresses multicast, à la configuration des interfaces réseau, à la conversion des noms en adresses et inversement et à la vérification de la disponibilité des services. Son usage est principalement réservé aux réseaux locaux. (définition ZEROCONF).
ZETTABYTE: Traduction anglo-saxonne du zettaoctet. (définition ZETTABYTE).
ZETTAOCTET: Correspond à 2 puissance 70 octets, c'est-à-dire 1024 exaoctets. (définition ZETTAOCTET).
ZICOS: Contraction pour musicos, c'est-à-dire personne composant de la musique. (définition ZICOS).
ZIF: Abréviation pour Zero Insertion Force. Il constitue un genre de support de processeur, offrant la possibilité de le changer aisément en raison des pattes non attachées à la carte mère. (définition ZIF).
ZIGBEE: Variante de Bluetooth, standardisée sous l'appellation 802.15.4. Ses caractéristiques: débit inférieur (par rapport à Bluetooth) et réservé aux périphériques consommant peu. (définition ZIGBEE).
ZIIOONN-PONK: Interjection indiquant qu'un head-crash vient de se produire. (définition ZIIOONN-PONK).
ZIK: Contraction pour musique. (définition ZIK).
ZIKDISK: Il s'agit de démos comprenant essentiellement des bandes son avec parfois des effets visuels. Très courantes dans les années 90. (définition ZIKDISK).
ZIKER: Contraction pour faire de la musique. (définition ZIKER).
ZILOG: Concepteur de processeurs, célèbre notamment pour le Z80 qui a pourvu de nombreux micros processeurs. (définition ZILOG).
ZIMMERMAN, PHIL: Créateur du système de PGP (abréviation pour Pretty Good Privacy), logiciel de cryptage. (définition ZIMMERMAN, PHIL).
ZINC: Cliché de typographie créé dans une plaque de zinc. (définition ZINC).
ZINE: Contraction pour magazine. (définition ZINE).
ZIP: Correspond à un format permettant d'archiver et de compresser des fichiers sans qu'ils perdent des données.Désigne un code postal angle-saxon. Il s'agit également d'un standard relatif à des cartouches magnétiques, créées par Ioméga. A succédé aux disquettes classiques. (définition ZIP).
ZIPDUMP: Correspond à la copie de données dont la compression a été faite sous format Zip. (définition ZIPDUMP).
ZIPETTE: Désigne une cartouche Zip de 100 ou 250 Mo. (définition ZIPETTE).
ZIPPER: Fait de compresser des informations sous le format Zip. Fait d'enregistrer à l'aide d'une cartouche Zip des données, pas obligatoirement compressées. (définition ZIPPER).
ZIPPIES: Contraction pour Zen-Inspired Pagan Professionals. Personnes alliant une attitude zen et les technologies modernes. (définition ZIPPIES).
ZLESS: Nom donné à une variante de less qui permet la décompression de fichiers. (définition ZLESS).
ZM: à la fin d'une URL, signale que le site est basé en Zambie. (définition ZM).
ZOMBIE: Terme désignant le fait que le père n'a pas été prévenu de l'achèvement de son logiciel. On peut, cependant, accéder à ses données. Il s'agit également d'un terme désignant un ordinateur piraté, qui désormais obéit aux instructions du pirate. (définition ZOMBIE).
ZONAGE: Il s'agit de l'espace découpé en zones employé notamment par les industriels du DVD. (définition ZONAGE).
ZONE D'AFFICHAGE: Elle est définie par l'espace recouvrant la zone essentielle de l'écran en ne prenant pas en compte le contour noir. Il est possible désormais qu'elle recouvre l'ensemble d'un écran après avoir fait de bons réglages. (définition ZONE D'AFFICHAGE).
ZONE D'ATTERRISSAGE: Désigne une zone permettant d'éviter aux têtes de lecture/écriture de rayer des disques en les empêchant de les toucher. (définition ZONE D'ATTERRISSAGE).
ZONE DE LISTE: Traduction française pour combo-box. Il s'agit de l'interface graphique qui réunit d'une part la zone relative à l'édition de texte et d'autre part le menu déroulant permettant d'effectuer un choix du texte à éditer. (définition ZONE DE LISTE).
ZONE DEGROUPEE: Zone géographique où plusieurs opérateurs de communication accèdent à la boucle locale, et non pas seulement l'opérateur historique qui devient facultatif dans l'acheminement des communications. (définition ZONE DEGROUPEE).
ZONE DEMILITARISEE: Zone située à l'interface entre Internet et un réseau local où sont placés les serveurs de sites Web et de messagerie. Cette configuration permet d'isoler les serveurs et ainsi de protéger le réseau local tout en économisant la bande passante de celui-ci. (définition ZONE DEMILITARISEE).
ZONE NUMBER: Désigne sur le réseau Fidonet, l'identifiant d'une aire que ce réseau couvre. (définition ZONE NUMBER).
ZONE: Surface d'une photographie qui doit être gravée. (définition ZONE).
ZOO: Fin du nom d'un fichier correspondant à la compression de l'archive via le programme Zoo. Comparable à LHA. La différence réside dans l'en-tête. (définition ZOO).
ZOPE: Il s'agit d'un dispositif relatif au développement de sites web se fondant sur le langage, Python permettant une certaine puissance et une certaine simplicité des sites. (définition ZOPE).
ZR: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Zre. (définition ZR).
Z-SORTING: Méthode de calcul d'images de synthèse, moins pratique que celle du Z-buffering, par laquelle tous les objets, des plus éloignés d'abord aux plus proches enfin, sont visualisés à la suite. (définition Z-SORTING).
ZTA: Abréviation pour Zone de Télécommunications Avancées, c'est-à-dire une zone au sein de laquelle plusieurs groupes ont la possibilité de partager un accès à des systèmes de transfert à haut débit. (définition ZTA).
ZUI: Acronyme pour Zooming User Interface. (définition ZUI).
ZULU: Désigne une heure identique à l'heure UTC. (définition ZULU).
ZUSEÂ KONRAD: C'était un ingénieur allemand, faisant partie des concepteurs de l'ordinateur. A conçu le Z1 en 1935, premier ordinateur à employer les nombres binaires. Il a également été à l'origine du premier langage de programmation appelé Plankalkà¼l qui a servi à mettre au point un logiciel de jeu d'échecs. (définition ZUSEÂ KONRAD).
ZV PORT: Abréviation pour Zoomed Video Port. Il s'agit d'un port, fonctionnant depuis 1996, permettant une connexion directe d'une PC Card sur un controleur VGA, par le biais du zoomed video bus. (définition ZV PORT).
ZW: à la fin d'une URL, signale que le site est basé au Zimbabwe. (définition ZW).
ZWG: Abréviation pour Zeroconf Working Group, c'est-à-dire un groupe de travail précisant le protocole Zeroconf. (définition ZWG).
ZX 80: Il s'agit du premier micro-ordinateur créé par Sinclair. (définition ZX 80).
ZX 81:: Une des premières machines, créé en 1981 par Sinclair. Ses caractéristiques: processeur Z80 et 1Ko de mémoire avec possibilité d'extension à 64Ko. (définition ZX 81: ).
ZX SPECTRUM: Remplaçant du ZX 81 dont Sinclair est le créateur. Ses caractéristiques: processeur Z80 et 16Ko de mémoire standard. (définition ZX SPECTRUM).
ZYXEL: Marque d'un fabriquant de modems affaibli par la concurrence en raison de modems onéreux mais bénéficiant d'une meilleure position sur le marché des routeurs grâce à un éventail large proposant de nombreuses fonctionnalités. (définition ZYXEL).