«Morocco? Ah, Marrakech? Yes, yes.» Si un étranger ne connaît pas le Maroc, il est à 90% sûr qu’il a déjà entendu parler de Marrakech. Depuis quelques années, la ville ocre a volé la vedette à toutes les autres villes du Royaume et est même devenue l’emblème touristique de notre pays. Elle porte un mythe et une magie qui finissent par ensorceler, mais jusqu’à quand? En effet, des rumeurs de plus en plus amplifiées parlent d’un essoufflement patent,
C’est l’histoire d’une banque tout juste sortie de son assainissement et qui s’est malencontreusement aventurée dans des produits financiers complexes. Une aventure qui allait réduire à néant toutes ses années de réforme. Le malheur a été évité de justesse, grâce à un miraculeux défaut de procédure.
Il fallait s’y attendre, Fouad Ali El Himma a mis les pieds dans le plat économique. Samedi 21 juin, il était l’invité de la CGEM pour animer un débat politique à Casablanca. Dans un courrier adressé aux ténors du patronat, Moulay Hafid Elalamy présente cette rencontre comme faisant partie intégrante de la plate-forme de communication avec les partis politiques,....
Nous, Marocains, sommes une grande nation de créatifs. Pour preuve, notre formidable créativité pour booster notre économie et rebondir chaque fois qu’il est possible de le faire sur une nouvelle idée pour avancer. Aucun secteur n’a été épargné. Explication. Depuis le début des années 2000, on a lancé quelque chose comme une dizaine de plans pour redresser notre économie et les appellations sont tout aussi originales. Tout a commencé avec la vision 2010 et le plan Azur.
Le jeu mortel des options Exclusif L'Affaire Crédit Agricole
En s'engageant sur 6 milliards de dirhams en produits financiers, la banque verte a mis en péril sa pérennité.
Dossier
La redistribution des cartes
Coup de blues sur le secteur de l’immobilier. L’euphorie d’hier cède la place au doute. Inadéquation entre offre et demande, gonflement des stocks, fin des grands programmes de logements sociaux, la demande solvable plafonne et les maux s’accumulent. Les acteurs en place marquent une pause. Question de se remettre les idées en place.
Un projet de loi-cadre pour la protection du consommateur est au Parlement. Vu le retard accumulé par rapport à ses voisins, il était temps que le Maroc légifère. Mais ce projet se doit d’être porté par une prise de conscience du principal concerné.
Ainsi donc, la cession des terrains de l’Etat à Addoha fera l’objet d’une enquête parlementaire. C’est Miloud Chaâbi qui le promet. Ira-t-il jusqu’au bout de sa promesse? On verra bien. En tout cas, sa sortie a été le feuilleton de cet été. Il a suffi qu’il prononce le mot «privilèges fonciers» pour que toute l’élite politico-économique...