Le cidre en un clin d’oeil

Une histoire très ancienne...
et combien moderne!

Un peu d'histoire

Le cidre est l’une des plus anciennes boissons alcoolisées au monde. Les Hébreux l’appelaient Shekar, les Grecs Sikera et les Romains Sicera.

Plus près de chez nous, c’est sur les flancs du Mont-Royal, à Montréal, que le premier verger et le premier pressoir fait son apparition, en 1650, œuvre des Sulpiciens.

En 1921, curieusement, le cidre disparaît presque totalement pour des raisons administratives : la Commission des Liqueurs a oublié de l’inclure dans sa législation. Jusqu’en 1970 il sera techniquement illégal, ce qui n’empêchera pas les Québécois d’en produire et d’en boire très discrètement.

En 1988, les premiers permis de production artisanale sont émis, ouvrant tranquillement la porte à ce qui deviendra rapidement une véritable passion : l’élaboration de produits de plus en plus raffinés.

L’année 2000 marque un tournant. Nous assistons au Québec à une prolifération de cidres de très grande qualité, raffinés à souhait, propulsés par la recherche constante de nouveauté et de sophistication. Les premiers cidres de glace sont proposés, promettant le plus bel avenir à l’échelle mondiale et contribuant à la reconnaissance du cidre québécois comme produit du terroir.

Un peu d'histoire


Les cidreries

Pour être dûment reconnu cidriculteur artisan du Québec, le producteur doit respecter un certain nombre de normes quant à la provenance de sa matière première ainsi que son lieu de production. Une réglementation très stricte est ensuite imposée concernant ses méthodes de production, de manière à garantir un cidre de qualité irréprochable et digne d’être versé dans votre verre. Née en 1992, l’Association des cidriculteurs artisans du Québec regroupe et représente ses producteurs, tout en travaillant à ce que la popularité de leurs produits soit à la hauteur de leurs efforts.


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