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Les anciens des Forces Françaises à Berlin

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GMFB

FFSB

QN-Gfcc02

1945

11ème Régiment de Chasseurs

et

46ème Régiment d´Infanterie

“unis à Berlin depuis 1996, pour maintenir les traditions”

BlnQN

1994

Les anciens, des deux formations françaises qui ont tenu le créneau pendant près d´un demi-siècle sur le front le plus exposé de la Guerre froide jusqu´a leur dissolution en 1994, résidants à Berlin se sont regroupés dans un groupe et une section puis se sont enfin unis en 1996, honorants leurs ancêtres qui combattirent côte à côte sur presque tous les champs de bataille, depuis Oberhausen en l´An 1800...


Adresse courrier:  Section-Berlin   Postfach: 650224   -D- 13302 BERLIN

Nos deux formations et la Base Aérienne 165 ont été récompensé en mars 1994, par la République Fédérale d’Allemagne et la ville de Berlin, en témoignage de la gratitude profonde de tous les Allemands, pour leur engagement de près de cinquante ans au service de la paix et de la liberté à Berlin.

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Extrait des VAFOR informations, n° 32 décembre 2010

LA LETTRE DU PRÉSIDENT GÉNÉRAL DES « VAFOR » VÉTÉRANS DES ARMÉES FRANÇAISES OUTRE-RHIN ET VÉTÉRANS DE LA GUERRE FROIDE 1945-1991

Tout à une fin, dont les Gouvernements de la République Française : Surtout s’ils se moquaient plus longtemps des combattants « Vétérans de la Guerre Froide » en ex Allemagne de l’Ouest et Berlin, lesquels avec leurs familles et amis sauraient ébranler les législatives. Au cours de mes 43 années de services publics, j’ai eu l’occasion de côtoyer de hautes personnalités politiques : Jacques Chirac, connu à la fin des années cinquante, que je devais retrouver fin 1990 pendant l’Opération Daguet, en ma qualité d’analyste du renseignement évitant l’entrée des troupes françaises au Koweit ; Dès 1961, Valéry Giscard d’Estaing dont, trente ans plus tard, deux policiers retraités du service de protection présidentiel prirent la direction d’une « ex fédération » d’anciens des F.F.A. cambriolée trois fois durant leur règne, suivi d’un chaos ubuesque ; Jacques Chaban-Delmas 1er Ministre en 1967 (Général 2 S) lors de mon stage parisien, puis à la mairie de Bordeaux où, dès mon départ de l’Armée, je fus « chargé de mission » sous ses ordres directs ; Il me décerna à titre associatif en 1995 le diplôme de la médaille d’honneur d’argent de la ville de Bordeaux, suite aux Opérations « Daguet » puis « Survivre à Vucanovici » en Bosnie centrale et « Trident humanitaire » au Kosovo, durant lesquelles mon association d’union nationale « UNAFFA » avait apporté son soutien à nos militaires dans ces conflits ; Le Général de Gaulle, dont je serrais la main en 1961 peu avant d’être breveté parachutiste et que je devais revoir à Baden-Baden fin mai 1968 : L’analyse des renseignements, concluant à une attaque soviétique imminente, imposait son départ urgent pour le PC Guerre en RFA : D’où sa halte imprévue à Colombey, proche d’un aérodrome pour avitailler l’hélicoptère ; Vous le saviez… évidemment. Durant ma carrière militaire d’une vingtaine d’années, chancelier à une époque, j’ai fréquenté nombre d’officiers Généraux. Au plan associatif, feu le Maréchal de France Pierre-Marie Koenig (1er Commandant en Chef français en Allemagne en 1945) signa mon diplôme de la Médaille de Rhénanie et feu le Général du Temple de Rougemont (C.C.F.F.A.) me remit la médaille d’argent et « l’Insigne du Mérite de la Rhénanie » à l’époque effectivement contingenté à cinquante donc très difficile à obtenir… Dernière Médaille d’honneur d’Or, l’Etoile Européenne du Dévouement Civil et Militaire, sous contrôle d’un Général : J’ai donc une expérience des Autorités incluant l’actuel Ministre de la Défense.

J’aurai soixante-sept ans dans un mois, avec un demi Siècle de ras-le-bol des associations courtisanes présidées par des roitelets prompts à s’inféoder à des « partis » ou « fédérations » budgétivores, qui n’ont jamais rien fait pour défendre l’honneur des militaires Anciens des Forces Françaises en Allemagne ou admis à l’honorariat de leurs grades. C’est grâce au référendum national « VAFOR » du 1er mai 2010, que la « Guerre froide » a enfin été reconnue officiellement le 2 mai 2010, par le Président de la République Française s’adressant au Président de Russie : Donc, dès le 31 décembre 2010 l’association « VAFOR » pourrait être statutairement « Mission accomplie » dissoute.

Nous voulons un certificat reconnaissant nos « OPEX » en ex Allemagne de l’Ouest dont Berlin, pendant la Guerre Froide du 2 septembre 1945 au 26 décembre 1991, semblable à celui qu’ont déjà reçu, depuis plus de dix ans, nos homologues des U. S. A. : Nous envions la très haute intelligence de leur Secretary of Defense et de leur gouvernement, espérant pouvoir le dire de leurs homologues français qui ont réinstallé l’armée allemande en Alsace.

Nous voulons aussi la Médaille de la Défense nationale pour tout militaire non médaillé déjà admis à l’honorariat :

Les civils ont la Médaille du Travail ; On décore les Morts… Pour les Militaires vivants, une médaille marquant l’Honorariat et une médaille des OPEX en ex-RFA de l’Ouest, ce serait mieux : Dans le secret des urnes républicaines, tous les « Vétérans de la Guerre froide 1945-1991 » continueront ce combat. La limite de notre patience, longue de dizaines d’années, prendra fin après les voeux officiels de 2011.

Meilleurs voeux pour les années à venir ; Résistez contre l’oubli des T.O.A.-F.F.A. et votez utile !

G. Page

Président général des VAFOR

Médaille d’Honneur d’Or 2010 Etoile Européenne du Dévouement Civil et Militaire, Palmes d’Argent 2009 du Bénévolat Associatif.

 

 

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