Le Bailli de Suffren dans l'Inde |
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Expressions et termes fréquents
64 canons Achem amiral armée Artésien attaque avaient baie bailli de Suffren bataille bâtiments batteries Bellone Bengale bientôt bord Brest Brillanne Brillant Bussy capitaine Cassimbazar Castries Ceylan chevalier Chilleau Cillart cinq vaisseaux colonies combat commandement commandeur commerce commodore compagnie comte d'Estaing comte de Grasse convoi côte de Coromandel Cuverville d'Orves débarquement devant Duchemin Dupleix envoyer équipages escadre février Flamand forces frégate général Goudeloure gouverneur guerre Héros heures Hollande hommes Hyder-Aly Indes Indiens j'ai juillet Karikal l'Ajax l'amiral anglais l'amiral Hughes l'Angleterre l'Annibal l'armée l'Artésien l'ennemi l'escadre anglaise l'escadre française l'Ile l'Inde laisser lettre ligne Madras Mahrattes Malabar manœuvre marine mât Maurville ment ministre Monarc Montmouth mouillage mouiller mysoréenne nabab navires Negapatnam officiers ordres paix pavillon Peynier Piveron Pondichéry port Praya rade reste Saint-Cannat seaux Seillans signal sir Hughes Souillac Sphinx Sultan Tippoo-Saëb Trinquemalay Tromelin troupes vaisseaux anglais venait Vengeur vent Versailles vice-amiral vieux vaisseau vint voiles YAnnibal
Fréquemment cités
Page 245 - Indes-Orientales ; en conséquence de quoi les ordres nécessaires seront envoyés par chacune des hautes parties contractantes , avec des passe-ports réciproques pour les vaisseaux qui les porteront , immédiatement après la ratification du traité définitif.
Page 174 - J'ai l'honneur d'être très respectueusement , Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur.
Page 191 - L'état critique, messieurs, où se trouvent les affaires du roi « exige que nous travaillions de concert. Loin de nous toute mésintelligence capable de nuire au bien de la chose; montrons que l'honneur > d'être Français vaut bien l'avantage dont se prévaut l'ennemi. L'armée • sous les murs de Goudelour est perdue si nous n'allons à son secours.
Page 169 - ... paru en Asie. De rien, il a formé ses vastes états par la force de son bras; il a su, par son génie, les conserver jusqu'à la fin, et est mort la terreur de l'Inde entière et de la nation anglaise, au milieu des conquêtes qu'il a faites sur cette nation belliqueuse et puissante.
Page 179 - Trinquémalay ; mais la fin de la campagne et ce qui s'est passé du mois de mars jusqu'à la fin de juin, est fort au-dessus de tout ce qui s'est fait dans la marine depuis que j'y suis : peutêtre y at-il eu plus de bonheur que de bien joué, mais le résultat est agréable pour moi et mes amis, et très avantageux pour l'Etat, car l'escadre était hasardée ,et l'armée perdue.
Page 285 - Trublet, d,e voir un offi» cier quitter le commandement d'un vaisseau de guerre pour » prendre celui d'une simple frégate ; mais on observera que , » communément, la destination d'un vaisseau , pendant le » combat , se borne à se tenir immobile dans sa ligne , exac...
Page 112 - donc trouvé leur maître ! Voilà l'homme qui m'aidera à « les exterminer. Je veux qu'avant deux ans il n'en reste plus « un seul dans l'Inde , et qu'ils n'y possèdent pas un pouce
Page 293 - Roi, ambassadeur extraordinaire de la religion auprès de Sa Majesté très-chrétienne, ancien capitaine et général des galères de son ordre ; Commandeur des commanderies de Jalès , Trinquetaille et Puimoisson, au grand prieuré de...
Page 83 - Le public d'ici m'a accueilli parfaitement, mais la jalousie des marins qui sont ici depuis cinq ans sans avoir rien fait, ne m'a pas produit le même accueil. Ce pays-ci amollit; il ya une quantité de jolies femmes et une façon de vivre fort agréable. L'on y gagne de l'argent quand on commerce. Tout cela vaut mieux que faire la guerre; aussi reste-t-on ici tant qu'on peut. « Notre campagne dans l'Inde peut estre très longue. Si on ya dés succès, on n'en doit plus revenir ; fuir surtout cette...
Page 173 - J'ai été ce matin , Monsieur , voir notre hôpital ; j'aurais bien désiré vous y trouver. J'ai remarqué que les malades étaient assez bien , j'ai même vu que leur ration était plutôt plus forte que trop faible ; mais je vous avouerai que votre chirurgien-major m'a paru aimer un peu trop à couper ; et comme la plupart de ce qu'ils appellent blessures ne sont que des ulcères dépendant d'un vice scorbutique ou autre , il me semble que ces malades ne devraient être traités que par vous...